Chapitre 1

Si on ne l’a pas vécu, on ne peut pas imaginer à quel point c’est bon de naître et vivre dans une famille ouverte à toutes les perversions. Moi c’est Pierrot. Enfin, officiellement c’est Pierre, mais tout le monde m’appelle Pierrot depuis ma naissance, à commencer par mes parents qui m’ont surnommé ainsi. Prénom classique, surnom classique, y a bien que ça de classique chez mes parents et moi. Ils m’ont eu vachement jeunes, mes parents. Ma mère avait 16 ans et mon père 17 quand il l’a mise en cloque. Faut dire qu’ils étaient déjà de sacrés baiseurs, incapables de ne pas se jeter l’un sur l’autre quand ils se voyaient. On peut même dire que ma mère était nympho (et ça ne s’est pas arrêté depuis) et mon père un gros queutard, tous les deux obsédés sexuels et avides de tout. Aucune morale, débauche totale, dépravation de même ! Toute la journée, la nuit, une seule pensée, une seule obsession : le sexe. Et ce depuis leur plus jeune âge.

Ma mère, salope précoce, s’était fait dépuceler à 3 ans, et il s’agissait aussi bien de son pucelage vaginal que de son pucelage anal, dans la foulée. Faut dire qu’elle taillait déjà des pipes à 2 ans, et qu’elle était hyper douée pour ça. Et parce qu’elle adorait ça ! Et ces dépucelages de la bouche et des trous, elle le devait à qui ? A son père, mon grand-père, aussi pervers que sa fille, et qui ne s’était pas gêné pour la former au sexe quasiment dès sa naissance, ou presque. Sa femme s’était barrée quand ma mère était bébé, et ça l’avait bien arrangé, le papy, car il a pu ainsi donner libre court à ses instincts pédos et incestueux. Ma mère ne s’en est jamais plainte quand elle m’en a parlé plus tard, au contraire ! Apparemment, ça lui avait beaucoup plu et elle n’avait pas rechigné à soulager les pulsions de son père. Aussi naturellement salope que lui, elle avait tout aimé, et elle en redemandait, à ce que mon grand-père et elle m’en disaient, plus tard. Et je les ai toujours crus, puisque j’ai eu très souvent l’occasion de les voir à l’œuvre, rien qu’à deux ou mêlés à d’autres.

Du côté de mon père, il avait eu une éducation normale (triste, donc), et donc c’est tout seul qu’il a développé ses goûts pour le vice et la baise en tous genres. Il a croisé ma mère au collège, elle en 6ème et lui en 5ème, ils ont immédiatement flashé l’un sur l’autre. Faut dire qu’ils étaient super beaux, tous les deux. Maman, c’était une petite fille de 11 ans, mais qui ressemblait déjà à une jeune fille. Blonde, au joli visage avec de très beaux yeux verts, et avec un corps très bien fait. En 6ème, elle avait encore une poitrine assez plate, mais bien vite elle s’était formée et avait développé de magnifiques seins ronds et fermes. Papa, qui avait 12 ans à leur rencontre, c’était le beau gosse sportif, aux cheveux très bruns et aux yeux bleus, avec un corps assez athlétique et, Maman n’allait pas tarder à voir, une grosse queue dont il savait se servir ! Ils sont sortis ensemble et ont baisé tout de suite, le jour même. Maman, à 11 ans, avait déjà une grosse expérience sexuelle, avec son père. Papa, à 12 ans, savait déjà aussi très bien se servir de sa queue.

Bien qu’ils étaient très jeunes quand ils ont entamé leur relation, celle-ci a duré parce que, au-delà du sentiment amoureux qu’ils avaient l’un pour l’autre, ils ont fusionné dans la débauche sexuelle totale. Leur couple a été fondé sur une réciproque admiration pour la saloperie de l’autre, pour ce talent pour repousser les limites du désir, du vice. C’est donc au lycée que ma mère est tombée enceinte de mon père, et le plus étonnant est qu’elle ne l’ait pas été plus tôt, vu comme ils niquaient comme des bêtes dès qu’ils se voyaient. Avec mon grand-père, ma mère prenait des précautions, ou plutôt c’est lui qui mettait des capotes ou se retirait avant de juter, pour ne pas risquer de dévoiler leur inceste par une grossesse ou un avortement. Dans le village, tout se savait, donc autant ne pas avoir de mésaventure. Avec mon père, Laura (ma mère) faisait moins gaffe, et donc, à la fin de sa classe de seconde (de première pour mon père, prénommé Gabriel), elle sut qu’elle m’attendait.

Ils étaient un peu emmerdés, quand même, à ce que je sus ensuite, mais ils décidèrent de me garder. Ils voulaient des gosses, déjà, et donc je venais concrétiser ça ; et surtout, ils en voulaient pour les élever dans la saloperie, comme ils l’aimaient. Ma mère voulait aller plus loin encore que son père ne l’avait fait. Surexcités à l’idée d’élever un gamin dans le vice total dès sa naissance, mes parents me gardèrent donc. Mon père quitta sa famille, qui le rejetait, il vint vivre chez le père de sa copine, mon futur grand-père. Immédiatement, il en devint l’amant aussi.

Faut dire que, salopes comme ils sont, mes parents sont totalement bisexuels, tous les deux, afin de goûter à tous les plaisirs du cul. Mon père avait eu ses premières expériences sexuelles (me raconta-t-il plus tard) avec un chef scout, quand il était louveteau et avait 7 ans. Le gars, pédophile, aimait tripoter les gamins qu’on lui confiait. Avec mon père, il ne fut pas déçu, car il alluma en lui un incendie qui ne s’éteint jamais. Mon père, comme ma mère avec son père, adora sucer, se faire sucer et même se faire enfiler, ce que le chef scout fit souvent en constatant que le petit salopard adorait ça (contrairement aux autres garçons qu’il violait). Cela développa chez mon père le goût du sexe, qui devint une passion dévorante et précoce. Branleur frénétique, mon père se lança dans le vice sans se préoccuper de morale, et en cachette de ses parents, même si ceux-ci contribuèrent à ses saloperies sans le savoir. Il les observa niquer, secrètement bien sûr. Il alla récupérer les slips et culottes sales de ses parents dans le panier de linge sale, pour les lécher et les sniffer en se branlant, sans oublier de déguster ses propres slips de petit garçon systématiquement. Puis, ce fut la pornographie. Les catalogues de vente par correspondance, via les pages de lingerie (féminine comme masculine) ne suffirent pas, assez vite, pour nourrir ses fantasmes dans ses branlettes. Il passa à des sites internet (il avait un ordinateur que ses parents, qui le pensaient innocent, ne contrôlaient pas) auxquels il accédait facilement. Et là encore, tout l’attira, les hommes (qu’il connaissait, pour épuiser le chef scout à qui il offrait son cul chaque semaine) comme les femmes (qu’il ne connaissait que sur l’écran, encore).

Il se dépucela, côté filles, à 10 ans, quand son aplomb amusa une « grande » de 15 ans, déjà bien formée au cul, et qui s’excita à forniquer avec un petit garçon, lors de vacances d’été. Leurs parents réciproques les laissaient plus libres que durant l’année scolaire, et donc mon futur père connut son premier vagin, dans une cabine de plage. Personne n’en sut rien, et Papa me raconta plus tard que son initiatrice fut sidérée de sa vigueur sexuelle, de son désir dévorant, et de la rapidité avec laquelle il apprit à baiser, car il la sauta plusieurs fois durant les vacances, en la faisant mieux jouir que son petit copain d’alors, qu’elle avait laissé dans sa ville. Là aussi, comme avec le chef scout, mon père venait de découvrir la baise et n’allait plus pouvoir s’en passer. Par la suite, il se tapa nombre de filles, car sa réputation de très bon baiseur lui amena de nombreuses jeunes filles avides de jouir. Et des garçons aussi, à qui Papa filait son cul et dont il vidait les couilles avec volupté.

Ma mère était bisexuelle aussi, donc. Elle, ce fut vers 12 ans (bien tard, donc, au vu de ce qu’elle avait découvert déjà) qu’elle eut ses premiers rapports lesbiens, avec une fille de 18 ans, sœur d’une de ses copines. Pas que ma mère n’aurait pas voulu découvrir ça plus vite, mais elle n’avait pas eu d’occasion. Donc, là, elle en avait une et elle sauta dessus. Ma mère avait bien repéré que cette « grande » la lorgnait régulièrement quand elle venait chez elle voir sa sœur, et comme ma mère était une belle salope, qu’elle s’habillait comme tel, et qu’elle avait grande envie de tout connaître, elle ne tarda pas à faire comprendre à la grande sœur de son amie qu’elle ne demandait pas mieux que de passer au pieu avec elle. Cela se fit alors très vite, et ma mère, comme pour les mecs avec son père, se découvrit une passion pour la chatte. De ce jour, elle baisa autant avec des femmes que des mecs.

Parce que se mettre en couple ne voulait pas dire, pour mes parents, de se limiter à eux deux. Sans avoir à en discuter, ils furent sur la même longueur d’onde immédiatement, dès le début de leur relation : ils pouvaient baiser avec qui ils voulaient, et ils prirent plaisir à se raconter leurs baises à gauche ou à droite. Mon père parlait des bites qu’il avait sucées ou qu’il s’était mis au cul, ou des chattes broutées et enfilées. Ma mère parlait des mecs qui l’avaient culbutée par tous les trous, et des chattes qu’elle avait léchées. Elle lui parla donc très naturellement de sa première expérience lesbienne, puisqu’elle était en couple avec mon père à ce moment-là, et il en fut très excité, me dit-il plus tard, au point d’enfiler ma mère dans la foulée, en la sodomisant, ce qu’elle adorait (comme tout le reste).

Parmi les gens avec qui mes parents ne se gênaient donc pas pour niquer en dehors de leur couple, il y avait donc, pour tous les deux, mon grand-père, qui ne crachait pas non plus sur les queues ou culs de mecs. Cela venait de son enfance à la campagne, où les filles manquaient plus que les appétits des garçons, lesquels se suçaient et s’enfilaient, et mon papy y avait pris goût assez jeune (première expérience masculine à ses 11 ans, avec un employé agricole qui en avait 35) et l’avait gardé. En effet, avec un pote de son âge, il avait ensuite pratiqué fellations réciproques et sodomies actives comme passives, et même quand ils avaient trouvé des femmes ensuite, ils avaient continué à baiser, accros aux plaisirs entre mecs. Donc, accueillir son gendre (même si mes parents ne se sont jamais mariés, pas besoin de ça) ne posa pas de problème, et Papy adora avoir une bite et un cul de mec à domicile. Quant à mon père, la grosse bite du père de sa copine le faisait bander aussi dur que le faisaient les beaux seins ou la chatte finement poilue de sa meuf. Et mon grand-père, autant actif que passif avec les gars, aimait aussi ouvrir son cul à la grosse bite de mon futur papa, qui baisait abondamment son beau-père.

Salope comme il l’était, mon futur grand-père avait facilement accepté la grossesse de sa fille, excité de la voir aussi dépravée pour tomber enceinte à 16 ans, et aussi excité par ce qu’elle et mon père lui annonçaient : un bébé qui serait éduqué dès le début pour le vice. Que mon père vienne vivre chez eux l’avait même arrangé : mieux valait afficher avec qui ma mère allait avoir un bébé, ça étouffait dans l’œuf les rumeurs sur l’identité du géniteur. Au village, les commérages auraient pu ameuter les gendarmes, si ma mère avait été enceinte sans père à exhiber. Donc, l’arrivée de mon futur papa évitait que leur inceste soit découvert. Et pour mon papy, ça lui mettait aussi une bite et un cul de mec à dispo, lui qui n’avait pas eu de fils avec qui s’envoyer en l’air. Tout le monde y avait donc trouvé son compte.

Une fois que je fus né, ma mère ne retourna pas au lycée. Elle avait 16 ans, donc plus d’obligation scolaire. Elle voulut travailler, non pas par besoin et pour m’élever, non. Mon grand-père avait une bonne situation et avait assez d’argent pour nous entretenir tous. Il vivait dans une ferme, qu’il exploitait seul, et qui donnait bien, à une époque où l’agriculture était en pleine expansion et nourrissait bien les fermiers. Mon père, qui avait arrêté les études après son bac, lui donna un coup de main, et mon grand-père l’embaucha officiellement. Le salaire, ainsi, restait dans la famille, et ça convenait bien à mon père, nourri, logé, payé et satisfait sexuellement avec sa copine et son beau-père, et bientôt son fils.

