AVERTISSEMENT
Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages.
Barbara a 22 ans. Les gens qu’elle rencontre sont frappés par sa formidable chevelure rousse, très longue et ondulée, et ses yeux bleus très clairs, presque délavés. Elle a la peau également très claire et quelques petites taches de rousseur.
Les très rares personnes qui la connaissent plus intimement admirent ses formes, ses seins lourds et fermes, ses fesses charnues et bombées.
Pour son entourage Barbara est une jeune fille sans histoire, qui vient de terminer ses études et entre tout juste dans la vie active. Ce nouveau statut lui permet d’être indépendante, louant un petit appartement douillet en province. Elle a eu quelques amoureux, mais n’a semble-
Toutefois, cette adorable personne a un secret. Lorsqu’elle se retrouve seule chez elle avec du temps, elle adore se déshabiller complètement, s’installer allongée dans sa baignoire vide et arroser son corps nu de l’eau chaude qui coule du pommeau de douche. Elle apporte avec elle deux godemichés de forme très allongée. Un miroir est installé juste au-
Rapidement Barbara glisse sa main gauche vers son intimité. Elle titille sa fente encore fermée. Elle sent l’excitation monter en pensant à ce qu’elle va faire. Son doigt inquisiteur s’immisce doucement entre ses lèvres intimes, caressant légèrement son clitoris, encore largement encapuchonné. Mais elle poursuit son travail en pointant une phalange dans son sexe. Elle la retire, masse son généreux sein droit, commence à faire darder son téton. Elle revient ensuite à sa chatte, y fait pénétrer une seconde phalange, puis tout son majeur.
Outre l’eau de la douche, Barbara sent qu’elle mouille, son doigt commence à être glissant, très légèrement gras de la cyprine qu’elle libère. Son index rejoint le majeur et les mouvements s’accélèrent. Barbara gémit parfois un peu de contentement.
Elle triture à nouveaux son sein droit. Puis, changeant de main pour tenir le pommeau de douche, elle caresse son sein gauche, pinçant le téton tout en continuant de s’asperger d’eau chaude. Elle attrape l’un des godemichés et l’insère lentement dans son sexe, puis elle fait des va-
Son jeu dure de longues minutes. Comme Barbara s’adonne à son plaisir régulièrement sa facture d’eau est astronomique, mais elle tient vraiment à s’accorder ces moments de plaisir et s’offre donc ce luxe.
Lorsqu’elle est bien excitée, que ses tétons bien durs dardent, que sa chatte dégouline de mouille, Barbara se sent enivrée, elle est poussée par ses instincts inavouables qui la conduisent à ses vices les plus profonds.
Elle sort le godemiché de son sexe excité, se glisse légèrement plus au fond de la baignoire, bande les muscles de ses fesses pour relever très légèrement son entre-
Elle imprime une cadence à l’intrus qui occupe son anus, forant de plus en plus loin dans son ampoule rectale. La forme très allongée de son jouet lui permet de l’introduire profondément. Parfois la pénétration l’aide à libérer quelques pets, elle adore la sensation, le bruit et l’odeur de ces gaz qui s’échappent d’elle.
Barbara continue de pousser tout en se pénétrant vigoureusement. Elle bloque parfois le godemiché dans son anus pour se libérer une main qui vient branler sa chatte ou se donner quelques coups bien sentis, tandis que l’autre continue d’arroser son corps pour le réchauffer. Au bout d’un certain temps, elle sort le godemiché de son cul. Ce que Barbara aime par-
Bien souvent ce caca ne constitue que l’avant-
Son premier réflexe est de saisir la merde qui s’écoule en direction de l’évacuation de la baignoire, emportée par l’eau qui coule toujours. Sa main délicate attrape le plus de merde qu’elle peut et la porte sur elle.
Le plus souvent Barbara dépose ses excréments sur son ventre. Elle aime la sensation de chaleur que diffuse la merde fraîche sur son estomac. Rapidement le parfum envahit la pièce. Si l’odeur de la merde rebute la plupart des gens, Barbara l’adore, elle l’excite follement. Elle évite soigneusement de gicler de l’eau sur son ventre, afin de ne pas faire écouler trop de merde vers l’égout.
Lorsqu’elle a amassé le plus de merde possible, elle fiche une nouvelle fois le godemiché dans son anus, fait quelques mouvements et le coince là. Heureuse d’être ainsi remplie, de sentir ces odeurs délicieuses, elle saisit de la merde et commence à se badigeonner, d’abord son sein gauche, qu’elle enduit amoureusement en pinçant au passage son téton. Rapprocher son caca de ses narines augmente son excitation. Changeant de main, elle colore son sein droit de ses miasmes intimes. Souvent une irrépressible pulsion la pousse à se frapper violement, elle cible particulièrement ses cuisses, qui sont encore généralement épargnée de merde, elles deviennent alors cramoisies et maculées par ses doigts sales.
Son sexe continue de mouiller. Barbara le sent palpiter, elle a besoin de se branler vigoureusement. Changeant à nouveau la main qui tient le pommeau de douche, et salissant celui-
Ses doigts pénètrent à nouveau son vagin, souillant l’intérieur de ses parois intimes de résidus de sa merde. Barbara adore la perversité de ses actes ignobles. Prise de désir, elle insère plusieurs de ses doigts sales, accélère le mouvement de ses phalanges et se conduit vers un premier orgasme qui la fait crier. Sous la sensation délicieuse son sexe libère une giclée de liquide chaud, Barbara est une femme fontaine ! Elle ponctue sa jouissance de nouveaux coups portés à ses cuisses, ses seins et ses joues qu’elle salit à cette occasion.
Elle se remet vite de sa jouissance, elle en veut davantage. Elle empoigne le second godemiché et le fait entrer dans son sexe trempé, dilaté et sali. Malgré la présence de l’autre membre artificiel dans son anus, elle parvient assez aisément à effectuer cette double pénétration. Elle n’hésite pas à forcer un peu si nécessaire, la douleur de cette double intrusion faisant partie intégrante de son plaisir vicieux.
Une fois le nouvel intrus bien calé dans son con, elle empoigne à nouveau le godemiché qui occupe son fondement. Son orgasme et l’intrus fiché dans sa chatte ont eu pour conséquence resserrer son cul et le gode est presque solidarisé avec son trou de balle. Barbara doit forcer et pousser un peu de ses abdominaux pour le décoller et le retirer légèrement, afin de reprendre les va-
S’il n’y a plus de merde, Barbara emploie d’autres moyens. Elle retire le godemiché et plaque le pommeau de douche sur son anus, tout en poussant avec ses abdominaux pour ouvrir son trou, comme si elle chiait. Son cul s’ouvre et laisse entrer l’eau sous pression qui sort du pommeau. En quelques secondes Barbara sent l’eau chaude monter en elle et envahir son intestin, son ventre se gonfle. Par peur de trop en faire, elle détourne vite le jet. Après quelques secondes, son corps a absorbé l’eau. Elle peut alors ouvrir avec précaution son cul pour y remettre le godemiché. Lorsqu’il est en place, elle pousse à nouveau. De l’eau est expulsée de son intestin avec une forte pression car l’évacuation obturée par le membre de plastique ne laisse que peu de place. L’eau presse alors ses parois intimes pour sortir. Barbara adore cette sensation d’élargissement et d’expulsion de liquide brûlant.
Mais un plaisir encore plus profond vient lorsque l’eau chaude a facilité la sortie de merde qui accompagne le liquide. Là les excréments viennent se plaquer sur le godemiché et forcent sur son intestin et les parois de son ampoule rectale, les élargissant vivement. Barbara jouit immanquablement dans cette situation ! Elle crie son bonheur, se moquant éperdument de pouvoir être entendue par un voisin. L’image d’elle-
Elle se remet aussi vite que possible de son émotion pour attraper la nouvelle merde qu’elle vient de pondre, l’entassant sur son ventre. Elle réenfile son jouet dans son cul.
Barbara branle à nouveau sa chatte pour relancer son excitation. Elle veut encore du plaisir. Une fois bien excitée, elle racle de la merde qui jonche son corps, triture vigoureusement ses seins avec, puis, avec parfois un peu d’hésitation, elle l’approche de sa bouche. Timidement, elle tire la langue, bave un peu, et titille sa main salie de merde du bout de sa petite langue rose. Le goût est acre, amer, Barbara ne l’apprécie que modérément, mais la perversité de cet acte ignoble l’excite outrageusement ! Elle est souvent obligée de remettre la merde sur son ventre pour retourner branler sa chatte en feu telle une furie. Puis elle recommence son manège. Porte de la merde à sa bouche, elle en prend une petite bouchée, la garde un moment, la mâchonne … puis la recrache et reprend sa masturbation avec le godemiché.
