La veille de la rentrée, nos pères nous firent de nouveau la morale.

- Chris, Kilian, vous ne serez peut-être pas dans la même classe cette année, mais on vous rappelle qu’on ne veut pas d’attitude provocante de votre part.

- Oui les papas !

- On est sérieux ! Vous serez dans les plus jeunes. Dans ce lycée il y a des mecs qui ont jusqu’à 20 ans car ils ont des classes prépa. On vous demande juste de ne pas draguer. Vos camarades au lycée vont vite découvrir que vous êtes bi, mais notre relation et nos parties de baise doivent rester un secret absolu. Maintenant vous êtes grands et vous pouvez draguer mais protégez-vous ! Chez Olaf vous pouvez y aller les yeux fermés.

- Euh on y va surtout le cul et la gueule ouverts !

- Ah ah ah. On plaisante pas les mecs. C’est trop grave.

- Bon, mais on peut sucer les mecs et les finir à la main.

- Mouais…

- Et les nanas ?

- Ben pour les pures lesbiennes, le risque est très faible. Mais comme vos copines sont bi, vous devez être surs d’elles. Tina et Eva leur ont déjà fait la leçon et à part nous et quelques gars chez Olaf, elles n’ont pas eu de relations. Donc pas de problèmes avec elles.

- Ouais mais on préfère quand même les zobs crémeux et les culs bien gras !

- On sait, les frangins, vous aimez de plus en plus la baise crade, mais y sont rares les mecs comme vous. Et soignez votre hygiène à l’école, même si à cet âge il n’y a pas que vous qui serez crades !


La rentrée se passa normalement. Coup de bol, Célia et moi étions dans la même classe et Sara et Kilian dans une autre. Les profs avaient l’air cool et la vie à la maison était super. On avait repris nos habitudes de collège : pas de baise avec nos pères pendant la semaine, les devoirs d’abord, le basket ensuite et de l’enculage si pas trop fatigués. L’avantage de coucher avec Kilian est qu’on ne se branlait plus la nouille. Il y avait toujours une bouche ou un cul pour accueillir nos bites le soir ou le matin. On essayait de respecter quelques règles d’hygiène, mais il y avait souvent du sperme qui coulait de nos culs ou qui séchait sous nos t-shirts quand on allait en classe. On baisait de moins en moins avec nos copines sauf quand une avait ses règles. On respectait les consignes de nos parents : quand des nanas se faisaient trop pressantes sur Kilian ou moi, on arrêtait de se laver et elles fuyaient. Célia et Sara faisaient la même chose avec les mecs et de toute façon, tout le monde comprit qu’on formait deux couples et on eut la paix. Nos pères remarquaient alors nos odeurs et rigolaient de notre stratagème, sachant qu’ils allaient bien en profiter ! On avait aussi décidé de faire une pause dans le club d’Olaf. On ne s’y sentait pas vraiment à l’aise, bien qu’on ait apprécié et pu tester quelques nouveautés les deux fois où on y avait été, mais baiser avec nos géniteurs nous suffisaient. On pouvait discuter de tout avec eux, de nos envies de trouver des mecs de notre âge voire plus jeunes et surtout nos parties de baise étaient un vrai délice. Ils nous apprirent toute sorte de positions inspirées du Kâmasûtra gay que Kilian avait reçu pour son précédent anniversaire.

Célia et Sara étaient beaucoup plus directes et entreprenantes. Elles avaient cette année une nouvelle entraîneuse de foot, une black de 25 ans, Aimée. Elles ont vite découvert que c’était une gouine et que, comme elles, elle était plutôt négligée. Un soir après l’entrainement, Célia et Sara étaient seules au vestiaire et sachant qu’Aimée allait venir vérifier qu’il n’y avait plus personne, elles restèrent et commencèrent à baiser. Aimée les surprit, bien entendu, et se mêla très vite à leurs jeux qui se terminèrent dans les chiottes du vestiaire. Elles n’en avaient parlé qu’à nous, disant qu’Aimée allait bientôt leur présenter d’autres filles ayant les mêmes gouts qu’elles.


