AVERTISSEMENT

Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages.


Putain que j’ai envie de baiser aujourd’hui !


Heureusement c’est prévu. J’ai rendez-vous avec trois mecs que je connais bien. De gros pervers, hyper vicieux, comme j’aime. Ils sont endurants, bien montés, violents, dégueulasses, bref ils ont toutes les qualités que je recherche dans mes partenaires sexuels.


Ma chatte suinte déjà, ou plutôt ruisselle tellement je suis excitée.


Je suis un peu ballonnée. C’est normal, je n’ai pas chié depuis deux jours. Je veux être bien prête, et surtout bien pleine, pour épicer encore la partie de baise.


J’ai acheté une tenue exprès pour l’occasion. Un ensemble de lingerie blanche, un string, un soutien-gorge qui comprime mes seins, des bas et un porte-jarretelles et des chaussures assorties, à talon aiguille vertigineux. Je ne la mettrai qu’une fois car elle sera irrécupérable après le bon temps que je vais m’offrir. Comme d’habitude, elle sera déchirée et souillée. C’est un petit luxe que je m’offre assez souvent.


Pour faire le trajet à pied j’ai enfilé un grand imperméable, qui cache ma tenue trop sexy pour être portée dehors.


Le rendez-vous a lieu dans une sorte de garage, que l’un de mes partenaires a aménagé pour baiser. Ce n’est pas le grand luxe et vraiment pas romantique, mais c’est très bien équipé pour la baise hors normes, et je ne recherche absolument pas le romantisme quand j’ai autant envie de baiser qu’aujourd’hui !


J’entre, les trois mecs sont déjà là, ils boivent une bière et fument leur clope. Ils sont torse nu. Je quitte immédiatement mon pardessus, je le mets en sûreté car je sais que ce sera mon seul vêtement lorsque je repartirai.


« Salut ! On t’attendait, me lance Mario, un petit brun trapu.

-Salut les mecs, » réponds-je, en leur faisant un clin d’œil, en passant ma langue sur ma lèvre supérieure, je fais exprès de leur montrer le clou qui orne ma langue, en bavant sciemment puis en me giflant deux fois de suite, bien fort.


« T’es vraiment canon, complète Loïc, un grand blond.

-Ça on peut le dire, » confirme Pascal, la cinquantaine bien passée, mais toujours un corps d’athlète et une virilité à faire pâlir de jalousie de nombreux jeunots.


« Viens-là morue, m’intime Loïc, on va s’occuper de ton cas. »


Je m’approche, de plus en plus excitée. Ça paraît très bizarre, mais j’adore être insultée et maltraitée par mes partenaires sexuels, cela m’excite et augmente ma jouissance.


« Putain regardez les gars son string est trempé, ça fait une tache ! Elle a vraiment envie qu’on la déboite, s’exclame Mario.

-Ouais, j’ai besoin d’être bien défoncée de partout. »


Mario attrape ma tignasse et me force à m’agenouiller. D’instinct je le débraguette. Sa queue est déjà grosse, je l’enfourne dans ma bouche, la faisant pénétrer immédiatement au tréfond de ma gorge. Le goût est salé et fort, il n’a pas dû se laver depuis quelques jours, j’adore ça !


« Oh putain l’affamée, lâche-t-il, tu me rendras ma bite, hein ?

-Hum hum, chais pas elle est trop bonne, » réponds-je en gardant un morceau de queue dans ma bouche.


D’un coup sec mon soutien-gorge est déchiré, libérant mes nichons qui sont très vite violemment tourmentés, comme j’aime.


« Tu partages ? demande Pascal, Ouais, prend-là aussi. »


Pascal empoigne mes longs cheveux, il a déjà baissé son froc. Il ne me fait pas sucer son braquemart, mais il plaque mon visage dans la raie de son cul qui est encombrée de merde plus très fraîche, à moitié séchée, qui doit stagner là depuis plusieurs jours, c’est vraiment un gros porc ! Quel bonheur de connaître des mecs aussi pervers et aussi crados ! Je lèche avidement les miasmes. Il me pète à la gueule, je manque de m’asphyxier ! Pendant ce temps des mains rudes maltraitent mes fesses, des doigts fermes tiraillent mes tétons, ornés de clous, qui dardent furieusement. Je mouille comme une fontaine ! Quel plaisir !


Loïc m’attire à lui, je vais pour enfourner son membre dans ma bouche, mais il maintient mon visage à quelques centimètres de son sexe d’où s’échappe rapidement un puissant flot d’urine brûlante, que je gobe de mon mieux, mais il fait en sorte que je sois trempée de partout par sa bonne pisse à l’odeur forte et au goût prononcé.


