Le lendemain matin, je me réveillais le premier. Je regardais Kilian et le trouvais comme d’habitude très beau. Ma passion pour cette pédale latino était aussi grande que celle pour mon père et le sien. Il ouvrit les yeux et me dit bonjour. Je me penchais sur lui et lui roulais la pelle du matin. C’était un rituel que nous aimions par-dessus tout. On mélangeait nos haleines fétides du matin et si par hasard on ne bandait pas au réveil, l’effet était immédiat. En plus l‘odeur ce matin-là était très forte car nous étions encore tartinés de la chiasse d’hier soir. Toutefois, les traces ne se voyaient pas trop, vu qu’on avait la peau plutôt mate. On décida de ne pas baiser car on se réservait pour le soir. Après avoir pissé, on alla dire bonjour à nos pères mais on les trouva encore endormis, tendrement enlacés et on alla alors directement prendre le petit déjeuner. Comme la soirée allait être crade, on se nourrit de pruneaux, fruits secs et on but beaucoup de lait. On prépara du café pour nos pères sachant que le fumet allait les attirer. Ils arrivèrent et on se jeta dans leurs bras. Ce qu’il y a de bien avec eux c’est que nos odeurs ne les dérangeaient pas. On savait qu’ils appréciaient quand on était propre, mais aussi que nos odeurs de transpiration, de merde, de pets, de bites et même de vomi les excitaient au plus haut point. Et nous aussi on aimait bien quand ils étaient crades. Eux aussi puaient de la gueule et on prit plaisir à se rouler de bonnes pelles matinales. On parla pendant qu’ils mangeaient.


- Dites donc, les fistons, on a un peu discuté de la conversation d’hier soir. Le mec que vous avez ramené hier soir, il nous parait quand même jeune, non ?

- Ouais, mais on a bien aimé. Pis il a plus de 12 ans !

- Et il aime la bite !

- Et le cul et le crade !

- Et en plus y connait d’aut’mecs avec qui on pourrait s’amuser.

- Tu t’rends compte, Fred, ça a 14 ans et déjà pédo ! dit mon père.

- Rappelle-toi, Paul, à leur âge on aimait bien aussi les p’tits culs du collège.

- Quand même, merde, c’est nos fils !

- Oh là là fais pas ta chochotte, nos fils aiment bien le sexe et tant qu’c’est avec des mecs consentants, j’vois pas où est le problème…

- Ouais, bon, et concernant cette histoire de faire la pute, c’est sérieux ?

- Ben ouais, j’crois qu’on pourrait s’faire un max de fric, non ?

- Les gars ça peut être dangereux. Vot’ Bruno, là, qui participe à des tournantes dans des caves, ça nous plait pas du tout.

- Mais papa on aime grave s’faire défoncer et sucer ! On en a de plus en plus besoin.

- J’dis pas le contraire, mais y’a sûrement des types pas nets. Pis voir ses enfants faire la pute, c’est pas forcément c’qu’y a de plus réjouissant !

- Mais les papas, c’est pour le plaisir d’abord, pis si on s’fait du fric…

- Paul rappelle-toi quand même qu’on s’faisait payer pour sucer et s’faire enculer. Le boulanger et son fiston ont bien profité de nous et on s’faisait un max de fric avec les pédos copains du boulanger.

- Ah ouais, c’est vrai. Là ça fait quand même bizarre.

- Pis aux chiottes du collège, on était bien connus pour nettoyer les bites fromageuses et les culs. Y z’ont fat une grosse économie de PQ avec nous !

- Juste ! On avait fait un gloryhole aux chiottes et on avait écrit à quelle heure on v’nait sucer ou s‘faire enculer.

- Putain on devrait faire la même chose Chris !

- T’as raison Kilian. Et vous vous faisiez payer ?

- Pas avec les mecs de not’ classe mais avec les plus grands et les pédos.

- Ben alors vous faisiez les putes. Alors pourquoi pas nous ?

- Mouais, c’est pas faux. On va y réfléchir.

- Et c’était tous des élèves qu’vous suciez aux chiottes ?

- Ouais, au collège pis après au lycée, mais on avait aussi repéré des chiottes publiques à côté du lycée où y’avait pas mal de pédés. Là ça partouzait pas mal certaines fins d’après-midi. On a vite été connus des pédos qui trainaient là. Pis on avait rencontré d’autres copains de nos âges avec qui on aimait bien baiser. On grandissait c’qu’on préfère c’est quand même les mecs de vos âges bien crades.

