HOTEL BRUN & JAUNE
Par Fed (F+M+, BDSM, violence, bisexe, lesbiennes, oral, anal, inceste familial, crade, food games, uro, vomi, scato)
AVERTISSEMENT
Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages et la conception d’enfants engage la vie d’autrui et ne doit pas avoir de motivations sexuelles.
Pauline et moi vivons un grand amour. Libertins et volontiers déviants, nous aimons nous donner du plaisir. Nous prenons chacun soin de notre corps et de notre apparence pour continuer à nous plaire, et à séduire également d’autres partenaires qui viennent régulièrement pimenter notre vie sexuelle.
Pour nos dix ans de mariage, nous avons décidé de nous offrir un grand week-
Cet hôtel nous a été chaudement recommandé par des amis libertins avec lesquels nous partageons régulièrement des parties fines. Comme nous pouvons nous le permettre financièrement, nous avons opté pour un séjour de plusieurs jours qui inclut de multiples options qui devraient nous permettre d’agrémenter notre expérience.
Cet établissement est situé en campagne, en retrait des principaux axes.
Pour effectuer le trajet de plusieurs centaines de kilomètres qui sépare notre domicile de notre lieu de villégiature, Pauline a choisi de porter une robe d’été simple, qui met bien en valeur ses formes. Elle a attaché ses longs cheveux bruns en chignon. Pauline conduit. Je la trouve à croquer.
Nous arrivons. Le Brun & Jaune est un bâtiment moderne à un étage. Pauline gare la voiture et nous entrons. Une jeune femme blonde portant un uniforme élégant, que je trouve très sexy, nous accueille :
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Nous lui donnons notre nom. Elle poursuit :
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Nous répondons par l’affirmative.
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Nous tendons nos précieux sésames. Outre le covid, l’hôtel impose à ses clients différents tests relatifs à la plupart des maladies sexuellement transmissibles. Cela nous rassure et nous permettra de profiter pleinement de notre séjour.
Une fois la vérification faite, elle enchaine :
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Nous confirmons. Souriante, elle poursuit :
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Nous la suivons. Sa tenue, pourtant très classe, la met vraiment en valeur, je la mate. Pauline me fait un clin d’œil entendu, en retour je lui passe la main aux fesses. Elle me sourit, je la sens amoureuse, je le suis également.
Au détour d’un couloir j’aperçois une femme en petite tenue qui entre dans une chambre. Il me semble qu’elle n’était pas très propre. Une odeur puissante semble confirmer la vue furtive que j’aie eu sur elle.
Nous arrivons à notre chambre. L’hôtesse entame ses explications :
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La jeune femme nous adresse un sourire complice.
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Elle prononce cette dernière phrase avec un grand sourire et nous adresse un clin d’œil.
En regardant à travers la cloison transparente qui sépare la salle de bain du reste de la chambre, je constate que la cuvette des toilettes est totalement transparente également. Je crois que ma femme l’a vue également. Pauline et moi nous nous sourions. Nos amis ne nous avaient pas menti, cet hôtel semble bien spécial.
La jeune femme poursuit ses explications, c’est un peu long, mais cela semble nécessaire compte tenu des particularités de l’établissement :
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Elle enchaîne :
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Elle poursuit :
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En effet il semble que cet hôtel ait bien tout prévu pour satisfaire les pratiques particulières de sa clientèle.
L’hôtesse continue ses explications, c’est un peu long, mais ces découvertes sont très intéressantes :
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Elle ajoute :
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Je vois que Pauline est très intéressée :
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En quelques clics, notre hôtesse affiche sur l’écran de télévision de la chambre le portrait d’une très jolie blonde, qui n’est autre qu’elle-
La jeune femme nous regarde, mi-
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Elle nous lance un sourire coquin, qui me donne un début d’érection. Je crois que nous allons bien nous plaire dans cet hôtel.
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Pauline et moi nous nous regardons, rien ne nous vient à l’esprit pour le moment, nous sommes déjà dans la perspective de notre séjour et des folies que nous allons immanquablement commettre !
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Elle prononce cette dernière phrase en se mordillant légèrement la lèvre inférieure. Qu’elle est craquante ! Elle quitte la chambre.
Pauline me sourit, visiblement ravie, elle vient m’embrasser à pleine bouche. Nos langues se mélangent fougueusement, mon épouse bave pendant que j’aspire puissamment sa langue agile dans ma bouche gourmande.
Notre baiser passionné est interrompu par l’ouverture de la porte de notre chambre. C’est le préposé aux bagages, il est entré sans frapper, nous sommes un peu surpris, mais nous comprenons qu’Adélaïde a laissé activé le message "visites bienvenues" sur notre porte. Dès que la personne est ressortie, Pauline se rapproche de moi et me susurre :
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Pauline feule, je sens que cette présentation de l’hôtel l’a émoustillée, tout comme moi. Toutefois, avant de passer aux actes, j’active le panneau "Ne pas déranger", verrouille la porte, mets le plafond en mode miroir, fais en sorte que l’on ne puisse pas nous voir depuis le couloir, mais je nous laisse la possibilité de voir les gens qui le fréquente.
Ma belle se fait langoureuse, elle détache ses longs cheveux, revient m’embrasser, passe ses doigts longs et fins sur ma chemise, pendant que je soupèse ses seins bien fermes au travers du tissu.
Bientôt mon épouse fait glisser sa robe à ses pieds, elle ne porte alors que ses sous-
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Je ne résiste pas, je retire mon pantalon, mon caleçon et je viens sur elle, la prendre comme elle vient de me le demander. Je m’insère dans son vagin avec volupté, prenant possession de ce fourreau si agréable pour mon sexe gourmand. Je dégrafe le soutien-
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Je vois qu’elle nous mate dans le miroir au plafond qui fait face à son regard, je sens que ce gadget l’excite.
Nous faisons ainsi l’amour profondément, passionnément pendant un long moment. Nous sommes interrompus par un orgasme profond et simultané ; nous continuons à nous câliner. Nous sommes bien.
J’aperçois un couple très dénudé traverser le couloir, plaquant chacun une main sur le postérieur de l’autre.
