Papy et Papa me trayaient quasiment la queue pour que je les abreuve de foutre. Trop fiers que leur fils soit un homme et jute. Je bus souvent mon sperme en me branlant ou en baisant, et j’aimais son goût, un peu différent de ceux de Papa et Papy. Entre autres changements, ma clientèle se renouvela, car certains clients (et clientes) n’aimaient que les gamins, et un ado de 13-
Mieux membré que dans mon enfance, bien logiquement, j’étais devenu plus intéressant aussi pour les femmes. A l’adolescence, j’eus donc un rééquilibrage de la clientèle, les femmes devenant aussi nombreuses que les hommes. Je grimpais donc des femmes mûres qui aimaient les p’tits jeunes, mais aussi des jeunes filles que leurs parents voulaient faire déflorer par un beau gosse avec qui elles auraient du plaisir. Je m’adaptais à chaque fois, mon expérience et mes instincts me disant comment faire. Je pouvais baiser sauvagement un mec ou une nana en manque de baise bien rude, ou faire tendrement l’amour avec un homme ou une femme assoiffés de câlins. Je ne perdis donc pas de client, au contraire, j’augmentais mon réseau en me diversifiant ainsi. Ma bite, il faut dire, avait bien grandi. Je tenais de mon père sur ce point, lui aussi étant bien pourvu. Et d’ailleurs, j’avais encore assez régulièrement un « plan famille » à la demande de clients qui bandaient pour me mater baiser ma mère ou niquer avec mon père, quand il ne fallait pas coucher avec les deux à la fois. Et quand je sautais mon père, qui était fier de la bite de son fils, ça rendait fous les mecs qui nous mataient.
Aucun problème pour ça, évidemment, au contraire, même ! Brouter la chatte de Maman pendant que Papa me ramonait le fion, ou pomper mon père pendant que je baisais ma mère, ou enculer Papa qui baisait Maman, j’adorais ça, eux aussi, et on jouissait très fort d’exhiber ainsi notre inceste ! C’était même encore meilleur que quand on le faisait à la maison, puisque là on était à la fois matés (ça nous excitait plus) et payés (et cher). Mes parents m’ayant eu bien jeunes, ils étaient encore dans la fleur de l’âge (30 et 31 ans quand j’en eus 14) et on formait vraiment une belle famille, plein de vie, de beauté, d’amour et de vice bien assumé.
Je partis même, l’été de mes 13 ans, en vacances avec une très riche famille de pervers, qui m’avait loué pour trois semaines, avec elle, sur la côte d’Azur, dans une belle villa avec piscine. Je ne vous dis pas ce que ça leur a coûté de me louer pour cette durée, jour et nuit ! Mes parents leur firent un prix, vu que c’étaient des habitués et que la durée justifiait un geste commercial, mais ça fit quand même une grosse somme. Les deux époux s’en fichaient, ils avaient les moyens, et leur vice était aussi étendu que le mien. Avec mes parents, on partait souvent en vacances (nos gains de putes le permettaient aisément) mais là c’était la première fois que je partais sans eux et avec des clients. Et je ne le regrettais pas car, avec leurs trois enfants (un garçon de 11 ans, une fille de 8 ans, un petit garçon de 4 ans) et eux (37 ans pour lui, 35 pour elle), je passais des vacances de rêve, emplies de plaisirs en tous genres.
Ils m’avaient connu, deux mois avant, lors d’une touze chez des amis à eux, et à laquelle mes parents et moi étions « invités » (en étant payés, évidemment). Ils avaient adoré mes talents et avaient donc souhaité que je baise avec eux durant des vacances qu’ils voulaient très salopes. Je devais aussi m’occuper un peu de leurs enfants, comme un baby-
Je partageais une chambre avec les trois enfants. Bien sûr, ils avaient des rapports incestueux avec leurs parents ce qui, pour moi, étant banalement normal. Tout enfant devrait en avoir ainsi, parce que, quand je pense à la façon dont ça rendait géniaux les rapports avec mes parents, je souhaite ça à tous ! Manon était donc une petite salope très mignonne mais totalement obsédée de sexe, passant la majeure partie de la journée avec la main dans sa petite culotte, à se triturer l’abricot, quand elle ne se faisait pas enfiler par son père ou son frère aîné, ou ne se gouinait pas avec sa mère ou pisser dessus par son petit frère. Le garçon de 11 ans, Carl, beau petit mec au regard de chienne en rut, bandait du matin au soir et, lui aussi, s’astiquait dans son boxer quand il ne suçait pas son père, ne lui filait pas son cul ou ne sautait pas sa mère, sa sœur ou son petit frère. Ce dernier, Ethan, est très mignon aussi, avec de grands yeux et un joli visage. Mais loin d’être innocent, il ne pense qu’au cul, lui aussi, bien éduqué par ses parents et ses aînés ! Il se balade toujours à poil chez lui, virant systématiquement son slip, et il a l’habitude de sucer chaque bite qui passe, ou d’indiquer qu’il la veut au cul, entre ses deux mignonnes petites fesses, tellement il adore se faire enculer.