- C’est où ces chiottes, y z’existent encore ?

- Non mais y’a un autre endroit près de la fac. Ça devrait vous plaire. Là on est sûr qu’y aura pas de problèmes.

- Pourquoi ?

- C’est dans la Cité U. Y’a des vieilles chiottes désaffectées en sous-sol. Les étudiants pédés se retrouvent là et y’a souvent des jeunes collégiens qui viennent les retrouver. C’est surveillé par des flics que Fred recrute. Vous voyez c’que j’veux dire ?

- Euh… y sont aussi pédés et pédos ?

- Ben ouais. Y z’ont souvent baisé ces étudiants quand y z’étaient au collège ou au lycée.

- Waouh, on pourra y aller ?

- On verra… Bon c’est pas tout ça, mais faut qu’vous bossiez, les mecs.

- Ouais, on a plein d’exos de math et une rédac de français… Allez viens Chris, on va bosser pour rien alors qu’on pourrait s’faire du fric en allant tirer des pipes et s’faire enculer.

- Oh Kilian ! Le prends pas comme ça.

- J’plaisante mon papounet, on a bien compris la leçon… n’empêche qu’on pourrait facilement s’payer un scooter avec nos bites, nos culs et nos bouches !


On retourna dans notre piaule et après nous être brossé les dents, on se mit au travail. On avait chacun notre bureau l’un à côté de l’autre et on s’entre-aidait toujours. Comme on n’était pas dans la même classe, on avait souvent des travaux différents à effectuer et ça nous permettait aussi de constater que les profs n’abordaient pas les sujets de la même façon. C’était très enrichissant. Le travail scolaire nous prit quand même quelques heures mais on aimait cela. En plus, pour le prestige, on tenait à toujours à être dans les premiers de classe. Après avoir fini nos leçons au milieu de l’après-midi. On décida de changer les draps de notre lit et de les laver. On skypa un moment avec Sara et Célia. Elles étaient contentes qu’on ait baisé avec un plus jeune. On leur annonça qu’on allait à une soirée gay entre jeunes le soir et elles nous dirent qu’elles allaient aussi à ce même genre de soirée entre gouines et que ça allait être très crade. On ne savait pas à quelle heure Bruno venait nous chercher. On alla manger tout ce qu’on pouvait de façon à avoir le ventre bien rempli. Si jamais ça finissait en gerbe, on aurait quelque chose dans l’estomac ! Bruno nous prévint qu’il arriverait chez nous vers cinq heures et on lui dit que la porte serait ouverte. Il n’avait qu’à sonner et entrer. Nos pères partirent peu avant prendre l’apéro chez un de leurs potes. Ils allaient finir la soirée dans une boite gay et nous souhaitèrent une bonne bourre. S’il y avait le moindre problème, on pourrait les appeler ou envoyer un texto. On s’habilla donc en mettant direct nos pieds nus dans nos baskets pouraves. Quelques minutes plus tard, on sonna à la porte et on entendit Bruno entrer. Il vint nous faire la bise.


- Vous êtes prêts les mecs ?

- Ouais. Putain Bruno, tu pues le sperme.

- Ouais, j’ai fait quelques pipes avant de venir et vous, vous puez encore la merde. C’est génial.

- Bon y’a 15 minutes de vélo, on y va ?

- On arrive.


On sortit et en prenant nos vélos, on vit que deux autres jeunes nous attendaient. Il faisait encore jour et un rapide coup d’œil nous permit de voir que les mecs devaient avoir 12-13 ans. Il y avait un beur avec les cheveux brun, bouclés, une jolie petite frimousse. Il était souriant, avec des lèvres charnues qu’on avait envie d’embrasser, mais il nous fit une bise classique. L’autre devait être antillais et s’appelait Marc. Comme Bruno, ils avaient une coupe de footballeur avec des motifs dans ses cheveux et puaient le sperme.


- Bon les mecs, on y va, On discutera en pédalant. J’vous présente Sélim, le bougnoule et Marc le négro.

- Salut, moi c’est Chris, lui c’est Kilian. Vu comment cette salope de Bruno vous a présentés, vous pouvez aussi nous traiter de tous les noms. Ça nous gêne pas.

- Salut les mecs, content d’vous rencontrer, Bruno nous a beaucoup parlé de vous depuis quelques semaines et surtout d’puis hier soir !