L’année débuta donc tranquillement, aussi bien côté scolaire (toujours les premiers de classe ce qui énervaient nos camarades) que côté basket. On avait maintenant un nouvel entraîneur, Bob, un grand mec baraqué, environ 25 ans, grand, dynamique et surtout noir comme de l’ébène. En plus cette année on partageait le vestiaire avec les 12-13 ans ce qui nous permettait de voir quelques jeunes bites parfois bien appétissantes et surtout de repérer les mecs qui pourraient partager les mêmes gouts que nous. On se doutait que leur meneur de jeu, Bruno, était gay comme nous vu la façon dont il nous regardait et surtout que l’entraineur avait la même attitude avec lui qu’avec nous. Bruno aussi puait pas mal et quand on jouait contre lui il venait toujours des frotter à nous. Dans les vestiaires, il se mettait toujours à côté de nous et ne faisait rien pour cacher ses slips crades ni son corps odorant et pas mal foutu. Il avait les cheveux très courts avec des motifs sur les tempes à la façon des footballeurs, de grands yeux verts, une belle petite gueule, un peu canaille. Au vestiaire il ne parlait que de cul et il avait toujours une demi-molle à exhiber. Il avait une petite bite très fine munie d’un long prépuce où devait macérer pas mal de fromage à en croire l’odeur qui s’en dégageait. Comme nous, il ne se douchait jamais après l’entrainement. Il se baissait toujours devant nous pour ramasser un slip ou des chaussettes par terre et on avait une vue superbe sur son œil de bronze souvent merdeux. Bref, avec Kilian, on se disait qu’on pourrait passer un bon moment avec lui. On en avait parlé à nos papas qui nous dirent qu’on devait vaincre notre timidité et y aller !


Un soir après l’entrainement, on décida de passer à l’attaque. On sortit vite et on attendit qu’il sorte. Comme nous, il ne se douchait pas et on le vit sortir même pas une minute après nous. On jeta un rapide coup d’œil. Il n’y avait personne en vue et avec Kilian on commença à se rouler des pelles en plongeant les mains dans nos joggings. Il nous vit et sa réaction fut celle qu’on attendait. Il se rapprocha de nous en se massant le paquet. Les autres joueurs sortaient et on se sépara vite avec Kilian. Il nous rejoignit :

- J’étais sûr qu’vous étiez des pédales les mecs.

- Ouais, et toi aussi. On est sûr qu’t’es une bonne petite pute, hein ?

- Yep, mais avec vous j’demanderai pas d’argent…

- D’toute façon, nous, on paye pas pour baiser. Ça t’dit de v’nir bouffer une pizza avec nous ?

- Super, on va où ?

- Ben chez Chris, dit Kilian.

- OK, les mecs, j’vous suis, mais ça va pas gêner tes parents ?

- T’inquiètes… Y sont cool…

- Bon j’dois quand même prévenir qu’je rentrerai plus tard…

Il sortit son téléphone.

- Allo, c’est Bruno.

- ….

- J’vais manger chez des copains de basket avant d’rentrer.

- ….

- Ouais c’est eux, j’leur demanderai.

- ….

- Pas de problème.

-

- T’inquiètes ! J’crois qu’j’s’rai OK !

-

- Ouais pas trop tard. Bises…. Voilà on peut y aller.


On était un peu intrigués par la conversation qu’il avait eue avec sans doute sa mère. On enfourcha nos vélos et se dirigea tous les trois vers la maison. En fait on était un peu anxieux avec Kilian. C’était la première fois qu’on draguait un mec et qu’on le ramenait chez nous. On se demandait comment ça allait se passer. Une fois à la maison, on alla déposer nos sacs de sport dans notre chambre. Bruno nous suivit et eut un grand sourire en sentant l’odeur qui y régnait, en voyant les posters des mecs qui tapissaient les murs et surtout en inspectant nos draps quand il s’assit sur le lit.

- Putain, les mecs, ça c’est de la piaule comme j’les aime !

- Désolé pour l’odeur et le désordre…

- Pas de problème, la mienne pue pareil… Pis j’ai bien vu qu’vous deux, vous étiez pas trop portés sur la douche. On est chez qui là ?

- Ben chez nous.

- J’croyais qu’c’était chez Chris.

- Euh ben, nos parents sont pacsés.

