On se réveilla vers midi. On avait l’haleine chargée à cause de l’ail et des oignons qu’il y avait dans les pâtes, mais notre habituel roulage de pelle matinal nous donna juste une demi-molle, rien de plus tellement on s’était vidé les couilles la veille au soir. On vérifia nos trous du cul encore légèrement ouverts. Les bites de Bob et Flo avaient bien su trouver leur passage et ne nous avait pas trop amochés. C’était aussi des pros de la bite et ils savaient que leurs mandrins ne pouvaient pas perforer n’importe quel cul. On avait faim et on alla à la cuisine. Nos pères nous avaient préparé un p’tit déj géant, jus d’orange frais, croissant, chocolatines, brioches, fruits et thé, le tout accompagné d’un petit mot disant qu’ils étaient partis jouer au tennis, qu’ils se réjouissaient qu’on leur raconte notre soirée quand ils rentreraient en fin d’après-midi et qu’on pouvait changer les draps de leur chambre. Une fois bien rassasiés, on retourna dans notre chambre finir nos devoirs. Puis on chatta un peu avec Célia et Sara. Elles avaient eu le même genre de soirée avec leur entraîneuse de foot et quelques gouines toutes aussi dépravées. Il y avait aussi une black prof de sport qui vivait avec l’entraîneuse et qui avait tout un réseau de petites gouines. Elle leur avait proposé de rencontrer des femmes amatrices de filles dans leur genre, bien crades que rien ne rebutait et qui pouvaient leur filer du fric contre quelques heures passées avec elles. Elles avaient accepté tout de suite et allaient avoir un rendez-vous la semaine suivante. On leur dit qu’on allait aussi se faire du blé de la même manière. Cette prof avait un frère aussi prof de sport qui lui aimait les garçons. Peut-être que c’était Bob ou Flo !
On alla ensuite dans la chambre de nos pères et on se doutait de ce qu’on allait trouver. Changer les draps signifiait qu’ils avaient ramené quelqu’un à la maison et que ça avait été crade. On devait tout nettoyer mais ils savaient que ça nous excitait de les savoir avec d’autres et de nettoyer leurs saletés. On se faisait tout un cinéma avec Kilian en inspectant les traces de sperme et de merde sur les draps. Quand on rentra dans leur salle de bain, on fut assailli par l’odeur immonde qui nous fit bander malgré la soirée qu’on avait passé la veille. La baignoire était remplie de pisse, de merde et de vomi. Ils avaient dû bien jouir là-dedans. Nos érections étaient un bon signe : on reprenait des forces et on allait pouvoir accueillir nos pères décemment. On baisait toujours tous les quatre à la fin du week-end nous racontant les cochonneries qu’on avait faites. C’était prétexte à une dernière séance avant le début de la semaine. On changea les draps et vida la baignoire. Putain, ils avaient dû se faire une totale !
En fin d’après-midi, nos pères rentrèrent et on se précipita dans leurs bras. Ils avaient beaucoup sué et ça se sentait qu’ils ne s’étaient pas lavés depuis 2 jours et qu’ils avaient baisé crade la nuit précédente. Leurs queues puaient encore la merde des mecs qu’ils avaient dû baiser. Ils étaient impatients de savoir comment s’était passée notre soirée. On ne leur cacha rien de ce que nous avions fait, sauf le fait qu’on allait peut-être se faire du fric avec notre cul.
- Alors vous avez découvert que votre entraîneur de basket est pédo !
- Ben ouais, c’est pour ça qu’il entraîne des jeunes, comme son copain au foot. Ces deux blacks ont tout un réseau de mecs de 11 à 17 ans. C’est chaud dans les vestiaires après les matchs !
- Ah ouais, hein Paul, le fameux « ce qui se passe dans les vestiaires reste dans les vestiaires ».
- Putain, Fred, c’est vrai qu’on s’emmerdait pas dans les vestiaires. C’est bon le sport entre mecs, ces bonnes odeurs et toutes les bites qu’on voyait, qu’on suçait et qui nous enculaient ! Putain de partouzes qu’on se faisait !
- Et vous avez fait ça longtemps ?
- Ben on l’fait encore ! Depuis un an y’a un entraîneur de foot black qui nous invite dans les vestiaires ou chez lui. Il a tout un réseau de jeunes mecs. D’ailleurs on a passé la soirée avec deux footeux de chez lui au cul encore bien étroit et surtout bien plein hier soir pendant qu’vous vous vous faisiez troncher par Flo. C’est souvent des mecs de cité, qu’ont pas d’hygiène et qu’ont surtout pas de limites.