Je discutais avec Sélim tout le trajet pendant que Kilian et Marc faisaient de même. Bruno ne faisait qu’écouter nos conversations.

- Euh Sélim, t’as quel âge ?

- 12 et demi.

- T’as le look d’un footeux, non ?

- Ouais, j’adore ça.

- Tu joues dans un club ?

- Oui, j’aimerai bien qu’Bruno vienne, mais y préfère le basket. Depuis le temps qu’Bruno me parle de vous, j’ai hâte de bouffer vos queues. Ça va changer des beurs et des blacks. Vous avez quel âge vous ?

- 14

- Putain vous êtes grands ! J’croyais que vos aviez 16 !

- C’est pour ça qu’on fait du basket !

- Vous devriez faire du foot, on s’marre plus au vestiaire qu’au basket à c’que m’dit Bruno. Les footeux sont moins coincés d’la bite… Après un match ou un entrainement ça fait du bien de s’branler ou plus… ça renforce l’esprit d’équipe.

- C’est vrai qu’on l’fait pas.

- Tu d’vrais essayer avec les potes de ton équipe ! C’est la première fois qu’tu vas dans une partouze ?

- Non, on l’a déjà fait.

- Tu verras ici c’est sympa.

- Y’a des vieux ?

- C’est quoi vieux ?

- Ben j’sais pas. 40, 50, 60…

- Non, non, tu verras. C’est chez des jeunes profs de sport. Y repèrent les petites pédales qui s’lavent pas, qui puent et qu’aiment le sexe et y nous draguent pour voir si on veut bien d’eux. On est dans la même classe avec Bruno et le prof a tout de suite vu qu’on était pédés. Et nous on a tout de suite repéré qu’il était pédo.

- Comment ?

- Ben j’suçais Bruno aux chiottes de la salle de gym et y nous a surpris. Il a rien dit et s’est contenté de sourire en s’mettant la main dans son jogging. J’crois qu’y nous avait déjà gaulé quand on r’luquait les bites et le cul des mecs de la classe. Après pendant un cours de gym, y s’est mis derrière moi et j’ai bien senti sa queue contre mes fesses et j’ai fait exprès des mouvements pour bien le faire bander. En plus c’jour-là, ça faisait bien 2 jours qu’j’m’étais pas lavé et y m’sniffait fort. Y kiffait grave vu l’état de sa queue ! J’suis allé pisser et il est venu s’mettre à côté de moi et j’ai commencé à le provoquer en me masturbant. Y j’tait des regards vers mon zob et j’ai vu qu’lui aussi triquait. Y m’a d’mandé si j’voulais bien aller chez lui après les cours et j’ai évidemment dit oui.

- Et ça s’est passé comment ?

- Ben à ton avis ?

- Y t’a niqué ?

- Ben ouais. Putain c’était le pied, ça m’changeait des bites de mes frangins et d’ses copains ! Flo, le prof, c’est un black bien monté. C’est aussi notre entraineur de foot. D’ailleurs on va aller chez lui. Il habite avec un autre prof de sport dans un grand appart. Ça réduit leurs frais et y z’ont pas à s’cacher pour nous niquer !

- C’est super, vous y allez souvent !

- Non, j’préfère faire la pute avec Bruno pour m’faire un peu de fric.

- Mais putain, tu t’prostitues ?

- Ouais, j’adore ça. Pis tu crois quoi, p’tit bourge. Pour nous, le seul avenir qu’on a, c’est aider au trafic de drogue ou passer sa vie à faire des jobs de merde pour un salaire de merde. Alors, le cul, c’est un job comme un autre et en plus j’adore ça ! Mais j’f’rai pas ça toute ma vie. Comme Bruno et les autres, on met de l’argent de côté pour pouvoir faire des études. Ah on arrive.

- J’croyais qu’c’était à la campagne !

- Non, c’est c’qu’on dit quand on va chez eux !