Donc, si ma mère voulait bosser, c’est qu’elle avait besoin de niquer encore plus. Elle choisit le tapin, très naturellement et sans hésiter sur la chose. Devenir pute fut pour elle un parfait alliage d’utile et d’agréable. Elle se prostitua, pour mecs comme pour femmes aimant les femmes, par plaisir plus que pour le fric, même si elle ne se brada pas et qu’elle aimait aussi gagner du fric. Elle ne fit pas le trottoir, elle tapa tout de suite dans le haut de gamme de la saloperie. Elle avait tellement baisé à gauche et à droite qu’elle avait constitué un réseau d’adresses du vice assez fourni. Et comme elle ne répugnait à aucune pratique (et je vais en reparler), elle n’eut pas de mal, via des relations de relations, à se créer une clientèle spécialisée, du genre « amateurs de perversions et bien friqués ». Tant qu’à baiser, autant que ce soit avec ceux qui ont les moyens de bien rémunérer les talents de salope de ma mère. Elle fixa donc des tarifs élevés, et ses prestations les valaient, donc elle gagna bien sa vie.

Cette clientèle ne manqua pas de la solliciter souvent. Faut dire qu’elle était jolie, ma mère, à 17 ans, peu après son accouchement. Mon père, à 18 ans, était toujours aussi beau gosse, à cette époque-là. A eux deux, c’était un joli couple, qui avait fait un beau bébé. Sur toutes mes photos d’époque, on ne peut pas dire le contraire, je suis en effet un beau bébé, à la bonne bouille de gosse heureux qui sourit beaucoup, et au joli petit corps. En grandissant, je devins un beau petit garçon, à la belle tête blonde aux yeux bleus, avec un corps bien foutu, un beau sexe pas épais mais long pour mon âge (d’après Papa, qui en était très fier) et un bon cul fait pour les bites. Un regard malicieux, une bouche qui appelle la bite dedans (entre autres choses), des petits tétons doux, c’est moi ! Et plus tard, ado, je gardais ce regard chaud et séduisant, mes cheveux soyeux et ma belle bite, avec un corps bien fait (j’habite dans une ferme, donc y a du boulot physique, ça développe). Un beau gosse, tout le monde me le dit. Et je fus prénommé Pierre, donc, mais appelé quasiment tout le temps Pierrot. Chaque jour ou presque, donc, Maman quittait la ferme familiale pour aller niquer avec des mecs ou des nanas ou les deux, à la ville voisine. Mon père la conduisait en voiture, l’attendait, ou allait avec elle pour mater et prendre son pied en la contemplant dans sa débauche tarifée. Parfois, il participait aussi aux orgies, pour son plaisir, bénévolement, et parce qu’il aimait mater sa meuf se faire baiser par tous les trous. Maman était très demandée pour le sexe en groupe, vu qu’elle était capable très aisément de se prendre une bite dans chaque trou tout en en suçant d’autres. Papa était beau mec, donc il arrivait fréquemment qu’il soit sollicité aussi par des femmes sensibles à sa belle gueule et sa grosse teub, ou par des mecs qui avaient envie de son cul. Et comme lui non plus ne refusait jamais, il en vint rapidement à diviser son activité professionnelle en deux branches : la ferme avec mon grand-père, et se prostituer comme sa copine. Tant qu’à niquer avec les clients ou clientes de ma mère, autant qu’il en soit payé, lui aussi.

Ils formèrent donc un couple de prostitués, travaillant parfois ensemble pour des couples ou des partouzes, ou séparément, chacun ayant sa propre clientèle d’habitués des deux sexes. Papa adora se prostituer, tant cela lui permettait de jouir. Cependant, son plaisir physique était intense mais cela assouvissait à peine ses énormes besoins sexuels. Mes parents, putes tous les deux et heureux de l’être, avaient en effet des besoins si intenses, que leur métier ne suffisait pas. Ce n’était pas tous les jours qu’ils allaient baiser pour du fric, donc entre deux soirées ou week-ends de sexe rémunéré, ils devaient se soulager entre eux, avec mon papy, et aussi donc avec moi. Dès ma naissance, je fus sexualisé. Je ne me souviens pas des premières années, évidemment, mais je dispose aujourd’hui de multiples photos ou vidéos de tout ce qui se faisait en ma présence ou avec moi, quand j’étais bébé puis petit garçon. Je connais donc et visualise bien tout ce à quoi j’ai participé, de mon plus jeune âge jusqu’à celui auquel ma mémoire m’en fournit directement le souvenir.

Tout bébé, je fus donc associé au sexe en famille, d’abord comme observateur. Sur les vidéos, on me voit, posé près de mes parents qui baisaient dans leur lit ou n’importe où dans la maison de la ferme, souvent avec mon papy qui prenait l’un ou l’autre ou se donnait aussi à mon père. Sur les photos et vidéos, on me voit ouvrir de grands yeux, voyant les baises sans réaliser évidemment, mais me familiarisant dès les premiers jours avec les sexes en action, les corps qui baisent, les cris de plaisir. On me voit regardant ma mère sucer son père pendant que mon père la baise (par devant ou derrière, passant souvent de l’un à l’autre) ou encule mon papy. On voit Papa sucer Papy pendant que Maman le pompe. On voit Papa prenant Maman par le cul alors que Papy la baise par devant, ou échangeant les rôles. Je voyais mes parents faire très souvent l’amour, plusieurs fois par jour. En 69, têtes entre les cuisses l’un de l’autre, Papa enculant Maman ou fourrant sa bite dans son vagin, Papa éjaculant sur les seins ou dans la bouche de Maman, ou arrosant ses poils de chatte avant de descendre lécher son propre sperme. Je voyais tout ça, tenu souvent dans les bras de Papy qui me faisait regarder les ébats de sa fille et son amoureux.

Sur les photos ou vidéos, on me voit aussi dans les bras de Maman qui me berce pendant que je vois Papa et Papy en 69 ou s’enculant. Et puis, âgé de quelques mois, on me voit me faire sucer doucement, ou lécher le zizi, plutôt, par Papa ou Maman, qui me couvrent de baisers sexuels, insistant sur mes couilles minuscules, ma bite (très vite bandée) ou mes fesses. Bien sûr, on me voit téter ma mère, parfois en compagnie de Papa qui déguste l’autre sein en me souriant. Papy aussi, parfois, léchait un sein de la mère pendant que je tétais l’autre. Papy aimait également lécher ma teub de bébé, en disant qu’il fallait commencer au plus vite. Apparemment, j’aime ça car on me voit bien bander, sur les photos.

Oui, sur les archives familiales, on me voit bander dur en voyant ça, à croire que même sans comprendre ce qui se déroulait sous mes yeux, ça m’excitait, surtout quand on me léchait la bite, mes couillettes ou mon cul. Ça doit être dans les gènes, d’aimer instinctivement la saloperie. Du coup, elle me fut naturelle, puisque j’y fus formé dès la naissance. Et ça ne s’arrêtait pas à contempler mes parents et grand-père baiser en tous sens. Toutes leurs pratiques me furent partagées, d’abord simplement pour les regarder se faire puis pour y participer, dès que je fus un peu plus âgé.

Dès que je sus marcher, vers 11 mois, je pus aisément aller vers mes parents ou mon papy quand je le voulais. Je déambulais, ils m’attrapaient dans leurs bras, et je les touchais partout, autant qu’ils me caressaient doucement. A la maison, on vivait en slip. Papa et Papy portaient des slibards bien ajustés pour mouler leurs culs et leurs queues. Maman mettait de petites culottes presque transparentes, qui laissaient bien voir sa petite toison pubienne et ses lèvres. Souvent, pas de soutien-gorge, elle arborait ses magnifiques seins, que Papa ou Papy pelotaient très souvent. J’adorais aller plonger ma petite main dans les slips des hommes et animer leur bite ou toucher leurs couilles, mettre mes doigts dans les poils, ou aller caresser la chatte de Maman dans sa culotte. Non seulement ils ne disaient jamais non, évidemment, mais ils m’y encourageaient. Quant aux seins de Maman, j’adorais les téter, même quand je fus sevré, ou juste passer mes doigts dessus. Et ça la faisait fortement mouiller, que son bébé la caresse comme ça.

Pouvant marcher, je découvris la liberté d’aller voir tout ce que j’avais envie de voir, quand j’en avais envie, dans la maison. Ce fut ainsi très naturel pour moi de voir mes parents pisser et chier, quand ils étaient aux WC, puisqu’ils laissaient toujours la porte ouverte. Pour moi, tout petit, ce n’était alors que très banal de trottiner derrière Papa ou Maman quand il ou elle allait aux toilettes, et de les y mater. Ils m’appelaient même pour que je les regarde, et j’adorais les voir pisser et chier. Ça me fascinait, tout comme ils me contemplaient faire mes besoins au pot et que j’aimais aussi qu’ils me regardent. Sans savoir expliquer pourquoi, j’aimais être contemplé dans cette activité pourtant banale, surtout chez nous. Peut-être parce que mes parents me félicitaient sur mes productions ? « Oh, quel gros caca ! Oh, le joli pipi ! » furent des paroles que j’entendis beaucoup dans ma petite enfance. Et cela m’émoustillait, me dit-on plus tard.

Le caca et le pipi ne se faisaient pas que dans les toilettes, je l’appris vite, car ça faisait partie de la sexualité de mes parents, et pas qu’un peu. Chacun avait d’ailleurs sa préférence. Ma mère adorait la pisse, elle buvait mon père quasi-systématiquement à chaque fois qu’il avait envie, ou dégustait aussi mon pipi très souvent quand je manifestais une envie d’uriner. Si ce n’était pas dans sa bouche que mon jet doré atterrissait, c’était sur son corps, car elle adorait me faire couler le pipi entre ses seins nus, pour tremper les poils de sa chatte. Elle frissonnait de vice et de bonheur quand je prenais l’initiative d’introduire mon petit zizi dans sa culotte, par le côté, et d’y lâcher ma pisse. Sa culotte se trempait, ça ruisselait sur ses cuisses et jambes, et elle en jouissait énormément, ravagée de plaisir par le vice naturel de son petit garçon, surtout si, ensuite, je me penchais sur son pubis pour lécher sa culotte pisseuse. Des fois, avec Maman, on allait prendre le bain à deux et ça commençait par des plaisirs uros. On s’installait dans la baignoire vide, on faisait pipi. Parfois, Papa pissait aussi, pour qu’il y ait une belle flaque de pisse dans la baignoire. Alors, avec Maman, on s’allongeait dedans, on s’embrassait sur la bouche avec la langue, on se roulait dans nos pipis, on en prenait dans le creux des paumes des mains pour le faire couler sur nous, on léchait nos mains, on en buvait en se l’échangeant dans des baisers. On se refaisait pipi dessus, Maman se redressant pour m’enjamber. J’étais fasciné par le spectacle de sa chatte qui pissait sur moi. J’adorais la bite de mon père, mais le voir pisser était moins impressionnant : moi aussi j’avais une queue, et donc j’étais habitué à voir des zizis qui pissaient, entre mon papy, mon papa et moi. En revanche, Maman ne pissait pas comme nous, et ça, c’était fascinant à observer. Je pissais ensuite sur elle, elle prenait mon zizi en bouche et buvait, ça coulait partout, on faisait des câlins dans le pipi, c’était trop bien. Je bandais tout le temps mais j’arrivais quand même à faire pipi (comme Papa, qui sait aussi faire pipi même quand il bande). Et puis je mettais ma main dans sa chatte, elle criait de plaisir, elle me doigtait le cul, on jouissait comme ça. Des fois, je mettais mon zizi dans sa chatte, mais j’étais petit, ma bite aussi, ça ne lui donnait pas énormément de plaisir, donc elle préférait vraiment que je mette toute ma main, et là elle jouissait très fort. On léchait ma main, elle avait plein de cyprine, c’était chouette. Des fois, Papa venait aussi faire du pipi avec nous, et là il en faisait beaucoup, donc on s’amusait encore plus. Après seulement, on faisait évacuer le pipi, on ouvrait le robinet d’eau et on se lavait. Et Maman mettait du produit moussant, on jouait avec la mousse, elle me lavait, elle me faisait un câlin, c’était super bon. Maman est une salope perverse, mais c’est aussi une maman super gentille, très love de moi, et qui était hyper câline et attentionnée. Quand la douceur s’ajoute au vice, je vous assure que le mélange est divin !

Papa, lui, adorait le caca, et donc c’est plutôt avec lui que je m’y adonnais (même si Maman aussi faisait parfois du caca avec moi quand elle était très excitée). D’après ce qu’il me dit plus tard, mon père avait découvert les plaisirs scatos assez jeune, en étant d’abord fasciné par ses étrons dans son pot d’enfant ou dans la cuvette des WC. Il adorait aussi le fond de ses slips quand il les avait bien portés, et ne tarda pas à les sentir et à en bander bien dur. Il continua en les léchant et aima le goût. Il se branla vite en entourant sa queue dans ses slips, retournés pour que le fond frotte contre sa queue. Il acheva en touchant son caca dans la cuvette des chiottes, en promenant sa langue sur ses doigts merdeux. Allant de plus en plus loin, il prit sa merde en bouche, se faisant jouir en la gardant entre ses lèvres. Ne restait alors plus qu’à en manger, ce qu’il fit peu à peu. Le cap était passé, il prit l’habitude de souvent s’amuser avec son caca, en attendant de le faire avec d’autres. Il aima se branler à la merde, étalant son caca sur ses couilles et sa bite, jouissant beaucoup. Ado, il récupéra ensuite son sperme merdeux pour l’avaler. Bref, ayant passé tous les caps de la dégustation, de l’étalage et de la baise crade, mon père était un véritable obsédé de la merde, et il me transmit cela très naturellement.