Lorsque la source se tarit, toujours empoignée par mes cheveux dégoulinants de pipi, ma tête est tirée en avant, droit sur la tige de Loïc, que j’embouche à m’en démettre la mâchoire. Il dépasse mes amygdales du premier coup. Je ressens de forts hauts le cœur et je gerbe mon dernier repas et sa pisse en quelques secondes. La pression du vomi est forte et ma bouche étant encombrée par le gros chibre, le dégueulis jaillit en grande partie par mon nez ! Cette séance de baise démarre fort, comme j’aime et comme j’en avais vraiment envie !


Lorsque mon vomissement s’achève, Loïc se retire de ma bouche et plaque mon visage au sol pour que je lape la mixture qui mêle sa pisse et ma gerbe. Je devrais être rebutée par un acte si dégradant et si dégoûtant, mais bien au contraire, le côté abject de cette pratique stimule ma libido, une simple caresse sur mon entre-jambe me ferait jouir dans l’instant.


Justement, l’un des mecs écarte la ficelle de mon string et plante directement son membre dur dans mon cul, violement sans aucune préparation, tout en force, il me déchire la rondelle brutalement. C’est douloureux à souhait, divin ! Je jouis immédiatement, poussant un profond râle de satisfaction, interrompu par la queue de Loïc qui revient posséder ma cavité buccale.


La bite qui farfouille mon fondement à grands coups de reins extrait de la merde de mon cul plein, j’en sens l’odeur avec délice, impatiente de goûter. « Oh putain, salaud c’est trop bon, défonce mon trou à merde, écartèle-moi ! … Déchire mon cul de pétasse ! » parvins-je à prononcer lorsque Loïc donne un court répit à mes mandibules.


Tout en maintenant son dard profondément fiché dans mon cul, mon enculeur m’attrape, me soulève et s’assied sur le vieux canapé avant de reprendre son travail de sape dans mon boyau. Après quelques va et vient, Pascal place aussi son sexe à l’entrée de mon cul, d’où la merde déborde. J’ai l’habitude des doubles pénétrations anales, mais l’intromission n’est pas aisée. Je les encourage : « Ouais les gars, allez-y prenez mon petit cul avec vos deux grosses bites ! Forcez, ça va rentrer, la merde fera glisser. Détruisez-moi le fion ! Faites-moi mal comme j’aime !

-Ton cul n’a rien de petit espèce de pétasse, avec toutes les bites que tu te prends, le métro pourrait passer » répond Mario. Il exagère, bien-sûr, mais c’est vrai que depuis que je me fais défoncer le cul régulièrement par de gros calibres, mon anus se distend assez facilement.


Les salauds ne se privent pas. Pascal bourrine pour se glisser le long de la queue de Mario tout en force. Ils entament un mouvement synchronisé qui écartèle mon cul, comme j’aime.


Pascal ma crache à la gueule, j’ouvre la bouche pour capter ses mollards gluants. Ceux que je manque vont rejoindre ma salive et mon vomi qui souillent mes joues et mon menton. Il me gifle, tire mes cheveux pour approcher mon visage du sien et me donner des baisers visqueux. Il mord mes lèvres au passage. Lorsque je fourre ma langue percée dans sa bouche, il retient parfois le clou avec ses dents, me forçant à tirer outrageusement ma langue, qui me provoque une vive douleur. Que j’aime cette violence dans la baise ! J’en ai vraiment besoin pour prendre mon pied.


Loïc me fait branler sa bite tandis qu’il trifouille ma chatte poisseuse de ses doigts râpeux d’ouvrier. Il en fourre plusieurs en moi, puis demande aux deux autres mecs : « Arrêtez une seconde les gars. Je suis sûr que je peux fister sa grosse chatte de salope pendant que vous lui fourrez le cul. Ma main va resserrer vos bites à l’intérieur, ce sera encore meilleur. »  Un brin d’inquiétude traverse mon esprit en entendant le projet pervers de Loïc, mais immédiatement l’excitation de me soumettre à un nouvel acte pervers et hors normes prend le pas sur la peur, je souffle : « Ouais, allez-y ça va me faire du bien d’être hyper dilatée. » Une nouvelle gifle bien sèche m’est assénée en guise de réponse. Je souris.


Mario pivote sur le canapé, pour pouvoir s’allonger sur le dos, Pascal et moi suivons le mouvement. Ainsi allongée, le cul toujours empalé par les deux chibres généreux, ma chatte est plus accessible au poing de Loïc. Il introduit assez facilement quatre doigts, mais la place occupée par les deux queues ne lui permet pas de faire coulisser toute sa main dans mon sexe pourtant trempé. Pour faciliter l’opération délicate, je lui suggère : « Prends de la merde et fourre-la dans ma chatte, ça aidera à te faire entrer. » Suivant mon conseil il graisse bien l’intérieur de mon vagin de la merde qui suinte de mon anus écartelé. Sentir de la matière fécale dans mon intimité m’excite comme une folle.


