UN DROLE DE REVE

Par Fed (F+M, BDSM, violence, trash, bisexe, lesbiennes, oral, anal, crade, food games, règles, uro, vomi, scato)

AVERTISSEMENT

Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages.


CHAPITRE 1


Après une dure journée de travail, je rentre chez moi à vélo, sous la pluie. Je suis surpris par un camion qui arrive en face et dévie vers moi. Je freine et me détourne, mais je ressens un choc brutal, je suis projeté hors de la route. J’atterris violement et ressens une vive douleur au crane, je ne peux plus bouger.


Quelques instants plus tard, j’entends une voix féminine :

-Monsieur. Monsieur. Ça va ? Ça va ?


J’ouvre les yeux et distingue dans le flou une jeune femme penchée sur moi. Elle me regarde avec inquiétude :

-Monsieur, ça va ? Quel choc.

Je parviens à articuler :

-Oui, oui. Je crois que ça va.

Ma tête me fait un peu mal, mais je m’attendais à pire lorsque j’étais en volplané.

-Vous croyez que vous pouvez vous lever ?

-Oui, je crois. Je vais essayer.

Elle me soutient et m’aide à me relever. Je vois mon vélo à plusieurs mètres, broyé.

-Venez avec moi, je vais vous raccompagner.

Je la suis. Le camion a filé.

Elle m’aide à prendre place dans sa voiture.

-Ça va aller ?

-Oui je crois, mais j’ai eu très peur. Je tremble encore.

Elle prend le volant et nous partons. Je la guide pour aller chez moi, mais elle ne suit pas mes instructions.

-Non, vous vous trompez, je n’habite pas par là.

-Oui, mais vu le choc que vous avez reçu, je ne veux pas vous laisser seul.

Vivant en effet seul, je n’insiste pas.

Nous roulons en pleine campagne, je ne reconnais pas vraiment le paysage. Nous arrivons après quelques minutes de route dans la cour d’une belle maison. Elle gare la voiture, elle m’aide à sortir et me fait entrer chez elle. Elle m’installe sur le canapé d’un grand salon.

Elle part quelques instants et revient avec des serviettes, certaines légèrement humides. Elle me tamponne avec. Elle m’installe confortablement sur le canapé :

-Ne bougez pas. Reposez-vous un moment. Je vais préparer quelque chose à manger.

Je somnole un peu.


Lorsque je reprends pleinement conscience, je fais bouger mon corps et suis surpris de ne sentir que peu de douleur, eu-égard à la violence de l’accident. Ma tête est un peu sensible à l’endroit du choc, mais le casque a dû amortir l’impact.

Je me sens prêt à me lever. J’y parviens facilement et me sens bien.

Je m’approche de la cuisine d’où j’entends quelques bruits domestiques. J’approche discrètement et observe pendant quelques instants la jeune femme qui a pris soin de moi. C’est une belle brune aux cheveux longs et soyeux, qui doit avoir entre vingt et vingt-cinq ans. Elle porte une jolie robe ajustée, qui lui arrive aux genoux, qui met en avant une poitrine qui semble plutôt généreuse. Même à l’intérieur de sa maison, elle porte des chaussures aux hauts talons. Ses jambes fines sont gainées de bas ou de collants noirs, avec des motifs fantaisies.

Elle m’aperçoit et me sourit, découvrant ses belles dents blanches très bien rangées, encadrées de lèvres assez charnues. Je découvre ses magnifiques yeux noisette, desquels émanent une douceur qui semble infinie. Elle n’est pas ou très peu maquillée, tout à fait naturelle. Elle a une peau un peu mate qui semble très veloutée. Elle porte des ongles assez longs, naturels, non vernis. Son portrait, sa démarche, sa voix, tout me paraît angélique en elle.


-Comment allez-vous ? Vous devriez rester assis.

-Ça va, je me sens bien.

Elle porte un plateau avec des plats et des verres. En quelques mouvements, elle installe ce petit repas sur la table-basse qui fait face au canapé.

Nous nous asseyons l’un à côté de l’autre.

-J’espère que ça vous plaira.

Son repas est délicieux.

-Vous êtes sûr que ça va ?

-Oui, oui. Je vous remercie infiniment. Je vais bien.

-Tant mieux. L’accident était tellement effroyable. Le chauffeur ne s’est même pas arrêté, c’est vraiment déplorable.

-En effet.

-L’essentiel c’est que vous alliez bien.

Elle poursuit :

-Je suis contente que vous ayez accepté de venir chez moi. Je vis seule ici et j’ai besoin de compagnie.

-Tant mieux si ça vous est agréable.

-Mais tout à fait …

Elle s’approche de moi, passe sa main douce sur mon T-shirt, puis sur mon visage. Elle m’embrasse. Nos langues se mêlent, se caressent, se titillent longuement. C’est vraiment doux, quel baiser !


Lorsque nous nous séparons, elle me sourit, ses superbes yeux pétillent. Quelle chance ai-je eu de la rencontrer. Arriver ainsi chez une magnifique et sympathique jeune femme est vraiment une aubaine incroyable.


-Au fait, je m’appelle Miranda.

Je me présente à mon tour.


Elle revient m’embrasser langoureusement. Elle passe ses mains sur mon torse. Je sens mon sexe durcir. Elle m’invite à lui rendre ses caresses, en positionnant mes mains directement sur sa poitrine, en effet opulente.


-Quelle chance finalement que j’ai été témoin de votre accident.

-En effet.

-On pourrait se tutoyer ?

-Oui, bien-sûr.


Elle se lève, me faisant admirer son joli corps. Elle entreprend un rapide strip-tease. Elle ôte sa jolie robe et se présente à moi dans ses délicats dessous de dentelle. Je constate que son fessier est ferme et bien rebondi, sa poitrine pulpeuse et ferme également. Ce sont bien des bas qu’elle porte. Elle me sourit, se mordille la lèvre. Je suis à l’étroit dans mon pantalon.


Elle revient sur moi, m’embrasse à pleine bouche. Elle me fait ôter mon maillot, caresse mon torse. J’ai un peu honte de ma petite bedaine de trentenaire, mais je suis assez surpris de ne pas la voir trop proéminente.


Miranda se relève et retire cette fois son soutien-gorge. Je découvre sa superbe poitrine, aux seins en forme de poire, généreux, qui tiennent parfaitement même sans aucun soutien. Sa peau est légèrement hâlée, sans marque de maillot de bain.


Nous nous embrassons longuement. Puis je passe ma langue sur ses seins, titillant ses tétons qui durcissent. Que c’est bon. En tant que célibataire, je n’ai pas souvent l’occasion d’avoir des rapports sexuels, je suis évidemment terriblement excité, j’espère être à la hauteur. Jamais je n’ai flirté avec une aussi belle femme.


Elle m’invite à descendre encore sur son corps et à glisser sous sa culotte, plutôt un fin string de soierie noire délicate. Je la fais glisser le long de ses cuisses à la peau douce et mate. Je découvre un pubis portant un triangle de poils bruns courts, très entretenu, sa peau est bronzée de partout. Ses grandes lèvres sont entre-ouvertes, il me semble distinguer des perles d’humidité. Je sens une pointe d’odeur intime musquée, terriblement excitante. Mon sexe darde durement.


Elle s’allonge sur le canapé, écarte les cuisses, telle une formidable invitation. Je plonge dans sa fente et me mets à lécher fiévreusement son puits d’amour. Je fourre ma langue dans son antre trempé. Que c’est bon. Je sens sa cyprine sourdre, je m’en délecte. Elle gémit de plaisir, augmentant encore mon excitation. Elle attrape mes mains et m’invite à masser ses seins aux tétons durs. Quel bonheur ! Puis elle presse ma tête fortement contre elle, pour que je sois collé à son entrejambe.


Je la conduis au bord de l’orgasme :

-Oui, continue … Encore … S’il te plait.

 Elle se crispe et jouit intensément. Je suis ravi. Elle aussi.


-Que c’était bon. Tu es incroyablement doué.

-Merci.

-Moi aussi, je vais essayer de te donner du plaisir, en utilisant ma bouche.


Elle me fait allonger sur le canapé, défait mon pantalon et abaisse mon caleçon, d’où s’échappe mon sexe tendu. Quitter mon sous-vêtement représente un vrai soulagement tant j'étais à l’étroit. Je ne me rappelle pas avoir jamais vu mon membre aussi gros. Ce doit être dû à l’excitation exceptionnelle provoquée par Miranda.

Elle saisit mon chibre de sa douce main fraîche et fait quelque va-et-vient, c’est vraiment agréable, j’espère ne pas jouir trop vite. Bientôt, elle positionne son visage près de ma tige dure, elle l’embouche et très doucement elle descend le long de ma verge. Elle ne revient pas en arrière, elle s’enfonce tout doucement sur moi, petit à petit, elle me gobe jusqu’à la garde, je suis impressionné. Ses beaux yeux doux ne quittent pas les miens un seul instant. Elle reste ainsi plusieurs secondes, puis elle remonte, enfin, toujours tout doucement. Lorsqu’elle se retire, elle sourit et me souffle :

-Tu aimes ?

Quelle question !

-Bien-sûr. Tu es divine.

Elle sourit encore et retourne emboucher mon sexe bien bandé. Elle accélère un peu et continue de me pomper sur toute la longueur. Jamais je n’ai été sucé ainsi. C’est paradisiaque ! Je crains toujours d’éjaculer de manière impromptue, mais je parviens à me contenir.


Au bout d’un moment, Miranda me susurre :

-Je voudrais te sentir dans mon intimité maintenant.

Quelle invitation ! Elle se positionne, cuisses largement ouvertes, toujours vêtue de ses bas noirs et de ses escarpins. Je me positionne en missionnaire, présente ma tige bandée, elle la guide en elle. Je parviens à entrer la totalité de mon sexe dans le sien dès la première poussée. C’est magique. Je me sens immédiatement à mon aise, à ma place.

J’entreprends des va-et-vient qui font monter son plaisir. Elle jouit. Je poursuis néanmoins. Dès qu’elle se remet de son orgasme, elle me sourit, telle une invite à continuer.


Après plusieurs minutes, elle m’interrompt et nous désaccouple. Sans mot dire, elle se retourne et s’agenouille, me présentant sa magnifique croupe aux cuisses toujours gainées de ses bas noirs à motifs et son entrecuisse nu, offert, humide.

-Viens, me souffle-t-elle.

Je la prends donc en levrette, plongeant avec bonheur dans son sexe gorgé de désir.

-Oui c’est bon. Tu fais ça tellement bien. Quel régal !

Je m’applique. Je me sens bien. Tout est tellement simple avec cette fée.

-Oh que j’aime que tu me prennes si bien.


Je la fais jouir encore une fois, je suis aux anges. Quelle joie de donner du plaisir à une si jolie et gentille jeune fille.


Après son orgasme, je quitte son antre chaud et humide, elle se retourne :

-Oh tu es vraiment super. Que c’est bon … Tu me donnes un tel plaisir. Tu ferais quelque chose de plus pour moi ?

-Oui bien-sûr. Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?

-J’aimerais que tu viennes dans mon petit trou …

Elle me fait cette demande sur un ton bien particulier, comme une faveur. Je ne m’y attendais pas du tout.

-Bien-sûr. Mais je te préviens je n’ai jamais fait ça.

-Ce n’est pas grave, je sens que tu es très doué. Ne t’inquiète pas je te guiderai.


Joignant le geste à la parole, toujours positionnée en levrette, elle prend mon sexe et le présente sur son petit trou aux contours délicieusement fripés, que je vois palpiter.

-Pousse, ça va entrer. Force un peu si besoin.

Je m’exécute et entre en elle plus facilement que je ne l’aurais cru. Peut-être se fait elle régulièrement sodomiser ? J’entreprends des aller-retours et introduis rapidement mon dard jusqu’à la garde dans son fondement. Mon sexe coulisse facilement en elle, j’adore. Elle aussi, elle gémit et m’encourage :

-Oui, c’est trop bon. Je te sens bien dans mon cul, j’adore ça.

Tout en naviguant entre ses reins, j’admire son superbe corps, son dos souple, ses épaules déliées sur lesquelles vont et viennent ses longs cheveux brun clair, ses jambes fines, mises en valeur par ses bas et terminées par ses chaussures à talons, et bien-sûr ses jolies petites fesses bien fermes et élastiques qui viennent s’appuyer sur mes hanches à chaque mouvement.


La sodomie dure un moment. Elle jouit encore. A peine remise, alors que je reste fiché en elle, elle tourne la tête vers moi et déclare :

-Que c’est bon, tu es vraiment un amour. Mais tu n’as pas encore joui. J’aimerais vraiment que tu le fasses dans ma bouche. Tu serais d’accord ?

Elle emploie un ton timide, comme si elle craignait un refus. Quelle joie de lui répondre positivement.

-Bien-sûr. Avec grand plaisir.


Elle sourit, visiblement heureuse de ma réponse. Elle nous désaccouple, se retourne, se positionne face à mon sexe dressé. Comme tout à l’heure, elle le prend délicatement en bouche et l’introduit doucement, entièrement dans sa bouche chaude, à la langue habile. Son regard de braise me fixe. Elle reste un moment ainsi, je sens mon dard turgescent palpiter en elle. Que c’est bon. Bientôt, elle se met en mouvement, masturbant mon membre de divins mouvements de langue et de ses lèvres, sans employer ses doigts. Elle accélère et me donne un foudroyant et profond orgasme. Je perds un instant la vue, mais je sens que mon éjaculation est abondante. Je m’aperçois qu’elle capte le sperme que je viens de répandre dans sa bouche. Même si j’étais quasi aveugle à ce moment-là, j’ai bien senti de grosses rasades sortir de mes bourses pleines.


Elle me sourit, je distingue mon jus entre ses lèvres entrouvertes. Je vois aussi un peu de sperme à la commissure de sa bouche ; d’un doigt provocateur, elle dirige cette semence entre ses lèvres et l’aspire. Puis elle déglutit et me sourit à nouveau, je constate qu’elle a tout avalé. Je la trouve magnifique, resplendissante.


Nous nous caressons encore un peu, puis Miranda nous sert un verre de porto que nous dégustons en silence.


Peut-être est-ce dû aux émotions fortes que j’ai vécu aujourd’hui, je commence à être fatigué, je bâille. Miranda s’en rend compte et me propose de dormir chez elle. J’accepte bien volontiers. Nous dormons dans son lit, en faisant de chastes câlins.


Je me réveille avant Miranda, ma tête est encore légèrement sensible au toucher, mais je me sens bien. Je la regarde un moment tant qu’elle est endormie, je l’admire, elle est si belle, si paisible, si douce. Sa peau de pêche qui sort de sous sa fine nuisette est une invitation à la caresse.


Bientôt elle s’éveille à son tour, elle me sourit, ses beaux yeux noisette très clairs pétillent intensément. Elle me caresse, m’embrasse à pleine bouche. Puis elle me souffle :

-Aurais-tu déjà envie de moi ?

-Oh que oui ma belle.

-Alors viens.

Elle rejette la couette, se découvrant, superbe dans son petit vêtement de nuit, elle écarte les cuisses ce qui fait remonter le bas évasé de sa nuisette et expose son joli pubis à la toison bien entretenue.

Je me positionne et lui donne un cunnilingus qui la fait très vite gémir. Je sens sa mouille sur ma langue, je m’abreuve d’elle. Je plaque une main sur son sein ferme, au téton dur. Elle le libère du fin tissu, je le caresse et le malaxe avec grand plaisir.


Elle ne me laisse pas le temps de la faire jouir, elle remonte ses genoux derrière ses oreilles.

-Prends-moi s’il te plait. J’ai tellement envie de toi. Je veux te sentir tout au fond de mon intimité.


Je bande déjà dur. Je place mon sexe, que je trouve toujours plus gros qu’à mon habitude, à l’orée de sa fente humide. Elle m’aspire, j’entre en elle sans effort. J’y suis bien. Mes mouvements sont une extase. Elle feule.

-Oui, oui. C’est bon … Oui comme ça … encore … s’il te plait.

Elle jouit et je continue à lui faire l’amour.

-Oui encore, ne t’arrête pas. Je t’en prie …

Je poursuis.

Elle finit par me faire sortir d’elle en pressant sur mes hanches. Elle se tourne sur le côté, remonte une jambe très haut, découvrant à nouveau son intimité :

-Viens me prendre comme ça s’il te plait.

Ses grandes lèvres humides sont bien écartées et j’entre à nouveau facilement dans son puits d’amour. J’y suis à mon aise. Je fais des mouvements amples et pénètre loin dans son sexe gourmand. Elle connaît un deuxième orgasme. Je suis un peu étonné de la faire jouir si facilement, et de parvenir à me retenir, c’est vraiment génial.


Après cette nouvelle jouissance, elle me glisse d’un ton proche de la supplique :

-S’il te plait, tu pourrais à nouveau prendre mon petit trou. C’était tellement bon hier. S’il te plait …

-Mais oui, j’y viens ma belle.

Elle se met en levrette, tourne la tête me permettant de voir son visage souriant, puis elle passe sa langue sur ses lèvres et porte un doigt à son anus, elle y entre un peu, puis en ressort :

-Vas-y, viens en moi s’il te plait.

Je présente mon sexe dur, je dois forcer un peu plus que la veille pour entrer dans son anneau, mais je parviens assez aisément à lui donner la sodomie qu’elle réclame. Rapidement je peux faire des allers et retours en engageant tout mon dard à l’intérieur de son anus, elle apprécie :

-Oh oui, c’est tellement bon. Que tu me prends bien. Encore … s’il te plait … continue … baise mon cul …

Je poursuis. Elle jouit encore, mais quémande toujours :

-S’il te plait ne t’arrête pas c’est trop bon … j’ai envie encore … aller…

Je la pistonne de mon mieux, elle atteint un autre orgasme, puis un nouveau.

Au bout d’un long moment je finis par céder. Je jouis en elle, inondant son fondement si accueillant de gros jets de sperme.


Elle se retire, elle me sourit.

-Oh c’était vraiment trop bon, j’ai adoré.

Elle se lève et se dirige vers la salle de bain.

-Suis-moi …

Arrivée dans la pièce d’eau, elle prend une sorte de petite assiette, la pose au sol, s’accroupit par-dessus et ouvre outrageusement ses jambes. Elle semble pousser un peu. Bientôt elle introduit un doigt dans son anus, qu’elle travaille un moment. J’aperçois alors mon foutre s’écouler doucement et tomber dans l’assiette. L’opération prend un certain temps. Nous ne disons rien, je suis très étonné par son étrange comportement, mais également ravi. Lorsqu’elle doit estimer que tout est sorti, elle se relève, prend l’assiette, la porte au-dessus de sa bouche qu’elle ouvre en grand, elle incline le récipient et laisse mon sperme fraichement sorti de son cul couler entre ses lèvres. Elle déglutit et avale tout. Quel spectacle !


Admirer une si belle jeune femme se comporter de manière aussi vicieuse me redonne immédiatement une bonne érection. Et je crois que c’était l’objectif de Miranda. Lorsqu’elle a absorbé ma semence, elle me fait un clin d’œil :

-Tu aimes ?

-Oh oui ! Tu es incroyable.

-En voyant l’état de ton sexe on dirait en effet que ça te plait.


Toujours vêtue de sa nuisette désajustée, elle m’attrape la main et nous entraîne au canapé. Elle s’assied, me positionne face à elle et gobe littéralement mon sexe dans sa bouche si accueillante, tout en plantant son regard dans le mien. Elle me prodigue une somptueuse fellation, sans toucher mon sexe de ses mains, elle me conduit aux portes de la jouissance.

-Tu me prendrais encore ? S’il te plait, j’aimerais tellement.

Je suis un peu étonné par un tel appétit, mais je suis ravi de la satisfaire. Après une pénétration de sa chatte, elle me demande encore de la sodomiser. Nos ébats endiablés se terminent par une nouvelle fellation à l’issue de laquelle je lui donne plusieurs giclées de sperme, qu’elle prend un plaisir non feint à prendre dans sa ravissante bouche, puis à avaler goulument.


Miranda me quitte. Je me repose quelques minutes à peine et elle revient, déjà habillée dans une tenue de ville plutôt sexy, chaussée de hauts talons et portant un plateau de petit-déjeuner. Je ne sais pas comment elle est parvenue à être aussi rapide.


Je suis affamé et son repas est excellent.

-Merci.

-De rien, ça me fait tellement plaisir de t’avoir à la maison. Quelle aubaine de t’avoir rencontré.

-Tout le plaisir est pour moi tu sais.

-Il est partagé. Je suis tellement heureuse d’avoir un bon amant comme toi. Tu sais, j’aime tellement faire l’amour, ce n’est pas toujours facile de trouver le bon partenaire.

-C’est un drôle de problème, réponds-je, un peu moqueur.

-Peut-être que tu trouves ça étonnant, mais c’est vrai, j’ai parfois du mal à rencontrer une personne qui me satisfasse sur le plan sexuel. Et tu fais ça tellement bien.

-Merci.

-C’est vrai, tu es vraiment doué. Afin que tu sois très à ton aise, sache que quand tu es ici, tu peux me prendre quand tu en as envie, tant que tu veux.

Je dois faire une mimique surprenante en entendant cette proposition.

-Je ne plaisante pas. En fait j’ai toujours envie de sexe et tu es un si bon amant. N’hésite surtout pas, dès que tu as une pointe d’envie, viens à moi, prend-moi. Si vraiment je n’avais pas de désir à ce moment-là je te dirais très clairement "stop" à deux reprises, ou si je ne pouvais pas parler à cet instant, je te pincerai deux fois de suite, mais je crois que cela n’arrivera pas, j’aime trop coucher avec toi. Et puis tu sais ….

Elle se tait un moment, visiblement gênée. Je me demande bien ce qui peut la faire se sentir mal à l’aise avec moi après tout ce qu’elle m’a déjà montré et donné.

Ma curiosité et mon excitation surpassent ma timidité, je la questionne.

-Et puis quoi ? Il me semble que tu allais ajouter quelque chose, non ? Dis-moi tout, n’aie pas peur.

Elle semble encore un peu sur la réserve, mais je perçois une lueur dans son regard, je sens qu’elle va me livrer un nouveau secret intime.

-Et bien, en fait, il faut que je t’avoue que j’ai encore un autre penchant que certaines personnes trouvent étrange.

Elle hésite. Et reprend :

-Jusque-là, même si j’ai adoré notre relation, nos ébats ont été un peu trop doux pour moi.

Je ne comprends pas immédiatement le sens de son propos. Moon visage doit trahir mon incompréhension, elle enchaine :

-Je ne te l’ai pas encore laissé voir, je ne voulais pas t’effrayer, mais autant être franche dès maintenant avec toi. Comme je te le disais, j’aime avidement le sexe, et en plus je suis une véritable masochiste. Je prends encore plus de plaisir lorsque mon partenaire me fait mal.

Je suis bouche bée en écoutant ces confessions, surtout venant d’une si jeune, si douce et si belle jeune fille que Miranda.

-Ça te semble bizarre, je le vois bien à ton regard, mais c’est ainsi, je n’y peux rien. Pour me sentir pleinement épanouie j’ai besoin plaisir sexuel, de beaucoup de plaisir sexuel, et rien ne le décuple autant pour moi que la douleur et la brutalité.

Je l’efforce de lui sourire, en affichant un regard que je veux compréhensif. Elle continue ses explications.

-J’aime que mon amant me frappe, me batte, même au point d’être un peu amochée parfois, ça ne fait rien, bien au contraire. J’adore voir mon corps marqué de coups qui m’ont donné tant de plaisir. J’ai la chance de me remettre très vite, les coups ne me marquent pas longtemps, Ce que je trouve même parfois un peu dommage, car j’aime voir mon corps porter les traces de mes plaisirs masochistes.


Je suis toujours estomaqué par ces révélations si inattendues, sortant d’une si jolie bouche.

-Voilà, tu connais maintenant tous mes petits secrets. Je te le rappelle, si tu veux me faire plaisir, n’hésite jamais à me baiser, sauvagement, brutalement, longtemps, violemment, sans répit, tu me feras de moi la femme la plus heureuse et la plus épanouie.

Sans que je ne m’en sois vraiment aperçu, mon sexe est redevenu bien raide. Ses déclarations m’ont terriblement excité. Jusque-là je n’avais jamais pratiqué la moindre violence vis-à-vis de mes partenaires, mais je dois avouer qu’au fond de moi-même l’idée de violenter une fille pendant les ébats, m’excite. Il s’agit d’un vrai tabou, et l’immoralité de le transgresser allume une petite étincelle en moi, éveille ma perversité cachée.

Les propos si provocateurs de Miranda font remonter très vite ce fantasme enfoui, et désirant tester au plus vite si ses confidences sont sincères, je la fixe droit dans les yeux, l’embrasse fougueusement, tire sur le haut de sa robe pour libérer un de ses tétons et je me mets à le pincer fort, à le torde. Je romps le baiser, tout en serrant toujours son bout dans mes doigts.

Miranda grimace un peu, mais elle me sourit en même temps.

-Oh oui. C’est bien, s’il te plait continue. Plus fort encore, n’hésite pas.

Je maintiens la pression. Puis je la libère et toujours en la fixant droit dans les yeux, je la gifle. Ses yeux doux quittent un instant les miens, mais reviennent très vite me fixer.

-Oh oui, j’aime ça. Tu peux y aller plus franchement encore. N’aie pas peur, j’ai envie que tu me fasses mal. Bats-moi. Frappe-moi. J’aime souffrir quand je baise. Prends-moi sans relâche, tant que tu veux, tant que tu peux. Je t’en supplie …


Désireux de la satisfaire, et véritablement excité par cette nouvelle provocation qui confirme ses dires précédents, je lui donne une nouvelle claque au visage, plus forte. Sa tête pivote lors de l’impact.

-Oui, c’est bon. Mais tu peux encore y aller plus fort. N’hésite surtout pas.


Je recommence, en forçant davantage.


-Oui, comme ça. Tu vois, il ne faut pas hésiter. N’aie pas peur, j’aime vraiment être violentée et la douleur qui va avec. Ça m’excite énormément.


Ayant mieux compris ses folles attentes, je lui envoie une nouvelle gifle, puissante, sans retenue cette fois-ci. Dès que j’ai accompli mon geste, je ressens une pointe de remord, je crains d’y être allé trop fort. Mais heureusement Miranda me rassure immédiatement, en affichant son franc sourire, alors que sa joue rougit :

-Ah, voilà. C’est comme ça qu’il faut me traiter, je suis une vraie maso. J’aime tellement recevoir des coups bien violents, ressentir cette délicieuse douleur qui me fait bouillir de l’intérieur, au plus profond de moi.

-Tu devrais enlever ta robe.

Elle la fait glisser en une seconde et elle ne porte plus que ses bas, ses chaussures à hauts talons si sexy et un mini-string. J’admire sa magnifique poitrine opulente. Je donne plusieurs claques vigoureuses à ses beaux seins à la fois fermes et généreux. Miranda m’encourage :

-Oh que c’est bon. Tu apprends vite. Continue, n’hésite pas à forcer encore. J’aime tellement qu’on maltraite mes nichons, ça me procure un vif plaisir qui m’irradie tout le corps.


Encouragé, je poursuis, je donne de bons coups sur ses mamelles si parfaitement galbées, parfois je la gifle, puis je pince vigoureusement un téton, avant de tirer sur ses cheveux soyeux.

-Tu m’excites trop, continue, s’il te plait … Je t’en prie … frappe moi encore… puis tu me baiseras, comme un sauvage …


Je la maltraite. Puis je nous sens tellement excités, que je décide de la saillir. Après tout elle vient de me dire que je pouvais le faire quand je voulais, j’en profite. Je la place en levrette et entre sans ménagement dans sa chatte ruisselante de désir.


Miranda apprécie, elle m’approuve, gémit :

-Oui, c’est bon, pilonne-moi. Vas-y à fond, s’il te plait.

Je la baise franchement un bon moment et la mène vers un orgasme que je sens profond, elle tremble de tout son corps.

Je lui laisse un court répit, avant de fourrer mon sexe dans son anus, tandis qu’elle est toujours en levrette. Je la pistonne ainsi, sous ses encouragements :

-Oh que c’est bon. Tu es divin, s’il te plait n’arrête pas. Je te veux toujours en moi.

J’attrape ses longs cheveux et la force à se cambrer outrageusement. J’approche ainsi son visage du mien. Je tire ma langue vers sa bouche, elle fait de même et nous parvenons à nous rouler une pelle, un peu baveuse. Puis je lui saisis un sein, que je pétris férocement. Elle aime toujours autant :

-Ah c’est merveilleux. Vas-y, lâche-toi.


Je continue à la sodomiser en la frappant. Je parviens à la faire jouir – bruyamment – plusieurs fois, elle quémande toujours plus de pénétrations et de violence. Je m’étonne d’être aussi endurant.


Je finis par quitter son cul. J’ai envie de jouir dans sa bouche et mes désirs semblent parfaitement s’accorder aux siens :

-Oh que c’était bon. Viens, jute dans ma bouche, j’ai envie de ton foutre maintenant.


Je mets ma queue face à son visage, mais je n’attends pas qu’elle me gobe doucement comme les fois précédentes, je prends les devants et fourre ma tige dans sa bouche, la poussant même dans sa gorge. Elle ne rechigne pas, au contraire, elle m’avale profondément et entreprend des va-et-vient qui font coulisser mon membre dans sa cavité buccale à grande vitesse. Elle me regarde droit dans les yeux. Je jouis vite. J’ai une nouvelle fois l’impression de produire une grande quantité de sperme, qui sort furieusement de mon vît dur. Miranda capte tout et avale, avant de m’adresser un sourire doux et charmant, alors que les traces de gifles strient ses joues. Quelle fille !


Nous nous câlinons un moment, puis elle me quitte :

-Repose-toi mon chéri, j’ai quelques bricoles à faire. Je te veux en forme pour plus tard …

Elle m’embrasse et quitte la pièce. Suivant son conseil je me prélasse sur le divan.


Au bout d’un petit moment je sors faire un tour. Je découvre le beau jardin de Miranda, l’air frais de la fin de matinée me fait du bien.


Lorsque je rentre, je la vois dans la pièce à vivre, toute pimpante, rafraîchie, sans aucune trace de nos violents ébats pourtant très récents, en effet sa peau ne marque vraiment pas longtemps. A nouveau vêtue d’une jolie robe et perchée sur de belles chaussures à talons hauts. Elle me sourit. Je la trouve ravissante.

-Que tu es belle.

-Merci, tu me fais plaisir. Tu aimerais un apéritif ?

-Oui.

-J’ai préparé un petit cocktail maison, j’espère que tu aimeras.


Elle me fait goûter une succulente boisson sans alcool. Je caresse sa cuisse douce, elle se laisse faire et nous bavardons un peu. Elle me demande si je me ressens de l’accident, elle m’indique combien elle est contente que j’aie accepté de venir chez elle. Je la remercie de sa sollicitude et lui précise que je me sens tout à fait en forme et que je suis également absolument ravi de notre nouvelle relation.


Nous déjeunons. Miranda a préparé un bon petit plat. Je ne sais pas comment elle a trouvé le temps de le faire.


Je la trouve divinement belle, incroyablement gentille. J’hésite à lancer de nouveaux ébats immédiatement, nous avons arrêté il y a tout juste deux heures, serai-je revenu à un bon niveau de forme ? Aurait-elle déjà vraiment envie ?


Peut-être que Miranda lit dans mes pensées. Ou bien pense-t-elle réellement toujours au sexe ? Bref, elle m’interpelle :

-Je me demandais si tu n’avais pas une petite envie libidineuse ?

-Peut-être un peu en effet.

Elle me fait une mine de légère contrariété, même si je ne la crois pas véritablement fâchée.

-Je te l’ai dit ce matin, n’hésite jamais à me baiser, me rappelle-t-elle, d’un ton qui pourrait sembler à un reproche, dès que tu sens une pointe d’envie, vas-y, baise-moi, ne me demande pas mon avis, je suis toujours excitée de toutes manières.

-Oui, mais je me demande si j’ai bien recouvré tous mes moyens depuis ce matin, me défends-je.

-La seule manière de le savoir c’est d’essayer.

Elle écarte outrageusement les cuisses, dévoilant son intimité qu’aucun sous-vêtement ne cache.

-N’oublie pas de me frapper chéri, j’aime tellement ça quand tu me baises, ça m’électrise totalement.


Comment ne pas être en émoi devant cette incroyable Miranda ? Elle me subjugue et je fais de mon mieux pour la satisfaire, avec un grand bonheur. Je sors mon sexe qui darde très vite et lui déclare :

-Viens me sucer. Prends-moi tout au fond de ta gorge si accueillante.


