Bob et Flo se levèrent et nous dirent qu’ils allaient préparer un plat de pâtes pour nous, nous laissant tous les six. Trois couples se formèrent alors : Bruno et Abdel, Kilian et Sélim, Marc et moi. Marc était noir et avait déjà une bien belle queue. On discutait tout en roulant des pelles, se masturbant, léchant la merde et le vomi qu’on avait sur les corps et dans les cheveux. On trouvait tous que la fange dans laquelle on se roulait était agréable. Ces mecs, bien qu’ayant 1 à 2 ans de moins, étaient aussi pervers et dépravés que nous. Visiblement ils avaient commencé leur vie sexuelle plus tôt. Je posais la question à Marc.


- Oh ben moi, c’est v’nu tôt. J’ai un frangin plus vieux qu’a 15 ans maintenant, Léo. Moi j’ai 12. On couchait tous les deux dans la même chambre. Nos deux lits étaient côte à côte pour gagner de la place. On couchait à poil et on était habitués à se voir nus et bandés. On comparait nos bites. Evidemment elle était plus grosse chez lui. Un jour, juste avant de rentrer au collège en 6ème, j’avais 11 ans j’suis rentré dans la chambre. Il était avec un copain black, les deux à poil. Ça puait fort la transpi, le pet et la bite. Son pote avait la queue de mon frangin dans la bouche et j’suis rentré au moment où Léo jutait en disant : « Oh putain c’est bon Mus, avale tout salope ! ».

- Putain, t’as dû être gêné !

- Pas tant qu’ça, j’l’avais déjà vu s’branler. Ça l’gênait pas de s’branler d’vant moi. J’astiquais ma tige aussi mais rien sortait. Léo m’a fait jurer de rien dire à personne. Son copain m’a souri et s’est tiré et j’ai rien dit jusqu’au soir. Quand on s’est couché, y m’a dit qu’son pote lui avait avoué qu’il était pédé, mais qu’y voulait pas l’croire. Alors Mus lui a taillé une pipe pour lui prouver. Cette nuit-là j’ai souillé mes draps pour la première fois. Quand Léo a vu ça, y m’a dit qu’j’étais dev’nu un homme. Ça m’a fait plaisir. J’me souv’nais très bien d’mon rêve : son pote m’enculait !

- Tu savais pas qu’t’étais pédé ?

- Ben, à la piscine, j’préférai r’garder les slips des mecs. Dans les vestiaires, j’avais toujours les yeux sur les bites ou les culs. Les filles me faisaient pas rêver. Alors j’crois qu’j’savais qu’j’étais pédé, mais j’pouvais pas l’dire. C’est assez mal vu où j’habite. Léo m’parlait que des moules et des seins des filles, mais j’avais kiffé de voir Mus piper Léo et j’aurais bien aimé être à sa place. J’ai commencé à m’enfoncer des trucs dans l’cul pour bien m’l’ouvrir.

- Quoi ?

- Ben mes doigts, pis des stylos, pis des carottes. J’aimais bien les sucer après. J’trouvais bon le gout de ma merde. Quelques temps après, j’ai craqué. J’ai d’mandé à Léo s’y voulait bien qu’j’le suce. Au début il a dit non, m’traitant de pédé, et j’lui ai dit que j’préférai les mecs. Il a fini par m’dire oui. C’était à la fin des vacances, ça faisait trois jours qu’on s’était pas lavé et sa bite puait fort. Putain ! j’kiffais grave d’le sucer et d’me préparer le trou en même temps. J’lui ai dit de s’allonger et j’me suis empalé sur lui. Il était étonné, mais y s’laissait faire. Ça m’faisait mal, mais au bout d’un moment, c’est devenu vac’hment bon. Il a joui et j’lui ai nettoyé sa queue. Putain c’était bon d’avaler cette bite toute merdeuse. Y m’a traité de pute, de gros dég, de tantouze et m’a dit qu’c’était la première et dernière fois.

- Ah merde pas d’bol ! Y t’as plus jamais niqué ?

- T’inquiètes, quand y voulait j’étais toujours prêt à lui rend’ service et il a continué à m’pilonner le cul. Not’mère d’vait s’douter de quequ’chose quand elle voyait mes draps pleins de sperme et de merde qui avaient coulé d’mon cul. A la rentrée on était tous dans le même collège. A la récré, j’ai vu Mus aller aux chiottes et j’l’ai suivi et me suis mis juste à côté de lui. J’ai sorti ma bite et commencé à m’branler. Y j’tait des coups d’œil, m’a souri et m’a d’mandé s’y voulait qu’y m’suce comme il avait fait à Léo.