- Ah bon, pis c’est la chambre de qui, là ?

- Ben c’est la nôtre.

- Vous dormez dans la même chambre, mais y a qu’un lit !

- Ben normal pour des pédés, non ?

- Et vos parents disent rien ?

- Non, non…

- Bon ben au moins c’est clair. Vous m’avez pas invité que pour la pizza, j’me trompe ?

- Euh, non, t’arrêtes pas d’nous chauffer dans les vestiaires et même sur le terrain, alors on s’est dit qu’on pouvait tenter not’ chance. Pis on a l’impression qu’t’as les mêmes gouts qu’nous, pas vrai ?

- Vous avez raison les mecs. J’aime pas trop m’laver et vous sentez fort. J’adore m’faire prendre. Allez, v’nez j’veux vos bites dans mon cul et ma bouche.


Kilian se rapprocha de Bruno, le prit dans ses bras et l’embrassa. Bruno répondit à ce baiser et ils s’allongèrent tous les deux sur le lit. Je me déshabillais. Les voir tous les deux en train de se peloter me faisait bander, surtout que j’étais sûr qu’on allait enfin se faire le cul d’un mec de 12 ans. On ne tarda pas à être tous les trois à poil et à découvrir nos corps. Bruno n’était pas rebuté par nos odeurs, bien au contraire, et semblait avoir une grande expérience du sexe pour son âge. Il n’hésita pas à pomper nos dards fromageux et à lécher nos aisselles, nos pieds et surtout, il prit un plaisir fou à nous nettoyer l’anus qu’on n’avait jamais très propre. Sa bouche avait l’odeur de nos culs et de nos bites. C’était le pied de les retrouver sur sa langue. Quand on commença à mettre nos doigts dans son cul, on comprit vite que c’était un habitué de la sodomie tellement son anus était souple et bien dilaté. Il se faisait enculer par l’un et suçait l’autre et on échangeait nos places ou la position au bout d’un moment. Il nettoyait nos queues brunies par sa merde et avalait sans rechigner nos 17 cm. C’était déjà une sacrée salope à 12 ans et comme nous il était adepte de baise très crade. Il ne voulait pas qu’on jouisse dans son cul mais voulait recevoir en même temps notre sperme dans sur sa gueule. On se masturba finalement devant lui et il reçut comme prévu notre abondante semence sur son visage. Il l’étala bien avec sa main puis nous demanda si la merde nous rebutait. On lui répondit évidemment que non. Il désirait qu’un de nous chie sur lui pendant que l’autre s’empalerait sur sa bite. Il proposa d’aller dans la salle de bain mais on lui dit qu’il n’y avait pas de problème sur le lit déjà bien crade. Il était allongé et Kilian s’assit sur sa gueule, lâcha quelques pets, puis un gros étron vint s’échouer sur sa gueule. Je suçais sa queue pour la faire durcir, récupérant au passage son smegma, et quand il fut prêt je m’assis dessus et commençais mes mouvements de va-et-vient. Il ne fut pas long à jouir dans mon cul et on s’écroula tous les trois nous étalant la merde de Kilian un peu partout. Le lit était ravagé et l’odeur dans la pièce infâme, mais putain que c’était bon d’avoir baisé un petit jeune de 2 ans de moins que nous.


- Putain Bruno, ça fait longtemps qu’tu baises ?

- Ouais, 3 ans.

- Avec qui ?

- Au début avec des copains. On jouait juste à touche-pipi, mais moi j’voulais aller plus loin. A 10 ans, j’ai demandé à un pote s’il voulait pas m’enculer. Quand il a mis sa p’tite bite dans mon cul, j’ai su qu’j’étais une vraie pédale tellement j’avais aimé. Mais j’ai dit à mon copain qu’sa queue était trop petite. Alors y m’a amené son frangin plus vieux et là j’ai pris mon pied.

- Bordel t’étais jeune !

- J’sais pas, mais comme j’habite dans une cité un peu chaude, les copains du frangin m’ont tous passé d’sus. A 11 ans j’me faisais gang-banger dans les caves. J’me suis vite aperçu que j’aimais surtout ceux qu’étaient crades et j’leur demandais de pas s’laver s’ils voulaient m’baiser. J’adore nettoyer les bites sales, les culs merdeux, les aisselles daubantes et les pieds bien crades.