Ces enfants adorent donc niquer avec leurs parents et entre eux, et ce sans parler évidemment des invités que les parents pouvaient convier à la maison pour niquer avec leurs enfants, car les parents adoraient mater leurs gosses baiser avec d’autres qu’eux-
Le séjour démarre bien, car quand on s’installe, je partage une grande chambre avec les enfants, dotée d’un très large lit où on dormira à quatre. Super ! Comme on va bien baiser, inutile de faire lits séparés. Dès le premier soir, quand on va au lit, on se fout tous à poil. Trop mignons, les gamins, les garçons avec leurs quéquettes sans poil et leurs petits culs bien ronds, et elle avec sa fentine lisse et ses petits tétons de poitrine semblable à celle de son petit frère ! Moi, je bande direct et ils matent bien ma bite et mes burnes. J’ai un peu de poils, ma bite a grandi et je jute beaucoup, comme je leur explique. On se fait des caresses, des baisers, on se touche partout. Ils sont aussi affamés de sexe que moi, avec le voyage on n’a rien fait de la journée. Leurs parents baisent à côté, on les entend gueuler, ça nous excite encore plus. Le matelas est couvert de matière plastique souple, on peut se lâcher et on en a tous l’intention. J’avoue une petite préférence pour le petit dernier, Ethan. D’une part, vicieux comme je suis, sauter un gamin de 4 ans me fait terriblement bander (moi, à son âge, j’adorais la queue autant que lui, et Papa et Papy m’enfilaient toute la journée). D’autre part, il ne demande que ça, c’est le plus salope des trois, et je le sais très branché pipi-
Ethan vient tout de suite sur moi, et son petit zizi dressé m’excite beaucoup, de même que ses fesses rebondies. Il met sa bouche sur la mienne, je lui roule une pelle très chaude, je bande comme un fou, et je sens que Manon me serre le gland entre ses lèvres, pendant que son frère me lèche les couilles. Je suis leur cadeau de vacances, ils me partagent à trois. Moi, je vais sucer la petite tige d’Ethan, qui se lâche et me pisse dans la bouche. Hum, délicieux, un gros pipi de petit garçon, quel régal !! Je lâche moi aussi ma pisse à Manon et Carl, ça jaillit dru de ma queue, ils en prennent plein le visage, ils adorent, rigolent, boivent, se lèchent les tronches mutuellement pour tout récupérer, Carl me pompe le zob pour avoir les dernières gouttes, sa sœur se doigte la chatte en lui léchant le cul, il lui pète au visage, elle gémit de plaisir, et moi je fais jouir Ethan à sec dans ma bouche. C’est beau, un p’tit gamin comme ça qui jouit ! Il pousse des petits cris d’extase, et je continue à le sucer pour qu’il rebande encore.
Quand j’en ai marre de le sucer je le prends par les hanches et je le pose sur mon zob, que son frère suçait. Son cul est un peu gras (en fin de journée, hein…) et bien habitué à la bite de son père, donc la mienne pénètre très bien dans son cul, que je sens bien plein. Super, j’adore sentir le caca au bout de ma teub quand je nique un cul, surtout un mignon p’tit keum comme ça. Ethan crie de plaisir, il adore les bites dans son trou. Pendant ce temps, Carl et Manon se sont mis en 69, et ils se bouffent autant la bite et la chatte que leurs trous du cul. Ils sont totalement excités, je vois leurs langues lécher vigoureusement leurs organes. Carl bande bien dur, et sa sœur mouille beaucoup, il lui boit la cyprine direct, elle pisse, il avale tout et lui pisse aussi en bouche. Elle ne boit pas tout, elle fait un peu ressortir son zob pour s’asperger de sa pisse, qui coule sur ses seins plats, son corps, et arrose enfin sa chatte. Carl boit sa propre pisse qui coule sur sa sœur, puis, sans façons, la met sur le dos et la pénètre en se couchant sur elle. Et il la prend bien fort, elle aime être rudoyée un peu, donc il lui pilonne bien la chatte, et elle en redemande, cette salope !