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L’après-
Nous hésitons sur la tenue à adopter. Alors que je pensais ressortir vêtu comme je l’étais en arrivant, Pauline me surprend en optant pour une magnifique lingerie, sans rien par-
Nous sommes un peu gênés par nos tenues inhabituelles dans un lieu public, mais nous nous détendons lorsque nous atteignons le lobby de l’hôtel où nous voyons d’autres personnes très peu vêtues, certaines complètement nues, quelques-
En passant devant l’accueil, Adélaïde nous sourit.
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Pauline et moi nous nous interrogeons du regard et nous nous opinons.
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Nous nous rendons ensuite au bar.
Plusieurs couples et groupes de personnes sont attablés, la plupart en petite tenue, voire complètement dénudés. Une curieuse odeur titille nos narines, elle semble mêler des parfums d’ambiance avec des effluves charnels.
Pauline et moi prenons place autour d’une petite table, un peu à l’écart. Nous découvrons la carte des cocktails : Mojito de femme fontaine ; Gin tonic boueux ; Pisco sour séminal ; Sex on the beach sanguinolent … Bientôt un jeune et beau serveur approche.
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Dès que le serveur a tourné les talons, Pauline et moi nous nous regardons comme deux gamins pris en faute. Ses yeux pétillent, je la sens excitée par cette carte de cocktails aux ingrédients déviants. Elle goûtera en effet une margarita à l’urine, tandis que je dégusterai un bloody mary composé en partie de jus de règles ! Mon épouse me souffle :
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Mon sexe gonfle. Elle me demande :
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Nos émois sont distraits par un couple qui s’approche de nous, en nous souriant. Le garçon laisse ostensiblement une main sur les fesses de sa compagne qui n’est vêtue que d’une lingerie de dentelle recouverte d’une fine nuisette transparente.
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Nous nous présentons également. Ils s’installent, ils ont déjà leurs boissons.
Ils sont plus jeunes que nous, ils ont peut-
Le serveur apporte nos consommations et nous trinquons tous les quatre.
Nous papotons. Lydie en est déjà à son troisième séjour au Brun & Jaune, mais pour Yvan c’est une première. Tient, elle est déjà venue avec un autre compagnon, me dis-
Au fil de la conversation, Lydie écarte les cuisses de manière de plus en plus visible. Evidemment, Pauline et moi la reluquons, c’est ce qu’elle recherche. Je remarque alors un fil qui sort de son string. Elle doit avoir ses règles en ce moment !
Toutefois nos échanges ne vont pas plus loin – pour l’instant du moins. Lydie et Yvan quittent le bar.
Nous rejoignons également notre chambre pour passer une tenue adaptée au restaurant gastronomique. Pauline revêt une belle robe noire, habillée, avec un petit col blanc qui lui confère un look faussement sage, tirant presque sur une tenue de religieuse, que je trouve particulièrement sexy.
Au restaurant, une hôtesse, vêtue de manière classe et sensuelle, nous installe à notre table. Je jette un œil aux convives. Tous portent des vêtements qui couvrent certes leurs parties intimes, comme le règlement du restaurant l’impose, mais leurs tenues sont néanmoins plutôt osées.
Le maître d’hôtel nous présente la carte. A l’instar de celle du bar, les mets concoctés dans cet établissement sur des plus originaux, en voici quelques exemples :
Velouté de potiMARRON
Cannelloni du Chef en Béchamel masculine
Lapin en civet féminin
…
Après avoir lu le menu, Pauline me jette un regard très coquin, je la sens terriblement excitée. Je le suis moi aussi, mon caleçon devient étroit.
Nous commandons d’un ton presque naturel :
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Mon épouse me fait du pied. Cela n’arrange pas l’état d’étroitesse de mon pantalon…
Pour tenter de me distraire un peu dans ce lieu où il semble obligatoire de se maîtriser, je regarde nos voisins. Toutes les femmes sont habillées de manière sexy, même si leurs tenues restent décentes. En observant un peu mieux, je vois des mains baladeuses qui se glissent sous les jupes. A d’autres tables j’entends des bruits de déglutition exagérés. Si cette salle de restaurant peut sembler normale au premier coup d’œil, elle ne l’est pas tout à fait en réalité.
Nous sommes servis assez rapidement. Pauline a elle aussi parfaitement compris le manège des convives, elle se met à manger en mâchant bruyamment, elle fait exprès de laisser quelques gouttes de sauce couler à la commissure de ses lèvres, pour montrer ostensiblement sa langue qui vient lécher ses babines. Je la regarde amoureusement, elle est à croquer et me fait bander bien dur, que je suis à l’étroit dans mon caleçon !
Entre deux plats, mon épouse attrape ma main par-
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Quelle allumeuse fait-
C’est un vrai soulagement pour moi lorsque nous terminons nos desserts, heureusement Pauline refuse l’infusion que nous propose la serveuse, nous pouvons quitter les lieux. Mon pantalon est visiblement déformé par mon érection, mais je juge que ce n’est pas grave dans ce lieu.
A peine sommes-
Les occupants, de la première chambre que nous longeons ont activé la vue sur l’intérieur et nous découvrons qu’ils ne dorment pas … Un homme prend une femme en levrette, elle est à genoux sur le sol, ils nous tournent le dos. Pauline et moi avons le même réflexe, nous regardons le petit écran à côté de la porte, il indique la mention "Visites bienvenues". Un regard complice nous suffit, Pauline ouvre la porte, nous entrons.
Le couple n’est pas surpris, le garçon se tourne et nous reconnaissons Yvan qui continue de besogner Lydie en nous accueillant :
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Quels pervers font-
Je suppose que cette dernière sera prête à me prodiguer une bonne pipe, aussi je libère enfin mon sexe de mes vêtements et le présente bien tendu devant sa bouche. J’avais bien sondé l’esprit de Lydie. Elle plonge littéralement sur ma bite et m’avale profondément. Elle fait quelque va-
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Waouh me dis-
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Pauline n’est pas très portée sur la violence dans le sexe, je ne suis donc pas vraiment habitué à maltraiter ma partenaire et cela ne me manque habituellement pas. Toutefois la jolie Lydie, très sexy avec ses quelques sous-
Quelques secondes après je vois réapparaître Pauline, souriante sous un masque rouge de jus de règles, de bave, de sueur et de cyprine. Elle embrasse Yvan, qui semble se régaler, quel spectacle !
