HOTEL BRUN & JAUNE

Par Fed (F+M+, BDSM, violence, bisexe, lesbiennes, oral, anal, inceste familial, crade, food games, uro, vomi, scato)

AVERTISSEMENT

Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages et la conception d’enfants engage la vie d’autrui et ne doit pas avoir de motivations sexuelles.



Pauline et moi vivons un grand amour. Libertins et volontiers déviants, nous aimons nous donner du plaisir. Nous prenons chacun soin de notre corps et de notre apparence pour continuer à nous plaire, et à séduire également d’autres partenaires qui viennent régulièrement pimenter notre vie sexuelle.


Pour nos dix ans de mariage, nous avons décidé de nous offrir un grand week-end dans un hôtel très spécial, le Brun & Jaune.


Cet hôtel nous a été chaudement recommandé par des amis libertins avec lesquels nous partageons régulièrement des parties fines. Comme nous pouvons nous le permettre financièrement, nous avons opté pour un séjour de plusieurs jours qui inclut de multiples options qui devraient nous permettre d’agrémenter notre expérience.


Cet établissement est situé en campagne, en retrait des principaux axes.


Pour effectuer le trajet de plusieurs centaines de kilomètres qui sépare notre domicile de notre lieu de villégiature, Pauline a choisi de porter une robe d’été simple, qui met bien en valeur ses formes. Elle a attaché ses longs cheveux bruns en chignon. Pauline conduit. Je la trouve à croquer.


Nous arrivons. Le Brun & Jaune est un bâtiment moderne à un étage. Pauline gare la voiture et nous entrons. Une jeune femme blonde portant un uniforme élégant, que je trouve très sexy, nous accueille :

-Bonjour madame, bonjour monsieur. Soyez les bienvenus à l’Hôtel Brun & Jaune.


Nous lui donnons notre nom. Elle poursuit :

-Nous sommes ravis de vous accueillir. J’espère que vous avez fait bon voyage ? »

Nous répondons par l’affirmative.

-Un employé va se charger de monter vos bagages dans votre chambre. Puis-je voir vos passes sanitaires ?


Nous tendons nos précieux sésames. Outre le covid, l’hôtel impose à ses clients différents tests relatifs à la plupart des maladies sexuellement transmissibles. Cela nous rassure et nous permettra de profiter pleinement de notre séjour.


Une fois la vérification faite, elle enchaine :

-Je crois que c’est votre premier séjour dans notre établissement ?

Nous confirmons. Souriante, elle poursuit :

-Très bien. Je vous propose de vous accompagner pour vous présenter votre chambre et les services de l’hôtel.


Nous la suivons. Sa tenue, pourtant très classe, la met vraiment en valeur, je la mate. Pauline me fait un clin d’œil entendu, en retour je lui passe la main aux fesses. Elle me sourit, je la sens amoureuse, je le suis également.


Au détour d’un couloir j’aperçois une femme en petite tenue qui entre dans une chambre. Il me semble qu’elle n’était pas très propre. Une odeur puissante semble confirmer la vue furtive que j’aie eu sur elle.


Nous arrivons à notre chambre. L’hôtesse entame ses explications :

-Soyez les bienvenus dans votre chambre, j’espère qu’elle vous plaira. Outre les services habituels d’un hôtel de luxe, notre établissement propose en complément des prestations plus singulières.


La jeune femme nous adresse un sourire complice.


-Je vais vous présenter tout cela. Tout d’abord vous avez ici un écran tactile qui vous permet de commander la plupart des fonctionnalités de votre chambre. Ainsi, vous pouvez modifier la paroi qui sépare votre chambre du couloir de circulation. Elle peut être réglée de différentes manières. Actuellement elle est totalement opaque, mais en pressant sur ce bouton vous pouvez choisir de la rendre transparente pour que vous puissiez voir le couloir, vous pouvez également faire en sorte que les personnes qui passent dans le couloir voient l’intérieur de votre chambre, et vous pouvez également la rendre totalement transparente, dans les deux sens.

-Vous pouvez procéder de la même manière pour la cloison qui sépare la salle de bain et les toilettes de votre chambre.

Elle prononce cette dernière phrase avec un grand sourire et nous adresse un clin d’œil.


En regardant à travers la cloison transparente qui sépare la salle de bain du reste de la chambre, je constate que la cuvette des toilettes est totalement transparente également. Je crois que ma femme l’a vue également. Pauline et moi nous nous sourions. Nos amis ne nous avaient pas menti, cet hôtel semble bien spécial.


La jeune femme poursuit ses explications, c’est un peu long, mais cela semble nécessaire compte tenu des particularités de l’établissement :

-Un système similaire permet de rendre le plafond réfléchissant, vous pouvez alors voir ce qui se passe dans votre lit depuis un autre point de vue, lance notre hôtesse en affichant toujours un franc sourire.

-C’est vraiment chouette, répond Pauline.

-Oui, poursuit l’hôtesse, l’hôtel est en pointe sur ces équipements qui sont très appréciés.


Elle enchaîne :

-Si vous permettez que l’on voie ce qui se passe dans votre chambre, vous aurez peut-être envie que les voyeurs viennent vous rejoindre ? Il vous suffit d’activer le message "visites bienvenues" sur l’écran situé à côté de la porte d’entrée. Si vous ne désirez pas de visite, vous pouvez bien-sûr indiquer "Ne pas déranger", et verrouiller votre porte.


Elle poursuit :

-Une autre particularité intéressante, toutes nos chambres sont équipées de draps qui résistent parfaitement à toutes sortes de salissures, ils sont totalement nettoyables et protègent parfaitement les matelas, couettes et coussins. Si vous souhaitez les changer, il vous suffit d’appeler le room service qui se fera un plaisir de remettre du linge propre. Si vous préférez rester seuls dans votre chambre, vous trouverez des linges de rechange dans le placard.

-La télévision vous donne accès à toutes sortes de chaînes, dont de nombreuses spécialisées dans les programmes pour adultes, et pour certaines dans les sexualités alternatives. Je vous laisserais découvrir tout cela si vous le désirez.


En effet il semble que cet hôtel ait bien tout prévu pour satisfaire les pratiques particulières de sa clientèle.


L’hôtesse continue ses explications, c’est un peu long, mais ces découvertes sont très intéressantes :

-Comme vous le verrez le dress code de l’hôtel est très libre, de nombreux clients se déplacent nus ou en petite tenue. De même nous n’imposons pas de règles d’hygiène, explique-t-elle tout en nous souriant toujours.

-Il y a toutefois une exception pour le restaurant gastronomique, ouvert le soir. Les convives doivent y être habillés et être propres. Si vous désirez ne pas respecter ces contraintes, vous pouvez dîner au restaurant buffet où aucune règle n’est imposée, ou vous faire apporter des plats dans votre chambre par le room service.

-Comme vous avez opté pour la formule complète, l’accès aux restaurants, au bar et au room service se fait sans restriction. Vous trouverez également sur l’écran tactile la carte du room service, qui outre les boissons et plats classiques, propose quelques spécialités maisons, que je vous laisserai découvrir.


Elle ajoute :

-De plus la formule complète vous donne droit à des services spéciaux, comme les massages et vous pouvez commander jusqu’à quatre prostitués par nuitée. Femmes, hommes, vous avez le choix. Vous trouverez sur l’écran de commande une présentation de tous nos prostitués, que vous pouvez sélectionner par des filtres, portant sur leur genre, leur physique, leurs pratiques, leur disponibilité.


Je vois que Pauline est très intéressée :

-Faites-voir cela, dit-elle en touchant l’écran.

En quelques clics, notre hôtesse affiche sur l’écran de télévision de la chambre le portrait d’une très jolie blonde, qui n’est autre qu’elle-même. Une vidéo se lance : « Je suis Adélaïde et je serai ravie de vous faire passer un agréable séjour. »


La jeune femme nous regarde, mi-gênée, mi-amusée :

-Oui, je ne fais pas que l’accueil ici. Si vous le souhaitez nous pourrons nous revoir pendant votre séjour.

Elle nous lance un sourire coquin, qui me donne un début d’érection. Je crois que nous allons bien nous plaire dans cet hôtel.


-Avez-vous des questions ?


Pauline et moi nous nous regardons, rien ne nous vient à l’esprit pour le moment, nous sommes déjà dans la perspective de notre séjour et des folies que nous allons immanquablement commettre !


-Non, tout nous semble clair, réponds-je.


-Si vous avez la moindre question, composez le "0" et nous nous ferons un plaisir de répondre à vos interrogations et vos désirs.

Elle prononce cette dernière phrase en se mordillant légèrement la lèvre inférieure. Qu’elle est craquante ! Elle quitte la chambre.


Pauline me sourit, visiblement ravie, elle vient m’embrasser à pleine bouche. Nos langues se mélangent fougueusement, mon épouse bave pendant que j’aspire puissamment sa langue agile dans ma bouche gourmande.


Notre baiser passionné est interrompu par l’ouverture de la porte de notre chambre. C’est le préposé aux bagages, il est entré sans frapper, nous sommes un peu surpris, mais nous comprenons qu’Adélaïde a laissé activé le message "visites bienvenues" sur notre porte. Dès que la personne est ressortie, Pauline se rapproche de moi et me susurre :

-Je n’ai pas pris les affaires de toilettes, tu crois que c’est grave ?

-Coquine, réponds-je en retournant l’embrasser goulument.


Pauline feule, je sens que cette présentation de l’hôtel l’a émoustillée, tout comme moi. Toutefois, avant de passer aux actes, j’active le panneau "Ne pas déranger", verrouille la porte, mets le plafond en mode miroir, fais en sorte que l’on ne puisse pas nous voir depuis le couloir, mais je nous laisse la possibilité de voir les gens qui le fréquente.


Ma belle se fait langoureuse, elle détache ses longs cheveux, revient m’embrasser, passe ses doigts longs et fins sur ma chemise, pendant que je soupèse ses seins bien fermes au travers du tissu.