Elle se lâche alors totalement, elle attrape une grosse poignée d’excréments et en tartine son doux visage, si mignon pour les gens qui la côtoient habituellement ! Elle se gifle à nouveau. Puis elle agglutine sa merde puante sur ses longs cheveux roux. Elle s’admire dans la glace, tandis qu’elle suçote une mèche de ses magnifiques cheveux roux gaugeant dans les immondices, elle distingue des traces rouges dues à ses baffes sous les trainées brunes de la merde, elle est ravie d’être aussi perverse ! Quel bonheur de se vautrer dans un tel vice ! Elle sait qu’elle mettra du temps à se laver ensuite, qu’elle aura quelques douleurs, mais ces désagréments n’importent pas pour l’heure, elle aime être perverse et est ravie d’assouvir son besoin de jouissance !
L’odeur l’enivre. Pour augmenter encore sa dépravation Barbara porte sa main gauche en creux sous sa chatte et libère à nouveau sa vessie. Prudemment elle approche le contenu doré de sa main vers sa bouche et bruyamment elle aspire le liquide odorant. Elle se gargarise de sa pisse ! Pour satisfaire ses pulsions irrépressibles elle doit branler à nouveau sa chatte, tantôt avec le gode, tantôt en appliquant un mouvement circulaire sur son clitoris avec ses doigts sales. Elle ne tarde pas à jouir à nouveau, en faisant gicler son sexe d’une grande rasade de cyprine brûlante.
A peine remise de son plaisir, elle libère son anus du godemiché, cela lui demande quelques efforts, car le sphincter s’est rétracté autour de l’intrus. Dès qu’elle y est parvenue, elle s’injecte à nouveau de l’eau sous pression dans son intestin et refiche le godemiché, tel un bouchon.
Toujours excitée, elle prend encore de la merde et l’approche de sa bouche avec la ferme intention de la manger. Elle doit parfois s’y reprendre à plusieurs fois, un peu de dégoût prenant parfois provisoirement le pas sur son excitation et sa lubricité. Elle parvient presque toujours à prendre en bouche une grosse boulette de merde, à la mâcher et à l’avaler en grimaçant. Satisfaite et excitée, elle se gifle à nouveau et claque vigoureusement ses seins.
Ce moment est très particulier pour Barbara. Elle n’apprécie pas particulièrement le goût de son caca, mais la perversité de son acte l’excite tellement qu’elle jouit sans même toucher son sexe ! Celui-
Elle manie alors le godemiché fiché dans son con. Se branle vigoureusement. Atteint un nouvel orgasme. Toujours insatisfaite, elle prend encore de la merde qu’elle mange, de moins en moins rebutée au fur et à mesure que les orgasmes dévastateurs s’enchaînent.
Dans le même temps son ventre gargouille bruyamment à cause de l’eau chaude qu’elle a projetée en elle. Elle recommence à pousser, extrayant le godemiché planté dans son fion. Cette fois l’eau ne sort pas immédiatement, elle l’a conservée trop longtemps en elle. Elle doit pousser fort et de manière continue pour qu’un petit flot soit projeté hors d’elle. Parfois, à la place d’une eau parfaitement liquide, une substance plus gluante suinte de son anus. Ce mélange d’eau et de ses jus intimes a une texture proche de celle du sperme, mais il est quasiment transparent. Barbara le porte à sa poitrine salie de caca, puis elle le goûte !
Elle continue de forcer ses abdominaux, enfilant le long godemiché dans son anus ainsi ouvert pour tenter de faire sortir encore de l’eau qui glougloute en elle. Ses efforts ont un nouvel effet : elle sent une nausée lui prendre l’œsophage.
Sans doute est-
Elle doit souvent s’employer longtemps pour parvenir à ses fins, jouant parfois simultanément sur les deux extrémités de son système digestif, défonçant sa bouche et son anus !
L’eau injectée dans son ventre vient gonfler sa vessie. Prise par les assauts des godemichés qui labourent son cul et sa bouche, Barbara se pisse dessus, ne se rendant compte de son acte que par la chaleur de l’urine presque translucide qui heurte ses jambes nues. Parfois un énième orgasme vient mêler de la cyprine à l’urine.
Les nausées augmentant, elle finit par régurgiter une partie du contenu ignoble de son estomac. La mixture puante sort en un flot soudain par sa bouche grande ouverte, le trop plein se frayant souvent un passage par ses narines !
Le magma vomitique rejoint alors les souillures qui encombrent sa poitrine et son ventre. Barbara le fait glisser jusqu’à sa chatte en feu, qu’elle branle furieusement ! Introduisant cette substance nauséabonde dans son intimité ! Elle continue à s’admirer dans le miroir, lui révélant un reflet de son incroyable vice !
Elle jouit formidablement, criant son bonheur d’être aussi perverse !
Epuisée, elle reste immobile pendant de longues minutes, continuant de s’asperger du jet chaud de la douche. Puis, revenant peu à peu à elle, elle entreprend un long et fastidieux nettoyage de son corps, de ses cheveux et de la baignoire. Cela lui prend longtemps, c’est vraiment la partie la plus désagréable de ses séances vicieuses. Elle devra même tremper ses doigts dans l’eau de javel après s’être récurée les ongles, pour se libérer de l’odeur persistante de la merde.
Malgré ces inconvénients matériels, Barbara n’envisage aucunement de se priver de ses moments de jouissance. Ce qui lui pose vraiment problème, c’est qu’elle n’ose pas partager ses envies avec quiconque et qu’elle se retrouve donc seule dans la vie.
Cette solitude lui pesant de plus en plus, elle décide de se prendre en main et fréquente des sites de rencontres. Souhaitant à tout prix pouvoir continuer à s’adonner à ses vices les plus inavouables, elle concentre ses recherches sur des sites bien particuliers et choisit de dialoguer avec des personnes dont les penchants semblent compatibles avec les siens.
Un beau jour, elle entame une conversation avec une certaine RebSale, qui se présente comme une femme de 39 ans, portée sur des pratiques sexuelles non conventionnelles, notamment l’urophilie, la scatophilie et d’autres jeux déviants.
Bien qu’à priori peu orientée vers les relations homosexuelles, Barbara se plait à échanger des messages avec cette personne qui l’aborde avec un respect certain.
Après plusieurs semaines d’échanges via la plateforme, Barbara et RebSale, qui se prénomme en réalité Rébecca, échangent des photos d’elles, habillées dans un premier temps, puis nues, puis dans des situations de sexe sale. Le physique et les situations dans lesquelles Rébecca se plonge décident Barbara à accepter de rencontrer son interlocutrice.
Toutefois elle se pose mille questions, sera-
Décidant que seule l’expérience pourra apporter des réponses à ses interrogations, Barbara se lance.
La rencontre a lieu dans un restaurant. Barbara est nerveuse, outre les questions qui l’ont taraudées plus tôt, elle craint de s’être faite piégée par un imposteur qui pourrait la manipuler, la violer, … Elle envisage un instant de ne pas se rendre rendez-
Bien lui en prend. Elle reconnaît immédiatement Rébecca, lorsque celle-
Rébecca semble également très attirée par Barbara, elle lui sourit et fait des allusions sans équivoques, visiblement ravie de rencontrer une si belle jeune fille, apparemment prête à jouer à des jeux sales. Malgré ses craintes en amont du rendez-
Les deux femmes sont si excitées, qu’elles quittent le restaurant dès qu’elles ont achevé l’entrée. Elles se rendent chez Rébecca.
A peine ont elles franchi la porte d’entrée, que Rébecca embrasse à pleine bouche Barbara. Elles se retrouvent rapidement dans la salle de bain, en train de se déshabiller l’une l’autre, découvrant la belle lingerie qu’elles ont revêtue en prévision d’une soirée coquine.
Toutes les deux en soutien-
Ses sensations lors de ces premiers attouchements lesbiens et surtout la réaction positive de Rébecca suite aux premières déviances qu’elle a introduites en bavant sciemment, ont totalement détendu Barbara. Ses craintes s’envolent comme par magie. Elle sait qu’elle va se livrer totalement à sa nouvelle partenaire et aller aussi loin que celle-
Rébecca enhardit Barbara, elle prend tendrement la main de la jeune femme et la porte à sa culotte. Barbara sent immédiatement l’humidité qui règne dans l’entrecuisse de sa compagne, elle comprend qu’elle l’excite et cela conforte ses intentions perverses.