Pour moi, quand fut passé l’âge du pot, tout naturellement, j’allais pisser avec Maman ou Papa (qui aimait aussi la pisse), et surtout j’aimais aller chier avec Papa, posé entre ses cuisses sur le siège des WC. On adorait pousser ainsi ensemble, moi tenu entre ses bras, ce qui était très câlin aussi. On entendait le « floc » des étrons tombant, dans l’eau de la cuvette, et ça m’amusait, surtout si cela suscitait de petites éclaboussures sur mes fesses. Puis, avec Papa, on regardait ces étrons dans l’eau du fond du WC, comparant les tailles et les couleurs.

Puis, tendrement, Papa me faisait poser les mains sur le mur, cul tendu vers lui, et me nettoyait à la langue, savourant le reste de mon caca entre mes fesses ou dans mon trou. Très peu d’usage du papier hygiénique, chez nous ! Il m’arriva souvent d’expulser mes dernières crottes directement dans la bouche de Papa quand il me nettoyait l’anus. Je bandais alors, avec mon petit zizi de gosse, de voir le plaisir de mon papa à mâcher mes bouts de caca et s’en régaler. Il bandait dur lui aussi, je caressais son gros membre (un de mes grands plaisirs, ça), et il me le mettait alors dans mon trou bien dilaté et lubrifié par mon caca. Il me ramonait, on couinait de plaisir et on jouissait tellement fort ! Moi aussi, très vite, je fus attiré par son cul encore merdeux, et j’aimais le lécher, nettoyant mon papa comme lui m’avait nettoyé. Lui, il avait un cul poilu, et les morceaux de caca y restaient accrochés. C’était alors mon plaisir de les décrocher avec mes doigts ou mes dents, un à un, de les manger (quel plaisir !) et de ne m’arrêter que quand le cul de Papa était tout propre. Ça le rendait fier, mon papa, de voir son petit homme aussi gourmand de merde que lui. Vrai fils de son père !

Le goût de son caca me devint très familier, et je l’aimais énormément. Papa m’apprit aussi, très petit, à bien faire dans mon slip et à me donner du plaisir en me branlant le zizi dans mon caca emplissant le slip, à me lécher les doigts et carrément même à enlever mon slip pour le passer sur moi et bien étaler mon caca sur mon petit corps, avant d’enfourner mon slip dans ma bouche pour déguster ce qui restait. Pratique délicieuse, que je fis aussi avec le slip rempli de mon père, pendant que lui se gouinait la gueule avec mon slip d’enfant rempli de mon caca chaud. On adorait particulièrement un moment très intime, rien qu’à nous avec Papa. Ça commençait souvent par un gentil câlin, tous les deux en slip et moi dans ses bras. Papa, entre deux caresses et deux bisous (souvent sur mes lèvres) me disait :

- Mon Pierrot, on pousse dans nos slips ? On fait caca-slip ?

- Oh oui, Papa !!

C’était trop bien, de sentir Papa pousser, de me lâcher en même temps dans mon slip, de partager ça tous les deux. Il me serrait fort, passait la main sous mon slip pour tâter la masse molle, je faisais pareil, excité de sentir le caca de mon père tendre son slip vers le bas. On se roulait des pelles, trop excités pour se contenter encore d’un banal câlin, et puis Papa me demandait :

- On fait quoi, maintenant, mon chéri ? On fait quoi avec le caca, Pierrot ?

- Ben, on le mange, Papa !

Et oui, le plus bandant, c’était alors de descendre nos slips aux chevilles, de mater les deux bonnes masses merdeuses qu’on avait chiées au fond des slips, puis de poser à terre les slips et d’y plonger la tête pour dévorer ces délicieuses productions de nos intestins. Selon les cas, on bouffait chacun le sien, on échangeait ou on mélangeait, on partageait. J’adorais voir mon père déguster sa merde et s’en régaler, tout comme il bandait de voir son fils se gaver de son caca dans son slip de gamin. Et tout ça en échangeant plein de pelles merdeuses, en s’en tartinant aussi les tétons, les couilles, les bites, le ventre. On se caressait avec le fond des slips encre merdeux, on bandait comme des pierres, on jouissait à fond et on s’aimait tout simplement comme des amoureux, avec mon papa. Et avec Maman aussi, parfois parce qu’elle aimait bien nous mater et ça l’excitait parfois si fort qu’elle faisait aussi dans sa culotte et elle nous rejoignait pour ajouter du caca en nous offrant le sien, en s’en étalant elle aussi, en en prenant dans sa bouche pour nous embrasser. Et Papa la fourrait alors avec sa grosse queue, pendant qu’elle me léchait le corps, dégustant le caca de son petit chéri et mouillant de la chatte comme la salope qu’elle était.

Il arriva même que Maman soit surexcitée au point de ne plus avoir la moindre hésitation. Dans ce cas-là, elle était tout aussi scato que Papa et moi. Ce ne fut pas régulier mais ça arriva. Je me souviens d’une baise, quand j’avais 6 ans. Maman était devenue folle de désir (pourquoi à ce moment-là particulièrement ? je ne sais plus), encore plus dingue de rut que d’habitude. Elle gueula (pas d’autre mot) à mon père qu’elle voulait bouffer sa merde, qu’elle voulait qu’il la gave de merde. Papa le voulait aussi, bien sûr, il voulait toujours. Alors je les vis, en 69 sur le sol de leur chambre, sur le flanc, la tête entre les cuisses de l’autre, se chier dans la bouche mutuellement, et tout dévorer comme des affamés. Amoureux comme ils l’étaient, ils voulaient tout l’un de l’autre, comme des cadeaux. Maman se goinfrait d’un énorme étron que Papa lui chiait, Papa dégustait les petits boudins que Maman expulsait un par un, et tout ça en grognant de bonheur. J’en fus si excité que je les rejoignis, ajoutant mon petit caca à l’orge familiale, partageant avec Maman ce que Papa lui avait offert, et qui maculait son menton, son nez, ses lèvres, c’était même un peu tombé sur ses seins, et c’est là que je le mangeais. Elle était si belle, Maman, avec le caca de son mec… Papa avait 24 ans, Maman en avait 23, ils étaient magnifiques, amoureux fous, et Papa m’encula à fond pendant que je léchais les nichons de Maman, et on jouit tous comme des dingues !

Cette réciprocité, ce partage dans le crade renforçaient notre inceste et faisait de nous des complices de caca, avec Papa, comme j’étais aussi très complice de pipi avec Maman. Mais, comme je l’ai dit, j’étais complice aussi de caca avec Maman, de temps à autre, et de pipi souvent avec Papa, car il adorait aussi sentir que je l’arrosais de mon pipi tout doux, ou le boire entièrement. Papy n’aimait pas qu’on lui pisse dessus, mais il aimait qu’on pisse tous ensemble. Quand on bossait dans les champs, il arrivait souvent qu’il dise :

- Allez, que tous ceux qui ont une bite aillent pisser !

Et ça l’excitait de voir trois générations sortir leur bite et uriner côte à côte, complices de pisse. Un truc de mec, ça, et il aimait qu’on soit comme ça des mecs entre nous. Le grand-père, le papa, le fils pissant ensemble, deux grosses queues et mon petit zob, tous bien fiers de pisser en famille et d’exhiber nos queues, on jouait aussi à celui qui pisse le plus longtemps, le plus loin. Moi, trop petit, je perdais, jusqu’à l’adolescence, mais je riais bien de faire tout ça. Et comme ça nous excitait de mater nos teubs, on ne résistait pas ensuite à se branler. Papy et Papa éjaculaient (et là aussi, on voyait qui jutait le plus loin, combien de jets chacun, qui mettait le plus longtemps avant de finir de juter), moi je jouissais à sec, et notre complicité de mecs en sortait à chaque fois renforcée.

Bref, comme Papy ne kiffait pas le crade (sauf à regarder), avec mes parents nous étions trois chiottes et ça nous filait un plaisir incroyable. Plus grand, on ajouta le débourrage direct en bouche, avec Papa. J’adorais aller m’accroupir au-dessus de son visage et chier ainsi, le voyant se nourrir de mon caca, bandant comme un taureau, surexcité par ce plaisir. Il me rendait la pareille, évidemment, et j’adorais lui bouffer au cul ses gros étrons. Chacun le chiotte de l’autre, un principe de vie partagé tendrement avec mon père. Combien de fois, dans la journée, je suis allé vers lui, qui correspondait via internet avec ses clients pour planifier ses passes à venir, et pour lui indiquer que je voulais faire caca ! Chaque fois, mon complice de chierie souriait, me prenait dans ses bras, m’embrassait et me faisait débourrer sur lui, dans sa bouche, sur sa bite (immédiatement raide), et ajoutait souvent sa merde à la mienne, pour une grosse jouissance incestueuse.

Des fois même, en pleine nuit (parce que je dormais très souvent avec mes parents, on adorait ça, d’être tous ensemble), alors que ma mère roupillait dans son coin du lit, il arrivait que j’entende Papa susurrer tout bas à mon oreille : « caca-slip, mon chéri ? » et j’approuvais en hochant la tête avec enthousiasme. On chiait alors dans nos slips en se faisant un câlin, on se rendormait, heureux de s’être lâchés ensemble, complices et love. On s’éveillait le lendemain dans les bonnes odeurs de caca, le slip plein évidemment, même si parfois ça avait débordé sur le lit pendant notre sommeil.

- Deux cochons, père et fils même combat…. disait ma mère au réveil, en souriant.

Et comme elle-même, souvent, s’était lâchée dans sa culotte pendant la nuit, devant souvent, derrière parfois, elle ne râlait pas mais s’amusait et mouillait de voir nos plaisirs sales et ça donnait le départ à un câlin du matin à trois, très crade et très jouissif, pour bien débuter la journée. Parce que, évidemment, indépendamment du caca et du pipi, la base de notre vie restait l’inceste. Nous passions des heures, tous les trois, à baiser. Papa m’enculait pendant que je broutais la chatte de Maman ou mordillait ses nibards (qu’elle avait bien fermes et droits, et bien bombés, de magnifiques seins que j’adorais bouffer pendant des heures, couché sur elle et mon petit pied enfoncé dans sa chatte trempée, en même temps). Maman me léchait le trou du cul alors, assis sur sa bouche, je matais la bite de Papa qui allait et venait dans sa chatte. Ou je faisais pipi sur eux pendant qu’ils baisaient comme ça. Ou Papa nous arrosait de sa bonne jaune pendant que je léchais la chattoune poilue de Maman (elle ne s’épilait pas, les poils l’excitaient autant que son père ou le mien, mais elle élaguait pour que ça ne dépasse quand même pas trop). Bref, on explorait des tas de combinaisons qui nous faisaient beaucoup jouir. Je prenais mon orgasme à sec, bien sûr, j’avais 2 ans, 3 ans, etc. mais je ressentais très fortement le plaisir, et j’aimais le faire avec mes parents ou mon papy.