Bientôt mon épouse fait glisser sa robe à ses pieds, elle ne porte alors que ses sous-vêtements noirs sexy lorsqu’elle s’allonge sur le lit, en se regardant dans le plafond miroir. Elle est superbe. Son regard lance des éclairs d’excitation qui provoquent la mienne. J’ai envie de lui sauter dessus lorsqu’elle me souffle :

-Viens me prendre. Elle écarte outrageusement les cuisses.


Je ne résiste pas, je retire mon pantalon, mon caleçon et je viens sur elle, la prendre comme elle vient de me le demander. Je m’insère dans son vagin avec volupté, prenant possession de ce fourreau si agréable pour mon sexe gourmand. Je dégrafe le soutien-gorge pour accéder à sa merveilleuse poitrine, je lèche ses tétons avec délectation. Ses soupirs et ses halètements trahissent son émoi, ses paroles confirment :

-Oui, mon chéri, comme ça. Je t’aime.


Je vois qu’elle nous mate dans le miroir au plafond qui fait face à son regard, je sens que ce gadget l’excite.


Nous faisons ainsi l’amour profondément, passionnément pendant un long moment. Nous sommes interrompus par un orgasme profond et simultané ; nous continuons à nous câliner. Nous sommes bien.


J’aperçois un couple très dénudé traverser le couloir, plaquant chacun une main sur le postérieur de l’autre.


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L’après-midi touche à sa fin lorsque nous émergeons. Pauline me dit qu’elle ferait bien un tour, voir un peu mieux à quoi ressemble cet hôtel si surprenant.


Nous hésitons sur la tenue à adopter. Alors que je pensais ressortir vêtu comme je l’étais en arrivant, Pauline me surprend en optant pour une magnifique lingerie, sans rien par-dessus. Elle est absolument craquante ! Pour ne pas paraître dépareillé, je me contente de porter un caleçon boxer.


Nous sommes un peu gênés par nos tenues inhabituelles dans un lieu public, mais nous nous détendons lorsque nous atteignons le lobby de l’hôtel où nous voyons d’autres personnes très peu vêtues, certaines complètement nues, quelques-unes dans un état de saleté avancé !


En passant devant l’accueil, Adélaïde nous sourit.

-J’espère que votre installation s’est bien passée. Je vois que vous avez pu vous mettre à votre aise, nous glisse-t-elle. Nous acquiesçons.

- J’ai oublié tout à l’heure de vous demander si vous aviez l’intention de dîner ce soir au restaurant gastronomique ? Le cas échéant, il est préférable de réserver.

Pauline et moi nous nous interrogeons du regard et nous nous opinons.

-Très bien, vous aurez une table pour deux.


Nous nous rendons ensuite au bar.


Plusieurs couples et groupes de personnes sont attablés, la plupart en petite tenue, voire complètement dénudés. Une curieuse odeur titille nos narines, elle semble mêler des parfums d’ambiance avec des effluves charnels.


Pauline et moi prenons place autour d’une petite table, un peu à l’écart. Nous découvrons la carte des cocktails : Mojito de femme fontaine ; Gin tonic boueux ; Pisco sour séminal ; Sex on the beach sanguinolent …  Bientôt un jeune et beau serveur approche.

-Bonjour. Soyez les bienvenus. Avez-vous des questions sur notre sélection de cocktails ?

-Ils sont un peu spéciaux, non ? questionne mon épouse avec un sourire en coin.

-Oui, en effet notre barmaid réalise des cocktails spécifiques pour notre maison. Ils sont dans le thème de notre établissement, répond-il avec un sourire en coin.

-Je vais me laisser tenter par une Golden Margarita, commande Pauline.

-Ce sera Bloody mary périodique pour moi, complète-je.


Dès que le serveur a tourné les talons, Pauline et moi nous nous regardons comme deux gamins pris en faute. Ses yeux pétillent, je la sens excitée par cette carte de cocktails aux ingrédients déviants. Elle goûtera en effet une margarita à l’urine, tandis que je dégusterai un bloody mary composé en partie de jus de règles ! Mon épouse me souffle :

-Je dégouline.

Mon sexe gonfle. Elle me demande :

-Tu me feras goûter ton cocktail ?


Nos émois sont distraits par un couple qui s’approche de nous, en nous souriant. Le garçon laisse ostensiblement une main sur les fesses de sa compagne qui n’est vêtue que d’une lingerie de dentelle recouverte d’une fine nuisette transparente.

-Peut-on s’assoir avec vous ? demande la jeune femme.

-Bien-sûr. Prenez place.

-Merci.

-Je suis Lydie, nous informe la nouvelle venue.

-Je suis Yvan, complète le jeune homme.


Nous nous présentons également. Ils s’installent, ils ont déjà leurs boissons.


Ils sont plus jeunes que nous, ils ont peut-être vingt-cinq ans. Lui est un grand brun, plutôt charpenté, tandis qu’elle est une petite brune à lunettes, plutôt pulpeuse, portant fièrement un anneau bien visible dans la cloison nasale et plusieurs tatouages de très bonne facture.


Le serveur apporte nos consommations et nous trinquons tous les quatre.


Nous papotons. Lydie en est déjà à son troisième séjour au Brun & Jaune, mais pour Yvan c’est une première. Tient, elle est déjà venue avec un autre compagnon, me dis-je.


Au fil de la conversation, Lydie écarte les cuisses de manière de plus en plus visible. Evidemment, Pauline et moi la reluquons, c’est ce qu’elle recherche. Je remarque alors un fil qui sort de son string. Elle doit avoir ses règles en ce moment !


Toutefois nos échanges ne vont pas plus loin – pour l’instant du moins. Lydie et Yvan quittent le bar.  


Nous rejoignons également notre chambre pour passer une tenue adaptée au restaurant gastronomique. Pauline revêt une belle robe noire, habillée, avec un petit col blanc qui lui confère un look faussement sage, tirant presque sur une tenue de religieuse, que je trouve particulièrement sexy.


Au restaurant, une hôtesse, vêtue de manière classe et sensuelle, nous installe à notre table. Je jette un œil aux convives. Tous portent des vêtements qui couvrent certes leurs parties intimes, comme le règlement du restaurant l’impose, mais leurs tenues sont néanmoins plutôt osées.


Le maître d’hôtel nous présente la carte. A l’instar de celle du bar, les mets concoctés dans cet établissement sur des plus originaux, en voici quelques exemples :


Velouté de potiMARRON


Cannelloni du Chef en Béchamel masculine


Lapin en civet féminin



Après avoir lu le menu, Pauline me jette un regard très coquin, je la sens terriblement excitée. Je le suis moi aussi, mon caleçon devient étroit.


Nous commandons d’un ton presque naturel :


-Deux coupes de Champagne salé ; une Macédoine gastrique ; une pièce du boucher sauce sang.


Mon épouse me fait du pied. Cela n’arrange pas l’état d’étroitesse de mon pantalon…


Pour tenter de me distraire un peu dans ce lieu où il semble obligatoire de se maîtriser, je regarde nos voisins. Toutes les femmes sont habillées de manière sexy, même si leurs tenues restent décentes. En observant un peu mieux, je vois des mains baladeuses qui se glissent sous les jupes. A d’autres tables j’entends des bruits de déglutition exagérés. Si cette salle de restaurant peut sembler normale au premier coup d’œil, elle ne l’est pas tout à fait en réalité.


Nous sommes servis assez rapidement. Pauline a elle aussi parfaitement compris le manège des convives, elle se met à manger en mâchant bruyamment, elle fait exprès de laisser quelques gouttes de sauce couler à la commissure de ses lèvres, pour montrer ostensiblement sa langue qui vient lécher ses babines. Je la regarde amoureusement, elle est à croquer et me fait bander bien dur, que je suis à l’étroit dans mon caleçon !


Entre deux plats, mon épouse attrape ma main par-dessus la table et y dépose de façon modérément discrète son string. Il est trempé.

-Attention à ne pas tâcher la nappe, me souffle-t-elle en me jetant un regard coquin.

Quelle allumeuse fait-elle ! J’ai envie de la prendre là, sur la table. Je me contiens avec peine.


C’est un vrai soulagement pour moi lorsque nous terminons nos desserts, heureusement Pauline refuse l’infusion que nous propose la serveuse, nous pouvons quitter les lieux. Mon pantalon est visiblement déformé par mon érection, mais je juge que ce n’est pas grave dans ce lieu.


A peine sommes-nous sortis de la salle de restaurant que je fourre ma main profondément entre les cuisses de Pauline, sous sa robe. Elle me sourit et m’entraîne vers le couloir qui mène à notre chambre.


Les occupants, de la première chambre que nous longeons ont activé la vue sur l’intérieur et nous découvrons qu’ils ne dorment pas … Un homme prend une femme en levrette, elle est à genoux sur le sol, ils nous tournent le dos. Pauline et moi avons le même réflexe, nous regardons le petit écran à côté de la porte, il indique la mention "Visites bienvenues". Un regard complice nous suffit, Pauline ouvre la porte, nous entrons.


Le couple n’est pas surpris, le garçon se tourne et nous reconnaissons Yvan qui continue de besogner Lydie en nous accueillant :

-Soyez les bienvenus, installez-vous.

-Oui venez, souffle sa compagne entre deux gémissements.

-Vous savez que Lydie a ses règles, elles sont toujours très abondantes vous savez. C’est bien qu’on soit plusieurs pour en profiter.


Quels pervers font-ils ! Comme Pauline et moi sommes du même acabit, notre excitation est décuplée. Ma femme se précipite entre les cuisses d’Yvan, je sais qu’elle va aller fourrer sa langue dans la chatte suintante de Lydie pendant qu’elle se fait baiser.