Rébecca veut profiter des bonnes dispositions de la belle rousse. Alors que celui-
Barbara comprend immédiatement d’où provient la chaleur humide qui inonde sa main. Cela l’excite. Elle embrasse encore plus vigoureusement la bouche de Rébecca, aspirant la langue de la belle brune de toute la force de succion dont elle est capable. Lorsqu’elles rompent ce baiser endiablé, de grands fils de bave visqueuse se tissent entre leur visage, elles se sourient, excitées, peut-
Barbara veut profiter encore davantage de l’incontinence de sa partenaire, elle se penche pour porter sa bouche sur la culotte trempée. Elle lèche le tissu gorgé d’urine. C’est la première fois qu’elle goûte à la pisse d’autrui, elle vit cela comme une nouvelle expérience perverse et son excitation continue d’augmenter. Bientôt, elle abaisse le sous-
Rébecca n’hésite pas à pisser encore, directement dans la bouche de Barbara. Celle-
La grande brune prend alors l’initiative et les positionne en soixante-
Barbara lèche la chatte de sa compagne en y mettant tout son cœur. Elle est ravie de cette expérience inédite pour elle. Goûter à la mouille et à la pisse d’une autre personne l’excite plus qu’elle ne l’avait imaginé. Mais elle en veut encore davantage. Même si elle craignait avant cette rencontre une certaine répugnance à goûter les fèces d’autrui, la beauté de sa partenaire et l’attirance qu’elle éprouve lui font oublier toute inhibition vis-
Petit à petit elle glisse sa langue sur l’œillet plissé qui semble la regarder et la tenter. Lorsqu’elle titille cet orifice de sa langue, Rébecca émet des gémissements qui sont une invitation. Elle-
Encouragée par ce comportement, Barbara concentre ses lapements sur cet anneau. Elle fait pénétrer sa langue à l’intérieur, à mesure qu’elle le dilate. Rapidement, elle sent le goût si particulier, qu’elle connaît bien et recherche : la merde ! Cela l’encourage à poursuivre le travail de dilatation de l’anus qui lui fait face avec sa langue agile et gluante de salive.
Plus elle progresse et plus elle sent le goût prononcé des excréments de Rébecca. Cette saveur l’enivre, elle l’apprécie vraiment, davantage que sa propre merde.
Rébecca aussi perfore de sa langue douce l’anus qui lui fait face. Après quelques minutes de ce soixante-
Pour toute réponse, Rébecca libère une autre bulle de gaz, celle-
Maintenant Rébecca pousse franchement de ses muscles abdominaux pour ouvrir son anus et faire progresser l’étron qui gît dans son intestin. La progression est lente, Barbara est impatiente de recevoir l’offrande qu’elle lui sait réservée. Pour accélérer le processus, elle plante un doigt dans le trou entrouvert, elle l’enfonce totalement sans rencontrer la masse molle et grasse attendue, mais lorsqu’elle le ressort, il a tout de même un goût de merde prononcé qui la ravit. Elle gratifie les cuisses de quelques griffures au passage.
Rébecca les pousse à se retourner, elle se positionne maintenant sur sa compagne.
Il faudra plusieurs minutes d’efforts partagés pour qu’enfin la belle Rébecca libère un étron qui sort en tournoyant sur lui-
Rébecca est également folle d’excitation. Elle change à nouveau de position pour se placer face à son amie, la surplombant en étant allongée. Elle découvre avec envie sa crotte sur la peau claire de Barbara, tandis que la merde lui a fait une moustache crapuleuse !
Elles s’embrassent avec un désir fougueux, se partageant le caca merveilleux de Rébecca.
Lorsqu’elles rompent le baiser, Rébecca tartine les beaux seins de Barbara de sa merde fraîche. Excitée, elle leur assène de grandes claques qui font pousser de petits cris à Barbara, mais qui semblent surtout accroître encore son état d’excitation. Elles se sourient, s’embrassent à nouveau, se crachent à la figure, rient. Barbara branle la chatte de sa compagne pour l’encourager à poursuivre leurs saloperies. Même si elle craint un tout petit peu sa réaction, elle se permet de gifler sa nouvelle amie, tellement elle est tentée de tacher de brun ses belles joues et de les faire rougir sous les traces de merde. Son initiative est fort appréciée, Rébecca crache, puis se frappe elle-
Rébecca lèche ensuite les tétons de Barbara recouverts d’une fine couche de merde. Elle s’en délecte, puis elle donne elle aussi quelques coups bien sentis à la généreuse poitrine de sa partenaire et retourne embrasser les lèvres sales et avides qui l’attirent.
Entre deux baisers, Barbara souffle : « J’ai aussi un cadeau pour toi ma belle … »
Rébecca se recule entre les cuisses grandes ouvertes, donne quelques coups de langue sur la chatte baveuse et descend sa bouche contre l’anus entrouvert par la poussée de son amie. L’envie de cette dernière devait être forte, car un flot de merde traverse à grande vitesse l’anus pour venir embourber le beau visage de Rébecca. Une seconde après cette explosion merdeuse, l’anus de Barbara évacue un monceau de matière grasse et puante à souhait. Adepte des jeux scatophiles extrêmes, Rébecca est ravie de l’offrande produite par son amie. Elle empoigne la matière tombée au sol et la porte à son visage pour en inspirer tous les effluves viciés. Excitée elle goûte une petite partie de la masse brune, la saveur et la texture de ce présent la ravissent. Elle badigeonne son joli visage de ce baume si particulier.
Le visage masqué de merde, elle retourne près de Barbara qui n’est pas en reste, elle a également recouvert son propre visage et imprégné ses longs cheveux roux des restes de la merde pondue par Rébecca.
Le spectacle qu’elles proposent l’une à l’autre les excite frénétiquement, elles s’embrassent sauvagement, se crachent au visage et s’échangent quelques paires de gifles de plus en plus fortes. A tour de rôle elles tirent les cheveux de leur partenaire, l’obligeant à pencher sa tête en arrière, puis elles crachent dans la bouche entrouverte par la traction.
Après plusieurs minutes de ses échanges intenses, Rébecca s’allonge à côté de Barbara, elle racle de la merde qui les couvre et plaque sa main sale sur la chatte de sa partenaire, elle entreprend alors une furieuse masturbation de ses doigts habiles et maculés. Elle excite tellement le sexe trempé de désir et gluant de merde qu’elle fait jouir très vite Barbara. Cette dernière libère une impressionnante giclée de cyprine qui émeut Rébecca. Sentant l’excitation mutuelle à son paroxysme Rébecca poursuit son traitement et lui offre ainsi trois orgasmes juteux consécutifs qui laissent Barbara pantelante.
Rébecca veut jouir également, elle demande la pareille à son amie, qui s’exécute avec un réel plaisir. Branlée frénétiquement par les doigts sales de la belle rousse, Rébecca jouit en criant son plaisir d’être une salope scatophile ! Même si elle n’est pas une femme fontaine, sa cyprine suinte de sa moule sale et Barbara sent ses doigts s’humidifier entre les lèvres charnues et percées.
La belle brune en veut encore davantage, elle réclame : « Ma belle, je veux toute ta main dans mes trous. » Elle invite alors Barbara à glisser ses doigts fins et sales dans sa chatte dégoulinante et merdeuse. Son sexe aspire les doigts chauds, deux, trois, puis quatre. Rébecca attrape le poignet de son amante et lui demande de replier son pouce pour faire entrer totalement la main dans sa chatte. Ce « fist-
Voulant pousser le vice toujours plus avant, Rébecca répète la scène, mais cette fois en enfilant le poing de sa compagne dans son anus, tout aussi avide de grosses pénétrations que son con. Les va-
Satisfaites de leur jouissance, les deux femmes restent un moment vautrées dans les immondices, s’embrassant langoureusement, pinçant un téton, donnant une tape à un sein. Mais la maîtresse de maison en veut davantage encore. Elle ouvre un placard de sa salle de bain et en sort un superbe godemiché dont les deux extrémités sont moulées en forme de phallus. Sa taille et son diamètre sont également impressionnants.
Voir la belle Rébecca couverte de souillures tendre cet objet de vice excite fortement Barbara, elle veut ce monstre dans son cul !
Son envie est partagée. Elles se positionnent en ciseaux, frottant leur entrecuisse sale. Rébecca insert le godemiché entre elles. Elle l’enfile dans son propre cul, laissant sa compagne le positionner elle-
S’enculant tout en branlant leur chatte respective de leurs doigts sales, elles jouissent à plusieurs reprises, ce qui les fatigue, mais les rend heureuses de leur partie de sexe débridé et surtout de leur rencontre si palpitante ! Barbara est ravie d’avoir surmonté ses craintes et ses appréhensions face à l’inconnu, elle est même surprise d’avoir si aisément pris en bouche la merde d’une autre personne. Elle sent que ce premier partage de ses pulsions sales lui ouvre des perspectives totalement nouvelles de plaisir, elle frisonne en y pensant.
Même si le nettoyage de leur corps, de la pièce et le rangement sont toujours un peu pénibles, elles ont toutes les deux adoré le moment passé ensemble et se promettent de remettre ça au plus vite.
De fait, Barbara et Rébecca se retrouvent régulièrement, environ une fois par semaine, pour assouvir une partie de leurs désirs pervers. Leurs rencontres leur offrent une jouissance vraie et profonde. Barbara découvre de nouvelles facettes des plaisirs liés au vice de la saleté et de la brutalité, elle en jouit copieusement pour le plus grand bonheur de sa maîtresse.