Etant parvenu à ne pas jouir dans la bouche prodigieuse de Lydie, j’ai toujours une furieuse envie de baiser. Malgré son orgasme impressionnant, la jeune fille semble déjà disposée à baiser. Elle me regarde intensément et de sa voix toujours implorante elle me demande :
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Je souris, quelle incroyable vicieuse !
Je pousse presque Yvan et Pauline qui s’embrassent et se pelotent toujours. Voir ma femme aimée se livrer à un quasi inconnu ne me rend absolument pas jaloux, d’autant que je sais que je vais bien m’amuser avec la compagne du probable amant de mon épouse, tout en matant ce qu’ils font.
Lydie tend sa croupe vers mon dard.
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Je vois de grandes marques rouges qui strient ses fesses, je suppose que son compagnon lui a déjà asséné quelques bonnes fessées et je m’y mets également. Je frappe fort, avec une pointe de crainte d’y être aller trop vivement, mais Lydie me rassure immédiatement :
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Quelques grandes claques plus tard, je présente mon sexe dur sur son petit trou maculé de restes de règles comme tout son entrecuisse. Je vois au passage que les lèvres de sa chatte sont ornées de plusieurs anneaux. Je pousse fortement, Lydie grogne un peu, mais elle m’encourage :
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Je force et entre en la faisant crier. Je sens immédiatement que son boyau est occupé par sa merde, ma queue s’embourbe. Je n’en tiens pas compte et pilonne sauvagement son anus. Ayant bien compris son goût pour la violence, j’attrape ses cheveux mi-
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Yvan se fait maintenant sucer par Pauline, juste à côté de moi, je suis sûr qu’elle se régale des jus de règles de Lydie qui doivent polluer la belle bite. Peut-
Cessant de gifler ma partenaire, j’attrape un de ses nichons de ma main libre et étire le bout tant que je peux. Je cherche à lui faire mal. Elle miaule, exprimant autant la douleur que le plaisir :
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Je fourrage son cul merdeux et je la fais jouir. Elle hurle.
Je suis bientôt prêt à éjaculer, je me retiens un instant et lance à l’attention de Pauline :
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Je sors du cul de Lydie. Elle évacue un monceau de merde. Mon épouse m’a entendu, elle quitte le sexe d’Yvan et se précipite vers ma bite tartinée de la merde chaude et puante de la jolie brune. Elle m’embouche avec une réelle gourmandise. Ses yeux pétillent et son regard m’achève. Je jute de bonnes giclées dans sa bouche et sur son visage déjà souillé.
Lydie et Yvan nous regardent. Elle nous interpelle :
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Les deux filles me sucent alors à tour de rôle. Je débande à peine. Je lance un regard entendu à Yvan :
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Il vient également se faire sucer.
Ma queue n’est pas encore propre que Pauline, complètement excitée, se saisit de la merde de Lydie qui jonche le sol et commence à s’en badigeonner le visage, elle en goûte :
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Mon épouse est une gourmande insatiable de saleté, elle adore être souillée et se vautrer dans les plus abjectes substances. Elle en quémande toujours plus :
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Je parviens à débander suffisamment pour la satisfaire d’un puissant jet doré qui atterrit en plein sur son visage. Elle est rapidement trempée, je vise le haut de sa tête, je sais qu’elle adore que sa chevelure dégouline de pisse parfumée.
Yvan met plus de temps à libérer sa vessie et il prend mon relais. Pauline gémit d’aise. Elle est encore habillée de sa robe sexy qui est à essorer.
Lydie sourit, elle embrasse sa compagne et goutte également à l’urine et la merde qui polluent sa bouche. Elle se gifle elle-
Pendant ce temps Yvan utilise l’écran tactile de sa chambre pour commander du Champagne. Bientôt, une jolie serveuse en tenue de soubrette entre :
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Devant nos mines réjouies dans la belle chambre à l’état déplorable de saleté, elle enchaîne :
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Nous prenons un peu de repos en buvant. Je vois que Pauline est particulièrement excitée, il est vrai qu’elle n’a pas encore été baisée depuis cet après-
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Quelle entrée en matière !
Le gars n’a pas le temps de prendre la coupe de Champagne que je lui tends, Pauline l’accapare :
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Joignant les gestes à la parole, elle se positionne accroupie sur le lit, la robe détrempée totalement relevée qui offre une vue imprenable sur sa croupe et son entrecuisse ruisselant.
Je sais qu’un mari normal serait vert de jalousie, fou de rage, mais pas moi. Je laisse Yvan et l’inconnu s’approcher de ma femme et se mettre à la prendre en double pénétration sans d’autres préliminaires que ses encourageants obscènes :
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Je profite un moment de la scène. J’aime voir ma très belle épouse se faire baiser sauvagement pendant qu’elle porte encore sa jolie robe au petit col blanc souillé, en proférant les pires insanités. Je rebande fermement.
Pauline ne semble pas encore pleinement satisfaite, elle veut aussi l’attention de Lydie :
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Lydie se prête au jeu, elle s’installe face à ma chère et tendre, cuisses outrageusement ouvertes et offre sa moule ensanglantée par ses règles à la bouche avide de sécrétions humaines qui vient la laper comme une affamée.
Si ce spectacle m’excite grandement, je me retrouve un peu inactif, alors que mon sexe est au garde-
Notre partouze dure un long moment. Après qu’Yvan a jouit, il quitte la chatte de ma femme et se repose un moment. Pauline m’appelle alors, pour qu’elle soit toujours prise par deux bites, elle exige que je la prenne par le cul, où se trouve déjà le prostitué, elle reçoit donc nos deux membres simultanément dans son fondement. Nous avons déjà pratiqué ce type de pénétration hors normes, mais cela demande toujours un peu temps pour faire coulisser correctement les deux membres dans ce conduit. Bientôt nous menons ainsi mon épouse vers un énième orgasme, qui est loin d’être le dernier.
Je pense que nous ne quittons la chambre de Lydie et Yvan qu’en milieu de nuit. Pauline titube après avoir été tellement baisée. Je constate que l’état du couloir de l’hôtel est déplorable, des traces de merde, des flaques de pisse et de vomi jonchent le sol. Des orgies sont en cours dans plusieurs chambres. Si nous nous sentons trop épuisés pour y prendre part, quelques images se gravent dans nos esprits pervers et maintiennent une flamme d’excitation.