On cadenassa nos vélos devant un immeuble de 6 étages assez récent. Bruno tapa le code d’entrée de l’immeuble et on entra. Je me demandais ce qui allait nous arriver. Les copains de Bruno puaient le réseau de prostitution pédophile. Ça ne me gênait pas trop vu qu’on fréquentait plutôt des pédos incestueux des deux sexes, mais je voulais être certains que, comme Bruno, les mecs étaient consentants et conscients de ce qu’ils faisaient. Le prof habitait au dernier et on se serra tous les cinq dans l’ascenseur. Il était super lent et on en profita pour faire connaissance en se tâtant le devant de nos joggings et en se roulant des pelles. On dégageait tous les cinq nos bonnes odeurs d’ados crades. Arrivés devant la porte Sélim sonna et un black d’environ 25 ans ouvrit. Bruno nous le présenta : il s’appelait Florent mais tout le monde l’appelait Flo, 1,80 m, très musclé, avec un vrai cul de black bien bombé, simplement vêtu d’un short qu’il avait dû mettre en quatrième vitesse car il bandait et la moitié de sa bite dépassait du short. On sentait le prof de sport bien musclé, son ventre paraissait bien ferme et ses tétons pointaient durs. Il avait des dreadlocks. Il nous fit la bise et on put sentir sa bonne odeur de mâle. Les effluves montant de sa bite ne laissaient aucun doute sur l’hygiène du mec.


- Alors voilà Chris et Kilian, les copains crades de Bruno !

- Euh ouais.

- Vous tombez bien, Abdel commençait à se sentir un peu seul. Suivez-moi.


On traversa l’appart qui puait un mélange de mâles en rut, de vestiaires et de chiottes. Il n’y avait aucune porte aux pièces, y compris les chiottes. Avant d’arriver à ce que Flo appela la chambre de baise, il nous demanda de nous foutre à poil et on mit toutes nos fringues sur un tas de vêtements dégageant une bonne odeur de chaussettes sales, de slips douteux et de transpiration, de t-shirts crades, cartonnés, des baskets pourraves trainaient un peu partout. On put ainsi admirer les corps de Sélim et Marc. Quand ils ôtèrent leurs slips, une bonne odeur de merde arriva à nos narines.


- Putain les mecs, vous chiez par devant ?

- Non, on a juste enculé 2 pédos qu’étaient pleins et on a pas eu le temps de s’nettoyer.

- Putain les mecs, vous portez jamais de slips ? dit Marc.

- Non jamais. C’est plus pratique pour s’branler en classe et on sent nos bonnes odeurs de bites pas fraiches.

- Ouais, mais les tâches ?

- On s’en fout, pis t’as l’air d’aimer, non ? Oh ! t’as du sperme qui t’sort du cul !

- Ouais, tu crois quoi ? Y nous ont aussi baisés, mais on adore et en plus ça nous rapporte du fric !

- Ah toi aussi tu fais la pute ?

- Ben ouais, pourquoi ? pas vous ?

- Ben non.

- Ah j’croyais, vous devriez. Avec vot’ look, j’suis sûr que vos 06 arrêteraient pas de sonner ! Vous avez pas des p’tits frères avec le même look?

- Non, désolé.

- Dommage


Une fois tout le monde à poil on rentra dans une chambre qui puait le cul. Le sol était carrelé et il y avait trois matelas l’un à côté de l’autre. Un grand black était allongé et un beur de 12 ans environ était en 69 sur lui. La bite du black était très longue et grosse et le gamin n’arrivait pas à la rentrer entièrement dans sa bouche. On ne voyait pas la tête du black mais on entendit sa voix.


- Putain Abdel, vas-y, pousse salope et prends ma bite au fond de ta gorge. Tu finiras bien par y arriver.

- J’peux pas Bob, j’vais vomir.

- Et alors ? Tu sais qu’on aime tous ça ici ! T’as bouffé quoi ?

- Couscous, j’m’en suis bourré et il était bien épicé. Bob’

- Oui

- Ben j’aimerai attendre que les deux pédales que Bruno a levées hier soient là. J’crois qu’y z’apprécient la gerbe à c’qu’y m’a dit.

- Ouais tu verras y sont un peu plus vieux qu’vous, mais y sont vraiment dég.


Oups, c’était la voix de notre coach de basket. Si on était surpris de le trouver là, on n’était pas vraiment étonné qu’il soit pédé et qu’il apprécie les jeunes ados. On s’approcha du couple poussé par les autres qui commençaient à nous doigter le cul.


- Salut coach ! Les pédales sont arrivées !

- Ah j’suis content d’vous voir. On va bien s’amuser.

- Putain, on s’doutait bien qu’t’aimais les garçons !

- Ben ouais, et pas qu’un peu. J’vais enfin m’faire un latino et un asiate. Ah ça y est Abdel ça sort !