- Euh … on vous a pas dit qu’y s’appelait Flo. Comment vous savez ?
- Non mais vous croyez quoi, qu’on allait vous laisser passer une soirée de baise crade chez des inconnus, comme ça. Vous êtes nos fistons, les gars, et on tient à vous encore plus qu’à nos bites. On vous aime depuis que vous êtes nés et même avant ! Soyez plus si naïfs ça fait un an qu’on connaît Flo. Le milieu des pédos est pas grand et on les connaît tous dans la région. Et surtout on a vu Bruno, Marc et Sélim hier soir venir vous chercher. On a déjà baisé avec eux.
- Quoi ! Mais alors vous savez qu’y font la pute, tous les jeunes ! Alors vous êtes d’accord qu’on aille aussi vendre not’ cul !
- Ouais, mais que le week-end et à condition qu’vos résultats scolaires soient toujours aussi bons. Vous voulez y aller ensemble ou séparer ?
- Ben, on s’en fout du moment qu’on baise … et qu’c’est crade !
- On est passé chez eux après le tennis. Y nous ont dit qu’vous aviez assuré un max. On en doutait pas, vous êtes de vraies salopes comme nous à votre âge. D’après c’qu’y z’ont vu, y vont donner vot’ 06 de préférence à des étudiants. La plupart ont 18-20 ans et c’est souvent des étrangers, vivant en Cité U, seuls et qui sont bien crades : leurs chambres vous plairont, c’est sûr. Comme ça vous restez entre jeunes !
- Y’a aussi des mecs comme vous ?
- Comment ça ?
- Ben des pédos incestueux. On pourrait aussi aller chez eux et baiser avec le fils et le père !
- Ouais y’en a, mais ça court pas les rues.
- Et y’a des gang-bangs organisés ? On aimerait tellement s’prendre 10 queues bien dég dans le cul et dans la gueule !
- Mouais, mais vous croyez avoir le physique pour ça ?
- Ben si on essaye pas , on l’saura pas ! Pis si on aime bien s’faire mettre, la réciproque est aussi vraie.
- Vous inquiétez pas, y’a des tas de mecs qu’aiment bien être entourés d’ados comme vous, à commencer par vos papas chéris.
- Pis vous, vous avez fait quoi hier soir ?
- Ben avec Paul on a tapé dans le réseau de Bob et de Flo ! Y’a deux footeux qui sont v’nus nous tenir compagnie pendant deux heures.
- Quel âge ?
- 11 et 12 ans, Tim et Ali.
La conversation fut interrompue par un coup de fil à Fred. C’était Flo. Fred mit sur haut-parleur pour qu’on en profite.
- Salut Fred !
- Salut Flo, qu’est ce qui se passe ?
- Rien juste pour vous confirmer que vos deux chéris sont des sacrées salopes. Y peuvent déjà prendre nos grosses queues de nègres dans le cul et dans la gueule. Y boivent la pisse et y bouffent la merde et le vomi comme des grands ! Vous les avez super bien élevés !
- On a fait ce qu’on a pu ! Mais y sont comme leurs pères, de vraies crades. Attends j’mets sur haut-parleur. On est là tous les quatre à s’raconter not’ soirée
- Avec Bob on s’dit qu’on a de sacrées recrues. Dommage qu’on les ait pas connus plus tôt ! Y paraissent presque trop vieux et y vont bientôt avoir des poils ! Vous leur avez dit qu’vous étiez d’accord pour quelques passes ?
- Ouais, y sont trop contents. Avec Paul ça nous rappelle nos jeunes années quand on faisait la pute au collège puis au lycée. A l’époque, c’était not’ boulanger qui nous filait des adresses de mecs.
- Bon, vue leur capacité à encaisser des gros zgegs, y’en a 1 qui pourrait aller samedi à la Cité U. Y’a un étudiant américain qui s’rait intéressé par un jeune latino. Ça fait un an qu’il est là et il aime le fromage de bite presque introuvable aux US ! Y m’a d’mandé un latino et j’ai pensé à Kilian. Y s’rait OK ?
- Y m’fait oui de la tête. Pis à la Cité U y’a pas de problèmes.
- Alors j’lui enverrai le bâtiment, l’étage et le numéro de la chambre. Pour Chris, y’ un pédo amateur de ladyboy. A propos c’était bien avec Tim et Ali ?
