Papy et Papa me trayaient quasiment la queue pour que je les abreuve de foutre. Trop fiers que leur fils soit un homme et jute. Je bus souvent mon sperme en me branlant ou en baisant, et j’aimais son goût, un peu différent de ceux de Papa et Papy. Entre autres changements, ma clientèle se renouvela, car certains clients (et clientes) n’aimaient que les gamins, et un ado de 13-14 ans et plus ne les attirait plus. Pourtant, je restais très beau gosse, à ce qu’on me disait, avec une petite gueule d’ange blond qui faisait décalage avec ma saloperie naturelle. On m’aurait donné le bon Dieu sans confession, disait-on, et ça contrastait avec mes appétits sans tabou. Tant mieux, ça excitait encore plus mes clients et clientes de voir un petit ange se livrer aux plus grandes saletés possibles, et avec plaisir, en plus.


Mieux membré que dans mon enfance, bien logiquement, j’étais devenu plus intéressant aussi pour les femmes. A l’adolescence, j’eus donc un rééquilibrage de la clientèle, les femmes devenant aussi nombreuses que les hommes. Je grimpais donc des femmes mûres qui aimaient les p’tits jeunes, mais aussi des jeunes filles que leurs parents voulaient faire déflorer par un beau gosse avec qui elles auraient du plaisir. Je m’adaptais à chaque fois, mon expérience et mes instincts me disant comment faire. Je pouvais baiser sauvagement un mec ou une nana en manque de baise bien rude, ou faire tendrement l’amour avec un homme ou une femme assoiffés de câlins. Je ne perdis donc pas de client, au contraire, j’augmentais mon réseau en me diversifiant ainsi. Ma bite, il faut dire, avait bien grandi. Je tenais de mon père sur ce point, lui aussi étant bien pourvu. Et d’ailleurs, j’avais encore assez régulièrement un « plan famille » à la demande de clients qui bandaient pour me mater baiser ma mère ou niquer avec mon père, quand il ne fallait pas coucher avec les deux à la fois. Et quand je sautais mon père, qui était fier de la bite de son fils, ça rendait fous les mecs qui nous mataient.


Aucun problème pour ça, évidemment, au contraire, même ! Brouter la chatte de Maman pendant que Papa me ramonait le fion, ou pomper mon père pendant que je baisais ma mère, ou enculer Papa qui baisait Maman, j’adorais ça, eux aussi, et on jouissait très fort d’exhiber ainsi notre inceste ! C’était même encore meilleur que quand on le faisait à la maison, puisque là on était à la fois matés (ça nous excitait plus) et payés (et cher). Mes parents m’ayant eu bien jeunes, ils étaient encore dans la fleur de l’âge (30 et 31 ans quand j’en eus 14) et on formait vraiment une belle famille, plein de vie, de beauté, d’amour et de vice bien assumé.


Je partis même, l’été de mes 13 ans, en vacances avec une très riche famille de pervers, qui m’avait loué pour trois semaines, avec elle, sur la côte d’Azur, dans une belle villa avec piscine. Je ne vous dis pas ce que ça leur a coûté de me louer pour cette durée, jour et nuit ! Mes parents leur firent un prix, vu que c’étaient des habitués et que la durée justifiait un geste commercial, mais ça fit quand même une grosse somme. Les deux époux s’en fichaient, ils avaient les moyens, et leur vice était aussi étendu que le mien. Avec mes parents, on partait souvent en vacances (nos gains de putes le permettaient aisément) mais là c’était la première fois que je partais sans eux et avec des clients. Et je ne le regrettais pas car, avec leurs trois enfants (un garçon de 11 ans, une fille de 8 ans, un petit garçon de 4 ans) et eux (37 ans pour lui, 35 pour elle), je passais des vacances de rêve, emplies de plaisirs en tous genres.

Ils m’avaient connu, deux mois avant, lors d’une touze chez des amis à eux, et à laquelle mes parents et moi étions « invités » (en étant payés, évidemment). Ils avaient adoré mes talents et avaient donc souhaité que je baise avec eux durant des vacances qu’ils voulaient très salopes. Je devais aussi m’occuper un peu de leurs enfants, comme un baby-sitter, car les parents allaient avoir des activités de leur côté, sans toujours avoir leurs enfants avec eux. Bien évidemment, ces enfants étaient très éveillés sexuellement, ayant eu une très bonne éducation au cul. Expérience nouvelle pour moi de gérer des enfants mais, vu ce que j’étais payé et surtout avec mon excitation enthousiaste pour toutes les saloperies, j’étais plus que motivé ! Je partis donc en voiture avec cette famille, sac de voyage à la main, et en quelques heures, on fut dans le Var. Je découvris la région, magnifique, et de merveilleuses vacances commencèrent, dans une ambiance aussi perverse que chez moi.


Je partageais une chambre avec les trois enfants. Bien sûr, ils avaient des rapports incestueux avec leurs parents ce qui, pour moi, étant banalement normal. Tout enfant devrait en avoir ainsi, parce que, quand je pense à la façon dont ça rendait géniaux les rapports avec mes parents, je souhaite ça à tous ! Manon était donc une petite salope très mignonne mais totalement obsédée de sexe, passant la majeure partie de la journée avec la main dans sa petite culotte, à se triturer l’abricot, quand elle ne se faisait pas enfiler par son père ou son frère aîné, ou ne se gouinait pas avec sa mère ou pisser dessus par son petit frère. Le garçon de 11 ans, Carl, beau petit mec au regard de chienne en rut, bandait du matin au soir et, lui aussi, s’astiquait dans son boxer quand il ne suçait pas son père, ne lui filait pas son cul ou ne sautait pas sa mère, sa sœur ou son petit frère. Ce dernier, Ethan, est très mignon aussi, avec de grands yeux et un joli visage. Mais loin d’être innocent, il ne pense qu’au cul, lui aussi, bien éduqué par ses parents et ses aînés ! Il se balade toujours à poil chez lui, virant systématiquement son slip, et il a l’habitude de sucer chaque bite qui passe, ou d’indiquer qu’il la veut au cul, entre ses deux mignonnes petites fesses, tellement il adore se faire enculer.


Ces enfants adorent donc niquer avec leurs parents et entre eux, et ce sans parler évidemment des invités que les parents pouvaient convier à la maison pour niquer avec leurs enfants, car les parents adoraient mater leurs gosses baiser avec d’autres qu’eux-mêmes. Et les enfants adoraient tellement le sexe qu’ils ne demandaient pas mieux que d’avoir de nouvelles chattes ou bites à disposition. Quand les parents n’étaient pas dispos et qu’il n’y avait pas d’autre personne dans le coin, les frères et la sœur se soulageaient ensemble, bien habitués à baiser entre eux. Ils le faisaient plusieurs fois par jour, tous aussi insatiables. Je n’allais pas m’ennuyer, avec trois pareilles petites salopes !