Gros queutard pédo aussi, Papy. Lui n’était pas vraiment branché pipi-caca, et il ne le pratiquait pas mais il aimait parfois nous voir le faire. Il se branlait comme un malade en nous matant dans nos jeux crades, et il jouissait beaucoup. Mais il ne sautait pas le pas. Même bien dépravé, il répugnait à passer au caca, et il ne nous rejoignit pas dans ces plaisirs-là. Pas grave, car, pour le reste, il me léchait mon sucre d’orge et ma chatte de garçon, et surtout il me bourrinait le cul bien fort, m’offrait son sperme épais à boire et j’adorais. Papa était très tendre, très aimant avec moi, j’étais son petit homme, comme il m’appelait, et donc il me baisait toujours doucement. Papy m’aimait très fort aussi mais il aimait plutôt me démontrer qu’il était le chef de toute la famille, et donc il baisait Papa bien rudement (ce que mon père adorait subir) et il me prenait aussi bien fort, mais toujours en sachant ne pas me faire mal, ou tout juste un peu. Je ressentais sa puissance de mâle et c’était bon, trop bon de sentir son jus inonder mon cul ou ma bouche. Le sperme de Papy était plus âcre que celui de Papa, mais Papa en produisait plus, et moi j’aimais les deux. Et j’aimais aussi la cyprine de Maman, parce qu’elle coulait beaucoup quand Papa et moi on lui bouffait la chatte, ou que je la broutais tout seul. Et j’adorais ça, de brouter Maman, c’était aussi bon que de sucer les bites de Papa et Papy, avec leurs mouilles de gland. Mettre ma langue entre les lèvres intimes de Maman, lécher son clito, boire sa cyprine pendant qu’elle gueulait sa jouissance, c’était super ! Elle pissait aussi en jouissant, des fois, et j’adorais boire sa pisse, ou la laisser jaillir sur mon visage, en avoir qui coule partout. Si bon !!! Je pouvais passer des heures à brouter la foufoune de Maman, elle jouissait plusieurs fois, et moi aussi, en caressant ma petite quéquette comme Papa me l’avait montré. J’avais une adoration absolue pour la chatte de ma mère. Et même si Papa et Papy la bouffaient très bien, elle me disait que j’étais le meilleur bouffeur de chatte de la famille. Ma fine bouche de gamin devait être plus délicate en elle, sûrement, et mieux la faire jouir. Avoir la tête entre les cuisses de Maman, franchement, c’était un plaisir dont je ne me lassais pas, et le goût de sa cyprine m’enivrait autant que les odeurs de ses culottes ou celles des slips de Papa et Papy. Je dévorais sa moule, connaissant chaque repli, son petit bouton, ses poils que j’aimais aussi lécher ou enrouler sur mes doigts fins. Quand j’entendais Maman me dire : « Mon Pierrot, tu viens mettre ta jolie main dans ma culotte ? » ou « Mon cœur, tu viens me lécher la foufoune ? », je frétillais du zizi, parce que je savais qu’on allait jouir tous les deux, et c’était pour moi la meilleure manière de montrer à ma maman combien je l’aimais.

Oui, je me sentais comme le petit amoureux de ma maman, qui m’adorait autant que je l’adorais. Je passais des journées entières, nu avec elle, la tétant (bien qu’elle n’ait plus de lait), la broutant, lui faisant sucer mon zizi ou mon petit trou, partageant tout ce qui sortait de nous, me goinfrant de sa culotte sale et odorante (un doudou aussi génial que les slips crades de Papa !). Papa nous regardait, nous appelait « ses amours », et venait jouir avec nous et sur nous, souvent. Moi, j’étais très heureux. Je recevais beaucoup d’amour de mes parents et de mon grand-père, car l’obsession du vice n’empêche pas d’aimer. Au contraire, être aussi salope précoce que mes parents renforçait notre amour familial. J’adorais rester à la maison en slip, des journées entières, à l’image de mon père qui aimait vivre ainsi. Un truc d’hommes, comme il disait, et j’étais fier d’être considéré comme un homme, moi le petit de 3-4 ans. Grosse complicité de mecs, avec Papa. On se fourrait la main au slip très souvent (aussi bien lui que moi), on se montrait nos bites, et avec Papy aussi. Vers 3 ans, fasciné par les zobs, je restais de longs moments à mater les bites de mon grand-père et mon père, qui viraient complaisamment leurs slips pour me laisser mater leurs teubs. Assis entre eux sur le canapé du salon, je touchais les gros engins, je touchais leurs couilles, je passais mes doigts dans leurs poils pubiens. Evidemment, ça les faisait bander. Je matais, fasciné, ces grosses bites dressées, je les caressais, ils se branlaient, je bandais, ils me touchaient aussi, et quand leurs spermes jaillissaient, je les dégustais comme du lait, léchant tout sur eux jusqu’à ce qu’il n’en reste plus une goutte. Maman, matant cela, se doigtait la chatte ou se godait, puisqu’elle avait plusieurs sextoys, que Papa aimait aussi s’enfoncer dans le cul.

J’adorais surtout toucher mon père, dont la bite était un peu plus longue que celle de Papy. Ses couilles étaient grosses, et j’aimais les lécher, Papa m’avait appris à le faire en me montrant comment il léchait celles de Papy. Je comparais avec mes petites couilles à moi, avec mon petit zizi, et c’était cool de se comparer ainsi avec Papa, qui me touchait beaucoup et me branlait souvent. On ne se limitait pas aux bites et burnes. On se roulait aussi des pelles et on se bouffait les culs… Ah, le cul de Papa… Musclé, poilu, odorant, souvent sale… J’adorais aller le sentir, enfouir ma petite tête entre ses fesses et lécher ce trou entouré de poils où des bouts de caca trainaient bien souvent. Et lui était dingue de mes petites fesses roses, qu’il léchait aussi très longtemps. J’étais son petit homme, il était mon modèle, mon papa, et je l’aimais comme un fou. Aujourd’hui encore, quand je revois des photos de cette époque, j’en suis ému, en me revoyant, petit garçon dans les bras de son papa, lequel porte un regard plein d’amour et de fierté sur son petit gars. Et quand je vois les photos (prises par Papy) sur lesquelles Papa me roule des pelles (langues bien sorties pour qu’on les voie), me broute le trou ou m’encule, ça me fait encore bander. L’air de plaisir intense que j’arbore est assez explicite, en plus.

A quel âge ai-je été enculé ? Vers deux ans et demi, environ. Mon trou était très souple, bien élastique, abondamment léché par les parents et mon papy, travaillé avec les doigts très souvent, et quand mon père m’a baisé pour la première fois, j’ai pleuré (la vidéo le montre) mais la douleur est vite passée, et on entend bien mes cris de plaisir, ensuite. Juste avant, je jouissais déjà beaucoup quand on me doigtait ou me bouffait la pastille. Je jouis encore plus quand je découvris la sodomie. Jamais, depuis, je n’ai pu m’en passer. Aujourd’hui encore, adulte et toujours bisexuel comme toute la famille, il me faut une bite au cul plusieurs fois par jour. Heureusement, mon métier de pute me permet ensuite de bien satisfaire ce besoin. Revenons à mon enfance. Papa, donc, me baisa ensuite très souvent, Papy aussi, et leurs bites en moi me donnèrent des orgasmes magnifiques. Je kiffais à fond me faire enculer par Papa en suçant Papy, avant qu’ils échangent les positions. J’aimais aussi regarder Papy enculer mon papa, puis mon papa sodomiser mon papy, ou les voir se juter dans la bouche, parfois en 69. J’exultais d’aller alors les embrasser pour que chacun me donne à boire de ce bon jus de couilles, dont je raffolais totalement. Mais le mieux, c’était quand même de me faire enculer, et je sais que Papa et Papy jouissaient beaucoup d’enfiler un gosse de pas encore trois ans. Je réclamais beaucoup de sodomies, Papa me prenait pendant que Papy le prenait aussi, puis ils échangeaient et papa basait Papy qui me sautait. Comme on bandait et jouissait !

Evidemment, j’adorais aussi ma maman, si belle et si chienne. Tiens, en parlant de chienne… Etant dans une ferme, nous avions évidemment accès facilement à des animaux, et bien sûr, mes parents n’allaient pas rater cette occasion d’augmenter leurs plaisirs. Ma mère avait découvert ça assez tôt, puisque son père lui-même aimait niquer avec des animaux. Papy élevait quelques brebis et chèvres, et il les avait donc fréquemment fourrées, et il aimait le plaisir zoophile, autant pour l’orgasme que pour l’idée du vice que cela représentait. Aimant aussi se faire enculer, il se donna aussi à ses chiens, qui le grimpaient pour le saillir, le laissant épuisé de plaisir quand ils se retiraient de lui après avoir rempli son cul de sperme. Maman, petite, le vit souvent faire cela, et elle aimait alors venir lui lécher le cul pour récupérer le sperme canin, aussi apprécié que celui de son papa. Ce dernier vit donc vite qu’elle était attirée par la zoophilie, comme lui.

Aussi, quand il l’eut dépucelée, il la guida pour qu’elle prenne son plaisir avec les chiens de la ferme. Il lui montra comment faire sortir leur sexe du fourreau, comment le sucer, comment enfin se faire baiser par le chien, toujours en sa présence pour contrôler ça, surtout au moment où le chien veut se retirer mais que son zob est noué à l’intérieur. Maman adora ça très vite, c’était aussi bon que la bite de son papa. Et le sperme de chien était délicieux aussi, comme celui de son papa, là aussi. Du coup, elle baisa fréquemment avec les chiens de la ferme, trouvant rapidement les bonnes positions pour se faire prendre, par devant ou derrière, car les chiens connurent son cul comme sa chatte. Sur le dos, à quatre pattes, sur le ventre, elle s’offrit aux bites de clebs dans toutes les positions. Il lui en fallut plus, donc elle goûta aussi à la bite de l’âne qui était présent aussi à la ferme. Elle le suçait avec son père, car tous les deux adoraient faire juter l’âne en le suçant et le branlant, pour avaler son foutre.

Evidemment, quand mon père vint vivre avec eux, il s’associa à ces plaisirs et baisa aussi avec les animaux, sautant à son tour chèvres et brebis, après apprentissage par mon grand-père. Et Papa aussi, bien sûr, fila son cul aux deux chiens de la ferme, dressés à bien niquer les fions humains. Et comme sa copine et son beau-père, Papa adora ça et le fit souvent. Inutile de dire que, à mon tour, quand l’âge le permit, je goûtais à ça. Papa tenait les pattes de la brebis, la première fois que j’introduisis mon petit zizi en elle. J’avais quatre ans, et je pris du plaisir à la fourrer ainsi. Idem avec une chèvre, le lendemain (bel orgasme, là aussi). Quant aux chiens, leurs teubs n’étaient pas plus épaisses que celles de Papa et Papy, donc j’avais pu me les choper au fion vers l’âge de trois ans, et le plaisir avait été magique. Là encore, mes parents et mon papy étaient là, contrôlaient, retenaient le chien pour que ce ne soit que plaisir pour moi. Ce fut le cas, j’adorais le plaisir donné par cette bite qui me ramonait à toute vitesse, et je me fis souvent saillir, fier et excité de me sentir la femelle de nos chiens (avec lesquels je jouais, en dehors du sexe). Les chiens étaient mes amis, et j’aimais comment ils venaient mettre leurs museaux entre mes fesses, dans nos jeux, et me flairer le cul à travers mon slip pour me dire leur désir de me grimper, ce à quoi, évidemment, j’accédais tout de suite. Assez vite, on avait pris nos marques ensemble, et je pouvais me faire baiser par l’un ou l’autre des chiens sans que mes parents aient besoin d’être là. J’adorais comment, après son retrait, un chien lapait son sperme coulant de ma chatte !! Je lui roulais des pelles pour le partager avec lui, et nos langues se rejoignaient, et ça me chatouillait le visage, ce qui m’amusait beaucoup ! Je ne me faisais pas pénétrer à chaque fois, il m’arrivait de simplement sucer le chien et le faire juter dans ma bouche, pour avaler son sperme, délicieux. Mon grand plaisir était aussi de mettre un des deux chiens sur le dos, et de le sucer pendant que l’autre chien me baisait. Sperme en bouche, sperme au cul, j’étais les trous à foutre de nos chiens, et j’adorais l’être ! Enfin, je goûtais très vite, petit, aux cacas et pipis des chiens, et je les aimais. Souvent, je jouais avec les cacas des chiens ou me branlais avec, en compagnie de Papa qui ne résistait jamais à de belles merdes, d’où qu’elles viennent.

C’était vraiment une vie de rêve, un bonheur absolu, avec beaucoup d’amour, des plaisirs inouïs, sans oublier le porno à la télé familiale, que j’aimais contempler en fourrageant dans mon slip avec ma petite main de gamin. Papa regardait souvent les films X avec moi, on commentait les positions, on parlait de la taille des bites des acteurs ou des nichons des actrices, on aimait les voir baiser. Papa m’expliquait plein de trucs sur le sexe, m’apprenant les mots des pratiques que je voyais à l’écran. Je sus donc que quand un homme met son zizi – sa bite, sa queue, sa teub, son zob, son chibre, plutôt – dans le cul d’un homme ou d’une femme, c’est une sodomie. Que quand on suce un zizi, c’est une fellation. Que quand on lèche une foufoune (comme je le faisais souvent à Maman), c’est un cunnilingus, ou juste « un cunni », ce que je préférais parce que le mot entier était quand même compliqué à dire pour le bambin que j’étais. A mater du porno avec les commentaires de Papa (et parfois Maman, qui aimait bien ces films aussi) j’appris encore beaucoup d’autres mots à appliquer aux pratiques, parce que, évidemment, on ne se contentait pas du porno classique. Papa comme Maman aimaient aussi le porno crade, pédo, zoo, et bisexuel à chaque fois. Alors je matais à l’écran et je nommais ce que je faisais aussi à la maison : des gens se chier et pisser dessus et déguster ça, des adultes baisant des gosses, des femmes ou des hommes saillis par des chiens, des chevaux, des porcs. Et ça nous excitait tellement de voir ça qu’on sortait nos queues de nos slips, on se branlait ensemble, avec Papa, Maman, parfois Papy et très souvent, on baisait aussi en continuant à mater le film.