Je suis assis, elle s’agenouille devant moi et prend ma tige en bouche. J’empoigne ses longs cheveux et force pour qu’elle imprime d’amples mouvements qui me procurent une vraie sensation de plaisir profond. Je donne des coups de bassin, qui la font émettre des borborygmes. Elle bave beaucoup, mon pubis est rapidement trempé de sa salive. La plupart du temps, elle plante ses yeux doux dans les miens.

Après un moment de ce traitement que j’apprécie, je tire sur ses cheveux et lui fais quitter mon sexe turgescent. Elle me lance un regard de folle, la moitié inférieure de son visage est maculée de salive. Elle sourit. Ses yeux quémandent à nouveau, je commence à la connaître, je sens qu’elle veut que je la violente, là maintenant, fortement.

Désireux de lui donner le plaisir dont elle semble avoir tellement besoin, je lui assène une grande gifle, qui impacte d’autant plus fort sa joue que je maintiens toujours sa tête de mon autre main. Elle me sourit toujours :

-Oh mon chéri, voilà ce que j’aime, tu apprends bien.

-Tu es une super prof. Fous-toi à poil. Garde tes chaussures et tes bas, je te trouve super sexy avec.

Une seconde lui suffit à m’obéir.

Elle me jette un regard coquin.

Je claque ses beaux seins. Elle les tend vers moi, gourmande de douleur.

-Oh oui c’est si bon.

Je lui donne une nouvelle baffe et je m’allonge, la bite au garde-à-vous :

-Viens. Empale-toi sur moi.

Elle se positionne au-dessus de moi et descend rapidement, introduisant mon sexe dans le sien, qui dégouline de mouille. Elle se met à se baiser elle-même à un rythme infernal. Je sens des gouttes de cyprine mouiller mon ventre. Elle ne stoppe que lorsqu’elle jouit en criant son bonheur, qui fait évidemment le mien.

Je ne veux pas lui laisser de répit, elle dit qu’elle est insatiable, je veux la tester.

-Empale maintenant ton cul sur ma bite.

Docile, elle s’exécute. Agile, souple, sensuelle. Je frappe encore ses seins :

-Oui mon chéri, comme ça … encore … oui c’est tellement bon … plus fort ! Continue s’il te plait …


Elle s’encule un bon moment. Ses seins sont largement marqués, ses joues sont rouges. Mes coups faiblissent un peu.

-S’il te plait donne m’en encore. Tu peux me frapper de partout, comme tu en as envie. Aller, je t’en prie.

Je la pousse violement, elle se désaccouple et tombe au sol à quatre-pattes. Quel spectacle de voir cette magnifique jeune femme ne portant que des bas et des souliers à talons hauts, gisant parterre, marquée de coups, me souriant béatement en espérant être baisée et violentée encore et encore.

Je lui écarte les cuisses et la place sous moi. D’une grande poussée je renvoie ma bite dans son cul si accueillant, d’une seule pénétration. Elle crie de plaisir. Comme je suis placé j’ai un bon accès à son joli popotin, j’en profite, je la fesse rudement, elle adore :

-Oh que c’est délicieux. Oui. Encore. Plus fort, continue. Vas-y je t’en supplie. Encule-moi, déchire-moi, fesse-moi, j’adore ça, … tu me fais mal … j’adore … je jouiiiis.


Excité par toutes ses provocations, je ne ralentis pas le rythme, ni des pénétrations, ni des coups que je lui assène en cadence. Je suis étonné de mes capacités sexuelles, le sex-appeal de Miranda doit être la raison de mes performances. Je parviens à la faire jouir une nouvelle fois, toujours dans la même position.


Nous terminons ces nouveaux ébats par une fellation bien rude, qu’elle m’administre de manière magistrale, en gobant et avalant mon sperme, toujours bien abondant.


Lorsque nous sommes un peu remis, je lui propose que nous nous organisions.

-Tu sais il faudrait que je passe chez moi, prendre quelques affaires.

-Ah oui, mais je ne suis pas sûre que ce soit prudent, tu es peut-être encore fragile après l’accident.

-Je crois que ça va. J’ai pu prouver que j’avais bien récupéré, non ?

-Oui, mais reste avec moi, je n’ai pas envie de te voir partir seul.

-Mais il faut bien que je prenne quelques vêtements et affaires de toilette, tout de même.

-Non ce n’est pas la peine, j’ai pas mal de chose ici et j’irai t’acheter ce qu’il te faut.


Je cède devant son insistance.

-Merci, je vais te trouver tout ce dont tu as besoin pour rester.

Très vite elle m’amène des vêtements d’homme, à ma taille, de bonne facture. Elle a aussi toutes les affaires de toilette dont j’avais besoin, c’est vraiment une fée. Elle est à nouveau habillée de manière à la fois décontractée et sexy, toujours juchée sur des chaussures à talons aiguille. Son teint est à nouveau frais, sa peau n’est plus marquée, mes coups ne l’ont marquée que très brièvement.


Nous rangeons mes nouvelles affaires, puis elle me présente une belle grande boîte.

-Je sais que ce n’est pas toujours facile pour toi de me violenter comme je te le demande. Alors voici quelques objets qui pourraient te faciliter la tâche.

Elle ouvre la boîte et me présente plein d’ustensiles, dont certains me semblent bizarres : un martinet, une sorte de grand chausse-pied, des verges en roseau souple, une sorte de grande raquette de ping-pong très allongée, des menottes, un spéculum, des pinces métalliques de différentes dimensions, des poids, et dans une plus petite boîte, un ensemble de grandes aiguilles. Quel assortiment !

-Elles sont en acier chirurgical et je les désinfecte après chaque utilisation, m’annonce-t-elle, en me présentant les aiguilles, avec une certaine fierté dans le regard. Elle enchaîne :

-Je range cette boîte dans ce tiroir, tu peux bien-sûr la prendre quand tu veux. S’il manquait quelque chose, dis-le-moi je complèterai ce kit avec joie. Peut-être veux-tu tester tout de suite certains objets ?


La raquette a piqué ma curiosité, je me demande l’effet qu’elle aurait sur le joli postérieur de Miranda. Comme elle me l’a demandé et me le rappelle régulièrement, je n’hésite pas :

-Relève ta robe et accroupis-toi face au canapé.

Elle sourit coquinement et se précipite vers le sofa, robe relevée, son magnifique fessier bien ferme, qui a déjà recouvré sa couleur normale après nos derniers ébats pourtant récents, offert à ma vue, barré de la ficelle d’un mini string noir, ses pieds chaussés de hauts talons.

Je saisis l’instrument et fais quelques mouvements à vide pour le prendre en main. Je me positionne et porte un premier coup, d’une force que je pense modérée, sur la fesse droite de ma partenaire. Le choc est plus violent que je ne le pensais. Miranda est déstabilisée, elle part en avant et j’ai pu apercevoir ses chairs fines trembler en profondeur sous l’impact. Néanmoins, la belle ne semble pas être dépassée par ce coup rude :

-Ouch … Voilà, ça c’est une fessée. J’adore. Poursuis je t’en prie.

Je donne un autre coup sur la fesse gauche, mais je ne suis pas tout à fait à ma main et il ne porte pas beaucoup. Je recommence.

-Ouh ! Oui.

Ses deux belles petites miches rougissent très vite, elles adoptent une couleur nettement plus sombre que lorsque je les frappais à main nue.

Je continue, une nouvelle claque sur chaque lobe, en augmentant encore la puissance.

-Voilà, comme ça … Tu me fais vraiment mal, putain … encore … s’il te plait, j’aime ça.

L’usage de cette raquette, que Miranda appelle un "paddle", rend la fessée nettement plus rude, je sens qu’elle apprécie. En vraie masochiste elle aime ce niveau de douleur.

Je donne encore quelques coups, ses fesses sont totalement cramoisies, je pense qu’elle va avoir du mal à s’assoir pendant un moment. Miranda souffre, mais elle m’encourage toujours à poursuivre, sans toutefois me demander d’y aller plus fort :

-Oui c’est bon. Encore s’il te plait.

Je pense que nous arrivons dans le degré de violence qui lui sied.

Voir ses jolies fesses rendues cramoisies par les coups me donne une grosse érection. Je renonce bientôt à la frapper, préférant la baiser. Je l’attrape par les cheveux et me positionne au-dessus d’elle, toujours affalée sur le canapé. Je place mon sexe raide sur son anus et la perfore d’une seule poussée, m’introduisant au plus profond de son fondement. Elle feule. Je la pistonne, mon bassin vient percuter ses fesses endolories :

-Oh là là, c’est bon, tu me fais du bien. Encore. Déchire-moi le cul ! Que j’aime ça !

Tout en tenant toujours ses cheveux d’une main, je parviens à gratifier son visage de quelques baffes, mais il n’est pas facile de garder l’équilibre ainsi. Elle jouit, plusieurs fois je pense.

Au bout d’un moment, je sors de son cul si agréable, je la retourne assez brutalement. Elle me fait face, mignonne, offerte, pétillante d’envie et de vice. Je la gifle à nouveau, assez durement, elle sourit toujours de ses belles dents blanches et fixe son regard charmeur dans le mien. Je place ma verge dans sa fente et prends possession de sa chatte humide d’une grande poussée, elle gémit. Je donne de claques bien vives à ses beaux seins fermes :

-Oui, t’es génial, c’est ça que j’aime. Je t’en prie continue, baise-moi à fond !

Je la pistonne un bon moment, elle jouit en criant. Je l’imite et me déverse dans son sexe brûlant, tout en pinçant très fort son téton droit.

Un peu calmé, je viens la câliner, elle me prend dans ses bras tendres, elle semble amoureuse et je suis bien.

Au bout d’un moment, elle me fait part de ses sentiments :

-Mon chéri c’était vraiment bien, j’ai adoré. J’espère que c’était bon pour toi aussi ?

-Oh que oui ma puce.

-Tant mieux. On est bien tout les deux. Quelle chance d’avoir un amant comme toi. Tu apprends si vite. Si tu veux bien, je vais aller préparer le dîner. Reprends des forces, la journée n’est pas finie …


Je la regarde quitter la pièce, toujours juchée sur ses hautes chaussures, un bas déchiré, l’autre un peu descendu, les fesses teintées d’un rouge profond, une démarche de reine.


Dès le soir, après un nouveau repas délicieux, je sens que Miranda a à nouveau envie de sexe, moi aussi. Je n’hésite pas, dès le dessert avalé, je l’attrape sous les épaules, la penche en avant sur la table où nous venons de dîner, je trousse sa jupe, découvre ses fesses encore un peu colorées d’un rouge plutôt sombre, je sors mon sexe déjà dur, écarte la ficelle de son string et fourre sa petite chatte toujours détrempée. Miranda feule et gémit, appréciant mon initiative.

Bientôt, je la retourne sur la table, la place face à moi, cassant quelques pièces de vaisselle au passage. Je l’allonge sur le dos et la pénètre, tantôt dans son vagin, tantôt dans son anus. Régulièrement, je lui assène de bons coups, des claques sur ses nichons et des baffes généreuses sur ses joues, je la pince également :

-Oh oui, c’est si bon. S’il te plait continue comme ça.

Elle jouit plusieurs fois, avant que je lui offre une rasade de foutre dans sa bouche à la langue agile.

Après ces ébats débridés, je m’excuse d’avoir brisé de la vaisselle, mais elle me rassure :

-Ce n’est rien, le plaisir prime largement sur ces conneries de biens matériels. Tu avais envie de me baiser, je désirais que tu le fasses, tu l’as fait. C’est parfait, rien à foutre de la vaisselle. Casses-en autant que tu veux. Tant que c’est pour baiser, tu peux tout péter dans cette maison, j’en ai rien à foutre, au contraire, je trouve cette transgression excitante.

Et moi donc !


La journée du lendemain se déroule sur le même rythme.

Je m’éveille avant elle. Dans la demi-pénombre de la chambre, je distingue sa silhouette délicate, à peine couverte par une petite nuisette transparente. Sa respiration est régulière, calme, Miranda est bien endormie, allongée sur le côté. Une érection matinale pointant à cette vue et à la pensée de toutes les folies que je commets depuis ma rencontre avec cette fille extraordinaire, je me remémore ses incitations répétées à suivre mes envies et mes bas instincts pour la baiser sauvagement, sans même lui demander son avis.

Tout doucement, prenant garde à ne pas la réveiller, je remonte le bas de son fin vêtement pour découvrir ses fesses. Je me masturbe une seconde pour être certain que mon dard soit bien dur. Aussi discrètement que possible, j’approche mon membre de sa raie, je tente de viser au mieux son anus.

Sa respiration est toujours tranquille, Miranda ne bouge pas, elle dort toujours. Je passe à l’action. Simultanément, je bloque son corps d’une main, agrippe ses cheveux de l’autre, et fourre mon sexe bandé dans sa raie, en essayant de perforer son anus le plus rapidement possible. J’y parviens rapidement et réveille ainsi la belle Miranda en lui offrant une sodomie bien vigoureuse. Elle n’est désarçonnée quelques secondes :

-Hein, quoi ? Qu’est-ce qui se passe …Ouch … Oh oui, c’est toi. Ah oui, encule-moi. Vas-y baise moi comme un sauvage. Oh oui, encore, vas-y …

Je lui offre sa première jouissance du jour à peine quelques minutes après son réveil brutal. Je la suis très vite dans le plaisir, en irriguant son anus de mon foutre.



Durant la suite de la journée, nous baisons très régulièrement, toutes les deux ou trois heures. Je crains de faiblir, mais il n’en est rien. Miranda doit me stimuler. Je parviens même à libérer d’importantes quantités de sperme à chaque éjaculation, je n’ai jamais été aussi performant, c’est un bonheur. Elle doit jouir au moins quinze ou vingt fois au total, mais elle est toujours insatiable.

Comme elle me l’avait dit, Miranda récupère des coups à une vitesse incroyable. Dès notre réveil toutes les traces de la fessée au paddle de la veille ont totalement disparu de sa jolie peau douce. Cela nous donne l’occasion de recommencer !


Je teste également les pinces métalliques sur ses seins. Miranda pousse un cri strident lorsque les mâchoires acérées mordent les chairs tendres de l’auréole de son téton :

-Aïïïee ! Oh là là putain que ça fait mal… Oh que c’est bon !

Je place plusieurs de ces objets sur elle. Malgré ses cris, je sens qu’elle aime, ses paroles, son regard et l’humidité de sa chatte me le confirment d’ailleurs.


Plus tard, j’essaie également le martinet, mais le maniement de cet instrument n’est pas aisé, je vais devoir m’exercer un peu avant que Miranda n’en profite réellement.


En fin de journée, juste avant notre dernier rapport, elle me demande :

-J’aimerais essuyer mes trous pour qu’ils ne soient pas trempés de mouille, ça me ferait plus mal quand tu me baises.

Quelle demande ! Elle saisit une serviette et sèche au mieux son entrecuisse, insistant dans la profondeur de sa fente intime :

-Voilà, viens me prendre maintenant. Vas-y tout en force, que ça me déchire bien, s’il te plait.

Effectivement, ma verge a du mal à intégrer sa chatte, je dois forcer à m’en faire mal à la bite pour parvenir à entrer en elle, sous ses cris de douleur et d’encouragement :

-Aïe ! Putain ! Vas-y force. Aïe. Encore. Continue. Bourrine, ça va entrer … Voilà tu y es. Ça me brûle … putain ... que c’est bon !

En effet, je viens de parvenir à entrer en elle. Je fais quelques allers-retours et la quitte sans lui laisser le temps de jouir. Je présente alors ma queue dure sur l’œillet de son anus bien sec :

-Oh oui. Encule-moi à sec, ça va me déchirer le fion, comme j’aime.

Je m’emploie, je pousse, je tourne un peu ma bite dans un sens puis dans l’autre, ses sphincters ne cèdent pas facilement, je me fais mal, mais je veux donner à Miranda le plaisir qu’elle réclame :

-Encore, continue, je t’en prie, tu vas y arriver. Aller. Force, déchire mon trou de salope !

Je parviens enfin à entrer, elle crie. Dès que mon gland est passé, j’entre sur toute la longueur de ma queue. Je la pistonne à un rythme dingue, elle jouit très vite.


Après tous ces excès, je dors longuement, comme un bébé.


A mon réveil Miranda a déjà préparé le petit-déjeuner, elle me sourit, vêtue d’une tenue sexy. Comment fait elle pour être toujours prévenante, toujours en forme, toujours pimpante, toujours partante pour une partie de sexe débridée ?


Je compte la baiser dès la fin du petit-déjeuner, mais mon plan est perturbé par le retentissement de la sonnette de la maison. Miranda va ouvrir et revient très vite accompagnée d’une très jolie jeune fille toute blonde.

-Je te présente Erin.

-Enchantée.

-De même.

-Erin est ma voisine la plus proche. Nous sommes bonnes amies. J’ai déjà pu lui parler de toi, glisse Miranda avec un sourire coquin, qui semble entendu avec la nouvelle venue.

Je la détaille un instant. Elle doit avoir une vingtaine d’années, porte de longs cheveux très blonds qui ondulent, ses yeux sont d’un bleu profond, presque foncé, plutôt fascinants. Elle est très souriante, ses joues creusées de fossettes ravissantes, elle fait admirer de jolies dents blanches très bien rangées. Un petit nez bien dessiné. Elle est très naturelle, sa jeunesse lui permettant d’éviter le maquillage. Ses formes semblent plus menues que celles de Miranda, mais j’ai l’impression qu’elles sont bien fermes. Erin porte un petit short en jean effrangé et un haut qui laisse voir un ventre bien plat et musclé au milieu duquel brille un piercing à son nombril. Même si elle est très blonde, sa peau est plutôt bronzée, notamment ses longues jambes fines. Elle est un peu plus grande que Miranda. Comme elle, elle porte des chaussures à talons très hauts. En un mot Erin est absolument sublime !


En voyant leur complicité, et connaissant le vice de Miranda, je me dis qu’elles doivent probablement être plus que "bonnes amies". Miranda continue les présentations :

-Mon chéri, je suis contente que tu fasses la connaissance d’Erin. Nous nous voyons souvent et aimons passer du temps ensemble. Nous avons plusieurs goûts communs.

Les filles me sourient, ravissantes et sexy. Je suis plutôt excité. Même si je lis bien-sûr entre les lignes qu’Erin et Miranda doivent partager des plaisirs, ou tout du moins des confidences, d’ordre sexuels, je n’ose pas provoquer des ébats immédiatement ; et ce malgré les rappels réguliers de Miranda qui insiste sur le fait que je peux à tout moment engager des rapports sexuels lorsque je suis chez ici chez elle, et qu’elle ne m’a aucunement défendu de le faire lorsqu’une autre personne est également présente.

Miranda sert un café à son amie et me surprend en déclarant :

-Je dois filer, j’ai un rendez-vous. Faîtes comme chez vous, resservez-vous de café, il y en a plein la cafetière. J’en ai pour un petit moment

Elle quitte la pièce. Une certaine gêne s’installe en moi en regardant la belle Erin, qui me sourit. Elle brise la glace :

-Miranda est formidable. Je la connais depuis quelques temps et elle m’épate, elle est si gentille, toujours partante pour une activité, toujours très jolie.

-Oui, je vous confirme, c’est vraiment une personne hors du commun.

-Vous savez, elle m’a confié qu’elle était ravie de vous avoir rencontré, elle apprécie beaucoup votre compagnie à ce qu’elle m’a dit.

Je me sens rougir légèrement.

-Nous nous confions beaucoup l’une et l’autre. Je sais que Miranda avait quelques frustrations d’ordre intime et j’ai compris que vous les combliez largement.

Je suis un peu pris au dépourvu, j’acquiesce sans bien savoir quoi répondre. Elle enchaîne :

-Je suis un peu comme elle, j’ai du mal à rencontrer une personne qui me permette d’assouvir tous mes besoins intimes. Ils sont importants et très fréquents, mais ils sont différents de ceux de Miranda. Je sais qu’elle apprécie la douleur, ce qui n’est pas vraiment un besoin pour moi.

Elle marque une pause. Un silence un peu forcé s’installe, avant qu’elle ne poursuive sa confession, visiblement un peu gênée elle-même :

-Ça va sans doute vous paraître étrange, je ne sais pas si je fais bien de vous le confier, mais Miranda m’a dit que vous étiez si compréhensif, que je me lance. Voilà, dans l’intimité, j’apprécie beaucoup la saleté …

Je suis un peu interloqué, mais je parviens à lui répondre :

-Je comprends.

-Merci. C’est assez particulier comme goût, j’en conviens, mais je suis ainsi faite. Mes envies me portent à des pratiques très sales. En fait, j’apprécie, j’ai presque un besoin physique de toucher, de sentir, de goûter, à toutes les substances que le corps humain est capable de produire, même celles qui répugnent la plupart des gens. J’aime être totalement souillée.

-En effet c’est assez particulier, mais chacun a ses goûts, cela ne peut pas se juger.

-Vous savez ce n’est pas évident de trouver des partenaires avec qui partager de telles pulsions.


Jamais je n’avais rencontré de personne, surtout de jeune femme aussi charmante, déclarant avoir des penchants sexuels pour la saleté. Personnellement, je n’avais jamais envisagé d’intégrer cet élément dans mes relations. Mais la confession de la jolie Erin m’interpelle indéniablement. Le caractère transgressif de ses désirs hors normes fait naître une pointe d’excitation nouvelle en moi, que je ressens au creux de mon ventre, très profondément.

Elle se fait de plus en plus aguichante. Elle se trémousse un peu, s’approche tout près de moi. Puis elle se lance :

-Miranda m’a dit que vous étiez un excellent bon amant, ouvert et attentif à satisfaire ses envies. Je vais être honnête, en venant ici ce matin je me disais que vous seriez peut-être intéressé par ce que je viens de vous avouer. Si c’est le cas, nous pourrions aller chez moi, je dispose d’une pièce spécialement aménagée, qui n craint pas les salissures. Qu’en pensez-vous ?

Je suis estomaqué de la proposition de cette ravissante jeune femme. Après les délires sexuels auxquels je me suis livré ces derniers jours, je suis réellement tenté par ses avances directes. Mais je pense à la belle et gentille Miranda, que dira-t-elle lorsqu’elle apprendra que j’ai couché avec son amie à peine avait-elle le dos tourné ? Non, je ne peux pas lui faire ça.

-Je suis navré Erin, mais je suis avec Miranda, je ne peux accepter votre proposition.

Je lis de la déception sur son visage si charmant.

-Oh non … Je suis sûre que Miranda n’y verra aucun inconvénient, elle est très libre, insiste-t-elle décidément très déçue.


Elle me fait hésiter. Il est vrai que Miranda ne semble pas jalouse, elle m’a présenté Erin avec un plaisir visible et s’est éclipsée en nous laissant tout les deux, et connaissant visiblement les penchants de son amie en matière de sexe. Néanmoins, au risque de perdre une occasion unique de connaître une expérience hors du commun, et qui me tente je l’avoue, je préfère décliner.

-Je ne vous plais pas, c’est ça ? ajoute la belle, d’un ton dépité.

Elle dit cela en bombant un peu le torse et en se tortillant légèrement.

-Non, ce n’est pas du tout ça, vous êtes ravissante, je vous assure. Je dois être honnête vis-à-vis de Miranda.

Visiblement chagrinée, même si elle me sourit toujours, Erin prend congé.


Je repense à notre conversation si incroyable. Recevoir une telle confession et une telle proposition d’une si jolie jeune fille dont je viens de faire la rencontre … Dire qu’il y a quelques jours encore, j’aurais accepté son invite avec plaisir et excitation et je viens de me refuser à elle …


Miranda rentre un peu après. Souriante, pimpante, magnifique comme à son habitude.

-Erin est partie ?

-Oui, il y a quelques minutes.

Elle m’embrasse.

Je suis excité depuis le petit-déjeuner et je reporte l’excitation qu’Erin a provoqué en moi sur Miranda. Je profite des consignes de mon hôtesse "Tu peux me prendre quand tu en as envie" et "Je prends encore plus de plaisir lorsque mon partenaire me fait mal". Je saisis son doux visage dans ma main, je serre ses joues qui se déforment, elle continue à me sourire. Je la relâche et lui donne une bonne baffe, elle vacille un peu, peine à retrouver son équilibre sur ses hauts talons. Elle me regarde avec envie.

-Oh oui, baise-moi sauvagement.

Je m’y emploie. Brutalement, je l’allonge sur le divan, trousse sa jupe, écarte la ficelle de son string et plante mon dard déjà dur dans son sexe. J’entreprends de rapides mouvements vigoureux, je me fais un peu mal, je vois qu’elle souffre également. Elle jouit rapidement.

-Oh putain que tu es bon. Encore, s’il te plait.

Je continue, je la gifle, la retourne vigoureusement, la fesse, tire ses beaux cheveux longs, tout en pilonnant son sexe qui devient trempé.

Bientôt je l’encule, à sec, prenant possession de son petit trou en force, comme elle apprécie. Elle crie, mais m’encourage à poursuivre.

Je la brutalise longuement. Je m’en prends notamment à son sein gauche, que je tords vigoureusement, il devient tout rouge et son téton gonfle légèrement.

-Aïe, tu me fais mal … continue … comme ça … oui encore, s’il te plait.


Nous passons une bonne partie de la matinée dans ce rapport hors normes. Elle monte plusieurs fois à l’orgasme avant que je ne jouisse en elle, au tréfond de sa chatte détrempée.


Un peu remise, elle gagne la salle de bain, nue. Je la suis. Elle se regarde dans le miroir en pied et je l’observe. Son magnifique corps aux formes voluptueuses et fermes porte quelques marques de nos ébats, ses fesses sont rougies, son visage marqué par la trace de mes doigts, … Elle tâte délicatement son sein gauche meurtri, au téton encore gonflé et étiré par ma poigne ferme. Elle passe sa langue sur sa lèvre supérieure, visiblement toujours excitée.

Je l’abandonne à ses rêveries.


Un peu plus tard, elle est rhabillée comme à l’accoutumée de manière sexy, elle approche de moi tandis que je prends un peu de repos. Elle revient sur Erin.

-Je suis contente de t’avoir retrouvé ici à mon retour, mais je t’avoue que je pensais que tu serais chez Erin. Je croyais qu’elle t’aurait invité.

-Elle l’a fait. Elle s’est confiée à moi sur ses goûts particuliers et elle m’a demandé de venir chez elle.

-Et tu n’as pas eu envie d’y aller ? Tu n’aimes pas les jeux sales sans doute.

-Ben, j’ai été un peu tenté j’avoue, mais je ne pouvais pas te faire une chose pareille.

-Tu as pensé que je serais jalouse ?

-Ben oui, je ne savais pas trop.

-Oh mon chéri, comme c’est mignon ! Mais il ne faut surtout pas te limiter pour ça. J’aime beaucoup être avec toi, et tout le plaisir que tu me procures, comme tu le sais ; mais je ne suis absolument pas jalouse. Si tu as envie de coucher avec une autre fille, Erin ou qui que ce soit, n’hésite surtout pas, fais-toi plaisir. Tant que la fille est partante …

Quelle déclaration ! La divine Miranda est vraiment incroyable.

-J’ai pas mal discuté avec Erin depuis que l’on se connaît. Je sais qu’elle est très frustrée de ne pas rencontrer d’amant qui satisfasse ses penchants particuliers. Je sais que tu es un super partenaire, alors si tu es tenté par des pratiques sales avec elle, je serais absolument ravie que tu contribues à son bonheur.

-Tu es sûre.

-Mais oui bien-sûr, parfaitement. Tu devrais allez chez elle dès cet après-midi. Mais attention, selon ce qu’elle m’a dit, elle apprécie vraiment les trucs très dégueulasses. Tu devrais te préparer, elle appréciera j’en suis certaine.

-Comment ça ?

-Ben, essaie de faire en sorte que ton intimité ne soit pas très propre. Et puis, je pense que tu peux la souiller sans aucune retenue, elle m’a confié qu’elle adorait ça, ne te gêne surtout pas avec elle.

Je suis surpris par ces propos. Mais, alors que jamais auparavant je n’avais imaginé pouvoir être intéressé par les vices liés au sexe sale, les révélations d’Erin et les suggestions de Miranda me mettent dans un fort état d’excitation, qui me semble émaner du plus profond de ma libido.


CHAPITRE 2


Je suis les consignes de Miranda. En passant aux toilettes, je fais en sorte de laisser les dernières gouttes de ma miction finir dans mon caleçon, puis je décide de ne pas m’essuyer après avoir pris soin de faire affleurer mon étron à la limite de mon anus, sans le faire sortir. Je pense qu’ainsi ma raie sera graissée. J’ai quelques craintes quant à l’accueil qu’Erin pourra donner à ces négligences hygiéniques, mais je décide de tenter le coup, je fais confiance à Miranda. Bien-sûr je ne me douche pas, ni ne mets de déodorant après mes ébats endiablés de ce matin.


Peut-être pour éviter ma gêne, Miranda m’indique :

-J’ai à faire à l’extérieur une bonne partie de l’après-midi. J’ai prévenu Erin par texto que tu passerais chez elle tout à l’heure, elle t’attendra, elle va être ravie.

Nous nous embrassons et je quitte le domicile de Miranda. Erin habite à quelques centaines de mètres de là, une grande maison coquette.


Je sonne. J’attends un moment et vois la porte s’ouvrir sur la superbe Erin, vêtue d’une fine nuisette bleu ciel, perchée sur des escarpins, elle me sourit :

-Ah, ravie de vous voir. Entrez.

Souhaitant dissiper tout éventuel malentendu, je précise :

-Miranda m’a incité à venir vous voir.

-Ah, que c’est gentil à elle. Entrez, entrez.

Lorsqu’elle referme la porte après mon passage, je constate qu’un large fil de bave pend à sa lèvre inférieure.

-Je suis contente que Miranda vous ait convaincu de venir. Elle m’a tellement vanté vos mérites et j’ai tellement envie de pratiques débridées et très sales. Je m’y adonne très souvent, mais je suis sans homme la plupart du temps et j’aimerais tellement partager cela avec un garçon, comme vous.

En disant cela le fil de bave tombe sur le haut de sa nuisette. Elle fait couler encore un peu de salive. Je trouve son comportement déviant tout à fait excitant. Elle me sourit :

-Vous aimez me voir jouer avec ma salive ?

-Oui, vous êtes très belle ainsi. Ça vous va bien, réponds-je sans mentir.

Elle expulse encore un peu de bave, s’en saisit avec ses doigts, la fait remonter, ouvre grand la bouche et récupère le fil de sa petite langue rose toute mignonne. Qu’elle m’excite !

-Vous pouvez me cracher dessus si ça vous dit.

Quelle proposition !

Un peu hésitant, j’approche d’elle, j’active ma salivation et tente d’envoyer un crachat sur son visage si angélique. Je dois manquer de pratique, mon jet est minuscule et il n’atteint que partiellement le minois de la belle Erin. Elle semble toutefois se satisfaire – pour le moment – de mon offrande.

-Oh là là, que c’est excitant, glousse-t-elle.

Elle sort sa langue et tente de lécher les quelques gouttes qui parsèment le pourtour de sa ravissante bouche.

Je l’embrasse. Nos langues se mêlent un moment. Elle a tendance à s’affaisser sous moi, elle finit par s’assoir dans un fauteuil qui se trouve là. Lorsque nous rompons ce premier baiser délicieux, elle me fixe de ses grands yeux au bleu profond et me supplie presque :

-Vous me cracheriez dans la bouche, s’il vous plait ?

Quelle demande ! Elle écarte largement les mâchoires, langue étirée et attend que je dépose mon présent. J’approche, me place au-dessus d’elle pour être sûr de ne pas manquer ma cible et dépose un mollard qui goutte doucement sur sa langue. Elle la replie et déglutit visiblement. Puis elle affiche un franc sourire et un regard lumineux :

-Oh, que c’est bon, je suis si excitée.

-Moi aussi.

-Faites-moi des choses sales s’il vous plait.

-On pourrait peut-être se tutoyer, non ?

-Bien-sûr.

-Sois vraiment cochon avec moi, souille-moi complètement, donne-moi tous les jus que ton corps peut exsuder, je veux sentir toutes ces substances sur ma peau, dans mes cheveux, dans ma bouche, dans mon sexe, … S’il te plait … Et puis tu me baiseras aussi. Comme un fou. Je serai ta truie sale ! Tu me prendras par tous mes trous de vicieuse avide de pénétrations vigoureuses et gluantes ! Oh oui, s’il te plait fais tout ça pour moi, je t’en supplie, je serais si heureuse !