Tant par vice que par commodité, nous décidons de nous coucher sans nous laver. Pauline s’endort vite, dans mes bras.
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Elle se réveille avant moi et décide de m’éveiller de la plus douce des manières, en entreprenant une lente et profonde fellation. Que du bonheur ! Bien que tout à fait sorti de ma torpeur nocturne, je la laisse faire tranquillement, je profite de ses aptitudes buccales un long moment. Je sais qu’elle sait que je suis éveillé et que je profite. Au bout d’un moment, elle décide que le plaisir a assez duré, elle me susurre :
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Je m’exécute en dirigeant ma bouche vers son entrecuisse pour lui prodiguer un cunnilingus amoureux. Laper sa chatte souillée exhalant de forts relents de mouille, de pisse, de merde, de sueur, de foutre et d’autres substances corporelles dès le réveil est un exercice un peu osé, mais que j’aime. Je lui offre son premier orgasme de la journée.
Bien éveillés, nous allons nous laver. Cela prend du temps, nous nous nettoyons mutuellement et bien que cela nous conduise à des gestes intimes nous n’engageons pas de nouveaux ébats.
En sortant de la chambre, je remarque que les espaces communs de l’hôtel ont été impeccablement nettoyés, toutes les extravagances de la veille ont été épongées.
Nous prenons un petit-
Après ce repas, Pauline et moi faisons une balade dans l’immense parc qui entoure l’hôtel. Il offre de belles vues sur les montagnes environnantes. Nous sommes ravis de prendre le grand air pur après notre soirée de débauche dans l’air vicié. Au détour d’un bosquet nous remarquons un trio coquin en pleine partie de baise. Deux femmes s’occupent d’un jeune homme, l’une d’elle l’asperge d’urine, ils semblent prendre un vrai plaisir. Ils ne se cachent absolument pas, nous sommes encore dans l’enceinte du Brun & Jaune et toutes les excentricités sexuelles sont permises. L’une des jeunes filles nous interpelle, mais nous déclinons son invitation, nous sommes bien à penser à autre chose qu’au sexe pour l’instant.
C’est durant l’après-
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Quels pervers font-
Elle enchaîne :
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Nos mines doivent exprimer une certaine surprise, nous mettons un instant à répondre :
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Elle tourne les talons sans nous laisser l’occasion de retourner les présentations.
Pauline et moi sommes très intrigués. Rencontrer dans cet endroit dédié aux plaisirs une fille enceinte accompagnée de ses parents et de sa sœur qui semblent avoir des intentions sexuelles avec nous dépasse ce que nous envisagions, mais nous sommes ravis de cette surprise qui pique notre curiosité.
Nous sommes à l’heure dite au rendez-
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Elle désigne un homme d’une bonne cinquantaine d’années, svelte, les cheveux poivre et sel, une courte barbe assortie, une jolie jeune fille blonde comme sa mère, effectivement enceinte jusqu’aux yeux, qui porte une robe de grossesse très fine, plutôt transparente, qui laisse parfaitement deviner ses formes plantureuses et ses tétons gonflés, et une autre jeune fille aux cheveux un peu plus foncés, plus petite qui nous sourit de ses belles dents blanches. Le côté hors normes de cette rencontre augmente encore à la réponse de la fille ainée, qui n’attend pas de connaître nos prénoms :
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Nous comprenons que nous avons à faire à une vraie famille de pervers patentés. Un peu surpris, Pauline et moi acquiesçons nous nous présentons à notre tour. Je me permets de questionner Freya sur la date de l’accouchement, là aussi sa réponse est déroutante :
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Sur quelle famille sommes-
Catherine reprend :
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Je suis un peu choqué, même si nous sommes habitués à fréquenter des lieux libertins, le ton et le sans-
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Nous sommes à peine surpris d’y trouver quatre jeunes hommes qui attendent sagement, nus comme des vers.
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Freya ajoute :
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Pour illustrer ses intentions, elle tire sur le haut de sa robe, libère ses grosses miches et se les claque très fortement, son regard lance des éclairs de folie. Je constate que ses gros seins sont marqués de quelques bleus, elle a dû se les faire martyriser il y a peu, à moins qu’elle ne se soit fait ça elle-
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Pour l’instant j’ai envie de sa chatte de femelle enceinte, je n’écoute donc pas sa demande, je baisse mon pantalon et mon caleçon et dirige ma queue raide dans l’antre trempé et gourmand de la jeune chienne en chaleur. Elle se rebiffe un peu :
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Préférant rester, pour l’instant dans sa chatte, je ne la satisfais pas moi-
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Le mec s’approche. Je quitte un instant le sexe de Freya, je m’allonge sur le dos et l’invite à venir sur moi s’empaler la chatte sur ma tige. L’opération n’est pas simple, elle est très gênée par son ventre énorme, mais elle parvient à s’introduire. Après quelques va-
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Je la gifle rudement. Je fourre une main dans sa bouche et introduis mes doigts profondément dans sa gorge :
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Elle émet quelques borborygmes. Je retire ma main et la gifle à nouveau :
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Je remets ma main encore plus violemment dans sa gueule, en écartelant sa mâchoire :
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Je m’y emploie, mais si Freya libère d’impressionnantes quantités de bave qui trempent mon visage, si des larmes coulent abondement et que de la morve sort de son nez, elle ne vomit pas. Vraiment, dommage.
Je me lasse un peu et décide de changer de jeu. Je demande au gars de changer de trou et de me rejoindre dans le sexe de Freya. S’étant tout juste retiré du cul il nous informe :
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Le mec obéit, il se faufile à mes côtés dans le sexe distendu de la jeune fille enceinte. Bientôt nous la bourrons en cadence, elle feule de plaisir et jouit au bout de quelques minutes.
Si la proximité du gros ventre et la longue chevelure de Freya m’empêchent de voir ce qui se passe dans le reste de la pièce, j’entends que les autres occupants se livrent eux aussi à une orgie. De plus je profite d’odeurs infâmes, qui indiquent qu’ils jouent avec de la merde.
Je me concentre à nouveau sur Freya :
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Elle ponctue sa provocation en me crachant au visage, puis elle lèche bruyamment son mollard et me sourit :
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Je la gifle. Elle sourit encore.