Tout petit donc, je sus nommer les pratiques sexuelles, et cela contribua à l’excitation familiale. Je le comprends quand je revois les vidéos que Papy tournait, alors. Comme tous les grands-parents, il filmait ou photographiait beaucoup son petit-fils, et Papa et Maman le faisaient souvent aussi. Sur les films de cette époque, que je revois parfois, on m’entend donc, à 3-4 ans, dire de ma petite voix d’enfant des phrases comme :

- Maman, je peux pisser sur ta chatte ?

- Papa, tu me montres tes couilles et ta queue, s’il te plait ?

- Dis Papa, j’ai envie de te chier dans la bouche…

- Papy, tu veux bien m’enculer très fort ?

- Papa, je peux aller sucer Tobby ? (notre labrador)

Je comprends que cela excitait ma famille, car j’avais vraiment une mignonne petite voix très douce. Entendre cette tonalité prononcer ces mots vicieux, ça ne pouvait qu’exciter, et quand je suis devenu père à mon tour (j’en reparlerai plus tard), j’ai ressenti moi aussi cette excitation salope à entendre ma fille ou mes garçons me demander de leur chier dessus, de les enculer ou de leur juter dans la bouche. Pour mon grand-père et mes parents, me faire verbaliser tous mes désirs, toutes mes habitudes, avec les mots les plus crus et sales, c’était une pratique sexuelle de plus, et je prenais plaisir moi aussi à m’y adonner. Finalement, parmi toutes les choses sexuelles qui pouvaient se faire (en excluant le sado-masochisme et le vomi, que personne n’aimait chez moi), il ne me restait qu’un truc à essayer et que je n’avais pas encore expérimenté : faire la pute.


Chapitre 2

Précision (que j’aurais dû insérer en début du chapitre 1) : je tiens ici à remercier Courtou, dont j’adore les récits, parce que le chapitre 11 de son « Christian », qui se déroule dans une ferme, m’a donné l’idée de cette histoire. Amical salut à lui, donc !


Comment en suis-je venu à la prostitution, moi aussi ? Comme pour tout ce qui précède, très naturellement. Il arrivait que ma mère, quand j’étais bébé ou petit garçon, m’emmène avec elle lors de ses rendez-vous professionnels. Si mon père était de son côté, si mon grand-père était trop occupé à la ferme, personne n’était dispo pour me garder, et vous comprenez bien qu’on ne faisait pas appel à des gens extérieurs, pour ne pas révéler notre mode de vie. Alors Maman m’emmenait parfois avec elle. Je rappelle qu’elle ne faisait pas de banales passes avec le premier venu, mais qu’elle se vendait aux membres de réseaux spécialisés, que ses clients étaient des pervers assumés, qui ne se choquaient pas de voir un bébé de quelques mois ou un petit garçon d’un an ou deux contempler leurs ébats avec sa maman. Pour ses clients, ça les excitait souvent de se voir matés par un bambin. Un surplus de perversion, qui pimentait plus encore une sexualité déjà riche de déviances. Pour moi, je ne faisais que voir Maman faire avec des hommes ce qu’elle faisait à la maison avec Papa et Papy. Plus original, c’était quand Maman couchait avec des femmes. N’en ayant pas d’autre à la maison, ça, en revanche, c’était nouveau. Je ne me rappelle pas mes réactions à voir ça, mais mes parents m’ont beaucoup raconté, plus tard, comment j’ouvrais des yeux étonnés à voir Maman se gouiner avec une dame. Et comment ma petite queue se dressait, signe de mon excitation naturelle et inconsciente. Aucun souvenir de mes premières contemplations de ces ébats-là. Je me souviens par contre de ceux que je voyais, plus tard, quand j’étais âgé de 5-6 ans, époque de souvenirs marquants que je garde encore en tête.

Il faut dire qu’à cet âge-là, je ne faisais plus que regarder. Je participais déjà. C’est venu assez rapidement. D’après mes parents, les propositions de me faire participer aux débauches vinrent de leurs clients assez vite. Pour les pervers qui payaient mes parents pour baiser avec eux, la pédophilie faisait évidemment partie des pratiques. Quant à mes parents, que je baise avec d’autres qu’eux et mon papy ne pouvait que les exciter, mais seulement si je le voulais : pas question de me forcer. Alors, quand j’avais deux ans et demi, ils me demandèrent, un soir, si je voulais ne pas me contenter de regarder, quand de temps à autre ils m’emmenaient dans leurs activités, et si je voulais moi aussi baiser avec leurs clients et eux. J’ignorais encore pas mal de choses, mais je savais que mes parents gagnaient de l’argent (avec lequel on m’achetait des jouets, notamment, ce qui me plaisait donc) en faisant à l’extérieur ce qu’ils faisaient entre eux à la maison. Et vu que j’adorais tout ce qu’on faisait ensemble, j’approuvais vivement, très joyeux de m’amuser aussi avec les « amis » de mes parents, et de prendre du plaisir avec eux comme j’en avais avec ma famille. Plus de sexe encore, pour moi c’était une récompense !

Oui, ce qui comptait le plus pour moi, outre de faire plaisir à mes parents que j’adorais, c’était de jouir. J’ignorais ce mot, mais je savais bien ce que je ressentais dans mon corps quand Papa ou Papy m’enculaient (mot que j’avais vite appris à connaître), que Maman me suçait le zizi, ou qu’on se chiait ou pissait dessus, sans parler des joies que j’avais avec les chiens de la ferme, ou tout le reste. Oui, faire comme mes parents, ça allait être une grande source de plaisir et j’en battais des pieds et des mains de joie, à l’avance. C’est ainsi que, dès l’âge de 2 ans et demi, je devins prostitué, sans savoir le sens de ce mot, mais en adorant immédiatement cet apport d’orgasmes en tous genres.

Je me mis donc à travailler, accompagnant Maman ou Papa dans leurs œuvres. Papa sautait des femmes dont je léchais les seins ou que je régalais de mon pipi (celui des enfants est plus délicieux encore que celui des adultes, se disait-il) pendant que Papa les enfilait par tous les trous. J’adorais ça, aller baiser en compagnie de Papa. J’étais tellement fier d’entendre les femmes ou les hommes dire à Papa qu’il avait une grosse bite, ou un bon cul quand il se faisait enculer, j’étais si fier de voir mon papa faire jouir des femmes et des hommes, et juter lui-même. Que c’est beau de voir mon papa éjaculer ! Lui aussi était fier de le faire avec son fils, autant que j’étais aux anges de le faire avec lui, fier aussi de montrer que j’étais un grand ! Enfin, je le croyais. Les femmes me suçaient, léchaient mon cul et adoraient que je bouffe leur moule. Et leur cyprine était aussi bonne que celle de Maman ! Je les faisais beaucoup jouir, ma petite langue était délicieuse dans leur con ou leur anus, elles me le disaient, et Papa m’enfilait aussi, de temps à autre, pendant que je broutais la cliente, mais seulement si elle le demandait, puisque c’était elle qui commandait les opérations. Le voir me baiser les faisait encore plus jouir, et moi aussi.

Papa allait aussi niquer avec des hommes, et on se faisait enfiler ensemble, côte à côte ou moi dans ses bras. Il enculait aussi les mecs, et même me baisait à la demande parce que des gars étaient excités de voir un papa enculer son fils. On suçait des teubs ensemble, en se roulant des pelles sur les glands. Des fois, on suçait un unique client, des fois il y avait plusieurs mecs présents et on en prenait chacun un dans la bouche puis dans le cul. J’ai même baisé avec le chien d’un client, plusieurs fois ! Trop bon aussi, un sperme délicieux, parce que je l’ai souvent sucé, le chien, ou que Papa me léchait le fion quand le chien y avait juté et me faisait ensuite couler son sperme dans la bouche.

Quand j’accompagnais Maman, je me faisais aussi sucer par des femmes pédos, qui niquaient avec ma mère et aussi avec moi. Je les broutais bien, je savais y faire, bien entraîné sur Maman. Ou elles regardaient comment je niquais avec Maman, mouillant de me voir mettre ma quéquette dans sa chatte, sa bouche, son trou du cul. Je les fistais assez souvent, une main dans le cul de Maman, une autre dans celui de la cliente. Je me branlais en regardant Maman leur bouffer la chatte ou ouvrir la sienne à leurs langues. Souvent il y avait aussi leurs maris. Alors ils me baisaient devant leur femme et ma mère, on jouissait tous. Et là aussi, il y avait parfois du caca, un chien. J’ai même été enculé par un ado de 12 ans, que sa mère voulait voir me niquer. Et il aimait mon cul, je suis revenu souvent baiser avec lui, sous les yeux de sa mère qui jouissait de développer un goût homo-pédo chez son fils.

Plus je grandissais, plus j’adorais tout ça, qui devenait comme une drogue. J’étais insatiable de sexe, dévoré de libido, ayant besoin de jouir plusieurs fois par jour, et dans les vices les plus salopes. Du coup, étant mignon et pervers, j’étais très demandé par les clients de mes parents. Faut dire qu’un petit mec comme moi, bouffeur de caca, buveur de pisse, acceptant avec enthousiasme les plus grosses bites au cul, broutant les chattes des femmes comme les culs des hommes, couchant avec des chiens pour exciter les spectateurs, et se branlant en matant du porno crade, ça ne court pas les rues ! Mes parents demandaient de bonnes sommes d’argent, les pervers payaient sans négocier, trop avides de me baiser, et à la maison, on vivait bien. On vivait pour jouir, pour le plaisir, aussi bien dans le boulot (qui pour moi n’en était pas un) qu’au foyer. On baisait énormément, poussés par cette soif dévorante de sexe en tous genres. Je grandissais, je baisais ma mère, je baisais mon père comme il me baisait, je baisais avec des hommes et des femmes qu’on me présentait, et même avec des enfants, qu’on me demandait d’initier à la saloperie, ce que je faisais avec plaisir, fier de leur apprendre à se faire mettre, à sucer, à chier et pisser sexuellement ou à s’offrir à des chiens. Et pas que, puisque, à la ferme ou ailleurs (on fréquentait aussi des orgies où divers animaux étaient présents), j’avais aussi goûté à la bite d’âne (à sucer, pas à prendre au cul, ou pas encore) et à celle de cheval (même remarque, mais j’adorais voir éjaculer un cheval, ce flot de sperme jaillissant m’excitait terriblement). Maman aimait venir caresser le cheval avec moi, en faisant bien attention de ne pas subir de ruade. On caressait le zob énorme, on suçait le bout, on le faisait éjaculer et on adorait être couverts de son sperme, qu’on bouffait. Papa aussi venait parfois faire ça avec nous, et je l’ai même vu enculer une vache, mais pas souvent parce que Papy disait qu’il ne fallait pas exagérer, et qu’une vache pouvait être blessée et que ça coûtait cher, une vache. Donc, Papa ne l’a fait qu’une fois, mais je l’ai vu faire, il était très excité et il a bien joui, et moi aussi, à le regarder faire. Je lui ai léché le zob après, il y avait le goût du con de la vache, c’était trop bon.

J’ai appris tant de choses, avec Papa. On est super-complices. A la maison, il suffit qu’il me regarde avec un clin d’œil et baisse lentement son boxer pour exhiber sa bite, et je cours à lui pour le sucer et me faire mettre, et on baise comme des fous, n’importe où, n’importe comment. Il en allait de même avec Maman, évidemment : elle aimait écarter les cuisses devant moi, resserrer un peu le tissu du devant de sa culotte pour le faire rentrer entre ses lèves vaginales, et elle se caressait la chatte avec le tissu fin, en me regardant avec son air de salope en chaleur qui me rendait fou. Et quand elle déambulait dans la maison, juste en soutif sexy et en string qui dévoilait son magnifique cul, ça me rendait dingue et il fallait absolument que je jouisse, branlant mon zob (quand elle ne me le suçait pas) en lui bouffant la chatte ou son anus ou ses loches. Et, même petit, je savais comment introduire ma petite queue en elle et jouir à la baiser. Elle ne devait pas me sentir beaucoup en elle, bien sûr, mais elle jouissait de l’idée de se faire pénétrer (par devant ou derrière) par son fils, et de me voir jouir grâce à son corps. Elle adorait me sucer, elle a toujours aimé ça, même quand j’étais bébé. Sur de vieilles vidéos de mes premiers mois, on la voit me sucer très doucement les couilles et la teub, alors que je suis allongé sur ma table à langer. Et il semble que j’aime ça, vu comme je bande, comme je souris. Et aussi quand c’est Papa qui me le faisait.