Elle débite ces insanités d’un seul trait, je sens qu’elle meurt d’envie de commettre tous les actes répugnants qu’elle décrit. Elle est clairement frustrée et la perspective de réaliser ses fantasmes la prend aux tripes.

Je songe à lui répondre que je vais faire tout cela, que j’y prendrai un plaisir dingue, mais je choisis finalement l’action. Je lui crache à nouveau à la face, deux fois. Je passe ma main sur son visage, j’étale ma salive. J’introduis mes doigts gluants dans sa bouche gourmande, elle bave dessus, je badigeonne ses joues, son front, quelques mèches de ses beaux cheveux blonds, de nos salives collantes. Elle me sourit, conquise.

Je pense à l’état repoussant de mon intimité, il me semble que c’est le bon moment pour lui dévoiler mes efforts anti-hygiènes.


Toujours debout devant Erin affalée sur le fauteuil, je baisse mon pantalon et mon caleçon pour sortir mon sexe déjà bien dur – toujours d’une dimension qui dépasse celle dont j’avais l’habitude avant de rencontrer Miranda – et surtout imprégné de mon urine plus très fraîche. Son odeur monte jusqu’à mes narines.

-Oh comme ça sent délicieusement mauvais, j’adore ça.

-Tu sais, c’est grâce à Miranda, c’est elle qui m’a conseillé de venir te voir en étant bien sale.

-C’est vraiment une perle, quelle amie !


Erin se précipite vers mon vît, qu’elle gobe d’une traite, jusqu’à la garde. Je suis impressionné, elle est encore plus rapide que Miranda. Elle fait quelques va-et-vient, se retire, déglutit :

-Hummm … Que ta tige a bon goût, elle sent la pisse qui a stagné un peu, que j’aime ça !

Elle retourne m’avaler goulument. C’est divin ! Je laisse choir un gros mollard sur son visage collé à mon pubis alors que mon sexe est profondément fiché dans sa gorge baveuse. J’adore ce moment.

-Oh, c’est trop bon !

-Tu n’as pas encore tout vu, ni tout senti, ajoute-je.

Disant cela j’écarte les jambes pour qu’elle puisse se faufiler sous mon entrecuisse, derrière mes testicules et aller explorer mon périnée maculé d’excréments. Aimera-t-elle vraiment cela ? Je veux en avoir le cœur net dès maintenant :

-Tu devrais aller goûter mon anus, je pense que tu vas apprécier ce que j’ai laissé là pour toi.

Erin plonge immédiatement entre mes cuisses. Je sens sa langue agile et légèrement râpeuse visiter mon intimité. Rapidement ses léchouilles se concentrent autour de mon anus, là où je pense avoir laissé le plus de caca.

-Oh là là, … quel trésor … C’est bon.

Elle donne des coups de langue entre chaque mot.

Elle me lèche ainsi pendant de longues minutes. Puis elle ressort enfin :

-Oh, c’est incroyable, tellement savoureux toutes ces cochonneries que tu as pondues, j’adore.

Elle me sourit, son visage maculé de traces marrons puantes, elle rayonne. Je la trouve splendide. Malgré l’état repoussant de son visage et de ses lèvres, je ne peux pas m’empêcher de m’approcher et de lui rouler une pelle magistrale, baveuse à souhait.

Je goûte pour la première fois à des matières fécales, le goût amer est infect, mais la beauté et le vice de ma partenaire me réjouissent tellement que je prends un vrai plaisir à ce baiser immonde.


-J’espère que tu as encore d’autres trésors qui m’attendent ?

-Oui, je crois, qu’on va pouvoir se faire plaisir.

-Tant mieux. Moi aussi, je suis bien pleine, de partout, ajoute-t-elle avec un sourire coquin.

Qu’elle m’excite à proférer des insanités de sa bouche angélique et souillée de mon caca !

-Tu me pisserais dessus ?

Quelle requête !

-Avec plaisir.

-Viens, installons-nous dans ma pièce spéciale.

Toujours très sexy dans sa nuisette et perchée sur ses hauts talons, elle me conduit dans une immense salle de bain, carrelée du sol au plafond, meublée de canapés au revêtement qui semble imperméable. Je constate que le sol est pourvu d’évacuations qui doivent faciliter un nettoyage au jet. Erin a vraiment investi pour son plaisir intime.

-Voilà, ici on peut se lâcher totalement, sans arrière-pensée. Pisse-moi à la gueule !

Elle s’assied sur l’un des divans, son joli visage un peu gluant de salive et tâché de traces de merde, sa fine nuisette étoilée de gouttes de salive, ses belles jambes écartées, qui se terminent par ses escarpins sexy. Elle est absolument sublime. Souiller une si belle jeune fille en lui pissant dessus représente pour moi une pratique d’une perversité inouïe, mais elle est tellement demandeuse, que le côté le plus vicieux de ma libido prend le dessus, je me sens prêt à la satisfaire.

Néanmoins, il ne m’est vraiment pas naturel de commettre un tel acte. Il me faut un moment pour libérer ma vessie, pourtant bien pleine.


Le premier jet est poussif, il atteint seulement les chevilles et les pieds d’Erin. Ma deuxième tentative est meilleure, ma miction porte sur le ventre et remonte rapidement vers le visage de ma superbe partenaire. Elle ouvre la bouche, parvient à capter une partie du flot. Quelques giclées plus fortes trempent ses cheveux blonds si soyeux. Je la vois avaler une gorgée de ma pisse chaude, que c’est transgressif et excitant ! Je me concentre pour parvenir à me vider totalement, sans bander trop dur.

-Oh que c’est bon, merci ! Viens m’embrasser.

Je me jette presque sur elle. L’idée de goûter mon urine me convient parfaitement puisque je vais la déguster sur le corps somptueux d’Erin. Le goût est salé, j’avoue ne pas l’apprécier en tant que tel, mais le caractère vicieux de cette pratique et l’excitation de briser des tabous prend totalement le dessus. J’embrasse Erin à pleine bouche, elle s’arrange pour introduire des giclées de ma pisse dans mon gosier. Puis je lape sa peau douce souillée et sa belle chevelure devenue poisseuse. Ça m’excite, je me régale !


-Tu voudrais goûter ma pisse maintenant ?

-Oh oui, tu me donnes follement envie.

-Glisse ta langue sur mon abricot.

Je descends, soulève le bas de sa nuisette, dévoilant un pubis nu portant une fine toison de poils blonds très entretenue qui surmonte des grandes lèvres appétissantes à souhait, irisées de gouttelettes qui doivent mêler sa cyprine et mon urine. Je présente mes lèvres gourmandes sur son sexe si appétissant. Je lui prodigue un cunnilingus. Ses gémissements m’indiquent qu’elle apprécie. Je sens son plaisir monter, mais elle m’interrompt avant de jouir :

-Attention, je vais libérer les vannes.

Je me recule de quelques centimètres, ouvre la bouche, prêt à recevoir une lampée de pisse. Ce sera ma première fois. Ce matin encore je n’aurais jamais imaginé vivre une telle situation, et encore moins l’attendre avec impatience et excitation.

L’urètre d’Erin expulse un jet puissant, mais bref, qui m’inonde le visage, je n’ai pas réussi à en capter beaucoup. Ce liquide est brûlant et odorant, je suis surpris, mais très heureux et excité. Bientôt une nouvelle projection s’échappe de son puits, elle m’arrose longuement, je parviens à laper une grosse gorgée que j’avale sans réfléchir. Je n’ai pas vraiment le temps d’analyser le goût, je suis occupé à en recueillir encore davantage. Erin me détrempe totalement, ma chemise me colle à la peau, tout mon visage et mes cheveux sont imbibés de sa délicieuse urine jaune. Je prends le temps d’écouter mes papilles, le goût de cette pisse est plutôt agréable, il m’agrée nettement plus que celui de ma merde.

Je reprends mon cunnilingus. La chatte d’Erin est maintenant inondée.


Rapidement, elle m’interrompt pour venir me rouler une pelle détrempée, mêlant sa pisse et nos salives. Quelle joie !

-Oh quelle jouissance de pouvoir pisser librement sur quelqu’un !

-Tout le plaisir est pour moi …

-J’ai envie que tu me baises, là maintenant, très fort …

-Tes désirs sont des ordres.

Je bande bien dur. Je place mon membre à l’entrée du sexe d’Erin et entre en elle. Elle m’absorbe telle une ventouse, quelle sensation !

-Oh oui. Que c’est bon de se faire prendre par une bonne grosse bite. Encore, fourre-moi, vas-y !

Je la pistonne et lui fais atteindre l’orgasme très vite. Elle crie son plaisir :

-Ah, putain c’est trop bon. Se faire baiser dans la pisse, … ah c’est trop bon, putain !


Voir une magnifique jeune fille, ravissante et sensuelle déclamer de telles insanités alors qu’elle jouit de mes coups de bite en étant maculée de pisse, est un vrai ravissement pour moi. Je ne l’aurais pas crû il y a seulement quelques heures, mais je dois vraiment prendre sur moi pour parvenir à ne pas éjaculer immédiatement dans son antre brûlant et trempé.


A peine est-elle remise de son orgasme, qu’elle poursuit :

-J’ai envie d’encore plus de saleté, plus de baise, plus d’ordure ! Chie s’il te plait ! Chie pour moi ! Chie-moi à la gueule, putain ! Tu le feras, hein ?

Décidément la Erin que j’ai rencontrée ce matin, belle, fraîche, semblant presque naïve s’est métamorphosée en une salope amatrice de baise crade totalement débridée. J’avoue que j’en suis ravi.

-Oui, je vais te donner ma merde, je vais déféquer pour toi, je vais te chier dessus, comme tu me le demande, ma grosse truie !

-Ah putain, j’en ai vraiment envie, vas-y maintenant, s’il te plait. Je suis ta sale grosse vache !


Je quitte sa chatte. Elle s’allonge sur le canapé et m’invite à m’accroupir au-dessus d’elle, de son doux minois, déjà souillé. Au passage je lui mollarde au visage.

-Aller, pousse, je veux bouffer ton gros étron puant, ta merde grasse !

Malheureusement je bande trop dur pour parvenir à desserrer mes sphincters. Nous devons patienter un moment. Elle enfile un doigt dans mon cul.

-Ça va aider, tu vas voir. Pousse bien, contracte tes abdos, ça part de là.

Je suis ses conseils. J’apprécie son travail digital dans mon fondement.

Ayant une grosse envie, je sens bientôt mon étron glisser doucement. Elle retire son doigt, je suis sûr qu’elle le porte à sa bouche, mais je ne la vois hélas pas faire.

Enfin, mon cul s’ouvre et un flot de caca s’en échappe. Je l’entends choir sur Erin, il émet un bruit de glaise !

Elle se pâme de mon offrande :

-Oh là là, putain, quelle merde ! Que c’est bon. Ah oui, tu m’as recouverte de ta bonne chiure bien dégueulasse !

Je me relève, me retourne et découvre Erin le visage barré de ma grosse crotte à la teinte jaunâtre. L’odeur devient rapidement atroce. Ma merde s’étale depuis son front, à la limite de ses beaux cheveux blonds, traverse son joli nez, s’enfonce dans sa bouche et ressort sur son menton. Elle sourit, ses beaux yeux bleus pétillent.

-Viens foutre ta bite dans ma bouche, je vais la salir, articule-t-elle d’une voix empâtée par les fèces.

Je bande à nouveau très dur. Je dois faire une acrobatie pour parvenir à introduire mon sexe dans son gosier, sans qu’elle ne bouge trop, ce qui ferait immanquablement tomber la merde qui gît sur son visage.

Je m’enfonce profondément dans sa cavité buccale, descendant dans sa gorge, graissant mon membre dans ma merde, lui en introduisant au fond de son gosier. Je ressors quelques fois pour embourber encore plus mon chibre, avant de le lui redonner à sucer. Ma merde s’étale sur tout son doux visage. Je la trouve ravissante ainsi.

-Que tu es belle.

-C’est grâce à toi, merci de m’avoir chié dessus.

Je remets ma queue dans sa bouche et y fais quelques va-et-vient. Puis je ressors.

-Maintenant que ta belle bite est toute sale, j’aimerais que tu la fourres dans ma petite chatte. Souille-moi en profondeur, j’aime tellement ça, je veux que ta bonne merde pollue mes entrailles, s’il te plait, au plus profond de mon intimité de perverse …

Alors que je quitte sa bouche sale si agréable, Erin en profite pour ôter sa nuisette cochonnée. Je découvre sa poitrine, de magnifiques petits seins très fermes, qui tiennent parfaitement. Je leur offre quelques caresses, puis je me concentre pour pénétrer son sexe avide de mon membre couvert de ma merde odorante. Je reconnais que souiller son saint-des-saints de mes excréments gras est un vrai bonheur de transgression !

Je saisis du caca sur son visage et en tartine ses magnifiques petits seins.

-Oh oui, cochonne mes nichons, enduit-les de ta bonne merde dégueulasse, j’adore ça !

J’étale mes fèces en recouvrant totalement ses jolis roploplos, puis j’étire la matière sur son ventre plat et ferme, tout en pistonnant sa cramouille trempée de mon membre gras. Je sens bientôt Erin atteindre l’orgasme, elle crie sa jouissance et trempe mon bas-ventre d’une puissante giclée de mouille.

Je continue de la besogner sans interruption. Elle se remet petit à petit de son plaisir :

-Oh que c’est bon mon chéri. Je voudrais sucer encore ta bonne queue sale, pleine de ta merde et de ma mouille. Viens dans ma bouche s’il te plait.

Erin se redresse, des morceaux de mon caca gras et odorant glissent sur son torse, graissent encore davantage sa poitrine et son ventre. Je la trouve magnifique. Elle approche son visage de mon dard souillé et l’embouche avec une réelle gourmandise. Elle bave abondamment, j’apprécie grandement cette pipe hors normes. Elle a rapidement raison de ma résistance, je jouis et ajoute des giclées de foutre à toutes les substances qui souillent déjà sa bouche.

Erin gobe ma semence. Elle me sourit, le visage sali d’une gangue d’ordure. Elle me montre ostensiblement le contenu infâme de son gosier, où mon sperme, ma merde, nos pisses et nos salives forment un magma immonde avec lequel elle joue avec délice. Elle finit par déglutir visiblement une partie du contenu de sa bouche, puis elle me sourit à nouveau, ses beaux yeux pétillent d’excitation et de vice.

-Que j’aime être sale, souillée. Je vois que ça te fait jouir, c’est merveilleux.

Tout en prononçant ces paroles transgressives, elle salit ses mains dans le caca qui jonche son corps, elle crache dans ses menottes une substance gluante, puis elle coiffe ses superbes longs cheveux blonds de ses doigts collants et colorés. Je la trouve superbe ainsi souillée, dégageant une odeur insoutenable, enivrante qui m’excite au plus haut point, me redonnant une belle érection.


Me voyant bander à nouveau, Erin veut encore aller plus loin :

-J’aimerais goûter à ma merde, j’ai un vrai cadeau dans mon cul. Pourrais-tu venir le chercher en m’enculant ?

-Avec plaisir, réponds-je avec délectation.

Erin s’approche du bord du canapé, écarte outrageusement les cuisses. Quelques coulures suivent la chute de ses jambes à la peau bronzée et terminées de ses escarpins. J’admire sa fente encombrée de résidus boueux et découvre son œillet brun qui palpite. Je lui présente mon sexe raide et appuie délicatement. Son anus cède sans grande résistance, je suis ainsi propulsé dans son fondement. Je sens vite que son conduit est encombré. Bientôt ma queue se graisse de ses excréments.

-Oh c’est bon, tu me fais du bien. Je sens que tu touilles ma merde. Brasse-la, c’est trop bon.

Elle part vers un nouvel orgasme.

Je lui pistonne le cul encore un bon moment.

-J’ai vraiment trop envie de chier maintenant. Sors, je vais pondre.

Dès que je quitte son anus, Erin relève encore ses jambes et son bassin, parvenant telle une gymnaste, à positionner son entrecuisse au-dessus du haut de son torse et de son visage. C’est alors qu’elle libère un impressionnant flot de merde, dans une chiure éruptive qui éjecte des projections qui éclaboussent les quatre coins de la pièce, certaines m’atteignent, d’autres se plaquent au plafond ! Passé le premier jet, le gros de la masse s’écoule plus doucement de son anus dilaté, tombant tout autant vers l’arrière, au sol, que vers l’avant, sur son sexe, son torse et son visage déjà bien sales.

La couche d’ordure qui la recouvre s’épaissit encore. L’odeur est suffocante. Je bande comme un âne, d’une profonde excitation que je n’aurais pas soupçonnée avant de rencontrer Erin ce matin même.

Elle étale ces nouvelles matières sur son visage, ses seins, sa chevelure. Elle est superbe.

Elle écarte à nouveaux les cuisses :

-Viens encore baiser ma chatte. Enfonce nos merdes dans mon intimité, pollue-moi !

Je fais glisser mon dard bandé sur son corps, ses seins, ses cheveux, son visage, sa bouche pour bien m’enduire de toutes ces saletés avant de retourner labourer sa chatte trempée et excitée.

-Oui c’est bon, c’est sale, j’aime ça. Crache-moi au visage.

Nous jouissons encore tout les deux.


Je commence à fatiguer, Erin également. Nous nous embrassons de nos bouches sales.

-Ça te dit de prendre une douche ?

-Oui, ce n’est pas superflu, approuve-je.


Nous nous dirigeons dans la cabine de douche qui équipe la pièce d’eau d’Erin. Elle me lave minutieusement, par d’agréables caresses. Je suis surpris par sa technique et la rapidité avec laquelle, elle parvient à me rendre tout propre. Elle met un peu plus de temps à se débarrasser des traces de nos excès, notamment dans ses jolis cheveux longs.


Dès l’opération achevée, Erin me propose :

-Tu prends un apéro ?

J’hésite un instant, j’ai un peu peur de déplaire à Miranda en restant absent trop longtemps. Mais le sourire d’Erin me convainc.


Nous bavardons dans son salon, nus comme des vers, Erin portant néanmoins de belles chaussures à talons hauts toutes propres. Nous sommes assis face à face.

-Tu es incroyable Erin. Jamais je n’aurais imaginé me vautrer dans de telles pratiques et surtout y trouver autant de plaisir.

-C’est que tu avais ça en toi. Sans doute que les conventions sociales t’empêchaient de te l’avouer.

-Tu as certainement raison, notre après-midi m’ouvre d’immenses perspectives. Merci.

-Je n’ai fait que révéler ce penchant enfoui dans ton esprit.

-Et toi, tu aimes la saleté depuis longtemps.

-Oui, j’ai toujours associé la saleté à la sexualité, pour moi c’est intimement lié.

-Incroyable …

-Je suis vraiment heureuse que ça t’ai plu. J’ai passé un super après-midi et j’espère que tu auras envie de remettre ça au plus vite, et très souvent. Considère que je suis toujours disponible pour baiser dans la saleté. Dès que tu ressens une once d’envie, viens me trouver et baisons dans l’ordure ! Je serai ta sale truie !

Elle me fait un clin d’œil et passe sa langue rose sur ses lèvres.


Déjà elle m’excite. Mon sexe durcit, aucun vêtement ne le cachant, elle le constate. Je décide de prendre l’initiative. Je lui crache au visage. Elle passe son doigt fin sur mon mollard et le guide vers sa bouche entrouverte. Elle est tellement sexy, mon sexe est à nouveau au garde-à-vous. Elle l’empoigne de sa main fraîche.

-Quelle envie ! On retourne à côté ? propose-t-elle en désignant la porte qui mène à sa pièce spéciale.

-Avec plaisir, cochonne.

Je la suis. L’odeur qui règne dans la pièce qui n’a pas été nettoyée est lourde et entêtante, mais elle ne me rebute pas, au contraire.

-J’espère qu’il reste de la merde dans mon cul, m’indique Erin en se positionnant à quatre pattes sur le divan souillé, viens m’enculer pour vérifier.

Je pénètre son cul. Je dois vraiment m’employer pour débusquer le peu de matière cacateuse qui reste encore en elle.

Elle vient ensuite se délecter de mon chibre bruni. Mais elle est assez déçue.

-Mince il n’y a pas assez de merde. Tu crois que tu en as encore toi ?

-On va voir ça.

Je me mets à mon tour à quatre pattes.

-Doigte-mon trou de balle, il faudra ça si on veut y déloger de la merde.

Elle plante son majeur qui perfore mon cul. Elle me fourrage un moment. Je sens que ses efforts paient, de la matière coulisse en moi et finit par s’extraire de mon intestin. Je suis très étonné, et ravi, de la masse de caca que je parviens à expulser alors que j’ai déjà bien chié il y a à peine quelques heures.

Mon présent ravit également Erin :

-Ah, super, tu as encore plein de bonne merde, tu es génial mon chéri.

Elle récupère la matière fécale dans ses mains et s’en enduit immédiatement la poitrine, puis son doux visage, elle souille à nouveau ses beaux cheveux clairs. Je la trouve si excitante. Je lui crache dessus et plante mon sexe tendu dans sa bouche embourbée de caca. Je pilonne sa gorge, elle laisse échapper de grosses gouttes de bave brune.

Lorsque je lui laisse un répit, elle quémande :

-S’il te plait nique ma chatte avec ton bonne bite dégueulasse, fourrage-moi, souille-moi en profondeur, je suis ta sale truie !

Je baise à nouveau la jolie Erin avec un réel plaisir. Nous jouissons tout deux, après de multiples et longs ébats gras et odorants.


Satisfaits, nous stoppons cette partie sale. Nous nous lavons à nouveau minutieusement. La soirée est déjà bien avancée et je me dis que je ferais bien de retourner chez Miranda. Je décline donc l’invitation, pourtant très alléchante, d’Erin à passer la nuit chez elle.

-Bon tant pis, mais reviens vite baiser ta grosse truie. La prochaine fois on sera moins sages …

-Avec plaisir ma grosse cochonne.

Je me demande ce qu’elle entend par sa dernière phrase.


CHAPITRE 3


En rentrant de chez Erin, je repense au moment incroyable que je viens de vivre. Je suis estomaqué qu’il se produise juste après ma rencontre avec la non moins épatante Miranda. Cependant, je me fais un réel souci vis-à-vis de cette dernière. Même si elle m’a dit ne pas être jalouse, comment prendra-t-elle le fait que je sois parti tout un après-midi pour baiser sa copine et que je revienne aussi tard chez elle ?


J’entre discrètement. Miranda est au salon, elle regarde la télévision vêtue d’un magnifique ensemble de lingerie en dentelle pourpre composé d’un soutien-gorge qui met parfaitement en valeur sa généreuse poitrine, un string, un porte-jarretelle qui tient une paire de bas assortis et de très belles chaussures noires aux talon vertigineux. Ses beaux longs cheveux sont défaits, ils tombent en cascade sur ses épaules bien dessinées, mises en valeur par les bretelles du soutien-gorge.

-Bonsoir mon chéri.

-Bonsoir.

-Ça s’est bien passé avec Erin ?

-Oui, en effet. Navré de rentrer si tard.

-Ne te fais aucun souci pour ça, tant que tu as passé un bon moment, c’est l’essentiel.

-Oui mais je t’ai laissé seule.

-Ça ne fait rien, j’avais à faire, ne t’inquiète surtout pas pour cela.

Je suis à la fois rassuré de ne pas avoir déplu à Miranda, et en même temps subjugué par cette si merveilleuse jeune fille, belle, élégante, toujours partante pour une partie de sexe débridé, gentille, attentionnée, et aucunement jalouse.


-Tu dois être fatigué.

-C’est vrai qu’on n’a pas été très sages avec Erin. Elle m’a fait découvrir un drôle de penchant pour le sexe sale, qui devait être profondément enfoui en moi. J’ai découvert de nouveaux plaisirs. Un peu comme avec toi ces derniers jours.

Miranda se lève, me sourit et me jette son regard enjôleur de ses yeux si doux. Conjugués à sa tenue très sexy, je me sens déjà émoustillé. Je me surprends vraiment, jamais je n’avais été aussi endurant en matière de sexe auparavant. Je pense que la beauté et les comportements totalement hors normes de Miranda et d’Erin en sont la raison.

Miranda doit lire la pointe d’excitation qui me traverse.

-Tu aurais encore la force de me baiser sauvagement en me foutant une rouste ?

Quelle provocatrice ! Je l’adore, et lui réponds par le geste. Je lui assène une bonne baffe sur la joue, si puissante que Miranda chavire depuis ses escarpins effilés et tombe lourdement au sol. Elle tourne son visage vers moi, touche sa joue qui porte déjà la marque de mes doigts et me sourit en passant sa langue sur ses lèvres :

-Formidable, continue comme ça.

Je lui saisis les cheveux, les tire vers le haut pour la relever de cette manière dégradante et douloureuse. Elle couine un peu, mais sourit toujours, provoquante.

Tout en la tenant fermement par sa jolie tignasse, j’arrache son soutien-gorge, ses beaux seins en jaillissent. Je les claque de ma main libre :

-Oh oui, que c’est bon. Frappe-moi encore. Fais-moi mal, je t’en prie.

Je lui donne de nouvelles gifles tout en gardant une poignée de ses cheveux en main. Mes doigts marquent ses joues.

-Baise-moi maintenant, s’il te plait.


Je la penche sur le dossier du canapé, me place derrière elle, écarte la ficelle de son string et plante mon braquemart bien dur sur son anus, en forçant tel un bourrin pour la pénétrer sauvagement, comme elle me le quémande.

-Aïe ! Putain tu me fais mal …encore … comme ça. Continue. Ravage mon cul de chienne ! Tu me fais bien mal ! Putain !

J’entre enfin et la pilonne un moment d’amples va-et-vient dans son fondement que je possède totalement.

Je la tiens par ses cheveux, les tire en arrière. Je change de trou. Sa chatte dégouline de mouille. J’alterne entre ses deux orifices gourmands de bite. Je lui donne quelques claques supplémentaires et la mène à l’orgasme. Je jouis peu après elle.


Je commence vraiment à fatiguer après toute les baises de cette incroyable journée. Nous nous couchons.


Je me réveille tard. Miranda a quitté le lit, sa place est froide. Je prends mon temps, pense à toutes les folies commises ces derniers jours. Suis-je un pervers ? Certainement. Fais-je du mal à ces jeunes filles ? Je ne crois pas, tant elles me réclament les traitements abjects que je leur offre. Prends-je du plaisir ? Assurément. En prennent-elles avec moi ? Elles me le disent et leurs regards plaident en ce sens. Quel mal y a-t-il alors ? Aucun. Tout est donc parfait !


Rassuré, je sors du lit. Miranda, comme à l’accoutumée, est vêtue d’une tenue qui lui sied à merveille, féminine, sexy, tout en restant décente dans son petit chemisier blanc et sa jupe crème lui arrivant à mi-cuisses, toujours perchée sur de hauts talons, dont elle doit posséder une collection impressionnante. Elle vaque à quelques occupations, alors que je vois qu’elle a dressé un petit-déjeuner à mon intention.


Encouragé par mon raisonnement matinal et le souvenir de ses propos gravés dans ma mémoire "Quand tu es ici, tu peux me prendre quand tu en as envie, tant que tu veux" et "Tu peux me frapper de partout, comme tu en as envie", je ressens une vraie excitation et une pulsion de violence. Elle m’aperçoit dans l’embrasure de la porte.

-Bonjour mon chéri.

Je ne réponds pas, elle poursuit en me jetant un regard de braise.

-Oh toi tu as des idées coquines, je le vois dans ton regard … Viens, ne sois pas timide, suis tes instincts les plus débridés et les plus pervers … J’ai envie … feule-t-elle.

Comme elle lit bien en moi …

Toujours sans parler, j’approche d’elle à grands pas, j’attrape sa chevelure fermement, je la retourne et la pousse sans ménagement. Je la plaque vigoureusement face contre le mur le plus proche, appuyant son visage et écrasant sa poitrine pulpeuse contre la paroi. Elle m’encourage :

-Oui, comme ça, sois bien violent avec moi, j’aime tellement ça.

Silencieux, je trousse sa jupe au-dessus de ses fesses, auxquelles je donne de bonnes claques. Elle est nue dessous, ce qui me facilite l’accès à son anus plissé et sec. Je dois donner plusieurs grosses poussées violentes et brutales pour en forcer le passage.

-Oui vas-y fort, déchire mon trou de salope, putain, je t’en supplie fais ça pour moi !

Je me fais mal à la bite tant je mets de vigueur à satisfaire les suppliques de ma partenaire. Son anus est vraiment sec et fermé ce matin. Plusieurs minutes de lutte sont nécessaires pour qu’enfin je m’introduise dans son fondement. Dès le barrage de l’anneau passé, son cul m’absorbe goulument. Je peux alors la pistonner vigoureusement, rudement.

Tout en la maintenant plaquée contre le mur, une joue et les seins comprimés, je change de trou et défonce un moment sa chatte dégoulinante d’envie.

-Continue, s’il te plait, baise-moi comme un sauvage, fais-moi mal mon chéri, par pitié !

Je lui donne des fessées, mais je sens que je reste en deçà de ses attentes de salope masochiste.


Après lui avoir asséné une bonne baffe, je la projette sur le canapé. Je retrouve la boîte qui contient les instruments de douleur et de plaisir de Miranda. Elle me regarde, excitée. Elle ne peut pas s’empêcher de triturer sa chatte avide de ses doigts fins. Je prends deux pinces métalliques, munies de petites dents pointues. Miranda me regarde avec envie.

-Approche ton téton gauche.

Avec précipitation, elle ouvre son chemisier en déchirant les boutons, abaisse son soutien-gorge en le tirant vers le bas et me tend son bout avec un regard d’envie. Je saisis sa tétine et appose l’une des pinces juste à son extrémité. Un voile de douleur obscurcit le regard de mon amante.

-Oh, comme tu me comprends bien …

-Tu veux l’autre ?

-Oh que oui, mets-la moi.

-Demande mieux.

-S’il te plait, mets la deuxième pince sur mon téton, je t’en prie, fais-moi mal, j’en ai tellement envie, me supplie-t-elle en me présentant son sein encore libre.

Je lui donne satisfaction. La douleur doit être bien vive, car elle grimace, avant de me sourire à nouveau.

-Baise-moi encore, prends tous mes trous de salope, je t’en supplie.

Elle halète, un peu à la manière d’un fauve.

Je la pousse pour qu’elle tombe du canapé, et je plante ma queue dans sa bouche, qu’elle ouvre au maximum pour me gober. Je baise sa gorge un moment. Sa mâchoire est écartelée, elle émet des gargouillis obscènes et bave des litres. Dès que je lui laisse un répit, elle quémande :

-C’est bon, encore.


Je la tire par les cheveux pour la remettre sur le divan. Je la trouve superbe dans son chemisier déchiré, sa jupe retroussée, ses belles jambes toujours terminées de ses escarpins, son regard de folle, excitée, m’implorant de la fourrager et de la brutaliser sans relâche.

-Encore, s’il te plait, baise tous mes trous de chienne en rut !

Sauvagement je fourre sa chatte, puis son cul, puis à nouveau son sexe et ainsi de suite. Je claque son doux visage, ses cuisses. Mes mains laissent des traces rouges sur sa peau de pêche. Je malaxe ses nichons toujours munis des pinces crocodile qui mordent sa chair délicate. Elle jouit, profondément, intensément. Plusieurs fois. Elle a l’air heureuse.

Je finis par me répandre au tréfond de son vagin, humide comme un marécage.

J’ôte les dents d’acier qui ornent ses mamelons, elle doit ressentir une douleur vive, elle grimace, mais ne se plaint pas.


Je la laisse se reposer un instant. Nu, j’entame le délicieux petit-déjeuner qu’elle a gentiment préparé. Elle vient vers moi, nue également, simplement chaussée de ses talons.

En me souriant, elle me tend une feuille de papier :

-Il y avait cette lettre ouverte à ton intention dans ma boîte aux lettres ce matin.

Je lis :

 

 Mon cher amant,

 Quel merveilleux après-midi m’as tu fait passer hier. J’espère que tu l’as apprécié autant que moi.

 J’ai tellement hâte que tu reviennes souiller mon corps de la plante de mes pieds à la pointe de mes cheveux … Ne me fais pas trop  languir, mes trous gluants et moi nous t’attendons avec impatience.

 Bisous merdeux.

  Ta sale truie, Erin


Quelle déclaration enflammée et sans détour !