Le séjour démarre bien, car quand on s’installe, je partage une grande chambre avec les enfants, dotée d’un très large lit où on dormira à quatre. Super ! Comme on va bien baiser, inutile de faire lits séparés. Dès le premier soir, quand on va au lit, on se fout tous à poil. Trop mignons, les gamins, les garçons avec leurs quéquettes sans poil et leurs petits culs bien ronds, et elle avec sa fentine lisse et ses petits tétons de poitrine semblable à celle de son petit frère ! Moi, je bande direct et ils matent bien ma bite et mes burnes. J’ai un peu de poils, ma bite a grandi et je jute beaucoup, comme je leur explique. On se fait des caresses, des baisers, on se touche partout. Ils sont aussi affamés de sexe que moi, avec le voyage on n’a rien fait de la journée. Leurs parents baisent à côté, on les entend gueuler, ça nous excite encore plus. Le matelas est couvert de matière plastique souple, on peut se lâcher et on en a tous l’intention. J’avoue une petite préférence pour le petit dernier, Ethan. D’une part, vicieux comme je suis, sauter un gamin de 4 ans me fait terriblement bander (moi, à son âge, j’adorais la queue autant que lui, et Papa et Papy m’enfilaient toute la journée). D’autre part, il ne demande que ça, c’est le plus salope des trois, et je le sais très branché pipi-caca (les deux autres aussi, mais lui encore plus). Et comme j’ai moi aussi une passion pour le crade, c’est dire si on s’attire, lui et moi (mais sans que je néglige les deux autres, évidemment).


Ethan vient tout de suite sur moi, et son petit zizi dressé m’excite beaucoup, de même que ses fesses rebondies. Il met sa bouche sur la mienne, je lui roule une pelle très chaude, je bande comme un fou, et je sens que Manon me serre le gland entre ses lèvres, pendant que son frère me lèche les couilles. Je suis leur cadeau de vacances, ils me partagent à trois. Moi, je vais sucer la petite tige d’Ethan, qui se lâche et me pisse dans la bouche. Hum, délicieux, un gros pipi de petit garçon, quel régal !! Je lâche moi aussi ma pisse à Manon et Carl, ça jaillit dru de ma queue, ils en prennent plein le visage, ils adorent, rigolent, boivent, se lèchent les tronches mutuellement pour tout récupérer, Carl me pompe le zob pour avoir les dernières gouttes, sa sœur se doigte la chatte en lui léchant le cul, il lui pète au visage, elle gémit de plaisir, et moi je fais jouir Ethan à sec dans ma bouche. C’est beau, un p’tit gamin comme ça qui jouit ! Il pousse des petits cris d’extase, et je continue à le sucer pour qu’il rebande encore.


Quand j’en ai marre de le sucer je le prends par les hanches et je le pose sur mon zob, que son frère suçait. Son cul est un peu gras (en fin de journée, hein…) et bien habitué à la bite de son père, donc la mienne pénètre très bien dans son cul, que je sens bien plein. Super, j’adore sentir le caca au bout de ma teub quand je nique un cul, surtout un mignon p’tit keum comme ça. Ethan crie de plaisir, il adore les bites dans son trou. Pendant ce temps, Carl et Manon se sont mis en 69, et ils se bouffent autant la bite et la chatte que leurs trous du cul. Ils sont totalement excités, je vois leurs langues lécher vigoureusement leurs organes. Carl bande bien dur, et sa sœur mouille beaucoup, il lui boit la cyprine direct, elle pisse, il avale tout et lui pisse aussi en bouche. Elle ne boit pas tout, elle fait un peu ressortir son zob pour s’asperger de sa pisse, qui coule sur ses seins plats, son corps, et arrose enfin sa chatte. Carl boit sa propre pisse qui coule sur sa sœur, puis, sans façons, la met sur le dos et la pénètre en se couchant sur elle. Et il la prend bien fort, elle aime être rudoyée un peu, donc il lui pilonne bien la chatte, et elle en redemande, cette salope !


Ethan aussi, il crie bien et je sens mon sexe en lui, quand je mets ma main sur son petit ventre. Il est comme empalé sur moi, je sens ses fesses taper sur mon pubis quand je monte et descends le gamin sur ma queue. Je le retire juste un moment pour mater ma bite pleine de sa merde. Il le voit et sourit aux anges quand je lui dis de nettoyer. Fou de caca, il plonge la bouche et déguste sa merde sur mon zob. Je lui roule une pelle et je lui dis que je veux plus de caca. Je m’allonge sur le dos, je l’accroupis au-dessus de moi et il me chie dessus. Ça tombe mou sur mes tétons, j’en ramasse et j’étale sur ma bite et mes couilles, et je tourne Ethan pour avoir son cul à hauteur de ma bouche. Il pousse un dernier étron, qui atterrit dans ma bouche. Onctueux caca mou que je mâche, que le petit partage avec moi en venant m’embrasser. On mange dans nos bouches, je plonge mes doigts dans son cul ouvert, et je récupère le reste de son caca. On lèche mes doigts, et je sens Manon qui m’enjambe pour venir se faire pénétrer sur ma queue. La merde qui la couvre ne la gêne pas, bien au contraire, et elle aime sentir que le caca de son frère la pénètre sur ma bite !


Je pose Ethan, et Carl me remplace dans son cul. Il prend son frère en levrette, et lui flanque de bons coups de bite. Le gamin couine de joie, son frère aussi, et moi je baise le vagin de Manon, salope à caca-bite comme ses frères et moi. Bonne chatte chaude et humide, la cyprine coule et se mélange au caca sur ma queue, et ça coule. L’odeur nous excite. Elle se relève, prend ma bite en bouche, puis vient poser sa chatte sur ma bouche. Je lui bouffe la moule crade, je prends des bouts de merde à la mouille de nana, je dévore sa moule jusqu’à ce qu’elle pisse encore, j’avale sa pisse, je lui en rends en lui roulant une pelle, et elle se met à quatre pattes. Je l’encule, faut bien changer de trou. Elle jouit rien qu’à sentir ma queue entrer en elle, sa mère m’avait prévenu : sa fille est une grosse anale. Je la baise donc au cul et son anus est bien serré, très bon. Ma queue ressort merdeuse, je la nettoie avec mes doigts, je les lèche, et je la reprends par le cul.


Je sens que je vais jouir, mais je n’ai pas encore enculé Carl, et je ne veux pas faire de jaloux, donc je vais derrière lui (qui baise toujours Ethan, qui a joui une deuxième fois mais qui continue à se faire niquer) et j’encule Carl bien fort. Le beau p’tit gars gémit bien fort, et je lui colle ma bite au fond, collant mes couilles à ses fesses de keum. On baise entre gars, donc Manon ne veut pas rester à mater, elle s’allonge devant Ethan, cuisses bien écartées et relevées, et le petit plonge la tête sur la fentine de sa sœur, pour la lui brouter. Il sait y faire, elle couine à sentir comment le petit mec de 4 ans lui bouffer le clito et se gave de sa cyprine. Elle est chaude, la gosse, elle coule comme une fontaine.