- Comme toujours Flo, ces deux-là sont déjà aussi crades que nos pédés de fistons. Bon, Chris fait pas franchement ladyboy mais quand le mec a vu la photo, il a flashé. Ça l’brancherait ?
- Il a aussi l’air d’accord. C’est vrai qu’avec un peu plus de poitrine et un bon maquillage il ferait un malheur en Thaïlande, dit mon père.
- Ouais, y z’ont déjà de super tétons, vos garçons ! Bon pour résumer, je leur envoie les adresses. Ah, Bob m’a dit qu’y z’avaient un match de basket samedi après-midi. Bon, on s’est mis d’accord sur le tarif avec les mecs : 100€ de l’heure. Pas la peine de dire qu’y faut pas qu’y passent par la douche et qu’ce s’rait bien s’ils étaient pleins et crades.
- Pas de problème, y z’ont l’habitude de by-passer les douches et le PQ ! Faut qu’j’raccroche. Y’a Kilian qui va s’enculer sur moi !
- Mmm vous avez du pot ! Ciao et bonne bourre !
Fred raccrocha. Cette conversation nous avait excités et on avait commencé à sucer nos papas pour les remercier d’aller pouvoir nous faire de l’argent de poche. Leurs bites étaient vraiment crades et on s’attachait à enlever les résidus merdeux. Une fois bien préparés, on alla s’embrocher à sec sur eux. Nos trous n’étaient pas encore refermés et leurs zobs entrèrent facilement. On se roulait des pelles baveuses et on était heureux de leur donner encore du plaisir. On lâchait des petits jets de pisse sur leurs torses. Nos queues se balançaient au rythme du pilonnage que nous imprimions, On rigolait bien tous les quatre et après dix minutes de ramonage, je sentis le sperme de mon père tapisser mon conduit rectal. Putain que c’était bon de se faire ramoner le cul ! Fred ne tarda pas non plus à larguer sa purée dans le fondement de son fils adoré. On nettoya ensuite les zobs de nos pères, enduits de nos humeurs rectales. Je sentais le sperme couler de mon trou sur mes jambes, en récupérait un peu sur mes doigts et le partageait avec mon père. Une fois remis de nos émotions, on alla tous dans la cuisine se faire à manger. Avec Kilian on avait une foule de questions, mais la principale était :
- Comment vous avez connu Bob et Flo ?
- Ah ben c’est grâce au réseau. Flo et sa sœur sont arrivés pour la rentrée scolaire de l’année dernière. La sœur est une goudou entraîneuse de foot. C’est elle qui entraîne maintenant Célia et Sara.
- On en était sûr ! et elles ont passé la soirée d’hier avec elle !
- Oui elles et tout un tas de p’tites gouines. Avec Bob, les trois sont vite tombés sur le réseau d’Olaf, mais ils les préfèrent plus jeunes que 14 ans. Faut dire que Bob et Flo ont juté à 9 ans et Aimée, la sœur de Flo, a eu ses règles à 8 ans ! Comme entraîneurs de sports, les trois repèrent vite les jeunes crades et obsédés sexuels, et ils tentent leur chance. Depuis un an on le fréquente mais on n’a jamais voulu vous dire que Bob flashait sur vous.
- Bordel, on a perdu tout ce temps !
- Ouais on est désolé, on a commencé à baiser avec eux il y a un an et on aurait dû l’faire plus tôt avec vous, surtout qu’on a bien aimé les footeux de 11 ans. C’est vrai que la puberté vient plus tôt chez les africains ! Mais vous inquiétez pas, on vous aime toujours et nos zobs et culs bien puants seront toujours prêts à vous satisfaire !
- Les nôtres aussi !
On alla se coucher et on s’endormit assez vite. La semaine nous parut longue tant on désirait rencontrer nos premiers clients. L’entraînement de basket du mercredi après-midi fut un calvaire tant on aurait aimé jouer avec la queue de Bob plutôt qu’avec des ballons. En plus Bruno faisait tout pour nous aguicher et on avait du mal à cacher nos érections ce qui faisait sourire Bob. Le samedi matin, on reçut les adresses sur nos portables. Notre match de basket était à trois heures et on aurait fini vers cinq. Kilian avait rendez-vous juste après. Bruno aussi avait un rencard et me dit que Sélim et Marc aussi. A la fin du match, Bob dit à Kilian qu’Abdel serait avec lui car deux autres étudiants aimeraient faire une partouze. Il partit directement après notre match de basket vers le stade de foot pour prendre Abdel. Abdel était un habitué et pourrait montrer à Kilian le chemin le plus court pour aller à la Cité U. Moi j’avais rendez-vous à sept heures et je pus repasser à la maison. On se promit de raconter notre première expérience de putes !