-Tu lui as fait de l’effet à la belle Erin.

Je ressens une pointe de gêne. Evidemment la lettre étant ouverte, Miranda l’a lue.

-Je suis vraiment contente que tu aies pu lui donner tant de plaisir, c’est une fille super, elle le mérite. Et je crois que ça t’a plu également, non ?

-Oui, c’est vrai, avoue-je, en grande partie rassuré par le ton compréhensif de Miranda.

-Tu retourneras la voir bientôt, n’est-ce pas ?

-Oui, j’y pensais.

-Très bien. Essaie d’être bien sale et d’avoir des réserves en toi, elle appréciera, me conseille Miranda, en me souriant.

Quelle amante extraordinaire, elle m’encourage et me conseille sur les meilleurs moyens de baiser avec son amie !


Afin de m’assurer d’avoir les intestins suffisamment remplis, je ne vais pas chez Erin ce jour-là. Je reste avec Miranda. Comme nous en avons pris l’habitude, je la baise plusieurs fois, rudement. Nous jouissons de nombreuses fois. Je suis toujours étonné de parvenir à bander bien dur peu de temps après avoir joui, et d’honorer ma partenaire de bonnes giclées de sperme à des intervalles aussi courts.


Je teste sur elle d’autres objets de torture que contient sa boîte. Je commence à mieux manier le martinet, je parviens à lui donner des coups plus prononcés et à la marquer aux endroits que je vise. Masochiste, elle m’encourage à la battre, à ne pas retenir mes coups. Après chaque ébat, elle observe les traces laissées par mes sévisses sur son corps splendide. Elle semble les apprécier :

-J’aime voir mon corps marqué. Ça me montre à quel point je suis une salope maso et je suis encore plus excitée.

Je suis estomaqué de constater à quelle vitesse impressionnante sa peau et son corps récupèrent des blessures que je leur inflige. Des marques qui semblent profondes s’atténuent en quelques dizaines de minutes et disparaissent totalement dans les heures qui suivent. Dès lors, Miranda me demande, voire me supplie, de la violenter à nouveau, encore et encore … Et de la baiser, encore et encore …


Je me couche avec déjà une bonne envie d’aller à la selle, mais je m’abstiens et prévois d’aller retrouver Erin dès le lendemain matin.

Miranda a dû anticiper mes projets, car dès mon lever, elle m’informe :

-Tu sais mon chéri, j’ai pas mal à faire ce matin, si tu veux t’occuper d’Erin n’hésite surtout pas.

Elle ajoute tout de même :

-Bien sûr, si tu as envie de me baiser, je m’arrange pour rester ici avec plaisir.

-Je crois que je vais suivre ton conseil. Je vais te laisser vaquer à tes occupations et aller voir ce que je peux faire pour Erin, j’ai une grosse surprise pour elle, réponds-je en désignant mon ventre de mon index.

-Très bien. Veux-tu que je l’informe de ta venue ?

-Volontiers.

Nous nous embrassons et je me dirige vers le domicile d’Erin.


CHAPITRE 4


Lorsqu’elle ouvre la porte, Erin m’offre une vue magnifique. Elle me sourit de son visage angélique, ses beaux yeux bleus pétillent, ses longs cheveux blonds sont coiffés en un chignon sophistiqué. Ses jolies petites oreilles sont ornées de belles perles, très élégantes. Toute de blanc vêtue, une robe près du corps au col haut qui laisse voir ses bras fins à la peau bronzée. Très courte, elle atteint tout juste la moitié de ses cuisses. Ses longues jambes fuselées sont gainées de bas ou de collants. Elle est chaussée de jolis escarpins assortis au reste de sa tenue. Cet ensemble lui donne un aspect à la fois simple, mais très recherché, presque raffiné.

-Coucou mon tout beau, ça me fait très plaisir que tu viennes me voir.

-Bonjour Erin, le plaisir est pour moi.

-Entre. J’espère que tu n’as pas petit déjeuné ?

-Non, pas encore.

-Parfait, j’ai préparé quelque chose, je pense que tu vas aimer.

Elle m’embrasse sur la bouche, d’un baiser profond.

Nous entrons. Je la suis du regard, je vois sa robe la mouler magnifiquement. Le tac-tac de ses talons résonne à chaque pas. Elle me conduit directement dans sa grande pièce de plaisirs où est dressée une très belle table, nappée de blanc et couverte de différents mets qui semblent recherchés et délicieux.

Nous nous asseyons face à face.

-Comme je suis heureuse que tu sois venu. Je craignais que tu aies eu peur de mon comportement déviant de l’autre jour.

-Je ne l’aurais jamais imaginé, mais saches que j’ai particulièrement apprécié le moment passé avec toi avant-hier. Je me suis découvert des penchants que je ne me connaissais pas, mais qui m’ont apportés un incroyable plaisir, vraiment profond.

-Formidable ! Je suis si heureuse d’entendre ça. Je suis certaine que nous allons encore passer un bon moment, j’ai préparé quelques surprises … Mangeons.

Je bois une gorgée d’un délicieux jus d’orange pressé. Erin se prépare une tartine de miel. Lorsqu’elle le porte à sa bouche, un fil s’écoule doucement et vient tacher le haut de sa robe.

Faisant semblant d’essayer de récupérer le miel qui goutte d’un coup de langue, Erin laisse échapper un peu de salive, qui choit également sur sa robe.

-Ne sois pas propre, me glisse-t-elle avec un sourire coquin au coin de ses jolies lèvres.

Je la trouve magnifique de provocation. Je me lève, la domine de ma hauteur tandis qu’elle est assise, elle me regarde, j’approche doucement mon visage du sien et dépose un crachat entre ses lèvres entrouvertes. Elle déglutit visiblement et me sourit :

-J’adore, souille-moi, je n’ai aucune limite.

Je garnis une tartine d’une délicieuse confiture de fraise artisanale, je lui en donne une bouchée et porte le reste à ma bouche. Je mâche. Lorsque je constate qu’elle a avalé, je l’invite à ouvrir les lèvres, je m’approche et déverse la mixture mâchée de ma bouche dans la sienne. Ses yeux pétillent, elle mâche alors en ouvrant ostensiblement les lèvres entre chaque mastication. Je me penche pour qu’elle puisse me rendre ma tartine réduite en bouillie.

Elle boit ensuite une importante gorgée de jus de fruit, elle l’avale bruyamment, avant d’émettre un rot sonore. Je souris :

-Malpolie.

-Oui, je le revendique et j’en attends autant de toi.

Nous poursuivons ces jeux de nourriture aguichants. Erin tache le haut de sa robe blanche. Cette belle étoffe maculée contraste avec le reste de sa mise particulièrement soignée par ailleurs, notamment son joli chignon.

Alors que nous sommes repus après ce très généreux petit-déjeuner, Erin pète, libérant un flot de gaz bien odorant. Le bruit de la fin de son éruption trahit l’expulsion de matières plus substantielles. Je suis très excité.

-J’adore ton parfum.

-Merci.  

-Ta beauté qui transpire le vice me fait un vrai effet. Je commence à être fort comprimé dans mes vêtements.

-Mets-toi à l’aise mon chéri. Sors ton puissant dard, j’espère qu’il est dans un état bien faisandé …

-Tu jugeras, réponds-je en libérant mon sexe déjà bien dur, qui est ravi de ne plus être comprimé par mon caleçon. :

Ne m’étant pas lavé depuis mes derniers rapports avec Miranda et ma dernière miction, j’espère que les reliquats d’urine, de foutre et de mouille satisferont Erin.

Elle me gobe immédiatement, en gorge très profonde. Elle garde mon membre enfoui en elle pendant de longues secondes. Lorsqu’elle le ressort, de grands fils de bave lient nos corps. Elle inspire :

-Je sens que tu as fait un vrai effort pour te parfumer, ça aurait pu être encore plus corsé, mais j’apprécie.

Elle retourne engloutir mon chibre, très tendu, qui atteint toujours une dimension que je ne lui connaissais pas avant mes premiers rapports avec Miranda.

Sa pipe est baveuse à souhait, j’adore. Bientôt Erin l’agrémente de reliefs du repas. Elle suce alors ma bite couverte de miel, de confiture et même de saumon fumé !

Désirant augmenter encore la transgression de ce petit-déjeuner si particulier, je déverse du sirop d’érable sur son visage, en badigeonnant même ses beaux cheveux toujours tenus en chignon. Elle m’encourage :

-Salis-moi, n’hésite surtout pas. Tu sais que plus c’est sale, plus je mouille.

Je palpe sa poitrine d’une main enduite de confiture de cerise au travers de sa robe, laissant de grandes empreintes rouge vif.

-Oui cochonne mes vêtements, ils seront à jeter, j’aime ça, tu m’excites comme une folle.

Encouragé, je tente de m’immiscer sous son vêtement, mais la belle robe est trop serrée, je décide de forcer un peu, le tissu craque.

-Vas-y déchire tout, on s’en fout !

J’applique ses consignes, mon geste déchire l’une des larges bretelles, découvrant son sein gauche, nu, que j’enduits de cerise en gelée. Je déguste alors cette confiserie en titillant le téton qui darde.

-Je veux te faire juter dans ma tasse, pour déguster un café crème.

Je lui crache à la figure.

Erin s’échine à faire reluire mon sexe, je sens la jouissance monter, je quitte son antre si agréable et dirige ma tige au-dessus de sa tasse. La première giclée atterrit pile dans son café, mais les suivantes se dispersent tout autour sur la nappe.

-Hum, je vais régaler.

Elle prend une gorgée café arrangé en bouche, la conserve, s’en gargarise avant d’avaler. Elle me sourit et boit la fin de son breuvage en plusieurs fois. D’un doigt fin et habile, elle racle les gouttes de sperme qui tachent la table, puis elle le conduit vers sa bouche, visiblement ravie.

-Un petit-déjeuner sans sperme n’aurait pas été complet. Mais tu sais j’ai encore soif …

Elle saisit mon membre qui a un peu débandé après cette première éjaculation matinale.

-Je suis certaine que tu as une envie de pisser, n’est-ce pas ?

-Oh oui, je me retiens depuis bien longtemps.

Elle approche sa bouche entrouverte de mon zizi à demi-bandé.

-Hydrate-moi.

Je décide de lui offrir le contenu de ma vessie par petites doses, en tentant de ne libérer qu’une petite quantité de pipi à chaque fois. Un premier jet puissant mais bref, l’éclabousse et emplit partiellement sa bouche. Erin la referme sans en perdre une goutte. Toutefois, il n’est simple de contrôler mon débit, surtout avec une telle envie. Le deuxième jet est moins maîtrisé, il vient détremper le visage de ma belle partenaire. La pisse chaude la touche au front et s’écoule sur tout son visage, dégoulinant jusque sur sa robe et même ses bas.

Elle avale le peu qu’elle est parvenue à capter et me regarde avec un sourire béat d’extase.

-Que c’est bon mon chéri, tu es génial. Encore s’il te plait, je suis toujours assoiffée.

Je parviens à lui offrir une nouvelle gorgée, sans déborder cette fois-ci.

Je vide ainsi une bonne partie de ma vessie, elle en boit la majorité, mais plusieurs éclaboussures la souillent.

-Voilà qui est encore meilleur qu’un jus de fruit pressé. J’aime tellement l’urine, c’est ma boisson favorite.


Désaltérée, Erin approche encore son visage de mon intimité. Cette fois elle ne gobe pas mon sexe, mais lèche mes couilles, en bavant bien dessus, la sensation est divine. Petit à petit elle insinue son visage entre mes cuisses et sa langue vient fureter entre mes fesses, là où des résidus de quelques pets bien gras stagnent depuis ce matin. Erin semble apprécier ces présents, car elle me lèche longtemps, en insistant sur mon anus sale. Sa langue ma ravit, quel bonheur !


Je pense que je dois être bien propre du cul lorsqu’elle ressort enfin, le visage toujours illuminé de son sourire réhaussé du pétillement de ses magnifiques yeux au bleu profond.


Erin ôte ensuite le lambeau qui lui sert encore de robe. Ses petits seins fermes, collants de différents mets, pointent fièrement, tels une invite à de nouveaux jeux. Plus bas, la taille d’Erin est entourée d’un porte-jarretelle auquel des bas fins et blancs sont attachés. Outre ses hauts talons, elle porte une culotte blanche. Lorsqu’elle se penche ostensiblement en avant, devant moi, je découvre une auréole brune située pile entre ses petites fesses bien rebondies. Cette tache ne laisse aucun suspens quant à son origine. Une odeur entêtante saisie mes marines lorsque je les approche du sous-vêtement, me confirmant qu’Erin a bien libéré un pet très foireux un peu plus tôt.

-Tu aimes ?

-Oh que oui. Tu m’excites terriblement, ma petite cochonne.

A nouveau mon sexe est en érection.

-Tu n’as encore rien vu mon porc. Tout à l’heure j’espère que tu m’appelleras "Ma grosse truie".

Elle m’invite à m’allonger sur un divan. Elle s’accroupit au-dessus de moi, ajustant sa position pour que son derrière soit positionné juste au-dessus de mon visage, à quelques centimètres seulement. Je pourrais le toucher du bout de ma langue.

Elle pète à nouveau, me forçant à inspirer ses gaz puissants, un délice !

Son pet est bientôt suivi de gargouillis profonds et une seconde plus tard la culotte d’Erin se gonfle, mue par une force interne qui la déforme radicalement. Je pense un instant être rapidement couvert de ses excréments, mais l’évacuation s’interrompt juste avant que la culotte ne déborde. Je reste un moment émerveillé par la masse qui brunit tout l’arrière de la du sous-vêtement devenu difforme.

-Ah c’est bon de chier dans son slip.

Erin se relève, elle me montre fièrement sa culotte bien pleine, aguichante dans sa tenue sexy et totalement souillée. Bientôt elle tire les bords de sa culotte remplie, la faisant remonter. Son action a pour effet de faire sortir une merde brune, malléable, qui s’écoule lentement le long de ses cuisses, glissant sur ses bas et atteignant ses chaussures à hauts talons.

Erin insiste, effectue des mouvements d’avant en arrière, répandant ainsi ses fèces dans tout son entrejambe.

-Que c’est bon de se foutre de la merde de partout. Je sens qu’elle entre dans ma chatte, c’est chaud, c’est gras, ça pue, c’est tellement excitant !

Il me semble qu’elle jouit de son infâme comportement qui m’échauffe terriblement.

Un peu remise, elle me demande, presque en hurlant :

-Viens me baiser, viens fourrer ma chatte merdeuse, viens souiller le tréfonds de ma cramouille de truie !

Quelle exigence !

-Pollue ta bite dans ma merde, je te la boufferai après !

Elle s’allonge sur le canapé, fais doucement glisser sa culotte garnie, découvrant petit à petit son entrejambe totalement imbibé d’une épaisse couche de caca collant, puis elle écarte outrageusement ses cuisses sales. Je viens sur elle, je me salis avec délice, la bite en avant qui se graisse de ses matières sordides avant de s’insérer dans son sexe humide, brûlant et avide de pénétrations sales. La fine toison blonde de son pubis retient la merde grasse, elle y forme une sorte de petit tapis profondément imprégné de fange.

Je la pistonne vigoureusement. Elle crie son plaisir d’être bien baisée, salement. Elle jouit encore.

Je continue à la besogner. Je me cochonne une main dans le caca qui encombre la culotte abandonnée sur le côté et m’en vais badigeonner ses mignons petits seins fermes, déjà collants des résidus du petit-déjeuner et de ma pisse. J’adore voir sa jolie poitrine bouger au rythme de mes va-et-vient, totalement recouverte de matière fécale chaude et bien odorante. Rapidement je suis tellement excité par ce spectacle hors normes, que je titille de ma langue les beaux tétons devenus bruns qui dardent fièrement. Je goutte les excréments de la jolie Erin mu par une profonde excitation perverse. Je n’apprécie pas le goût en lui-même, mais le caractère hautement transgressif de mon acte et le plaisir visible qu’il engendre chez ma belle partenaire, me poussent à le commettre avec délice.

Dès qu’elle aperçoit mes lèvres salies de son caca, Erin cherche à m’embrasser à pleine bouche. Nous nous roulons une pelle longue, boueuse et bien baveuse, tout en poursuivant nos rapports.

Après un nouvel orgasme, Erin m’interrompt :

-Chéri c’est trop bon, j’aimerai maintenant prendre ta bite bien grasse dans ma bouche, je veux goûter à toutes les substances qui la polluent.

Erin s’assied à même le sol en prenant le soin de se positionner sur sa culotte outrageusement sale, elle cochonne ainsi les fragments de sa peau et de ses sous-vêtements encore épargnés de saleté. Elle entreprend une bonne fellation en gorge profonde, que j’apprécie beaucoup. Petit à petit son chignon, qui lui donnait un air si distingué à mon arrivée, se défait et des mèches de ses beaux longs cheveux blond clair, baignent dans les ordures qui tapissent le divan.

Erin suce divinement bien et je lui offre une nouvelle rasade de sperme gluant, qu’elle avale avec une gourmandise non feinte, tandis que j’apprécie ce moment inouï.

Bientôt, elle saisit quelques mèches de ses cheveux graissés de caca et les porte à sa bouche pour les suçoter, elle est parfaitement sale et semble toute excitée par sa nouvelle perversion. Je lui mollarde au visage, elle me répond de son sourire coquin.

-Je pense que mon cul est encore gavé de merde bien puante, il faudrait que tu ailles la déloger avec ton beau gros sexe. Tu ferais ça pour moi n’est-ce pas ?

-Avec joie ma belle.

Erin se retourne pour me présenter son joli derrière, sa taille toujours parée de ses sous-vêtements chics, dans un état déplorable. Cette vue m’excite et me redonne une vraie vigueur. Je parviens à la sodomiser puissamment, tentant de la pénétrer le plus profondément possible pour aller extraire chaque gramme de merde qui gît dans son intestin.

Elle feule sous mes coups de boutoir dans son anus.

-Oh oui mon gros porc, encule ta grosse truie, défonce mon conduit à merde, c’est trop bon, continue, s’il te plait, je t’en prie, encore.

Au fur et à mesure de mes pénétrations, je constate que mon sexe se charge de merde fraîche, que ma bite extrait lentement mais sûrement de son fondement. Ma queue puise la crotte à sa source. Je m’en salis les mains et en tartine les dos d’Erin ainsi que ses magnifiques cheveux blonds. Cette sodomie dure jusqu’à ce que nous atteignions un énième orgasme, qui nous transporte simultanément au septième ciel.


Nous prenons alors un peu de repos, tout en restant sales. L’odeur dans la pièce doit être atroce, mais elle ne m’incommode pas, au contraire, elle a tendance à générer une pointe d’excitation nouvelle.

-Tu as faim ?

-Pas vraiment, le petit-déjeuner était très copieux.

-Oui, mais on fait de gros efforts, on pourrait s’offrir une collation. Et puis si on veut encore chier plus tard, il faut recharger nos intestins dès maintenant.

-Bon, si c’est pour la bonne cause, je veux bien me laisser tenter par quelque chose à grignoter.


Souillée de la pointe de ses longs cheveux, au bout de ses hauts talons sur lesquels elle est toujours juchée, sa lingerie en lambeaux imprégnée de fange, Erin se dirige vers un petit réfrigérateur utilement installé dans sa pièce de plaisir. Elle sort en de jolies tartelettes à la rhubarbe.

-Voilà, avec ça on va se régaler et ça activera notre digestion.

En effet, les pâtisseries sont très bonnes.

-Je boirais bien une coupe de Champagne, qu’en dis-tu ? propose-t-elle.

-Avec plaisir.

-Il faut aussi qu’on recharge nos vessies.

Erin a tout prévu, elle sort une bouteille de Champagne de son petit frigo, je le sers dans des coupes rangées dans la pièce.

Dès la premier gorgée bue, Erin rote bruyamment. Je l’imite. Nous rigolons, comme des gamins.  

-Tu m’offrirais mon cocktail préféré ?

-Lequel ?

-Du Champagne à l’urine. J’en raffole.

-Bien-sûr. J’ai encore une belle envie tu sais.

Je me concentre pour compléter sa coupe à moitié vide par un jet de pisse. Evidemment j’en mets un peu parterre, mais ça n’a aucune importance ici.

Erin boit d’une traite sa coupe.

-Hum, que c’est bon ce mélange de Champagne glacé et de pipi chaud, un régal. Tu veux goûter.

-Bien-sûr.

Erin place ma coupe entre ses cuisses et y déverse un trait de son nectar intime. Je me régale à mon tour.

-Que c’est formidable de t’avoir rencontré, toutes les perversions les plus folles sont tellement accessibles avec toi, c’est génial.

-Tout le mérite te revient, sans toi jamais je n’aurais ne serait-ce qu’imaginé que je pouvais prendre du plaisir, et en donner, en incluant de la saleté dans mes rapports sexuels. Je suis aussi ravi que toi.

-Tu sais quoi ?

-Non.

-J’ai déjà à nouveau envie que tu me baises dans la merde, là, maintenant, tout de suite.

Sa déclaration me fait un vrai effet, je rebande presque immédiatement, surtout en la regardant écarter ses cuisses sales toujours gainées de ses bas devenus marron. Je peux ainsi la fourrer à nouveau.

-Oh oui, comme ça, baise-moi bien, profondément. Encore. Après tu me chieras à la gueule !

Je pilonne le sexe gluant d’Erin, en parcourant son délicieux corps ferme de mes mains bien sales. Je lui crache au visage et dans la bouche dès que l’occasion se présente. Elle débite des insanités et nous jouissons encore. Du sperme vient s’ajouter aux immondices qui jonchent sa chatte.


A peine est-elle remise de son plaisir, qu’Erin en veut encore plus, elle est vraiment insatiable !

-J’ai envie de bouffer ta merde maintenant. Je suis certaine que ton cul est gavé de caca puant à souhait, bien gras, bien dégueulasse comme j’aime.

Elle s’allonge à même le sol. Je la trouve ravissante de vice et de perversité ainsi souillée, son corps et ses lambeaux de lingerie maculés d’ordures. Ses longs cheveux, maintenant totalement défaits, aux mèches hirsutes gominées d’excréments, forment une sorte d’auréole autour d’elle, qui baigne dans les immondices qui jonchent le carrelage. Son état repoussant m’attire plus sûrement qu’un aimant.

-Aller, viens, met-toi au-dessus de moi, donne-moi ta merde, chie dans mon gosier affamé de déjections !

Je m’installe comme elle le souhaite. Venant de jouir j’ai pu, un peu, débander, ce qui facilite l’ouverture de mes muscles annaux. Rapidement je libère le contenu ignoble, vicieux et si attendu de mon intestin. J’ai l’impression de pondre une énorme masse. Cette éruption me soulage véritablement, je me sens tout léger. Je suis un peu étonné de ne pas entendre Erin s’exclamer, je n’entends que quelques borborygmes. Je comprends lorsque je me retourne et que je découvre son visage totalement noyé sous un monticule de merde brune, grasse et souple, qui doit l’asphyxier. Même si elle ne peut pas s’exprimer verbalement, Erin montre que mon offrande l’excite en branlant vigoureusement sa chatte sale de ses doigts dégueulasses, elle en enfonce plusieurs, tandis que de son autre main elle s’active sur son clitoris.

Je l’aide à s’assoir, le dos appuyé à l’assise du canapé. Cette action a pour effet d’étaler mes miasmes puants sur sa poitrine et son ventre, tandis que le surplus choit sur le haut de ses cuisses et au niveau de son entrejambe. Elle utilise d’ailleurs cette matière pour continuer à se masturber frénétiquement, enfilant des fèces dans son sexe.

Excité, je présente ma pine devant sa bouche jonchée de caca. Dans un mouvement qui semble presque mécanique, elle m’embouche profondément, tout en poursuivant ses attouchements sur son propre sexe. Elle ne libère ma queue que lorsque ses doigts et ma merde la conduisent vers un orgasme puissant.


Cette nouvelle jouissance ne diminue en rien son envie de sexe et de saleté.

-Maintenant je voudrais que tu me fasses gerber avec ta bite. Fourre-la au tréfond de ma gorge, avec toute la merde que j’ai ingurgitée, je devrais dégobiller rapidement.

Je suis estomaqué par cette demande totalement hors normes, mais je devrais maintenant être accoutumé aux folies d’Erin, qui ne semblent avoir aucune limite.

Je m’emploie donc à lui donner satisfaction. Je fais d’abord glisser le caca que je parviens à racler sur ses joues vers sa bouche, afin qu’elle en mange encore davantage. Elle le mâche une seconde et déglutit avant de me sourire sous le masque fangeux, seuls ses yeux bleus offrent une autre couleur que le marron jaunâtre qui enduit sa peau. Elle avale ensuite ma bite en gorge profonde, j’entame des va-et-vient que je m’efforce de rendre profonds et rapides.

Très vite Erin s’étouffe, je me retire.

-Non, non continue s’il te plait. Pilonne ma gorge sans arrêt jusqu’à ce que je gerbe.

Je retourne donc dans son gosier sale. Bien vite, elle semble à nouveau suffoquer, elle émet des gargouillis bruyants. Il faut plusieurs dizaines de secondes pour que mon traitement la fasse vomir. Ma queue est presque éjectée de sa bouche tant le flot est intense. J’aperçois du vomi jaillir par son nez. Le gros de son éruption dégouline sur sa poitrine, se mêle à la merde et aux autres substances infâmes qui maculent déjà son corps si sexy.

Sous la gangue d’immondices, Erin rayonne, je vois qu’elle sourit toujours. Elle se bouche une narine, souffle par l’autre, faisant ainsi couler un affreux cocktail composé de vomi merdeux et de morve. Elle étire sa langue pour le capter lorsqu’il passe devant sa bouche. Elle le déglutit dans la foulée. Quelle perverse, elle est vraiment accroc à l’ordure !


Rapidement, elle se remet sur l’assise du canapé, cuisses remontées.

-Baise-moi encore. Fais-moi encore jouir dans la fange ! Je t’en supplie !

Je fourre une nouvelle fois sa chatte sale, introduisant du vomi dans son antre déjà passablement pollué. Je décide d’alterner entre ses trous, quelques allers-retours dans son vagin, suivi d’une salve dans son cul. La sodomie doit sans doute graisser encore ma tige de sa merde, mais je suis déjà tellement sale que je ne vois pas la différence entre l’avant et l’après.

Elle jouit et je l’imite peu après.


Elle semble – enfin – un peu fatiguée.

-On fait une pause ?

-Oui bien-sûr.

-On va reprendre des forces et on continuera juste après.

Quelle maniaque !

-Avec joie ma belle.


Très vite, sans prendre la peine de se débarbouiller, Erin sort de nouveaux mets du frigo. L’air de la pièce est maintenant suffoquant, mais nous nous en accommodons et remplissons nos ventres de crevettes, de saumon fumé, de foie gras et autres petites mignardises. Nous buvons encore du Champagne. Erin avait vraiment tout prévu. Bien-sûr nous mangeons sans nous laver, au mépris des plus élémentaires règles d’hygiène. Cette transgression m’excite, je suis sûr qu’il est en de même pour mon incroyable partenaire.


J’admire un instant Erin, que je trouve particulièrement excitante de vice, alors qu’elle est toujours perchée sur ses hauts talons, dans sa lingerie totalement imbibée de souillures et largement déchirée, souriante, le regard flamboyant, les cheveux agglutinés en amas collants, la peau couverte d’ordure jusqu’à ses oreilles qui portent toujours les boucles de perle que je trouvais si classes à mon arrivée.


Bien vite nous reprenons nos activités sexuelles. Nous parvenons encore à exsuder quelques miasmes de nos corps généreux, afin de polluer entre davantage nos peaux, nos sexes et l’air ambiant.


Nous passons toute la journée à alterner entre baise intense et sale et courtes pauses qui nous permettent de récupérer et de recharger nos vessies et nos intestins.


Erin finit par m’épuiser, mais je crois qu’elle aussi ressent de la fatigue. Elle me déclare dans un ton de plénitude :

-Comme tu as été formidable, jamais je n’avais eu le bonheur d’aller aussi loin dans mes plaisirs avec un garçon. Je suis comblée.

Quel ravissement pour moi.


Nous entreprenons le délicat nettoyage de nos corps. Comme la fois précédente, je suis surpris par la rapidité à laquelle Erin parvient à nous rendre propres et à ne plus dégager d’odeur nauséabonde.


Je passe la nuit chez elle, sans que nous n’engagions de nouveaux ébats. Je quitte son domicile le matin suivant et retourne chez Miranda.


CHAPITRE 5


Je retrouve Miranda en fin de matinée. Elle est toujours radieuse, dans une tenue sage, mais néanmoins sexy, portant de hauts talons, une jupe qui laisse admirer ses genoux et un haut plutôt décolleté. Elle semble ravie de me voir, ses yeux brillent.

-Mon chéri, comme je suis contente que tu sois là.

Nous nous embrassons, elle est toute souriante. Aucune pointe de jalousie vis-à-vis d’Erin ne transparaît.

-J’ai prévu un déjeuner, avec une surprise pour le dessert, j’espère qu’elle te plaira.

-J’en suis certain.

-Mais comme il n’est pas encore onze heures, je me disais qu’on pourrait se donner un peu de plaisir avant. Si ça te dit bien-sûr.

Comment résister à une telle avance ? Je n’y songe même pas. Elle est si désirable.

J’attrape les cheveux de Miranda, les tire en arrière. De mon autre main, je palpe son sein généreux, en le pétrissant fortement, puis je remonte sur son visage que je serre de ma grosse paluche, en le déformant. Je libère ses joues et lui donne une petite baffe. Les beaux yeux noisette de Miranda pétillent d’excitation.

-Comme j’aime cette entrée en matière, déchaine-toi sur moi, j’ai une folle envie de baise sauvage.

Je tire encore un peu plus fort sur sa chevelure et lui inflige quelques gifles en augmentant progressivement leur intensité.

-Hum, j’adore. Encore, continue comme ça s’il te plait !

Je la retourne, la plie en deux pour lui plaquer le torse sur la table. D’un bras, je la presse assez rudement, je pense que ses seins sont bien écrasés sur le plateau. De ma main libre, je descends sa jupe, elle tombe à ses pieds, Miranda s’en sépare en levant ses chaussures à talon une à une. Elle ne porte pas de sous-vêtement, sans doute voulait-elle me faciliter le passage.

Ces préliminaires brutaux, bien que brefs, m’ont donné une belle érection. Je décide de la sodomiser sur le champ. Son anus est sec et plutôt serré, il va falloir que je m’emploie pour entrer, je sais que Miranda va apprécier. Je place mon gland sur son anneau.

-Oh oui mon chéri, déchire à sec mon petit cul bien fermé avec ta bonne grosse matraque. Force pour que ça entre.

Mes premières tentatives échouent.

-Essaie encore. A sec c’est toujours plus dur de se faire enculer, mais ça fait tellement mal, c’est trop bon. Par pitié, déchire-moi ! J’aime tellement ça.

J’insiste, toujours encouragé par Miranda. Pour continuer à la chauffer, je lui assène quelques bonnes fessées, qui font rougir ses lobes.

Après plusieurs minutes, pendant lesquelles je me fais mal à la bite, ce que je n’apprécie pas particulièrement, je parviens enfin à forcer son petit trou. Je le défonce immédiatement à une cadence élevée.

-Oh comme c’est bon, putain. Tu m’encules vraiment bien, j’aime ça. Détruis mon trou de balle de chienne.

Je la pilonne un bon moment. Je change d’orifice. Sa chatte est tellement humide que j’entre sans difficulté, je la besogne vigoureusement. J’alterne entre ses deux lieux de plaisir et provoque sa jouissance.

Je poursuis mon travail de sape dans ses antres de bonheur, tout en gratifiant ses jolies de fesses, déjà rouges, de claques bien senties, je lui tire les cheveux arrière par moment et lui offre ainsi un deuxième orgasme, que je sens être puissant. Elle crie :

-Oooohhh oui, … Ah c’est trop bon de se faire baiser comme une grosse salope. Oh putain que c’est bon !

Je sens que je vais jouir à mon tour.

-Tu as envie que je te jute dans la bouche ?

-Oh oui, bien-sûr, donne-moi ton bon foutre, s’il te plait.

D’elle-même elle se désaccouple et se place face à mon sexe tendu à l’extrême. Un coup de langue et son regard, à la fois doux et enflammé planté de le mien, suffisent à me faire projeter trois grosses lampées de sperme qui éclaboussent sa frimousse de bas en haut, quelques gouttes atterrissant directement dans sa bouche grande ouverte. Rapidement, de ses jolis doigts, elle guide les restes de mon jus vers sa petite langue rose qu’elle tire outrageusement. Elle avale toute ma semence. Elle sourit un peu béatement, l’air ravie, radieuse.  