- Direct !

- Ouais. Léo lui avait dit qu’y m’baisait et qu’j’étais de plus en plus dég. J’lui ai dit oui et y m’a dit qu’j’pouvais v’nir chez lui après les cours. On a été dans sa piaule, y’s’est dessapé, a baissé mon froc et a commencé à m’sucer. J’lui ai vite envoyé mes deux p’tits jets de sperme. J’lui ai d’mandé si j’pouvais l’sucer et il était tout content. Sa bite était plus grosse que celle de mon frangin et bordel, qu’elle était dég. Y’avait encore des traces de merde et il a vu qu’j’kiffais. Il a juté et a dit de garder en bouche et y m’a roulé une pelle. J’lui ai d’mandé à qui était la merde sur son zgeg et y m’a dit qu’elle était à un p’tit beur d’une autre classe de 6ème, Sélim, qui s’torchait jamais. Y m’a d’mandé si ça m’avait plu et si la prochaine fois Sélim pourrait jouer avec nous. J’étais tellement heureux qu’j’ai dit oui !

- T’as bien fait non ?

- Ben ouais. J’voyais mon frangin s’branler soir et matin et même s’il est pas pédé, y préférait quand même décharger ses burnes sur ma gueule ou dans mon cul. Alors deux fois par semaine et le weekend aussi, on s’retrouvait chez Mus avec Sélim, pis Bruno aussi. Y z’étaient content d’avoir un p’tit noir dans leur groupe. Bruno flashe sur les blacks. Y m’ont d’mandé si j’s’rais d’accord pour baiser aussi avec des plus vieux. Moi j’adore baiser, prendre une queue dans mes mains, la caresser, l’avaler et m’la rentrer dans le cul. Et j’aime aussi défoncer des culs avec ma pine. Alors j’ai dit OK.

- Y t’ont fait un topo sur les pédos ?

- Ouais, ouais. J’étais d’accord à condition qu’y soient pas trop vieux. Y m’ont aussi dit que j’devrais v’nir au foot, que souvent y avait une bonne ambiance dans les vestiaires et qu’des fois y servaient de vide-couilles aux juniors et même à certains mecs de 20 ans.

- Et tu y as été ?

- Ouais. Bon le foot c’est pas trop mon truc, mais la baise oui ! L’entraineur c’était Flo qu’était aussi mon prof de gym au collège. Ça lui a fait plaisir que j’vienne. Peu de temps après, à la fin d’un entrainement, Mus m’a dit d’attendre avant de partir. Y restait plus qu’nous, Sélim, Abdel et Bruno. Mus a dit alors qu’y z’allaient faire mon bizutage, mais qu’si quequ’chose m’plaisait pas, j’avais qu’à l’dire et y z’arrêteraient. Y m’ont foutu à poil, trainé dans les douches et m’ont pissé dessus. Y s’sont foutu à poil et m’ont dit de lécher leurs raies du cul qui évidemment étaient bien dég. Tous puaient fort du cul et dès qu’j’leur léchais le trou, y bandaient. Y m’pétaient aussi à la gueule. Puis y m’ont tous roulé une pelle bien puante et après y s’sont tous mis debout autour de moi et m’ont dit de leur nettoyer l’gland. Tous avaient du fromage. Y’avait une putain d’odeur dans ces douches. C’était génial. Après, y m’ont préparé l’trou avec leurs doigts et y m’ont tous enculé chacun 5 minutes sans jouir, puis j’ai dû encore leur nettoyer la queue. Y s’sont tous branlé et m’ont juté sur la gueule.

- Merde j’aurai bien aimé être bizuté moi aussi !

- T’avais qu’à faire du foot ! Mais c’est pas terminé. Y’avait une dernière épreuve. Y m’ont dit qu’j’allais avoir une surprise.

- Et c’était quoi ?

- Ben j’ai vu Flo rentrer dans les douches avec son énorme zgeg. C’est là qu’j’ai compris que tous baisaient aussi avec lui. L’épreuve était simple : j’devais m’rentrer le max de son zob dans la gueule et le cul et y mesurait combien était rentré. Ça m’donnait ma note.