Ethan aussi, il crie bien et je sens mon sexe en lui, quand je mets ma main sur son petit ventre. Il est comme empalé sur moi, je sens ses fesses taper sur mon pubis quand je monte et descends le gamin sur ma queue. Je le retire juste un moment pour mater ma bite pleine de sa merde. Il le voit et sourit aux anges quand je lui dis de nettoyer. Fou de caca, il plonge la bouche et déguste sa merde sur mon zob. Je lui roule une pelle et je lui dis que je veux plus de caca. Je m’allonge sur le dos, je l’accroupis au-
Je pose Ethan, et Carl me remplace dans son cul. Il prend son frère en levrette, et lui flanque de bons coups de bite. Le gamin couine de joie, son frère aussi, et moi je baise le vagin de Manon, salope à caca-
Je sens que je vais jouir, mais je n’ai pas encore enculé Carl, et je ne veux pas faire de jaloux, donc je vais derrière lui (qui baise toujours Ethan, qui a joui une deuxième fois mais qui continue à se faire niquer) et j’encule Carl bien fort. Le beau p’tit gars gémit bien fort, et je lui colle ma bite au fond, collant mes couilles à ses fesses de keum. On baise entre gars, donc Manon ne veut pas rester à mater, elle s’allonge devant Ethan, cuisses bien écartées et relevées, et le petit plonge la tête sur la fentine de sa sœur, pour la lui brouter. Il sait y faire, elle couine à sentir comment le petit mec de 4 ans lui bouffer le clito et se gave de sa cyprine. Elle est chaude, la gosse, elle coule comme une fontaine.
On se ramone comme ça, et puis je sens Carl tressauter quand il jouit à sec dans le cul de son frère. Moi, j’éjacule dans le fion de Carl, qui le donne à Ethan pour ne nettoyer, ce que le petit fait alors que Manon se finit en se mettant la main entière dans sa foune. On a tous joui comme des dingues. Pas de douche ce soir, on se couche comme ça, dans le lit où des traces de pisse et de merde se voient un peu partout. Tant mieux ! Ethan, très câlin, vient dans mes bras, Manon se met entre nous et Carl, et on s’endort comme ça.
Au milieu de la nuit, je suis réveillé par Ethan, qui me tire par le bras en me chuchotant : « Pierrot, j’ai envie de faire caca ». Je suis ensommeillé mais tellement salope que ce genre d’occasion ne se refuse pas, même avec la tête dans le coltard. Pas nécessaire d’emmener le petit aux toilettes et surtout ce serait dommage de laisser perdre le délice qui sort de son cul. Alors je le prends dans mes bras et je lui glisse à l’oreille :
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J’aide le petit bonhomme à s’accroupir au-
Au matin, après une bonne nuit, on est réveillés par les parents qui, nus, viennent voir dans la chambre comment on a passé la nuit. Les traces et les odeurs parlent pour nous. Et, après une bonne nuit, chacun a de grosses envies, bien sûr. Le papa bande avec sa grosse queue et elle me fait autant envie que la belle chatte poilue de la maman. Alors je lui bouffe la moule pendant que le père me langue le cul (qu’il trouve très bon, surtout quand je lui lâche mes pets qu’il savoure en expert). Puis, il m’encule alors que je fous ma queue dans le con de sa femme. Près de nous sur le lit, Carl encule Ethan qui lèche l’abricot de Manon. Puis, après un bon ramonage, on change et le père vient baiser sa fille. Magnifique de voir sa grosse teub dans la petite fente, et d’entendre comment elle jouit avec ce chibre qui la démonte. La maman se fait mettre par Carl, et je baise encore Ethan, très accro à ma bite. Le père jouit dans la bouche de sa fille, moi dans le cul d’Ethan, que sa maman vient lécher pour goûter mon sperme. Carl jouit encore à sec, dans la chatte de sa maman, Ethan jouit en caressant son zizi, et Manon en se faisant jouir avec les doigts dans sa chattoune.