A peine quelques minutes plus tard, Miranda est rhabillée, à nouveau toute pimpante, elle me propose de commencer à déjeuner. Je la questionne sur la surprise promise, mais elle ne divulgue rien.


Au moment du dessert, elle me tend une tablette :

-Voici le début de la surprise. Regarde la vidéo.

J’appuie sur "play".


Je découvre en gros plan une jeune femme d’origine asiatique qui regarde la caméra, tout sourire. Ses yeux marrons bridés pétillent, sa peau plutôt est claire, elle porte de longs cheveux bruns lisses et détachés qui entourent un visage qui se caractérise par des pommettes saillantes, qui lui vont très bien. Elle ne semble pas maquillée. Elle prend la parole :

-Salut. Je suis Yumiko.

Elle marque une pause, se recule. Je découvre sa silhouette fine, bien mise en valeur par un petit haut qui découvre son ventre plat au nombril percé d’un bijou, une mini-jupe qui ne couvre que sa taille fine et le haut de ses cuisses et des chaussures aux talons fins et très hauts.

Elle revient vers l’objectif et reprend la parole :

-Je suis amie de longue date avec Miranda. Nous nous confions l’une à l’autre sur des affaires de cœur et j’ai vu la manière dont elle a été transcendée depuis qu’elle t’a rencontré. Elle m’a expliqué, en détail, vos rapports. Comme nous avons des goûts assez proches en matière de sexe, j’ai bien-sûr tout de suite été intéressée pour faire ta connaissance. Mais Miranda avait quelques craintes sur le fait que tu ne serais pas forcément enthousiaste à la perspective d’une rencontre. Alors j’ai eu l’idée de cette vidéo. Comme ça tu peux me découvrir un peu, et tu pourras décider si tu veux me rencontrer ou pas.


Miranda presse sur le bouton pause. Elle semble rougir un peu.

-Désolée d’organiser une rencontre de cette manière virtuelle. Mais comme tu as eu quelques réticences quand je t’ai présenté Erin, je me disais que c’était un meilleur moyen de faire ainsi.

-Tu as bien fait, c’est plutôt amusant.

Elle semble un peu rassérénée et relance le film.

-Voilà, tout comme Miranda j’aime beaucoup le sexe, j’aime baiser très souvent. Comme elle également j’adore que ce soit pimenté, qu’on me bouscule un peu, voire beaucoup. Qu’on m’insulte aussi sans vergogne.

Elle marque une courte pause, elle semble un peu gênée, elle baisse les yeux, et finit par reprendre :

-En fait, je suis maso, j’apprécie qu’on me fasse mal et même très mal. C’est un plaisir pour moi de prendre des coups pendant l’amour. J’ai besoin de plaisir pour me sentir bien et j’ai besoin de douleur pour atteindre le plaisir. Un peu comme Miranda, j’encaisse très bien les coups et ma peau ne marque pas longtemps.

Ses propos piquent forcément mon intérêt.

Après une nouvelle pause, elle poursuit :

-Et puis j’aime bien les grosses pénétrations. J’adore qu’on m’enfonce de très gros objets dans mes trous, être vraiment bien dilatée à l’extrême. Je dois avoir des dispositions pour ça, et si ça fait mal ce n’est pas grave, bien au contraire. Si tu acceptes de me rencontrer, la seule chose que je te demande c’est que si je trouvais que ça va trop loin, je te dirais "Stop, stop", ou si je ne suis pas en situation de parler, je te pincerai à deux reprises, et tu arrêterais tout.


Quelle présentation !

Yumiko se recule à nouveau, elle tourne sur elle-même, me permettant ainsi de découvrir un bien joli corps menu et qui semble très ferme. Je la trouve absolument ravissante.

Elle revient vers la caméra :

-Voilà, tu sais tout. Si tu as envie que je vienne, dis-le à Miranda et je serai très vite avec toi. J’espère que tu me donneras un accueil digne des attentes que Miranda a fait naître en moi. Elle te donnera quelques conseils, j’aimerais vraiment que tu les suives. Bisous.

La vidéo se termine.


Miranda se tourne vers moi, avec un sourire qui marque une pointe d’inquiétude. Je lui souris en retour et je vois son visage se détendre.

-Alors, qu’en dis-tu ?

-Que tu as de drôles d’amies.

Elle se retend à nouveau.

-Ah bon, tu trouves ? Yumiko ne te plait pas ? me questionne-t-elle sur un ton qui marque une vraie déception.

-Mais si bien-sûr. Comment une belle jeune femme comme elle pourrait-elle ne pas me plaire ?

-Ben je ne sais pas, c’est bizarre de se présenter ainsi à un inconnu, en vidéo, en confiant de tels secrets, ça peut te faire peur.

-Mais non, bien au contraire.

-Vraiment ? dit-elle en retrouvant le sourire, tu accepterais de la rencontrer ?

-Evidemment, ça me ferait très plaisir.

-Chouette ! Tu sais, elle est juste là, elle attend dans sa voiture à quelques kilomètres d’ici. Je lui passe un message et elle arrive dans peu de temps si tu es d’accord.

-Magnifique.

Miranda se précipite sur son portable et adresse un message à Yumiko.


Je la questionne à mon tour :

-Et toi, ça ne te dérange pas qu’une fille vienne chez toi avec des intentions sexuelles avec moi ?

-Oh non pas du tout. J’aime beaucoup Yumiko et j’adore partager des moments intimes avec elle.

-Je ne savais pas que tu avais aussi des penchants lesbiens.

-Oui en effet. Il y a encore pas mal de choses que tu ne sais pas sur moi, répond-elle en minaudant.


Avant l’arrivée de la nouvelle venue, Miranda me prodigue les quelques conseils supplémentaires suggérés par son amie :

-Tu sais Yumiko m’a confié qu’elle aimerait que votre relation débute de manière très intense. C’est un fantasme qu’elle a. C’est la raison pour laquelle elle a terminé en disant "J’espère que tu me donneras un accueil digne des attentes que Miranda a fait naître en moi".

Je dois paraître un peu interloqué.

-Oui, en nous confiant nos envies, elle m’a dit qu’elle rêve d’être sauvagement baisée et battue par un homme qu’elle ne connaît pas. Comme je ne lui ai montré aucune photo de toi, tu es un parfait inconnu pour elle. Elle compte sur cette rencontre pour réaliser son fantasme.

Je dois toujours sembler surpris.

-Je pense que dès qu’elle franchira la porte, tu devrais lui sauter dessus, la baiser comme un furieux, en la frappant sans retenue. J’ai déjà expérimenté des jeux violents avec Yumiko, elle est au moins aussi maso que moi, elle aime vraiment qu’on lui fasse mal pendant le sexe.

Dans mon esprit, pervers, l’étonnement fait place à l’excitation. Je souris. Miranda sort de sa boite à plaisirs une ceinture de cuir à la boucle métallique.

-Tu pourrais lui faire goûter à ça, je suis certaine que Yumiko apprécierait.

Je vois qu’elle sort également quelques godemichets de grosse dimension.


Déjà la sonnette de la maison retentit. Miranda va ouvrir.

Elles entrent toutes les deux dans le salon. Yumiko porte la même tenue que dans la vidéo. Je les trouve ravissantes dans leurs habits de ville sexy, perchées sur leurs escarpins, souriantes, leurs beaux yeux lançant des regards incendiaires, elles se tiennent par la main, comme deux lycéennes amies. Miranda conduit Yumiko face à moi.


-A genoux pétasse !

Yumiko reste souriante, elle se positionne comme je lui ai demandé, elle me fixe droit dans les yeux, le visage toujours illuminé d’un joli sourire.

Je lui assène une bonne baffe, qui l’oblige à tourner la tête. Lorsqu’elle revient dans sa position initiale, elle me sourit encore plus largement, ses beaux yeux pétillent encore plus d’excitation.

Je gifle son autre joue, fortement. Elle me fixe et me sourit toujours, arborant fièrement les traces de mes doigts.

Je sors ma bite déjà bien dure. J’empoigne ses cheveux et l’attire vers moi en coulissant mon dard dans sa bouche. Je force et l’oblige à m’emboucher en profondeur immédiatement. Je sens peu de résistance, je force légèrement et mon calibre est totalement absorbé par sa jolie bouche et sa gorge. Je reste un moment fiché en elle, ma queue finit de durcir dans ce doux fourreau bien chaud et bien humide.

Lorsque je la libère enfin, elle continue de me sourire en me fixant de ses jolis yeux, quelques gouttes de bave autour des lèvres, provoquante. Je la gifle encore.

-Oh oui, encore, feule-t-elle dans un murmure.

-Relève-toi, retourne-toi et appuie-toi sur la table.

Yumiko se place comme demandé. Elle m’offre une superbe vue sur ses belles jambes fines nues et sa croupe réhaussée par les chaussures à talon aiguille.

Miranda nous observe, installée sur le canapé, une main vulgairement plongée dans sa jupe effectue des mouvements réguliers, ne laissant aucun doute sur son activité.

Je faufile deux doigts inquisiteurs sous la petite jupe de Yumiko, qui remonte très haut dans cette position. Je constate avec ravissement que son entrecuisse est totalement nu et surtout mouillé, elle semble vraiment excitée. Je mets mon intention à exécution.

Je saisis la ceinture, je l’arme et frappe l’arrière de la cuisse de Yumiko avec le cuir mordant. Elle soupire un peu. Je porte quelques autres coups, mais elle intervient :

-C’est bon, j’aime bien, mais vas-y avec la boucle s’il te plait, j’ai envie que tu me fasses vraiment mal.

Quelle masochiste ! me dis-je.

Je jette un œil à Miranda, toujours occupée à sa masturbation, elle me fait un signe affirmatif de la tête.

J’empoigne donc la ceinture dans l’autre sens et frappe les belles jambes de Yumiko avec la boucle métallique de la ceinture. Chaque coup marque d’un rouge sombre la peau claire de la délicieuse jeune femme. Elle soupire fortement, mais ne prononce pas les mots qui stopperaient tout. Au contraire :

-Aïe ! Oh putain que ça fait mal ! C’est trop bon, continue s’il te plait.

Je poursuis. Bientôt tout l’arrière des jambes de Yumiko sont cramoisies.

-Baisse ta jupe.

Elle s’exécute, m’offrant une vue magnifique sur son délicieux petit fessier parfaitement dessiné, qui semble très ferme et qui surplombe ses belles jambes marquées, réhaussées de chaussures aux hauts talons. Je passe une main sur ses fesses, sa peau est d’une douceur incroyable. Cela me donne un vrai remord de blesser un épiderme qui semble si sensible, mais sa propriétaire ne partage pas mes scrupules :

-Vas-y, bats-moi fort je t’en prie. J’ai vraiment envie de douleur pour atteindre le plaisir dont j’ai besoin. S’il te plait.

Son ton est proche de la supplique, il éteint mes hésitations. Je fais siffler la ceinture dont la boucle va mordre dans la peau claire de la fesse droite de Yumiko. Elle pousse un petit cri. Je continue, en alternant de lobe. Poussé par ma propre excitation, par celle que je perçois chez Miranda et surtout par les encouragements la jeune Yumiko, qui quémande toujours plus de coups.

Je frappe également le haut de ses cuisses, qui avait été protégés par sa jupette au début de la séance. Je finis par stopper ce traitement lorsque ses fesses et l’arrière de ses jambes sont totalement rougis de coups.

Je retourne Yumiko pour qu’elle me fasse face. Elle sourit toujours, mais son visage est un peu marqué, on voit qu’elle lutte pour résister à la douleur qui doit l’irradier. Ses yeux pétillent toujours, ils lancent des éclairs qui ressemblent à des appels au vice.


Je bande toujours bien dur et je décide de gouter aux orifices de la jolie nouvelle venue. Je la fais assoir sur un fauteuil, les fesses sur le bout de l’assise, ce qui lui provoque une douleur visible et bien compréhensible du fait du traitement que je viens de leur infliger, mais Yumiko ne pipe pas, elle s’installe comme je lui demande. Elle remonte ses cuisses marquées, les genoux au niveau des oreilles, découvre un entrecuisse sublime, avec une petite toison de poils sombres parfaitement entretenue, un petit bijou orne le capuchon de son clitoris, ses grandes lèvres bien dessinées qui suintent de désir et enfin un petit œillet plissé. Je fourre mon sexe dans le sien. Elle est tellement trempée que j’entre sans difficulté. Je la besogne un moment.

Je lève le petit top qui me cache sa poitrine. Je découvre avec ravissement de très jolis petits seins, parfaitement galbés et dont les tétons sont percés de clous métalliques qui je trouve très sexy.

Les feulements de Yumiko et le souvenir de ses appels à la violence, me poussent à saisir son téton gauche et à le tordre très fortement. Elle crie :

-Aïe, putain tu me fais mal. Encore. Continue. Plus fort je t’en prie.

Je poursuis, puis je maltraite l’autre téton qui darde fièrement. Je vais même jusqu’à mordre ses bouts si attirants. Tout en criant de douleur et de plaisir, Yumiko jouit. Elle trempe mon bas-ventre de sa mouille qui sort en torrent de sa chatte.

Je continue à la besogner et à lui faire mal. Je lui tire violement les cheveux, je la gifle, pince ses tétons, claque ses beaux petits seins jusqu’à les faire rougir.

Je la fais ensuite descendre du fauteuil, la mets à quatre-pattes au sol et présente mon sexe dur sur son anus.

-Oh oui, encule-moi sauvagement, j’aime tellement ça.

-Attends ! intervient Miranda, essuie ton sexe avant de l’enculer, pour bien lui faire mal.

-Oui, oui, approuve Yumiko.

Miranda éponge mon chibre de la mouille laissée par son amie.

J’entre en force dans le conduit rectal, mais sans me faire autant mal que lorsque je prends Miranda de la même manière. Je pense que Yumiko a l’habitude des grosses pénétrations dans son fondement.

Je la ramone un moment. Je donne quelques claques à main nue sur ses fesses déjà cramoisies. Je tire ses longs cheveux. Yumiko jouit à nouveau et je la suis peu après, abreuvant son cul de mon foutre.


Miranda nous observe en se branlant toujours.


Nous nous désaccouplons. Yumiko tombe au sol, elle se retourne, souriante son regard trahissant toujours une vraie avidité de plaisir, elle ne semble pas encore avoir eu son sou de sexe ni de violence.


Je vois alors les gros godemichets sortis par Miranda. Me rappelant que Yumiko est adepte de grosses pénétrations, je me munis d’une longue et large tige de caoutchouc que je fourre dans la chatte humide de la jeune brune. Elle se met à remuer sur le sexe factice, tandis qu’elle est toujours assise à même le carrelage. Je suis surpris par la facilité avec laquelle son con absorbe l’impressionnant diamètre de l’engin, qui est nettement plus calibré que ma bite, pourtant toujours grandie depuis ma rencontre avec Miranda.

Elle donne des coups de bassin violents qui la font s’empaler profondément sur le membre artificiel.

Miranda poursuit sa masturbation, elle me conseille :

-Mon chéri, tu devrais fourrer les deux trous de Yumiko en même temps.

-Oh oui j’aimerais tellement me faire prendre en double, s’il te plait.

N’étant pas certain d’avoir recouvré toutes mes capacités suite à ma récente éjaculation, je prends un deuxième godemichet, légèrement plus étroit que le premier, mais tout de même comparable au diamètre de mon sexe, que je présente contre l’anus de la jeune fille. Sa position au sol ne permet guère une telle double pénétration, je la fais se mettre à quatre-pattes sur le fauteuil. L’opération est réalisée sans que la première tige ne quitte un instant sa chatte ruisselante.

Une fois sa croupe parfaitement positionnée et exposée, je perfore l’anus avec le deuxième dard de caoutchouc. Je trouve la croupe de Yumiko magnifique avec les deux serpentins souples de couleur fluorescente qui sortent de ses trous intimes. Ses belles petites fesses fermes encore rougies de la correction infligée un peu plus tôt, sont pour moi un appel à la violence. J’attrape les deux jouets de la même main, continue de les faire aller et venir dans les trous gourmands, et je fesse de mon autre paluche le joli postérieur. Yumiko apprécie :

-Oh là là, oui, encore, fesse-moi, défonce mes trous de salope en rut ! Vas-y, déchire-moi comme une pétasse. Frappe-moi !

Je poursuis le traitement un moment. Je bande à nouveau bien dur.

-Je vais te remettre ma bite dans le cul, ça te dit ?

-Oui, mais surtout ne retire pas les godes, s’il te plait.

-Tu veux ma bite plus un gode dans ton cul et un autre dans ta chatte ?

-Oui, s’il te plait.

-Tu crois que ça va entrer ?

-Oui, oui, j’en suis sûre. Force, ça me déchirera, j’aurai bien mal, ce sera super.

Quelle perverse !

-Tu veux une triple pénétration ?

-Oh oui s’il te plait, fais ça pour moi.

-Je suis sûre que tu peux le faire, ajoute Miranda.

Je tente de m’exécuter. L’intromission de mon membre dans le cul à la fois distendu par le godemichet qui l’occupe et comprimé par celui fiché dans son sexe, n’est vraiment pas aisée. Mais les filles m’encouragent.

-Vas-y, ça va rentrer, force, fais-moi mal putain !

-Je suis sûre que tu va y arriver, Yumiko a l’habitude des pénétrations hors normes.

En effet, petit à petit mon sexe se faufile le long du manche factice. Je parviens à coulisser en elle. N’arrivant pas à faire aller et venir ma bite et les deux godemichets simultanément, Miranda vient en renfort en manipulant l’objet qui occupe la chatte de son amie, tandis que j’imprime le rythme des deux cylindres dans son fondement.

Miranda continue néanmoins sa masturbation frénétique, à même le sol.


Bientôt Yumiko part dans un nouvel orgasme qui semble très puissant compte-tenu de son cri, de ses jets de cyprine et des tremblements qui la saisissent. Stimulé par son comportement de vicieuse, je jute une nouvelle fois dans son conduit anal.  


Nous vidons les orifices et Yumiko s’affale sur le fauteuil, visiblement un peu éprouvée par nos actes, mais toujours souriante, affichant un air de béatitude. Miranda et moi lui sourions en retour.


Après quelques minutes, Yumiko se détend et semble reprendre des forces.

-Waouh, Miranda tu ne m’avais pas menti, quel partenaire génial.

Je suis flatté.

-Ça c’est une rencontre à la hauteur de ce que j’espérais.

-Je te l’avais dit, j’étais sûre que tu aimerais, il est vraiment exceptionnel.

Je rougis.

-Oh oui, quelle chance tu as d’avoir rencontré un tel mec, beau, brutal, endurant.

Je dois devenir cramoisi, mais j’avoue que ces flatteries me font plaisir.


Après cette entrée en matière bien peu conventionnelle, Miranda effectue une présentation plus formelle et nous sert des boissons. Elle semble encore plus excitée qu’à l’accoutumée, sans doute émoustillée par le spectacle que nous lui avons offert.


-Les filles, je vous retourne les compliments. Tout le plaisir de nos rencontres est pour moi, dis-je très honnêtement, rencontrer deux filles aussi jolies que vous, et surtout aussi gourmandes de plaisir et de vice ce n’est vraiment pas commun, et c’est surtout très agréable.

-Ravie que nous profitions tous de notre rencontre. Finalement, je suis heureuse que ce camion t’ait fauché, sans lui je n’aurais pas eu le plaisir de ta compagnie.

-Merci Miranda d’accepter de partager un tel compagnon. J’ai tellement besoin de plaisir pour me sentir épanouie et mon plaisir dépend tellement de l’intensité de mes relations sexuelles, de la violence et de la douleur associées, que ce n’est vraiment pas facile de trouver des partenaires capables d’être à la hauteur.

-Je comprends que tu as des besoins sexuels très intenses, mais est-ce que comme Miranda tu aimes baiser très fréquemment ?

-Oh que oui ! Si je m’écoute et que j’ai des partenaires capables de le faire, j’aime baiser une demi-douzaine de fois par jour au moins, je suis une véritable nympho.

-Ou là, en effet. Et tu aimes que ce soit toujours aussi intense ?

-Oui, même si parfois il est bien que je ne prenne pas trop de coups, car même si mon corps se remet très vite, il n’a pas toujours le temps de le faire lorsque les séances sont vraiment trop rapprochées et très violentes, un peu comme avec les coups de ceinture que tu m’as généreusement offert tout à l’heure. Mais ne t’inquiète pas, je te ferai savoir si tu approchais mes limites, elles sont assez lointaines, et je connais de mieux en mieux mon corps.

Quelle fille incroyable, belle comme une déesse, nymphomane, masochiste, que de qualités !


Miranda m’attire dans la cuisine pour me parler en aparté.

-Mon chéri, serais-tu d’accord si je proposais à Yumiko de venir ici quand elle le veut ? Même sans prévenir ?

-Bien-sûr, quelle question !

-Je suis tellement contente que tu t’entendes bien avec elle, c’est formidable.

-Ce sera vraiment avec plaisir.


Nous retournons au salon.

-Yumiko, sache que tu es la bienvenue dans cette maison quand tu veux, jour et nuit, tu es comme chez toi.

-Magnifique ma chérie ! Je suis ravie. Sachez que quand je serai ici vous pouvez me baiser comme bon vous semble, quand vous voulez, autant que vous le souhaitez, vous pouvez aussi me frapper et me battre tant que vous le désirez. Je garde juste mon code de sécurité "Stop, stop", ou deux pincements consécutifs. Sauf si je venais à prononcer ces mots, ou à faire ces gestes, vous pouvez considérer que tout vous est permis avec moi. Je suis certaine que vous saurez en profiter, et en abuser, pour mon plus grand bonheur. N’hésitez jamais !

En tenant ses propos hors normes, elle nous regarde alternativement bien dans les yeux, l’air très sérieuse. Elle est toujours quasiment nue, cette vision et ses mots provocateurs m’excitent. Je suis sûr qu’ils émoustillent également Miranda.


Nous bavardons un moment, pour faire plus ample connaissance. Les filles restent très largement dévêtues, mais toujours chaussées de leurs talons démesurés. J’admire le joli corps de Yumiko, notamment ses tétons percés qui lui donnent une allure bien coquine, qui me plait, j’ai l’impression que ces bijoux stimulent en permanence ses tétons qui sembler darder très fort.


Miranda, qui n’a pas jouit depuis la fin de matinée, ce qui est sans doute beaucoup trop long pour elle, lance de nouveaux ébats.

-Je suis hyper contente que nous nous entendions bien tous les trois. Vous m’avez beaucoup excitée tout à l’heure et j’ai envie de participer maintenant.


Sans perdre une seconde, elle tend un martinet à Yumiko, me donne un paddle et se place entre nous à quatre-pattes, les cuisses nues et les fesses seulement fendues d’un mini-string.

-Allez-y, frappez-moi bien fort, je l’ai bien mérité, non ?

-Mais oui ma chérie, acquiesce Yumiko.


Nos regards se croisent avec la nouvelle venue, j’y perçois une vraie lueur d’excitation, elle est masochiste, mais doit également aimer maltraiter une jolie partenaire telle que Miranda.

Bientôt les premiers coups pleuvent sur la croupe de notre hôtesse. Nous parvenons à alterner à un rythme soutenu. Le martinet cingle la peau douce qui se pare de fines lignes sombres, dont celles provoquées par les coups les plus rudes enflent un peu, tandis que mon traitement au paddle colore l’autre fesse de manière plus uniforme.

Yumiko est vraiment violente, je pense qu’elle se projette dans les sensations qu’elle aimerait recevoir si elle était à la place de son amie.

-Oh putain bande de salauds comme vous me faites bien mal ! Putain, c’est trop bon … continuez … aïe … enco … aïe … putain … oui … aïe … salauds … oui, allez … oh …


Cette situation m’excite très fortement, notamment la vue de la jolie Yumiko en train de maltraiter Miranda. Je mate ses petits seins fermes aux tétons percés qui oscillent à chaque coup qu’elle porte, comme ils sont beaux !

Je lâche le paddle et attrape un téton de Yumiko, je le pince très fort et le tourne à plus de cent-quatre-vingts degrés, elle grimace, mais ne cesse pas de frapper Miranda. Je relâche sa tétine et donne quelques claques sur ces deux petits seins si mignons.

-Oh oui j’adore qu’on me frappe pendant que je bats une salope.

Encouragé, j’assène quelques baffes à Yumiko, qui me sourit de ses belles dents blanches en retour. Elle continue à jouer du martinet sur le postérieur de Miranda, qui semble ravie :

-Oh oui, encore, j’aime ces coups, ça fait bien mal, c’est trop bon.


Ce traitement dure un moment, puis Miranda quémande un plaisir d’un autre type :

-Mon chéri s’il te plait, baise-moi enfin, j’ai vraiment trop envie, je suis tellement excitée.

Sa croupe est cramoisie par les coups reçus, sa peau est en feu. Je bande bien dur et décide de pénétrer son cul, qui se trouve être resté relativement sec. Mon intromission est donc difficile, les filles m’encouragent de leurs propos vulgaires :

-Déchire mon trou balle.

-Vas-y écartèle-lui la rondelle, elle aime ça cette chienne.

Une fois de plus j’encule Miranda en force, en me faisant mal à la queue, mais ses suppliques sont tellement excitantes que j’accepte cette douleur avec bonheur.

Enfin je réussis à m’enfoncer dans son anus. Je me mets à la pilonner vigoureusement immédiatement.

Yumiko se positionne devant Miranda, jambes écartées au maximum. En me penchant en avant, je vois que Miranda lèche et doigte furieusement la chatte de sa copine. Fréquemment, elle donne de violentes claques aux nichons menus déjà rougis. Il me semble qu’à certains moments Miranda doit mordre la chatte de Yumiko, elle pousse des grognements qui traduisent à la fois sa douleur et son plaisir.

Tandis que je la secoue toujours très fortement, parfois en ajoutant quelques fessées, je constate que Miranda écartèle la chatte de son amie, à force de la doigter elle est parvenue à enfiler toute sa main, certes menue, dans le sexe humide, gourmand et dilaté. Yumiko crie son plaisir :

-Putain grosse salope, tu me fais jouir comme une chienne ! Ah putain comme c’est bon de se faire défoncer par ta main, j’adore ça, j’suis une pétasse … Ah ... continue … oui … encore …

Miranda atteint également l’orgasme dans la foulée, tant elle apprécie de donner du plaisir à sa copine tout en étant elle-même défoncée et maltraitée.


Je sens ma jouissance monter et je préfère interrompre ma sodomie, Miranda le regrette malgré la vague de plaisir qui vient de la submerger :

-Oh non, n’arrête pas, continue, pilonne encore mon cul de chienne en chaleur, s’il te plait.

Je n’ai cure de sa demande. Je marque une pause et mate les deux superbes jeunes femmes qui continuent à se donner violemment du plaisir entre elles. Elles ont gardé leurs escarpins, m’offrant une vue des plus sexy. Miranda a ressorti sa main de la chatte trempée et tente maintenant de la fourrer dans l’anus de sa partenaire, qui semble attendre ce futur plaisir avec impatience :

-Oh oui, détruis mon cul de salope, écartèle-le, j’aime tellement être bien dilatée. Déchire-moi s’il le faut.

Maintenant qu’elle n’est plus secouée par mes coups de boutoirs dans son anus, Miranda peut à la fois introduire son poing dans le cul de Yumiko et utiliser l’autre pour la violenter en lui assénant des claques et des pincements rugueux sur les cuisses, le ventre et les grandes lèvres de sa chatte, qu’elle se plait à étirer et à torde dans tous les sens, pour la joie de leur propriétaire :

-Oh que c’est bon, fais-moi bien mal et démolis-moi le fion en même temps ! Aïe, putain, aïe.… que c’est bon, encore !


La pression étant un peu redescendue de mon côté, je suis tenté de fourrer ma bite dans la bouche de Yumiko, le fait de stimuler simultanément tous ses orifices m’excite. Elle semble partager mon enthousiasme car elle m’aspire en profondeur, en me prodiguant une pipe baveuse à souhait, alors qu’elle se fait fister le cul tout en accueillant plusieurs doigts dans sa chatte. Elle jouit encore de toutes ces attentions.

Miranda en veut à son tour :

-Chéri, je t’en prie baise-moi encore, je suis tellement excitée, il faut que je jouisse.

Sa main quitte le cul de Yumiko qui reste un bon moment béant, on peut clairement distinguer le vermillon de son intestin qui ressort légèrement en suivant le mouvement de la main. Je suis estomaqué, et terriblement excité par cette vision, et surtout le plaisir visible ressenti par la jeune fille.

-Allez, occupez-vous de moi maintenant, quémande Miranda.

-Ok, baise sa chatte pendant que je m’occupe de son cul, conseille Yumiko.

Je m’allonge et invite Miranda sur moi. J’entre dans son sexe détrempé d’excitation sans difficulté et imprime un rythme très soutenu. J’entends qu’elle se fait fesser, puis je sens des doigts inquisiteurs qui prennent possession de l’anus. La paroi étant très fine, ces doigts viennent resserrer la chatte et accentuent le plaisir que je prends à chaque mouvement. Je crois que Yumiko ne parvient pas à enfiler toute sa main dans le fondement de Miranda, mais ces pénétrations suffisent néanmoins pour lui offrir l’orgasme qu’elle réclame depuis un moment.

Nous poursuivons, en changeant de position, je me place au-dessus de Miranda, face à elle, qui est désormais allongée sur le canapé, je suis toujours fiché dans son sexe, tandis que Yumiko accède à son petit trou, en s’asseyant au sol. Je reprends mon pilonnage, en sentant toujours les doigts inquisiteurs visiter l’anus voisin et je gratifie le visage de ma partenaire masochiste de bonnes baffes, de claques sur ses nichons généreux et de pincements à ses tétons tendus de désir.

Quelques instants plus tard, Miranda réussit à me donner une cravache, elle halète :

-Tiens … donne-moi des coups avec ça … oh oui … j’ai envie …

L’instrument est un peu trop long pour la position très rapprochée que nous avons, mais je parviens tout de même marquer ses gros nichons de belles traces au rouge plus sombre que celles laissées par mes claques.

Miranda jouit encore. Je l’imite et inonde sa chatte en feu.

Yumiko, plusieurs doigts toujours fichés dans le fondement ouvert, se met à lécher la chatte, elle tente de récupérer mon foutre. Elle y parvient. Partageuse, elle va rouler une pelle bien gluante à son amie. Elles se partagent ainsi mon sperme, chacune en avale une gorgée. Elles se sourient, radieuses, et se donnent encore quelques baffes, mais sans y mettre l’intensité d’avant leur jouissance.


Nous faisons une pause, mais assez rapidement, les filles veulent reprendre des ébats intensifs et douloureux.


Tandis que Yumiko et moi sommes assis sur le canapé avec des rafraichissements bienvenus, Miranda s’absente quelques instants et revient en se trémoussant devant nous, toujours perchée sur ses hauts talons, un sourire très coquin aux lèvres.

-J’ai très envie de jouer avec ça, indique-t-elle en tendant la petite boîte qui contient les aiguilles chirurgicales qu’elle m’avait montrée quelques jours plus tôt.

-Toi tu es vraiment excitée, commente Yumiko.

-Oh que oui. Avoir deux partenaires aussi chauds que vous me donne des envies folles, je mouille furieusement, j’ai besoin de plaisir et la douleur reste l’un des meilleurs moyens pour m’en procurer.

Je suis un peu intimidé par la perspective d’utiliser de tels instruments de torture sur le corps si doux et si joli de Miranda, mais mes compagnes ne partagent pas mes scrupules.

-Viens-là salope ! intime Yumiko, en attrapant notre hôte par ses beaux cheveux longs.

Elle la fait allonger en travers de ses cuisses, sur le canapé.

-Ouvre cette boîte, me demande-t-elle.

Elle pince alors très fortement un mamelon, se munit d’une des aiguilles, et d’un coup sec et rapide, elle perce la fine peau à la racine du téton. Je ne sais tout d’abord pas si l’aiguille a réellement pénétré ou non la chaire, mais bientôt Yumiko pousse sur le bout de l’aiguille et la fine pointe métallique ressort de l’autre côté du sein ! Quel spectacle ! Quelles filles incroyables ai-je rencontré !

Miranda pousse un cri de douleur, mais elle nous rassure bien vite :

-Aïe ! Oh Putain ! Oh que c’est bon de se faire transpercer. Oh putain ça fait super mal, j’adore ça !