On se ramone comme ça, et puis je sens Carl tressauter quand il jouit à sec dans le cul de son frère. Moi, j’éjacule dans le fion de Carl, qui le donne à Ethan pour ne nettoyer, ce que le petit fait alors que Manon se finit en se mettant la main entière dans sa foune. On a tous joui comme des dingues. Pas de douche ce soir, on se couche comme ça, dans le lit où des traces de pisse et de merde se voient un peu partout. Tant mieux ! Ethan, très câlin, vient dans mes bras, Manon se met entre nous et Carl, et on s’endort comme ça.


Au milieu de la nuit, je suis réveillé par Ethan, qui me tire par le bras en me chuchotant : « Pierrot, j’ai envie de faire caca ». Je suis ensommeillé mais tellement salope que ce genre d’occasion ne se refuse pas, même avec la tête dans le coltard. Pas nécessaire d’emmener le petit aux toilettes et surtout ce serait dommage de laisser perdre le délice qui sort de son cul. Alors je le prends dans mes bras et je lui glisse à l’oreille :

- Fais dans ma bouche, et on partage, ok mon p’tit chéri ?

- Oh oui Pierrot !


J’aide le petit bonhomme à s’accroupir au-dessus de ma bouche et très vite son anus s’ouvre pour laisser passer un bel étron, bien moulé et qui tombe vite, d’un coup, dans ma bouche. Hummmmmm, toujours aussi bon ! Je croque dans le bon caca et Ethan vient prendre l’autre côté en bouche. On mange chacun de son côté jusqu’à ce que nos bouches se rejoignent pour un gros baiser merdeux. Evidemment, ça nous excite et du coup je plonge la tête du gosse sur ma teub. Il me la suce et si bien que je lui balance vite mon foutre au fond de sa gorge. Il avale tout, je le masturbe en même temps, il jouit aussi, et se recouche près de moi. Il se rendort très vite. Les deux autres n’ont pas bougé. Je me rendors aussi.


Au matin, après une bonne nuit, on est réveillés par les parents qui, nus, viennent voir dans la chambre comment on a passé la nuit. Les traces et les odeurs parlent pour nous. Et, après une bonne nuit, chacun a de grosses envies, bien sûr. Le papa bande avec sa grosse queue et elle me fait autant envie que la belle chatte poilue de la maman. Alors je lui bouffe la moule pendant que le père me langue le cul (qu’il trouve très bon, surtout quand je lui lâche mes pets qu’il savoure en expert). Puis, il m’encule alors que je fous ma queue dans le con de sa femme. Près de nous sur le lit, Carl encule Ethan qui lèche l’abricot de Manon. Puis, après un bon ramonage, on change et le père vient baiser sa fille. Magnifique de voir sa grosse teub dans la petite fente, et d’entendre comment elle jouit avec ce chibre qui la démonte. La maman se fait mettre par Carl, et je baise encore Ethan, très accro à ma bite. Le père jouit dans la bouche de sa fille, moi dans le cul d’Ethan, que sa maman vient lécher pour goûter mon sperme. Carl jouit encore à sec, dans la chatte de sa maman, Ethan jouit en caressant son zizi, et Manon en se faisant jouir avec les doigts dans sa chattoune.

Après ça, on peut aller se laver, prendre le petit-déjeuner, et on part se balader puis à la plage. Le soir, de retour à la maison, on peut libérer les envies qu’on a retenues pendant la journée, à l’extérieur. Evidemment, étant là pour m’occuper des enfants, ils viennent tous les trois sur moi dès qu’on a viré nos fringues. Je bande, après une journée sans sexe depuis ce matin. Les gamins sont autant excités que moi, tellement ils sont habitués à jouir du matin au soir. Et comment résister au plaisir d’entendre une gamine de 8 ans dire, de sa jeune voix et avec son air innocent :

- J’ai trop envie que tu me mettes ta bite dans mon minou, pendant que mon frère m’encule…


Impossible de dire non ! Ma queue est dure, les yeux de la gosse s’allument, ceux de son grand frère aussi. Ethan, lui, vient me rouler des pelles en faisant couler sa bave de petit garçon dans ma bouche. J’adore !

- Allez, venez me la sucer avant qu’on baise, je dis à Manon et Carl


Ils ne se font pas prier, le frère et la sœur, pour venir me pomper, et ils savent le faire, on voit que leur papa a bien fait son boulot d’éducation à la bite. Ethan, lui, a besoin de faire pipi donc il entre son zizi dans ma bouche et je bois sa pisse pendant que son frère et sa sœur me sucent bite et couilles. Putain, comme c’est bon un pipi de petit comme ça ! Et puis, après, je mets ma queue dans la minette de Manon, et j’adore vraiment sa petite chatte douce, lisse et coulante de mouille. Je me couche sur elle et je la baise bien fort, j’ai ma queue qui tape fort dans son vagin. Carl vient derrière moi et m’encule direct, j’adore comment il est bien dur de sa tige, et comment il me file de bons coups de bassin. Le petit Ethan vient poser son cul sur la bouche de sa sœur et elle lui bouffe l’anus, ce qui le fait glousser.


Quand j’en ai un peu marre, même si c’est bon, je prends Carl quand il enfile sa sœur, et je le ramone comme il m’a ramoné. Son cul est sale, j’adore le sentir sur ma bite. Ethan me la nettoie quand je me retire, et puis je baise aussi Ethan, comme ça pas de jaloux. Carl jouit dans le con de sa frangine, qui jouit aussi, et puis moi je jouis dans le cul d’Ethan, et je bouffe mon sperme en lui broutant la chatte ensuite. Il a joui aussi, le petit, en astiquant sa quique avec ses doigts.


Toutes les vacances sont ainsi, on jouit de tous les côtés et dans toutes les pratiques. Le père adore mon cul, il me baise tous les jours, j’adore sa bite dans mon cul ! Je baise sa femme et ses gosses, on nique aussi à six dans des belles partouzes, et je jouis de voir d’autres gens faire l’inceste, eux aussi. Et puis, les vacances de rêve se terminent et je reviens à la maison. Je retrouvais mes parents et Papy, et nos retrouvailles furent très salopes. Papy était dans les champs, et mes parents ne bossaient pas ce jour-là. La famille des vacances me déposa devant la ferme puis fila pour rentrer chez elle. Quand je rentrais dans la maison, j’avais la trique à la pensée de retrouver mes parents salopes, et aussi parce que je n’avais pas baisé de la journée, du fait de la route (même si on s’est branlés tous les quatre à l’arrière de la bagnole, avec les enfants, mais on n’a pu le faire qu’une fois, et Carl a bu mon jus). Quand je rentre dans le salon, Maman est couchée à même le sol et Papa la baise avec toute sa puissance de mec. Trop canons, mes parents ! Ils m’accueillent avec des gémissements joyaux, et je me fous à poil pour les rejoindre. Papa me laisse la place dans la chatte de Maman, déjà gluante de son foutre (ils ont déjà fait une séance de baise peu avant) et ma queue patauge dans le sperme de Papa. Je baise ma mère comme la chienne qu’elle est et que j’aime, et on se roule des patins. Papa me fout sa queue au cul et m’encule bien fort, il me ramone comme je ramone Maman. On est si chauds que Maman me dit de la baiser par le cul, ce que je fais. Papa me fait nettoyer sa bite, merdeuse car j’ai le cul plein, puis il colle sa bouche à mon cul et je lui débourre mon caca tout chaud. Il grogne en le bouffant, ça lui avait manqué, mon caca qui sort du cul. Il m’embrasse pour qu’on partage et je me régale de ma merde que j’adore.