Franchement, une pareille vie de famille, c’était quand même meilleur que d’aller à l’école, non ? L’école, au fait ? Ah, là, ce fut un petit problème. Comme j’avais été initié sexuellement dès ma naissance, je n’avais aucun recul sur des pratiques qui me semblaient très normales, et dont je ne pouvais alors comprendre qu’il fallait les cacher au reste du village. Trop dangereux donc de m’envoyer en classe avec les autres enfants. Alors, je fus déclaré comme scolarisé à domicile, et mes parents se chargèrent de m’apprendre les savoirs fondamentaux. Bien que n’ayant pas fait d’études (Papa et Papy s’étaient arrêtés après le bac, Maman peu avant), ils en savaient assez pour m’apprendre à lire, écrire, compter, et on avait des livres pour compléter tout ça et m’apprendre l’histoire, la grammaire, etc. En parlant de livres, d’ailleurs, j’appris aussi à lire dans les BD pornos de Papa, qui en était grand amateur. Sur internet ou dans des éditions papier, il avait une grande collection de BD de cul, et je lus, sur ses genoux et bites à l’air (la sienne comme la mienne), les dialogues cochons, apprenant ainsi tout le vocabulaire de la baise et m’excitant bien avec les images salaces, qui faisaient aussi bander Papa. Il m’enculait souvent en matant tout ça, et je jouissais avec sa bite me ramonant le cul, pendant que je matais des femmes et des mecs baiser dans les BD.

On eut droit régulièrement à des contrôles de l’Education nationale, mais l’inspecteur était un des clients de ma mère ! Inutile de dire qu’on n’eut que des rapports élogieux, et que je ne me fis pas prier pour satisfaire notre visiteur par ma bouche et mon cul. Et comme il estima que je suçais divinement ou que mon petit cul de gosse était un délice à fourrer, nous n’eûmes jamais le moindre problème avec cette administration. Et j’appris suffisamment de notions pour m’en sortir dans la vie. Après tout, comme disaient mes parents : « il a déjà un métier, hein… ». Le même que le leur, et je l’adorais autant qu’eux.

J’avais donc une enfance superbe. J’étais heureux comme sûrement aucun enfant ne l’était. On vivait un amour intense, en famille. Le soir, on dormait tous les trois ensemble avec mes parents, dans un très large lit construit par Papy, très bricoleur. On y baisait dans tous les sens et puis je m’endormais, dans les bras de ma maman parce que j’étais son bébé et que j’aimais beaucoup sentir son corps chaud et nu contre moi. Et comme le matelas était revêtu d’une protection étanche, on pouvait faire pipi et caca au lit pendant la nuit, ça ne gênait personne. Je dormais entre Papa et Maman tout le temps, donc je faisais sur eux en dormant, ou eux sur moi aussi. C’était trop cool, le matin, de me réveiller dans les cacas et pipis de mes parents chéris !! C’était l’occasion de gros câlins, parce que Papa et moi on bandait dur, et que Maman mouillait déjà de la chatte. Papy, lui, il avait sa chambre à part, car il préférait dormir tranquille de son côté, et surtout il ne voulait pas de crade. Je dormais de temps en temps avec lui, Maman ou Papa allaient aussi dormir avec lui parfois, et ils baisaient bien avant de dormir.

Après le câlin du matin, ensuite, tout le reste de la journée, j’avais du plaisir, et plusieurs fois. Jamais on ne me contraignait à quoi que ce soit, jamais on ne m’interdisait non plus quoi que ce soit. Hormis les moments d’étude avec mes parents, j’étais libre de faire ce que je voulais, sexuellement. Je m’en donnais donc à cœur joie, passant du corps de ma mère à celui de mon père ou de Papy, naturellement porté à tout avec chacun des deux sexes. Selon mon désir du moment, j’enchainais d’aller demander une sodomie à Papa ou Papy, ou de sucer leurs bites, ou d’aller goûter à la chatte de Maman, ou de mettre en elle mon petit zizi (qu’elle ne sentait guère, mais je voulais faire comme Papa ou Papy), ou de jouer avec le caca et le pipi. Et, en la matière, ceux de la famille ne suffisaient pas.

Avec les animaux de la ferme, on avait d’abondantes productions de caca qui tombaient au sol. Impossible de perdre ça. Papy s’en servait comme fertilisants, bien sûr, mais j’adorais aussi m’amuser sexuellement avec. On avait des vaches, des cochons, des brebis, des chèvres, un âne, des chevaux. Soit des cacas très divers en volume, texture, saveur, odeur. Cela m’attirait irrésistiblement. Alors, dans la cour de la ferme, dans les terres qui l’entouraient (bien isolées des regards extérieurs par de hautes haies), étendu sur le sol, slip aux chevilles, je frottais mon ventre (et donc mon zizi de gamin salope) dans la merde chaude des animaux. Je jouissais énormément de me frotter et me branler ainsi dans le caca des animaux. Dans le pré des vaches ou dans leur étable, dans le local des cochons, dans l’écurie ou le pré des chevaux de mon papy se trouvaient de grosses et merveilleuses déjections que j’adorais étaler sur moi ou prendre en main pour caresser ma queue, ou encore dans lesquelles je m’étalais pour jouir, énormément jouir. Je m’y vautrais, je m’en couvrais des pieds à la tête (cheveux compris), ma bite en devenait dure comme du bois tant je bandais, je m’astiquais au caca zoo et j’en jouissais comme un taré. Et, vite, je ne voulus pas me contenter de me frotter dedans.

Même si je préférais le caca humain, je ne me privais pas de savourer un peu quand même celui des animaux. J’en prenais en bouche en me branlant, je mâchais, je me recrachais cela sur moi, je me branlais au caca mastiqué et coulant, je plongeais ma tête dans des tas de bouses pour finir de me branler, afin de jouir la gueule pleine de merde. Papa et Maman aimaient beaucoup me regarder me saloper ainsi. Quand ils étaient là et me mataient, ils se caressaient. Maman allait rarement plus loin. En revanche, à chaque fois, Papa me rejoignait et se couvrait aussi de ces cacas pour se branler et jouir. Souvent, je me mettais sur lui, et on se serrait dans les bras, étalant les cacas chauds sur nous en nous embrassant. Il m’enculait alors avec ces masses de caca sur nous, me baisait dans cette merde qui entrait en moi autant que sa queue et on avait des orgasmes de fous, ensemble. J’étais bien son fils, aussi salope à merde que lui ! Il se remplissait la bouche des merdes animales, me roulait des pelles, on en mangeait ensemble comme des possédés, on branlait nos bites mutuellement, on prenait des poignées de caca pour se les lancer, comme une bataille de boules de neige. On riait bien, c’était aussi un jeu qu’on partageait, et mon papa en devenait pour moi un pote trop génial.

Maman nous rejoignait parfois, quand vraiment elle était devenue folle de désir, et alors elle se lâchait bien aussi, se fourrant même des masses de caca bien molles sur la chatte, s’en étalant partout et devenant encore plus belle à mes yeux. Papa la fourrait alors devant moi et ils étaient fous de plaisir de se dire qu’ils baisaient dans la merde d’animaux, sous les yeux de leur fils de 3 ou 4 ans alors. Des fois, je leur pissais dessus pour ajouter à leur plaisir et au mien, les lavant un peu de tout ça, mais ils se remettaient du caca encore et encore, m’en mettaient aussi et on finissait par jouir ensemble, fous de plaisir.

Après ça, on appelait Papy (sauf s’il était déjà là à nous mater en s’astiquant) et il nous lavait au jet d’eau, en rigolant et en nous disant qu’on était vraiment les pires salopes du monde. Et je crois qu’il en était fier, même sans aimer lui-même le crade (cependant, s’il ne s’était pas branlé en nous matant, à chaque fois sa tenue de travail révélait quand même une belle bosse à l’entrejambe, dans ces moments-là).

Mes parents aussi étaient fiers, très fiers de voir leur fils unique se livrer librement à la dépravation, sans tabous, et sans y être contraint. J’inventais des jeux, des pratiques et mon imagination n’avait plus de bornes quand il s’agissait de me faire jouir. Vite dépucelé du cul, comme je l’ai dit, je me godais avec tout ce qui me semblait intéressant à mon plaisir anal. On me retrouva ainsi planté sur une petite boule d’ornement en bois poli, qui ornait le bas de la rampe d’escalier. Papa, qui riait beaucoup, eut du mal à m’en décoller, tant ça me remplissait le cul. Quand il y parvint, il lécha ensuite cette boule pour la nettoyer. Je me mis aussi au cul des carottes ou des concombres du potager de la ferme, et j’en jouis très fort en me ramonant avec. J’avais vu Maman faire ainsi, une carotte dans le cul, un concombre dans la chatte, et quand elle eut joui elle me les donna. Je me les introduisis à la suite, commençant par la carotte (couverte du caca de Maman et je la léchais avec plaisir quand je l’enlevai) puis le concombre (léché d’abord : il y avait sa cyprine dessus, et j’adorais la déguster). Gros plaisir ! J’essayais aussi des ustensiles de cuisine, dont un gros manche de casserole, bien arrondi. Papy rit beaucoup en me voyant à quatre pattes, avec le manche de la casserole planté dans mon cul, et il me traita de grosse salope, en prenant une photo avec son portable. Aujourd’hui encore, quand mes parents ou moi on revoit cette photo, on rit et on s’excite, parce que je suis bien bandant à voir ainsi, à poil, à quatre pattes, casserole bien plantée dans mon fion, et ma bite bien dressée parce que je jouis du cul !

Ouais, j’étais encore plus pervers que mes parents, et ça me paraissait naturel puisque c’était mon univers depuis la naissance. Eux en étaient fiers et excités, moi j’adorais tout simplement la vie. Et quand je grandis et que j’eus plus de recul pour comprendre que notre vie n’était pas celle de 99,99% des gens, j’en fus encore plus heureux et excité. Savoir qu’on vit différemment, et qu’on a des plaisirs que certains – les malheureux ! – ne connaîtraient et ne comprendraient jamais, ça excite encore plus ! Le goût de l’interdit et des tabous à démolir, ça aide bien à jouir. Oui, quand je sus que tout ce qu’on faisait s’appelait inceste, uro, scato, zoo, bisexualité, prostitution etc. et que c’était interdit, j’en fus surpris (pourquoi interdire ? c’est si bon) mais surtout encore plus excité et je savourais de les faire encore plus. Réaliser ce qu’était l’inceste, surtout, m’excita le plus. Savoir qu’on ne couche pas avec ses parents, alors que c’est avec eux que je jouissais le plus, ça m’excita encore plus. Oui, la prise de conscience augmenta mon désir et mon plaisir. J’avais alors 8 ans, je crois, Maman venait d’en avoir 25 et Papa 26. Toujours jeunes et super beaux, mes parents, et on se prostituait tous ensemble dans un plaisir toujours aussi énorme.

Je grandissais, en devenant de plus en plus assoiffé de sexe, poussé par un instinct que rien ne maîtrisait, et personne ne cherchait à le maîtriser, au contraire ! J’étais en rut permanent, bandant du matin au soir. Chaque jour, j’avais de multiples branlettes, de nombreuses baises avec humains (ma famille ou mes clients) et animaux de la ferme, dévorant tous les plaisirs comme un fou furieux. Quand on était à la maison, je baisais ma mère plusieurs fois par jour, sous l’œil fier de mon papa, qui me caressait le cul pendant que je niquais avec ma petite bite de gamin la chatte de ma mère. Certes, petite queue mais bien dure, bien vigoureuse, et je savais comment faire pour bien mener ma mère à l’orgasme ! En me caressant les fesses, Papa m’encourageait avec des « c’est bien, mon grand, fais jouir Maman… oui, chéri, enfonce bien ta pine, baise-la comme ça… Oui, attends, mon ange, je vais t’enculer en même temps ». Et on jouissait à trois, à fond. Et puis j’allais faire autre chose, et quelques temps après, je revenais voir Maman (aussi chienne que moi) et je la rebaisais. L’avantage, avec les femmes, c’est qu’elles n’ont pas besoin de rebander, donc contrairement à Papy et Papa, elle pouvait rebaiser très vite après avoir joui, et j’en profitais. Elle aimait ça autant que moi. Et j’aimais beaucoup lécher sa culotte bien trempée, pendant qu’on baisait.

Après, j’allais voir Papy et je le suçais ou lui donnais mon cul, ou je revenais vers Papa et on se faisait une séance entre mecs. Lui aussi aimait bien sentir ma teub dans son cul, et là aussi, je savais comment me placer et bouger pour qu’il me sente bien, malgré la petite taille encore de ma queue. Il jouissait du cul, et je me disais que quand je serai plus grand, je pourrais le baiser plus fort encore, mais on prenait déjà bien notre pied tous les deux. Il me suçait ensuite, nettoyant ma bite de son caca. Et c’était le début de nouveaux jeux de caca entre nous, puisque c’est notre truc à nous, à mon papa et moi. Il adore remettre son slip (ou boxer), et me voir, tout sourire et l’air salope, venir tirer un peu sur l’élastique, me placer cul à ses couilles et chier dans son slibard, avant de lâcher l’élastique. Comme ça, Papa garde mon caca sur lui, et il aime ça, d’avoir le beau boudin merdeux de son chéri dans son slip, sur sa belle grosse queue et ses couilles. Et j’adore aussi qu’il chie dans mon slip et que je garde ça sur moi, le plus longtemps possible.