-Tu en veut encore ?

-Oh oui, s’il te plait, perce-moi l’autre nichon.

-Vas-y essaie, me demande Yumiko.

-Je ne sais pas si j’en suis capable.

-Mais si, ne t’inquiète pas. Il faut y aller d’un coup sec et fort, ne pas hésiter

Intimidé par l’acte que me réclame ces belles masochistes, je prends une aiguille, Yumiko comprime le bout et me le présente. Je tente de perforer la chaire de cette pointe finement aiguisée, mais mon geste ne parvient pas à son but. Miranda pousse néanmoins un petit cri, qui doit mêler douleur et appréhension.

-Encore, essaie à nouveau, m’encourage-t-elle.

Ma deuxième tentative n’est pas plus fructueuse.

-Vas-y plus franchement, me conseille Yumiko.

Je me concentre et programme mon esprit pour vraiment transpercer la chaire, tel que sa propriétaire me le demande. Enfin, le troisième essai est le bon. La pointe transperce la peau, pénètre et ressort à l’opposé.

-Oh oui, c’est trop bon ! Que ça fait mal ! Oh oui ! déclame Miranda, tout en se frottant vigoureusement la chatte.

Préférant qu’elle jouisse de ma bite plutôt que de ses doigts, je profite de l’érection que m’a causée la joie d’avoir contribué à son plaisir et je vais fourrer sa cramouille humide.

-Oh oui, baise-moi bien fort, je suis tellement excitée !

Malicieuse, Yumiko se munit d’une autre aiguille qu’elle insère à côté de la première dans le sein de Miranda, qui clame alors son plaisir de se faire maltraiter de la sorte toute en étant baisée. D’autres aiguilles suivent, quatre ou cinq dans chaque sein. Certaines provoquent de petits écoulements de sang qui dégoulinent sur la belle poitrine généreuse, quelle vision perverse ! Elle continue à demander toujours plus de violence et de baise.

Sans doute désireuse d’accentuer encore la douleur, et le plaisir lié, offerte à sa compagne, Yumiko se met ensuite à triturer ces tiges métalliques fichées dans les seins. Dès lors, chaque aiguille génère un fil de sang. Miranda jouit en criant son plaisir à plusieurs reprises. Ses orgasmes sont profonds, elle tremble, hurle, mouille. Mais à chaque fois, à peine quelques secondes lui suffisent pour reprendre son excitation et quémander toujours plus de pénétrations et de douleur.


Nous poursuivons nos ébats hors normes un long moment, jusqu’à ce qu’épuisés, nous tombions de fatigue.


Le lendemain Yumiko nous indique avoir à faire, elle nous quitte en promettant de revenir bien vite.

Je baise une fois Miranda avant le déjeuner. Puis, au cours de celui-ci elle me glisse :

-J’ai adoré hier avec Yumiko, j’espère que tu as apprécié ?

-Bien-sûr. Comment pourrait-il en être autrement ? Commettre des folies avec deux superbes jeunes femmes, très excitantes, c’est le rêve de tous les hommes.  

-Je suis tellement heureuse que tu apprécies nos penchants vicieux, c’est un bonheur.

Elle est incroyable, sensuelle, douce et en même temps si délurée.

-Tu sais, je vais être un peu occupée à l’extérieur cet après-midi. Peut-être devrais-tu passer chez Erin, je suis certaine qu’elle serait ravie de passer un peu de temps avec toi.

-Si tu n’es pas là, c’est en effet une idée.


CHAPITRE 6


Heureusement je n’étais pas allé aux toilettes, ni à la toilette, ce matin. Je me sens donc prêt à retrouver la jolie Erin, si gourmande de saletés corporelles. Même si j’ai beaucoup apprécié le bon temps passé avec Miranda et Yumiko, me vautrer dans l’ordure avec cette belle blondinette m’excite d’avance. Décidément, depuis ma rencontre avec Miranda je deviens un vrai obsédé, qui plus est capable d’assumer ses pulsions par de longues périodes d’érection et de belles éjaculations. Je ne fais que baiser, manger et dormir, un vrai conte de fée.


Je sonne à la porte d’Erin.

-Ah mon chéri, bonjour. Tu arrives drôlement bien.

Son visage angélique est illuminé d’un ravissant sourire, ses beaux yeux bleus pétillent. Elle est magnifique dans sa fine nuisette blanche, un peu transparente, perchée sur de hauts escarpins. Elle me fait immédiatement de l’effet.

Nous nous embrassons d’une pelle rapide, mêlant nos salives, plutôt lourdes.

-Entre. J’ai deux surprises pour toi.

Je la suis dans la maison, ses talons émettant un agréable "tac tac" et je découvre une jeune femme à l’allure distinguée, portant une chevelure rousse flamboyante, vêtue d’une jupe noire stricte et d’un chemisier blanc qui laisse deviner une poitrine très généreuse. Elle aussi est chaussée de hauts talons.

-Je te présente Nolwenn.

-Enchanté.

-Je le suis également, Erin m’a beaucoup parlé de toi.

-C’est la première surprise, explique Erin.

Les traits du visage de Nolwenn sont fins et délicats. Ses magnifiques yeux verts donnent une illumination extraordinaire à son regard. Son sourire découvre de belles dents blanches bien rangées autour de lèvres pulpeuses naturelles. Elle est très peu maquillée. Juchée sur ses talons elle est aussi grande que moi.

J’hésite un instant quant à l’attitude à adopter vis-à-vis de la nouvelle venue. Erin me sort de mes questionnements.

-J’ai proposé à Nolwenn de venir aujourd’hui car j’espérais que tu viendrais me voir. Vois-tu, tout comme moi, Nolwenn est une inconditionnelle du sexe sale, et même très sale. Même si, comme tu le vois, elle est absolument ravissante, ses penchants rebutent nombre d’hommes, et elle a du mal à satisfaire ses besoins intimes, qui sont au moins aussi importants et extravagants que les miens.

Nolwenn rougit à vue d’œil.

-Erin …, murmure-t-elle visiblement gênée.

-Ben quoi ? C’est vrai, non ?

-Oui, c’est un peu ça, répond l’intéressée d’une petite voix timide.

-"Un peu ça", tu édulcores. Combien de fois est-ce qu’on s’est vautrées dans la fange toutes les deux ? Et puis, combien de fois tu m’as avoué flirter avec des mecs, mais que dès que tu introduisais un peu de pipi dans vos jeux, ils partaient en courant et te laissaient frustrée ? C’est pas vrai ?

-Oui, en effet, acquiesce Nolwenn, dont le beau visage est devenu couleur pivoine.

-Tu peux tout lui dire, il comprend infiniment bien ce genre de choses, il ne juge pas. Et puis il prend un vrai plaisir à se souiller pendant l’amour, n’est-ce pas ?

-Oui c’est vrai, approuve-je.

La belle rousse semble légèrement rassérénée. Elle sourit et se détend un peu.


Erin nous fait assoir et apporte des boissons.

En m’approchant de Nolwenn, je sens que son haleine est chargée, ce qui contraste fortement avec sa tenue impeccable et chic. J’admire ses magnifiques longues jambes très fines, admirablement mises en valeur par ses chaussures raffinées à hauts talons.


-Mon chéri, j’espère que cette première surprise te plait ?

-Mais bien-sûr.

-Je suis certaine que nous allons passer de supers bons moments tous les trois.

Nous trinquons.

Lorsque Nolwenn se penche un peu en arrière pour boire, je constate combien sa poitrine emplit son chemisier, elle semble vraiment généreuse. L’ouverture créée par le bouton du haut qu’elle a laissé détaché m’offre un aperçu des plus agréable.

 -J’ai tout prévu pour cet après-midi. Je suis si excitée et j’ai furieusement envie de me laisser aller sans limites, poursuit notre hôtesse.

-Quelle chance, réponds-je.

Nolwenn sourit timidement.

-Ne te fie pas trop à son air réservé, quand elle est lancée Nolwenn est prête à tout pour satisfaire ses plaisirs les plus inavouables, n’est-ce pas ma chérie ?

-C’est vrai que parfois je m’abandonne un peu.

-Tu es modeste !

J’avoue que je ne sais pas trop à quoi m’attendre avec Nolwenn, Erin la présente comme une fille totalement délurée, mais elle ne semble pas totalement confirmer ses dires, ni vraiment les infirmer. Je ne me pose pas plus de questions, je verrai bien.

Erin nous invite à gagner sa pièce adaptée aux plaisirs hors normes.


Nous nous installons sur les confortables canapés au tissu lavable. Erin s’assied entre Nolwenn et moi. Elle avale une gorgée de Champagne et vient immédiatement m’embrasser, inondant ma bouche du vin mousseux qui bulle et déborde sur nos vêtements.

-Toi aussi, donne-moi du Champagne.

Je l’imite. Mouillée, sa nuisette est encore plus transparente. Comme elle ne porte rien dessous, je distingue clairement ses beaux petits seins fermes qui pointent fièrement. Elle m’excite.

Sans déglutir, elle se tourne vers Nolwenn et l’embrasse à son tour, transmettant le Champagne dans la troisième bouche en quelques secondes. Là aussi, du liquide tombe sur le chemisier de la jolie rousse.

Erin s’affaisse un peu sur l’assise et penche la tête en arrière.

-Mollardez-moi dans la bouche, s’il vous plait.

Elle tire sa petite langue sexy et écarte ses lèvres. Nolwenn se lève promptement et dépose un gros crachat bien épais et fileux dans le gosier de son amie. Je l’imite. Erin déglutit bien ostensiblement et nous sourit.

-A toi maintenant, commande-t-elle en se tournant vers Nolwenn.

Celle-ci se positionne prestement et accueille avec un plaisir visible mon crachat, puis celui d’Erin. Cette dernière agrémente son offrande puisqu’elle se bouche une narine, souffle et fait couler un long trait de morve qui termine sa chute dans la jolie bouche grande ouverte de Nolwenn, qui l’avale dans la foulée et nous gratifie d’un magnifique sourire dès qu’elle a bu.

-Hum, c’est bon, souffle-t-elle, vous me donnez envie des pires vices.

-Tu vois qu’elle aime ce qui est vraiment sale, commente Erin.

Je suis très excité par ces préliminaires qui laissent deviner un après-midi des plus décadent et terriblement excitant.


Nous poursuivons un moment nos jeux qui allient salive et Champagne. Je suis de plus en plus attiré par la volumineuse poitrine de Nolwenn, notamment à mesure que son chemisier devient transparent en raison des liquides qui le maculent.


Nous terminons bientôt la bouteille.

-Mince, nous sommes à sec, constate Erin. J’ai encore soif, vous n’auriez pas autre chose à boire ?

Elle prononce cette phrase pleine de sous-entendus avec un regard qui pétille de malice.

-Tu penses peut-être à un breuvage plus personnel, non ? réponds-je.

-Tout à fait, tu lis dans mes pensées.

J’ouvre ma braguette, extrais mon pénis, déjà gonflé d’excitation mais pas encore totalement dur, je l’approche de la bouche grande ouverte d’Erin. Ses yeux pétillent d’une excitation vicieuse. Je m’applique à libérer une quantité contrôlée d’urine, pour ne pas trop en faire déborder de son gosier. Quelques gouttes tâchent tout de même sa nuisette.

Nolwenn se contorsionne pour se placer sous la bouche emplie à ras-bord d’Erin. La belle blonde laisse s’écouler une partie du liquide jaune qui va mouiller le visage de la rousse incendiaire, qui se tient bouche grande ouverte pour capter le plus possible de ma pisse.


-A mon tour, réclame Nolwenn lorsqu’elle a avalé.

Je m’applique à emplir consciencieusement sa bouche de mon nectar intime. Elle partage ensuite ce liquide avec Erin. Je les trouve irrésistibles de vice tandis qu’elles se partagent mon pipi odorant. Je vais les embrasser à pleine bouche, l’une après l’autre, heureux de goûter à mon liquide intime mélangé à leur salive.

Je me soulage ainsi en plusieurs fois, même si les dernières mictions sont moins contrôlées, car je bande trop fort, j’asperge alors leurs visages et leurs belles chevelures soyeuses.


-J’adore ta pisse, déclare Nolwenn. Maintenant que ma soif est un peu étanchée, j’aimerais que tu me fasses gerber en fourrant ta grosse pine dans ma gorge.

-Quelle demande ! Tu es sûre ?

Je suis un peu surpris par cette déclaration qui tranche avec sa timidité initiale. Cela confirme les propos d’Erin.

-Bien-sûr, j’adore tout ce qui est crade et vous m’avez tellement excitée tout les deux que j’ai vraiment envie d’une gorge profonde qui me fasse dégueuler. On pourra alors jouer avec ma gerbe, c’est tellement pervers, j’adore ça.

Sans me laisser de répit, elle m’embouche et se met à faire d’amples et rapides va-et-vient sur mon membre totalement dur. Je n’ai presque pas à bouger pour que ses amygdales soient forcées par mon gland, tant elle y met du cœur. Je suis impressionné par sa capacité à m’avaler.

Malgré ses efforts, elle ne parvient toutefois pas à vomir tout de suite.

Erin lui vient en aide. Elle retire ma bite de sa bouche et la remplace par ses doigts, elle en enfourne quatre au tréfond de sa gorge, je vois distinctement qu’elle les active pour provoquer la régurgitation tant souhaitée.  

-Aller ma cochonne, dégobille, couvre-moi de ta gerbe puante et visqueuse, nourris-moi de tes immondices, j’en ai tellement envie.

Nolwenn émet des borborygmes continus et impressionnants. D’énormes fils de bave gluante forment des cascades qui pendent de son menton jusqu’au sol. J’en saisis un peu que je porte à ma bouche, je m’en délecte.

Elles poursuivent leurs efforts un moment encore, avant qu’enfin Nolwenn ne parvienne à érupter une vague de vomi plutôt liquide, mais qui contient aussi des morceaux plus consistants, qui imbibe immédiatement la nuisette d’Erin et souille son visage et ses beaux cheveux clairs. Quelle vision ! Ce comportement abject est pour moi d’un érotisme fou.


Pendant que Nolwenn se remet, Erin prend mon sexe dans sa bouche. Je fais des va-et-vient en elle, excité de me faire sucer par une si belle jeune fille totalement souillée par le vomi d’une non moins belle nana.

Bientôt Nolwenn vient lécher ses miasmes qui parsèment le visage et le corps d’Erin.

Voilà, notre après-midi d’ébats dégueulasses est vraiment lancé.

 

En quittant un instant mon sexe, Erin précise ses intentions :

-Je veux aussi gerber, fourre ta bite au tréfond de ma gorge de truie, au maximum.


Je donne de puissants coups de bassin et pénètre très loin dans sa cavité buccale qui dégouline de bave. Nolwenn se positionne tout près de nous, elle est à quatre-pattes, prête à venir capter le vomi susceptible de jaillir d’un instant à l’autre de l’estomac de son amie.

Quelques secondes plus tard, je sens un puissant flot qui m’expulse de sa bouche. Une lame de fond semble surgir de son système digestif. Une masse sombre, souple et puante, débouche de son gosier. Nolwenn se précipite, la tête la première, pour placer son visage sous ce torrent de gerbe. Elle est immédiatement couverte de cette régurgitation infâme et jouissive. Quel spectacle me donnent-elles !


Elles sont maintenant toutes les deux masquées de vomi puant. Elles se relèvent, en se roulant des pelles gluantes, leurs langues salies s’agitent l’une contre l’autre et sur leurs visages. Je trouve cette vue particulièrement érotique. De leurs mains, elles ramènent du vomi pour souiller encore davantage leurs belles chevelures. Chacune à leur tour, elles se mouchent, expulsant de leurs narines le surplus de vomi qui n’est pas parvenu à s’extraire par leur bouche. Elles mélangent ainsi dégueulis et morve pour leur plus grand plaisir.


Je bande bien dur en voyant ces deux jeunes filles si belles et sexy, se vautrer ainsi dans la fange. Leurs vêtements imbibés et leurs souliers à talons qui baignent dans le vomi m’excitent toujours. Je suis un drôle de pervers, mais quel plaisir y prends-je !


Bientôt Erin quitte un instant son amie et s’approche de moi. L’odeur qu’elle dégage est absolument infecte, mais elle m’excite tellement. Elle me roule une pelle d’anthologie. J’ai un bref haut le cœur en pensant à l’origine de la matière qu’elle insinue dans ma bouche, mais l’excitation l’emporte. Je lui rends son baiser, passionnément.

Pendant ce temps Nolwenn a chargé sa main du mélange des deux vomis et elle m’enduit la bite de cette mixture ignoble et délicieuse.

-Maintenant que ta grosse queue est bien sale comme j’aime, je voudrais que tu me la mettes, bien au fond de ma petite chatte. J’aime tellement avoir des saletés au plus profond de mon intimité. S’il te plait, tu ferais ça pour moi ?


Je quitte le baiser sale d’Erin et regarde la jolie Nolwenn totalement souillée de salive et de vomi. Ses yeux verts pétillent d’envie et ses propos salaces m’excitent au plus haut point.

Elle fait glisser sa belle jupe noire salie au sol, dans une flaque de vomi, lève un à un ses pieds toujours chaussés de ses hauts talons pour quitter totalement son vêtement. Elle tourne sur elle-même, j’admire sa magnifique plastique. Elle porte des bas noirs tenus par des jarretelles, si ses mollets sont également couverts de souillures, ses cuisses qui étaient protégées par la jupe sont encore presque propres, pour l’instant. Elle s’assied sur le bord d’un canapé, ouvre outrageusement les cuisses et écarte son petit string assorti aux bas.

-Viens me prendre. Viens introduire nos dégueulis dans ma foufoune visqueuse.


Avant de lui donner satisfaction, je suis pris d’une envie irrépressible de goûter à cette magnifique petite chatte, entourée d’une toison de poils roux assez longs, mais plutôt clairsemée. Je suis quasi certain qu’elle doit être sale et cela m’excite au plus haut point. Je plonge littéralement pour laper sa moule.

Je ne suis pas déçu, sa chatte a un goût très prononcé, elle est faisandée à souhait. Je sens tout d’abord le fumet d’une urine rance qui me prend les narines et les papilles, puis le goût de sa mouille pointe à son tour.

-Oh oui que c’est bon de sentir ta langue râpeuse brouter ma chatte sale. Quel bonheur ! Oh là là … Erin comme tu as bien fait de nous présenter … Oh là là … Oh putain que c’est bon.


Je me repais un moment des sucs qui jonchent son sexe, présents là depuis plusieurs jours sans doute. Des coulées qui doivent dater ont figé, je me fais un devoir de les liquéfier avec ma salive, pour m’en goinfrer.


Avant qu’elle ne jouisse, je retire ma langue, je vais embrasser à pleine bouche la jolie Erin, qui était elle-même en train de galocher Nolwenn. Notre baiser mêle les jus intimes de la rouquine avec les gerbes des deux filles, quelle perversité et quel plaisir !


Nolwenn continue à quémander une pénétration vomitique. Erin réenduit mon dard des matières les plus sales puis je le présente à l’entrée de la grotte de plaisir de la jeune femme. Son sexe détrempé d’excitation m’aspire d’une seule traite jusqu’à la garde.

-Oh oui, que c’est bon de se faire souiller bien profondément. Vas-y, baise-moi comme la traînée que je suis. Salis-moi en profondeur.

Quelques va-et-vient de ma tige sale suffisent à la mener à un orgasme puissant, qui fait trembler tout son corps de nymphomane avide de saleté.


Erin ne perd pas de temps.

-Maintenant que tu as fait jouir Nolwenn, j’ai terriblement envie de goûter aux cadeaux que tu as dû apporter.

Sans autres préliminaires, elle plonge derrière moi et se met à lécher la raie de mon cul avec une gourmandise évidente.

-Hum, tu es vraiment un gros dégueulasse, comme j’aime, ta raie est fourrée d’une bonne merde encore molle, grasse et puante.

Il est vrai que j’ai fait exprès de la laisser la plus sale possible avant de partir de chez Miranda.

Rapidement Erin est rejointe par Nolwenn qui est bien remise de sa jouissance. Les deux filles agitent alternativement leur langue agile dans ma raie, poussant leur intromission jusqu’à mon anus.

-Oh oui, que ta merde est bonne, clame Nolwenn.

-Tu vas maintenant bien nous chier dessus, comme le gros porc que tu es, ajoute Erin.

Les filles s’allongent à même le sol visqueux de gerbe et d’autres liquides. Je les trouve magnifiques étendues parterre dans la saleté, encore vêtues de leurs tenues sexy, maintenant toutes crades.

Je me positionne au-dessus d’elles. Mon érection gêne un peu l’expulsion, mais je finis par pondre le bel étron qui encombrait mon intestin. Les cris enthousiastes de mes partenaires indiquent que mon offrande les comble.

Je me retourne immédiatement après mon forfait, pour constater que j’ai visé pile sur leurs deux visages. Un long serpentin de caca s’étire de la bouche de Nolwenn jusqu’aux racines des cheveux clairs d’Erin, en traversant la joue droite de la rousse et la gauche de la blonde. Je trouve le spectacle superbe et les filles sont excitées, elles se masturbent mutuellement de leurs doigts salis de pisse, de vomi et de bave.

J’empoigne ma merde et l’étale généreusement sur les deux visages, cochonnant également leurs longs cheveux qui étaient encore si soyeux à mon arrivée dans cette maison.

-Oh là là qu’elle est bonne toute cette merde ! se pâme Erin.

-Oh oui, j’aime tellement être souillée comme ça, c’est tellement infect, ça pue, j’adore, complète Nolwenn.


Excité, je leur roule des pelles endiablées et sales, goûtant à mes fèces. Je n’apprécie pas la saveur, mais le côté pervers est un irrésistible aphrodisiaque. Je ne manque pas de cracher dans les bouches juste après les baisers, elles aiment ça.

-Que c’est bon toute ces saletés. Mollarde encore dans ma bouche, redonne-nous de ta bonne merde puante !


J’ouvre le chemisier tendu de Nolwenn. Elle dégrafe son soutien-gorge et me présente une magnifique poitrine, généreuse, avec de larges auréoles et des tétons qui dardent de désir. Je les cochonne immédiatement de caca gras, avant de les lécher avec avidité et plaisir. Elle gémit et ronronne d’aise.


Je souille ensuite ma bite raide dans leurs bouches cacateuses. Elles me sucent avec gourmandise, en prenant soin de me fixer du regard.


Puis je descends vers les entrejambes. D’abord celui de Nolwenn, déjà nu. Je lui prodigue un cunnilingus de ma langue engluée de caca, souillant encore davantage sa chatte déjà imbibée de vomi, de bave et de mouille. Elle feule de plaisir :

-Oui, comme c’est bon ce que tu me fais là. Encore. S’il te plait pollue-moi avec ta merde !

Je la porte vers un nouvel orgasme.


Je présente ensuite mon visage sale sous la fine nuisette d’Erin, je vois un slip blanc un peu tâché, très odorant, je l’écarte pour découvrir son sexe suintant, transpercé par le fil d’un tampon.

-Tu as tes règles ?

-Et oui mon chéri. Souviens-toi quand tu es arrivé, je t’ai dit que j’avais deux surprises pour toi aujourd’hui. La première c’était Nolwenn et la deuxième, c’est que j’ai mes ragnagnas. Elles sont toujours abondantes et aujourd’hui elles doivent débiter leur maximum, tu as de la chance.

Je suis surpris, mais surtout terriblement excité par la nouvelle perversion proposée par cette superbe jeune fille au visage si angélique avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus, mais pourtant si vicieuse. Je ne réfléchis pas et plonge ma langue dans sa chatte. Rapidement, je tire sur le petit fil et fais sortir un tampon hygiénique totalement imbibé de sang à demi coagulé et de divers jus repoussants, et si attirants en même temps. Je passe ma langue sur cet objet intime. Le goût n’est pas vraiment bon, même si je le trouve moins mauvais que le caca, mais mes actes me sont commandés par ma libido et non plus par ma raison. J’embouche carrément le coton spongieux.

Rapidement, Nolwenn vient vers moi et m’embrasse à pleine bouche, sa langue titillant le tampon souillé dans mon gosier. Je m’arrange pour le faire passer dans sa bouche. En quittant mes lèvres elle me sourit :

-Hum, que c’est bon, prononce-t-elle avec difficulté en raison de l’objet qui occupe sa bouche.

Elle va embrasser Erin et je retourne lécher la chatte sanguinolente, en fourrant ma langue aussi loin que je peux dans cet antre sale et humide.


Après m’être repu de ces jus intimes infâmes et savoureux, je descends ma langue en direction de l’anus plissé, au pourtour englué d’une mixture brune qui mêle des excréments, de la sueur et sans doute d’autres substances intimes de la jolie Erin. Là aussi, je n’apprécie pas le goût en lui-même, mais la perversion de cette jolie jeune fille, et mon propre vice, m’excitent au plus au point. Je lui bouffe littéralement le fion, tentant de faire pénétrer ma langue le plus loin possible dans son petit trou qui s’entrouvre un peu. Que c’est sale, quel plaisir !


-Oh putain, que c’est bon, continue … encore, lèche-moi bien le cul … oui … Tu vas me faire chier, j’ai tellement envie.

Encouragé par la promesse de son offrande merdeuse, je maintiens mes efforts en tentant d’insinuer ma langue aussi profondément que possible dans sa jolie grotte à crottes. Je suis bientôt récompensé d’un pet, très foireux, qui m’asphyxie un peu, mais décuple encore mon envie.

-Vas-y, chie. Donne-moi ta bonne merde.

J’entends qu’Erin et Nolwenn poursuivent leurs jeux buccaux, sans doute autour du tampon.

Erin pousse encore, un long moment. Je sens son corps trembler légèrement. Son anus s’écarte et je distingue son étron brun qui pointe vers la sortie.

-Aller, vas-y, tu y es presque. Pousse. Chie pour moi.

Le mouvement s’accélère. La pointe relativement dure de la merde sort, je la prends en bouche, et tout un serpentin, plus mou, est expulsé du délicieux anus. Au passage, il tâche mon visage, avant de tomber au sol, rejoignant ainsi l’urine, le vomi et la salive.

Les filles deviennent comme folles. Elles se précipitent. Erin plonge la tête la première vers la masse marron qu’elle vient de libérer, tandis que Nolwenn s’avance vers mon visage souillé, langue en avant, elle goûte avec une volupté visible l’offrande intime de son amie.


Nous nous embrassons tous les trois, nous partageant le caca de la jolie Erin. Nous en avalons de bonnes quantités.


Alors qu’une bonne partie du contenu de ses intestins a été dévoré avec frénésie, Erin veut plus de plaisir encore :

-Je pense que de la merde est toujours fichée en moi. Encule-moi, ça la fera sortir.  

Elle se retourne, se place en levrette sur le canapé. J’admire un instant sa magnifique croupe, encore partiellement couverte de sa nuisette blanche tâchée de partout, ses jolies jambes fines toujours réhaussées et mises en valeur par ses escarpins, eux aussi maculés de toutes les déjections produites par nos corps. Je suis si excité. Je présente mon dard à son œillet et il le gobe lentement, facilement, comme si c’était tout naturel. Je reste quelques secondes fiché en elle. Je suis bien. Ses ronronnements me laissent penser qu’elle aussi. Puis je commence à faire des va-et-vient, à la pistonner à un rythme crescendo. Elle feule.

-Oh oui mon chéri. Que j’aime sentir ta bonne bite dans mon cul merdeux. Continue. Laboure-moi.

Nolwenn se place devant elle, jambes grandes ouvertes, toujours vêtue de son chemisier anciennement blanc, maintenant tâché de partout et déboutonné, me laissant admirer ses superbes gros seins. Elle se fait lécher la chatte et le cul par Erin et y prend un vrai plaisir. Il me semble que la rouquine pisse dans la bouche assoiffée de la blonde.


Erin jouit. Elle crie son bonheur :

-Ah, oh, putain, c’est si bon. Ah oui, aaahh putain ! … Que c’est bon de jouir d’une bonne bite dans le cul en se vautrant dans la fange !


Avant que je n’éjacule dans son fondement, je me retire. Ma bite est couverte d’un caca brun, bien collant et odorant, que Nolwenn s’empresse de venir goûter.

Ma queue n’est pas encore propre, que déjà Erin en veut davantage.

-Et toi Nolwenn, j’espère que tu as apporté de quoi nous nourrir. Est-ce que ton cul est bien rempli ?

-Oui je le pense. Tu veux ma merde ?

-Quelle question ! Evidemment.

-Viens alors.

Pendant que Nolwenn suce toujours ma tige salie notamment par le caca d’Erin, celle-ci va lécher le cul prometteur. J’entends bientôt des bruits de pets bien gras, puis un son d’écoulement. Une seconde après, j’aperçois le visage d’Erin totalement recouvert d’un masque ignoble et somptueux, fait d’un caca épais et collant, un peu jaunâtre. Elle sourit sous cette gangue qui repousserait nombre de pervers. De ses doigts, elle dirige des morceaux de merde dans sa bouche, elle les mâche, puis les avale en déglutissant ostensiblement de manière très visible. Elle veut m’exciter je pense, et elle y parvient. Une jouissance profonde monte en moi et j’éjacule de grosses giclées de foutre dans la bouche de Nolwenn. Lorsque j’ai terminé, celle-ci me sourit, ouvre sa bouche sale pour que je vois mon foutre mélangé aux autres ordures, tout en me fixant de ses magnifiques yeux verts. Puis elle va rouler une pelle totalement immonde à Erin. Les deux jeunes filles mélangent les merdes, les salives, les urines, le sang de règles et mon sperme. Ce cocktail ignoble et excitant les rend folles, elles se branlent mutuellement frénétiquement et jouissent en gueulant des insanités.


Nous marquons une première pause, sans nous laver. Quelques boissons et encas nous redonnent des forces, qui nous permettent de reprendre la baise rapidement.


Je fourre les chattes dégoulinantes, les culs sales et les bouches avides à l’odeur fétide de mes deux partenaires à plusieurs reprises. Elles sont toutes les deux prises de furieux orgasmes, notamment lorsque ma bite recouverte d’immondices corporelles souille leurs intimités. Je jouis également à souhait, abondamment, ajoutant mon sperme collant aux diverses substances qui polluent la pièce des plaisirs. Que ces deux jolies jeunes femmes sont incroyables ! Je prends un plaisir inouï avec elles, leur comportement et les exhortations à toujours plus de vice me laissent croire qu’elles apprécient tout autant mes actes.


Je passe l’après-midi, la soirée, la nuit et la matinée qui suit chez Erin. Nous restons sales, même durant la nuit, pendant laquelle nous dormons quelques heures.


Les odeurs fétides me prennent aux tripes lors de mon réveil. Je sens que mon corps ne suit plus la lubricité de mon esprit, j’ai des hauts le cœur. Néanmoins ma perversité finit par l’emporter et je décide de rester dans la pièce. Les filles s’éveillent à peine. Erin constate que je ne me sens pas bien.

-Mon chéri, ça ne va pas ?

-Non, je suis barbouillé.

-C’est normal avec toutes nos folies d’hier et la puanteur de pièce. Gerbe sur nous, ça ira mieux après.

Quelle vicieuse décidément ! A peine éveillée, qu’elle quémande déjà de l’ordure putride, elle ne pense vraiment qu’à ça. Voyant que je ne bouge pas, elle prend les devants.

-Je vais t’aider.

Elle fourre deux doigts couverts d’immondices coagulés profondément dans mon gosier et me fait gerber immédiatement. Un flot qui me semble immense s’échappe de ma gorge et va éclabousser Erin et Nolwenn qui émerge tout juste.

Il n’en faut pas davantage à mes deux obsédées de sexe et de saleté pour relancer une vraie orgie dégueulasse. Comme le prédisait Erin, vomir m’a fait un grand bien et je suis rapidement d’attaque pour baiser à nouveau dans la boue nauséabonde qui jonche la pièce.


Nous ne nous lavons qu’en milieu de journée. Nolwenn et moi prenons congé d’Erin, en nous promettant de nous revoir bien vite pour de nouvelles débauches sales.


CHAPITRE 7


Lorsque je reviens chez Miranda, après les heures incroyables passées avec Erin et sa magnifique et perverse amie Nolwenn, je suis surpris de ne trouver personne. J’occupe mon après-midi à regarder la télévision, faire la sieste et prendre du repos après cette nuit de débauche.


Ma jolie hôtesse regagne son domicile en début de soirée. Elle est toujours aussi enjouée, avenante, gentille, douce, mignonne et terriblement sexy.