Tout ä coup, le fameux Abdel lâcha sa bouse et l’odeur envahit la pièce. Bob poussa Abdel sur le matelas et se leva, prenant la bouse d’Abdel et s’en tartinant le torse et le visage. Il s’approcha de nous et nous roula une pelle bien merdeuse. Répondant à ses avances, et pour montrer qu’on appréciait le scat, on lui rendit sa pelle, léchant bien la merde qu’il avait sur ses lèvres et la gueule. La soirée promettait d’être fun !


- Chris, Kilian, bienvenue chez les PSPP. Mais bordel vous aimez bien la merde d’Abdel !

- Oui coach, on adore le scat ! C’est quoi PSPP ?

- Prof de sport pédé et pédo ! et y’a pas d’coach ici, y’a qu’Bob. J’savais pas comment vous dire qu’j’vous kiffais et quand Bruno m’a appelé hier soir, j’me suis dit qu’y fallait tout de suite qu’on s’voit !

- On s’disait aussi avec Chris que t’avais tout du pédé pédo. T’arrêtes pas de nous sniffer et d’nous coller au basket. Plusieurs fois on a senti ta bite contre not’ cul., mais on osait pas…

- Ben Bruno, il a fallu qu’deux entrainements pour qu’y m’mette la main dans le short, hein Bruno ?

- Ouais, Bob, j’voulais tellement voir ta grosse bite de nègre ! et surtout lécher ton cul merdeux. J’ai pas été déçu !


Tout s’enchaina alors très vite. Bob se rallongea sur un matelas et dit aux autres que comme on était ses « élèves », on allait d’abord s’occuper de lui. Il nous dit de commencer par lui lécher les pieds et de remonter progressivement. Ces pieds puaient fort et on prenait plaisir à les nettoyer en décollant la crasse entre les orteils, se délectant des petits bouts bien odorants. On remonta lentement le long des jambes qui n’avait pas un poil, caressant des muscles bien formés et bien durs jusqu’à ce que nos bouches rencontrent son énorme pine qui puait un mélange de merde et de poisson pourri. Nous la léchions tous les deux, elle se dressa mais bizarrement, elle ne semblait pas plus longue une fois raide. Elle devenait bien dure et faisait 25 cm avec un très long prépuce et un bon 5 cm de diamètre. Bob dit alors à Kilian que si je m’occupais de la queue, lui devait s’occuper de son cul et il se mit sur un côté. L’odeur de sa bite était très forte et je repoussais le prépuce avec mes lèvres découvrant une bonne couche de fromage sur son gland. Bob gémissait de plaisir quand je lui léchais sa hampe sur toute la longueur et moi je me régalais de son smegma. Kilian s’occupait de son cul, enfonçant sa langue ou ses doigts provoquant des grognements de satisfaction. Une fois son gland nettoyé, je me dis que j’allais essayer une gorge profonde. Cette pipe devenait un vrai défi, car sa queue était encore plus grosse que celle du noir que j’avais sucé lors d’une partouze au club d’Olaf. J’essayais donc d’avaler son zgeg, cm par cm, et bientôt le gland buta sur ma gorge. Je fis appel à toute la technique que nous avaient enseignée nos papas et le gland passa. Un des mecs me titillait la rondelle et finit par introduire ses doigts dans mon cul. Cela me donna du courage et j’engouffrais le zob de Bob, faillis m’étouffer et fis ressortir un peu la queue pour me permettre de respirer et de vomir. J’en mis partout sur sa queue et ses couilles. Sélim se précipita pour avaler mon vomi et je le vis aller rouler une pelle à Flo. Putain tous ces mecs étaient de vraies salopes crades que rien ne rebutait. Bob me prit la tête et enfonçait sa bite au plus profond de ma gorge jusqu’à ce que mes lèvres viennent taper sur son pubis glabre. Deux fois je dus m’éloigner pour pouvoir vomir et ne pas m’étouffer. La seconde fois, Sélim se pencha et me gerba sur la gueule un mélange infâme de ce qui semblait être du couscous à la merde. C’était délicieux et Abdel vînt en récupérer un peu qu’il donna à Flo. Ces mecs étaient vraiment dég et je sentais qu’on allait bien s’amuser.