Je suppose que cette dernière sera prête à me prodiguer une bonne pipe, aussi je libère enfin mon sexe de mes vêtements et le présente bien tendu devant sa bouche. J’avais bien sondé l’esprit de Lydie. Elle plonge littéralement sur ma bite et m’avale profondément. Elle fait quelque va-et-vient et me demande comme une faveur :

-Tu pourrais me fourrager la bouche s’il te plait ? J’ai du mal à venir te sucer pendant que je me fais baiser. Prends-moi bien en force s’il te plait.


Waouh me dis-je ! A quelle salope ai-je à faire ! Terriblement excité, je tente de la satisfaire de mon mieux. Je m’enfonce en elle, elle m’absorbe. Je sens que sa langue est percée, un objet métallique titille ma queue, c’est très agréable et fort excitant. Je donne quelques coups de bassin, que je tente de coordonner avec les mouvements d’Yvan qui la pistonne intensément. Après un petit moment, elle fait en sorte de quitter ma queue pour me supplier presque :

-Ne prends pas autant de précautions avec moi, s’il te plait, pilonne ma gorge comme un sauvage, je t’en prie. Un gros fil de bave pend à son menton.


Pauline n’est pas très portée sur la violence dans le sexe, je ne suis donc pas vraiment habitué à maltraiter ma partenaire et cela ne me manque habituellement pas. Toutefois la jolie Lydie, très sexy avec ses quelques sous-vêtements affriolants, ses lunettes d’intello et ses piercings, se faisant implorante pour que je la violente, je m’adapte facilement et trouve une vraie satisfaction à la brutaliser. Je suis tellement excité par la vue de cette jeune salope en quête de baise sauvage que je crains de jouir dans la seconde, mais je tente de répondre à son envie et retourne encore plus profondément dans sa gorge. J’y fais des va-et-vient bien brutaux. Je vois les larmes monter à ses yeux, derrière ses lunettes que je trouve très sexy. Je parviens à ne pas jouir trop vite, contrairement à elle qui est traversée d’un orgasme foudroyant sous l’action conjuguée des deux bites et de la langue qui la stimulent. Elle hurle. Je sors de sa bouche.


Quelques secondes après je vois réapparaître Pauline, souriante sous un masque rouge de jus de règles, de bave, de sueur et de cyprine. Elle embrasse Yvan, qui semble se régaler, quel spectacle !


Etant parvenu à ne pas jouir dans la bouche prodigieuse de Lydie, j’ai toujours une furieuse envie de baiser. Malgré son orgasme impressionnant, la jeune fille semble déjà disposée à baiser. Elle me regarde intensément et de sa voix toujours implorante elle me demande :

-Tu irais empaler mon petit trou du cul plein de merde bien grasse s’il te plait ?

Je souris, quelle incroyable vicieuse !


Je pousse presque Yvan et Pauline qui s’embrassent et se pelotent toujours. Voir ma femme aimée se livrer à un quasi inconnu ne me rend absolument pas jaloux, d’autant que je sais que je vais bien m’amuser avec la compagne du probable amant de mon épouse, tout en matant ce qu’ils font.


Lydie tend sa croupe vers mon dard.

-Vas-y fort directement cette fois, me recommande-t-elle.

Je vois de grandes marques rouges qui strient ses fesses, je suppose que son compagnon lui a déjà asséné quelques bonnes fessées et je m’y mets également. Je frappe fort, avec une pointe de crainte d’y être aller trop vivement, mais Lydie me rassure immédiatement :

-Ouais salaud c’est trop bon, fesse-moi bien fort ! Martyrise-moi !


Quelques grandes claques plus tard, je présente mon sexe dur sur son petit trou maculé de restes de règles comme tout son entrecuisse. Je vois au passage que les lèvres de sa chatte sont ornées de plusieurs anneaux. Je pousse fortement, Lydie grogne un peu, mais elle m’encourage :

-Putain vas-y encule-moi bien profond !

Je force et entre en la faisant crier. Je sens immédiatement que son boyau est occupé par sa merde, ma queue s’embourbe. Je n’en tiens pas compte et pilonne sauvagement son anus. Ayant bien compris son goût pour la violence, j’attrape ses cheveux mi-longs et les tire en arrière, la forçant à se cambrer. Elle ronronne. J’approche ainsi son visage de moi et je peux lui administrer quelques baffes bien senties, par derrière. Elle semble apprécier :

-Ouais comme ça, gifle-moi bien fort, je suis une putain !


Yvan se fait maintenant sucer par Pauline, juste à côté de moi, je suis sûr qu’elle se régale des jus de règles de Lydie qui doivent polluer la belle bite. Peut-être est-elle également couverte de sperme, ce qui explique que ma femme tant aimée mette tout son cœur à sucer ce membre qui lui permet de se vautrer dans l’ordure comme elle l’affectionne tant.


Cessant de gifler ma partenaire, j’attrape un de ses nichons de ma main libre et étire le bout tant que je peux. Je cherche à lui faire mal. Elle miaule, exprimant autant la douleur que le plaisir :

-Oh oui … Aïe ! Encore … Enfoiré … Putain c’est trop bon !

Je fourrage son cul merdeux et je la fais jouir. Elle hurle.


Je suis bientôt prêt à éjaculer, je me retiens un instant et lance à l’attention de Pauline :

-Ah, je vais venir !

Je sors du cul de Lydie. Elle évacue un monceau de merde. Mon épouse m’a entendu, elle quitte le sexe d’Yvan et se précipite vers ma bite tartinée de la merde chaude et puante de la jolie brune. Elle m’embouche avec une réelle gourmandise. Ses yeux pétillent et son regard m’achève. Je jute de bonnes giclées dans sa bouche et sur son visage déjà souillé.


Lydie et Yvan nous regardent. Elle nous interpelle :

-Alors les amoureux, vous partagez ?

-Bien-sûr, viens, lui souffle Pauline.


Les deux filles me sucent alors à tour de rôle. Je débande à peine. Je lance un regard entendu à Yvan :

-On a là deux sacrées cochonnes.

-C’est sûr.


Il vient également se faire sucer.


Ma queue n’est pas encore propre que Pauline, complètement excitée, se saisit de la merde de Lydie qui jonche le sol et commence à s’en badigeonner le visage, elle en goûte :

-Tu as pondu une très bonne merde, félicite-elle Lydie.

Mon épouse est une gourmande insatiable de saleté, elle adore être souillée et se vautrer dans les plus abjectes substances. Elle en quémande toujours plus :

-Pissez-nous à la gueule ! réclame-t-elle en nous regardant.


Je parviens à débander suffisamment pour la satisfaire d’un puissant jet doré qui atterrit en plein sur son visage. Elle est rapidement trempée, je vise le haut de sa tête, je sais qu’elle adore que sa chevelure dégouline de pisse parfumée.


Yvan met plus de temps à libérer sa vessie et il prend mon relais. Pauline gémit d’aise. Elle est encore habillée de sa robe sexy qui est à essorer.


Lydie sourit, elle embrasse sa compagne et goutte également à l’urine et la merde qui polluent sa bouche. Elle se gifle elle-même fortement et rayonne, elle semble heureuse. Elle rote. En retour Pauline lui sourit de ses dents marrons et la gifle. Toujours ravie, Lydie répond à son geste à lui crachant à la figure.


Pendant ce temps Yvan utilise l’écran tactile de sa chambre pour commander du Champagne. Bientôt, une jolie serveuse en tenue de soubrette entre :

-Bonsoir Mesdames, bonsoir Messieurs. J’apporte le Champagne. J’espère que votre séjour au Brun & Jaune se déroule au mieux ?

Devant nos mines réjouies dans la belle chambre à l’état déplorable de saleté, elle enchaîne :

-J’ai l’impression que c’est le cas. Elle sert quatre coupes et se retire.


Nous prenons un peu de repos en buvant. Je vois que Pauline est particulièrement excitée, il est vrai qu’elle n’a pas encore été baisée depuis cet après-midi. Elle s’approche à son tour de l’écran de commande et pianote quelques instants, avant de revenir vers nous terminer sa coupe de Champagne, un sourire coquin au coin de ses lèvres gluantes de souillures. Je comprends sa manœuvre lorsqu’un beau garçon entre dans la chambre d’Yvan et Lydie, tout sourire malgré l’état déplorable de la pièce et l’odeur fétide qui y règne. Pauline a tout simplement commandé un prostitué. Ma femme l’accueille :

-Voilà, une bite de plus ce ne sera pas de trop pour satisfaire les deux salopes de cette chambre.

Quelle entrée en matière !


Le gars n’a pas le temps de prendre la coupe de Champagne que je lui tends, Pauline l’accapare :

-Allez viens. J’ai envie d’être bien baisée, comme la grosse salope que je suis.

Joignant les gestes à la parole, elle se positionne accroupie sur le lit, la robe détrempée totalement relevée qui offre une vue imprenable sur sa croupe et son entrecuisse ruisselant.


Je sais qu’un mari normal serait vert de jalousie, fou de rage, mais pas moi. Je laisse Yvan et l’inconnu s’approcher de ma femme et se mettre à la prendre en double pénétration sans d’autres préliminaires que ses encourageants obscènes :

-Putain les mecs, baisez-moi. Je suis une sale trainée !


Je profite un moment de la scène. J’aime voir ma très belle épouse se faire baiser sauvagement pendant qu’elle porte encore sa jolie robe au petit col blanc souillé, en proférant les pires insanités. Je rebande fermement.


Pauline ne semble pas encore pleinement satisfaite, elle veut aussi l’attention de Lydie :

-Viens ma petite, je vais bouffer de la chatte gluante.


Lydie se prête au jeu, elle s’installe face à ma chère et tendre, cuisses outrageusement ouvertes et offre sa moule ensanglantée par ses règles à la bouche avide de sécrétions humaines qui vient la laper comme une affamée.


Si ce spectacle m’excite grandement, je me retrouve un peu inactif, alors que mon sexe est au garde-à-vous. Je ne me questionne pas longtemps et décide de continuer de m’amuser avec Lydie, pendant qu’elle se fait se fait dévorer le sexe par Pauline je profite à nouveau de sa bouche et même du tréfond de sa gorge bien accueillante et offerte aux pénétrations brutales.


