Le lendemain de cette orgie mémorable, Kilian et moi avions appris que l’on n’hésitait plus à aller baiser avec des inconnus et que la gerbe pouvait nous procurer des plaisirs intenses. En rentrant du club, on avait décidé d’essayer de dormir ensemble tous les quatre mais nos lits étaient quand même trop petits. Fred et mon père trouvaient qu’on puait encore trop, Kilian et moi, et nous envoyèrent dans ma chambre. Bon c’est vrai qu’on n’avait fait que se rincer à la douche du club quand les adultes prenaient le soin de bien se récurer et de se laver les cheveux. On s’écroula sur le lit sans passer par la case salle de bains et je ne me réveillais qu’en début d’après-midi le dimanche sans mon érection habituelle. L’haleine de Kilian m’arrivait dans le nez et elle était plus que chargée. Je jetais un coup d’œil sur sa queue et lui non plus ne bandait pas. On devait avoir épuisé nos ressources la veille ! Il ouvrit les yeux et on se regarda un bon moment en se souriant, puis on se roula une pelle. Nos bouches étaient encore pleines des odeurs de pisse et de merde de la veille. On avait l’impression d’embrasser une cuvette de chiottes crades et visiblement on aimait cela car nos queues se dressèrent un peu. Nos pères rentrèrent dans ma chambre à ce moment pour nous dire bonjour. On se leva et alla les embrasser.
- Salut les papas, bien dormis ?
- Oui, la vache, vous puez de la gueule, les deux, c’est pas possible.
- Pas que de la gueule, Fred !
- Ouais et si on était pas aussi crevés, on remettrait bien ça !
- Ouais, ben justement les jeunes, j’vois qu’vous avez encore le cul bien ouvert. Alors cette semaine pas d’enculage, des pipes et de la branlette.
- Quoi ?
- Faut juste faire attention les mecs. Quand vous avez une bite dans le cul et que le mec a joui, faut attendre qu’y bande plus pour la retirer. Ça vous évitera beaucoup de problèmes.
- OK, mais avec les godes on fait comment ?
- Ah ben là faut les retirer doucement, jamais brusquement. Bon les mecs, samedi on se pacse et on fera une petite fête après. On est en train d’organiser cela avec Eva et Tina, mais cette semaine mettez la pédale douce si j’ose dire.
- On fera ça où ?
- Sans doute chez Tina. Maintenant v’nez manger, vous d’vez avoir faim !
On alla sur la terrasse où nos papas avaient préparé le petit déjeuner. On se goinfra de croissant, brioches et chocolatines, tout en se racontant les diverses scènes de sexe qu’on avait vécues la veille. On dit à nos pères qu’on avait pris et donné beaucoup de plaisir pendant celte soirée et qu’on avait découvert que la gerbe pendant la baise ne nous gênait pas et même qu’on appréciait la chaleur qu’elle procurait quand elle se déversait sur nos corps.
- On savait pas trop si ç’allait vous plaire ou pas, dit mon père. Mais vous êtes bien nos dignes fils, rien ne vous rebute dans le crade. Ça nous fait vachement plaisir à Fred et moi.
- On va s’entraîner avec Kilian !
- D’après ce que j’ai vu et senti, vos copines gouines aiment ça aussi. Avec Liv elles s’enfonçaient des godes dans la bouche jusqu’à ce qu’elles dégueulent.
- Super ! mais avec nous elles auront pas besoin de godes ! Dites, les papas, est-ce qu’on est des pervers ?
- J’crois pas. Vous aimez le sexe, c’est tout.
- Pis surtout on vous aime vous ! Ça va être super d’avoir deux papas et un frangin, hein Chris !
- Ouais Kilian. J’crois qu’on va pas s’emmerder dans une vie à quatre ! Vous les avez rencontrés comment Zac et Nico ?
- Nico, par un chat d’ados, y’a 4-5 ans. On l’a bien formé mais comme vous il avait des tendances très crades. Pis y nous a dit que son p’tit frère était encore plus salope que lui.
- Et vous l’avez baisé quand le Zac ?
- Euh là, c’est Nico qui nous a baisés. Y nous a dit qu’il « jouait » avec son frangin depuis 2 ans et qu’il en avait 14. Zac voulait absolument venir à nos parties de baise mais en fait il en avait que presque 13.
- Putain, quel con !