De quoi me refaire bander, alors j’allais vite me mettre devant un bon porno à la télé, pour me branler dans le caca de mon père, main dans le slip à astiquer ma bite, pas encore rassasié de jouir, loin de là ! Ça finissait ensuite par l’arrivée de Papa, qui s’asseyait près de moi et me prenait dans ses bras en regardant le film de boule avec moi. Je grimpais sur lui et on se faisait alors des câlins, slip contre slip, pour bien étaler le caca dans nos sous-vêtements en se frottant comme ça l’un sur l’autre. Ça nous filait un nouvel orgasme, Papa jutant dans mon caca dans son slip, et on pouvait alors déguster son sperme, en léchant ensemble son slip. Moi, pas encore de foutre, je jouissais à sec dans mon slip au caca. Avec Maman, on faisait à peu près la même chose, mais avec le pipi. J’adorais, m’allonger sous elle et regarder comment elle faisait pipi, parce que ça changeait de le faire avec Papa, les bites je savais comment elles pissaient. Maman, ça coulait de sa chatte, et j’étais très fasciné de voir comment elle pissait dans sa culotte ou, assises à terre jambes écartées, comment elle s’exhibait à mes yeux curieux. Je voyais jaillir son jet, je regardais bien de quel trou ça sortait, je léchais, je buvais. Des fois, elle se mettait au-dessus de moi, et elle arrosait mon slip, ma bouche, ma tête, mon corps entier. Moi aussi, je lui pissais dessus, je trempais ses petites culottes et on les bouffait ensemble, inondant nos bouches de pisse pour mieux jouir et humidifier nos baisers. Et si ça ne me suffisait pas encore, les deux chiens de la ferme, un berger allemand et un labrador me permettaient de me donner encore du plaisir. J’en suçais un pendant que l’autre me grimpait, et j’avais ensuite du sperme canin dans la bouche et dans le cul à la fois. Je pouvais alors rentrer dans la maison pour des petits câlins avec Papy ou les parents, après une toilette minimale.

Avec de tels parents aussi tendres que pervers, la vie était chouette, mais on essayait quand même de varier un peu, de temps en temps. Mes parents débordaient d’idées, d’envies. Ils s’adoraient toujours autant, fusionnant dans le vice et l’amour. Je les voyais niquer ensemble (hors du boulot) tous les jours, et je m’y joignais le plus souvent. Peu après mes huit ans, et toujours très imaginatifs et poussés par leur vice incroyable, mes parents eurent une idée qui nous offrit ensuite de géniaux orgasmes et de bons revenus. Notre ferme était à l’écart du village, préservée des emmerdeurs par son chemin d’accès compliqué (chemin de terre, peu aisé pour circuler en voiture), ses haies entourant la maison et ses dépendances, ou les rideaux d’arbres et de haies entourant les champs, les terres. Jamais on n’avait été dérangés par qui que ce soit. A la ferme, il y avait, un peu à l’écart, une vaste grange, qui ne servait pas à grand-chose. Papy ne l’utilisait pas, il remisait son matériel dans un hangar un peu plus loin. C’est Maman qui a eu l’idée : transformer la grange en lieu de plaisir, l’aménager pour des orgies avec tous nos plaisirs. Nous avions un lieu discret et tranquille, des animaux à disposition, on pouvait installer un chauffage pour l’hiver, le sol était déjà fait de ciment bitumé aisé à nettoyer (de tout ce qui pouvait sortir d’une masse de corps en baise), bref le baisodrome idéal. Plutôt que d’aller baiser chez les gens qui nous payaient, on pouvait aussi les faire venir ici et s’y livrer à des orgies comprenant toutes les pratiques qu’on aimait.

Papy et Papa furent séduits. Ça allait demander un peu d’investissement, mais on avait les moyens, vu ce que ramenait la prostitution, car on demandait cher, surtout pour moi. Quelques travaux furent faits pour isoler (chaleur et acoustique) et rendre plus confortable ; des aménagements furent faits pour permettre les pratiques diverses (enclos à animaux, évacuation des fluides, etc.) et on fut vite prêts à ouvrir la grange de baise. Moi, rien que l’idée d’avoir plein de mecs et nanas venant baiser avec nous, ça me dressait la queue ! Maman devait alors me la sucer pour calmer mes ardeurs, et elle adorait ça autant que moi. Je lui doigtais la chatte pour la remercier, elle me lécha les doigts, et on alla aider Papa et Papy à finir d’installer les poufs confortables, les matelas, le bar. J’étais impatient de la première soirée qui allait s’y faire.

Les parents avaient invité tout leur réseau, et une trentaine de personnes avait répondu présent. Bien sûr, ils payaient, mais ils avaient les moyens, et ils savaient qu’ils en auraient pour leur argent. Parmi les gens, il y avait même quelques familles, où, là aussi, les enfants avaient été élevés dans la sexualité. J’étais content de trouver des copains, parce que le seul petit point noir de ma vie, c’était quand même le manque d’enfants de mon âge pour jouer (et pas que baiser). En effet, je suis resté fils unique. Maman prenait la contraception, du fait de son boulot (pas question de tomber enceinte d’un client), et elle ne voulait pas s’arrêter de bosser pour faire un autre enfant avec Papa. Et puis, s’occuper d’un deuxième enfant aurait demandé du temps, alors que j’en prenais déjà pas mal. Papy bossait beaucoup à la ferme et ne pouvait pas non plus s’occuper d’un bébé quand mes parents allaient rejoindre leurs clients. Alors, je fus le seul enfant, et égoïstement cela me permit de ne pas partager l’amour que je recevais, même si je déplorais de ne pas avoir de frère ou sœur avec qui baiser. Heureusement, je ne fus pas trop frustré, côté enfants plus jeunes que moi, car nos moments dans la prostitution m’en offrirent, et donc notre soirée de débauche à la ferme allait remédier à cela.

Pour un gamin comme moi, obsédé de cul et affamé de jouissance en permanence, une touze c’est comme un parc d’attraction. C’est la fête, c’est géant, c’est magique, surtout chez soi, à domicile ! Les parents et Papy, aidés par moi, ont fait les choses en grand. Y a un buffet dans un coin de la grange, pas mal de boissons au bar, des capotes partout, et même des pilules pour bander, pour ceux qui ont besoin. Dans un enclos sous la grange, il y a nos deux chiens. Dans un autre, l’âne de la ferme. Dans un coin, il y a un très grand baquet avec des pipis-cacas des animaux de la ferme. De la paille au sol, des matelas, et on a même amené un vidéoprojecteur pour passer des pornos, sur un mur comme écran. De quoi s’éclater !

Ce n’allait pas être ma première partouze. J’en avais déjà vu plusieurs, car mes parents m’y emmenaient, quand les clients payaient ma venue. Chez des clients, j’avais donc participé à plusieurs orgies autant bisexuelles que pédos et uro-scatos. Le pied, quoi ! J’adorais ça. Plein de bites, de chattes, de culs, de sources de pisse et merde, c’était génial. Voir tous ces gens qui s’enculaient, se gouinaient, se cradaient, se livraient à la débauche, à l’inceste, c’était ultra-bandant. Mon cul et ma bouche servaient de vide-couilles comme je l’adorais, on me chiait ou pissait dessus, des mecs me faisaient tourner en m’enculant à la chaîne. Je voyais mes parents ivres de désir et qui s’adonnaient à toutes les perversions. Papa niquait des gamines de 6-7 ans, Maman se gouinait aussi avec elles, Papa se faisait enculer par deux mecs à la fois, Maman bouffait des moules pisseuses puis se faisait enfiler par les deux trous, et tous jouissaient jusqu’à l’épuisement. Moi, je n’arrêtais que quand je n’en pouvais vraiment plus, et je ne comptais pas mes orgasmes, que j’enchaînais aussi, voulant jouir le plus possible.

C’est donc dire que j’attendais impatiemment cette première touze à domicile. Les parents ouvraient en fait une salle à partouze appelée à servir souvent, et passaient donc de prostitués à gérants de baisodrome. Et cette progression dans les plaisirs du cul m’enthousiasmait. Le jour fixé, en début de soirée, nos invités (payants) arrivent. Une quarantaine de personnes, plus que les 30 prévus (certains invités ont amené des potes), qui sont accueillies dans la grange, bien chauffée. Très vite, ça se roule des pelles, ça se caresse, ça se fout les mains partout, et ça se déshabille, laissant les fringues dans un coin transformé en vestiaire. Dans l’espace central, entre le du bar d’un côté et les tréteaux avec des plats de l’autre, il n’y a plus que des gens en slip, en petites culottes, des gens qui s’enlacent, s’embrassent, se mettent les mains au cul ou a paquet, et ça commence à niquer sans tabous. Il y a des couples qui ont amené leurs enfants, preuve que nos pratiques familiales sont partagées et tant mieux. Moi je vais bien sûr d’abord vers les enfants comme moi, content d’avoir des amis pour jouer et jouir. Je discute avec un garçon de mon âge, qui est déjà tout nu, et je vire aussi mon boxer pour être à l’aise, d’ailleurs autour de nous la plupart des gens sont désormais entièrement nus aussi. Les bites sont raides, les chattes mouillent, les langues explorent tout et moi je bande autant que mon nouveau pote, donc on se fout en 69 après quelques bonnes pelles.

Partout, ça baise. Il y a des mecs qui s’enculent, et les quelques petits garçons et ados aux jolis culs qui sont là sont très demandés. Je vois deux garçons, apparemment 6 et 9 ans, se faire prendre bien dur par deux gars, et ils bandent bien fort aussi, les petits mecs, ils aiment ! Des adultes s’échangent, des femmes passent de bite en bite, des bites passent de bouche en bouche, masculines comme féminines. Une petite fille (qui a une dizaine d’années maxi) suce un daddy d’au moins 50 ans, et se fait prendre en levrette par un ado d’une quinzaine d’années. Une dame, à côté d’eux, se fait monter par notre labrador Tobby, très excité par toutes les hormones qui hument dans la grange. Moi, je finis de sucer mon pote, on jouit à deux, et puis je vais profiter un peu de cette belle touze.

Des mains me chopent et se posent sur mon cul, je laisse faire, bien sûr, et deux mecs d’une trentaine d’années me baisent à la file, le premier foutant sa bite dans ma bouche quand le deuxième m’encule, et puis ils changent de place. Devant moi, un papa fait caca sur sa fille, elle étale, elle mange, elle se fourre la chatte au caca avec ses doigts, elle jouit, et son père pisse sur elle ensuite. Et puis, il va se faire mettre par notre deuxième chien. Pas loin, je vois ma mère, qui est accroupie entre les cuisses d’une femme assise sur une chaise, et Maman lui broute le minou. J’adore voir ma maman baiser avec une autre femme. Elle est trop belle, ma maman, et je bande en la voyant lécher le vagin de l’autre meuf, y introduire les doigts et mordiller le clito. L’autre femme, une grande brune aux gros seins, l’interrompt pour se laisser glisser à terre avec elle, comme ça elle bouffe aussi la moule de Maman et je vois la cyprine qui coule sur les cuisses, et qu’elles lèchent aussi. Vu que mes deux baiseurs ont fini (en jouissant l’un dans mon cul, l’autre dans ma bouche et j’ai avalé, un bon sperme gluant), je vais lécher un peu aussi, j’adore la mouille de chatte, surtout de ma mère. Maman me roule une pelle et me demande de lui pisser dans la bouche, ce que je fais. Elle peut alors rouler des gamelles bien pisseuses à sa partenaire, qui en jouit de plaisir en criant. Je vais vers d’autres gens, car je vois un monsieur assez grand qui pine un petit garçon de 4-5 ans, qui couine de plaisir, lui aussi. Trop bon, d’avoir une queue dans le cul quand on est petit, j’ai adoré tout de suite quand j’ai été dépucelé par mon papa !

Je suis attrapé par une femme, quand je passe devant elle. Elle est assez forte, elle a des très gros seins, ce qui me fout la trique car j’adore les gros nibards.