Je jouis dans le cul de ma mère (qui s’est entrée la main dans sa chatte, aussi), Papa reprend mon cul et me le sperme, et on se lèche partout, à trois, pour se nettoyer. Puis, je raconte mes vacances, ça nous remet en état et là j’encule Papa qui déchire la chatte de ma mère avec sa grosse teub de daron. On re-jouit, Papy rentre et je suis content de le voir, d’ailleurs il sort sa bite dès qu’il me voit et je le pompe au jus, j’adore son foutre. Après ça, on dîne et on rebaise toute la nuit, dans la joie de nous retrouver. La chatte de Maman ou la bite de Papa m’avaient trop manqué, sans parler de Papy, qui me fila son cul plusieurs fois dans la nuit. Très fier de ma virilité, mon grand-père, qui adorait me sentir très dur en lui. Alors que Maman et Papy dormaient enlacés (il l’avait bien baisée aussi), je finis la nuit dans les bras de Papa, après une belle séance scato comme on l’aimait tous les deux, parce que lui ne m’avait pas encore offert son caca, dont je suis dingue. Maman dormait déjà dans les bras de Papy, qui l’avait bien niquée, et Papa me demandait ce que je voulais pour terminer de prendre mon pied. Il savait bien ce que j’aime mais il voulait que je le dise car entendre son fils de 13 ans dire des saloperies, c’est une grosse partie du plaisir. Alors j’ai dit :

- Je voudrais que tu chies dans ton slip, Papa, et que tu me le fasses bouffer.


Pas besoin d’en dire plus ! Papa commença à pousser dans son slip (déjà bien crade et odorant) et je l’accompagnais en posant ma main sous son cul, pour bien sentir la masse de caca couler dans le slibard. Rien que ça me filait la trique. Papa termina, puis enleva son slip et le retourna avec précautions (faut rien perdre) afin de me présenter l’intérieur. Il vit mon sourire et mes yeux brillants, et il écrasa son slip sur ma gueule. Sa merde s’étala bien, j’ouvris grand la bouche pour en prendre le max, mais il y en avait beaucoup et ça s’étala sur mon menton, mon nez, mes joues, ça tomba sur mon torse. Papa étalait en pressant son slip, et moi je ma gavais de sa merde délicieuse, qui m’avait trop manqué. Je retrouvais ma gourmandise crade, je la mangeais, Papa me roulait des pelles et bouffait aussi son slip, se gavant aussi du tissu sale, mangeant son caca avec moi, notre pratique préférée depuis que je suis tout petit. Et puis il m’encula, alors qu’on bouffait les derniers morceaux de son boudin, et on se roula des pelles merdeuses vu que j’étais sur le dos. On finit en se nettoyant à la langue, avec des baisers d’amoureux bien incestueux.

- Tu as toujours adoré me voir débourrer dans mon slip, et le faire toi aussi. Quand tu étais petit, tu le faisais tout le temps et tu venais me le montrer, bien fier d’avoir fait caca dans ton slip… sourit mon père en m’embrassant et me caressant.

- Et qui me l’a appris ? je demande, en rigolant

- Je ne sais plus !


On rit tous les deux, on a toujours été hyper complices. On se comprend, entre porteurs de bites ! Et puis je dormis dans ses bras parce que c’est mon papa à moi, et que j’ai toujours aimé nos câlins, et lui aussi. Je suis son amoureux, comme il dit, et j’aime cette idée que, côtés mecs, je suis amoureux de mon papa. Ça c’est de l’inceste à fond ! Et Maman, c’est comme ma copine, je suis aussi son petit amant, avec qui elle baise si souvent. Moi, ça me fait bander de me dire que je suis un peu en couple avec Papa d’un côté et aussi un peu avec Maman de l’autre côté ! C’est pervers, tout ce qu’on aime !


Je n’oubliais pas ma maman chérie non plus. J’adorais les câlins avec elle, j’étais encore un peu son bébé, pour elle, mais un bébé aussi pervers qu’elle, ce qui l’excitait autant que moi. Le lendemain matin de mon retour, en me levant, je trouvais Maman, juste vêtue d’un t-shirt court qui bombait bien sous la pression de ses magnifiques nichons, et d’une petite culotte assez fine et transparente qui révélait vachement sa toison. De quoi filer la trique à un ado en rut, parce que je rappelle qu’elle n’avait alors que 30 ans, ma maman et que c’était la plus belle de toutes les putes du monde. Papa et Papy bossaient dans les champs, donc j’étais le seul mec de la maison. Elle me sourit quand j’arrive, et moi, déjà avec la teub en train de chauffer dans mon boxer, je passe derrière elle et je me colle dans son dos. Une main sous son t-shirt pour aller choper un sein (hum, pas de soutif… salope !!!), l’autre dans sa culotte pour vérifier qu’elle mouille de la chatte (c’est le cas) et je l’embrasse dans le cou en lui murmurant

- Hum, tu t’habilles toujours pour m’exciter, hein Maman ?

- Oh oui, mon chéri, j’adore te faire bander, tu me fais mouiller avec ta bonne queue…

- Tu es trop belle, Maman, j’ai trop envie de te niquer à donf….

- Oh oui mon Pierrot, moi aussi j’ai envie, mets-moi ta bonne queue, je veux jouir avec mon bébé !!


Je me rappelle, en entendant ça, ce qu’elle m’a raconté, qu’elle se branlait la chatte avec mon petit pied de bébé pendant qu’elle me donnait le sein. Là, je suis un ado avec une bonne queue raide, je vire le boxer et sa culotte, je la colle dos au mur, elle m’enlace en me traitant d’obsédé (ben oui, et ?) et je l’emplafonne direct. Pas de câlin ni de préliminaire, là, on a trop besoin de jouir, elle est trop excitante avec son t-shirt trop court, sa culotte sexy au sol, ses cuisses écartées et sa chatte un peu poilue ! Moi j’suis trop bien dedans, j’aime comment elle est trempée de la moule, comment ma queue est aspirée dedans, comment elle gueule quand je la ramone, comment je gueule aussi. Je me retire juste à temps pour éjaculer sur ses poils pubiens, j’adore la rendre gluante, elle se passe les doigts dedans comme une folle, elle se les fout dans la chatte, elle se branle avec mon sperme et elle jouit comme ça, avant de me nettoyer le zob avec sa langue.

- Toujours aussi dur, mon chéri, tu m’as bien fait jouir. Viens, on va prendre le petit-déjeuner. Et si tu as encore envie après, tu pourras m’enculer.

- Tu as fait caca, Maman, déjà ?

- Pas encore, mon ange, je le gardais pour toi puisque je sais que tu aimes ça, comme ton papa.

- Oh oui, chouette, on le refait après, alors !