- Bon, Zac venait d’se faire son look émo. Et pis il était vraiment crade. Y puait encore plus que vous. D’emblée, y nous a pompés en s’faisant dégueuler et en bouffant son vomi.
- Bordel quel porc !
- Ouais, y vous plait bien ce cochon, non ?
- Putain oui, y peut v’nir quand y veut à la maison !
- Bon assez parlé cul. Le programme de la semaine est chargé. Fred et moi on a pris une semaine de congés pour essayer de tout régler. Dès demain, on vide la maison de Fred.
- Oui mais pas tout, Paul. Pendant qu’t’étais chez ta mère, Kilian, j’ai eu un acheteur et y’a des trucs qu’il veut garder et que moi j’voulais pas, surtout les trucs que ta mère avait achetés.
- J’comprends, papa, moi aussi, j’veux plus les voir.
- J’avais bien aéré ta chambre, viré tes fringues cradingues et caché posters et jouets. Vous verrez que finalement y’aura quand même pas mal de trucs à transporter. On va faire les petites choses, les fringues, un peu de vaisselles, les ordis, toute ta chambre Kilian, etc... Pour les gros trucs, on loue une camionnette de déménagement.
- Mais on va être crevés pour vot’ pacs !
- Mais non, vous êtes jeunes. Célia et Sara vont v’nir vous aider aussi. On va faire le programme de la semaine. Aujourd’hui, on va commencer par ranger les deux chambres du haut pour que Kilian ait une chambre indépendante et Fred un bureau.
- Mais on avait dit que Kilian s’rait avec moi ! La chambre est assez grande pour nous deux. J’ai un grand lit, plein de places pour ses fringues, vus qu’on a en a pas tellement. Y’a la place pour un deuxième bureau pour travailler.
- Merde Chris, j’t’ai déjà expliqué que chacun devait avoir son intimité s’il le désirait. Une fois fait, on vous passe au karcher. Kilian a encore du vomi dans ses cheveux et vous puez pas possible.
- Mais merde on va perdre toutes nos bonnes odeurs.
- On a confiance, elles vont revenir assez vite. Les chambres du haut sont pratiquement vides. Kilian, t’arrangeras ta chambre comme tu veux.
On s’attela à la tâche et en fin d’après-midi, ce fut fini. La sueur dégagée pendant ces rangements faisait ressortir nos odeurs qui avaient une influence non négligeable sur les zobs de nos pères et les nôtres malgré la débauche de la veille. On fut toutefois sages et nos pères nous forcèrent ensuite à aller dans le jardin et nous passèrent au jet pleine puissance, décapant les bouts de merde et de vomi séchés. Ils nous demandèrent également de faire la même chose pour eux. On passa ensuite sous la douche et ils restaient pour bien nous voir frotter nos corps avec du savon, y compris le gland et le cul, et nous laver les cheveux. Puis on assista à la toilette de nos pères qui n’arrêtaient pas de se palucher et de s’embrasser. C’était beau de voir comment ils s’aimaient ces deux-là, mais Kilian et moi n’étions pas en reste. La semaine passa vite, occupés qu’on était pour le déménagement et la cérémonie. Depuis notre récurage on ne s’était plus lavé et avec les efforts qu’on faisait, on schlinguait bien de partout. Fred et Kilian avaient emménagé chez nous. On s’habituait à dormir ensemble Kilian et moi. On était vachement heureux tous les deux même si question baise ce n’était pas le top vu que tous les soirs on était lessivés. On s’habituait juste à dormir ensemble, mais heureusement, on avait la branlette du matin. L’avantage c’est qu’on commençait à bien puer du gland et que la couche de smegma s’épaississait. Ça allait être notre cadeau pour le pacs de nos pères qui nous demandèrent de ne pas leur faire honte à la cérémonie et on passa quand même à la douche le samedi matin mais sans trop se frotter et en prenant soin de ne pas se laver la bite, ni le cul. On s’était habillés sobre, juste un short et un t-shirt, les deux propres. Le pacs lui-même aurait lieu à midi. On retournerait tous chez nous où on avait préparé un gigantesque buffet pour fêter cela jusqu’en fin d’après-midi puis on irait ensuite chez Tina et on finirait certainement dans sa cave.