Notre partouze dure un long moment. Après qu’Yvan a jouit, il quitte la chatte de ma femme et se repose un moment. Pauline m’appelle alors, pour qu’elle soit toujours prise par deux bites, elle exige que je la prenne par le cul, où se trouve déjà le prostitué, elle reçoit donc nos deux membres simultanément dans son fondement. Nous avons déjà pratiqué ce type de pénétration hors normes, mais cela demande toujours un peu temps pour faire coulisser correctement les deux membres dans ce conduit. Bientôt nous menons ainsi mon épouse vers un énième orgasme, qui est loin d’être le dernier.


Je pense que nous ne quittons la chambre de Lydie et Yvan qu’en milieu de nuit. Pauline titube après avoir été tellement baisée. Je constate que l’état du couloir de l’hôtel est déplorable, des traces de merde, des flaques de pisse et de vomi jonchent le sol. Des orgies sont en cours dans plusieurs chambres. Si nous nous sentons trop épuisés pour y prendre part, quelques images se gravent dans nos esprits pervers et maintiennent une flamme d’excitation.


Tant par vice que par commodité, nous décidons de nous coucher sans nous laver. Pauline s’endort vite, dans mes bras.


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Elle se réveille avant moi et décide de m’éveiller de la plus douce des manières, en entreprenant une lente et profonde fellation. Que du bonheur ! Bien que tout à fait sorti de ma torpeur nocturne, je la laisse faire tranquillement, je profite de ses aptitudes buccales un long moment. Je sais qu’elle sait que je suis éveillé et que je profite. Au bout d’un moment, elle décide que le plaisir a assez duré, elle me susurre :

-A ton tour.

Je m’exécute en dirigeant ma bouche vers son entrecuisse pour lui prodiguer un cunnilingus amoureux. Laper sa chatte souillée exhalant de forts relents de mouille, de pisse, de merde, de sueur, de foutre et d’autres substances corporelles dès le réveil est un exercice un peu osé, mais que j’aime. Je lui offre son premier orgasme de la journée.


Bien éveillés, nous allons nous laver. Cela prend du temps, nous nous nettoyons mutuellement et bien que cela nous conduise à des gestes intimes nous n’engageons pas de nouveaux ébats.


En sortant de la chambre, je remarque que les espaces communs de l’hôtel ont été impeccablement nettoyés, toutes les extravagances de la veille ont été épongées.


Nous prenons un petit-déjeuner classique. Lydie et Yvan rejoignent la salle pendant ce temps, nous nous saluons avec un échange de regards entendus, mais sans évoquer nos délires passés.


Après ce repas, Pauline et moi faisons une balade dans l’immense parc qui entoure l’hôtel. Il offre de belles vues sur les montagnes environnantes. Nous sommes ravis de prendre le grand air pur après notre soirée de débauche dans l’air vicié. Au détour d’un bosquet nous remarquons un trio coquin en pleine partie de baise. Deux femmes s’occupent d’un jeune homme, l’une d’elle l’asperge d’urine, ils semblent prendre un vrai plaisir. Ils ne se cachent absolument pas, nous sommes encore dans l’enceinte du Brun & Jaune et toutes les excentricités sexuelles sont permises. L’une des jeunes filles nous interpelle, mais nous déclinons son invitation, nous sommes bien à penser à autre chose qu’au sexe pour l’instant.


C’est durant l’après-midi que nous faisons notre rencontre la plus intrigante de notre séjour. C’est tout d’abord une femme qu’une quarantaine d’années qui vient à notre rencontre alors que nous continuons à récupérer de notre folle nuit, installés sur les transats de la terrasse :

-Bonjour. Puis-je vous déranger ? demande très poliment cette blonde pulpeuse vêtue d’une robe courte et moulante qui laisse aisément deviner ses formes généreuses et chaussée sur des escarpins assortis à sa robe.

-Oui bien-sûr, asseyiez-vous, répond Pauline, en rendant son sourire à notre interlocutrice.

-Voilà, je suis ici avec mon époux et nos deux filles. Nous aimons profiter en famille de ce bel établissement.

Quels pervers font-ils me dis-je en mesurant le côté déviant d’un séjour en famille dans un établissement aussi particulier que le Brun & Jaune. Je vois que ces propos suscitent également l’émoi de Pauline.


Elle enchaîne :

-Nous adorons ce lieu, qui convient parfaitement à nos habitudes de vie, nous y avons déjà passé des moments incroyables et nous y faisons souvent de formidables rencontres. Ce séjour est particulier car notre fille ainée est enceinte, elle doit accoucher bientôt. Comme elle est un peu fatiguée, elle fait actuellement la sieste dans sa chambre, mon mari doit veiller sur elle et notre autre fille vaque quelque part. J’en profite pour faire un tour et rencontrer d’autres convives. Je dois dire que je vous ai remarqué ce matin au petit-déjeuner et lorsque vous êtes partis en balade et je me suis dis que je devais vous rencontrer. Que diriez-vous de partager un goûter tout à l’heure avec mon mari et nos enfants ?

Nos mines doivent exprimer une certaine surprise, nous mettons un instant à répondre :

-Mais oui, avec joie, se lance Pauline, en retournant son sourire à la dame.

-Parfait, on se retrouve au salon dans une heure. Au fait, je me prénomme Catherine. A tout à l’heure, dit-elle en nous faisant un clin d’œil et en se mordillant la lèvre.


Elle tourne les talons sans nous laisser l’occasion de retourner les présentations.


Pauline et moi sommes très intrigués. Rencontrer dans cet endroit dédié aux plaisirs une fille enceinte accompagnée de ses parents et de sa sœur qui semblent avoir des intentions sexuelles avec nous dépasse ce que nous envisagions, mais nous sommes ravis de cette surprise qui pique notre curiosité.


Nous sommes à l’heure dite au rendez-vous, vêtus légèrement, mais décemment et proprement. Catherine et sa famille nous attendent déjà. Un tour de présentation s’engage, Catherine débute :

-Ravie de vous voir, merci d’avoir accepté mon invitation. Je vous présente Henry, mon époux, notre fille ainée Freya et notre cadette Rati.

Elle désigne un homme d’une bonne cinquantaine d’années, svelte, les cheveux poivre et sel, une courte barbe assortie, une jolie jeune fille blonde comme sa mère, effectivement enceinte jusqu’aux yeux, qui porte une robe de grossesse très fine, plutôt transparente, qui laisse parfaitement deviner ses formes plantureuses et ses tétons gonflés, et une autre jeune fille aux cheveux un peu plus foncés, plus petite qui nous sourit de ses belles dents blanches. Le côté hors normes de cette rencontre augmente encore à la réponse de la fille ainée, qui n’attend pas de connaître nos prénoms :

-Mes parents m’ont prénommée Freya car ils pensaient que c’étaient un bon prénom de salope.

-C’est vrai enchaîne Catherine, avec un sourire, qui ne trahit aucune gêne visible à la révélation peu conventionnelle de sa fille. Nous étions déjà très portés sur le sexe et comme nous baisions comme des fous pendant que j’étais en cloque, nous pensions engendrer une fille qui suivrait nos traces. Alors qu’elle ait un prénom plus provoquant que Catherine nous a semblé une très bonne idée, vous ne trouvez pas ?

-Freya est la déesse de la luxure chez les scandinaves, cela lui va bien non ? précise le père.

-Et Rati est aussi une déesse de la luxure, dans la mythologie hindoue, précise la cadette en continuant à nous sourire. Elle ajoute sur un ton qui semble très innocent :

-Et moi quand ils m’ont conçu, papa avait mis plein de merde dans la chatte de maman, pour que je sois une grosse salope dégueulasse.


Nous comprenons que nous avons à faire à une vraie famille de pervers patentés. Un peu surpris, Pauline et moi acquiesçons nous nous présentons à notre tour. Je me permets de questionner Freya sur la date de l’accouchement, là aussi sa réponse est déroutante :

-Normalement la petite pute devrait naître dans à peine un mois.

-C’est donc une fille, poursuit Pauline, sur un ton presque normal.

-Oui en effet, ce sera une chienne comme sa mère et sa grand-mère, confirme Freya.

-Et comme sa salope de tante, ajoute Rati en souriant.

-Enfin on espère, on ne sait jamais, tempère le futur grand-père.

-Mais si tu verras, fais confiance au Seigneur, réagit Catherine.


Sur quelle famille sommes-nous tombés !


Catherine reprend :

-Comme le Brun & Jaune est interdit aux mineurs nous profitons de ce séjour qui sera le dernier avant un moment où l’on pourra venir tous ensemble. On a vraiment envie de s’éclater, c’est pour ça que je me suis permise de vous proposer ce rendez-vous. Vous formez un beau couple et nos amis Yvan et Lydie nous ont dit que vous étiez de supers coups. Apparemment toi Pauline, tu es une vraie truie. On se tutoie ? Quant à toi, on m’a dit que tu étais un bon coup, mais qu’il fallait te provoquer un peu pour que tu sois bien brutal. Ne te gène pas avec nous, on aime toutes être bien violentées.


Je suis un peu choqué, même si nous sommes habitués à fréquenter des lieux libertins, le ton et le sans-gêne de Catherine me heurte un peu. Pauline met un instant à réagir, mais quelle réaction. Tandis qu’elle est toujours debout, elle s’approche de Freya qui est assise, lui pince fermement le nez pour l’obliger à ouvrir la bouche, elle inspire profondément, se racle bruyamment la gorge et dépose un gros mollard bien visqueux dans la bouche de la jeune fille enceinte, avant de libérer son nez. Cette dernière sourit, visiblement ravie de l’offrande et déglutit visiblement :

-Hum, c’est bon. Merci.

-Ou là, en effet Lydie et Yvan avaient raison, on va bien s’amuser avec vous, approuve Henry.