Et vingt minutes plus tard, j’enculais ma mère dans sa merde et elle me débourrait ensuite sur la bite, ce qui me permit de me branler au caca puis de me lécher les doigts pour tout déguster. Un petit-déjeuner complet ! Maman avait encore joui, et elle alla ensuite se laver puis rejoindre deux clientes pour l’après-midi, un couple de lesbiennes qui aimait se payer un extra de temps à autre. Elle revint après un après-midi de gouinage, qu’elle nous raconta au dîner, et ça nous excita tellement, que Papa, Papy et moi on sortit nos bites et qu’on la sauta dans la cuisine, Papy dans son cul, Papa dans sa chatte et moi à me faire sucer et à éjaculer dans sa bouche. C’est comme ça qu’elle est heureuse, Maman, avec toutes les bites de ses mecs en elle. Après, je dormis avec Papy, et il m’encula bien avant de dormir. Dans la chambre à côté, on entendait mes parents faire l’amour, et ça nous excitait, Papy et moi.

Moi aussi, le surlendemain de mon retour, je repris le boulot, avec joie. Mon carnet de pute s’était bien rempli pendant mes vacances, et j’avais plein de clients et clientes à aller satisfaire. Inutile de dire mon plaisir à le faire !


Le premier client fut un homme de 65 ans, qui adorait mon cul et le réservait souvent. Puis j’enchainais, l’après-midi, par un couple de lesbiennes qui aimait de temps à autre sentir une bite dans leurs chattes plutôt que leurs sextoys habituels, et qui fantasmaient sur les p’tits ados comme moi. Et moi je bandais de les voir se gouiner pendant que je les sautais. Le lendemain, j’avais un plan zoo avec deux chiens appartenant à un couple de mecs, qui adoraient me voir me faire saillir par leurs vigoureux dogues allemands. Et je l’adorais aussi ! J’en suçais un pendant que l’autre me montait, puis on changeait jusqu’à ce qu’ils jouissent dans ma bouche et mon cul. J’ai récupéré avec ma main le foutre du chien en moi et je l’ai dégusté comme j’avais avalé celui éjaculé dans ma bouche. Les deux mecs se paluchaient à fond, ils m’ont arrosé la gueule de foutre ensuite, trop bien !


Puis ce fut un père aimant voir son fils me sauter et que je le saute (garçon de mon âge, bien foutu et très sexe), le papa se branlant en nous matant. Pas une grosse bite, le mec, mais hyper salope et pervers, tout ce que j’aime. Il nous pissa dessus pendant qu’on baisait par terre, comme des chiens. Et après, dans une autre famille, j’enfilais une petite fille, pour son plus grand plaisir et le mien, sa petite chatte lisse étant délicieuse à lécher et bourrer. Ses parents baisaient à côté en nous matant. J’eus un plan bien pisso-scato, deux jours plus tard, avec trois mecs qui vivaient en trouple et ne se lavaient que pour les grandes occasions. Ça schlinguait le fennec dans leur maison, j’adorais ! Ils n’avaient pas changé de slips depuis des semaines, tous les trois, et rien que ça me fit presque jouir quand ils me les firent lécher. Puis ils me chièrent et me pissèrent tous dessus, j’en étalais, je me branlais par terre dans la pisse, je bouffais leurs merdes par poignées. Je joignis mon caca aussi, ils le bouffèrent à trois puis on s’encula tous dans la merde et la pisse et on jouit comme des malades. Franchement, être payé pour faire ça, c’est trop génial, c’est moi qui devrais les payer tant je prends mon panard !


Ce serait trop long de tout détailler, pour les semaines et mois qui suivirent. La suite de la vie fut de même nature. Je continuais à me prostituer, dans le plus grand bonheur, et parfois avec mes parents. Bien sûr, notre grange à baise ne cessa pas de servir. On y avait investi, fallait rentabiliser ! Mes parents organisèrent beaucoup de soirées, notamment des réveillons de nouvel an bien sexes. Je participais à toutes les partouzes, et il y en avait environ une tous les deux ou trois mois. Là, je me donnais à fond, heureux de satisfaire nos clients, mais surtout fou d’envie de jouir toute la nuit avec plein de partenaires et de pratiques. Me faire saillir par un de nos chiens pendant que des mecs me pissaient et me chiaient dessus, franchement, c’était mon kif préféré.


L’année suivante, j’avais 14 ans, et pour mes vacances d’été, j’eus un job. Bon, je bossais déjà, mais il y eut une petite variante. Bruno, un des clients de mes parents et moi, fringant quinquagénaire très salope, avait un hôtel discret. Vous voyez ce que je veux dire par discret : un hôtel dédié au sexe. Inutile de s’y pointer comme ça à l’improviste pour avoir une piaule, c’est admission sur recommandation. Il me proposa d’y être serveur pendant un mois d’été, et j’acceptais avec joie car ça allait me changer un peu des habitudes, j’allais bien gagner (un salaire fixe déjà élevé, vu les prestations à faire, et de beaux pourboires en perspective) et j’allais baiser à fond, bref trois bonnes raisons. Papa me conduisit donc le 1er juillet, et je commençais à travailler dans cet hôtel où il valait mieux que l’Inspection du travail ne se pointe pas. Je fis un peu tout : préposé au nettoyage de la piscine, serveur à table pour le restaurant de l’hôtel, tenir l’accueil… Mon truc préféré fut justement d’être serveur. Le matin, je portais des petits-déjeuners en chambre, avec un chariot portant des plateaux. Et bien sûr, ça voulait dire que si des clients avaient envie de fantaisie, le personnel (moi) était à disposition !


Ça arriva plusieurs fois. Un matin, c’était un couple (la petite quarantaine) qui était en train de baiser quand je débarquais avec le plateau. Sans façons, ils me dirent de me joindre à eux, et je baisais d’abord Madame pendant que Monsieur matait, puis il me sodomisa bien fort (truc que sa femme n’aimait pas, donc il se rattrapa avec moi) pendant que sa femme se doigtait la chattoune, et enfin je le baisais pendant que sa femme le pompait. On juta tous les deux dans la bouche de celle-ci, je m’étais retiré du mec juste à temps. Une autre fois, on m’appela alors que j’étais à la réception. Une chambre avait un problème de toilettes dont la chasse d’eau ne fonctionnait plus. Juste de quoi m’exciter, alors j’y suis allé direct.

- Tu es le plombier ? demanda le client (un beau mec d’environ 35 ans, juste en boxer moulant)

- Non, je suis le chiotte de remplacement, dis-je en ouvrant la bouche bien grand


Le gars aima ma réponse, et l’instant d’après j’étais allongé sur le carrelage de la salle de bains, le cul du gars sur ma bouche, et je dégustais un énorme et goûteux caca, avant de nettoyer à la langue le cul du gars. Quand je lui demandais après s’il voulait qu’on appelle un vrai plombier, il refusa en me disant qu’il préférait m’appeler quand il aurait envie de pisser et chier, et je répondis que j’étais là pour ça quand il voulait. A part ça, on avait aussi bien joui puisqu’il m’avait enculé juste après mon repas de sa merde. Et sa bite était grosse et dure, comme celle de mon papa !