On arriva tous les quatre en même temps que les gouines. Sara et Célia avaient mis une robe, c’était la première fois qu’on les voyait ainsi et le spectacle était bandant car on s’aperçut très vite qu’elles n’avaient rien dessous ! Tina et Eva les avaient également forcées à se laver, mais Célia me glissa au coin de l’oreille que leurs moules et culs étaient bien crades et qu’il y aurait autre chose que des petits fours à bouffer ce soir ! Liv et Inge étaient les témoins pour Tina et Eva, Olaf et Nico l’étaient pour nos pères. Zac et les pdbro étaient aussi venus. Je crois que les quatre pacsés ne voulaient pas d’autres personnes. Zac avait soigné son look émo, jeans noir troué moulant, t-shirt de Tokio Hotel, collier à clou autour du cou et une bonne odeur de sueur et de queue mal lavée. Son arrivée provoqua une déformation du devant de nos shorts ce que ne manquèrent pas de remarquer Célia et Sara qui pouffaient de rire. La cérémonie fut vite expédiée et on se retrouva tous chez nous. Kilian et moi nous occupions de la bouffe, aidés par Célia et Sara. Zac jouait la parfaite salope, voulant baiser avant de manger, mais on le mit vite au pas : pas de sexe aujourd’hui autre qu’avec nos parents, mais la porte et nos culs seraient toujours ouverts un autre jour. Il eut juste le droit de rouler une pelle aux quatre pacsés. Pendant tout l’après-midi, mangeant et buvant on contemplait les deux nouveaux couples qui n’arrêtaient pas de se bécoter comme des ados libidineux ! On mangea énormément. On était une quinzaine de personnes mais on avait préparé comme si on avait été cinquante ! En plus Olaf et Inge avaient apporté 3 desserts supplémentaires. On était maintenant frères avec Kilian et on serait désormais vraiment incestueux dès qu’on baiserait ensemble ou avec nos pères. On fit visiter la maison et son nouvel aménagement à tous. On se retrouva uniquement les jeunes pédés dans notre chambre. Zac vit nos jouets sexuels et voulut les utiliser.
- J’peux les essayer ? demanda-t-il.
- Yep mec, branle-toi avec si ça t’fait plaisir.
- OK... dites, j’ai vraiment le cul en feu.
- Et alors ?
- Ben si vous, vous voulez pas baiser, les pdbro y pourraient eux ! Kévin, Éric ça vous branche de m’faire une DP dans la chambre des nouveaux frangins ?
- T’en penses quoi Kévin ? dit Éric.
- J’crois qu’cette p’tite pédale a besoin de nos queues, Kév. Si les nouveaux frangins sont d’accord, j’suis partant.
- Nous on est d’accord, mais on va s’casser de la chambre, Kilian et moi. J’ai trop peur de craquer et on vous a dit que ce soir c’est pour nos pères.
- OK on va essayer de pas trop dégueulasser vot’ pieu quoiqu’à c’que j’vois, le drap est déjà bien cartonné. Y va couiner le Zac !
- Vous en faites pas les mecs, vous pouvez laisser des souvenirs. Ça nous fera penser à vous la prochaine fois qu’on s’pieute.…
On sortit rejoindre les autres et on leur expliqua ce qu’il se passait.
- Vraiment désolé, dit Nico. Zac est de plus en plus insatiable. Pendant les vacances, ça va mais j’espère qu’y va pas faire trop de conneries au lycée.
- T’en fais pas, Nico, dit Olaf. Mes tarlouzes de fils vont le calmer.
- Ouais, mais y s’met à draguer vraiment tout le monde. Y passe des heures aux chiottes publiques, attendant l’occase. Y fait pas de sport mais y va dans tous les vestiaires de ses potes après le matchs. Y savent qu’y peuvent décharger le trop plein de leurs hormones avant la douche surtout quand y gagnent.
- Y baise avec capotes au moins ?
- Ouais, il en a toujours sur lui.
- Bon c’est déjà ça ! Mais putain, mais il hurle ce p’tit con. Un d’mes fils pourrait lui foutre sa bite dans la bouche.
- Y peut pas, y veut une DP.
- Bon, Liv, ma fille, va lui faire lécher ta moule ou fous lui un gode dans la gueule, sinon y va ameuter tout le quartier !
- J’y vais papa. Moi aussi j’ai besoin de jouir. Nico, viens m’aider à l’faire taire, y préférera une bite à un gode ! Et après tu pourras m’ramoner le cul.
- J’arrive Liv même si j’préfère le cul de tes frangins.
- Et moi les moules baveuses !