-Vous avez bien compris que nous sommes tous les quatre de gros pervers bien vicelards, nous adorons la baise bien dégueulasse et très sauvage. Vous aussi. Alors amusons-nous, conclut Catherine en se levant. Elle nous conduit dans leur suite.


Nous sommes à peine surpris d’y trouver quatre jeunes hommes qui attendent sagement, nus comme des vers.

-Nous avons loué les services de ces gars-là, on les connait bien, ils sont bien pervers et hyper endurants, précise Catherine.


Freya ajoute :

-Surtout ne me ménager pas parce que je suis cloque, je suis avant tout une grosse salope et je suis sûre qu’une bonne grosse baise hyper dégueulasse et bien rude est ce qu’il y a de mieux pour préparer la petite salope que je vais bientôt enfanter.

Pour illustrer ses intentions, elle tire sur le haut de sa robe, libère ses grosses miches et se les claque très fortement, son regard lance des éclairs de folie. Je constate que ses gros seins sont marqués de quelques bleus, elle a dû se les faire martyriser il y a peu, à moins qu’elle ne se soit fait ça elle-même, ce ne serait pas étonnant vu son caractère masochiste. Elle m’excite follement et me fait perdre le peu d’inhibition qui m’habite encore, je me jette littéralement sur elle, en lui assénant une grosse baffe et qui la fait valser sur le lit. Je trousse sa robe, elle est nue dessous, ses fesses aussi sont partiellement bleues, cela m’encourage à la fesser rudement, marquant de rouge ses lobes avec mes grosses paluches. Je bande comme un âne. Freya halète :

-Oh ouais comme ça salaud. Viens m’enculer !

Pour l’instant j’ai envie de sa chatte de femelle enceinte, je n’écoute donc pas sa demande, je baisse mon pantalon et mon caleçon et dirige ma queue raide dans l’antre trempé et gourmand de la jeune chienne en chaleur. Elle se rebiffe un peu :

-Putain j’ai envie de me faire enculer je t’ai dit ! Change de trou !

Préférant rester, pour l’instant dans sa chatte, je ne la satisfais pas moi-même, mais je fais en sorte qu’elle ait ce qu’elle quémande ; j’appelle l’un des deux prostitués qui n’est pas encore occupé et lui demande :

-Tu l’as entendue, elle veut se faire défourailler le cul, viens.


Le mec s’approche. Je quitte un instant le sexe de Freya, je m’allonge sur le dos et l’invite à venir sur moi s’empaler la chatte sur ma tige. L’opération n’est pas simple, elle est très gênée par son ventre énorme, mais elle parvient à s’introduire. Après quelques va-et-vient, dans sa chatte, je sens que le mec entre en force dans le conduit anal, son intromission ressert considérablement le sexe dilaté de la jeune femme, rendant ma pénétration en elle encore plus agréable.


-Alors t’as ce que tu voulais pétasse ? la questionne-je.

-Ouais, c’est bon putain ! Détruisez-moi.


Je la gifle rudement. Je fourre une main dans sa bouche et introduis mes doigts profondément dans sa gorge :

-Suce comme si c’était ma bite, chienne.

Elle émet quelques borborygmes. Je retire ma main et la gifle à nouveau :

-Ouais, c’est bon, encore, bande de pédés, plus fort.


Je remets ma main encore plus violemment dans sa gueule, en écartelant sa mâchoire :

-Je veux que tu gerbes morue !

Je m’y emploie, mais si Freya libère d’impressionnantes quantités de bave qui trempent mon visage, si des larmes coulent abondement et que de la morve sort de son nez, elle ne vomit pas. Vraiment, dommage.


Je me lasse un peu et décide de changer de jeu. Je demande au gars de changer de trou et de me rejoindre dans le sexe de Freya. S’étant tout juste retiré du cul il nous informe :

-Oh là elle m’a chié dessus, ma bite est pleine de merde.

-Tant mieux, fous-en plein ma chatte, j’aime qu’elle soit toute merdeuse. Peut-être que ma fille pourra déjà en goûter, ça l’habituera !


Le mec obéit, il se faufile à mes côtés dans le sexe distendu de la jeune fille enceinte. Bientôt nous la bourrons en cadence, elle feule de plaisir et jouit au bout de quelques minutes.


Si la proximité du gros ventre et la longue chevelure de Freya m’empêchent de voir ce qui se passe dans le reste de la pièce, j’entends que les autres occupants se livrent eux aussi à une orgie. De plus je profite d’odeurs infâmes, qui indiquent qu’ils jouent avec de la merde.


Je me concentre à nouveau sur Freya :

-Tu voulais te faire enculer sauvagement, hein ?

-Oui, j’ai toujours envie tu sais.

-Oui je m’en doute. On va t’embrocher le cul à deux alors.

-Ouais, allez-y j’adore ça.

Elle ponctue sa provocation en me crachant au visage, puis elle lèche bruyamment son mollard et me sourit :

-Chienne !

-Oui.

Je la gifle. Elle sourit encore.

-Allez, on l’encule, dis-je à l’attention de celui qui devient mon assistant baiseur. En employé dévoué il s’exécute, quitte la chatte trempée et retourne pénétrer le conduit boueux de Freya, qui quémande toujours plus :

-Ouais, déchirez mon fion de chienne ! Encore. Plus vite. Plus fort, s’il vous plait !


J’entre à mon tour. Le passage est extrêmement étroit entre la queue du prostitué et la paroi anale, l’intromission est compliquée, mais Freya m’encourage :

-Allez salaud, force, ça va rentrer, déchire-moi.


Enfin j’y suis. Il nous faut quelques allers retours pour trouver notre rythme de pistonnage et faire jouir du cul la petite salope.


Je demande au mec :

-Tire sa tignasse vers toi.

Cela oblige Freya à se cambrer et à libérer un peu d’espace entre ses grosses mamelles gonflées et bleuies et mon torse, je peux ainsi en profiter pendant qu’elle souffre dans une position peu confortable, toujours embrochée par deux matraques raides. Je pince et étire fortement ses tétons, elle crie :

-Aïe ! Espèce d’enfoiré ! Continue. Encore. Plus fort. Ouais comme ça. Allez !

J’assène de grandes claques à ses nichons, je la frappe assez méchamment, je pense que ses bleus vont encore s’étendre. Je ne suis habituellement pas violent avec les femmes, mais ses provocations m’incitent à lui faire mal :

-Oui c’est bon, frappe-moi, encore, plus fort … aïe … connard … oui … putain … j'aime ça … j’suis une chienne.

Elle va jusqu’à se gifler très fort elle-même, elle va aussi avoir des bleus au visage :

-Oh putain, foutez-moi des gnons, quémande-t-elle. Elle est vraiment folle, quel bonheur !

-Tu aimes la merde paraît-il ?

-Ouais j’adore ça, j’en bouffe tous les jours que Dieu fait. Surtout depuis que je suis en cloque. S’il vous plait donnez m’en !


Sa demande tombe bien, je sens depuis plusieurs minutes une odeur puissante et enivrante de caca nauséabond dans la chambre, je suis sûr que les autres protagonistes de cette partouze hors normes se vautrent dans la fange et j’ai envie de les rejoindre accompagné de Freya, avant que je ne jouisse dans son cul rétréci par la queue du prostitué.


On sort de son conduit, qui libère à nouveau un peu de merde. Je la fais pivoter sur le dos. Je me relève et je l’observe un instant, quel spectacle m’offre-t-elle : une belle blonde déformée par la grossesse, gisant sur le lit jonché de bave et d’un peu de merde, marquée de coups qui ont laissé des traces rouges et des bleus. Elle me sourit béatement :

-Je veux de la merde.


Pour la satisfaire, et me satisfaire également, je l’attrape par sa tignasse et la traîne à quatre pattes vers les autres convives qui baisent à même le sol. Ma femme Pauline se fait sauvagement embrocher par Henry qui doit l’enculer je pense, et par l’un des prostitués qui doit être dans sa chatte, tandis qu’elle prend en gorge profonde la grosse bite d’un autre prostitué. Elle est bien embrochée comme elle aime.


Pendant ce temps Catherine se fait ramoner par la bite du dernier des prostitués, qui la prend probablement par le cul. Elle fait face à sa fille Rati qui est à quatre pattes. La mère et la fille se roulent des pelles baveuses, qu’elles agrémentent de gifles et de crachats. Elles se pincent également les tétons et s’insultent comme des poissonnières :

-Petite salope, t’aimes te faire cracher à la gueule !

-Oui maman, j’adore ça. Je suis aussi salope que toi, tu m’as bien éduqué sale pétasse !

Catherine enchaîne à l’attention de son baiseur :

-Oh putain, Seigneur, continue de m’enculer, va déloger la merde grasse dans mon cul de salope !


Je fais contourner le couple de lesbiennes incestueuses à Freya en la tenant toujours empoignée par ses longs cheveux blonds, pour nous placer derrière sa sœur. Je découvre avec joie que cette dernière porte une culotte blanche assez classique, mais totalement déformée d’une énorme bosse. La garce a chié dans sa culotte alors qu’elle roulait des pelles baveuses à sa maman !


Cette vision m’excite, mais elle fait également de l’effet à Freya :

-Oh là là, ma chienne de frangine a pondu une grosse merde qui pue comme j’aime. Je peux goûter ?


Elle n’attend pas ma réponse et se lance vers l’entrecuisse sale de Rati, oubliant que je la tiens toujours par sa tignasse, ce qui l’arrête brutalement dans son entreprise :

-Et là où vas-tu poufiasse ?

-Je veux bouffer sa merde bien grasse.

-Et tu m’as demandé ?

-Non. Désolée. Je peux ?

Je lui assène une bonne baffe :

-Demande gentiment.

-Puis-je goûter à la bonne merde de ma salope de frangine ?

-Demande mieux que ça, tu oublies un mot important.

Elle hésite une seconde :

-Puis-je manger la bonne merde de ma sœur, j’en ai vraiment envie. S’il te plait.