Pendant mon séjour, je baisais aussi deux sœurs jumelles, aussi salopes que leurs parents qui mataient à poil comment leurs filles se faisaient baiser (par devant et par derrière pour les deux, chacune son tour). Je me fis prendre bien fort (j’adore !) par un père qui voulait montrer à son fils de 15 ans (un peu nigaud encore) comment on baisait un gars, et donc ensuite le fils se fit la bite dans ma bouche et mon cul (pas trop mal, d’ailleurs, il apprenait vite, et je parie qu’il continua avec son père ensuite, enfin je leur souhaite). Un couple de femmes me demanda pour une nuit entière, et je passais d’une chatte à l’autre pour les faire jouir. Un couple d’hommes adora me pisser et me chier dessus, et je l’adorais tout autant, évidemment. Et le plus fort, ce fut une famille de six, dont quatre enfants (trois garçons et une fille) âgés de 8 à 16 ans. La fille, 10 ans, était la maîtresse de ses frères qui se vidaient les couilles (pour les deux plus grands, 16 et 13 ans) dans sa chatte, son cul ou sa bouche, et elle en redemandait, elle kiffait à mort.

Son père la baisait aussi, sa mère se gouinait avec elle et se donnait à ses fils, parce qu’au vu de leurs besoins, la gamine ne suffisait pas. Le père se tapait le plus jeune de ses fils, celui de 8 ans, aussi, mais pas les deux autres, qui n’aimaient pas la bite. Moi, livré à cette famille salope (mais pas autant que la mienne, hé hé), je vidais les couilles du papa, je baisais la fille et sa mère, et je suçais aussi les deux grands ados, qui ne refusaient pas qu’un mec les pompe. Le père me baisa un long moment, il se retenait très longtemps, il était endurant, et il voulait montrer sa puissance à ses fils. La fille me suçait pendant que le père me limait, puis la mère la remplaça et elle me vida bien les boules aussi.


Enfin, voilà, j’eus un magnifique mois de juillet, empli de séances de baise, et je revins chez moi avec plein de trucs à raconter et un joli paquet de fric. Les pourboires des clients avaient été sympas. Août se passa dans les Antilles avec mes parents, on pouvait se payer de beaux voyages avec ce qu’on gagnait. Et sur place, mes parents et moi, on se fit encore un peu de pognon avec des clients qui nous avaient réservés. Ça remboursa le voyage ! Un des clients, d’ailleurs, nous avait loués à trois, parce qu’il voulait mater des parents baiser avec leur fils, et on ne se fit pas prier pour montrer tout ce qu’on savait faire. Me voir avaler le sperme de mon père fit jouir le gars, encore plus que quand j’avais enculé ma mère pendant que mon papa me baisait, ou qu’on l’avait prise à deux, lui dans son cul, moi dans sa chatte (que j’avais bien léchée juste avant, et elle en avait déjà joui rien que par ma langue). Bref, on s’amusa bien.


Le meilleur souvenir fut un petit garçon, adorable et salope au-delà du possible (enfin, pour moi ce fut simplement normal d’être ainsi, c’était ma vie aussi). Parmi mes fonctions dans l’hôtel, je gardais aussi les enfants, parfois. Et un petit mec de 4 ans s’était attaché à moi. Un mignon gamin, châtain aux yeux noisette, belle bouille, joli cul rebondi, bonne bouche de suceur, bien éduqué à la bite par son papa qui m’avait dit, en me le confiant pour l’après-midi : « tu vas voir, Pierrot, il est totalement nympho, un cinglé de cul, pire que moi…. ». Prometteur ! Je n’avais que lui et un bébé à garder, à ce moment-là, et le bébé était une petite fille de 3 mois qui ne fit que dormir, donc j’étais peinard avec Loïc, le petit garçon salope. Au bout de 2 minutes, il me disait déjà, en tendant le doigt vers mon bassin :

- Tu me montres ton zizi, Pierrot ?

- Comment on demande ?

- S’il te plait

- Ok, regarde

- Ouais, il est gros ton zizi ! Regarde le mien, il est petit mais il est tout dur


Moi, montrer ma queue à des gosses, aucun souci, vu le nombre de gamins avec qui j’ai baisé. Et puis entre mecs, on se montre les bites, c’est normal. Celle de Loïc était petite, oui, normal il a 4 ans, mais il bandait bien raide et il se l’astiquait déjà en me matant la teub. Tant qu’à faire, je virais bermuda et slip, pas trop pratiques quand ils sont sur mes chevilles. Le gosse vira aussi ses fringues et vint grimper sur mes genoux. On était dans la garderie de l’hôtel, parmi les peluches et jouets, j’étais assis sur un fauteuil bas, genre pour les enfants. En une seconde, le petit était sur mes genoux et mettait sa langue dans ma bouche. Je l’ai bien galoché, je bandais dur à mon tour. Je caressais son ventre tout doux, je sentais son cul sur mes genoux, et il avait un tel regard de pute en rut, que ça m’excitait à fond.

- Tu sais comment ça s’appelle quand les zizis sont durs ? je lui ai dit

- Ben oui, on dit « bander ». Mon papa m’a appris comment on dit

- Ouais, c’est ça. Il t’a appris quoi d’autre ?

- Ça c’est des couilles, là, les boules sous le zizi. Et pis on peut dire aussi bite, zob, teub, queue…

- Exact. Elle est grosse, la bite de ton père ?

- Oui, très grosse ! Plus que ton zizi

- Normal, j’ai 14 ans, j’ai pas fini de grandir du zob. Et tu fais quoi, avec ton papa ?


Je le savais, parce que le gamin faisait les trucs que je faisais aussi depuis ma naissance ou presque, mais ça m’excitait de l’entendre me le dire avec sa jolie voix. Je ne fus pas déçu.

- Je suce sa queue, je bois son lait et son pipi, on fait du caca à deux, il m’encule souvent, il me suce aussi mon zizi, on regarde des films de sexe, je fais aussi du sexe avec le chien… et puis avec les amis de mon papa

- Et tu aimes ?

- Oh oui, j’aime beaucoup, c’est trop bien !

- Et avec moi, tu veux faire quoi Loïc ?

- Ben, tout ça…. Je veux beaucoup ta bite dans mon cul…


Et tout ça dit avec la voix la plus douce mais le regard de chienne en chaleur. Comme moi, alors sans attendre, je prends le gosse sous les aisselles et je le pose sur ma queue. Son trou est tellement ouvert que ça rentre tout de suite, et je l’empale sans trainer, ma bite entière dans sa chatte de salope ! Il couine, il bave de plaisir, je lèche sa bave, je lui file la mienne, on se galoche, et je l’encule à fond. Il encaisse, il bande, il triture son zob de gamin, et il jouit très vite, mais je reste en lui, je le baise encore et encore, il jouit encore, il reste sur ma bite, et quand je me retire, je lui jute dans la bouche. Ma bite est merdeuse, il avait le cul sale, et ça l’amuse.