Après ça, on peut aller se laver, prendre le petit-
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Impossible de dire non ! Ma queue est dure, les yeux de la gosse s’allument, ceux de son grand frère aussi. Ethan, lui, vient me rouler des pelles en faisant couler sa bave de petit garçon dans ma bouche. J’adore !
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Ils ne se font pas prier, le frère et la sœur, pour venir me pomper, et ils savent le faire, on voit que leur papa a bien fait son boulot d’éducation à la bite. Ethan, lui, a besoin de faire pipi donc il entre son zizi dans ma bouche et je bois sa pisse pendant que son frère et sa sœur me sucent bite et couilles. Putain, comme c’est bon un pipi de petit comme ça ! Et puis, après, je mets ma queue dans la minette de Manon, et j’adore vraiment sa petite chatte douce, lisse et coulante de mouille. Je me couche sur elle et je la baise bien fort, j’ai ma queue qui tape fort dans son vagin. Carl vient derrière moi et m’encule direct, j’adore comment il est bien dur de sa tige, et comment il me file de bons coups de bassin. Le petit Ethan vient poser son cul sur la bouche de sa sœur et elle lui bouffe l’anus, ce qui le fait glousser.
Quand j’en ai un peu marre, même si c’est bon, je prends Carl quand il enfile sa sœur, et je le ramone comme il m’a ramoné. Son cul est sale, j’adore le sentir sur ma bite. Ethan me la nettoie quand je me retire, et puis je baise aussi Ethan, comme ça pas de jaloux. Carl jouit dans le con de sa frangine, qui jouit aussi, et puis moi je jouis dans le cul d’Ethan, et je bouffe mon sperme en lui broutant la chatte ensuite. Il a joui aussi, le petit, en astiquant sa quique avec ses doigts.
Toutes les vacances sont ainsi, on jouit de tous les côtés et dans toutes les pratiques. Le père adore mon cul, il me baise tous les jours, j’adore sa bite dans mon cul ! Je baise sa femme et ses gosses, on nique aussi à six dans des belles partouzes, et je jouis de voir d’autres gens faire l’inceste, eux aussi. Et puis, les vacances de rêve se terminent et je reviens à la maison. Je retrouvais mes parents et Papy, et nos retrouvailles furent très salopes. Papy était dans les champs, et mes parents ne bossaient pas ce jour-
Je jouis dans le cul de ma mère (qui s’est entrée la main dans sa chatte, aussi), Papa reprend mon cul et me le sperme, et on se lèche partout, à trois, pour se nettoyer. Puis, je raconte mes vacances, ça nous remet en état et là j’encule Papa qui déchire la chatte de ma mère avec sa grosse teub de daron. On re-
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Pas besoin d’en dire plus ! Papa commença à pousser dans son slip (déjà bien crade et odorant) et je l’accompagnais en posant ma main sous son cul, pour bien sentir la masse de caca couler dans le slibard. Rien que ça me filait la trique. Papa termina, puis enleva son slip et le retourna avec précautions (faut rien perdre) afin de me présenter l’intérieur. Il vit mon sourire et mes yeux brillants, et il écrasa son slip sur ma gueule. Sa merde s’étala bien, j’ouvris grand la bouche pour en prendre le max, mais il y en avait beaucoup et ça s’étala sur mon menton, mon nez, mes joues, ça tomba sur mon torse. Papa étalait en pressant son slip, et moi je ma gavais de sa merde délicieuse, qui m’avait trop manqué. Je retrouvais ma gourmandise crade, je la mangeais, Papa me roulait des pelles et bouffait aussi son slip, se gavant aussi du tissu sale, mangeant son caca avec moi, notre pratique préférée depuis que je suis tout petit. Et puis il m’encula, alors qu’on bouffait les derniers morceaux de son boudin, et on se roula des pelles merdeuses vu que j’étais sur le dos. On finit en se nettoyant à la langue, avec des baisers d’amoureux bien incestueux.