- Et ?

- Ben dans le cul, quand son gland est passé, ça m’a fait quand même super mal, mais j’ai réussi 12 cm. J’ai craqué. Bruno avait réussi 16 mais Sélim que 9.

- Et la pipe ?

- Bon souvenir. Quand y m’a enculé, il avait pas décalotté. Sa bite était couverte de merde et j’ai commencé par lui nettoyer. Y souriait en m’disant qu’j’étais un bon p’tit nègre. Sa bite puait le poisson hyper pourri. Il avait des gros morceaux jaunâtres de fromage sous le prépuce. J’ai tout bouffé et y m’a dit qu’j’étais une bonne salope. Ça m’a encouragé et j’ai commencé à avaler sa bite. Elle tapait au fond de ma gorge et j’étais encouragé par les autres. J’voulais vraiment l’avaler. Sélim était sous moi en train de lécher les couilles de Flo et vérifier combien était rentré. Soudain j’ai craqué et j’ai tout vomi. Sélim avait la gueule ouverte pour récupérer mon dégueulis et y s’est relevé pour le partager avec les autres. Et là tout le monde m’a vomi dessus !

- Et t’avais quel âge ?

- J’allais avoir 11 ans. Après y m’ont tous applaudi. J’étais fier de faire partie de leur clan. Pour me récompenser, Flo a commencé à m’pomper, pis y s’est enfoncé ma p’tite bite dans le cul et j’ai joui dans sa merde. Une fois reposés, on s’est tous douchés en se paluchant, insistant bien sur nos bites et nos trous du cul. Flo me roulait des pelles. Sa langue entrait presqu’au fond de ma gorge. C’était vraiment génial et ça l’est encore !


On fut soudain interrompu par Bob qui venait nous dire que les pâtes étaient prêtes. Elles étaient délicieuses, accompagnées de sauce tomate et de beaucoup d’ail et d’oignons. Pendant toute la conversation, on s’était peloté et roulé des pelles. Nos queues avaient toutes repris de la vigueur et c’est 6 ados bandés qui se levèrent sous le regard intéressé de Bob. On lui demanda s’il fallait se doucher avant d’aller manger. Surtout pas, répondit-il. On ne s’embarrassait pas de nettoyage chez ces mecs. On dégueulassa tous le carrelage du couloir ainsi que la cuisine, mais ça n’avait pas l’air de les gêner. Comme il n’y avait pas assez de chaise, Sélim vint s’asseoir sur mes genoux, et Marc sur les genoux de Kilian. Il mit la main dans son dos, trouva ma queue bien droite et l’enfonça dans son cul encore largement ouvert et dégoulinant d’un peu de merde. C’est la première fois que je mangeais en enculant un mec et c’est quelque chose qu’on devrait faire avec nos pères ! En plus de temps en temps cette salope de Sélim se tournait vers moi et me passait ses pâtes prémâchées dans la gueule, accompagnées de résidu de merde et de vomi. Je vis que les autres faisaient pareil. Seuls Bob et Flo ne mangeaient pas et ne faisaient qu’écouter la conversation.


- C’est une coutume chez les PSPP de se donner à bouffer ! dit Bob

- Ben j’aime bien, moi et toi Kilian ?

- Génial. On devrait l’faire plus souvent. Bob, Flo, vous baisez avec d’aut’ jeunes ?

- Ouais, mais y sont pas aussi crades que vous, c’est plus soft !

- Nous, dit Sélim, qui se ramonait sur mon zob, on connait évidemment d’aut’ pédos. Si ça vous intéresse, on peut vous brancher. En plus ça peut rapporter pas mal de fric, j’l’ai dit à Kilian.

- Ça se passe comment ?

- Ben, dit Abdel, Flo et Bob connaissent des mecs prêts à payer pour s’taper des mecs comme nous. Ils leur donnent not’ 06 et on s’retrouve avec les mecs chez eux. Des fois on y va à 2 ou 3. Une fois sur deux c’est crade comme on a fait ce soir. Le mieux c’est quand c’est des étudiants dans à la cité universitaire. On leur prend pas trop cher, mais y z’assurent. En plus, eux, y sont bien crades. C’est super.

- Combien on peut s‘faire ?