- Merde on aurait dû s’rencontrer plus tôt. Tu t’fais des vieux aussi ?

- Non j’aime pas trop. J’préfère les mecs dans vot’ genre. Y’en a quand même qu’ont plus de 25 ans.

- Tu connais des pédos alors ?

- Ouais. Quand c’est des jeunes ou des étudiants ça va. Y m’gênent pas, pis moi j’suis d’accord pour des grosses bites. Et vous ?

- Ouais, ouais, on aime bien les matraques qui nous perforent l’anus, hein Chris ?

- Sûr Kilian !

- Bon les mecs, vous m’avez aussi parlé de bouffer un peu. Faut nettoyer, non ?

- T’inquiètes pas, on va aller s’chauffer une pizza.

- Mais on est tout dég ! On va en foutre partout.

- Et alors, y’a pas de problème mec, on nettoiera après.

- Mais si vos parents vous surprennent.

- T’inquiètes, on t’dit…

- Putain y sont vraiment cool. J’aimerai bien les connaître.


On se dirigea vers la cuisine entrainant avec nous nos odeurs infectes. Pendant qu’on réchauffait les pizzas, Bruno nous demanda comment on avait su qu’on était pédé et on lui raconta notre histoire en passant sous silence nos relations incestueuses mais en ne cachant pas qu’on avait aussi des copines gouines et finalement peu de copains gays.

- Ben si vous voulez vous faire des copains, faut v’nir avec moi dans la cave de ma cité.

- Ça craint pas ?

- Nan, y sont trop contents de dégorger leur poireau. J’peux vous organiser ça si vous voulez.

- Ben on va attendre un peu, non Chris ?

- Euh, j’sais pas. L’idée de me faire défoncer le cul pendant des heures me plait bien.

- Ouais finalement t’as raison.

- Bordel, j’ai une autre idée. Demain soir j’vais chez un mec qui réunit pas mal de gamins de mon âge et on se fait une super partouze. Ça vous dit de v’nir ?

- Ça se passe comment ?

- Ben on vient, y’a à bouffer et à boire un peu. Y’a 2-3 adultes et y’a aussi des gouines. C’est super. J’suis sûr qu’ça vous plaira.

- Y z’ont quel âge les jeunes ?

- Y’a qu’une règle : les mecs doivent avoir du sperme et les gouines leurs règles. Alors ça peut varier. Aut’ chose c’est tous des sportifs comme nous.

- Bon OK. Au fait tu téléphonais à qui, à ta mère ?

- Euh non c’est compliqué. A ma famille d’accueil.

- ???

- Ouais c’est un couple de pédos mais y préfèrent les deux les filles. Y savent qu’j’suis une pédale et j’leur file du fric de temps en temps pour qu’y m’foutent la paix. Là j’vais appeler le mec chez qui on va d’main soir. J’le préviens qu’y aura deux beaux mecs en plus. Y s’ra ravi de vous voir croyez-moi ! En plus ça changera des beurs et des blacks.


Tout en dégustant sa pizza il alla chercher son téléphone et revint. On entendit la conversation.

- Salut le pédo ! C’est ta pute favorite.

- ….

- J’voulais juste te d’mander si j’peux amener 2 mecs demain soir. Y vont t’plaire, disons qu’y sont bien typés. J’viens d’niquer avec eux et y sont super bons.

-

- Ouais, y sont d’accord pour v’nir.

-

- Ouais 2 de 14 ans, pas le look européen, plutôt asiate et latino

-

- J’suis sûr qu’y sont aussi d’accord, y sont aussi crades que moi.

- …..

- J’vais leur demander, attends. Oh les pédés vous faites aussi dans la gerbe ?

- Ouais, p’tite pute

- Ouais y sont d’accord aussi.

-

- OK. A demain. Vous allez voir ça va vous plaire. Bon j’aimerai pisser avant de partir !


Aussitôt on se mit à genoux devant Bruno et on put boire sa pisse de jeune ado. On retourna dans notre chambre et Bruno se rhabilla sans se laver.