Pendant que sa famille calmait les ardeurs de Zac, Olaf nous rappela que dès lundi, il fallait s’occuper de son hôtel. On devait y être à 9 heures car beaucoup de clients avaient déjà quitté leur chambre. Il tenait à ce qui nous soyons propres et habillés avec la tenue de l’hôtel, même si on ne devait avoir aucun contact avec la clientèle. On était tous d’accord, trop contents de pouvoir mettre de l’argent de côté pour nos prochains scooters. On continua de discuter un moment quand les cinq qui étaient dans notre chambre revinrent, évidemment à poil, tout sourire.
- Bon Zac est calmé pour un moment, mais c’est un peu le bordel dans vot’ chambre, les mecs.
- Pas grave, on a l’habitude !
- Papa, maman, dit Liv, Zac et Nico aimeraient bien finir la soirée dans not’ cave, z’êtes d’ac ?
- Ouais, pas de problème. Nico, préviens quand même tes parents que Zac reste avec nous !
- OK,
- Bon les pacsés on va vous laisser maintenant. Vous allez chez Tina et Eva ?
- Oui, on va se prouver notre amour et j’espère que nos enfants aussi !
- Alors bonne bourre à tous les huit !
Ils partirent tous entassés dans la voiture d’Olaf. On avait sans doute trop mangé et bu (on avait eu l’autorisation de boire du champagne). On rangea un peu, on quitta nos habits de fête pour remettre nos shorts et t-shirts crades. On ferma la maison et on partit chez Tina tous les huit. Le temps était orageux et on suait beaucoup. Le champagne et l’abondance de bouffe pleine d’ail et d’oignons nous faisait roter et péter. Toutes ces odeurs provoquaient chez Kilian et moi une érection incontrôlable, surtout qu’on avait les deux la main dans le short et qu’on se roulait des pelles. Le trajet ne prit que 5 minutes et aussitôt arrivés, on se mit tous à poil. On était tous les huit chauds comme la braise. Nous, les jeunes, on voulait aller baiser tout de suite mais Tina rouvrit encore du champagne et on trinqua une fois de plus à l’amour de nos pères et mères :
- Bon les enfants..., essaya de dire Tina en tendant sa coupe de champagne.
- Eh, j’te rappelle qu’on est plus des gosses.
- Ouais pis on baise avec vous aussi, on est plus des p’tits.
- Oh la la… excusez-moi, bordel vous êtes vach’ment susceptibles. Bon j’reprends. C’était juste affectueux, vous savez qu’on vous adore tous les quatre. On est là pour fêter nos pacs. J’dois vous dire qu’on avait envisagé tous les couples possibles pour nous … et pour vous aussi : moi avec Paul ou Fred. Mais on aime bien les moules de préférence pas fraiches et les mecs aiment bien les glands baveux bien odorants. Il y a plein de choses qui nous réunissent Paul, Fred et Eva : avoir une bite dans le cul, ou même dans le con ou la bouche de temps en temps, la baise très crade, les ados des deux sexes du moment qu’y sont puants. On n’a rien fait pendant votre enfance pour encourager vos désirs pervers. On s’est toujours caché quand on baisait entre nous ou avec des ados jusqu’à ce que vous nous surpreniez. On est tellement heureux maintenant que vous partagiez nos pratiques surtout depuis samedi dernier ! On vous aime très fort. Allez, buvons à notre santé… et allons-nous faire plaisir sous toutes les formes !
- Merci Tina, dit Fred. Bon résumé. J’dois dire que depuis plus d’un an, notre vie de famille a bien évolué. Plus besoin de se cacher quand on allait baiser crade, c’est quand même plus agréable. On a une faveur à vous demander, les gosses…
- Papa, Fred !
- Bon je retire le mot. On aimerait que vous restiez encore une petite heure pendant qu’on descend à la cave. On aimerait d’abord nous prouver notre amour intimement. Vous pouvez regarder un film en attendant ou commencer à vous amuser ou faire les deux en même temps. Après une heure, vous pourrez descendre à n’importe quel moment.
On les regarda descendre tous les quatre tendrement enlacés…. On avait déjà pas mal bu mais Sara alla chercher une autre bouteille de champ’ et revint avec aussi un entonnoir.
- Bon on va leur faire une surprise. En surfant sur le web, j’ai vu des jeunes qui s’amusaient à ça : on va se remplir le cul de champage et leur offrir à boire.
- Putain, génial, mais y va être chaud, dis-je. Pis j’ai le cul plein.
- C’est juste pour le fun, pis si y’a de la merde ça leur fera aussi à bouffer !