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J’entre à mon tour. Le passage est extrêmement étroit entre la queue du prostitué et la paroi anale, l’intromission est compliquée, mais Freya m’encourage :
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Enfin j’y suis. Il nous faut quelques allers retours pour trouver notre rythme de pistonnage et faire jouir du cul la petite salope.
Je demande au mec :
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Cela oblige Freya à se cambrer et à libérer un peu d’espace entre ses grosses mamelles gonflées et bleuies et mon torse, je peux ainsi en profiter pendant qu’elle souffre dans une position peu confortable, toujours embrochée par deux matraques raides. Je pince et étire fortement ses tétons, elle crie :
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J’assène de grandes claques à ses nichons, je la frappe assez méchamment, je pense que ses bleus vont encore s’étendre. Je ne suis habituellement pas violent avec les femmes, mais ses provocations m’incitent à lui faire mal :
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Elle va jusqu’à se gifler très fort elle-
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Sa demande tombe bien, je sens depuis plusieurs minutes une odeur puissante et enivrante de caca nauséabond dans la chambre, je suis sûr que les autres protagonistes de cette partouze hors normes se vautrent dans la fange et j’ai envie de les rejoindre accompagné de Freya, avant que je ne jouisse dans son cul rétréci par la queue du prostitué.
On sort de son conduit, qui libère à nouveau un peu de merde. Je la fais pivoter sur le dos. Je me relève et je l’observe un instant, quel spectacle m’offre-
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Pour la satisfaire, et me satisfaire également, je l’attrape par sa tignasse et la traîne à quatre pattes vers les autres convives qui baisent à même le sol. Ma femme Pauline se fait sauvagement embrocher par Henry qui doit l’enculer je pense, et par l’un des prostitués qui doit être dans sa chatte, tandis qu’elle prend en gorge profonde la grosse bite d’un autre prostitué. Elle est bien embrochée comme elle aime.
Pendant ce temps Catherine se fait ramoner par la bite du dernier des prostitués, qui la prend probablement par le cul. Elle fait face à sa fille Rati qui est à quatre pattes. La mère et la fille se roulent des pelles baveuses, qu’elles agrémentent de gifles et de crachats. Elles se pincent également les tétons et s’insultent comme des poissonnières :
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Catherine enchaîne à l’attention de son baiseur :
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Je fais contourner le couple de lesbiennes incestueuses à Freya en la tenant toujours empoignée par ses longs cheveux blonds, pour nous placer derrière sa sœur. Je découvre avec joie que cette dernière porte une culotte blanche assez classique, mais totalement déformée d’une énorme bosse. La garce a chié dans sa culotte alors qu’elle roulait des pelles baveuses à sa maman !
Cette vision m’excite, mais elle fait également de l’effet à Freya :
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Elle n’attend pas ma réponse et se lance vers l’entrecuisse sale de Rati, oubliant que je la tiens toujours par sa tignasse, ce qui l’arrête brutalement dans son entreprise :
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Je lui assène une bonne baffe :
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Elle hésite une seconde :
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La jeune fille enceinte jusqu’aux yeux se précipite vers le derrière de Rati, écarte doucement la culotte maculée de caca gras et plaque son visage contre la merde qui tombe par petits tas en émettant un son répugnant. Quel spectacle ! Freya prend en bouche une bonne quantité d’excrément. Je la vois mâcher et avaler cette matière fétide avant de retourner à la source se goinfrer de ces immondices. Rati informe sa maman :
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L’excitation prend le contrôle de la mère. Elle interrompt brutalement la sodomie que lui donne le prostitué, de la merde s’échappe alors de son propre cul, et elle se précipite rejoindre sa fille ainée qui se gave de la merde de sa fille cadette ! Quelle famille de pervers ! Je bande comme un âne !
Après avoir pris une grosse bouchée de caca, Catherine presse la culotte de sa fille et effectue des mouvements destinés à faire pénétrer la merde bien profondément dans tout l’entrecuisses de Rati et sans doute également dans sa chatte. La bouche de la jeune salope n’est plus occupée, elle voit avec envie les morceaux de merde qui jonchent le sol et que sa mère vient de pondre, aidée par la bite du prostitué, elle s’avance vers cette matière infâme qu’elle semble adorer également. Comme elle se déplace à quatre pattes, sa mère et sa sœur suivent le mouvement pour rester au plus près de la source cacateuse qu’elles convoitent. Bientôt les trois femelles sales se rejoignent pour se vautrer dans leurs excréments, sans aucune retenue !
Au bout de quelques minutes elles en veulent encore davantage, Rati se tourne vers le prostitué et lui ordonne :
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Le garçon s’exécute avec une célérité assez incroyable. En quelques secondes il pond un véritable serpent de merde qui choit sur le ventre déformé de Freya. Sa mère et sa sœur en prennent en main, elles badigeonnent leur corps et leur magnifique chevelure de cette substance taboue. Chacune bave abondamment ! Ça pue délicieusement.
Je décide d’ajouter mon obole. Je m’accroupis au-
A force de manger de la merde, je vois Freya pâlir. Bientôt elle est prise d’un spasme assez impressionnant eu égard à son état de grossesse avancée et elle vomit un énorme flot de liquide grumeleux, brun, ignoble, fétide et délicieux qui sort de sa bouche tel un flot torrentiel ! Cette nouvelle immondice met les deux autres femmes dans un état d’excitation proche de l’hystérie. Elles se jettent littéralement sur Freya et tentent de positionner leur bouche grande ouverte au plus prêt du jet impétueux. Leur visage se masque immédiatement de cette nouvelle matière abjecte qui les ravit. Elles se vautrent dans l’ordure, se portent des coups violents et branlent mutuellement et vigoureusement leur sexe jusqu’à se donner de foudroyants orgasmes en gueulant leur joie d’être des salopes dégueulasses qui assouvissent pleinement leur vice.
Par-
Le mari de Catherine se dirige vers les femelles de sa famille qui se vautrent toujours dans l’immondice. Il profite d’avoir un peu débandé pour pisser généreusement sur le groupe qui apprécie cette nouvelle souillure. A peine a-
Pauline approche de moi. Son corps porte quelques marques de coups. Elle me sourit et m’embrasse férocement et amoureusement à pleine bouche :
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Je laisse donc Pauline s’allonger pour placer son visage au plus près des saletés avec lesquelles jouent Rati, Freya, Catherine et Henry et je me place derrière elle pour lui baiser la chatte vigoureusement. Je vois son anus encore dilaté taché de merde et suinter le sperme. Je la pistonne avec encore plus de vigueur.