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On rit tous les deux, on a toujours été hyper complices. On se comprend, entre porteurs de bites ! Et puis je dormis dans ses bras parce que c’est mon papa à moi, et que j’ai toujours aimé nos câlins, et lui aussi. Je suis son amoureux, comme il dit, et j’aime cette idée que, côtés mecs, je suis amoureux de mon papa. Ça c’est de l’inceste à fond ! Et Maman, c’est comme ma copine, je suis aussi son petit amant, avec qui elle baise si souvent. Moi, ça me fait bander de me dire que je suis un peu en couple avec Papa d’un côté et aussi un peu avec Maman de l’autre côté ! C’est pervers, tout ce qu’on aime !
Je n’oubliais pas ma maman chérie non plus. J’adorais les câlins avec elle, j’étais encore un peu son bébé, pour elle, mais un bébé aussi pervers qu’elle, ce qui l’excitait autant que moi. Le lendemain matin de mon retour, en me levant, je trouvais Maman, juste vêtue d’un t-
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Je me rappelle, en entendant ça, ce qu’elle m’a raconté, qu’elle se branlait la chatte avec mon petit pied de bébé pendant qu’elle me donnait le sein. Là, je suis un ado avec une bonne queue raide, je vire le boxer et sa culotte, je la colle dos au mur, elle m’enlace en me traitant d’obsédé (ben oui, et ?) et je l’emplafonne direct. Pas de câlin ni de préliminaire, là, on a trop besoin de jouir, elle est trop excitante avec son t-
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Et vingt minutes plus tard, j’enculais ma mère dans sa merde et elle me débourrait ensuite sur la bite, ce qui me permit de me branler au caca puis de me lécher les doigts pour tout déguster. Un petit-
Moi aussi, le surlendemain de mon retour, je repris le boulot, avec joie. Mon carnet de pute s’était bien rempli pendant mes vacances, et j’avais plein de clients et clientes à aller satisfaire. Inutile de dire mon plaisir à le faire !
Le premier client fut un homme de 65 ans, qui adorait mon cul et le réservait souvent. Puis j’enchainais, l’après-
Puis ce fut un père aimant voir son fils me sauter et que je le saute (garçon de mon âge, bien foutu et très sexe), le papa se branlant en nous matant. Pas une grosse bite, le mec, mais hyper salope et pervers, tout ce que j’aime. Il nous pissa dessus pendant qu’on baisait par terre, comme des chiens. Et après, dans une autre famille, j’enfilais une petite fille, pour son plus grand plaisir et le mien, sa petite chatte lisse étant délicieuse à lécher et bourrer. Ses parents baisaient à côté en nous matant. J’eus un plan bien pisso-
Ce serait trop long de tout détailler, pour les semaines et mois qui suivirent. La suite de la vie fut de même nature. Je continuais à me prostituer, dans le plus grand bonheur, et parfois avec mes parents. Bien sûr, notre grange à baise ne cessa pas de servir. On y avait investi, fallait rentabiliser ! Mes parents organisèrent beaucoup de soirées, notamment des réveillons de nouvel an bien sexes. Je participais à toutes les partouzes, et il y en avait environ une tous les deux ou trois mois. Là, je me donnais à fond, heureux de satisfaire nos clients, mais surtout fou d’envie de jouir toute la nuit avec plein de partenaires et de pratiques. Me faire saillir par un de nos chiens pendant que des mecs me pissaient et me chiaient dessus, franchement, c’était mon kif préféré.