Après quelques semaines, Rébecca fait une révélation à Barbara et propose de pimenter encore leurs relations. Elle annonce être mariée et partager ses pratiques sexuelles sales et brutales avec son époux. Pour justifier sa cachotterie, elle indique qu’elle craignait une réaction de peur de Barbara. Elle propose immédiatement de faire participer Cyril, son mari, à leurs parties de débauche. Barbara est immédiatement enthousiaste, elle n’est pas fondamentalement lesbienne et elle rêve de pratiquer le sexe sale et violent avec un homme. Elle fait confiance à Rébecca et n’appréhende pas cette rencontre masculine comme elle l’aurait sans doute fait sur le site de rencontre. Depuis sa rencontre avec Rébecca elle ne craint plus l’inconnu, elle est totalement excitée à l’idée de partager son vice avec une autre personne, qui plus est un intime de sa superbe partenaire. Être accompagnée de la belle et expérimentée Rébecca dans cette nouvelle aventure la ravit et l’excite.
Le rendez-
Comme elle en a pris l’habitude Rébecca la salue par un baiser appuyé sur ses lèvres. Elle aussi est apprêtée pour cette rencontre, elle porte un joli tailleur et une coiffure élaborée met en valeur ses beaux cheveux bruns. Elle fait les présentations. Cyril est un bel homme, dans la quarantaine, vêtu élégamment. Le courant passe immédiatement entre eux, même s’il se contente de lui faire la bise, dans un premier temps.
Le trio bavarde un moment en dégustant une coupe de Champagne, assis sur le canapé du salon. Rapidement la conversation se charge d’allusions coquines. Bientôt, Rébecca, installée entre son mari et sa maîtresse renverse, sans doute volontairement, sa coupe sur ses vêtements : « Oups, quelle maladroite ! s’écrit-
Cyril porte une main sur le vêtement trempé de son épouse, palpant son sein. Barbara plaque ses lèvres sur celles de Rébecca, plonge sa langue dans la bouche accueillante de sa partenaire et échange un baiser endiablé et baveux. Les deux femmes laissent couler leur salive, qui rejoint le Champagne perdu sur le fin tissu devenu translucide.
Excité, Cyril ouvre le chemisier de sa femme en déchirant les boutons. Elle le regarde, amoureuse, excitée elle aussi. Elle prend une grande inspiration et lui crache au visage un beau mollard gluant. Feignant le dégoût, Cyril riposte d’une gifle sévère, qui inquiète un instant Barbara par son caractère brutal. Malgré les traces de doigts qui zèbrent sa joue, Rébecca affiche un franc sourire, qui rassure Barbara. Son amie réplique en empoignant vigoureusement les cheveux de son mari avant de lui cracher une nouvelle fois à la face.
Les deux époux poursuivent leur joute quelques instants, sous les yeux excités de leur invitée, même si elle trouve Cyril un peu plus violent que ce à quoi elle est accoutumée dans ses rapports avec Rébecca. Bientôt, leurs vêtements sont en lambeaux. Tous deux portent les stigmates de leurs agissements, des marques rouges qui ceignent leur peau dénudée. De la salive dégouline de leur visage. Rébecca ouvre la bouche toute grande pour que Cyril mollarde à l’intérieur !
Barbara est très excitée par le spectacle qui lui est offert. Elle décide de se mêler aux ébats. Elle crache à son tour au visage de Rébecca, qui lui sourit, puis la gifle, plus fort que ce qu’elle fait habituellement, la belle brune est ravie. Elle applique le même traitement au mari, qui entre immédiatement dans son jeu, il attrape sa belle chevelure rousse, lui fait pencher la tête en arrière, la forçant à ouvrir la bouche et dépose un gros crachat dans le gosier de Barbara. Lorsqu’il la libère la jeune femme sourit et arrache elle-
Sa réaction engage une nouvelle étape. Les trois protagonistes entament des échanges de gifles, de crachats, de tirages de cheveux, d’aspersion au Champagne, de claquages de nichons, …
Cyril trousse la jupe de Barbara, il découvre une culotte blanche tachée d’auréoles brunes qui montrent les penchants vicieux de la belle rousse. Excité, il claque les beaux lobes qu’il a sous les yeux, même s’ils sont partiellement couverts du fin tissu, Barbara ressent bien les battoirs de Cyril. Bien que surprise, elle apprécie cette fessée.
Pendant que son mari s’occupe des miches de Barbara, Rébecca se positionne pour que son amie puisse s’occuper de son entrejambe avec sa bouche. Elle remonte sa jupe souillée de mollards et de Champagne et écarte les cuisses face au visage de Barbara, pendant que celle-
S’approchant du visage de Barbara et de l’entrecuisse de son épouse, Cyril présente sa queue bien raide et très odorante devant la bouche baveuse de la belle rousse. Même si elle n’a pas une grande expérience des fellations sur de vrais sexes masculins, son expérience avec les godemichés va lui servir. Barbara a envie de sucer ce membre, elle est excitée et veut le prendre bien profondément dans sa bouche. Elle tente de gober le gros chibre en une seule absorption, mais son manque de technique sur un vrai sexe d’homme la laisse à demi étouffée sans qu’elle n’ait pu emboucher toute la longueur de la bite. Elle ne se décourage pas et insiste, n’hésitant pas à s’étouffer un peu et à se provoquer quelques haut-
Pendant quelques instants Cyril se fait sucer alternativement par les deux femmes qui rivalisent de perversité pour exciter au maximum le beau mâle. Même si par son expérience Rébecca dispose d’une petite longueur d’avance, Barbara se défend très bien.
Ravie de parvenir à donner du plaisir avec sa bouche au mari de sa maîtresse, Barbara est excitée comme une folle, elle veut davantage de plaisir et le clame : « Putain, prend-
Cette situation excite Barbara, elle sent qu’elle va jouir, mais elle décide de pousser encore la perversité. Quittant pour quelques secondes les tréfonds de l’entrecuisse de Rébecca, elle demande, supplie presque, Cyril : « Tu pourrais m’enculer, s’il te plait ? » Ce dernier jette un regard entendu à son épouse, pour lui dire « tu as vraiment déniché une belle salope », il affiche un petit sourire carnassier, sort de la chatte trempée, claque une fois de plus les deux lobes fessiers qui lui font face, et ont viré à un rouge écarlate, présente son dard gluant de bave et de mouille sur l’anus encore fermé de la belle jeune femme. Comme lorsqu’elle se donne du plaisir seule sous sa douche, Barbara contracte ses muscles abdominaux pour ouvrir le passage au membre qu’elle convoite. Cyril entre petit à petit dans le conduit rectal gras de merde. Barbara apprécie, elle encourage le beau mâle : « Oui, c’est bon, fourre-
Rébecca ne veut pas être en reste, elle est excitée de voir son mari enculer sa belle maîtresse, mais elle attend que cette dernière continue à lui procurer du plaisir, elle plaque sa tête fortement sur sa chatte et son anus, la forçant à la lécher. Elle aime sentir la langue agile se faufiler dans son anus qu’elle sait puant la merde.
Le traitement de Cyril et l’excitation de goûter aux immondices que Rébecca lui offre, excitent tellement Barbara qu’elle jouit en hurlant son plaisir et en libérant un impressionnante flot de cyprine bouillonnante. Cyril est également très excité et continue de labourer le fion qui enserre son dard en fessant toujours plus fort les lobes qui l’entourent, donnant à la peau claire de la rouquine une belle teinte rouge sombre !
Lorsque l’orgasme de Barbara s’est un peu estompé, Cyril se retire du cul bien accueillant. Sa bite est suivie d’un impressionnant flot de merde qui sort rapidement des boyaux de la belle rousse, pour choir sur les cuisses du bel homme et le sol. Excitées par la promesse de pouvoir goûter à une merde toute fraîche, les deux femmes s’approchent rapidement. Pendant que Rébecca se penche sur le sol pour empoigner une partie du caca encore brûlant, s’en tartiner les nichons et le goûter, Cyril attrape Barbara par les cheveux et lui crie : « Tu as vu dans quel état tu m’as mis salope ! » Barbara est un peu surprise de la réaction du mari de Rébecca, qui lui avait dit qu’il adorait lui aussi le sexe sale, mais elle comprend rapidement qu’il s’agit d’un jeu. Cyril tend sa bite sale et bandée devant la bouche de Barbara qui la gobe immédiatement, ravie de pratiquer une fellation en gorge profonde sur cette belle queue et de goûter à ses propres excréments. Cyril imprime un rythme soutenu dans la bouche accueillante, il la pénètre comme s’il s’agissait d’une chatte. Barbara est ravie de recevoir ce rude traitement.
Après un moment, Cyril empoigne la tignasse rousse, qui est par endroits tachée de merde, il retire la bouche de sa bite et la conduit sans ménagement vers son propre anus. Lui aussi est resté sale ces derniers jours en prévision de sa rencontre avec l’amante de sa femme. Barbara goûte les délices qu’il a conservés à son intention dans sa raie culière. L’effort ayant fait transpirer le beau mâle, les résidus merdeux sont bien collants et s’étalent facilement sur le visage de la jolie jeune fille.