-C’est mieux. Vas-y.


La jeune fille enceinte jusqu’aux yeux se précipite vers le derrière de Rati, écarte doucement la culotte maculée de caca gras et plaque son visage contre la merde qui tombe par petits tas en émettant un son répugnant. Quel spectacle ! Freya prend en bouche une bonne quantité d’excrément. Je la vois mâcher et avaler cette matière fétide avant de retourner à la source se goinfrer de ces immondices. Rati informe sa maman :

-Je sens que Freya vient me bouffer la merde au cul !

-Elle a bien raison, c’est le meilleur, répond la maman.


L’excitation prend le contrôle de la mère. Elle interrompt brutalement la sodomie que lui donne le prostitué, de la merde s’échappe alors de son propre cul, et elle se précipite rejoindre sa fille ainée qui se gave de la merde de sa fille cadette ! Quelle famille de pervers ! Je bande comme un âne !


Après avoir pris une grosse bouchée de caca, Catherine presse la culotte de sa fille et effectue des mouvements destinés à faire pénétrer la merde bien profondément dans tout l’entrecuisses de Rati et sans doute également dans sa chatte. La bouche de la jeune salope n’est plus occupée, elle voit avec envie les morceaux de merde qui jonchent le sol et que sa mère vient de pondre, aidée par la bite du prostitué, elle s’avance vers cette matière infâme qu’elle semble adorer également. Comme elle se déplace à quatre pattes, sa mère et sa sœur suivent le mouvement pour rester au plus près de la source cacateuse qu’elles convoitent. Bientôt les trois femelles sales se rejoignent pour se vautrer dans leurs excréments, sans aucune retenue !


Au bout de quelques minutes elles en veulent encore davantage, Rati se tourne vers le prostitué et lui ordonne :

-Viens nous chier dessus !


Le garçon s’exécute avec une célérité assez incroyable. En quelques secondes il pond un véritable serpent de merde qui choit sur le ventre déformé de Freya. Sa mère et sa sœur en prennent en main, elles badigeonnent leur corps et leur magnifique chevelure de cette substance taboue. Chacune bave abondamment ! Ça pue délicieusement.


Je décide d’ajouter mon obole. Je m’accroupis au-dessus du trio infernal et pousse très fort pour évacuer la merde que je sens en moi. Bandant très dur, l’opération n’est pas aisée, mais les filles m’encouragent et aident la manœuvre en doigtant mon anus qui libère enfin son contenu, certes nettement plus modeste que celui du prostitué, mais qu’elles semblent tout de même bien apprécier.


A force de manger de la merde, je vois Freya pâlir. Bientôt elle est prise d’un spasme assez impressionnant eu égard à son état de grossesse avancée et elle vomit un énorme flot de liquide grumeleux, brun, ignoble, fétide et délicieux qui sort de sa bouche tel un flot torrentiel ! Cette nouvelle immondice met les deux autres femmes dans un état d’excitation proche de l’hystérie. Elles se jettent littéralement sur Freya et tentent de positionner leur bouche grande ouverte au plus prêt du jet impétueux. Leur visage se masque immédiatement de cette nouvelle matière abjecte qui les ravit. Elles se vautrent dans l’ordure, se portent des coups violents et branlent mutuellement et vigoureusement leur sexe jusqu’à se donner de foudroyants orgasmes en gueulant leur joie d’être des salopes dégueulasses qui assouvissent pleinement leur vice.


Par-dessus ces cris de jouissance, j’entends Pauline clamer elle-aussi son plaisir, toujours empalée par les bites d’Henry et d’un prostitué. Lorsqu’elle se remet un peu de sa jouissance elle se désaccouple des deux hommes. D’où je suis-je vois distinctement de la merde s’échapper de l’anus dilaté de mon épouse, tandis que les deux queues sont toutes marron. Elle se prenait deux gros calibres en même temps dans le fion, quelle salope elle fait ! Je suis tellement fier qu’elle soit mon épouse aimée.


Le mari de Catherine se dirige vers les femelles de sa famille qui se vautrent toujours dans l’immondice. Il profite d’avoir un peu débandé pour pisser généreusement sur le groupe qui apprécie cette nouvelle souillure. A peine a-t-il terminé que sa fille Rati prend profondément en bouche son membre sale, elle ne met pas longtemps à lui redonner une vraie fierté, qui le rend apte à pénétrer vigoureusement sa fille cadette par la chatte. Quelle famille décidément !


Pauline approche de moi. Son corps porte quelques marques de coups. Elle me sourit et m’embrasse férocement et amoureusement à pleine bouche :

-Que c’est bon de se lâcher comme ça, déclare-t-elle lorsqu’elle rompt ce baiser. Elle m’excite follement, elle le lit probablement dans mon regard :

-Prend-moi maintenant, mais fais en sorte que je puisse partager les cochonneries de cette famille de pervers.


Je laisse donc Pauline s’allonger pour placer son visage au plus près des saletés avec lesquelles jouent Rati, Freya, Catherine et Henry et je me place derrière elle pour lui baiser la chatte vigoureusement. Je vois son anus encore dilaté taché de merde et suinter le sperme. Je la pistonne avec encore plus de vigueur.


Je vois qu’elle se mêle aux jeux dégueulasses de la famille de pervers, elle prend dans sa jolie bouche toutes les substances les plus infâmes qui ont été répandues là durant cette incroyable partouze : de la merde, de la pisse, de la salive, de la gerbe ... Je ne résiste pas très longtemps à tant de perversité, j’éjacule intensément au tréfond de son sexe en râlant de plaisir.


Elle quitte un moment les miasmes qu’elle affectionne tant pour goûter à mon sexe en décompression, elle semble apprécier les traces de sperme et de merde qui polluent mon membre, elle s’en délecte visiblement, puis elle retourne se vautrer dans l’ordure profonde. L’odeur dans la chambre devient atroce, mais c’est tellement bon.


Bientôt, Catherine quémande de nouvelles pénétrations, deux prostitués se précipitent pour la satisfaire. A sa demande ils lui écartèlent le cul simultanément avec leurs deux gros chibres. Elle gueule son plaisir d’être une telle salope patentée !


Bientôt sa fille Rati demande aussi à être baisée. Ayant repris une belle vigueur malgré ma récente éjaculation grâce aux pratiques terriblement excitantes qui se déroulent sous mes yeux, je lui embroche copieusement la chatte, qui est détrempée. A chaque mouvement des bruits humides de « floc, floc » se font entendre :

-Vas-y bourre moi salaud ! Déchire-moi comme une sale putain !

Sa chatte est grasse de caca et gluante de mouille, de bave et de foutre c’est un délice. Heureusement qu’elle ne tarde pas à jouir car je n’aurais pas pu résister longtemps.


Tout en se faisant violemment écarteler le cul par les deux prostitués, Catherine m’interpelle :

-Viens défoncer ma gueule de pute ! Je veux ton foutre salaud !

Je crains un instant de jouir avant de parvenir à atteindre sa bouche en me frayant difficilement un passage parmi les baiseurs, mais j’y arrive et pilonne sa gorge sans aucune retenue. Je semble avoir perdu le peu d’inhibition que je pouvais avoir et je la maltraite tant qu’elle dégobille le contenu infâme de son estomac ! Ma bite et mes cuisses sont couvertes de cette ignoble matière puante, adorée et abjecte. Tout en maintenant méchamment ma bite dans profondément ancrée dans sa gorge, je racle du vomi et le plaque dans ses longs cheveux blonds déjà souillés de merde et de gerbe. Ce nouvel acte, d’une incroyable perversité, me faire jouir une nouvelle fois. En me retirant je crains d’avoir été trop loin, trop fort, mais je suis rassuré par le sourire dont Catherine ma gratifie, elle me souffle même :

-C’était trop bien, merci…

C’est décidément une femme bien spéciale.


Je suis épuisé et bientôt les autres convives le sont également. Nous nous quittons assez vite, Pauline et moi regagnons notre chambre. Nous voyons plusieurs couples et groupes baiser dans les chambres aux parois transparentes ou même dans le couloir. Plusieurs se vautrent dans l’ordure. Certains espaces communs de l’hôtel sont vraiment dans un état de saleté avancé. En temps normal nous les aurions rejoints, mais nous avons eu notre compte pour ce jour. Nous passons beaucoup de temps à nous laver et nous nous endormons comme des masses dès que nous avons posé la tête sur l’oreiller.


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Nous nous levons assez tard. Nous nous faisons apporter le petit-déjeuner dans notre chambre. A peine avons-nous terminé, que Pauline me glisse d’une voix coquine :

-Ce soir sera notre dernière soirée ici et je voudrais bien retrouver Adélaïde qui nous a si bien accueilli. On devrait peut-être voir si elle serait disponible aujourd’hui.

Elle ne me laisse pas le temps de réagir et elle s’empare de l’écran de commande.

-Mince elle ne travaille pas dans la journée, mais elle serait disponible ce soir. On la réserve ?

-Oui, acquiesce-je.

-Aller j’y vais … Je vois qu’on peut choisir sa tenue, qu’en dis-tu ?

-J’aimerai bien la voir dans une tenue plutôt classe, dans le style de ce qu’elle portait quand on est arrivé.

-Ok, ça me va, je lui demande ça. Bien-sûr je lui demande d’être bien pleine, ajoute-t-elle en passant sa langue sur sa lèvre supérieure.

Malgré nos excès de la veille, je sens une pointe d’érection en regardant ma belle épouse faire des allusions aussi perverses.


Quelques secondes plus tard elle m’annonce avec son sourire coquin :

-Voilà, Adélaïde sera avec nous pour la soirée.

-Chouette. Tu ne voudrais pas qu’elle soit accompagnée ? On a droit à plusieurs prostitués par nuitée et on n’a pas encore tellement utilisé ce service.