- Euh, t’as de la merde plein la gueule et le corps, tu veux pas t’laver,

- Non, là où j’vais y’en aura d’autres. Faut qu’j’passe à la cave chez moi. C’est comme ça qu’j’me fais un peu de fric. Plus c’est dég, plus les mecs payent.

- T’es vraiment une pute.

- Ben sans doute, mas c’est quand même vach’ment facile de s’faire du pognon avec son cul, sa bite et sa merde… surtout qu’moi j’aime ça !

- Ça rapporte combien ?

- 15€ la pipe, 30€ mon cul, 50€ pour s’faire chier d’sus et 80€ pour la gerbe. Bouffer la merde et la gerbe c’est 150€. Des fois j’me fais 2000€ en un mois ! Une nuit chez un mec, c’est 500€

- Putain, si on était d’accord pour v’nir, les mecs payeraient la même chose ?

- Ben ouais. En plus vous êtes bien foutus. Mais les mecs qui viennent sont pas des canons. Par contre la plupart sont bien crades. Bon j’vous laisse. J’passe vous prendre demain soir. C’est dans la campagne, à 20 minutes en vélo. Ah une dernière chose, essayer d’avoir le cul plein et vous lavez pas d’ici demain soir si possible.

- Pas de problème, on des papas bien crades

- Papas ?

- Bon ben ouais, on peut te l’dire, nos pères sont pacsés, pédos et scatos.

- J’comprends mieux. On est fait pour s’entendre. Faudra m’les présenter

- Ben tu viens quand tu veux es si t’as des copains comme toi y sont l’bienvenu.


On roula de bonnes pelles à Bruno, puis il partit. On nettoya la cuisine et le couloir des traces qu’on y avait laissées, puis on alla se coucher. On prépara nos culs pour recevoir nos pères qui étaient à diner avec des copains à eux. Ils voudraient surement baiser leurs fistons et on se mit chacun un gode dans le cul pour bien l’ouvrir.

- Putain Kilian, s’faire du fric avec nos culs, tu crois qu’on peut ?

- Ça fait quand même un peu pute non ?

- Complètement tu veux dire !

- D’un aut’ côté on s’f’rait de la thune facile et agréable.

- Ouais mai si y nous plaisent pas ?

- On ferme les yeux !

- Bon on verra bien demain. Pis ça m’étonnerait que nos pédos de pères soient d’accord.

- On leur demandera ! J’crois qu’ca va être super, tous ces djeun’s demain

- J’espère. Merde j’ai envie d’chier. J’crois qu’un bout de ma pizza devait pas être frais.

- Ben vas-y

- Dans le lit ?

- Putain t’as vu l’état du lit, ça peut pas être pire.

- T’as raison. T’as faim ?

- Pour ta merde toujours mon p’tit thaï adoré ! Allez viens sur ma gueule nourrir ta pédale latino.

- J’pisse d’abord mais après j’crois qu’tu vas aimer, ça va être chiasseux !

- Super ! Allez vas-y !


Je retirai mon gode et le suçai pour bien le nettoyer, puis je pissai dans sa gueule. Kilian et moi étions maintenant bien habitués à bouffer notre merde. Il faut dire qu’on s’entrainait le plus souvent possible. On avait appris à aimer ce gout un peu acre et parfois sucré. On adorait quand on avait la chiasse : on pouvait bien se l’étaler et les odeurs d’œufs pourris nous faisait bien bander. En plus c’était facile à lécher ! Une fois ma pisse finie je me retournai pour lui permettre de lécher ma raie. Je lâchai quelques pets. Le torrent de chiasse que j’expulsai maquilla complètement la tête et les épaules de Kilian et aussi le lit ! Je me retournais pour le serrer dans mes bras et partager le liquide immonde et on passa un bon moment à se l’étaler surtout qu’il y eut une deuxième puis une troisième couche. Kilian me demanda de l’enculer au moment où nos pères entraient dans la chambre !

- Salut les pédales, on a envie de vos culs !

- Salut les pédos ! Putain vous êtes déjà bandés !

- Ben on vous écoutait discuter, pis quand Chris a lâché sa bouse sur Kilian, on a décidé d’en profiter aussi.

- Vous avez entendu c’qu’on disait ?