Pendant que Barbara lèche le cul sale de son mari, Rébecca vient embrasser celui-
Barbara aime bouffer le fion de Cyril, mais elle voudrait que lui aussi lui offre le contenu de ses intestins, qu’elle espère bien généreux: « Tu chierais pour moi ? demande-
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Les deux filles s’allongent au sol, pataugeant dans la merde de Barbara, tandis que Cyril s’accroupit légèrement pour présenter son cul près des bouches avides. En quelques secondes il pond un gros étron qui s’coule rapidement de son anus, serpentant vers les deux femmes excitées. Il tombe dans la bouche de Rébecca qui s’empresse de le partager avec sa compagne. Mais à peine s’est-
Bientôt les gifles pleuvent, les cheveux se font tirer, les seins sont claqués. Cyril en veut davantage, il demande à sa chérie : « Tu n’as pas encore chié, vient nous donner la bonne merde qui stagne en toi.
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Pour compléter ses paroles provoquantes, Rébecca s’agenouille et présente son cul à son mari. La vue de la croupe de sa femme, enserrée par le porte-
Stoppant sa fessée il présente sa queue à l’entrée de la grotte grasse de la belle brune et perfore l’anus avide de pénétrations brutales. Rébecca crie autant de douleur que de plaisir. Barbara adore la scène qu’elle a sous les yeux. Voir sa maîtresse sauvagement embrochée par son mari la fait mouiller. Elle va présenter sa chatte sale à la bouche de la belle brune, qui grimace sous les coups de boutoirs, mais conserve son habileté à lécher une fente humide et grasse pour le bonheur de Barbara, qui ajoute de la pisse aux miasmes qui souillent la bouche de sa partenaire.
Cyril est encore plus violent avec Rébecca qu’il ne l’était avec Barbara, car il est sûr que sa femme aime la sodomie vraiment brutale, il la pilonne de toutes ses forces et claque ses fesses de ses grandes mains. Avant qu’il ne jouisse, il demande à Barbara de venir se positionner sous l’entrecuisse de Rébecca, afin qu’elle soit aux premières loges pour profiter de ce qui sortira du rectum lors du désenculage.
Toutefois, lorsqu’il quitte le trou distendu de son épouse, ce dernier ne libère qu’un petit pet, mais pas la merde attendue par les protagonistes. La vision de l’anus grand ouvert de sa femme provoque néanmoins la jouissance de Cyril, dont le foutre tapisse les fesses rougies d’où il dégouline dans la bouche ouverte de Barbara qui attendait d’autres matières, plus odorantes, mais elle se console avec cette semence gluante qui se répand sur son visage et sa poitrine. Elle apprécie de goûter pour la première fois au sperme de son nouvel ami.
Rébecca est déçue de ne pas avoir réussi à chier malgré la bonne sodomie offerte par son époux. Cependant en salope scatophile avertie, elle connaît d’autres méthodes qui peuvent être efficaces pour résoudre cette petite constipation inopinée. Elle demande à son amie : « Chérie, il faudrait que tu ailles chercher ma merde en foutant ta main dans mon cul. Il est déjà bien ouvert, vas-
Barbara s’exécute, elle se positionne à genoux face au postérieur de Rébecca et doigte le trou de balle dilaté de sa main droite. Rapidement, elle parvient à glisser l’ensemble de sa main dans le fion de sa compagne, enfonçant son poignet et même le début de son avant-
Lorsqu’il a retrouvé toute la dureté de son membre, Cyril quitte la gorge de sa femme et se place derrière Barbara, toujours occupée à faire jouir Rébecca en lui fistant le cul, et enfile sa bite gluante de bave, et encore partiellement maculée de traces de merde, dans la chatte trempée de la belle rousse. Il la prend vigoureusement, limant son sexe avec régularité et fermeté. Il assène quelques claques aux fesses déjà rougies et ne tarde pas à faire jouir une nouvelle fois sa partenaire, qui exprime son orgasme par une impressionnante giclée de cyprine et quelques couinements.
Malgré son plaisir Barbara n’oublie pas de défoncer le cul de Rébecca pour en extraire le contenu. Cette dernière pousse fortement de ses muscles abdominaux. Entre deux efforts, elle souffle : « Putain, je suis sûre que je vais chier une bonne merde bien puante, j’ai bouffé un plat indien bien épicé hier. »
Bientôt, la belle rousse sent que leurs efforts conjugués portent leurs fruits. Elle sent d’abord une masse assez compacte s’insinuer entre ses doigts. Puis d’un coup, cette matière est poussée rapidement par une vague molle et chaude que Barbara sent se ruer sur sa main blottie dans le rectum dilaté. Le flot est si puissant que la matière s’immisce entre la main et les parois déjà tendues. Rébecca crie de plaisir et de douleur mêlés. Alors que le poing de Barbara est toujours fiché jusqu’au poignet dans l’antre de Rébecca, la merde sous pression parvient à se frayer un passage et gicle du trou du cul écartelé !
Barbara retire sa main brusquement, sans précaution, le passage de sa paume détruit encore plus l’anus et provoque un hurlement et la jouissance de Rébecca, sa chatte laisse s’écouler un filet de mouille entre ses grandes lèvres percées. La jolie main ressort souillée de merde brune liquide, elle est suivie par une masse souple odorante à souhait, que Barbara tente d’attraper pendant sa chute. La matière fécale emplit totalement ses deux mains placées en réceptacle, tandis que le surplus et le liquide s’écoulent au sol.
Rébecca crie : « Ah putain que c’est bon d’avoir le cul explosé par une bonne merde ! » Une seconde plus tard elle se tord de douleur et enchaîne : « Ah, ça me pique, ça me brûle le cul ! » Cette sensation est bien-
Barbara et Cyril s’approchent de la merde fraîchement pondue et commencent à s’en badigeonner. Dès qu’elle a recouvré un peu ses esprits, Rébecca les rejoint. Barbara prodigue des caresses merdiques sur le visage de ses compagnons avant de tartiner le reste sur sa propre figure et ses magnifiques longs cheveux roux, déjà tachés des autres merdes exécrées durant cette partouze sale.
Chacun enduit un autre corps de la boue puante que constituent les trois merdes mélangées. Les bouches avides goûtent également cette matière molle et grasse. Barbara apprécie pleinement le goût de ces merdes, elle n’éprouve plus de réticence à manger du caca, même des quantités importantes.
Cyril est le premier à être indisposé. Sans prévenir, il pousse un grognement et régurgite le contenu infâme de son estomac sur les deux filles qui étaient en train de se branler mutuellement de leurs doigts souillés. Elles accueillent le vomi comme une offrande, présentant leur poitrine dénudée et leur visage à la bouche grande ouverte, sous le flux brunâtre qui repousserait des salopes aguerries, mais qui fait le bonheur de ces deux amoureuses de la saleté !
Un peu plus tard, Barbara vomit également, régalant ses partenaires d’une ignoble gerbe puante. Cyril s’enduit la bite de cette matière et fourre sa bite au tréfond de la gorge de son épouse, la poussant également à vomir tripes et boyaux, pour la plus grande joie du trio infernal !
Cyril baise encore une fois les deux femelles toujours excitées, leur provoquant un nouvel orgasme à chacune. Il leur offre ensuite une nouvelle rasade de foutre gluant dont les deux amies se délectent après l’avoir fait passer dans leur bouche respective à plusieurs reprises, y avoir ajouté leur salive et leur morve !
Barbara a adoré cette première rencontre avec le mari de Rébecca. Lorsqu’elle quitte ses amants, après une fastidieuse séance de nettoyage, elle espère continuer à prendre part à de bonnes séances de sexe bien dégueulasse avec eux. Toutefois, elle espère que son amie acceptera qu’elles continuent à se voir toutes les deux régulièrement pour leurs séances lesbiennes.
Les semaines qui suivent vont combler la jeune femme, car ses souhaits s’exaucent et vont même être dépassés par la suite des évènements.
En effet, le trio se retrouve en moyenne une fois par semaine pour partager leur passion pour la baise sale et brutale. Mais les deux femmes s’offrent également des séances lesbiennes, toujours sur le même thème, à peu près à la même fréquence.
Quelques mois après sa première rencontre avec Rébecca, alors qu’elle repart du domicile de ses amants après un après-
Antonin est un garçon de 19 ans, brun aux yeux bleus, très agréable à regarder. Barbara tombe très vite sous le charme du jeune homme. Même si elle adore baiser avec ses parents, elle est très heureuse de faire la connaissance d’un beau garçon dont l’âge est proche du sien. Cette première rencontre fortuite débouche sur un premier rendez-
Toutefois, elle regrette rapidement sa sagesse, car si elle apprécie Antonin, elle sait qu’elle ne pourra pas accepter de relation de long terme avec un partenaire qui ne serait pas porté sur la saleté.