J’arrivais à l’heure à l’adresse indiquée. C’était une petite maison, genre pavillon de banlieue. Je n’étais pas du tout à l’aise, mais la perspective de gagner un peu de fric en prenant du plaisir me rendait plus courageux. En plus avec Kilian on avait beaucoup insisté à faire des passes et je ne voulais pas renoncer au dernier moment. J’étais à la fois excité et timide. Je sonne et un mec d’une trentaine d’années m’ouvre, en short et t-shirt qui un jour avaient dû être blancs. Le mec était mignon, juste un peu plus grand que moi. Il avait un immense sourire avec de grosses lèvres que je rêvais déjà de forcer avec ma bite.
- T’es Chris ?
- Euh oui.
- Alors rentre. Mmm, tu ressembles aux ladyboys que j’me tape en Asie. Flo connaît bien mes goûts. Y’a des choses que tu fais pas ?
- Ouais, pas de violence et pas de sang. Pour le reste j’fais tout et j’suis crade.
- C’est ta première fois en tant que pute ?
- Ouais, qu’est ce que je dois faire ?
- Ben tu sais, rien de spécial. Je vais te guider, t’es là pour assouvir mes fantasmes.
Ma première expérience de prostitué ne fut de loin pas traumatisante. Ses fantasmes m’allaient très bien. Après m’avoir déshabillé, il me fit allonger sur son lit couvert d’une bâche plastifiée. Il commença à me lécher partout, se régalant de mes odeurs d’ado, me félicitant pour mon hygiène négligée. Mes pieds avaient bien macéré et il les apprécia orteil par orteil, me décapant la crasse entre eux et l’avalant goulûment. Il remonta ensuite vers mon zob poisseux. Il fit un peu déçu de ne pas trouver une bonne couche de fromage, mais il avala le peu qu’il y avait de smegma avant de s’attaquer à mon cul, heureux cette fois d’y trouver une couche de merde. Après l’avoir bien nettoyé, je sentais sa langue forcer mon trou. Ce mec savait y faire en feuille de rose. Enfin, il remonta partager quelques bouts de merde en me roulant une pelle. Il me demanda un 69 pour que je le fasse bander et qu’il me prépare mon trou. Son zgeg puait grave et était bien pourave. Je le dégustais avidement pendant qu’il me pénétrait avec ses doigts. Il me demanda également de lui fourrer dans le cul un gode que je faisais aller et venir pendant que je le suçais.
- Putain, tu suces vachement bien, Chris et t’as le cul bien souple !
- Slurp, mer.. slurp… ci
- Bob et Flo m’avaient bien dit que toi et ton copain étaient déjà bien crades… Retire moi le gode, maintenant, et passe-le-toi sur ta gueule. Ouais c’est ça … Faut qu’ma merde colle bien sur ta p’tite gueule de pédé. Putain t’es beau comme ça… Et tu sens bon… Bon allez viens t’enculer sur moi, sale pute... Mets-toi en face que j’te torde les tétons… Vas-y monte et descend, lâche ta pisse si tu veux... Ouais c’est bon, j’sens ta merde qui commence à sortir de ton cul… Maintenant enfonce toi le gode dans la gorge, et fais-toi vomir. … Ah la vache c’est bon…Vas-y gerbe et vise ma bouche … Et ouais, prends ça dans ton cul !
Ce mec m’avait rempli le fion au moment où ma gerbe lui tombait sur dessus. Il ouvrit grand la bouche pour en avaler un max. Il me demanda de lui rouler une pelle ce qui me provoqua un nouveau haut-le-cœur et il avala ma nouvelle gerbe. Il souriait et avait l’air aux anges. Ça n’avait pas pris plus d’une demi-heure.
- Euh, j’peux aller prendre une douche maintenant ?
- Attends un peu, t’as pas joui, toi !
- Ben une pute ça jouit pas, non ?