- Ouais, on en parle plus tard. D’abord, on veut enculer nos fistons chéris. Kilian retire ton gode et passe-le-moi que j’suce ta bonne merde.

- Ouais, j’préfère quand même avoir la bite de mon père dans le cul ! Vous voulez comment les pédos ?

- Classique. Allongez-vous sur le dos. On vous encule et on peut s’rouler des pelles en même temps !


Ils enfoncèrent facilement leurs bites dans nos culs et commencèrent à nous limer en nous disant qu’ils nous aimaient. On n’avait aucun doute là-dessus, la meilleure preuve étant leurs zobs dans nos fions. Nos pères nous aimaient qu’on soit propre ou crade bien que je croie qu’ils préféraient quand on était dég… et nous aussi ! Ils nous pistonnaient en nous embrassant et on mélangeait nos salives merdeuses. Comme d’habitude on s’insultait lors de ces séances. Ils adoraient se faire traiter de pédos incestueux et nous on aimait quand ils disaient qu’on était des pédales, des garages à bite, des tafioles, des bouffeurs de merde… Ce qui était entièrement vrai ! Ils jouirent dans nos culs et chacun alla récupérer le sperme de l’autre en le buvant é la source de nos culs. Le quart d’heure suivant fut consacré à se palucher, à s’embrasser et à jouer avec nos tétons et nos bites. Puis eut lieu une discussion qui changea notre vie. On leur raconta notre drague de Bruno et sa conclusion, ainsi que ce qu’il faisait pour s’faire du fric. Ils nous félicitèrent d’abord d’avoir enfin osé draguer quelqu’un.

- Merci les papas, et on va chez un pédo de sa connaissance demain soir qui invite tout un tas de gamins comme nous.

- Bon pourquoi pas, mais faites attention quand même.

- J’crois qu’on peut faire confiance à Bruno. Il nous a raconté qu’y s’faisait un tas de fric en suçant des mecs et en s’faisant baiser dans les caves de son immeuble par des racailles qui payent bien d’après lui. Vous croyez qu’on pourrait s’faire de l’argent de poche comme ça ?

- En fait vous voulez vraiment être des putes, hein ?

- D’après Bruno, quand on est crade ça rapporte plus. Vous l’avez jamais fait ?

- Euh, on s’attendait à ce que vous nous posiez un jour la question. Quand on a eu 15-16 ans, on a été une sorte d’Escort-boy pour des mecs pas vraiment pédos, mais qu’aimaient bien les ados. Ça s’appelle des éphébophiles. Là, vot’ Bruno il a 12 ans et j’ai l’impression qu’il fait ça depuis 2-3 ans non ?

- Euh, Paul, t’oublies qu’on suçait les mecs aux chiottes du collège pour 10 balles quand on avait un peu plus de 10 ans.

- Ah oui, c’est vrai, et on leur demandait de nous chier d’sus aussi, hein Fred. Ah les queues qu’on s’est prises dans ces chiottes à la turque bien dég.

- Ouais et plus tard, les longues soirées dans les foyers d’immigrés ! Nos culs mettaient une semaine à se refermer !

- Putain les papas, vous auriez pu nous dire ça plus tôt. Alors vous êtes d’accord pour nous dire comment faire ? Vous connaissez les endroits où on peut l’faire ?

- On verra. Bon les chiottes publiques, c’est souvent des repères de gay et de pédos, surtout ceux à côté de la fac ou des collèges.et des lycées. Y’a pas mal d’étudiants qu’aiment bien les mecs dans vot’ genre. Au collège c’es souvent des vieux mais vous pouvez aussi vous amuser entre jeunes. L’avantage des vieux c’est qu’y payent…

- Y sont où ces chiottes ?

- Allez d’abord dans vot’ soirée et on en reparle après. Pis allez sous la douche.

- Non on doit venir le plus crade possible d’main soir.

- Ben vos sortez pas demain alors.

- Non on a des devoirs et coup de bol on a pas basket.

- Alors bonne nuit les pédés.

- Bonne nuit les pédos.


L’HISTOIRE DE CHRIS

Chapitre 15 (M, m, b, gays, inceste père fils et entre frères, anal, oral, masturbation, heavy scat)