L’année suivante, j’avais 14 ans, et pour mes vacances d’été, j’eus un job. Bon, je bossais déjà, mais il y eut une petite variante. Bruno, un des clients de mes parents et moi, fringant quinquagénaire très salope, avait un hôtel discret. Vous voyez ce que je veux dire par discret : un hôtel dédié au sexe. Inutile de s’y pointer comme ça à l’improviste pour avoir une piaule, c’est admission sur recommandation. Il me proposa d’y être serveur pendant un mois d’été, et j’acceptais avec joie car ça allait me changer un peu des habitudes, j’allais bien gagner (un salaire fixe déjà élevé, vu les prestations à faire, et de beaux pourboires en perspective) et j’allais baiser à fond, bref trois bonnes raisons. Papa me conduisit donc le 1er juillet, et je commençais à travailler dans cet hôtel où il valait mieux que l’Inspection du travail ne se pointe pas. Je fis un peu tout : préposé au nettoyage de la piscine, serveur à table pour le restaurant de l’hôtel, tenir l’accueil… Mon truc préféré fut justement d’être serveur. Le matin, je portais des petits-
Ça arriva plusieurs fois. Un matin, c’était un couple (la petite quarantaine) qui était en train de baiser quand je débarquais avec le plateau. Sans façons, ils me dirent de me joindre à eux, et je baisais d’abord Madame pendant que Monsieur matait, puis il me sodomisa bien fort (truc que sa femme n’aimait pas, donc il se rattrapa avec moi) pendant que sa femme se doigtait la chattoune, et enfin je le baisais pendant que sa femme le pompait. On juta tous les deux dans la bouche de celle-
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Le gars aima ma réponse, et l’instant d’après j’étais allongé sur le carrelage de la salle de bains, le cul du gars sur ma bouche, et je dégustais un énorme et goûteux caca, avant de nettoyer à la langue le cul du gars. Quand je lui demandais après s’il voulait qu’on appelle un vrai plombier, il refusa en me disant qu’il préférait m’appeler quand il aurait envie de pisser et chier, et je répondis que j’étais là pour ça quand il voulait. A part ça, on avait aussi bien joui puisqu’il m’avait enculé juste après mon repas de sa merde. Et sa bite était grosse et dure, comme celle de mon papa !
Pendant mon séjour, je baisais aussi deux sœurs jumelles, aussi salopes que leurs parents qui mataient à poil comment leurs filles se faisaient baiser (par devant et par derrière pour les deux, chacune son tour). Je me fis prendre bien fort (j’adore !) par un père qui voulait montrer à son fils de 15 ans (un peu nigaud encore) comment on baisait un gars, et donc ensuite le fils se fit la bite dans ma bouche et mon cul (pas trop mal, d’ailleurs, il apprenait vite, et je parie qu’il continua avec son père ensuite, enfin je leur souhaite). Un couple de femmes me demanda pour une nuit entière, et je passais d’une chatte à l’autre pour les faire jouir. Un couple d’hommes adora me pisser et me chier dessus, et je l’adorais tout autant, évidemment. Et le plus fort, ce fut une famille de six, dont quatre enfants (trois garçons et une fille) âgés de 8 à 16 ans. La fille, 10 ans, était la maîtresse de ses frères qui se vidaient les couilles (pour les deux plus grands, 16 et 13 ans) dans sa chatte, son cul ou sa bouche, et elle en redemandait, elle kiffait à mort.
Son père la baisait aussi, sa mère se gouinait avec elle et se donnait à ses fils, parce qu’au vu de leurs besoins, la gamine ne suffisait pas. Le père se tapait le plus jeune de ses fils, celui de 8 ans, aussi, mais pas les deux autres, qui n’aimaient pas la bite. Moi, livré à cette famille salope (mais pas autant que la mienne, hé hé), je vidais les couilles du papa, je baisais la fille et sa mère, et je suçais aussi les deux grands ados, qui ne refusaient pas qu’un mec les pompe. Le père me baisa un long moment, il se retenait très longtemps, il était endurant, et il voulait montrer sa puissance à ses fils. La fille me suçait pendant que le père me limait, puis la mère la remplaça et elle me vida bien les boules aussi.
Enfin, voilà, j’eus un magnifique mois de juillet, empli de séances de baise, et je revins chez moi avec plein de trucs à raconter et un joli paquet de fric. Les pourboires des clients avaient été sympas. Août se passa dans les Antilles avec mes parents, on pouvait se payer de beaux voyages avec ce qu’on gagnait. Et sur place, mes parents et moi, on se fit encore un peu de pognon avec des clients qui nous avaient réservés. Ça remboursa le voyage ! Un des clients, d’ailleurs, nous avait loués à trois, parce qu’il voulait mater des parents baiser avec leur fils, et on ne se fit pas prier pour montrer tout ce qu’on savait faire. Me voir avaler le sperme de mon père fit jouir le gars, encore plus que quand j’avais enculé ma mère pendant que mon papa me baisait, ou qu’on l’avait prise à deux, lui dans son cul, moi dans sa chatte (que j’avais bien léchée juste avant, et elle en avait déjà joui rien que par ma langue). Bref, on s’amusa bien.