- 20€ la pipe, 30 € le cul. La moitié si c’est toi qui t’fait pomper ou si le mec veut s’faire mettre. Mais y ‘a aussi des généreux, surtout les vieux.

- Et c’est sûr ?

- Ouais, t’inquiètes, personne a intérêt à c’qu’y ait d’la merde, enfin façon de parler !

- Et les vieux, y sont vieux ?

- Oh ben 35-40 ans.


Toute cette conversation nous excitait d’autant plus que Sélim allait et venait sur ma bite et je lâchais ma purée dans son p’tit trou avec plaisir de même que Kilian dans le trou de Marc. On avait fini de manger. Bob et Flo bandaient comme des ânes en nous regardant et nous dirent qu’ils avaient encore envie de se vider les couilles. On comprit qu’on allait tous être passifs avec eux pour la fin de la soirée. On retourna dans la pièce du fond. L’odeur qui y régnait agissait comme du poppers. Bob et Flo nous firent un show de baise torride, se pelotant, se léchant partout. On les regardait avec envie se lécher le trou du cul qui s’ouvrait sous leurs coups de langue. Les deux avaient les fesses bien écartées et leur anus rasé. Puis ils s’enculèrent tour à tour, leurs bites et trous du cul devenant de plus en plus merdeux. Au bout d’un moment ils se mirent tête-bêche et nous demandèrent de les sucer. Chacun avait la tête près de la bite de l’autre. On tétait à tour de rôle ces deux bites, nous délectant de leurs bonnes odeurs de merde, quand soudan Bob enfonça d’un coup la tête de Bruno sur sa queue provoquant immédiatement le renvoi des pâtes qu’il venait de manger. Flo se précipita dessus pour les bouffer et on comprit alors pourquoi ils n’avaient pas mangé avec nous : ils voulaient déguster nos pâtes prémâchées venant directement de nos estomacs et pas encore digérées, mélangées à leur merde. Ces deux mecs étaient les plus crades qu’on ait jamais rencontrés. Une fois fini leur repas, ils se levèrent et se masturbèrent pour éjaculer une quantité abondante de sperme épais que nous avalions avec délectation.

Après s’être reposés un moment, on passa tous à la douche deux par deux. Bob et Flo se lavèrent d’abord mutuellement dans la douche, assez grande pour contenir ces 2 sportifs bien baraqués. On voyait leurs muscles se dessiner et c’est vrai que leurs queues étaient aussi grandes molles qu’en érection. Quand ils se penchaient, on voyait leurs trous du cul encore bien ouverts et on n’avait qu’une envie, c’était de foutre nos bites à l’intérieur ou alors dans leurs grandes bouches de noir à grosses lèvres. Marc me dit qu’il aimerait bien devenir comme eux plus tard. J’kiffais bien Marc, et on alla ensemble se laver. Si lui nettoyer le corps fut assez facile, il fallut 3 shampoings pour enlever les bouts de merde et de vomi qu’il avait dans les cheveux. Il avait une coupe afro, cheveux longs et frisés, et malgré un nettoyage intensif, ses cheveux puaient encore fort. On prit énormément de plaisir à se laver, l’un contre l’autre. Kilian lui avait choisi Abdel et Bruno, Sélim. On était tous glabres sur toute la peau et ça facilite le nettoyage. Par contre on puait encore tous, même après la douche ! On avait passé une merveilleuse soirée. Bob et Flo insistèrent pour qu’on garde le secret. Flo nous dit qu’y regrettait qu’on ne fasse pas de foot dans ses équipes et Bob nous dit qu’il y avait 2-3 juniors chez lui au basket qui seraient contents de nous retrouver après nos matchs. Bruno avait aussi des vues sur un mec de son équipe et Bob acquiesça, se doutant que le mec s’il n’était pas vraiment crade, était surement gay. On donna nos 06 à Bob et Flo et on leur dit qu’on était OK pour se faire un peu de fric en se prostituant. On se sépara avec les quatre autres au bas de l’immeuble. Ils rentrèrent dans leur cité, et nous chez nos pères. Il était deux heures du matin, la maison était silencieuse et on rentra sans faire de bruit. On était épuisés et on s’endormit très vite dans un lit pour une fois propre !

17 L’HISTOIRE DE CHRIS

Les PSPP se déchaînent (M+, m+, b+, gays, anal, oral, masturbation, flatulence, vomi, ws, heavy scat)