-Tu as raison»


Nous consultons le catalogue des personnes proposées et disponibles. Pauline flashe pour un beau jeunot blond et un grand brun trapu un peu plus mature, tandis que je repère une rousse aux yeux bleus, à la peau très claire, avec quelques taches de rousseur. Sa fiche indique qu’elle pratique toutes sortes de vices, elle devrait parfaitement nous convenir.


Nous choisissons les tenues de nos serviteurs et demandons à ce qu’ils soient prêts à donner leurs fluides corporels durant notre soirée.


Nos réservations nous donnent une pointe d’excitation, nous nous embrassons amoureusement et passionnément pendant un moment, mais nous ne poussons pas plus loin nos ébats plus loin. Nous convenons qu’une balade en plein air nous fera du bien.


En traversant l’hôtel pour sortir, nous sommes presque surpris par la propreté des lieux qui étaient si sales durant la nuit, l’équipe de nettoyage est vraiment efficace. Nous passons devant la suite de Catherine et sa famille, ils ont laissé la paroi en mode transparent, ils semblent se lever tout doucement et nous constatons qu’ils n’ont pas pris la peine de faire faire le ménage, ni même de se laver, ce sont vraiment de gros cochons pervers.  


Nous revenons à l’hôtel à l’heure du déjeuner et décidons de tester le buffet. Sachant que ce choix nous mènerait sans doute à de nouveaux ébats, nous changeons de tenue, troquant nos vêtements de sport pour des vêtements plus adaptés : un pantalon et une chemise de lin pour moi et une jupe d’été et un chemisier plutôt transparent pour Pauline. Une fois de plus je la trouve à croquer lorsqu’elle me donne le bras, perchée sur ses chaussures à hauts talons, les seins fièrement dressés dans son soutien-gorge bien visible sous le fin tissu blanc.


Lorsque nous entrons dans la salle de buffet il est déjà plus de treize heures et une vingtaine de convives sont présents dans la grande salle. Une majorité d’entre eux sont déjà engagés dans des ébats, qui forment plusieurs partouzes, tandis que quelques personnes déjeunent presque normalement, en matant toutefois le spectacle. L’espace conséquent entre les tables laisse la possibilité à chacun de manger ou de baiser selon son choix sans que les convives ne se gênent. Nous sommes également surpris par l’odeur qui règne dans la pièce, elle mêle nourriture, stupre et excréments. Vraiment excitant


Un hôte nous accueille :

-Bonjour madame, bonjour monsieur. Soyez les bienvenus au buffet du Brun & Jaune. Puis-je vous demander votre numéro de chambre.

Nous le lui donnons, il enchaîne :

-Je peux vous proposer la table numéro 18.

Il nous indique la table en question, puis nous oriente vers le buffet :

-Vous pouvez vous servir au buffet. Sur la première partie vous trouverez tous les plats "normaux", tandis que sur la seconde partie nous vous proposons des mets sortant de l’ordinaire. »


Nous nous approchons du buffet munis de nos plateaux et couverts. Je suis une jeune fille brune vêtue d’une lingerie très sexy, juchée sur ses escarpins. Je constate qu’elle ne prend aucune précaution pour emplir son assiette, elle se sert directement avec ses doigts. En nous entendant derrière elle, elle se retourne, lèche ses doigts :

-Salut. Que c’est jouissif de ne pas faire de manière avec la bouffe !

Je constate que plein de nourriture jonche son menton et le contour de sa bouche, une petite crevette est même collée sur le haut d’un de ses seins. Je sens mon sexe se gonfler doucement avec cette vision qui serait totalement surréaliste dans la plupart des restaurants, et qui semble toute naturelle ici.


Arrivée à la seconde partie du buffet, elle empoigne des gâteaux marrons dont l’ingrédient principal fait peu de doute, là aussi elle se lèche les doigts après avoir déposé la nourriture dans son plateau. Je la trouve ravissante de vice, je sens mon érection se renforcer.


Pauline et moi équilibrons notre repas avec des plats classiques et quelques spécialités. Nous nous installons à notre table. Dans les environs immédiats, les autres convives mangent plutôt normalement, même si certains sont très dévêtus, qu’une jeune femme brune masturbe son compagnon tout en mangeant et que la plupart des convives mangent salement, souvent avec leurs doigts en salissant volontairement leurs vêtements.


Nous déjeunons en nous alignant sur la pratique de manger avec nos doigts, ce qui n’est pas très évident lorsque nous ne sommes pas habitués. Très vite Pauline salit son joli chemisier, d’abord avec de la sauce tomate, puis avec une sorte de bouillon qui le rend encore plus translucide. Ce comportement déviant me fait de l’effet que je ne cherche nullement à contrôler :

-Tu me fais bander chérie, dis-je tout fort.

Quelques voisins se retournent et nous jettent un coup d’œil. En réponse, Pauline rote de manière très vulgaire et ajoute de manière également très audible :

-Moi aussi cet endroit m’excite.

Nous goûtons aux spécialités : du "haggis fourré au naturel" et des "légumes farcis aux sucs humains", en nous tachant largement avec ces plats si particuliers.


Le couple d’à côté, celui où la femme masturbait son compagnon, s’approche tout sourire, portant des cafés :

-On peut s’assoir ? On vient de finir de manger et on partagerait bien un café avec vous, déclare l’homme, la bite à l’air à moitié bandée, une petite goutte dorée y pendouillant.

Sa compagne ajoute :

-On a entendu que la situation vous excitait, c’est pareil pour nous.

Tout en disant cela, elle désigne ses vêtements salis de traces diverses dont beaucoup de brunes, ses tétons dardent sous son mini-chemisier. L’homme pose les quatre cafés sur notre table tandis que sa compagne, sans gêne, pose ses fesses directement sur la table, en écartant outrageusement les cuisses, ce qui fait remonter sa mini-jupe courte et nous offre une vue imprenable sur sa chatte brune poilue dégoulinante de différentes substances qui forment des fils gluants entre ses grandes lèvres ouvertes. Sans prévenir elle libère un gros pet sonore, qu’une grande partie de salle de restaurant peut entendre, elle sourit béatement, un filet de bave pend à la commissure de ses lèvres. Pour un amateur de saleté comme moi, reluquer une belle jeune femme aussi cochonne est un supplice, mon sexe est à l’étroit. Pauline devine mon émoi et me souffle :

-Vas-y, prend la, elle n’attend que ça.

Notre invitée a entendu les propos de mon épouse, elle sourit toujours béatement, elle se bouche une narine d’un doigt, souffle par le nez et fait sortir une grosse goutte de morve par la narine restée ouverte, elle pendouille là. Elle sort sa langue pour la capter. Il ne m’en faut pas davantage, je défais ma braguette, sors ma verge raide, attrape la nana par les épaules, place ma queue à l’entrée de sa grotte sale et je la fourre sauvagement en lui crachant au visage ! Je la saillis là, sur la table, dans la salle de restaurant. Quelques convives nous observent, mais ça ne choque personne. La fille ronronne d’aise :

-Oh oui, prend-moi comme ça. Comme un sauvage !


En allant l’embrasser à pleine bouche, je lape la coulée de morve qui dégouline toujours de son nez. Avec ma langue je fais pénétrer cette substance dans la bouche de la fille. Nous la partageons en nous roulant une pelle.


Je nique cette jeune femme un moment. Je vois que Pauline a pris profondément en bouche le sexe de son compagnon, elle semble d’ailleurs l’apprécier :

-Hum, j’aime le goût de ta bite, tu l’as fourré où ?

-Si tu savais … Continue comme ça s’est trop bon.


Ma partenaire jouit rapidement en criant son plaisir dans la salle de restaurant. Ça ne choque toujours personne, il faut dire que d’autres tables nous imitent. Je me vide en elle peu après, tandis que Pauline se fait également baiser. Elle jouit un peu plus tard, le mec jute en elle.


Nous quittons ce jeune couple sans même avoir échangé nos prénoms.


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Nous passons l’après-midi à profiter des activités non-sexuelles de l’hôtel. Nous nous réservons pour notre dernière soirée dans ce lieu des délices sans nulle pareille, en prenant soin de ne pas nous laver après des ébats de ce midi. Pauline conserve le foutre du mec dans sa chatte.


La soirée arrive. Comme nous souhaitons rester tous les six, nous activons le panneau "Ne pas déranger" à la porte de notre chambre. Nos prostitués toquent donc à notre porte.


Pauline ouvre et fait entrer la délicieuse Adélaïde, dont le physique avantageux est parfaitement mis en valeur par son très joli tailleur couleur crème, ses bas blancs aux motifs sophistiqués et ses hauts escarpins. Elle est suivie de la ravissante Agathe, à la chevelure rousse flamboyante, tout sourire dans sa nuisette bleue-clair transparente, elle aussi chaussée de hauts talons qui mettent bien en évidence sa silhouette parfaite. Quentin, un beau gaillard musclé, fait son entrée, torse nu, suivi par Renaud, un beau blond, plus jeune, également bien bâti.


Nous avons prévu de faire un peu connaissance, en prenant du Champagne. Je sers les coupes et nous trinquons à notre découverte de ce formidable établissement qu’est le Brun & Jaune.


Très vite Pauline s’approche de Quentin, elle passe sa main sur le torse musclé du garçon, qui lui sourit. Mon épouse est vêtue d’un pantalon blanc immaculé, très ajusté et d’un chemisier assorti, plutôt transparent.


J’engage la conversation avec Adélaïde et Agathe. Elles me déclarent leur joie de travailler au Brun & Jaune, elles estiment que ce job correspond tout à fait à leur esprit pervers, elles se disent ravies de pouvoir allier gagne-pain et plaisir. Est-ce un discours de façade ? Je n’en sais rien, mais elles me semblent néanmoins sincères.


Très vite la jolie Agathe laisse volontairement couler du Champagne sur le haut de sa nuisette, naturellement transparente. Le liquide plaque le tissu sur sa belle poitrine et met très en valeur son téton dressé. Elle sourit. Adélaïde se penche et titille l’appendice mammaire de sa belle petite langue rose. Qu’elles sont mignonnes. Malgré tous les orgasmes que j’ai connus ces derniers jours, je sens une forte érection me prendre au tréfond de mon bas-ventre.