Comme j’en ai désormais pris l’habitude je n’écoute que mon envie et je la baise sauvagement dès son arrivée. Elle n’a même pas eu le temps de poser ses affaires, qu’elle se retrouve la jupe relevée avec ma bite profondément enfouie dans son cul gourmand, à débiter des insanités destinées à m’exciter et à me rendre encore plus brutal. Quel pied !


La nuit est une fois de plus torride et la journée suivante s’ouvre par un nouvel ébat, avant même que nous ayons quitté le lit douillet.


Après ce réveil peu commun, attablés devant un succulent petit-déjeuner, Miranda me fait un aveu qui me déconcerte un peu.

-Mon chéri, je sais que tu as pris beaucoup de plaisir chez Erin ces derniers jours. Tu as fait la connaissance de la très jolie Nolwenn et il me semble que cela t’a vraiment plu.

Je suis un peu étonné des indiscrétions dont elle a visiblement été la confidente, mais sachant qu’elle n’est pas jalouse, je ne nie rien, au contraire.

-Oui en effet, ce sont vraiment deux filles incroyables. Elles sont jolies et particulièrement vicieuses. Je peux dire que j’ai pris du plaisir.

-Oui Erin et Nolwenn m’ont raconté ça.

Mes amantes se parlent donc dans mon dos …

-Et j’ai tout vu, enchaine-t-elle.

-Comment as-tu vu ces choses-là ?

-Et bien en fait, je dois t’avouer que la pièce spéciale d’Erin est équipée de plusieurs caméras et micros et qu’elles ont filmé vos ébats. Il se trouve qu’Erin m’a montré les images et j’ai pu constater que vous vous étiez vraiment lâchés et j’ai l’impression que tu as pris un vrai pied, n’est-ce pas ? Tu as comblé Erin et Nolwenn, et je sais que ce n’est pas à la portée du premier venu.


Miranda semble à peine gênée par ses confessions, elle me sourit, qu’elle est craquante …

-Je ne savais pas pour les caméras. J’espère que tu es la seule à avoir vu les films ?

-Pas tout à fait …

-Qui d’autre ?

-J’ai montré ces images à Yumiko. On partage pas mal de choses tu sais.

Je suis étonné, mais commençant à bien connaître Miranda, je ne la crois pas capable d’agir de manière malintentionnée avec ces images compromettantes, je pense plutôt qu’elle va les utiliser pour un plan sexuel vicieux. Je ne me trompe pas.

-Yumiko et moi sommes deux adeptes de la baise bien sauvage, tu en sais quelque chose. Mais en vous mâtant, Erin, Nolwenn et toi à vous vautrer dans les miasmes, nous avons été terriblement excitées. Ces images nous ont données des pulsions dont je ne me pensais pas capable. Pour tout t’avouer, nous nous sommes mises à baiser en faisant nos besoins, et nous avons pris un pied incroyable …

Je fais une mine un peu étonnée, mais au fond de moi la confession de Miranda ne me surprend pas tant que cela ; elle, et Yumiko, sont tellement délurées, que rien ne me choque plus en matière sexuelle venant d’elles.

-Le seul hic a été le nettoyage. Nous étions chez Yumiko et elle n’a pas de pièce spécialement conçue pour la baise sale comme Erin. Quel calvaire ça a été pour tout récurer ensuite !

-Et donc tu voudrais qu’on baise salement ensemble, avec Yumiko, c’est ça ?

-Oui, tu comprends très vite mon chéri, répond-elle avec son sourire enjôleur, mais on pourrait même imaginer d’aller plus loin.

-Comment ça ?

-Ben en fait, pour tout t’avouer, ici aussi il y a des caméras dissimulées, et Erin et Nolwenn ont eu accès à des images de nos ébats. Elles aussi m’ont confié être intéressées par nos jeux violents, elles ont apparemment eu quelques échanges plus brutaux entre elles, même assez rudes à ce que j’ai compris, et elles aimeraient aller plus loin encore avec nous dans le masochisme.

-Alors, que proposes-tu ? Une partie à cinq ?

-Oui c’est cela. Avec Yumiko, Erin et Nolwenn on serait partantes pour baiser tous ensemble sans aucune limite, que ce soit en termes de pénétrations, de saleté ou de violence, en gardant toutefois notre mot et geste de sécurité au cas où, évidemment. Qu’en dis-tu ?

-Que vous êtes toutes les quatre de sacrées salopes ! Et que j’ai une veine incroyable de vous avoir rencontrées. J’accepte avec joie !

-Merveilleux ! On prévoirait cela pour demain soir, le temps de bien remplir nos intestins et d’être bien sales. Ce qui ne nous empêchera pas de baiser avant cela, évidemment.

Je souris, quelles perspectives ouvrent cette conversation ! Miranda précise encore :

-On ira chez Erin, sa pièce équipée évitera les catastrophes.


Nous baisons plusieurs fois durant la journée, la nuit et la jour suivant. Mais nous ne prenons pas de douche et j’évite de sodomiser Miranda, afin qu’elle puisse conserver des réserves d’excréments avant la soirée du lendemain.

Avant la soirée si prometteuse, nous nous accordons une sieste en prévision d’une nuit très agitée.


Le rendez-vous est fixé chez Erin. Miranda, Yumiko et Nolwenn apportent toutes de quoi se restaurer en mode buffet canadien. En prime Yumiko a amené quelques pièces de sa vaste collection de godemichets, tandis que Miranda s’est munie de sa fameuse boîte aux objets de douleur.

Nous nous installons dans la pièce spécialement aménagée pour le plaisir. Le buffet a été mis au frais, il est encore tôt et nous n’avons pas vraiment faim pour l’instant.


Les quatre jeunes femmes sont absolument ravissantes. Elles portent des robes du soir raffinées et sont chaussées de leur habituels talons aiguille vertigineux. Elles sont restées très naturelles, elles ne portent qu’un maquillage très discret.


Miranda arbore une robe longue colorée, fendue très haut sur ses deux côtés, largement décolletée, qui met sa jolie poitrine bien en valeur. Elle a laissé ses beaux longs cheveux bruns libres.


Notre hôtesse est habillée d’une robe beige clair, nettement plus courte, dont le haut tient par de fines bretelles. La transparence de son vêtement laisse largement deviner ses petits seins fermes, restés nus. Ses cheveux blonds sont coiffés en queue de cheval, ce qui met en avant son joli cou.


Yumiko est drapée dans une belle robe noire, qui lui arrive à mi-cuisses. Elle galbe parfaitement sa petite poitrine ferme, laissant même visibles ses tétons et les petits clous métalliques qui les ornent. Ses cheveux sombres sont coiffés d’un magnifique chignon sophistiqué.


Enfin, Nolwenn est sublimée par une robe verte, assortie à ses yeux, qui marque un contraste splendide avec sa chevelure rousse flamboyante tombant en cascade sur ses épaules nues, uniquement traversées par les fines bretelles de sa robe. Son décolleté pigeonnant offre une vue magnifique sur la peau laiteuse de ses généreux seins.


On dirait presque que ces quatre jeunes femmes s’apprêtent à défiler sur un podium de mode. Quelle chance ai-je de côtoyer d’aussi belles jeunes filles, souriantes, gentilles, et qui en outre se trouvent être des nymphomanes attirées par les pires vices !


Nous commençons la soirée en bavardant autour d’une coupe de Champagne. Les filles semblent vouloir prendre le temps des préliminaires avant de passer aux actes les plus abjectes. Cela me convient parfaitement, car leur conversation est des plus agréable.

-Mes amis, soyez les bienvenus ici. Je suis certaine que nous allons passer une soirée mémorable pour notre première fois ensemble tous les cinq, déclare Erin.

-Merci Erin de nous accueillir chez toi. Tu es la seule à disposer du lieu adapté aux folies que nous n’allons pas manquer de commettre, répond Miranda.

Elle ajoute :

-Je crois que je vais bientôt investir dans un équipement comme le tien.

-Tu ne le regretteras pas, répond Erin.


Souhaitant sonder un peu les attentes de mes partenaires, notamment sur leurs souhaits de pratiques nouvelles, avant d’engager des ébats qui pourraient aller trop loin, je me renseigne, je me tourne vers Erin et Nolwenn :

-Alors comme ça vous m’aviez caché vos penchants pour les plaisirs plus rudes ?

-En fait, pour ma part, se lance Nolwenn, je ne pensais pas vraiment être excitée par le masochisme, mais lorsque j’ai vu les vidéos de vos ébats avec Miranda et Yumiko, j’ai vraiment été troublée et immédiatement je me suis mise à mouiller ma culotte. C’était alors plus fort que moi, il fallait que j’essaie. J’étais avec Erin, et on s’est immédiatement lancées dans des pratiques plutôt violentes, et j’ai pris un plaisir nouveau, qui m’a donné envie de recommencer, d’aller plus loin encore et d’associer un homme. Je crois que toi aussi Erin tu as bien aimé ?

-Oh oui. Moi aussi les vidéos de vos séances m’ont ouvert un nouveau champ de plaisirs insoupçonnés. Et nos premiers essais de masochisme m’ont ravie. En plus, je pensais que les coups reçus allaient me marquer longtemps, mais il n’en a rien été, en quelques heures à peine tout avait disparu. Je dois avoir des prédispositions pour la brutalité.

Elle minaude un peu après avoir prononcé cette dernière phrase.

-Ça a été pareil pour moi. J’avais quelques bleus et des marques à plusieurs endroits après notre séance, et tout a disparu très vite, j’en étais même un peu déçue, car voir mon corps marqué par les coups qui ont provoqués mon plaisir constituait une excitation en soi, complète Nolwenn.

-Et pour vous, les vidéos des pratiques sales ont également été un révélateur ? continue-je en m’adressant à Yumiko et Miranda.

-En effet, répond Yumiko, je ne me savais pas attirée par la saleté, je n’y avais jamais vraiment pensé, mais à vous voir tous les trois jouir autant de ce vice, j’ai été subjuguée. Et les premiers essais avec Miranda se sont montrés très prometteurs.

-Moi j’avais déjà entendu les confessions d’Erin sur ses pratiques crades, complète Miranda, mais jusqu’à présent, sans voir à quoi ça ressemblait, je n’avais pas particulièrement envie de tenter l’expérience. Pour moi aussi les vidéos ont été une révélation. L’aperçu que j’ai eu l’autre jour avec Yumiko m’a convaincu que je peux prendre un vrai plaisir à jouer avec de la saleté pendant le sexe. En fait, mon chéri, c’est toi qui es le vrai révélateur de nos penchants …

-Quel honneur tu me fais ! dis-je, sans doute en rougissant légèrement, vous êtes donc toutes les quatre prêtes à vous livrer ce soir à toutes les folies masochistes et sales que vous avez vu dans les vidéos ?

Mes quatre compagnes acquiescent et sourient de toutes leurs belles dents blanches.

-Oh que oui. Mais il faudra simplement qu’on fasse attention à ne pas se faire trop mal, notamment à saigner, lorsqu’on sera bien sales, on risquerait des infections, précise Miranda avec prudence.

-Tu as raison. Je propose qu’on évite les pratiques les plus violentes pendant qu’on sera sales. Si on a envie d’aller vers les jeux d’aiguilles par exemple, on le fera après s’être lavés et désinfectés, précise Yumiko.

J’ajoute :

-On garde également le mot et de sécurité, "stop, stop", ou le geste du double pincement, si on veut stopper n’importe quelle pratique, ok ?

Les jeunes filles opinent, souriantes, ravissantes, prêtes à se lancer.


Nolwenn et Yumiko, qui ne se connaissaient que par le truchement des vidéos, se rapprochent. La grande rousse toise la petite asiatique, elle affiche un sourire un rien carnassier et empoigne l’un des tétons équipé d’un piercing qui darde sous la fine robe noire, elle le tord sans hésiter.

-Hummm, approuve Yumiko.

En retour elle crache au visage de Nolwenn.

-Merci, souffle celle-ci en réponse.

-Avec plaisir pouffiasse.

Stimulée par cette insulte, Nolwenn accentue encore la torsion de la tétine, arrachant une petite grimace à Yumiko qui se transforme bien vite en sourire, puis en un nouveau jet de salive au visage de sa partenaire. Nolwenn poursuit en donnant une baffe, encore assez légère.

Yumiko lui sourit et souffle :

-Encore. Plus fort.

La jolie rousse recommence, un peu plus fortement.

-Vas-y, lâche-toi, l’encourage sa partenaire.

De nouvelles gifles heurtent le doux visage, un peu plus violentes, mais pas encore assez au goût de la jeune masochiste Elle décide de montrer l’exemple, en se donnant elle-même une petite série de claques très appuyées.

-Comme ça, n’hésite pas.

Nolwenn augmente encore l’intensité de ses coups.

-Voilà, c’est bien.

-A toi maintenant, frappe-moi, gifle-moi.

Yumiko ne se fait pas prier davantage, elle colle de bonnes baffes aux joues claires de Nolwenn, qui semble un instant décontenancée, mais qui sourit, tandis que son visage rougit déjà.

-Tu aimes salope ?

Dans un premier temps, Nolwenn répond par un crachat au visage de Yumiko, une gifle et un pincement sur l’autre téton. Puis elle ajoute :

-Oui pétasse, j’aime, tu me fais mouiller. Et toi tu aimes ?

-Oui tu m’excites salope, continue.


Dans le même temps Miranda et Erin se roulent une pelle endiablée, dès qu’elles se séparent, un long fil de bave se tisse entre leurs lèvres gourmandes. La jolie brune s’affaisse un peu, ouvre la bouche en grand afin que la belle blonde y dépose son offrande salivaire. En retour Miranda attrape son amie par sa queue de cheval, tire vigoureusement sa tête vers l’arrière, ce qui fait ressortir la petite poitrine ferme et lui permet de saisir et pétrir rudement l’un des seins.

-Oh oui, vas-y franchement, fais-moi découvrir les plaisirs masos, tu m’excites.

Miranda lâche le sein et gratifie d’une double gifle les joues à la peau claire.

-Oui, encore, donne-moi des baffes, salope !

D’autres coups suivent cette provocation. Entre deux salves, Erin crache au visage et dans la bouche de sa partenaire, elle va même jusqu’à moucher une de ses narines et offrir la coulée de morve à la bouche curieuse de Miranda. Les deux filles se partagent ensuite le contenu gluant du nez lors d’un nouveau baiser visqueux.

Les hostilités sont lancées !


Les filles poursuivent ces préliminaires un bon moment. Je bande dur et j’ai retiré mon pantalon et mon caleçon pour être à l’aise. Je les mâte sans vergogne, en me branlant tout doucement. Ma bite est sale, je sens l’odeur d’urine rance et au fur et à mesure de ma masturbation je vois apparaître du smegma à la base de mon gland, qui forme des pointillés blanchâtres et montre combien j’ai négligé mon hygiène intime ces dernières heures.  

C’est Yumiko qui vient la première à la rencontre de ma queue dure et odorante, en l’embouchant d’une traite jusqu’à la garde. Elle reste ainsi fichée quelques secondes et ressort :

-Putain que ta bite a bon goût mon salaud !

-Fais goûter, demande Nolwenn.

Elle aussi me prend profondément dans sa bouche chaude et humide. Que c’est agréable.

-En effet elle a un peu de goût, mais je peux t’assurer qu’elle sera encore bien meilleure tout à l’heure quand elle sera bien recouverte de tous nos jus de baiseurs cradingues ! D’ailleurs, allongez-vous nous demande-t-elle.

Je me place comme demandé, aux côtés de Yumiko. Avec quelques difficultés, Nolwenn parvient à se placer au-dessus de nous, tout en restant debout. J’adore la vue de sa jambe nue, réhaussée par son talon, qui se prolonge sous sa robe verte jusqu’à sa mini-culotte blanche, déjà tâchée. Rapidement, je remarque un flot s’écouler depuis cette étoffe blanchâtre, rouler le long de la jambe et se déverser sur moi. Je parviens à en capter un peu avec ma bouche, je me délecte de cette offrande urinaire, au goût prononcé. A côté de moi, Yumiko semble s’être bien vite accoutumée aux jeux urophiles, alors que son visage est déjà humide, elle lèche le mollet mouillé de notre partenaire, pour goûter au maximum à son pipi chaud.

-C’est bon, j’aime ta pisse ma chérie, approuve-t-elle.

Elle se contorsionne et remonte encore plus haut sous la robe, sans doute jusqu’à la culotte de Nolwenn. Je l’entends déclamer :

-Oh là le climat est étouffant ici, l’air est vicié.

Et elle respire à plein poumons. Je pense qu’elle se met à lécher la moule bien marinée de la jolie rousse qui gémit de plaisir en retour.


Je me relève et quitte mes deux partenaires pour rejoindre Erin et Miranda.

La blonde a la tête fourrée dans l’entrecuisse de la brune, elle est enfouie sous la jupe bariolée, elle doit lui brouter le minou qui est sans doute sale, je vois sa chevelure en queue de cheval s’agiter.

-Viens-la mon beau que je te suce, m’appelle Miranda.

Elle me prodigue alors une très agréable pipe, en gorge profonde, baveuse à souhait, je me régale, tandis qu’elle prend également un plaisir visible sous les coups de langue délivrés par Erin.

Je baisse le haut de sa robe pour découvrir sa jolie paire de seins en forme de poires généreuses, et le leur donne quelques coups bien sentis, agrémentés de pichenettes sur les tétons qui dardent, durs comme du bois.  

-Plus fort, me demande Miranda, en quittant un instant mon braquemard.

Me souvenant que Miranda désire également être souillée, je profite de l’occasion de voir sa bouche libre et ouverte pour cracher un gros mollard dedans. Elle sourit et recommence à me sucer en profondeur. J’accentue les coups sur ses seins, comme elle vient de me le demander. Elle gémit encore plus.

Après un bon moment, Erin ressort de sous la robe de sa partenaire. J’ai l’agréable surprise de découvrir que son visage est maculé d’un jus rougeâtre, que j’identifie immédiatement comme les résidus des règles que Miranda doit avoir aujourd’hui ! Elle a bien choisi son jour pour commencer à s’adonner aux plaisirs sales !

Erin sourit sous le masque visqueux que forme le produit intime de Miranda. Même ses beaux cheveux blonds très clairs, se trouvent tâchés de cette substance qui paraîtrait nauséabonde à nombre de vicieux, mais excite au plus haut point cette petite cochonne si jolie.

Erin se dirige vers le visage de Miranda, qui a toujours ma bite profondément fourrée dans son gosier, elle la tire par les cheveux et roule une pelle répugnante et superbe à son amie. Voir ces deux belles jeunes filles se vautrer ainsi dans la saleté m’excite vraiment fort.

Je décide de trousser la robe d’Erin, je découvre un fin string blanc tâché, entouré de deux petites miches bien fermes absolument superbes, que je me mets à fesser. N’ayant pas encore expérimenté la violence avec Erin, je mesure mes premiers coups, mais bientôt elle m’encourage à plus de brutalité :

-Oh oui c’est bon, vas-y plus fort s’il te plait.

Elle crache ensuite dans la bouche de Miranda un mollard épais, gluant et rougeâtre et retourne l’embrasser à pleine bouche, frénétiquement. Je constate également qu’Erin donne quelques claques aux seins généreux de Miranda, pendant qu’elle la bécote et que je la fesse. Quel délice !


Ayant rougi tout le postérieur d’Erin, je décide de goûter aux saveurs qui doivent sourdre de son entrecuisse, à peine couvert du string dont l’état en dit long sur le manque d’hygiène corporelle de sa propriétaire. J’écarte la ficelle et découvre en effet une raie dans un état de saleté déplorable, repoussant pour la plupart des gens, mais qui m’attire tel un aimant. Une odeur entêtante me monte aux narines. La vue sur cet antre où stagne du caca à demi séché, réhydraté par la sueur et la mouille, agit sur moi comme une invite. Je plonge ma langue au cœur de ces miasmes et prodigue un anulingus enflammé à Erin.


Au bout d’un moment, une main saisit ma chevelure et me retire de l’entrecuisse sale de la belle blondinette, pour m’attirer vers une bouche. Je suis un peu étonné de découvrir le visage de Miranda maculé de tâche de jus de ses règles. Elle m’embrasse fougueusement, visiblement désireuse de goûter aux déjections d’Erin, par le truchement de mes lèvres. En rompant le baiser nous échangeons plusieurs crachats et je la gifle fortement. Elle me sourit.

-Oh putain que je suis excitée !

Elle se presse alors vers la source des souillures de mon visage, en allant elle-même lécher le cul d’Erin. Cette dernière décide de libérer sa vessie en offrant son contenu à Miranda, qui tente d’aspirer le plus possible du cadeau intime de sa compagne sale.

Je donne quelques coups aux deux filles très excitées et très excitantes.


Je quitte, provisoirement, mes deux compagnes pour aller voir ce que font Nolwenn et Yumiko. Je les découvre sur un canapé, en position du soixante-neuf, la brune sous la rousse. Elles ont gardé leurs robes, mais elles sont très largement remontées. Je constate avec excitation que Nolwenn fore la chatte de Yumiko avec un très gros godemichet, tout en léchant les grandes lèvres et le clitoris sales de sa partenaire. Par moment l’une d’elles laisse échapper une giclée d’urine chaude, que l’autre tente de capter pour l’avaler avec délice.

Attiré par l’œillet plissé de la splendide Nolwenn, situé à peu près à la hauteur de mon bassin, et tandis qu’elle est toujours léchée par sa comparse, je décide de la sodomiser.

-Oh oui, viens m’enculer, m’encourage Nolwenn de sa voix douce et excitante, prends-moi, va chercher la merde qui m’encombre avec ta belle bite.

J’entre assez facilement et prend possession de son agréable trou à crotte. Il me semble en effet que son conduit est bien gras. Je la fourre avec encore davantage de volupté et je gratifie de claques ses belles fesses.

-Oui, fesse-moi, salaud, pendant que t’encules mon petit trou merdeux.

Pendant ce temps, Yumiko gémit de plaisir, sans doute comblée par les pénétrations offertes par sa partenaire avec le gros godemichet.

-Vas-y, vidange mon cul de pétasse, je vais bien chier ! vocifère Nolwenn, excitée.

Je tire ses magnifiques longs cheveux roux. Sa bouche quitte l’entrecuisse de Yumiko et je parviens à lui donner quelques tapes au visage.

-Oui, donne-moi des baffes, gifle-moi, je suis une pouffiasse ! Laboure mon cul boueux. Vas-y salaud ! tempête-t-elle.

En regardant mon sexe entrer et sortir de l’anus, je constate qu’il s’est chargé de merde bien brune, collante et qui doit être puante à souhait, si j’en crois mes narines.

Nolwenn jouit en criant son plaisir. Une giclée de cyprine trempe mes cuisses et le visage de Yumiko, qui continue de lécher la chatte faisandée. Je me retire de son cul et ma bite toute brune est suivie d’un véritable tombereau de matière fécale. Le flot dure longtemps, on dirait qu’il ne va jamais cesser. Elle était vraiment pleine !

Une bonne partie de la merde vient s’étaler sur le visage de Yumiko. Elle qui vient tout juste de découvrir les plaisirs du sexe sale, reçoit là un vrai baptême du feu !

Je crois un instant qu’elle va s’asphyxier sous cette glaise abjecte et si excitante. Elle gargouille et éructe, mais bientôt je distingue un franc sourire sous la gangue boueuse qui la recouvre. Décidément, Yumiko est devenue une salope complète, adepte de la baise à la fois violente et sale. Quel plaisir de voir une si jolie jeune femme dotée d’une telle perversité !

Excité, je fourre ma trique dans sa bouche cacateuse. Elle me prend généreusement. Rapidement, Nolwenn approche. Elle badigeonne sa magnifique opulente poitrine d’une partie de ses excréments tombés au sol et quémande ma queue sale :

-A mon tour, s’il te plait Yumiko, je voudrais goûter à son braquemard merdeux.

Partageuse, Yumiko donne mon sexe à Nolwenn, qui m’absorbe avec une réelle avidité.

Yumiko en profite pour salir davantage son corps avec le caca, je l’aide. Je la trouve divinement belle dans sa tenue chic, débraillée, maculée de détritus, puante à souhait !


Bientôt Yumiko est prise de spasmes, elle émet un grondement, ses yeux se révulsent et elle projette un impressionnant flot de vomi brun, abjecte et excitant, qui va inonder mon bassin et surtout le visage de Nolwenn qui me suce toujours en profondeur ! Quelle vision ! Quelle perversité ! Je jouis immédiatement en abreuvant la belle rousse de mes décharges de foutre gluant dans sa bouche.

Elle quitte ma queue et se rue vers Yumiko qui peine à reprendre haleine après son puissant vomissement. Mais Nolwenn ne lui laisse pas de répit, elle va immédiatement lui rouler une pelle dégueulasse et si bandante. Leur baiser est endiablé, je les trouve magnifiques ainsi vautrées dans les jus sordides de nos corps et se donnant un plaisir bien visible. Mon sexe retrouve très vite de sa vigueur malgré mon éjaculation.

Au bout de quelques instants, Nolwenn me demande :

-Pilonne ma gorge de ta grosse bite sale, fais-moi dégueuler à mon tour !

-Oui, je n’ai encore jamais goûter à la gerbe de quelqu’un d’autre, j’aimerais vraiment, ça m’excite, ajoute Yumiko, qui s’est visiblement bien remise de son haut-le-cœur.

Excité, je me lâche dans la gorge offerte de Nolwenn. Sont-ce mes va-et-vient rapides et brutaux ou les ordures qu’elle a ingurgitées ces dernières minutes ? Je n’en sais rien, mais ma belle partenaire vomit à son tour une masse semi-liquide, puante, repoussante et excitante. En perverse désormais patentée, Yumiko se positionne de son mieux pour s’abreuver de ces miasmes nauséabonds et glaireux qui la ravissent.


Les bruits de régurgitation ont attiré Miranda et Erin qui viennent vers nous. Toujours perchés sur leurs chaussures à hauts talons, leurs vêtements déchirés et tâchés ne les couvrent que très peu. Elles sourient, je les trouve particulièrement ravissantes et excitantes.


Immédiatement, les nouvelles venues lapent les détritus pondus par Nolwenn et Yumiko, elles y mettent une vraie ferveur, en portant les déjections à leur bouche, mâchant et avalant l’infâme contenu. Les quatre filles sont bientôt toutes couvertes d’immondices, mais elles semblent en vouloir toujours davantage :

-Il nous faut plus de merde, déclare Nolwenn, chiez mes amis.

Miranda entend l’appel. Elle se retourne, présente son cul à ses compagnes et commence à pousser. Son étron ne semble pas décidé à poindre. Pour favoriser son extraction, Nolwenn fourre sa langue sur l’anus gluant de bave et déjà parsemé d’excréments plus anciens. Elle s’aperçoit que sa partenaire a ses règles et va se délecter du jus qui suinte du sexe détrempé. Il faut plusieurs minutes à Miranda pour réussir à se soulager de l’étron qui occupait son intestin. Elle pond une superbe merde, qui rejoint les autres fluides sur les corps et dans les bouches.


C’est ensuite Yumiko qui veut se libérer :

-Viens m’enculer, mon tout beau, vidange mon cul rempli de merde, m’implore-t-elle.

Enthousiaste, je perfore son anus sans réelle difficulté et imprime immédiatement un rythme soutenu dans son fondement. Bientôt ma bite est plus à l’étroit car Yumiko fourre en parallèle sa chatte d’un gros gode-michet.

-Oh, oui comme ça c’est bon, geint-elle, j’aime les grosses pénétrations, ramone-moi comme ça, je suis une chienne ! laboure-moi !

La sodomie se conclut par un nouveau jaillissement de caca chaud, puant et collant qui fait notre bonheur. Yumiko jouit en criant son plaisir. Chacun prend de la merde en bouche, en étale sur son voisin. Nous prenons un vrai pied.


Jamais rassasiée d’ordures, Nolwenn me demande comme une grande faveur :

-Tu chierais pour nous s’il te plait ?

-Avec plaisir. Si tu foutais un doigt dans mon cul je suis sûr que ça m’aiderait.

Elle s’exécute en me souriant de ses jolies dents tâchées de merde, ses magnifiques yeux verts lançant des éclairs pétillants. Elle accompagne sa pénétration digitale de grands coups de sa langue un peu râpeuse sur mon périnée bien sale.

-Tu as le cul bien crade, gros cochon. Exactement comme j’aime !

Elle s’active vigoureusement, désireuse d’accéder à l’offrande que mes intestins boueux lui réservent. Comme je bande dur, il me faut un certain temps pour parvenir à lui donner satisfaction. Enfin, je sens mes entrailles s’ouvrir et libérer une grosse crotte faisandée qui ravit Nolwenn. Elle fait en sorte que son joli minois soit recouvert de ma merde. Elle est méconnaissable sous ce masque gras. Les trois autres filles vont auprès d’elle, l’une l’embrasse, les autres récupèrent la matière fécale pour s’en badigeonner et en ingurgiter.

L’absorption de ces substances corporelles provoque bientôt le vomissement massif d’Erin, qui asperge notre groupe de sa gerbe brunâtre et fétide. Chacun en prend en bouche.

C’est bientôt à mon tour de ressentir des nausées dues aux miasmes que je viens d’avaler. Je dégobille copieusement, tentant de le faire le plus possible sur les corps et même dans les bouches des magnifiques jeunes filles avec lesquelles j’ai le plaisir de partager cette formidable partouze totalement hors normes.


Je suis à peine remis des derniers spasmes qui secouent mon corps qu’Erin me présente son derrière :

-Encule-moi mon chéri, je suis la seule qui a encore le cul rempli, fais-moi chier avec ta bite, on bouffera cette merde et on la gerbera ensuite pour mieux la rebouffer ! On est toutes des grosses truies et tu es un sale porc !

Bandant toujours, j’arrive à sodomiser la jolie blonde. Les trois autres filles continuent de se gouiner devant nous, jouant avec les pires immondices que nous avons produites et se donnant des baffes, se tirant les cheveux et prenant un plaisir visible à transgresser tous les tabous pour ne laisser place qu’au plaisir.

La merde d’Erin est accueillie avec des cris de joie. Tout le monde s’en saisit et en ingurgite.

Dans les minutes qui suivent Yumiko et Miranda vomissent à leur tour, là encore sous nos acclamations enjouées.


Erin va alors chercher les mets que les filles ont apportés. Nous les dévorons comme des affamés, en saisissant la nourriture de nos doigts sales, généralement en la fourrant en grandes quantités dans les bouches voisines. Ces pratiques génèrent inévitablement de nouveaux vomissements, qui sont accueillis avec enthousiasme ! Nous arrosons ce dîner déjanté de pisse brûlante, qui se mélange admirablement bien avec la Champagne frais.


S’ensuivent plusieurs heures de baise intense dans les profondes immondices qui couvrent nos corps et le mobilier de la pièce. Notre épuisement est tellement avancé que nous ne prenons pas la peine de nous laver. Nous nous endormons partiellement enlacés, dans la fange et l’odeur fétide, puissante et envoutante qui baigne la chambre spéciale d’Erin.


Je crois que Nolwenn s’éveille en premier. C’est en tout cas par un jet de son urine que j’émerge à mon tour. Je découvre la magnifique rousse totalement transfigurée sous la croute que forment les matières corporelles partiellement séchées sur sa peau, souriante, qui se plait à nous asperger de son offrande pisseuse.

Je crains un moment d’être aller trop loin dans le vice sale, je ne pense pas pouvoir être excité par le contact avec ces fluides humains désormais datés, refroidis, surtout dès mon réveil.

Mais je me trompe. L’engouement visible de mes quatre partenaires fait rapidement monter à nouveau mon excitation, et par là-même mon érection. Aussi, je suis bientôt apte à fourrer leurs trous gourmands de mon sexe et à produire encore quelques souillures supplémentaires, de salive, de pisse et de foutre.


Cette nouvelle étape de notre partouze endiablée dure jusqu’au milieu de la matinée, nous stoppons alors cette orgie baignée des matières les plus putrides que nous avons pu extraire de nos corps depuis la veille.


Grâce à l’équipement de la pièce et de son mobilier parfaitement adapté à ce genre de débauche, le nettoyage n’est pas trop fastidieux. En revanche nous passons plus de temps à laver correctement nos corps englués, notamment les longues chevelures des filles.


CHAPITRE 8


Après notre plongée dans les tréfonds des vices sales, nous prenons un peu de repos, déjeunons légèrement de manière à ne pas brusquer nos estomacs fragilisés. Chacun s’est rhabillé avec des vêtements apportés la veille. Les tenues des jeunes filles sont raisonnablement sages, mais tout de même plutôt sexy.