Reprenant mes esprits je vis que Marc et Bruno avaient aussi vomi sur la queue de Flo, au grand bonheur de Sélim et Abdel occupés à s’étaler cette bouillie. Bob prévint soudain Kilian qu’il allait chier. Mon latino préféré lui répondit qu’il n’attendait que cela. Je suçais toujours Bob, récupérant quelques bouts de mon dégueulis, quand je le sentis commencer à pousser. Une bonne odeur de merde pourrie flottait dans l’air et Kilian me fit signe de venir regarder. Il avait un gros boudin marron aussi gros que la bite de Bob dans la gueule et essayait de se l’enfoncer le plus loin possible. Ce qui devait arriver arriva : il eut soudain un haut le cœur et projeta un jet de gerbe accompagné de la merde sur ma gueule. Bob s’assit et nous prit tous les deux dans ses bras pour nous rouler une pelle au vomi et à la merde. Il prit un bout de son étron et me l’enfonça dans la gueule, puis me roula une pelle en appuyant fort sur l’estomac et je gerbais directement dans sa gueule. Il me lâcha et prit alors la bouche de Kilian pour lui recracher tout mon vomi et Kilian gerba à son tour dans la bouche de Bob. Puis il nous fit mettre à genoux Kilian et moi l’un à côté de l’autre et il prépara nos culs à son énorme zob en faisant tourner ses gros doigts dans nos anus se servant du vomi et de la merde comme lubrifiant. Le spectacle qui s’offrait à nos yeux était incroyable : Sélin et Abdel étaient allongés et Flo avait réussi à se mettre leurs deux petites queues dans son cul. Bruno était empalé sur la queue de Flo et Marc jambes écartées entre Bruno et Flo pistonnait ce dernier avec sa queue d’ado black réussissant à faire gerber Flo ! Bruno lâchait sa merde sur le pubis de Flo et elle coulait sur les deux beurs avec le vomi. Et Marc, après qu’il a joui dans la bouche de Flo, coulait un bronze sur la tête de Bruno. Voir cette scène nous avait chauffés et on ne désirait plus qu’une chose, c’était de se faire ramoner par son énorme bite. La pyramide faite par Flo et les quatre gamins s’écroula après qu’ils ont tous joui dans un énorme éclat de rire. Bob commença à entrer son zob dans le cul de Kilian qui poussa des petits cris de douleur au début, mais lui dit de ne surtout pas s’arrêter. Pour l’aider je me déplaçais un peu pour lui rouler une pelle tout en le branlant et l’encourageant et au bout d’un moment, je pus voir le pubis de Flo taper contre les fesses de Kilian. Bob commença à le pistonner de plus en plus en vite. Tout à coup le plaisir vint après la douleur et le chemin de ce gros zob dans le cul de mon copain était fait. Kilian pleurait pratiquement de plaisir et il jouit, expulsant des jets de sperme, conséquence du massage prostatique. Voyant cela, Marc se précipita pour lécher ce sperme tombé dans une marre de merde et de dégueulis. Bob se retira et je sus que ça allait être mon tour. Putain que j’ai eu mal au début, mais quel pied ! Pour étouffer mes cris, Flo venait mettre sa queue merdeuse dans ma gueule et Sélim réussit à se faufiler pour me pomper le dard et recueillir ma semence que je ne tardais pas à lâcher. Bob se retira, nous fit tourner devant sa bite et se masturba devant nos gueules ouvertes prêtes à recevoir l’offrande de notre coach. Au moment où il jouit, au moins 8 jets de sperme épais vinrent s’éclater sur nos visages et nos cheveux. Puis on s’écroua tous, bientôt rejoints par Flo et les autres. Ce ne fut que pelotage, léchage et roulage de pelles pendant ben un quart d’heure. Sélim vint ensuite placer sa pine dans ma bouche et pissa. Je bus avec plaisir cette pisse un peu sucrée. Tout le monde se mt à pisser, diluant les bouts de merde et de vomi qu’on avait sur nos corps. Puis Bob entama la conversation


- Vous êtes de sacrées salopes tous les deux ! Vos pères vous élèvent bien !

- Comment tu sais ?

- Bruno m’a tout raconté. Et pour une fois j’peux mettre toute ma queue dans le cul d’un mec que j’baise pour la première fois ! Vous avez de l’entrainement.

- Faut dire qu’t’es super sexy, dit Kilian. Et tu pues bon le mâle. Ta merde est un délice, comme celle de vous tous. On est vach’ment content de vous avoir rencontré !