Aussi, dès leur deuxième rencontre, organisée le lendemain, elle le fait revenir chez elle et lui propose une sodomie – que le garçon s’empresse d’accepter – au cours de laquelle la belle rousse salit le membre qui perfore son anus. Antonin ne semble pas très surpris de voir sa queue ressortir brune du trou de sa copine. Il est un peu plus étonné de la voir gober sa tige sale de sa belle bouche et nettoyer son engin en y prenant un plaisir apparent, mais il ne manifeste aucune répulsion. Barbara est ravie que son petit-
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Par cette dernière phrase Antonin craint d’en avoir trop dit. Mais son propos provoque plus l’intérêt que la jalousie chez sa copine : « Ah oui, tu as une copine délurée ? reprend Barbara en trahissant plus le désir que l’agacement.
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Barbara est vraiment excitée par le récit d’Antonin, elle a immédiatement envie de faire la connaissance de sa copine. Elle tente immédiatement de convaincre Antonin de les faire se rencontrer : « Tu crois qu’elle aimerait qu’on se voit tous les trois ?
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Antonin appelle immédiatement sa copine, qui se prénomme Lyne. Après avoir fixé le rendez-
Barbara est un peu gênée, mais elle décide de dire la vérité. Antonin semble assez difficile à choquer et elle a vu à sa bite qui s’enflait en évoquant la baise à trois avec sa copine, qu’il était bien excité, elle pense donc qu’il ne s’offusquerait sans doute pas trop d’apprendre qu’elle couche avec ses parents. Elle se lance : « J’ai dit ça parce qu’en fait, je baise avec tes parents depuis quelque temps.
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Comme Barbara l’avait supposé cette nouvelle excite plus Antonin qu’elle ne le déstabilise. Leur conversation les a émoustillés tous les deux et ils reprennent leur partie de baise, Antonin appréciant particulièrement les éclaboussures sortant de la chatte de Barbara lorsqu’il la fait jouir en lui limant la chatte.
Barbara se prépare à sa rencontre avec Lyne et Antonin, en tentant de conserver un maximum ses fluides corporels. Elle espère que la jeune femme ne sera pas dégoûtée par ses pratiques extrêmes, mais elle fait confiance à Antonin qui lui a dit qu’elle était une vraie salope avide de nouvelles pratiques bien hard.
Dès le premier regard, elle est immédiatement subjuguée par Lyne. Son regard et son style montrent immédiatement que cette jeune asiatique est perverse et délurée. Ses tatouages, ses piercings et sa tenue provoquante doivent attirer tous les regards, elle semble totalement assumer.
Lorsque Antonin fait les présentations, Barbara sent que son attirance pour Lyne est réciproque. En guise de salut, cette dernière plaque sa bouche sur celle de Barbara. La belle rousse adore ce comportement déviant.
A peine quelques minutes après l’arrivée du couple chez Barbara, les deux filles s’embrassent à pleine bouche. La rouquine adore les sensations provoquées par la langue fendue de la belle asiatique. Elle a l’impression que deux langues caressent simultanément l’intérieur de sa bouche, elle se sent électrisée par cette sensation nouvelle. De plus Lyne répond très favorablement à la salivation forcée que Barbara glisse dans ses baisers. Les deux filles se donnent un vrai plaisir, elles délaissent même un peu Antonin, qui se rappelle à leur souvenir en alternant des caresses et des claques sur leurs corps qui se dévêtissent rapidement.
Barbara est également excitée lorsque Lyne tire sur les anneaux qui perforent les tétons de ses jolis petits seins fermes et rebondis, décorés d’un magnifique tatouage représentant deux serpents enroulés autour de chaque sein, qui dressent leur tête sur le haut de la poitrine, pour se donner un baiser de leurs langues fourchues qui dardent de leur gueule grande ouverte. Lyne n’hésite pas se distendre ses bouts pour faire croître encore l’excitation générale qui règne dans l’appartement.
L’hôtesse invite ensuite ses invités à se rendre dans la salle bain, seule pièce de son logement qui permette d’accueillir des ébats sales sans provoquer trop de dégâts.
Bientôt les deux filles se retrouvent en sous-
Barbara est ravie de découvrir la chatte percée de multiples anneaux et clous de Lyne. Timidement d’abord elle tire sur ces pièces métalliques, étendant une grande lèvre ou le clitoris de sa nouvelle amie. Cette dernière l’encourage : « Vas-
Lyne s’affaire également sur la chatte de Barbara. Cette dernière adore les sensations provoquées par les coups de langue fendue. Elle a l’impression que deux filles lèchent sa moule dégoulinante de mouille. Lorsque Lyne glisse ses doigts à l’intérieur du vagin qu’elle suçote, elle est récompensée par une projection de cyprine expulsée par le sexe de Barbara sous l’effet de son orgasme. Lyne aime les femmes fontaines, elle est ravie.
Bientôt Lyne sent un autre liquide chaud atteindre son corps. Antonin, ne souhaite pas que la partie de baise se transforme en un duo de lesbiennes, il se rappelle donc au bon souvenir de ces dames en leur pissant dessus ! Il vise d’abord la longue chevelure brune de Lyne, puis il urine sur ses fesses provoquant une petite cascade qui s’écoule directement dans la bouche béante de Barbara, qui lape toujours le sexe trempé et percé de son amante !
Même si Antonin n’a encore jamais pratiqué la scatologie avec Lyne, ils ont déjà eu l’occasion d’introduire de l’urine dans leurs ébats, il sait donc que ses deux partenaires apprécient son offrande.
Ce premier pas vers la saleté excite les deux filles et les invite les filles à aller plus loin. C’est Lyne qui lance les hostilités en la matière. Elle aussi libère une giclée de pisse qui coule directement dans le gosier avide de Barbara. Puis elle enchaîne en contractant ses sphincters, qui actionnent l’extrémité de son système digestif pour pondre un long étron qui sort à grande vitesse de son anus pour tomber sur le visage de Barbara avec un bruit mou. Cette dernière est assez surprise de l’initiative de sa nouvelle partenaire, mais tout à fait ravie de recueillir un si bel et odorant présent. Après ses conversations avec Antonin, elle pensait que Lyne n’était pas aguerrie à la scatophilie et que c’est elle qui devrait l’initier.
Même s’il est vrai que Lyne n’avait jamais pratiqué la scatologie, elle est totalement délurée et obsédée par les nouvelles expériences en tout genre, et lorsque Antonin lui a proposé une partie de sexe avec une superbe fille portée sur le crade et les excréments en particulier, elle a tout de suite été excitée et s’est projetée dans le délire. Elle s’est retenue de chier pour préparer la rencontre et n’a eu aucune réticence à chier directement à la face de la belle jeune fille lorsque le moment lui a semblé opportun. Cet acte, si ignoble pour le commun des mortels, l’excite même terriblement et l’action des doigts de Barbara sur chatte combinée à l’excitation d’avoir brisé un nouveau tabou lui procure un puissant orgasme, qu’elle crie haut et fort.
Barbara est ravie du comportement de sa nouvelle rencontre. Elle avait craint qu’elle ne soit rebutée par le caractère si particulier des actes qu’elle affectionne tant, mais elle est totalement rassurée par le fait que Lyne prenne les devants dans l’introduction d’excréments dans leur relation.
Elle savoure la merde toute fraîche pondue par la belle Lyne, le goût est prononcé, comme elle l’aime, la texture bien souple, mais pas liquide, bref un étron de choix pour une salope scatophile comme Barbara. Même si elle mange une partie de ce cadeau, la grande quantité de matière chiée par la belle, laisse un joli volume d’excrément avec lequel jouer. Elle barbouille ses mains qu’elle va ensuite poser sur les jolies fesses fermes et marquées des traces rouges laissées par les multiples fessées assenées, le caca colore immédiatement les lobes, masquant les tatouages qui les ornent. Très vite, Lyne quitte l’entrecuisse qu’elle léchait avec engouement pour voir le résultat de ses cochonneries sur le beau visage de Barbara. Elle découvre avec ravissement son gros étron étalé sur le joli minois de la rouquine. Cette dernière, de ses mains sales enduit les seins tatoués. Lyne se laisse faire, amusée, curieuse et très excitée. Elle joint ses mains à celles de sa partenaire entrant ainsi en contact avec ses propres excréments. Elle n’hésite pas à porter ses doigts sales tout près de ses narines, elle s’enivre de l’odeur nauséabonde qui percute son odorat. L’excitation la pousse à goûter à sa merde ! Le goût la surprend, mais elle est tellement excitée de se comporter d’une façon si déviante, qu’elle se délecte de ces résidus qui apparaissent si infâmes à la plupart des gens.
Son comportement si provoquant excite Barbara qui donne un baiser endiablé à Lyne, plongeant ainsi leurs visages dans la merde molle. Lorsqu’elles rompent cet ignoble et merveilleux baiser, Antonin fourre sa bite bien bandée dans la bouche de Lyne, qui l’avale entièrement d’une seule traite !