Je vois qu’elle se mêle aux jeux dégueulasses de la famille de pervers, elle prend dans sa jolie bouche toutes les substances les plus infâmes qui ont été répandues là durant cette incroyable partouze : de la merde, de la pisse, de la salive, de la gerbe ... Je ne résiste pas très longtemps à tant de perversité, j’éjacule intensément au tréfond de son sexe en râlant de plaisir.
Elle quitte un moment les miasmes qu’elle affectionne tant pour goûter à mon sexe en décompression, elle semble apprécier les traces de sperme et de merde qui polluent mon membre, elle s’en délecte visiblement, puis elle retourne se vautrer dans l’ordure profonde. L’odeur dans la chambre devient atroce, mais c’est tellement bon.
Bientôt, Catherine quémande de nouvelles pénétrations, deux prostitués se précipitent pour la satisfaire. A sa demande ils lui écartèlent le cul simultanément avec leurs deux gros chibres. Elle gueule son plaisir d’être une telle salope patentée !
Bientôt sa fille Rati demande aussi à être baisée. Ayant repris une belle vigueur malgré ma récente éjaculation grâce aux pratiques terriblement excitantes qui se déroulent sous mes yeux, je lui embroche copieusement la chatte, qui est détrempée. A chaque mouvement des bruits humides de « floc, floc » se font entendre :
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Sa chatte est grasse de caca et gluante de mouille, de bave et de foutre c’est un délice. Heureusement qu’elle ne tarde pas à jouir car je n’aurais pas pu résister longtemps.
Tout en se faisant violemment écarteler le cul par les deux prostitués, Catherine m’interpelle :
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Je crains un instant de jouir avant de parvenir à atteindre sa bouche en me frayant difficilement un passage parmi les baiseurs, mais j’y arrive et pilonne sa gorge sans aucune retenue. Je semble avoir perdu le peu d’inhibition que je pouvais avoir et je la maltraite tant qu’elle dégobille le contenu infâme de son estomac ! Ma bite et mes cuisses sont couvertes de cette ignoble matière puante, adorée et abjecte. Tout en maintenant méchamment ma bite dans profondément ancrée dans sa gorge, je racle du vomi et le plaque dans ses longs cheveux blonds déjà souillés de merde et de gerbe. Ce nouvel acte, d’une incroyable perversité, me faire jouir une nouvelle fois. En me retirant je crains d’avoir été trop loin, trop fort, mais je suis rassuré par le sourire dont Catherine ma gratifie, elle me souffle même :
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C’est décidément une femme bien spéciale.
Je suis épuisé et bientôt les autres convives le sont également. Nous nous quittons assez vite, Pauline et moi regagnons notre chambre. Nous voyons plusieurs couples et groupes baiser dans les chambres aux parois transparentes ou même dans le couloir. Plusieurs se vautrent dans l’ordure. Certains espaces communs de l’hôtel sont vraiment dans un état de saleté avancé. En temps normal nous les aurions rejoints, mais nous avons eu notre compte pour ce jour. Nous passons beaucoup de temps à nous laver et nous nous endormons comme des masses dès que nous avons posé la tête sur l’oreiller.
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Nous nous levons assez tard. Nous nous faisons apporter le petit-
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Elle ne me laisse pas le temps de réagir et elle s’empare de l’écran de commande.
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Malgré nos excès de la veille, je sens une pointe d’érection en regardant ma belle épouse faire des allusions aussi perverses.
Quelques secondes plus tard elle m’annonce avec son sourire coquin :
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Nous consultons le catalogue des personnes proposées et disponibles. Pauline flashe pour un beau jeunot blond et un grand brun trapu un peu plus mature, tandis que je repère une rousse aux yeux bleus, à la peau très claire, avec quelques taches de rousseur. Sa fiche indique qu’elle pratique toutes sortes de vices, elle devrait parfaitement nous convenir.
Nous choisissons les tenues de nos serviteurs et demandons à ce qu’ils soient prêts à donner leurs fluides corporels durant notre soirée.
Nos réservations nous donnent une pointe d’excitation, nous nous embrassons amoureusement et passionnément pendant un moment, mais nous ne poussons pas plus loin nos ébats plus loin. Nous convenons qu’une balade en plein air nous fera du bien.
En traversant l’hôtel pour sortir, nous sommes presque surpris par la propreté des lieux qui étaient si sales durant la nuit, l’équipe de nettoyage est vraiment efficace. Nous passons devant la suite de Catherine et sa famille, ils ont laissé la paroi en mode transparent, ils semblent se lever tout doucement et nous constatons qu’ils n’ont pas pris la peine de faire faire le ménage, ni même de se laver, ce sont vraiment de gros cochons pervers.
Nous revenons à l’hôtel à l’heure du déjeuner et décidons de tester le buffet. Sachant que ce choix nous mènerait sans doute à de nouveaux ébats, nous changeons de tenue, troquant nos vêtements de sport pour des vêtements plus adaptés : un pantalon et une chemise de lin pour moi et une jupe d’été et un chemisier plutôt transparent pour Pauline. Une fois de plus je la trouve à croquer lorsqu’elle me donne le bras, perchée sur ses chaussures à hauts talons, les seins fièrement dressés dans son soutien-
Lorsque nous entrons dans la salle de buffet il est déjà plus de treize heures et une vingtaine de convives sont présents dans la grande salle. Une majorité d’entre eux sont déjà engagés dans des ébats, qui forment plusieurs partouzes, tandis que quelques personnes déjeunent presque normalement, en matant toutefois le spectacle. L’espace conséquent entre les tables laisse la possibilité à chacun de manger ou de baiser selon son choix sans que les convives ne se gênent. Nous sommes également surpris par l’odeur qui règne dans la pièce, elle mêle nourriture, stupre et excréments. Vraiment excitant
Un hôte nous accueille :
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Nous le lui donnons, il enchaîne :
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Il nous indique la table en question, puis nous oriente vers le buffet :
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Nous nous approchons du buffet munis de nos plateaux et couverts. Je suis une jeune fille brune vêtue d’une lingerie très sexy, juchée sur ses escarpins. Je constate qu’elle ne prend aucune précaution pour emplir son assiette, elle se sert directement avec ses doigts. En nous entendant derrière elle, elle se retourne, lèche ses doigts :
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Je constate que plein de nourriture jonche son menton et le contour de sa bouche, une petite crevette est même collée sur le haut d’un de ses seins. Je sens mon sexe se gonfler doucement avec cette vision qui serait totalement surréaliste dans la plupart des restaurants, et qui semble toute naturelle ici.