- Oh, mon petit chéri, viens me faire sucer ton sucre d’orge ! dit-elle en m’attrapant

Je me laisse faire, et elle prend mon paquet en bouche et me suce à fond. Moi, je prends ses bouts de sein dans les mains, et je trique de toucher ces gros lolos, ces alvéoles. Elle arrête de me pomper pour que je puisse lécher ses pointes de sein, elle couine et elle attrapa ma main pour la foutre dans sa chatte, très gluante. Je la baise avec ma main, qui disparaît entièrement dans sa grotte. Elle crie, elle bouge, elle jouit et elle lèche ma main pleine de sa mouille, quand je la ressors. Je la laisse se remettre (son orgasme a été très fort) et je vais vers le baquet à pipi-caca, où trois enfants (deux filles et un garçon), débout dedans s’amusent à s’arroser en attrapant des paquets de caca pour se les lancer, en projetant avec leur main du pipi marronnasse. Ils en ont partout, ils rient, des gens les lèchent en les attrapant de temps à autre. Je vois le garçon (pas plus de 5 ans, maximum) qui chope des étrons et les file aux gens à côté. Des femmes et des hommes s’en étalent, les mangent, une fille de 15 ou 16 ans, mignonne et perverse, se fout un gros étron dur dans la chatte et se gode avec, avant de le sortir, couvert de ses sécrétions de moule, et de le croquer. Un homme d’une soixantaine d’années vient y mordre aussi, elle bouffe la merde avec lui et puis elle lui taille une pipe et il lui jouit dans la bouche, ça coule même sur ses seins, et le mec vient lécher son jus sur elle. Et puis, il va vers un groupe d’ados, des mecs, qui s’enculent à quatre.

Je me mets à mon tour dans le baquet crade, les filles m’éclaboussent et je les éclabousse aussi en riant, on s’étale du caca et je sors pour aller attraper un petit garçon qui doit avoir 3 ans.

- Oh, tu es plein de caca ! me dit-il quand je prends sa main pour la mettre sur ma teub

- Oui, et de pipi ! Tu aimes ?

- Oh oui, j’adore, j’en fais plein avec mon papa et ma maman !

Et sans plus de manières, le petit gars (un beau brun au joli cul) met ma queue dans sa bouche et me suce avec talent, tout en récupérant de la merde sur mon corps. Il se lèche les doigts en alternance avec ma bite. Je finis par le sauter, son cul est bien ouvert. Ma teub n’est pas grande mais je sais la mettre au cul des enfants, et on jouit tous les deux comme ça. Je sors de son cul, il me sourit et va voir un couple d’hommes qui se sucent en 69. Ça c’est du petit pédé ! Moi, je regarde en me reposant un peu, et puis j’ai envie du gros chien qu’un homme a amené, un berger allemand qu’une petite fille masturbe avec sa maman, en lui roulant des pelles incestueuses.

Je vais ensuite vers un homme et une femme qui baisent. Le gars a un très beau cul poilu, je me mets derrière lui et lui bouffe le trou pendant qu’il baise la dame. Il me pète à la gueule, je manque de jouir tellement j’aime ça. Il jouit dans la chatte de la femme, et elle écarte bien les cuisses pour que je vienne laper le sperme dans son con, ce que je fais. Je vais ensuite vers un mec qui se tape une petite fille, je leur pisse dessus, je ris et je vais après donner mon trou à un beau mec d’une quarantaine d’années, doté d’une très grosse queue, et qui me fait jouir à sec en me branlant pendant qu’il me défonce la chatte sans douceur. J’adore être malmené comme ça, c’est plus jouissif encore. Il éjacule finalement dans ma bouche, et son sperme est vraiment bon, très crémeux.

Je repars déambuler dans la grange, pour mater. Je vois d’ailleurs que mes parents ne manquent pas de sexe. Ils sont tellement beaux, bien foutus, super salopes, donc il y a plein de gens qui veulent baiser avec eux dans cette touze. Je vois Maman allongée sur un mec qui la prend par l’anus, un autre est sur elle et la prend par devant, elle en suce un troisième qui est accroupi au-dessus de sa bouche, et y a même un ado qui leur pisse dessus en rigolant. Papa, lui, est à quatre pattes plus loin, et un de nos chiens le baise, très vite comme font les chiens, ses pattes sur le dos de Papa, qui en même temps suce un mec allongé à terre devant lui. Deux femmes se doigtent la chatte en les regardant, et je crois que la plus âgée est la femme du mec, et la plus jeune leur fille. La petite salope, la fille, car elle vient, au moment où je la regarde, s’accroupir derrière le chien et lui lécher l’anus, en soulevant sa queue. Elle lui broute le cul avec plaisir, en se branlant le clito, et cette vision excite tellement sa mère qu’elle jouit.

Papy, lui, se fait enculer par deux mecs en même temps : un sous lui, un accroupi derrière, leurs deux bites dans le cul de Papy ! Et il en suce un troisième, en se branlant. Il bande si fort que je vais lui sucer sa bite, elle me tente trop. Quand il crache, c’est dans ma bouche, du coup, et j’adore son foutre. Ça excite bien les baiseurs de mon papy, de voir un petit-fils pomper au jus son papy, donc ils jouissent aussi et le cul de Papy déborde de jus quand ils se retirent. Je nettoie leurs queues, puis le cul de mon papy, et je vais ensuite sucer Tobby et boire son bon jus. J’en ai bu plein, du sperme, déjà, mais j’en veux encore, je suis trop chaud, parce que tout ce que je fais ne me calme pas, au contraire ça m’excite encore plus.

Alors, je vais sucer un mec qui se fait enculer par un autre, je bois son jus puis sa pisse, aussi délicieux l’un que l’autre. Mon trou a faim encore, donc je trouve un ado d’environ 16 ou 17 ans, qui se pignole en matant sa mère grimpée par un chien amené par des clients. Je lui tends mon cul, en plongeant ma queue dans la bouche de la dame baisée par le clebs. Le fils m’encule pendant que je me fais sucer par sa mère. Il est trop excité, il me baise très vite et jouit dans mon cul. Sa mère bouffe son sperme quand je le laisse couler de mon cul dans sa bouche. Je n’ai pas encore assez joui, l’ado m’a baisé trop peu, et je vais vers un père qui caresse sa fille de 5-6 ans. Je lui propose de la baiser, elle accepte et lui aussi, et il me prend le cul pendant que je pénètre sa fille. Chatte toute lisse, délicieuse, très tiède, et elle jouit très vite quand je la mine. Son père me baise en profondeur, il prend son temps, et là je jouis enfin du cul une nouvelle fois.

La touze se finit, ça fait au moins deux heures que ça dure, les couilles sont vides et les chattes n’ont plus faim. Alors, je me pose sur de la paille, et je regarde les derniers baiseurs finir de se jouir dessus ou les uns dans les autres.


Chapitre 3

Rapidement, je tombe de sommeil, épuisé par tout ça. Les participants s’en vont, après s’être décrassés dans les douches collectives installées dans un coin de la grange. Il n’y a plus que ma famille et moi, avec nos chiens. Papa arrive près de moi et me prend dans ses bras. Je m’affale la tête sur son épaule.

- Allez Pierrot, on se lave et on va au dodo, me dit-il.

Dormant quasiment sous l’eau chaude, je me laissais laver par mon père, qui me reprit ensuite dans ses bras et alla me mettre au lit près de lui. Maman dormait avec Papy, moi je dormis près de mon papa, qui me tenait dans ses bras comme on l’aimait tous les deux, aussi câlins l’un que l’autre. Et quand je me réveillais, je vis Papa qui surfait sur son portable, tout près de moi dans le lit. Il me sourit.

- Ça va, Pierrot ? Tu as fait une longue nuit, mon chéri, il est déjà 10 heures.

- Oui, j’étais trop fatigué, Papa

- Normal, après tout ce que tu as fait hier. Tu t’es bien éclaté, j’ai vu.

- Oh oui, trop bien !!! C’était génial !

- Maman et moi, on est très fiers de toi, tu as assuré comme un grand ! Les gens avec qui tu as niqué étaient super contents. Tu es merveilleux, mon amour, dit Papa en me prenant dans ses bras pour un câlin (j’adore les câlins au réveil).

- J’suis trop content, moi aussi, Papa. J’ai vu que vous aviez beaucoup de plaisir aussi, Maman et toi, et aussi Papy.

- Oui, on a tous adoré ça. En tous cas, tu as été repéré par pas mal de monde, j’ai plein de clients qui te réclament pour de prochaines séances, me dit mon père en montrant son téléphone, sur lequel arrivaient des SMS pour réserver mon cul dans les jours ou semaines suivantes.

- Super, Papa, je vais baiser comme un fou !

- Ah ça c’est sûr ! Tu vas finir par nous faire concurrence, dis donc, dit Papa en se penchant sur moi pour me rouler une pelle.

- Oh non, pas de concurrence, moi je fais ça avec toi. Tu seras avec moi, hein Papa ?

- Bien sûr, Pierrot, toujours, on ne te laisse pas tout seul avec un client, tu n’as que 8 ans. Hum, tiens, il y a un client qui veut même nous voir baiser ensemble, et avec du caca… dit Papa en regardant un nouveau message sur son téléphone.

- Oh, super cool !!! J’adore !!!

- Moi aussi, mon ange… Et j’ai très envie de faire une petite répétition tout de suite… dit Papa en me serrant contre lui et en m’embrassant avec la langue.

J’adore baiser avec mon papa. Sa main vint caresser mon cul et un doigt vint vérifier que j’avais du bon caca dans le conduit, ce qui était le cas. Je fis de même et constatais moi aussi que le cul de Papa était bien plein. Et une bonne séance de baise au caca se déroula entre père et fils, pendant qu’on entendait les cris de plaisir de ma mère qui se faisait défoncer la chatte par son père dans la chambre à côté. Papa et moi, on se chia dans la bouche en 69, mâchant tranquillement (on aime prendre notre temps pour mieux profiter), savourant nos délicieux cacas, puis il m’encula tendrement, avec beaucoup de douceur, faisant durer le plaisir de sentir sa bite me baiser. On alla ensuite se laver ensemble (quand même, on n’était pas crades en permanence), rejoints par Maman et Papy et ce fut l’occasion d’un nouveau câlin à quatre sous la douche (prévue très vaste pour ce genre de choses, justement). Papy encula Papa, je fistais Maman, Papy me suça puis m’encula aussi, alors que Papa sautait Maman. Et on jouit tous en criant. La journée commençait bien.

Les semaines, mois et années qui suivirent me procurèrent beaucoup de bonheur. Je poursuivais ma scolarité à domicile, toujours contrôlée par le même inspecteur qui couchait avec moi, et parfois, aussi avec mes parents. Inutile de dire que je suis passé sans problème dans la classe supérieure, chaque année ! Je suis ainsi allé jusqu’au bac, et je me suis arrêté là, comme Papa avant moi. A quoi bon étudier ensuite, j’avais mon métier et je gagnais bien ma vie ? Du côté cul, en effet, je n’ai cessé de baiser. A la maison en famille, pour le fun personnel et simplement parce qu’on vit ainsi et qu’on ne peut ni ne veut changer ça. On a trop besoin de niquer ensemble, avec mes parents et mon grand-père. Et puis, j’ai énormément baisé aussi par profession. Avec mon pédigrée de pute précoce qui s’adonnait à toutes les pratiques (sauf le SM), j’avais beaucoup de clients, et ça me comblait, parce qu’il me fallait du cul tout au long de la journée, et beaucoup de jouissances dans cette même journée. Pendant la suite de mon enfance, je continuais donc à aller chez des clients, mecs ou nanas, avec un de mes parents. Ce furent plus souvent des mecs, d’ailleurs, qui aimaient se taper un cul de môme. Ce furent quelques femmes, que je baisais comme elles le voulaient. Certaines et certains aimaient aussi l’uro, le scato ou la zoo, et je prenais un pied plus fort encore à leur donner satisfaction dans une débauche de merde, de pisse ou de chien m’enculant ou que je suçais. Je baisais même des chiennes en chaleur, et ça m’excitait énormément.

Devenu ado, mes appétits devinrent encore plus brûlants. Mes hormones s’étaient mises à bouillonner très tôt, mais je n’échappais pas à leur flambée à l’adolescence. Mon désir se renforça, devenant un feu intense qui me dévorait plus encore. Je bandais du matin au soir, devant baiser ou me branler plus qu’avant encore. Je multipliais les clients, enchaînant les passes dans la même journée, multipliant les clients et clientes, mais sans me brader pour autant. Et si ça ne suffisait pas (il y avait souvent des journées vides, même en étendant le périmètre de mes déplacements, mon réseau s’étoffant rapidement), il y avait heureusement ma famille et nos animaux, à la maison.

Mes parents, passés par cet état salope avant moi, me disaient que cet état de rut permanent ne se calmerait pas avant des années. Et tant mieux ! J’aurais été bien triste de perdre ce besoin affamé de sexe, qui me définissait et faisait mon bonheur. Heureusement, ce ne fut pas le cas. Je pus donc continuer, avec autant de fougue, à m’éclater toute la journée, entre deux leçons à la maison. Devenu adolescent, j’avais logiquement du sperme, et mes parents ou Papy se battirent presque pour savourer mon jus.

MEMOIRES D’UN JEUNE PROSTITUE

Par Quentin le cochon (FM, fm, b, Tod(b), Inf(b), bisex, incest in family, Anal, oral, fisting, masturbation, pregnancy, bestiality, Exhibitionnism / voyeurism, ws, heavy scat)