- Juste, mais j’aimerai te remercier en t’offrant un p’tit cadeau. J’me fais pas enculer et j’avale pas. Moi c’que j’aime c’est baiser des garçons, mais y m’baisent pas. J’pourrais t’branler mais j’ai mieux à t’proposer : tu peux enculer le fils de mon voisin si tu veux, y nous regarde baiser depuis le début et y doit déjà être prêt à recevoir ta queue.
- Quel âge ?
- 11, tu verras, il est jeune mais c’est déjà une bonne salope.
- Euh, ça va pas l’gêner qu’j’sois crade ?
- Au contraire, J’te dis qu’c’est une salope.
Je salivais déjà. J’allais assouvir mon désir de me faire des jeunes comme mes pères. Le mec dit alors au jeunot de rentrer. Il faisait 1,40 m, blondinet, à poil, tout souriant, évidemment imberbe. ll avait une queue en rapport avec son âge, toute fine, pas longue. Il s’approcha de moi et me dit :
- Alors c’est toi Chris ?
- Ben oui. Tu t’appelles comment ?
- Tim, je joue au foot dans l’équipe benjamin de Flo, mais on joue pas qu’au foot, dit-il en rigolant !
- Ouais, j’ai appris. T’es sûr qu’tu peux prendre ma queue dans ton cul, j’voudrais pas te faire mal
- T’inquiètes, j’enlève mon plug et ça rentrera tout seul. J’me fais enculer depuis qu’j’ai 9 ans. Tu sais Bob et Flo me la rentrent déjà à moitié. La tienne ça devrait aller. Elle est comme celle des footeux de 15-16 ans. T’es bien monté dis donc !
Il ne dit plus rien, enleva son plug et se pencha pour me rouler une galoche, pas dégoûté par les restes de vomi puis descendit s’amuser avec mes tétons un moment et engouffra ensuite ma queue. Une fois bien raide il me demanda de rester allonger et s’empala sur moi. Ses pieds étaient près de ma figure et je pouvais les sentir. Ce petit mec avait la même hygiène que Kilian et moi ! Je commençais à bouger mon bassin enfonçant bien mon zob dans ce petit cul ma foi plus qu’accueillant et qui devait déjà avoir vu pas mal de queues. Il était encore assez étroit et emprisonnait bien mon zgeg. Putain que c’était bon ! Je réalisais mon fantasme d’enculer un jeunot. Ce mec avait dû connaître très tôt la joie d’avoir une bite dans le cul car il savait y faire ! Il se mit à tressauter sur ma queue. La sienne allait dans tous les sens. Ses yeux étaient fermés et un immense sourire éclairait son visage au fur et à mesure de mon pilonnage. Je lui envoyais mon sperme au fond de ses entrailles et il s’écroula sur moi, me roulant de nouveau de bonnes pelles. Puis il prit soin de lécher les résidus merdeux de ma queue et me les fit partager. Cette fois, je pus aller me rincer avec une douche mais je ne me lavais pas gardant les odeurs sur mon corps. Tim vint avec moi dans la salle de bain. Pendant que j’étais sous la douche on discuta.
- C’est la première fois qu’tu fais pute ?
- Ouais.
- Ton pote aussi ?
- Comment ça mon pote ?
- Arrête Chris, on connaît tout le monde dans le milieu. Vos pères nous ont payés la semaine dernière avec Ali.
- Quoi ? C’est toi le Tim dont y nous ont parlé ?
- Ben ouais. J’aime bien vos darons. Y sont cool.
- Tes parents, y savent c’que tu fais ?
- Non, bon y s’doutent de quequ’chose mais y m’foutent la paix. Y sont bien trop contents qu’j’sois pas toujours dans leurs pattes. Eux aussi sont crades de toute façon. Ma mère arrête pas de me d’mander combien de fois j’me branle par jour, si j’ai déjà du sperme, une copine. Elle m’file déjà des capotes.
- Ça fait longtemps qu’tu t’prostitues ?
- Un peu plus d’un an. J’adore avoir une bite dans le cul. C’est plus fort que moi. Avec Ali, depuis qu’on a 7 ans on joue avec nos bites et nos culs. A 8 ans on s’enculait déjà et on a vite pris goût à nos bites merdeuses. J’ai eu un peu d’mal au début avec le crade, mais Ali, pis surtout Flo et Bob, m’ont vite fait découvrir que j’aimais ça !
- Dans le club de foot ?
- Ouais, pis après chez les clients quand y z’ont vu qu’j’étais intéressé à gagner du fric.
- Et l’mec chez qui on est ?