- Y a mon caca sur ton zizi ! dit-il en se marrant

- Nettoie-le, puisque tu aimes

- Oh oui, j’adore le caca ! Je mange souvent le mien, avec mon papa


Un père aussi porc que le mien, donc un papa génial. Le petit lèche et bouffe, ma queue est propre, mais il m’a donné faim.

- On fait du caca à deux ? je lui dis

- Oh oui, je veux goûter ton caca aussi !

- Alors couche-toi par terre sur le dos, je veux te chier dessus et te voir couvert de merde

- Faut pas dire merde, c’est un gros mot. On dit caca, c’est plus joli

- Alors bouffe bien mon caca, Loïc, j’en ai plein à te chier…


Et avant qu’il ne puisse dire que « chier » n’est pas un beau mot, accroupi au-dessus de lui, je lui démoule un cake super long et très odorant, qui tombe direct dans sa petite bouche. Je vois sa tronche d’ange se couvrir de merde, car il ne peut pas tout gober à mesure que ça sort, et ça tombe bien sur son menton, son nez, ses joues. Je le vois bander avec son tout petit zizi, j’entends ses gémissements de bonheur, je le vois manger, mâcher, se régaler de ma merde, et il est si beau ainsi que je prends une bonne poignée de mon caca marron sur sa bouche (ça dégage un peu sa tronche) et je l’étale sur son bidon, ses couilles, sa bite, que je suce pendant qu’il bouffe encore. Je fous de la merde sur sa tige, je l’étale avec les doigts, je lui rebouffe sa bite en bouffant aussi mon caca, du coup (j’en ai une grande habitude, je le mange depuis tout petit et ça me rend fou). Il gémit, je bande à mort, je lui roule des pelles. Il y a tant de merde qu’il peine à tout finir, donc je prends le reste, il respire mieux, et j’étale aussi sur moi. Me tartiner de mon caca : un de mes grands plaisirs d’enfant, et je continue parfois encore un peu, surtout avec mon père. Je prends Loïc dans les bras, on se caresse, on étale encore la bonne merde sur nous, on s’embrasse, puis on se nettoie à la langue jusqu’à ce que le caca ait totalement disparu. Evidemment, on est gluants de salives mêlées, on pue, nos haleines sont infectes, donc on prend notre pied ! Je me branle dans sa bouche, il avale tout, je lui branle aussi sa quéquette pour le faire jouir. Puis, je l’essuie avec son slip de môme, il le renfile comme si de rien n’était, afin de bien montrer plus tard à son papa tout ce qu’il a fait avec moi. Le bébé ne s’est pas réveillé, cool.


Je joue un peu avec Loïc, à divers jeux banals, puis l’envie le reprend et moi aussi, donc il me tète le zob, je lui fouille le cul avec deux doigts (que je lèche, ils ressortent bien merdeux, vu que je n’ai pas torché le gosse tout à l’heure : oubli réparé, par les doigts puis la langue), et je le rebaise encore. Son cul m’aspire encore bien la queue, je le fourre rapidement (l’heure tourne), et je jouis dans sa chatte après lui avoir donné deux orgasmes coup sur coup. Il remet son slip, le sperme coule, on s’en fout, et son papa aura toutes les preuves que je me suis bien occupé de lui.

A l’issue de cet après-midi, le gosse est si heureux que, plusieurs fois dans le mois, son père me le confiera encore, et qu’on baisera comme des fous, à grand renfort de pipi-caca. Et ben, ce gamin, aujourd’hui bien plus âgé, je le revois encore comme pote et on s’éclate au pieu de façon très crade, aussi souvent qu’on peut ! Son cul est toujours aussi ouvert et il aspire toujours autant ma queue comme une ventouse.


Au retour de ce mois de boulot-plaisir, la vie reprit, avec la scolarisation à domicile et nos activités de putes bien payées. Je n’eus donc pas de temps mort dans ma carrière, je gagnais un fric fou, comme mes parents, et on vivait super bien. Seul problème, on ne le dépensait pas beaucoup, car il ne fallait pas éveiller les soupçons du fisc avec un train de vie trop élevé. Officiellement, on vivait des revenus de la ferme, qui était finalement une couverture. Elle marchait bien, Papy gérait ça en expert, mais ce n’était quand même pas un champ de pétrole, donc on ne pouvait pas exhiber un train de vie de riche (bien qu’on le soit devenu) en gagnant officiellement des salaires d’agriculteur !


Alors, on épargnait, on investissait en douce via le réseau de nos clients, dans des placements à l’étranger, des trucs comme ça, que Papa gérait pour moi. Confiance totale en lui, on a un amour immense, avec mes parents. Une fois, on eut un contrôle fiscal, mais Maman calma l’inspecteur des finances publiques en enlevant lentement son jean et sa culotte devant lui, et il ne résista pas à sa beauté. Il nous fit un contrôle aux petits oignons, qui ne coûta que quelques baises à ma mère. Et comme, en plus, il était bien monté et se servait bien de sa teub, elle n’eut pas à se plaindre de se dévouer ainsi. Et on fut tranquilles pour des années.


Devenu jeune adulte, mes parents ne m’accompagnèrent plus chez les clients ; je passais le permis et eus ma voiture. Ma carrière se poursuivit tout aussi facilement. Ma clientèle évolua encore. Celles et ceux qui n’aimaient que les ados ne me firent plus venir, mais je gagnais des nanas et des mecs amateurs de beaux gosses de 18-20 ans. La MILF, le mec mûr qui peinait à trouver des beaux gars gratuitement ou le couple libertin devinrent des clients-types assez récurrents. Moi, ça m’allait très bien, obsédé, affamé et omnivore sexuel comme j’étais. J’aimais tout et prenais mon pied avec tout type de client(e) : jeune, âgé(e), mec, femme, gamin même encore parfois. Etant ado et beau gosse, j’avais plein de clients homos-pédos (bien plus que de nanas ou de couples), excités par mon âge, mes talents et ma belle petite gueule ou mon corps mince et bien foutu. Je me tapais aussi pas mal de femmes mûres, excitées de se taper un ado à la queue bien dure et qui n’était pas gêné par les nibards qui tombent, les chattes fripées ou d’aller chercher les anus dans les replis des culs larges.

Au contraire, moi, ces mamies vicieuses qui n’avaient pas raccroché la libido au vestiaire, ça m’excitait autant que les belles petites poupées de 14-20 ans que je sautais dans les touzes ou chez elles à la demande de leurs parents. Et si elles étaient un peu crades, c’était encore mieux ! Alors je niquais de la meuf comme du keum (ou eux me niquaient), de tous âges et tous styles. Je dépucelais des filles ou jeunes mecs, parfois complexés ou trop timides pour nouer des amours et dont les parents organisaient la première fois. Certaines fois, c’étaient des gamins déjà très sexualisés, et à qui les parents (incestueux) faisaient cadeau d’un jeune homme bien membré et très salope, pour quelques moments de sexe. Y en a à qui on offre un téléphone ou de l’argent, et bien là, on m’offrait, moi, avec ma bite et mon cul ! J’ai été cadeau d’anniversaire pour pas mal de jeunes ou de femmes mariées (offert par le mari) ou dans des couples d’hommes, aussi, quand un des époux m’offrait à l’autre (en participant souvent aussi). Y avait même des couples qui louaient mes parents en même temps, Madame offrant ma mère à son mari, et Monsieur offrant mon papa à son épouse. Avec mes clients et clientes, je jouissais plusieurs fois par jour, ce qui arrangeait bien les besoins de ma libido en folie. J’étais doué et motivé, donc je satisfaisais les clients, et mes parents étaient très fiers de moi.