- Ouais ajouté-je, baiser avec des profs de sport, c’est super sympa. Pis avec vos grosses queues de nègres dans le cul, la jouissance est magique !

- Vous êtes pas mal aussi, dit Flo. On aime bien les mecs sportifs, avec des fesses bien fermes et qu’ont pas peur de s’crader. Ça fait longtemps qu’vous baisez crade ?

- Ben un peu plus d’un an maintenant.

- Merde, on aurait dû vous connaitre plus tôt !

- Vous vous êtes déjà pris beaucoup de teubs dans le cul ?

- P’têt pas des kilomètres, mais des centaines de mètres !

- Et avec toi j’crois qu’on s’est pris la plus grosse. Mon cul est pas encore refermé.

- Et vous baisez avec des vieux ?

- Ben d’abord avec nos pères, pis quelques copains à eux.

- Et des mecs de votre âge ?

- Ouais, 4-5. On a aussi été dans des partouzes crades qui duraient des heures.

- J’vois. C’était la première fois avec un black ?

- Non, on avait un copain black qu’avait une grosse queue. Y baisait avec nos pères et surtout c’était aussi un porc. C’est grâce à lui qu’on a avoué à nos pères qu’on les aimait. Ils attendaient qu’ça et se demandaient quand y pourraient enfin nous troncher !

- C’est des pervers vos darons ! Y sont aussi crades que vous ?

- Ouais, y nous ont tout appris et surtout à n’avoir aucune crainte. Maintenant on aime tout, même la gerbe, mais ça a été dur au début.

- Faut dire qu’on s’entraîne dur avec Chris !

- Vos darons, y baisent avec d’autres jeunes ?

- Ouais, c’est des pédos comme vous.

- Putain vous avez du bol les mecs ! Y vous font partager ?

- Nan pas vraiment.

- Ça fait longtemps qu’vous savez qu’vous préférez les mecs ?

- Ben ouais, Bob, depuis tout p’tit on aime toute sorte de queues, mais de préférence crades, dit Kilian.

- Et on n’est pas raciste, on aime bien les bites blacks aussi.

- Et c’qu’on aime surtout c’est le crade. On a tout le temps envie de baiser et on d’vient tous les deux très salopes.

- Vous baisez souvent ?

- Ben, tous les jours. C’est facile, on couche ensemble avec Kilian, alors tous les soirs et tous les matins, y’en a un des deux qui s’la prend dans le cul !

- Ouais pis le week-end, on est tous les quatre avec nos papas qu’aiment bien v’nir nous baiser dans not’ chambre qui pue bien.

- Ben vous vous emmerdez pas, les mecs !

- Au contraire, on adore « s’emmerder ». Le week-end, c’est toujours crade de chez crade. On baise souvent scato avec nos pères ou avec nos copines.

- Vous trempez vos bites dans des moules ?

- Ouais, mais elles les préfèrent dans le cul. Bon à la base c‘est des gouines, mais comme nous elles sont crades et elles aiment bien un coup de bite de temps en temps.

- Pis on les encule pendant qu’elles se broutent le minou.

- Et elles nous enculent avec leur gode-ceinture. Bref on s’amuse comme des fous et avec leurs mères aussi.

- Pis tout le monde croit qu’on sort avec elles. Ça aide…

- Vous assumez pas d’être pédés ?

- Ben si, mais on l’crie pas sur les toits ! Pis nos pères sont pacsés. On a peur des rumeurs.

- Oh Chris, dit Kilian, c’est pas des rumeurs ! C’est qu’la vérité. On a des pères pédés et pédos et nous on est pareil.

- Vous comprenez que pour nous c’est discrétion totale. On tient pas à avoir d’ennuis.

- Vous inquiétez pas, nous non plus !


On avait tous les couilles, le cul et l’estomac vides. La chambre était dans un état épouvantable, mais putain quelle partie de baise on avait eue ! Aucun d’entre nous n’avait eu l’impression de faire quelque chose de mal. On était tous heureux et très décontracté. On aimait tous le crade, baiser avec des pédos et des mecs de nos âges, tous consentants. Bob et Flo nous demandèrent si on avait faim et soif. Malgré toute la merde, le vomi et la pisse qu’on avait avalés, ou peut-être à cause, on avait vraiment faim et soif ! Et la soirée était loin d’être finie.


L’HISTOIRE DE CHRIS

Chapitre 16 (M+, m+, b+, gays, anal, oral, masturbation, ws, vomi, heavy scat)