Les deux filles passent un moment à sucer Antonin, à tour de rôle. Celle qui n’a pas sa bite en bouche va lécher le cul que le jeune homme a volontairement négligé de laver depuis deux jours. Elles se régalent des traces brunes qui polluent son périnée. Bientôt Lyne demande : « Chie. Chie pour tes deux belles petites salopes scatos. »
Le cul bien plein, Antonin est ravi de libérer son intestin sur les deux jolis visages et dans les deux bouches gourmandes de saleté. Il pond plusieurs étrons, entrecoupés de pets gras. Les filles se partagent cette merde comme s’il s’agissait d’une manne précieuse ! Elles en mangent immédiatement une partie et se badigeonnent le visage, les seins et les cheveux avec le reste.
Alors qu’elles sont déjà largement couvertes de caca, Lyne demande à Barbara : « Tu ne voudrais pas ajouter ta merde aux nôtres ?
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Antonin sourit et place Barbara contre le mur, il comprime sa belle poitrine sur le carrelage froid de la pièce d’eau, place sa queue raide sur l’anus et pousse. En quelques mouvements il pénètre à l’intérieur du rectum embourbé de la jolie jeune fille, lui arrachant des cris de plaisir. Lyne l’encourage en fessant le garçon. Malgré sa position plutôt inconfortable, Barbara parvient à toucher sa chatte, pour se donner une furieux orgasme détrempé. Rapidement, Antonin quitte le cul bien accueillant qui libère un bel étron, dont Lyne capte une grande partie avec ses mains. Elle s’empresse de les badigeonner tous les trois de ce nouveau cadeau puant qui les ravit.
Connaissant la perversité de ses deux maîtresses, Antonin décide d’aller encore plus loin. Il fourre sans ménagement ses doigts sales au tréfond de la gorge de Barbara. Celle-
Lyne, qui découvre les jeux vraiment sales, reste une seconde interdite après la régurgitation de son amie. Mais elle comprend vite le caractère vicieux de cet acte et l’excitation la reprend de plus belle. Elle lèche le vomi qui colle aux cuisses de son mec ! Barbara est également très excitée, elle s’agenouille et baisse son visage vers le sol couvert d’immondices. Ses magnifiques longs cheveux roux ondulés baignent dans sa gerbe, tandis qu’elle en aspire de sa bouche gourmande, elle se gargarise même de cette infâme matière.
Lyne veut également tester le vomi. Elle pratique une furieuse gorge profonde à Antonin. Mais avant qu’elle ne vomisse, ce dernier vide ses couilles dans la bouche trempée, l’action de la langue fendue sur sa queue et les actes obscènes auxquels il s’adonne sont trop forts pour qu’il ne puisse se retenir de jouir. Les flots de sperme étouffent à moitié Lyne et provoquent des contractions qui la font vomir à son tour !
Les trois protagonistes profitent longuement de toutes les déjections répandues dans la salle de bain. Ils jouissent encore chacun à plusieurs reprises.
Ils mettent évidemment du temps à tout nettoyer, même si la salle de bain de Barbara est particulièrement bien équipée pour les séances sales.
Une fois propres, la maîtresse de maison leur offre l’apéritif, afin qu’ils fassent davantage connaissance. Barbara questionne Lyne sur la manière dont elle a appris toutes les pratiques vicieuses qu’elle connaît. L’intéressée raconte quelques-
Même s’il ne sait pas s’il sera ravi de partager ses copines avec un autre, Antonin préfère éviter de trop se couper des deux jeunes salopes qu’il a la chance de baiser. Aussi, il propose d’organiser la rencontre chez ses parents, qui lui ont dit devoir s’absenter le week-
Pour ce rendez-
Barbara a immédiatement un bon feeling avec Tan. Le jeune homme est souriant, son corps est musclé, elle détecte chez lui une perversité qui l’excite presque instantanément.
Le petit groupe s’installe au salon, prend un verre pour faire connaissance. Barbara et Antonin, qui connaissent bien les lieux, savent que tout dans cette pièce est conçu pour la baise sale. Le sol est carrelé, il n’y a pas de bibelot, les seuls tissus de la pièce sont le grand canapé et les fauteuils, qui sont recouverts de housses étanches et lavables dont la famille possède plusieurs jeux, même les murs sont recouverts d’un revêtement plastifié très facile à nettoyer.
Alors que petit à petit les quatre jeunes gens commencent à s’embrasser, se caresser et se dévêtir, ils sont surpris de voir la porte du salon s’ouvrir et d’entendre des voix et des rires. Devant eux, se présentent Rébecca et Cyril, accompagnés d’un autre couple, un homme d’une quarantaine d’années et une femme blonde plus jeune. Antonin reconnaît sa tante Fanny, la jeune sœur de son père et son mari, Yann. Ce qui étonne un instant Barbara, et surtout Antonin, c’est de voir subrepticement la main de Yann se retirer du chemisier de Rébecca et celle de Cyril des fesses de Fanny ! « Vous êtes là ! lâche Antonin.
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Un temps de gêne s’installe parmi les huit personnes. Lyne, comprend très vite que les parents d’Antonin voulaient profiter de l’absence de leur fils pour prendre un week-
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Antonin sert à boire aux nouveaux venus, ressert ses propres invités. L’ambiance se détend peu à peu. Lyne poursuit : « Je vois que vous êtes très proches dans la famille, c’est bien. Moi aussi je suis proche de Tan, mon grand frère, nous passons beaucoup de temps ensemble et partageons beaucoup de bons moments. »
Barbara, qui a compris le manège de Lyne, et vois également une occasion inespérée d’élargir encore le cercle de ses relations sexuelles, entre dans le jeu, se tournant vers Fanny et Yann : « On se connaît bien avec Rébecca et Cyril, je suis heureuse de faire la connaissance de sa sœur et de son mari. Vous passez souvent des week-
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Les autres personnes présentes dans la pièce se regardent, un brin de gêne s’installe entre eux, mais il est rapidement dissipé lorsque Rébecca s’approche de Barbara et l’embrasse également à pleine bouche. Les deux femmes se palpent au travers de leurs fins vêtements.
Bientôt, les deux couples se séparent, chacun reprend son verre, presque comme s’il s’agissait d’une rencontre entre amis et famille normale. Discrètement, Barbara murmure à Rébecca : « Ils aiment quand c’est sale Yann et Fanny ?
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Pour la deuxième fois, Lyne redonne une note sexuelle à la réunion, elle embrasse à nouveau son frère à pleine bouche, puis rapidement elle ouvre sa chemise, caresse le torse musclé du jeune homme et s’accroupit, toujours perchée sur ses hauts talons. Elle ouvre la braguette du jean et en extrait un joli membre à demi durci, qu’elle embouche.
Très vite trois autres couples se forment. Près de Tan et Lyne, Fanny embrasse son frère Cyril, tandis qu’un peu plus loin dans la pièce, Barbara se fait peloter par Yann, ravi de rencontrer une si jolie jeune fille qui semble tout à fait partante pour une partie de baise
Enfin, Rébecca approche de son fils Antonin, minaudant en lui jetant un regard de braise. Comme le garçon semble hésiter un instant à embrasser sa mère, elle prend les devants et plaque sa bouche sur ses lèvres, qu’il ouvre bien vite pour permettre le passage de la furieuse langue maternelle. Leur premier baiser incestueux est enflammé, ils bavent abondement !
Après une rapide fellation qui fait bien durcir le membre de son frère, Lyne, s’allonge sur lui, remonte sa minirobe de cuir, écarte la ficelle de son minuscule string et empale sa chatte aux lèvres percées autour du sexe chaud et tendu. Elle monte et descend à un rythme crescendo, poussant des miaulements de contentement. Après quelques pénétrations, elle libère un petit flot d’urine qui trempe la chemise ouverte de son frère. Cet acte obscène pousse le garçon à donner de la vigueur à leur accouplement incestueux, il gratifie même sa sœur de quelques gifles bien senties et pincements fermes sur ses tétons percés et excités.
Lyne apprécie, elle gémit de plus en plus fort. Les coups de boutoirs dans son vagin provoquent une réaction dans le conduit voisin. Son intestin, très encombré de merde, étant compressé par la bite qui s’agite à côté, Lyne chie un gros étron tout en continuant à se faire baiser par son frère ! La merde choit sur les cuisses de Tan. Pendant un temps personne ne s’en préoccupe, même si l’odeur âcre de la merde commence à se répandre dans la pièce.
Tout à côté de Lyne et Tan, Fanny a également entrepris une fellation en gorge profonde sur son frère Cyril, qui se plait à forcer la bouche salivante de sa sœur. Il apprécie vraiment le contact de son gland avec le clou qui perce la petite langue rose de la blondinette. Après de longues minutes pendant lesquelles la jeune femme bave et s’étouffe à plusieurs reprises, elle quitte la tige, pour porter son visage entre les fesses de Cyril. Elle est ravie de sentir immédiatement l’odeur de merde faisandée qui émanent de la raie. Elle lèche, crache dans ses lieux intimes qui lui sont pourtant familiers !