Je jouis en gueulant comme une truie qu’on égorge lorsqu’il parvient à foutre toute sa grosse paluche dans ma chatte merdeuse pourtant rétrécie par les deux bites qui encombrent mon cul. Mario et Pascal reprennent leurs mouvements de piston, tandis que Loïc agite également sa main, je vais d’orgasme en orgasme, que c’est bon !


Ils se retirent simultanément, me laissant un peu chancelante après tous ces orgasmes furieux, mais aussi frustrée que mes trous affamés soient béants. Je ne me suis même pas rendue compte que je venais de pondre une très grosse merde lorsque les mâles ont quitté mon anus. Je m’en aperçois lorsque Mario s’en saisit, m’empoigne par les cheveux et me tartine la gueule de cette matière ignoble que j’affectionne tant : « Tiens morue, t’as mérité de bouffer ta merde, comme t’aimes, avale ! » J’obéis avec joie, tant le côté dégradant de manger des excréments est excitant pour moi.


Je passe un long moment à ingurgiter mon caca puant. Pendant ce temps-là les mecs font une pause clope et bière. Lorsque la nausée prend le dessus sur l’excitation, je quémande une bière, qui m’aiderait à faire digérer toute la merde que je viens d’absorber. Pascal me demande : « Qu’est-ce que tu peux faire pour mériter une bière ? » Un peu prise au dépourvu par cette demande, ma perversité me conseille une fois encore « Te laisser me cramer le téton avec ta clope, » réponds-je effrontément.


Une lueur perverse traverse le regard de Pascal. Il regarde le bout incandescent de sa cigarette et l’approche de mon téton gauche. Il hésite une seconde. Moi pas. J’empoigne mon nichon et positionne le bout sur la pointe brûlante. Je ne ressens rien durant les tout premiers instants. Puis une vive douleur m’irradie. Je résiste et laisse plusieurs secondes ma chair se cuire à ce contact diabolique. Lorsque je me retire, la douleur continue d’augmenter, sans doute accrue par le métal de mon piercing qui a chauffé et me brûle de l’intérieur. Une odeur de viande grillée se répand. Je suis incroyablement excitée d’avoir commis un tel acte de folle à lier.


Presque respectueux, Pascal me tend une bière, je rétorque : « Ça m’a trop excité. Baisez-moi encore, j’ai envie, je boirai après. » Ils posent tous leur bière et leur clope et se jettent sur moi pour un nouveau round de pénétrations vigoureuses. Deux mecs se relaient dans ma chatte et dans mon cul, généralement en pilonnant simultanément le même orifice de leurs queues salies de ma merde. Le troisième s’enfonce profondément dans ma gorge.


A un moment où Pascal brutalise ma bouche, il me dit : « T’as bien mérité ta bière. » Il tire ma tête en arrière et fourre la bouteille dans mon gosier. La boisson emplit ma bouche, mousse, j’ai du mal à avaler, je suis rapidement éclaboussée de ce liquide collant.


Un peu plus tard, l’un des gars jute au tréfond de mon gosier. C’est comme la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Son foutre me fait tousser et je régurgite toute la merde que j’aie bouffée un peu plus tôt et le peu de bière que j’aie pu avaler. Je fous du vomi partout sur moi et mes baiseurs.


Ils ne me laissent aucun temps de répit et me forcent à lécher toute l’ordure, ce que je fais sans rechigner. Des gifles et des fessées accompagnent mes tentatives de nettoyage à la langue.


J’adore cette séance de baise bien rude, mais j’ai envie d’encore plus de cochonneries : « Les mecs c’est surtout moi qu’ai fourni la saleté pour qu’on s’éclate, c’est à votre tour maintenant.

-Tu veux notre merde, c’est ça pétasse ? demande Loïc.

-Ouais votre merde, votre pisse, votre gerbe, votre foutre, tout ce que vous pouvez sortir de vos trous de gros porcs dégueulasses.

-Tu vas être servie sale truie, répond Mario. »


Il m’allonge sur le dos à même le sol couvert de vomi, de pisse et de merde et s’accroupit au-dessus de mon visage, plaquant sa raie culière sale sur moi. Il est au moins aussi crade que Pascal, mais je n’ai guère le temps de lécher la merde à demi sèche, avant que ma bouche ne soit remplie d’une énorme masse putride, semi liquide. Mario m’a pondu un gigantesque amas de merde gluante, visqueuse et nauséabonde en pleine poire, comme j’adore !


Dans le même temps on écarte mes cuisses pour me pistonner le cul à grands coups de bite. Quel bonheur de connaître de tels pervers ! Je jouis à nouveau puissamment, ma chatte libérant des giclées de mouille.