- Ben y connait le réseau de Bob et Flo et y m’baise de temps en temps. Y veut pas d’bite dans l’cul. C’est pour ça qu’y m’demande de v’nir quand y’a un jeune qui vient s’faire baiser. Y veut pas qu’le mec reparte trop frustré et y m’demande toujours de v’nir quand y paye un jeune. C’est un voyeur
- C’est sympa d’sa part ! Tu sais j’ai bien aimé t’pécho.
- Moi aussi tu m’as bien fait jouir du cul. Salut et fais une bonne pipe à tes pères !
- J’y manquerai pas !
Je me rhabillais et Tim me roula une pelle en guise d’adieu en me disant que je sentais encore vachement la merde et le vomi. Le mec me fila le pognon, me disant qu’il avait été très satisfait mais qu’il me trouvait un peu trop vieux. Ça lui avait rappelé ses séjours en Thaïlande de baiser avec moi. Putain, ça c’était de l’argent facilement gagné et avec plaisir en plus. Je rentrais à la maison. Personne n’était là. Je me fis à manger et Kilian arriva quand je me mettais à table. Je lui racontais ma passe et en mangeant il me raconta la sienne. Il avait rejoint l’étudiant américain qui était un latino de 19 ans en bas de la Cité U. Arrivés dans sa chambre, ils s’étaient tout de suite mis à poil et ils s’étaient mutuellement léché le corps. Le mec ne s’était pas lavé depuis quatre jours et Kilian prit un pied terrible à le nettoyer. Le mec l’avait ensuite enculé et Kilian lui avait juste nettoyé le zgeg. Kilian n’avait pas joui et le mec lui avait filé le fric. Lui aussi trouvait que c’était du fric vite gagné. Le hic c’était que cet étudiant trouvait Kilian super bon, mais un petit peu trop vieux à son goût. Ayant encore envie de sexe, on finit vite de manger et on alla dans notre chambre. Kilian était excité par mes odeurs persistantes et était déjà bien dur. On ne prit pas le temps de préliminaires et il enfonça direct son pieu dans mon cul qui ne demandait que ça et me pilonna pendant bien un quart d’heure. Kilian savait me faire jouir du cul ! Au moment de juter, il se retira pour que je le prenne en bouche et il expulsa quatre jets de sperme au fond de ma gorge. Ce dessert, mélangé à la merde collant sur son zob, me ravit.
- Waouh, Chris, t’as le meilleur cul du monde !
- Merci Kilian, mais celui de Tim te plairait aussi.
- Putain, t’as eu du bol de te l’taper. J’ai hâte de m’le faire aussi.
- Y’aura qu’à d’mander à nos pères de l’faire venir !
- J’crois qu’y a mieux, Chris. Faut d’mander à Bob quand y’a une partouze dans les vestiaires du foot !
- T’as raison, p’tite pute ! Bordel, qu’est-ce que j’kiffe le sexe ! Pis avec les jeunots, c’est super bon. Tu verras Kilian, les garçons de 11-12 ans bien étroits
- Ouais moi aussi. Dis donc, Chris, ça t’inquiète pas trop qu’on nous ait trouvé vieux ?
- Ben si, ça veut p’t’êt’ dire qu’on aura pas beaucoup de clients !
- Et pas de clients, pas de scooter qu’on voulait s’acheter !
- Fait chier, merde !
- T’inquiètes pas, on va d’mander à Bob er Flo si y a pas un aut’ moyen. J’t’aime Chris.
- Moi aussi Kilian. J’aime ton corps, tes odeurs, et surtout nos pap …
Sans s’en rendre compte, on s’endormit alors dans les bras l’un de l’autre et le lendemain matin nous trouva dans la même position. Après nous être roulés la pelle odorante du matin, on alla à la cuisine prendre un petit déj’. Seul Fred était là, mon père dormait encore. On se précipita sur ses genoux. La langue de Fred s’insinua alternativement dans ma bouche et celle de Kilian et il soupira d’aise, goûtant nos haleines du petit matin. Bientôt nous eûmes tous les trois la queue pointée vers le ciel.
- Désolé, papa, faudra qu’t’attendes avant d’m’enculer. J’ai trop faim !
- Ok les p’tites putes. Alors. C’était bien hier ?
- Ouais, putain c’est du fric vit’ fait !
- Et en plus on prend not’ pied !
- Pas eu trop peur ? pas eu de problèmes ?