Nous passons un agréable moment à bavarder tous les cinq. Je découvre avec plaisir et intérêt, d’autres côtés de la personnalité de mes partenaires. Nous abordons de nombreux sujets et le sexe n’est pas le principal.


En milieu d’après-midi, Yumiko rallume déjà la flamme :

-Bon les amis, hier nous avions convenu de nous donner du plaisir en jouant dans la saleté, avant de poursuivre par des ébats plus vifs. Je commence à sentir des envies pointer en moi, et je ne pense pas être la seule ici dans ce cas ... Ça vous dirait qu’on entame la deuxième partie de nos jeux ?

Tout le monde sourit à cette proposition.

-Mais bien-sûr ma chérie, répond immédiatement Erin. La pièce est prête. Je crois que Miranda nous a apporté quelques objets forts intéressants.

-Oui, on a de quoi se donner du plaisir pendant un bon moment, répond l’intéressée.

-Allons-y, ajoute Nolwenn, j’ai hâte de découvrir l’étendue de vos vices masochistes.

J’acquiesce à mon tour.

-Ok, allons nous préparer alors, conclut Yumiko.

Les filles s’éclipsent et je vais les attendre dans la pièce spéciale. Malgré les très nombreuses jouissances que j’ai connu ces dernières heures, je suis assez confiant dans mes nouvelles capacités à assumer une série d’ébats que j’anticipe très débridés.


Les jeunes filles reviennent assez vite. Elles ont toutes quatre revêtu des tenues de lingerie fine, très sophistiquées, composées de bas, de porte-jarretelles, de strings et de soutien-gorge pigeonnants, qui mettent parfaitement en valeur leur sublime corps. Elles sont, comme toujours, perchées sur des escarpins aux talons interminables. La vue de ses jolies jeunes femmes, et la perspective des actes déviants et violents que nous allons immanquablement commettre, me font immédiatement de l’effet.


-Maintenant que Yumiko et moi avons largement découvert, et jouit, en baisant dans la saleté la plus répugnante, nous allons vous faire découvrir plus avant les plaisirs de la douleur, nous vous proposons d’explorer vos penchants masochistes entrevus ces derniers jours, suggère Miranda, en s’adressant à Nolwenn et Erin.

-Je suis pleinement partante, approuve Erin, je suis sûre que cette nouvelle facette de la sexualité va me faire découvrir des plaisirs inédits et aider à satisfaire mon appétit sexuel.

-Moi aussi j’ai très envie d’être pleinement initiée au masochisme, complète Nolwenn.

-Parfait les filles. Vous vous souvenez de nos codes de sécurité ?

-Oui, on dit "Stop, stop" et tout s’arrête, répond Erin.

-Et si on ne peut pas parler à ce moment-là ? questionne Miranda.

-On pince deux fois son partenaire pour qu’il mette fin au supplice, précise Nolwenn.

-C’est tout à fait ça, approuve Yumiko.

Je confirme également avoir bien retenu la consigne.

-Alors, qu’est-ce qu’on attend ? lance Miranda.


Répondant elle-même, elle se place face à Nolwenn, empoigne d’une main ferme son joli visage à la peau clair, aux beaux yeux verts brillants d’excitation, et lui assène une première baffe bien sentie, tout en lui souriant. Puis, elle attrape fermement sa magnifique tignasse de feu et la tire violemment en arrière. Cette action fait ressortir l’opulente poitrine de la jeune rousse, parfaitement mise en valeur dans son bustier. Miranda abaisse d’un geste brusque ce vêtement sexy et claque les deux seins qui en jaillissent avec vigueur :

-Tu aimes salope ?

-Oui, tu m’excites, continue.

Miranda pince alors un téton, fortement, puis elle le tord et l’étire. Nolwenn couine un peu, mais elle affiche bientôt un sourire.

-Aïe, tu me fais mal !

-Tu veux que j’arrête ? propose Miranda en relâchant un peu la pression exercée par ses doigts.

-Non, pas encore.

Elle reprend, plus sévèrement. Nolwenn soupire.

-Ouch ! Ça fait mal, putain !

Sa tortionnaire maintient son action.

-Ah putain, tu me fais mal ! Mais je sens que je mouille, C’est dingue, tu m’excites ! déclare Nolwenn.

Miranda glisse sa main dans la culotte de sa partenaire, sans libérer le téton.

-C’est vrai que tu mouilles, coquine. Tu aimes que je te fasse mal, hein ?

-Oui, acquiesce Nolwenn d’une petite voix.

-Je n’ai pas bien entendu, tu aimes que je te fasse mal ou pas ?

Miranda vrille encore plus le téton.

-Oui, j’aime que tu me fasses mal, déclare Nolwenn de manière très audible cette fois.

-C’est bien.

-Encore, s’il te plait, demande maintenant la nouvelle soumise.

Je décide de participer. Je donne d’abord quelques gifles au visage de Nolwenn, puis je triture à mon tour l’autre sein de la jeune femme. Elle gémit, gigotte un peu, mais elle ne demande pas la fin du supplice, bien au contraire. En effet, lorsque je lâche son sein pour donner quelques coups à Miranda, Nolwenn quémande mon attention :

-S’il te plait, occupe-toi encore de moi, continue à me malmener.

Décidé à lui apporter la violence qu’elle réclame, je baisse sa mini-culotte et enfonce vigoureusement plusieurs doigts dans sa chatte, effectivement trempée. J’imprime des va-et-vient rapides, profonds et brutaux dans son sexe brûlant de désir, je la ramone avec vivacité en écartelant ses chaires intimes. Au passage je griffe son clitoris sensible, tire ses grandes lèvres. Entre deux pénétrations digitales, je donne des claques à sa cramouille. Nolwenn est prise d’un premier orgasme, qui la fait trembler de tout son corps et clamer son plaisir :

-Ah, oui, je jouis. Putain que c’est bon d’être une grosse salope ! Encore s’il vous plait.

Miranda sourit, visiblement heureuse de faire découvrir de nouveaux plaisirs à sa partenaire. Lorsqu’elle a un peu recouvré ses esprits, elle l’interroge :

-Alors, ça fait quoi de jouir de douleur ?

-Oh putain c’est super bon. C’est différent des plaisirs de la baise classique ou même de la baise sale, mais j’ai vraiment pris mon pied. Je veux absolument le refaire très vite.

-Excellent. Mais avant cela, je voudrais que tu me rendes la pareille, moi aussi j’aime jouir en souffrant ; fais-moi mal pétasse !

Un peu hésitante, Nolwenn adresse une gifle à Miranda, mais elle est maladroite et le coup ne porte pas autant qu’espéré par les deux jeunes femmes.

-Frappe-moi mieux que ça s’il te plait.

Deuxième tentative, la claque est un peu mieux dosée, mais ne suffit pas à satisfaire sa destinataire.

-Plus fort, putain, donne-moi une bonne grosse baffe, comme ça.

Miranda s’assène deux puissantes gifles consécutives, pour montrer à sa partenaire le type de traitement qu’elle attend d’elle.

Même si sa technique demande encore de l’entrainement, l’exemple apporté par Miranda semble désinhiber Nolwenn, qui envoie un violent soufflet à son amie. Même si la gifle n’est pas encore parfaitement ajustée, elle contente davantage la masochiste endurcie.

-Oouch … Voilà ça vient. Encore, recommence.

Petit à petit Nolwenn progresse et applique de mieux en mieux ses coups. Les joues de Miranda rougissent rapidement.

-Très bien, tu commences à comprendre. Frappe-moi les nichons maintenant, commande-t-elle en libérant sa généreuse et ferme poitrine de son bustier.

Nolwenn porte des premiers coups très francs sur les jolis seins. Les deux filles sont très excitées.


Malgré la qualité du spectacle que m’offrent la belle brune et la jolie rousse, je les quitte un moment pour m’intéresser à Yumiko et Erin.

La mignonne asiatique est allongée sur le dos, les jambes outrageusement écartées et remontées, toujours gainées de bas noirs et terminées de jolis escarpins. La blondinette fait face à son entre-cuisse dénudé, elle a glissé plusieurs doigts dans la fente humide et gourmande.

-Encore, enfourne tous tes doigts dans ma petite chatte … j’ai besoin d’une grosse pénétration, d’être bien écartelée … encore …

Erin parvient à enfiler un quatrième doigt dans le sexe de Yumiko, qui ronronne et en quémande encore davantage. De sa main libre elle prodigue une vigoureuse caresse au clitoris, les effets de cette action sont sans doute décuplés par le piercing qui transperce le petit organe.  

-Oh oui, encore … fore ma chatte, mets-y toute ta paluche, je vais la gober.

Connaissant les goûts masochistes de Yumiko, je ne résiste pas au plaisir de défaire le haut de sa tenue pour en dévoiler ses magnifiques petits seins bien fermes, aux tétons percés de clous métalliques, que je me mets immédiatement à maltraiter avec vigueur. J’alterne les claques, les pincements et les pichenettes sous les encouragements de la belle.

-Oui, continue c’est bon, j’aime bien que tu me fasses mal pendant qu’on défonce ma chatte de chaudasse.

A côté de moi, Erin continue de dilater le sexe avide et fait bientôt coulisser toute sa jolie menotte à l’intérieur, provoquant d’abord des feulements, puis la jouissance de sa propriétaire. La chatte distendue expulse un jet de mouille dont Erin parvient à capter une partie de sa bouche agile.

Elle se remet de son plaisir avant qu’Erin n’ait libéré son sexe.

-Oh que c’est bon, je prends mon pied. J’en voudrais encore plus. Je veux que tu fistes mon trou du cul en laissant ton autre main dans ma chatte de salope.

-Tu crois vraiment que je peux te faire ça ? questionne Erin, mi-inquiète, mi-admirative.

-Ouais, je l’ai déjà fait avec des gens qu’avaient des mains plus grosses que les tiennes. Si besoin tu forceras, ça me fera mal, mais j’aime tellement me faire déchirer !

Obéissante, Erin entreprend de fourrer ses doigts dans l’anus de son amie, tout en gardant son autre main bien au chaud dans la chatte distendue. Rapidement, elle glisse quatre doigts dans le fondement assoupli par la pratique intense de la sodomie. L’intromission se révèle plus complexe lorsqu’elle ajoute son pouce et qu’elle pousse pour introduire sa paume.

Excité, je continue de malmener Yumiko en giflant ses joues, ses seins, ses cuisses. Je pince également ses tétons tout durs.

-Vas-y, force, pousse, ça va entrer … encore … voilà, je sens que mon cul s’ouvre, encourage-t-elle Erin.

En effet, les efforts d’Erin lui permettent de faufiler son poing dans l’anus de Yumiko, tandis que son autre main occupe toujours la cramouille élargie !

-Oh, oui putain c’est trop bon, salope ! gueule-t-elle en jouissant.

Encore une fois, elle se remet rapidement de son orgasme qui semblait pourtant très puissant, mais qui ne l’a manifestement pas encore rassasié de plaisir.

-Putain c’est bon de se faire embrocher comme ça. Je voudrais maintenant que tu retires ta main de ma chatte, ça te permettra d’aller plus loin encore dans mon cul. Tu verras il est vraiment profond.

Quelle délurée fait-elle !

Elle se tourne vers moi, me fixe en me faisant signe d’approcher encore un peu et d’un geste habile elle défait la ceinture de mon pantalon, la sort des passants et me la tend :

-Tiens, utilise ça pour exciter mes seins. Avec la boucle, hein, ajoute-t-elle en me jetant un regard vicieux.

Avant que je ne saisisse correctement la ceinture, Erin s’exécute. Lorsqu’elle libère le sexe, sa main laisse un orifice béant et dégoulinant de plaisir. Elle en profite pour lécher cette ouverture gluante comme elle aime.

Je porte alors le premier coup de ceinturon qui s’abat vigoureusement sur le sein menu de Yumiko, elle crie, mais quémande toujours :

-Aïe, salaud ! Tu me fais super mal … Putain que c’est bon. Encore, continue s’il te plait.

Je poursuis à un rythme lent, je veux laisser le temps à Erin de s’occuper du boyau de notre partenaire.

Erin ne poursuit pas son cunnilingus et se concentre sur sa main qui occupe toujours le trou de balle. Lentement, en opérant des petits mouvements rotatifs, elle l’insère encore plus profondément. Petit à petit son poignet disparait à l’intérieur de Yumiko, qui feule et réclame toujours plus.

De nouveaux coups viennent fouetter la poitrine de la soumise. Des marques vives zèbrent sa peau.

Le début de l’avant-bras progresse dans le conduit, Erin parvient à entrer presque jusqu’à son coude !

Tout en observant cette scène incroyable, je continue à frapper Yumiko, qui ne cesse de nous tancer pour que nous la maltraitions toujours plus.

Je prends un peu peur lorsque je constate que le poing d’Erin est tellement enfoncé dans l’intestin de la jeune salope qu’elle parvient à déformer son ventre au niveau de son nombril e même plus haut encore. Comment une fille si frêle et si délicate, parvient-elle à supporter une si profonde et épaisse pénétration dans son fondement, tout en se faisant fouetter les seins à grands coups de boucle de ceinture ?

Mes peurs se dissolvent en entendant Yumiko exprimer son plaisir et son bonheur d’être si profondément empalée et battue. Elle jouit encore.

Doucement, Erin se retire de l’orifice outrageusement dilaté. Je réduis la fréquence et l’intensité des coups. Le retrait du bras laisse apparaître un cratère béant à la place de l’œillet qui matérialise habituellement l’anus de Yumiko. Ce gouffre reste ouvert un long moment, m’offrant une vue improbable sur l’intérieur de l’intestin de la jeune femme. Erin mollarde dedans, avant que le puits vermillon ne se referme progressivement.


Pendant que Yumiko se remet, j’ai envie de m’occuper de la jolie Erin. Elle est d’ailleurs demandeuse :

S’adressant à Yumiko :

-T’es vraiment une drôle de salope pour jouir aussi fort en te faisant défoncer les entrailles tout en te prenant des coups aussi rudes. A cause de toi je suis maintenant toute excitée ! Je veux découvrir les sensations d’une baise bien rude. Viens, m’intime-t-elle après s’être tournée vers moi.

Je me positionne face à elle, mon visage à quelques centimètres du sien, je saisis sa mâchoire inférieure entre mon pouce et mon index et je serre, un peu. Le bas de son joli minois se déforme. De ma main libre je lui donne une baffe, gentillette, puis j’attrape plus rudement ses cheveux coiffés en chignon, je les tire, tout en maintenant mon emprise sur le bas de son visage. Erin ouvre la bouche. Je relâche sa mandibule et la gifle à nouveau. Elle me sourit :

-Encore, tu m’excites !

Une série de quelques claques suit ; leur intensité augmente en même temps que leur fréquence. La blondinette rayonne, ses joues rougissent.

Encouragé, je décide d’enfourner mon sexe bandé dans sa petite bouche, sans ménagement. Je n’ai pas encore fourré de trou cet après-midi et le spectacle proposé par mes superbes amies complètement délurées me donne une vraie envie.

J’entame immédiatement des va-et-vient rapides et assez profonds. Mon gland s’introduit dans la gorge d’Erin. Elle pousse des borborygmes et s’exprime par onomatopées, mais elle n’active pas le code de sécurité, qui consisterait à me pincer. Au contraire, provoquante, elle me fixe de ses beaux yeux bleu clair. Je poursuis donc, en agrémentant ce traitement de quelques gifles et tirages de cheveux. Lorsque je quitte enfin sa bouche, elle me sourit immédiatement :

-Waouh, tu m’as bien enfourné, salaud. C’était vraiment excitant de se sentir aussi soumise, comme un vulgaire objet.

Je lui retourne son sourire accompagné d’une gifle et j’arrache le soutien-gorge qui cachait sa belle petite poitrine. J’enchaîne en claquant ses seins, puis en pinçant un téton.

-Et ça, qu’en penses-tu ?

-Ça fait mal, mais ça m’excite, me confesse-t-elle.

-Tu veux que j’arrête ou que je continue ?

-Oh non, n’arrête pas. Continue, s’il te plait.

Je suis ravi de sa réponse et je serre encore davantage le bout de son sein qui darde furieusement.

Bientôt Yumiko me rejoint pour tourmenter notre jolie partenaire, très excitée de son initiation au masochisme. Elle empoigne l’autre téton et le vrille vigoureusement. Malgré la présence de mon dard à nouveau profondément fiché dans son gosier, nous entendons bien le cri d’Erin. Ne désirant pas la pousser au-delà de ses limites, je me retire, mais Yumiko maintient la torsion. Libérée de mon sexe, le cri d’Erin jaillit nettement :

-Aaahhh … oouuchch … oui ... aahh … putain … ça fait putain de mal ! Oui … encore …

-Regarde, elle aime ça, c’est une vraie salope maso, commente Yumiko. T’en veux encore, hein ?

-Oui, souffle l’intéressée.

-Quoi, je n’ai rien entendu. Tu veux tout arrêter, c’est ça ?

-Non, non … continuez, continuez … s’il vous plait … faîtes-moi mal.

-Ah, il me semblait aussi, t’as l’air toute excitée, comme une grosse chienne maso, enchaîne la jolie asiatique.

Yumiko semble tout aussi à l’aise en sadique qu’en masochiste, quelle fille !

Je retourne pilonner la bouche de notre nouvelle soumise, tout en continuant à la gratifier de coups, à tirer sur sa belle chevelure blonde et à la pincer à plusieurs endroits.

-Tu devrais maintenant l’enculer sans ménagement, lui déchirer son beau petit cul de pétasse en rut, me conseille Yumiko,

Je quitte la gorge d’Erin, elle ne proteste pas, anticipant sans doute le plaisir de la sodomie brutale qui se profile. Yumiko l’interroge d’ailleurs à ce sujet :

-Tu as envie qu’il t’encule ?

-Oh oui, j’ai très envie de sa bite dans mon petit cul, il fait ça si bien.

-Tu veux qu’il le fasse comment aujourd’hui ?

-Je voudrais qu’il me prenne sauvagement, profondément, en force.

-Tu veux qu’il te prépare un peu, avant ?

-Oh non ! Qu’il me prenne d’un seul coup, bien rudement, en forçant s’il faut !

-Tu vas souffrir ma chérie, tu sais ?

-Oui, c’est justement ce que je veux. Qu’il me fasse bien mal, qu’il me déchire le fion. Je veux connaître la douleur anale, comme toi tout à l’heure, tu as pris ton pied, et je suis sûre que je jouirai aussi.

-Tu sais ce qu’il te reste à faire, m’indique Yumiko en me jetant son regard incendiaire.

Renforçant la prise de ma pogne dans la chevelure blonde, je retourne Erin sans ménagement et place son joli derrière tout menu face à mon bas-ventre. La vue de ce petit popotin bien galbé, fendu de son string noir, m’excite. J’écarte la ficelle, prêt à pénétrer l’œillet, mais Yumiko m’arrête in extremis :

-Attend. Erin a peut-être envie d’être embrochée à sec, ça lui ferait encore plus mal, tu devrais essuyer ta bite. Qu’en penses-tu ? interroge-t-elle la blondinette.

-Oh oui, tu as raison. L’idée de me faire enculer à sec me plait, je veux essayer.

-Tu es bien certaine, tu auras hyper mal ? demande-je.

-Oui essaie, je sens que je prends plaisir à souffrir avec vous deux.

Comment pourrais-je résister à un tel appel d’une si jolie fille qui me tient des propos aussi fous ?

Je n’essaie pas.

Yumiko sèche consciencieusement mon sexe avec un chiffon et je dirige mon chibre contre l’anus plissé et palpitant. Malgré son habitude des sodomies, il résiste et je me mets à forcer, tout en donnant des claques sur les petites miches qui rougissent progressivement. Mes assauts répétés et vigoureux me font entrer sur quelques millimètres dans l’orifice. Erin soupire, elle souffre visiblement, mais ne stoppe rien.

-Aïe, putain tu me fais mal, … aïe. C’est bon … Aïe. Encore, force, tu vas entrer. Pousse encore plus fort !

Quelques efforts supplémentaires me permettent enfin de forcer le passage, provoquant le hurlement bestial de ma partenaire, qui m’encourage cependant toujours à la besogner sans relâche :

-Aiiie ! Oh, putain … Aïe ! Tu m’as déchirée. Tu me fais trop mal … Oh putain c’est trop bon, mon salaud … Encore, continue, ne t’arrête pas, défonce-moi, détruis mon petit cul de pétasse.

Elle jouit en déblatérant les pires insanités.

Ne lui accordant aucun répit, Yumiko s’est munie d’un gode-michet qu’elle place à l’entrée du vagin d’Erin. Très humide, celui-ci cède facilement et je sens bientôt un intrus s’immiscer à côté de ma bite. Nous labourons en cadence les trous de la belle et la portons rapidement à une seconde jouissance.

Voir une petite nénette aussi mignonne qu’Erin jouir de la douleur que la double pénétration et nos coups lui procure, en redemander, en étant en même temps tisé par la non moins belle Yumiko, me fait jouir à mon tour, intensément. Je répands ma semence dans cet anus qui m’enserre si agréablement.


Lorsque je sors progressivement de la vague de plaisir qui m’a submergé, j’entends d’autres cris de jouissance qui viennent de Miranda et Nolwenn. Je m’approche d’elles, suivi par Yumiko et Erin. La vue que nous propose la pulpeuse rousse me procure un choc. Miranda a fiché plusieurs de ses aiguilles chirurgicales dans la peau laiteuse de Nolwenn.

Les beaux gros seins et les grandes lèvres sont percées de part en part de longues tiges métalliques, quelques gouttes de sang perlent aux points de perforation, certaines s’écoulent et forment de fins filets qui roulent sur le bas des seins, le ventre et les cuisses de la magnifique jeune femme.

Nolwenn se tient debout, toujours juchée sur ses hauts talons, radieuse, souriante, sous le regard admiratif de celle qui l’a mise dans cet état. Elle s’observe dans une glace en pied.

-Regardez toutes ces aiguilles qui me transpercent. Miranda m’en a plantées de partout. C’est hyper excitant. Ça fait un peu mal, mais c’est tellement pervers, je mouille comme une folle !

-Pour que tu en profites pleinement, il faut qu’on joue avec, précise Miranda.

Elle montre l’exemple en faisant faire des va-et-vient à une aiguille plantée à la base du téton. Alors que cette perforation n’avait pas encore provoqué de saignement, bientôt une goutte rouge pointe et glisse sous le galbe du sein. Nolwenn feule.

-Tu aimes, ou tu préfèrerais qu’on arrête là ? l’interroge la belle brune,

-Non, répond Nolwenn.

-Non, tu n’aimes pas ?

-Non, … oui, … Je veux dire … J’aime … N’arrête pas surtout, balbutie la belle rouquine.

Miranda entreprend de jouer avec une autre aiguille, qui perfore une des grandes lèvres.

-Participez vous aussi, nous demande-t-elle.

Aidé de Yumiko et Erin, je me mets à mon tour à titiller les aiguilles et augmenter encore la douleur et le plaisir de Nolwenn, qui continue de gémir et de nous demander de poursuivre. Elle tente de se masturber pour précipiter l’orgasme réclamé par son corps chauffé à blanc, mais les aiguille la gênent. Elle reste ainsi frustrée et excitée.

En sadique vicieuse et expérimentée, Yumiko saisit deux aiguilles plantées perpendiculairement dans le sein et entreprend de les rapprocher pour les pousser à se mettre en parallèle. Cette action est fort douloureuse, Nolwenn crie, transpire, davantage de sang s’échappe des trous ainsi élargis. Je profite de cet instant pour envoyer une pichenette sur le clitoris de la nouvelle masochiste, je lui procure un orgasme absolument foudroyant, qui irradie tout son corps. Elle tremble, hurle, ses seins tressautent, sa chatte ruisselle, elle est comme électrisée. Elle finit par s’assoir sur un divan et met plusieurs minutes pour reprendre pleinement ses esprits.

Miranda libère alors ses chaires des aiguilles. D’autres coulures sanguinolentes parcourent la belle peau claire, mais Nolwenn ne semble pas en souffrir particulièrement.


Tandis que Nolwenn récupère, les trois autres filles me semblent très excitées.

-J’ai adoré initier la jolie Nolwenn aux plaisirs de la douleur, mais j’ai maintenant cruellement envie d’être moi-même l’objet de sévices, pour jouir à mon tour, confesse Miranda d’une voix suave.

-J’ai pris un vrai plaisir aux traitements pervers qui m’ont été offerts tout à l’heure, mais je vois que j’ai encore beaucoup à apprendre en matière de masochisme, et j’ai très envie de poursuivre dès maintenant mon initiation vers des pratiques encore plus extrêmes, se confie Erin.

-Moi aussi j’ai envie de jouir à nouveau sous les coups, j’ai eu droit à une bonne correction avec la boucle de ceinture tout à l’heure, mais regardez les marques s’estompent malheureusement déjà, se lamente presque Yumiko, en désignant sa poitrine qui porte toutefois des traces bien visibles encore.

Miranda me tend alors une longue cravache.

-Tu as trois salopes masos à mater, donne-nous notre dose de plaisir, s’il te plait mon chéri.

Les trois jeunes filles se tiennent debout devant moi, juchées sur leur hautes chaussures, offertes, excitées, aguichantes, exposant leur corps délicieux et me quémandant la douleur qui les fera jouir, une fois de plus.

Je tente de satisfaire leurs désirs vicieux. Je porte des coups bien sentis sur leurs jolis seins, leurs cuisses galbées, leur ventre. Elles gémissent, mais m’encouragent dans la foulée à les flatter d’autres coups. Bientôt Yumiko écarte les cuisses et me souffle :

-Frappe ma petite chatte trempée, s’il te plait, je suis sûre qu’un bon coup suffira à me faire atteindre l’extase.

Je m’applique à viser sa fente baveuse de désir et lui assène un coup rude. D’un réflexe reptilien, Yumiko serre les cuisses, se tortille un peu, ouvre à nouveau ses jambes, touche sa chatte qui semble la brûler et part dans un énième orgasme puissant, ses yeux se révulsent, son sexe émet un jet de cyprine. Elle clame son plaisir en s’affalant sur un canapé.

-Je veux la même chose, quémande Erin en écartant les cuisses à son tour.

Je l’avais jusque-là, un peu, épargnée, eu égard au caractère récent de son introduction aux jeux masochistes. J’avoue hésiter légèrement au moment de la violenter aussi vigoureusement, mais elle insiste et fait taire mes scrupules :

-Je t’en prie, fais-moi jouir d’un bon coup bien fort sur ma petite chatte, elle en mouille d’avance, j’en ai tellement envie, s’il te plait fais ça, bien fort, comme avec Yumiko.

Je la frappe comme elle me le demande. Elle hurle. Sans même se toucher, elle est saisie d’un puissant orgasme. Elle rejoint son amie sur le divan.

Entendant ses copines jouir aussi fortement, Nolwenn revient dans le jeu. Elle se place aux côtés de Miranda, m’offrant son corps qui porte encore des coulures sanglantes.

-Moi aussi, fais-moi goûter à la cravache, je sens que je vais aimer.

Comme pour Erin, je retiens un peu les premiers coups que je porte à la masochiste encore néophyte, tandis que je me lâche davantage sur Miranda, plus aguerrie à la douleur.

J’offre d’ailleurs une nouvelle jouissance à cette dernière grâce à un coup idéalement placé sur son sexe ruisselant de désir et de violence.

-Bats-moi plus fort encore, s’il te plait, me demande maintenant Nolwenn, fais-moi jouir, je suis devenue une salope maso.

Je marque les gros seins fermes de quelques coups supplémentaires, avant d’ajuster sa chatte exposée et de lui offrir le plaisir qu’elle quémande.


Encore une fois, les filles se remettent rapidement des coups et de leur jouissance. Miranda et Yumiko, les plus habituées à la douleur, en réclament toujours plus.

-Nolwenn m’a vraiment excitée tout à l’heure quand elle était transpercée par les aiguilles, j’ai envie qu’on me fasse pareil, me demande Yumiko, en me tendant une boîte d’aiguilles stérilisées.

Elle empoigne l’un de ses petits seins tout mignons au téton dur titillé par son piercing permanent, marqué par les coups de cravache, et me le présente ostensiblement :

-Vas-y, perfore-moi !

Je la gifle. Elle me sourit, vicieusement, tout en continuant à me présenter sein. Je prends une tige métallique et transperce sans coup férir la chaire délicate de son nichon. Une lueur de douleur passe dans ses yeux, elle me sourit en me fixant du regard et murmure :

-Oh oui ! Encore.

Je prends un malin plaisir à ficher plusieurs longues aiguilles dans ses jolis petits seins. Bientôt le sang perle et dégouline en petites trainées. Yumiko réclame toujours plus de douleur. J’enfile maintenant des pointes dans ses grandes lèvres intimes.

J’entends que dans le même temps Miranda initie Erin aux jeux d’aiguilles. Je l’aperçois ornées de plusieurs tiges fichées dans ses généreuses mamelles, tandis qu’elle en a également plantées dans le corps menu de la jolie blondinette.

Je constate que dans le même temps Miranda a placé plusieurs pinces crocodiles sur le corps de Nolwenn. Elle corse encore ce traitement avec des poids ajustés à ces pinces qui mordent les chaires tendres de la rouquine, qui a déjà subi les aiguilles il y a peu de temps.


Miranda, Yumiko et Erin se trouvent alors chacune transpercées de multiples aiguilles, dans leurs parties érogènes, tandis que Nolwenn est méchamment pincée. Toutes saignent un peu, mais aucune n’active le code de sécurité, la lubricité se lit dans leurs regards.


Miranda pousse encore le vice masochiste :

-Reprend ta cravache et donne-nous de bons coups, avec nos aiguilles et nos pinces on va déguster, ça nous fera encore jouir comme les chiennes que nous sommes.

Quelle demande me fait-elle une fois de plus !

Ses trois compagnes acquiesçant sans aucune équivoque, j’empoigne la cravache et porte de nouveaux coups à mes partenaires, visant leurs parties intimes percées et pincées. Elles crient, m’encouragent, soupirent, quémandent davantage et finissent par jouir furieusement, en hurlant des insanités sur leur besoin de douleur.


Je me sens alors un peu vaseux, patraque. Ai-je poussé trop loin les plaisirs ? Que m’arrive-t-il ?


EPILOGUE


Les cris de jouissance s’évanouissent petit à petit. Je me sens de plus en plus bizarre. Des sensations peu agréables s’immiscent en moi.

Je commence à avoir du mal à distinguer mes amies, leur image se floute. Sont-ce les effets dévastateurs de la jouissance profonde qui libère des hormones et viennent troubler mes sens ?

Je sens que l’origine de cet état étrange est autre.

Mon corps ne m’obéit plus comme je le souhaite.


D’un seul coup je me trouve en position allongée, sans que je ne me souvienne m’y être mis seul. Que se passe-t-il ? Que m’arrive-t-il ? Une nouvelle botte secrète vicieuse de la divine Miranda ?

Non. Malheureusement, bientôt je perçois des voix inconnues et nettement moins sensuelles que celles de mes divines compagnes de jeu.

-Attends, il bouge.

-Ah oui.

-Je vérifie le pouls.

-Alors ?

-Il augmente.

Je fais un effort très violent pour écarquiller les yeux. Je vois deux blouses blanches, sans doute avec un homme et une femme à l’intérieur. Rien de très sexy.


-Monsieur ? Est-ce que vous nous entendez ?

-Monsieur ?

J’émet un bougonnement. Je m’agite un peu. Où suis-je ?

-Calmez-vous monsieur. Vous ne craignez rien. Vous êtes à l’hôpital.


Comment se fait-il que je sois si rapidement passé de chez Erin à l’hôpital ? A-t-on été trop loin ?

Je dois continuer à gesticuler.

-Doucement, détendez-vous tout va bien.


Comment tout peut-il bien aller si je suis à l’hôpital ?

Je parviens à articuler :

-Qu’est-ce que je fais là ? Où est Miranda ?

-Vous êtes ici à l’hôpital, depuis quelques semaines. Vous avez eu un accident de vélo et avez été admis ici. Nous sommes ravis de vous voir revenir avec nous. Restez calme.


Voilà comment s’achève mon drôle de rêve érotique. Tous les plaisirs que j’ai connus, toutes les pratiques folles et si jouissives que j’ai découvertes ne sont que le fruit de mon subconscient comateux consécutif à mon accident. Comment cela va-t-il impacter ma vie ? Je ne le sais pas encore.


FIN.