Lorsque Mario s’écarte de mon visage, je m’aperçois dans l’un des miroirs qui orne le plafond du garage. Je suis méconnaissable, le visage et le haut du corps recouverts d’une gangue épaisse de merde brune, secouée par les mouvements de Pascal qui s’agite vigoureusement dans mon fondement. L’odeur dans le garage est pestilentielle.


Mario étale sa merde sur tout mon corps. Pendant ce temps, j’avale la matière fécale qui encombre ma bouche. Il insiste particulièrement pour graisser ma chatte de ses excréments, qui rejoignent les miens introduits un peu plus tôt. Il en profite pour m’asséner quelques coups bien sentis, surtout sur mes seins. La merde humide atténue légèrement la douleur que me provoque toujours mon téton brûlé.


Après que Pascal ait éjaculé dans mon cul, Loïc s’agenouille sur le canapé et me demande : « Viens chercher ma merde, grosse vache. Je veux sentir ta langue dans mon cul, mets-y les doigts si besoin. » Excitée, j’obéis et fourre ma langue percée dans sa raie sale. Il pète. Son odeur est différente de celle des autres merdes que j’ai ingurgitées aujourd’hui et elle me fait vomir une nouvelle fois.


A peine ai-je fini de gerber sur moi, que je replonge dans la raie pour extraire le maximum de merde. J’enfonce un doigt que je retrouve chargé de matière, je le lèche, c’est délicieux ! J’y retourne.


A ce moment-là une bite me prend l’anus sauvagement, en levrette, je crois que c’est celle de Mario, il me ramone puissamment. Malgré les secousses, je parviens à extraire encore de la merde du cul de Loïc. Mais j’en veux toujours plus : « Aller, pousse maintenant. Chie moi à la gueule ! J’veux plus de merde ! » Il me donne rapidement satisfaction en expulsant un gros étron bien gras et collant, que je capte de mon mieux dans ma bouche toujours avide d’ordure !


Je suis encore baisée par tous mes trous pendant un bon moment. Nous jouissons tous à plusieurs reprises, heureusement que les gars sont endurants.


Entre deux éjaculations, les mecs me gratifient d’une bonne douche dorée, qui vient liquéfier un peu la merde qui recouvre mon visage et mon corps.


Je pousse ensuite Pascal à m’offrir le contenu de son intestin, le seul qui soit encore plein. Il s’y prête avec plaisir, m’offrant un étron un peu plus dur que ceux que j’ai bouffés jusque-là.


Les kilos de merde que j’ai avalés ces dernières minutes me font une nouvelle fois dégobiller. Les trois gars badigeonnent mon visage et mes nichons de cette mixture infâme, j’en reprends même en bouche. Quelques gifles, claques et insultes ponctuent leurs gestes, pour mon plus grand bonheur.


Ces pratiques immondes parviennent – enfin – à faire gerber l’un des mecs. C’est Mario qui m’offre le contenu prédigéré de son estomac ! Je suis heureuse qu’il parvienne à viser mon visage, le submergeant d’une nouvelle matière ignoble que j’aime tant. Bien-sûr j’ouvre toute grande ma bouche afin de goûter à ce nouveau présent.


Après cette dernière offrande, je suis encore pénétrée par tous mes trous, jusqu’à ce que chaque mec jute une dernière fois dans ma bouche sale et gourmande.


Lorsqu’ils sont totalement épuisés et que leurs couilles, leurs intestins et leur vessie sont à sec, ils ne prennent aucun égard et me foutent à la porte du garage sans que je n’aie pu me nettoyer un minimum. Ils me jettent mon imperméable et mes chaussures souillées en me lançant : « A la prochaine pouffiasse ! » et en me crachant une dernière fois à la gueule, chacun à leur tour.


J’aurai pu continuer à baiser encore, mais je suis déjà satisfaite de la prestation de ces trois lascars.


Je me débarbouille très grossièrement le visage avec quelques mouchoirs en papier que j’avais pris la précaution de glisser dans les poches de mon vêtement, je me couvre au mieux, enfile mes escarpins sales et traverse à pied une partie de la ville jusqu’à chez moi, le visage rougi par les centaines de baffes et maculé de toutes sortes de fluides corporels, les cheveux collés d’immondices, les fesses douloureuses et le téton gauche brûlé qui me lance violemment. Je croise des regards interrogatifs et surtout dégoûtés, mais je m’en fous totalement, j’avance fièrement, la tête haute. J’ai été baisée et ai joui comme je le voulais, c’est tout ce qui compte, et je remettrai ça dès que l’envie m’en reprendra. Sans doute très vite.


ENVIE

Par Fed (MMM/F, oral anal, torture, domination masculine, crade, uro, vomi, heavy scat)