Le meilleur souvenir fut un petit garçon, adorable et salope au-
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Moi, montrer ma queue à des gosses, aucun souci, vu le nombre de gamins avec qui j’ai baisé. Et puis entre mecs, on se montre les bites, c’est normal. Celle de Loïc était petite, oui, normal il a 4 ans, mais il bandait bien raide et il se l’astiquait déjà en me matant la teub. Tant qu’à faire, je virais bermuda et slip, pas trop pratiques quand ils sont sur mes chevilles. Le gosse vira aussi ses fringues et vint grimper sur mes genoux. On était dans la garderie de l’hôtel, parmi les peluches et jouets, j’étais assis sur un fauteuil bas, genre pour les enfants. En une seconde, le petit était sur mes genoux et mettait sa langue dans ma bouche. Je l’ai bien galoché, je bandais dur à mon tour. Je caressais son ventre tout doux, je sentais son cul sur mes genoux, et il avait un tel regard de pute en rut, que ça m’excitait à fond.
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Je le savais, parce que le gamin faisait les trucs que je faisais aussi depuis ma naissance ou presque, mais ça m’excitait de l’entendre me le dire avec sa jolie voix. Je ne fus pas déçu.
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Et tout ça dit avec la voix la plus douce mais le regard de chienne en chaleur. Comme moi, alors sans attendre, je prends le gosse sous les aisselles et je le pose sur ma queue. Son trou est tellement ouvert que ça rentre tout de suite, et je l’empale sans trainer, ma bite entière dans sa chatte de salope ! Il couine, il bave de plaisir, je lèche sa bave, je lui file la mienne, on se galoche, et je l’encule à fond. Il encaisse, il bande, il triture son zob de gamin, et il jouit très vite, mais je reste en lui, je le baise encore et encore, il jouit encore, il reste sur ma bite, et quand je me retire, je lui jute dans la bouche. Ma bite est merdeuse, il avait le cul sale, et ça l’amuse.
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Un père aussi porc que le mien, donc un papa génial. Le petit lèche et bouffe, ma queue est propre, mais il m’a donné faim.
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Et avant qu’il ne puisse dire que « chier » n’est pas un beau mot, accroupi au-
Je joue un peu avec Loïc, à divers jeux banals, puis l’envie le reprend et moi aussi, donc il me tète le zob, je lui fouille le cul avec deux doigts (que je lèche, ils ressortent bien merdeux, vu que je n’ai pas torché le gosse tout à l’heure : oubli réparé, par les doigts puis la langue), et je le rebaise encore. Son cul m’aspire encore bien la queue, je le fourre rapidement (l’heure tourne), et je jouis dans sa chatte après lui avoir donné deux orgasmes coup sur coup. Il remet son slip, le sperme coule, on s’en fout, et son papa aura toutes les preuves que je me suis bien occupé de lui.
A l’issue de cet après-
Au retour de ce mois de boulot-
Alors, on épargnait, on investissait en douce via le réseau de nos clients, dans des placements à l’étranger, des trucs comme ça, que Papa gérait pour moi. Confiance totale en lui, on a un amour immense, avec mes parents. Une fois, on eut un contrôle fiscal, mais Maman calma l’inspecteur des finances publiques en enlevant lentement son jean et sa culotte devant lui, et il ne résista pas à sa beauté. Il nous fit un contrôle aux petits oignons, qui ne coûta que quelques baises à ma mère. Et comme, en plus, il était bien monté et se servait bien de sa teub, elle n’eut pas à se plaindre de se dévouer ainsi. Et on fut tranquilles pour des années.