Arrivée à la seconde partie du buffet, elle empoigne des gâteaux marrons dont l’ingrédient principal fait peu de doute, là aussi elle se lèche les doigts après avoir déposé la nourriture dans son plateau. Je la trouve ravissante de vice, je sens mon érection se renforcer.
Pauline et moi équilibrons notre repas avec des plats classiques et quelques spécialités. Nous nous installons à notre table. Dans les environs immédiats, les autres convives mangent plutôt normalement, même si certains sont très dévêtus, qu’une jeune femme brune masturbe son compagnon tout en mangeant et que la plupart des convives mangent salement, souvent avec leurs doigts en salissant volontairement leurs vêtements.
Nous déjeunons en nous alignant sur la pratique de manger avec nos doigts, ce qui n’est pas très évident lorsque nous ne sommes pas habitués. Très vite Pauline salit son joli chemisier, d’abord avec de la sauce tomate, puis avec une sorte de bouillon qui le rend encore plus translucide. Ce comportement déviant me fait de l’effet que je ne cherche nullement à contrôler :
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Quelques voisins se retournent et nous jettent un coup d’œil. En réponse, Pauline rote de manière très vulgaire et ajoute de manière également très audible :
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Nous goûtons aux spécialités : du "haggis fourré au naturel" et des "légumes farcis aux sucs humains", en nous tachant largement avec ces plats si particuliers.
Le couple d’à côté, celui où la femme masturbait son compagnon, s’approche tout sourire, portant des cafés :
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Sa compagne ajoute :
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Tout en disant cela, elle désigne ses vêtements salis de traces diverses dont beaucoup de brunes, ses tétons dardent sous son mini-
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Notre invitée a entendu les propos de mon épouse, elle sourit toujours béatement, elle se bouche une narine d’un doigt, souffle par le nez et fait sortir une grosse goutte de morve par la narine restée ouverte, elle pendouille là. Elle sort sa langue pour la capter. Il ne m’en faut pas davantage, je défais ma braguette, sors ma verge raide, attrape la nana par les épaules, place ma queue à l’entrée de sa grotte sale et je la fourre sauvagement en lui crachant au visage ! Je la saillis là, sur la table, dans la salle de restaurant. Quelques convives nous observent, mais ça ne choque personne. La fille ronronne d’aise :
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En allant l’embrasser à pleine bouche, je lape la coulée de morve qui dégouline toujours de son nez. Avec ma langue je fais pénétrer cette substance dans la bouche de la fille. Nous la partageons en nous roulant une pelle.
Je nique cette jeune femme un moment. Je vois que Pauline a pris profondément en bouche le sexe de son compagnon, elle semble d’ailleurs l’apprécier :
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Ma partenaire jouit rapidement en criant son plaisir dans la salle de restaurant. Ça ne choque toujours personne, il faut dire que d’autres tables nous imitent. Je me vide en elle peu après, tandis que Pauline se fait également baiser. Elle jouit un peu plus tard, le mec jute en elle.
Nous quittons ce jeune couple sans même avoir échangé nos prénoms.
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Nous passons l’après-
La soirée arrive. Comme nous souhaitons rester tous les six, nous activons le panneau "Ne pas déranger" à la porte de notre chambre. Nos prostitués toquent donc à notre porte.
Pauline ouvre et fait entrer la délicieuse Adélaïde, dont le physique avantageux est parfaitement mis en valeur par son très joli tailleur couleur crème, ses bas blancs aux motifs sophistiqués et ses hauts escarpins. Elle est suivie de la ravissante Agathe, à la chevelure rousse flamboyante, tout sourire dans sa nuisette bleue-
Nous avons prévu de faire un peu connaissance, en prenant du Champagne. Je sers les coupes et nous trinquons à notre découverte de ce formidable établissement qu’est le Brun & Jaune.
Très vite Pauline s’approche de Quentin, elle passe sa main sur le torse musclé du garçon, qui lui sourit. Mon épouse est vêtue d’un pantalon blanc immaculé, très ajusté et d’un chemisier assorti, plutôt transparent.
J’engage la conversation avec Adélaïde et Agathe. Elles me déclarent leur joie de travailler au Brun & Jaune, elles estiment que ce job correspond tout à fait à leur esprit pervers, elles se disent ravies de pouvoir allier gagne-
Très vite la jolie Agathe laisse volontairement couler du Champagne sur le haut de sa nuisette, naturellement transparente. Le liquide plaque le tissu sur sa belle poitrine et met très en valeur son téton dressé. Elle sourit. Adélaïde se penche et titille l’appendice mammaire de sa belle petite langue rose. Qu’elles sont mignonnes. Malgré tous les orgasmes que j’ai connus ces derniers jours, je sens une forte érection me prendre au tréfond de mon bas-
Adélaïde se rend compte de mon état, elle libère mon sexe qui jaillit tel un diable de sa boîte, et elle se penche en avant et le prend bien profondément dans sa bouche chaude et humide, c’est un régal. Lorsqu’elle se retire elle me dit, souriante :
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Agathe, également tout sourire, donne une bonne claque au fessier d’Adélaïde, elle est en très bonne position, juste derrière elle. Adélaïde gémit :
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Elle poursuit :
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Agathe s’exécute, elle trousse la robe, découvrant les beaux lobes d’Adélaïde, et assène de régulières et rudes claques à ce postérieur parfaitement galbé et bien exposé aux coups. Excité par cette scène, j’introduis ma verge dans la bouche gourmande de la jeune blondinette et la fait coulisser loin dans sa gorge humide et accueillante.