Le soir, de retour à la maison, on se racontait nos passes, avec mes parents, qui bossaient aussi, toujours bien demandés par les clients, autant pour leur expérience que parce qu’ils restaient en super forme, qu’ils adoraient leur métier et qu’ils étaient super beaux, mes parents chéris, et extrêmement bandants, tous les deux. Moi, en tous cas, ils me faisaient bander à mort, et baiser le soir avec eux était un plaisir inouï, dont je n’étais jamais rassasié, et eux non plus. Coller ma bouche à la chatte de Maman, sentir couler sa cyprine ou sa pisse, la fourrer par devant ou derrière, malaxer ses nibards, la sauter en tous sens et jouir avec elle, quel pied ! Sucer Papa, chier avec lui, le ramoner ou le sentir baiser mon cul, bouffer nos spermes ensemble, quel pied ! Idem avec Papy, qui restait gros queutard aussi et nous baisait tous, ou se donnait à Papa et moi, quel pied encore ! Bien fier de son petit-fils, mon Papy, qui réclamait souvent ma queue dans son cul de mâle, de chef de la famille la plus perverse et heureuse au monde.


Parfois, je bossais avec mes parents, car il y avait des clients pour mater une famille étaler son inceste sous leurs yeux. Des gens nous payaient cher pour voir comment je baisais ma mère pendant que mon père m’enculait, ou comment je suçais mon papa avant de le baiser ou comment on niquait Maman à deux en même temps. Notre summum, c’était de lui faire une double vaginale ou double sodo, ce qu’elle adorait autant que Papa et moi on bandait de sentir la queue de l’autre contre la sienne dans le trou de Maman ! Pour ça, on prenait cher, mais les clients payaient sans rechigner et on eut beaucoup de demandes pour ça, l’inceste bisexuel excitant énormément les membres du réseau de pervers qui nous faisait bosser.


Je me diversifiais aussi un peu, ajoutant le jeu de rôle à ma panoplie sexuelle. Je me pliais à des tas de scénarii imaginés par les clients et clientes. Je fus ainsi le fils ado d’un père incestueux ou d’une mère incestueuse, quand ce n’était pas un couple qui me demandait de les appeler Papa et Maman. Je fus souvent l’élève de clients voulant jouer les profs portés sur les jeunes. Je fus le frère de jeunes mecs rêvant d’inceste fraternel, mais aussi un livreur de pizzas (banal, hein), un barman, un jeune soldat, un pompier ou encore le jeune vendeur de divers magasins. Par exemple, quand j’avais 15 ans, je fus le « stagiaire » d’un propriétaire de magasin de fringues, et il baisa avec moi, un soir, dans son magasin (fermé, évidemment) pour mieux réaliser son fantasme. Selon le scénario prévu, il me surprit à voler dans le tiroir-caisse, et monnaya son silence par une pipe et mon cul à bourrer. Une autre fois, je dus, avec ce même gars, jouer les clients, j’arrivais au magasin, il me dragua et je dus jouer les ados rougissants qui ont envie mais n’osent pas, ce qui excita beaucoup mon client. Et je pourrais donner beaucoup d’autres exemples de ce qu’on me demanda de jouer.

Bref, la vie se poursuivit ainsi, dans une forme de routine sexuelle mais tellement bandante et jamais lassante.

Jamais je n’ai abandonné ce métier, jamais je n’ai perdu cette envie, jamais je n’ai cessé de prendre mon pied dans ce travail et en famille. Aujourd’hui, mon grand-père n’est plus, mes parents ont la cinquantaine. Ils ont arrêté la prostitution, trop âgés pour attirer encore des clients, mais ils continuent à bosser, car ils ont beaucoup développé la grange, pour des soirées salopes qui s’organisent plus régulièrement. Ils louent aussi nos animaux, donc ça fait des revenus corrects. Et bien sûr, mes parents continuent à baiser énormément, entre eux et avec leurs amis, souvent anciens clients. Et avec moi, bien sûr, mais pas seulement, car il y a aussi leurs petits-enfants. J’ai deux garçons et une fille, conçus avec Manon. Et ouais, je me suis mis en couple avec elle, la gamine dont j’étais le baby-sitter, avec son frère, l’été de mes 13 ans. On avait tellement sympathisé, tous les trois, que j’avais gardé contact avec eux après les vacances de salope qu’on avait passées. On s’est revus souvent, Carl et elle étaient devenus des amis, on baisait dès qu’on se voyait, bien sûr, et sans tabous, comme on aimait, dans un déluge de merde, de pisse, de clebs, d’inceste et tout le reste. Et en grandissant, elle est devenue de plus en plus belle et chienne, et on est sortis ensemble quand elle avait 14 ans. Et notre couple a bien fonctionné, donc elle partage ma vie puisqu’elle partage aussi mes principes. Je suis très proche de mes deux beaux-frères, amants réguliers (notamment Ethan, toujours le plus salope des trois, et qui raffole de nos baises crades, qu’on fait très souvent).


Inutile donc de dire que Manon et moi, on a élevé nos enfants comme je l’ai été, et qu’ils en sont heureux, nos trois chéris ! La relève est là…. A 14 et 9 ans pour mes fils, 12 ans pour ma fille, ce sont déjà de sacrés obsédés de tout ce qui se fait en sexe. Bien sûr, leurs besoins sexuels sont aussi énormes que leur absence de toute morale. C’est dans les gênes comme dans l’éducation reçue. Bien sûr, ils adorent le vice sous toutes ses formes et sont de gros baiseurs au crade et à la zoo, bisexuels, incestueux et tout le reste… D’ailleurs, j’arrête là de raconter ma vie, car mon petit dernier, Fabian, un mignon petit blond cendré aux belles taches de rousseur sur les ailes du nez, m’appelle parce qu’il a envie de faire caca. Et moi, j’adore ouvrir la bouche quand il pousse, et l’enculer ensuite dans sa merde en lui roulant des pelles avec son caca chaud. Comme avec sa sœur et son frère, ça nous rapproche tellement, lui et moi (sans parler de nos trois chiens)… Au fait, mes enfants ont déjà commencé à travailler, et depuis un bon moment. Qu’est-ce qu’ils font ? Comme mes parents il y a quelques années, comme leur mère et moi : la pute de luxe, évidemment !


FIN

MEMOIRES D’UN JEUNE PROSTITUE

Par Quentin le cochon (FM, m, gb, Tod(b), bisex, incest in family, Anal, oral, bestiality, Exhibitionnism / voyeurism, ws, heavy scat)