- Nan, sauf que les deux mecs chez qui on a été nous trouvent un poil trop vieux.
- Ça va pas aller en s’améliorant ! Bientôt vous aurez des poils partout et vos voix arrêteront de faire l’aller-retour du grave à l’aigu !
- Ah non merde, pas de poils ! Comment tu fais avec Paul, vous vous rasez plus et ça pousse pas !
- On s’est fait une épilation totale pour avoir toujours le cul la bite et les couilles lisses.
- Ah ben nous aussi on la veut !
- On verra !
- Ça coûte cher ?
- Ouais, mais pour vous ce serait moins cher.
- Pourquoi ?
- Ben c’est un repère de gays amateurs de jolis garçons comme vous !
- Ah ouais, j‘vois, faudra payer de sa personne !
- Voilà…
- Pas de problème pour nous, hein Kilian ?
- Sûr Chris, moi j’suis OK pour m’faire épiler avec une bite dans le cul et une dans la gueule et deux qu’je branle !
- A propos Fred, t’as le bonjour de Tim !
- Tu l’as vu ?
- Ouais chez le pédo chez qui j’étais. Y veut pas s’faire mettre alors y m’a proposé Tim pour me dégorger le poireau. Y vous aime bien.
- Ben nous aussi. C’est une bonne salope pour son âge. Il est comme vous il aime le sexe !
- Ah ouais, il a un p’tit cul vachement étroit. La prochaine fois qu’vous niquez avec lui et Ali faudra nous l’dire !
- On verra. Bon vous avez fini d’manger.
- Ouais
- Alors on va s’faire un sandwich.
- ???
- Ben ouais, j’vais enculer Kilian et toi Chris tu vas m’planter ton zob dans le cul.
Fred avait dû prendre cher la nuit dernière car son cul était encore bien ouvert. On était tous les trois en cuillère sur le sol de la cuisine en train de se pilonner quand mon père entra. La queue de Kilian était libre et il réussit à s’embrocher dessus. Kilian ne mit pas long à cracher son yop. Mon père se releva et vint m’enculer. J’étais aux anges, au milieu des mes deux papas : mon père m’enculait pendant que j’enculais mon autre père, exactement comme Kilian quelques instants auparavant. C’était pour moi un bonheur inouï. Je criais mon plaisir au moment de féconder Fred. Quelques instants plus tard, je sentais le sperme de mon père me tapisser le rectum, me déclenchant un violent orgasme prostatique en plusieurs vagues qui me fit presque m’évanouir. Ayant repris nos esprits, on se roula de nombreuses pelles, puis on alla récupérer le sperme de chacun à la source. Au moment où Kilian me léchait la raie je pétais et lui envoyais un jet de sperme et de merde à la gueule.
- Merci du cadeau, frangin !
- Et merde les fistions, vous pouvez pas vous empêcher d’être crades ! Retenez-vous putain ! Vous allez encore dégueulasser la cuisine.
- Ça vous gêne peut-être ?
- D’accord, non, mais pas c’matin.
- OK attends, Kilian, j’vais t’lécher la gueule…
- Ouais Chris, mais après tu me donnes à manger c’que tu récupères !
- Sûr, frangin, comme ça on va pas leur saloper le sol de la cuisine…
- Bon les garçons une fois qu’vous aurez fini faudra songer à bosser un peu.
- Super, y’a des clients pour nous pour c’aprèm ?
- Ah putain Fred, y sont complétement pervertis. Y pensent qu’à troncher et s’faire troncher.
- Ben ouais Paul, comme nous à leur âge. Bon allez bosser putain…
On avait bien compris qu’il fallait faire nos devoirs. Une fois ceux-là faits, on contacta Sara et Célia pour leur raconter notre première passe. Elles aussi avaient gagné du fric. Célia avait été dans une famille lesbienne de mère en fille ! Elles étaient hyper crades. La plus jeune avait 11 ans, la mère 30 et la grand-mère 47. Elles voulaient profiter d’une nana de 14 ans et Célia nous dit qu’elles en avaient eu pour leur argent ! Elles avaient beaucoup apprécié son long clito. Sara avait été chez un couple de gouines de 25 ans qui voulaient tâter de la jeunette. Elles non plus n’avaient pas été déçues. Dans les deux cas, c’avait été la totale : pisse, merde, vomi et règles. Le soir après avoir baisé une dernière fois avec nos pères, on alla se coucher, vannés de ce week-end.