A côté de nous, je vois que Pauline s’amuse avec les garçons, elle lèche la raie culière de Quentin, tandis que Renaud baisse le pantalon blanc qui la moulait de si près. En le voyant faire, je constate qu’une tâche brune macule l’entre-
Je crains de jouir trop vite à ce rythme. Aussi, je quitte la bouche baveuse d’Adélaïde. Elle est toujours fessée rudement, mais elle encaisse parfaitement :
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Tout en me souriant elle ajoute à mon intention :
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Un fil de bave coule de sa lèvre inférieure. Comment résister à un tel appel ? Je n’y parviens pas, je n’essaye même pas. J’attrape cette pute par ses longs cheveux blonds, tire suffisamment fort pour qu’elle se redresse, presque pendue par sa tignasse. Je lui crache au visage et je lui envoie une grosse gifle en aller-
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Qu’elle pétasse !
Derrière elle, Agathe continue de lui administrer une bonne fessée. J’attrape le visage d’Adélaïde dans ma main et serre assez fort pour que ses traits se déforment. Je lui mollarde à nouveau dessus :
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Je la relâche et tire violemment sur le haut de son tailleur, qui se déchire complètement. J’arrache alors son soutien-
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J’invite Agathe à maltraiter l’autre téton. Adélaïde crie, mais elle sourit et quémande toujours :
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Je demande alors à Agathe de continuer seule à maltraiter la blondinette, pendant que je les mate, tout en suivant ce que fait mon épouse avec ses deux prostitués. Elle est allongée sur le dos, sur le lit et demande à Quentin :
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Le mec s’exécute à une vitesse incroyable, il devait avoir une grosse envie. Il chie une masse impressionnante d’un caca brun à la texture plutôt molle, qui recouvre tout le torse nu de Pauline. L’odeur de la chambre devient vite pestilentielle. Pauline demande alors :
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En employés dévoués les deux gars se mettent au travail avec entrain. Ils enduisent tout le corps de Pauline de la merde bien grasse et puante et entreprennent de la masser avec soin, comme des masseurs professionnels. Ma femme ronronne d’aise sous ce traitement si particulier. Je suis sûr qu’elle est terriblement excitée.
Pendant ce temps Agathe continue de battre Adélaïde. Elle lui envoie de grosses baffes et triturent violement ses nichons. Me demandant si la jeune blonde n’est pas trop proche de la limite, je décide d’intervertir les rôles :
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Toutes les deux sourient à ma proposition, une lueur d’excitation, qui ne me semble nullement feinte, brille dans leurs yeux à toutes les deux. Immédiatement Adélaïde se met à frapper le visage angélique de celle qui vient de la battre. Elle y va franchement, les coups pleuvent, mais Agathe est toujours souriante, et semble tout autant apprécier d’être violentée qu’elle prenait du plaisir à maltraiter sa compagne de jeu une minute avant. Tout y passe, Adélaïde gifle, fesse, tord les tétons, assène même des coups de pied bien sentis à sa partenaire. Quel spectacle m’offrent-
Au bout d’un moment je stoppe la violence et leur demande de se positionner en soixante-
Je quitte son antre. Les filles se relèvent, leurs merdes salissent leurs vêtements en lambeaux et leurs peaux nues. Je les trouve ravissantes de vice. Agathe me donne une délicieuse fellation en gorge profonde, prenant dans sa jolie bouche mon dard sale pour lui redonner de la vigueur. Elle s’y emploie vivement, elle bave pendant que sa comparse me fait des papouilles merdeuses. J’apprécie le goût des merdes qu’elles viennent de pondre. Mon sexe reprend vie et je me mets à baiser Agathe. Je passe plusieurs fois de son cul à sa chatte, souillant cette dernière de toutes les saletés accumulées sur ma tige. Je la fais jouir. Je jute une nouvelle fois profondément fiché en elle.
Je commence à fatiguer. Je vois ma femme se faire baiser par les deux prostitués. Ils la ramonent vigoureusement. Elle a de la merde partout, ses beaux cheveux trempent dans une flaque brune qui baigne sur le lit où elle se fait saillir. Elle crie son bonheur, elle jouit.
Le trio se désaccouple et nous faisons une pause salvatrice, tout en restant largement couverts de nos immondices. Je sers une nouvelle coupe de Champagne à tout le monde.
Pauline et moi prenons un vrai plaisir à faire baiser ensemble nos quatre prostitués. Nous les matons en amateurs de sexe crade, ils sont très beaux. Chacune à leur tour les deux filles se font prendre en double pénétration par les garçons. Leurs culs suintent de caca qui vient s’ajouter aux miasmes déjà présents. Pendant ce temps Pauline et moi nous nous masturbons mutuellement, amoureusement, salement. Avant qu’elle ne jouisse sous ses doigts merdeux, elle lâche un jet de pisse brulante.
Ces actes pervers me redonnent encore un peu de vigueur. Je me fais sucer un moment par Adélaïde, puis je rejoins Renaud qui fourre la chatte sale d’Agathe. Je m’introduis sans peine dans son cul gras. Je la pistonne un moment et me retire avant que je n’éjacule. Je présente alors mon sexe tendu à la bouche habile et cochonne d’Agathe qui me prends en gorge profonde. Je donne de furieux coups de bassin et libère un peu de foutre dans son gosier. Mon intromission et mon éjaculation la font vomir. Elle pousse un cri de bête et un impressionnant flot de gerbe s’éjecte de sa bouche. Adélaïde et Pauline se précipitent, se badigeonnent de vomi, en portent à leur bouche et se le partagent lors de baisers tout aussi ignobles que magnifiques !
Pauline est vraiment une amatrice de saleté. Plus ses pratiques sont sales et immorales et plus elle jouit, plus elle est belle et plus je la désire. Malgré mes nombreux orgasmes de ce soir, et de ces derniers jours, je parviens encore à trouver suffisamment de vigueur pour la prendre une nouvelle fois, tant dans sa chatte que dans son cul. Je finis dans sa bouche, mais mes couilles asséchées ne lui donnent que quelques petites gouttes du foutre qu’elle aime tant.
Nous congédions alors nos prostitués. Nous prenons une interminable douche pour nous départir des odeurs d’excrément, puis nous commandons un nettoyage intégral de la chambre. Nous sommes surpris de l’extrême efficacité des équipes dédiées.
Nous nous endormons en nous câlinant. Mes bourses sont comme des raisins secs ! Je suis vidé.
Nous sommes vraiment ravis de cet incroyable séjour au Brun & Jaune. Nous nous promettons d’y revenir dès que nous en aurons l’occasion. Nous ferons également connaître cet établissement hors normes auprès de nos amis libertins.