Cyril sait ce que cherche sa sœur : une belle merde bien grasse pour l’ingérer et se tartiner le visage ! Il ne la fait pas attendre trop longtemps. Bientôt un étron massif marron clair se fraie un passage à travers son anus pour rejoindre directement la bouche avide de sa sœur ! Fanny prend un gros morceau de merde qu’elle garde en bouche, elle le mâchonne avant d’en avaler une partie et de recracher le reste, qui rejoint le trop-
Dans le même temps Barbara fait la connaissance intime du mari de Fanny. Ce couple s’est formé un peu par hasard, mais la belle rousse est heureuse de partager l’intimité de ce bel homme. Elle le laisse parcourir son corps de sa bouche gourmande. Il lui prodigue un agréable cunnilingus, au cours duquel elle s’aventure à lâcher un jet de pisse qui semble ravir son partenaire. Avant qu’elle ne jouisse, Yann quitte la chatte de Barbara et présente sa bite, pour une pipe. La belle lui donne satisfaction en l’embouchant immédiatement en gorge profonde, mais elle fait rapidement divaguer sa langue vers les fesses et invite son nouvel ami à des pratiques plus excentriques : « Chie-
Yann est très excité par ces propos hors du commun. Comme sa femme, il adore les jeux sales et est très excité de rencontrer une si belle jeune fille, qui semble partager ses vices. Sentant qu’il a affaire à une vraie salope scatophile, il se permet de l’empoigner par sa belle touffe de cheveux, pour plaquer fortement son joli visage profondément dans sa raie déjà sale. Barbara se laisse faire avec plaisir. Elle a hâte de goûter au caca de son nouvel amant et n’est pas déçue, il pond une énorme merde. Même avec sa bouche grande ouverte, elle ne parvient à en happer qu’une infime partie. Le trop-
A moins d’un mètre de cette scène incroyable, Rébecca et Antonin font tomber toutes leurs barrières pour se livrer à leur première baise incestueuse. Très vite, la maman prend en bouche le dard raide de son fils. Elle le suce en gorge profonde et l’encourage même à la violenter, comme elle l’aime : « Baise ma gueule de pute ! »
Antonin ne se prive pas, il pilonne la gorge maternelle avide de grosses bites. Ils ont rapidement envie de briser un autre tabou. Antonin veut enfoncer son sexe dans la chatte qui lui a donné le jour ! Rébecca a envie de se faire prendre par la chaire de sa chaire ! Antonin est ravi de découvrir la moule maternelle, percée de ses fins anneaux, qui la rendent encore plus salope. D’abord en missionnaire, puis en levrette, Antonin baise sa mère, qui crie son plaisir et jouit rapidement !
Ce nouvel interdit brisé, elle veut poursuivre et réclame : « Encule-
Après avoir dégusté la merde de son frère, Fanny décide de voir de plus près ce que font Lyne et Tan. Ce dernier est toujours sous sa sœur, allongé par terre, en train de lui fourrer la chatte. Le visage de Lyne est positionné près du canapé. Fanny décide de s’y assoir, en écartant outrageusement les jambes, sa culotte se retrouve à proximité immédiate du visage de la jolie minette au look si provoquant, qui sort sa langue fendue pour venir titiller la culotte de la jolie blonde.
Se retrouvant seul, Cyril suit sa sœur. Il est immédiatement attiré par le petit cul de la belle Lyne. Après avoir chié, le cul est tâché de merde, ce qui excite intensément Cyril. Sans en demander la permission, il fesse vigoureusement les deux lobes de la jolie asiatique, qui l’encourage à s’occuper d’elle entre deux coups de langue portés à la culotte de Fanny : « Oui bon beau continue, prend soin de moi. » Après quelques nouvelles claques qui font rougir le postérieur, Cyril présente sa bite salie du caca de sa sœur sur l’œillet sale et palpitant de Lyne. Tan stoppe quelques secondes ses pénétrations pour faciliter l’intromission dans l’anus de sa sœur et rapidement celle-
Bientôt, Lyne a une nouvelle requête pour Cyril : « Baise ma chatte, je veux sentir ta queue avec celle de mon frère ». Cyril ne se fait pas prier. Il quitte le cul, pour rejoindre la bite de Tan dans la chatte trempée. Il insère en même temps que sa bite, des résidus des merdes de Fanny et Lyne dans ce sexe avide. Lyne supporte sans difficulté la double pénétration vaginale. Malgré son jeune âge elle est coutumière de telles intrusions.
Un peu plus tard, elle demande aux deux garçons : « Prenez-
Après avoir jouit dans le cul de Lyne, Cyril découvre le spectacle de sa femme maculée de merde et enculée par leur fils. La situation l’excite tellement qu’il ne débande presque pas. Il décide d’offrir une double pénétration anale à son épouse. Il lance à son fils : « Tu me fais un peu de place ? On va gâter ta maman ! » Antonin pense d’abord que son père va prendre la chatte de sa mère, mais il sent rapidement la queue paternelle se glisser contre la sienne et s’introduire dans le délicieux cul merdeux. Rébecca crie son bonheur d’être doublement enculée par ses hommes !
L’après-
En début de soirée la fatigue et la faim prennent les convives. Ils décident de préparer en hâte un énorme plat de spaghettis bolognaises. La cuisine est faite sans aucune hygiène, chacun y participe avec ses doigts souillés de merde, de pisse et de toutes les substances exécrées par leurs corps. Ils s’assoient autour de la grande table de la pièce pour dîner. Seuls les verres et l’énorme marmite dans laquelle ont cuit les pâtes occupent la table. Les verres sont remplis de vin, bientôt agrémenté de pisse. Chacun s’empare des spaghettis avec ses mains sales, directement dans la casserole, les posant devant lui à même la table.
Ce repas donne évidemment lieu à de nouveaux jeux sexuels sales. Deux bouches se partagent la même poignée de pâtes et se rejoignent dans un baiser gluant lorsqu’elles ont chacune avalé leur part. Cyril dépose des spaghettis dans les cheveux sales de sa femme Rébecca, puis il en enfourne une grosse poignée dans la bouche de la belle brune, poussant violement, la forçant à avaler une quantité impressionnante de nourriture. A peine est-
Tous les convives semblent ravis de l’ajout de cette nouvelle matière ignoble dans leurs jeux. Barbara plonge sa tête entière dans la grosse gamelle, elle lape quelques pâtes qui baignent dans les vomissures ! Elle avale une bouchée, retourne dans la casserole, gobe une nouvelle bouchée, qu’elle partage dans un baiser endiablé avec son voisin Tan.
Yann badigeonne la poitrine aux tétons percés de Lyne de ces spaghettis au vomi. La belle asiatique, excitée, ingurgite également une belle quantité de pâtes et de boisson à toute vitesse, puis elle se précipite sur la queue de Yann. Elle a un peu ramollie, mais le traitement offert par la jeune bouche chaude lui redonne rapidement une belle vigueur. Lyne lui demande alors : « Baise-
Fanny s’allonge à même cette table, sur le dos. Elle empoigne des spaghettis gluants de vomi et branle fiévreusement sa chatte, qui suinte toujours le jus de ses règles, de cette matière répugnante ! Sous l’effet des doigts agiles, la sauce tomate mêlée au sang et à la cyprine produit un clapotis dont le rythme s’intensifie lorsque la jeune femme approche de l’extase. Sa bouche ouverte devient un dépotoir, chacun y crache, y verse le contenu douteux de son verre, … Elle reçoit également quelques gifles, se fait pincer les nichons, tirer les cheveux.
Ce ne sont finalement pas ses phalanges qui la font jouir, mais la bite de Tan qui les écarte pour fourrer violemment ce vagin sale et avide.
Les huit protagonistes poursuivent encore leur orgie sale pendant plusieurs heures. Chacun vomit à son tour. Les chattes, les culs et les bouches des quatre femmes sont pénétrés férocement, parfois avec plusieurs bites en même temps, parfois avec des doigts, voire des mains entières ou des pieds ! Les orgasmes succèdent aux orgasmes.
Vers le milieu de la nuit la fatigue se fait sentir. Rébecca et Cyril, apportent quelques vieux matelas, qu’ils jettent à même le sol. Chacun s’y couche dans l’état où il se trouve, c’est-
Au moment du lever, même si toutes les matières sales ont refroidi et que l’odeur des miasmes est entêtante, l’excitation des partouzeurs reprend très vite. Les bouches des filles font très vite reprendre de la vigueur aux queues enduites d’une gangue de souillures nauséabondes.
Affamés, ils improvisent un petit-
Ce n’est qu’à la mi-
Ils se quittent ensuite, épuisés, mais vraiment heureux de s’être totalement lâchés et d’avoir pleinement profité des plaisirs qu’ils se sont procurés pendant toutes ces heures de débauche. Personne ne regrette rien. Ils se promettent remettre ça au plus vite et de pimenter encore leurs orgies, si cela est possible.
BARBARA, BELLE, SALE ET SALOPE
Par Fed (F+M+, amours saphiques, orgies bisexuelles, D/S, inceste entre frère et sœur, entre mère et fils, anal, oral, uro, scato)