Adélaïde se rend compte de mon état, elle libère mon sexe qui jaillit tel un diable de sa boîte, et elle se penche en avant et le prend bien profondément dans sa bouche chaude et humide, c’est un régal. Lorsqu’elle se retire elle me dit, souriante :

-J’avais envie de te faire ça dès qu’on s’est vu l’autre jour où je vous ai accueillis.

Agathe, également tout sourire, donne une bonne claque au fessier d’Adélaïde, elle est en très bonne position, juste derrière elle. Adélaïde gémit :

-Aïe ! s’exclame-t-elle, visiblement plus surprise que prise de douleur.

Elle poursuit :

-Continue, donne-moi la fessée.

Agathe s’exécute, elle trousse la robe, découvrant les beaux lobes d’Adélaïde, et assène de régulières et rudes claques à ce postérieur parfaitement galbé et bien exposé aux coups. Excité par cette scène, j’introduis ma verge dans la bouche gourmande de la jeune blondinette et la fait coulisser loin dans sa gorge humide et accueillante.


A côté de nous, je vois que Pauline s’amuse avec les garçons, elle lèche la raie culière de Quentin, tandis que Renaud baisse le pantalon blanc qui la moulait de si près. En le voyant faire, je constate qu’une tâche brune macule l’entre-jambes du pantalon, Pauline a dû se laisser un peu aller. Rapidement Renaud fourre franchement sa langue dans la fente de ma femme, toujours occupée à lécher le cul de Quentin. Connaissant le goût prononcé de Pauline pour l’ordure, je suis sûr que le mec doit avec le cul bien crade.


Je crains de jouir trop vite à ce rythme. Aussi, je quitte la bouche baveuse d’Adélaïde. Elle est toujours fessée rudement, mais elle encaisse parfaitement :

-Oui, c’est bon. Continue. Plus fort, chienne !

Tout en me souriant elle ajoute à mon intention :

-Tu peux me frapper toi aussi. Je suis une vraie maso, n’hésite pas.

Un fil de bave coule de sa lèvre inférieure. Comment résister à un tel appel ? Je n’y parviens pas, je n’essaye même pas. J’attrape cette pute par ses longs cheveux blonds, tire suffisamment fort pour qu’elle se redresse, presque pendue par sa tignasse. Je lui crache au visage et je lui envoie une grosse gifle en aller-retour. Malgré la violence de mon acte, elle me sourit toujours :

-Voilà, c’est ça que j’aime. Encore, s’il te plait.

Qu’elle pétasse !

Derrière elle, Agathe continue de lui administrer une bonne fessée. J’attrape le visage d’Adélaïde dans ma main et serre assez fort pour que ses traits se déforment. Je lui mollarde à nouveau dessus :

-Pouffiasse !

Je la relâche et tire violemment sur le haut de son tailleur, qui se déchire complètement. J’arrache alors son soutien-gorge et découvre sa belle poitrine bien ferme. Elle me sourit, bavant toujours. Je pince un de ses tétons, fort, très fort, puis je le tords. Son visage trahit la douleur qu’elle ressent, mais ses paroles sont toujours provocatrices :

-Oh putain c’est trop bon, encore s’il te plait. Continue.

J’invite Agathe à maltraiter l’autre téton. Adélaïde crie, mais elle sourit et quémande toujours :

-Aïe ! Putain ça fait mal … C’est bon … encore. Continuez, s’il vous plait.


Je demande alors à Agathe de continuer seule à maltraiter la blondinette, pendant que je les mate, tout en suivant ce que fait mon épouse avec ses deux prostitués. Elle est allongée sur le dos, sur le lit et demande à Quentin :

-Chie-moi dessus. Je veux que tu pondes une énorme merde bien dégueulasse sur moi.

Le mec s’exécute à une vitesse incroyable, il devait avoir une grosse envie. Il chie une masse impressionnante d’un caca brun à la texture plutôt molle, qui recouvre tout le torse nu de Pauline. L’odeur de la chambre devient vite pestilentielle. Pauline demande alors :

-Prenez cette merde et faites-moi un massage avec.

En employés dévoués les deux gars se mettent au travail avec entrain. Ils enduisent tout le corps de Pauline de la merde bien grasse et puante et entreprennent de la masser avec soin, comme des masseurs professionnels. Ma femme ronronne d’aise sous ce traitement si particulier. Je suis sûr qu’elle est terriblement excitée.


Pendant ce temps Agathe continue de battre Adélaïde. Elle lui envoie de grosses baffes et triturent violement ses nichons. Me demandant si la jeune blonde n’est pas trop proche de la limite, je décide d’intervertir les rôles :

-Bien les filles, on va changer, maintenant, je veux qu’Adélaïde foute une trempe à Agathe.

Toutes les deux sourient à ma proposition, une lueur d’excitation, qui ne me semble nullement feinte, brille dans leurs yeux à toutes les deux. Immédiatement Adélaïde se met à frapper le visage angélique de celle qui vient de la battre. Elle y va franchement, les coups pleuvent, mais Agathe est toujours souriante, et semble tout autant apprécier d’être violentée qu’elle prenait du plaisir à maltraiter sa compagne de jeu une minute avant. Tout y passe, Adélaïde gifle, fesse, tord les tétons, assène même des coups de pied bien sentis à sa partenaire. Quel spectacle m’offrent-elles. La peau de la rouquine se marque de traces de coups.


Au bout d’un moment je stoppe la violence et leur demande de se positionner en soixante-neuf et de se chier dessus. Elles me regardent de leur air coquin et se mettent en place. Adélaïde sur Agathe. Très vite, leurs anus s’ouvrent et elles pondent chacune un gros étron. Agathe le reçoit en pleine face, tandis qu’Adélaïde plonge son visage au sol pour laper l’offrande de sa partenaire. Elles sont très gourmandes de merde. Des giclées de pisse sortent de leurs chattes. Excité comme un fou, je me positionne derrière Adélaïde et je pénètre d’une seule grande poussée son anus merdeux. Elle feule. Je donne quelques va-et-vient, je ressors et pour planter mon sexe dans le sien. Au passage j’introduis sa merde profondément dans son vagin. J’explose en quelques secondes, mon foutre ajoutant sa souillure aux immondices qui polluent déjà sa moule sale.


Je quitte son antre. Les filles se relèvent, leurs merdes salissent leurs vêtements en lambeaux et leurs peaux nues. Je les trouve ravissantes de vice. Agathe me donne une délicieuse fellation en gorge profonde, prenant dans sa jolie bouche mon dard sale pour lui redonner de la vigueur. Elle s’y emploie vivement, elle bave pendant que sa comparse me fait des papouilles merdeuses. J’apprécie le goût des merdes qu’elles viennent de pondre. Mon sexe reprend vie et je me mets à baiser Agathe. Je passe plusieurs fois de son cul à sa chatte, souillant cette dernière de toutes les saletés accumulées sur ma tige. Je la fais jouir. Je jute une nouvelle fois profondément fiché en elle.


Je commence à fatiguer. Je vois ma femme se faire baiser par les deux prostitués. Ils la ramonent vigoureusement. Elle a de la merde partout, ses beaux cheveux trempent dans une flaque brune qui baigne sur le lit où elle se fait saillir. Elle crie son bonheur, elle jouit.


Le trio se désaccouple et nous faisons une pause salvatrice, tout en restant largement couverts de nos immondices. Je sers une nouvelle coupe de Champagne à tout le monde.


Pauline et moi prenons un vrai plaisir à faire baiser ensemble nos quatre prostitués. Nous les matons en amateurs de sexe crade, ils sont très beaux. Chacune à leur tour les deux filles se font prendre en double pénétration par les garçons. Leurs culs suintent de caca qui vient s’ajouter aux miasmes déjà présents. Pendant ce temps Pauline et moi nous nous masturbons mutuellement, amoureusement, salement. Avant qu’elle ne jouisse sous ses doigts merdeux, elle lâche un jet de pisse brulante.


Ces actes pervers me redonnent encore un peu de vigueur. Je me fais sucer un moment par Adélaïde, puis je rejoins Renaud qui fourre la chatte sale d’Agathe. Je m’introduis sans peine dans son cul gras. Je la pistonne un moment et me retire avant que je n’éjacule. Je présente alors mon sexe tendu à la bouche habile et cochonne d’Agathe qui me prends en gorge profonde. Je donne de furieux coups de bassin et libère un peu de foutre dans son gosier. Mon intromission et mon éjaculation la font vomir. Elle pousse un cri de bête et un impressionnant flot de gerbe s’éjecte de sa bouche. Adélaïde et Pauline se précipitent, se badigeonnent de vomi, en portent à leur bouche et se le partagent lors de baisers tout aussi ignobles que magnifiques !


Pauline est vraiment une amatrice de saleté. Plus ses pratiques sont sales et immorales et plus elle jouit, plus elle est belle et plus je la désire. Malgré mes nombreux orgasmes de ce soir, et de ces derniers jours, je parviens encore à trouver suffisamment de vigueur pour la prendre une nouvelle fois, tant dans sa chatte que dans son cul. Je finis dans sa bouche, mais mes couilles asséchées ne lui donnent que quelques petites gouttes du foutre qu’elle aime tant.


Nous congédions alors nos prostitués. Nous prenons une interminable douche pour nous départir des odeurs d’excrément, puis nous commandons un nettoyage intégral de la chambre. Nous sommes surpris de l’extrême efficacité des équipes dédiées.


Nous nous endormons en nous câlinant. Mes bourses sont comme des raisins secs ! Je suis vidé.


Nous sommes vraiment ravis de cet incroyable séjour au Brun & Jaune. Nous nous promettons d’y revenir dès que nous en aurons l’occasion. Nous ferons également connaître cet établissement hors normes auprès de nos amis libertins.