Devenu jeune adulte, mes parents ne m’accompagnèrent plus chez les clients ; je passais le permis et eus ma voiture. Ma carrière se poursuivit tout aussi facilement. Ma clientèle évolua encore. Celles et ceux qui n’aimaient que les ados ne me firent plus venir, mais je gagnais des nanas et des mecs amateurs de beaux gosses de 18-
Au contraire, moi, ces mamies vicieuses qui n’avaient pas raccroché la libido au vestiaire, ça m’excitait autant que les belles petites poupées de 14-
Le soir, de retour à la maison, on se racontait nos passes, avec mes parents, qui bossaient aussi, toujours bien demandés par les clients, autant pour leur expérience que parce qu’ils restaient en super forme, qu’ils adoraient leur métier et qu’ils étaient super beaux, mes parents chéris, et extrêmement bandants, tous les deux. Moi, en tous cas, ils me faisaient bander à mort, et baiser le soir avec eux était un plaisir inouï, dont je n’étais jamais rassasié, et eux non plus. Coller ma bouche à la chatte de Maman, sentir couler sa cyprine ou sa pisse, la fourrer par devant ou derrière, malaxer ses nibards, la sauter en tous sens et jouir avec elle, quel pied ! Sucer Papa, chier avec lui, le ramoner ou le sentir baiser mon cul, bouffer nos spermes ensemble, quel pied ! Idem avec Papy, qui restait gros queutard aussi et nous baisait tous, ou se donnait à Papa et moi, quel pied encore ! Bien fier de son petit-
Parfois, je bossais avec mes parents, car il y avait des clients pour mater une famille étaler son inceste sous leurs yeux. Des gens nous payaient cher pour voir comment je baisais ma mère pendant que mon père m’enculait, ou comment je suçais mon papa avant de le baiser ou comment on niquait Maman à deux en même temps. Notre summum, c’était de lui faire une double vaginale ou double sodo, ce qu’elle adorait autant que Papa et moi on bandait de sentir la queue de l’autre contre la sienne dans le trou de Maman ! Pour ça, on prenait cher, mais les clients payaient sans rechigner et on eut beaucoup de demandes pour ça, l’inceste bisexuel excitant énormément les membres du réseau de pervers qui nous faisait bosser.
Je me diversifiais aussi un peu, ajoutant le jeu de rôle à ma panoplie sexuelle. Je me pliais à des tas de scénarii imaginés par les clients et clientes. Je fus ainsi le fils ado d’un père incestueux ou d’une mère incestueuse, quand ce n’était pas un couple qui me demandait de les appeler Papa et Maman. Je fus souvent l’élève de clients voulant jouer les profs portés sur les jeunes. Je fus le frère de jeunes mecs rêvant d’inceste fraternel, mais aussi un livreur de pizzas (banal, hein), un barman, un jeune soldat, un pompier ou encore le jeune vendeur de divers magasins. Par exemple, quand j’avais 15 ans, je fus le « stagiaire » d’un propriétaire de magasin de fringues, et il baisa avec moi, un soir, dans son magasin (fermé, évidemment) pour mieux réaliser son fantasme. Selon le scénario prévu, il me surprit à voler dans le tiroir-
Bref, la vie se poursuivit ainsi, dans une forme de routine sexuelle mais tellement bandante et jamais lassante.
Jamais je n’ai abandonné ce métier, jamais je n’ai perdu cette envie, jamais je n’ai cessé de prendre mon pied dans ce travail et en famille. Aujourd’hui, mon grand-
Inutile donc de dire que Manon et moi, on a élevé nos enfants comme je l’ai été, et qu’ils en sont heureux, nos trois chéris ! La relève est là…. A 14 et 9 ans pour mes fils, 12 ans pour ma fille, ce sont déjà de sacrés obsédés de tout ce qui se fait en sexe. Bien sûr, leurs besoins sexuels sont aussi énormes que leur absence de toute morale. C’est dans les gênes comme dans l’éducation reçue. Bien sûr, ils adorent le vice sous toutes ses formes et sont de gros baiseurs au crade et à la zoo, bisexuels, incestueux et tout le reste… D’ailleurs, j’arrête là de raconter ma vie, car mon petit dernier, Fabian, un mignon petit blond cendré aux belles taches de rousseur sur les ailes du nez, m’appelle parce qu’il a envie de faire caca. Et moi, j’adore ouvrir la bouche quand il pousse, et l’enculer ensuite dans sa merde en lui roulant des pelles avec son caca chaud. Comme avec sa sœur et son frère, ça nous rapproche tellement, lui et moi (sans parler de nos trois chiens)… Au fait, mes enfants ont déjà commencé à travailler, et depuis un bon moment. Qu’est-
FIN
MEMOIRES D’UN JEUNE PROSTITUE
Par Quentin le cochon (FM, m, gb, Tod(b), bisex, incest in family, Anal, oral, bestiality, Exhibitionnism / voyeurism, ws, heavy scat)