- Tu crois qu’on a pas assez bouffé. J’ai le cigare au bord des lèvres et les dents du fond qui baignent !
- Pourquoi tu crois qu’y nous ont fait bouffer ? J’suis sûr qu’y z’en veulent par tous les trous !
- T’as raison Célia, putain ça va encore être une vraie partouze crade en bas. J’suis sure qu’y veulent tester jusqu’où on peut aller. Ben en tout cas, avec moi, y vont pas être déçus !
- T’inquiètes Sara, j’crois qu’on est tous les quatre prêts à tout pour leur faire plaisir.
- Faut bien fêter dignement leur pacs ! avec Kilian on a un plan : j’m’occupe de Fred et lui de mon père. Vous allez faire pareil les gouines ?
- Ouais bonne idée !
- Le menu sera : dégustation de champagne sorti du cul, puis dégustation de smegma, pipe profonde en 69 et enculade. Après on verra…
- Ouais, dit Sara, nous on s’démerdera avec les godes et quelques jouets. J’vais vous remplir de champagne maintenant.
Sara nous fit mettre le cul en l’air et à tours de rôle introduit dans nos culs d’abord ses doigts pour nous élargir un peu, puis l’entonnoir et enfin un peu de champagne. Célia s’occupa de remplir le cul de Sara. On but le reste de la bouteille en se comparant nos smegmas, bien reniflé nos odeurs de sexe, de cul, d’aisselles et de pied. On avait résisté à la jouissance, bien qu’on eût les quatre le sexe qui devenait gluant, mais le premier orgasme de la soirée devait être pour nos géniteurs. Kilian et moi n’arrêtions pas de bander et les grandes lèvres des gouines étaient maintenant bien gonflées et leur clito très proéminent. Après une heure, on descendit, tous prêts dans nos têtes et dans nos corps à satisfaire tous les désirs incestueux de nos pères et mères. On rentra dans la pièce où il faisait déjà très chaud. Des odeurs de foutre, de cyprine, de pets et de sueur montèrent à nos narines. Les deux couples étaient chacun sur leur lit, occupés à se palucher, visiblement nous attendant, les deux baignant dans un flaque de pisse. On se précipita chacun qui sur son père, qui sur sa mère, séparant les couples les félicitant de leur nouvelle union. On leur demanda s’ils avaient soif et tous répondirent oui. Je présentais alors mon cul sur à la bouche de Fred, mon nouveau papa, qui colla ses lèvres sur mon anus et je poussais un peu. Il poussa un soupir de satisfaction s’abreuvant d’un champagne chaud. Je jouais avec mes sphincters de façon à n’envoyer que du liquide. Kilian lui s’occupait de mon père et comme nous nos copines baptisaient leur nouvelle mère en leur faisant déguster du champagne et un peu de caviar. Je m’allongeais ensuite sur Fred qui me roula une pelle au champagne légèrement marronné, puis je m’assis sur son torse pour qu’il puisse déguster mon smegma. Il me décalotta avec ses lèvres faisant surgir mon odeur favorite. Mon gland était enrobé de pâte blanche qu’il dégusta avidement et il s’attaqua au délicieux petits bouts blancs sous le gland. Ma queue était tendue au maximum. Il me remercia de cette délicate attention en me roulant de nouveau une pelle, cette fois parfumé au fromage de bite. On se mit alors en 69 et je me frottais le visage avec son zob encore tout maculé de la merde de mon père. Je le nettoyais ensuite, lui faisant prendre de la vigueur, pendant que lui forçait mon rectum avec sa langue, m’élargissant le trou. Il restait quelques gouttes de champagne et je compris vite que je ne pourrais me retenir longtemps. Je pétais et laissait échapper quelques petits bouts de merde tout en m’activant sur sa queue que j’enfonçais au plus profond de ma gorge d’un coup, me provoquant un haut-le-cœur suivi d’un dégueulis de champagne et de quelques morceaux du dessert. Je me retournais, la bouche dégoulinante de gerbe, un peu inquiet, mais je le vis sourire, d’autant plus que Kilian à côté avait lui aussi gerbé sur mon père. Je m’assis sur Fred et rentrais sa queue, bien lubrifiée par mon vomi et ma salive, dans mon cul qu’il avait suffisamment élargi par sa langue et ses doigts. Il me prit par les hanches et me souleva pour me faire retomber brutalement sur son pubis. Ses à-coups me chauffaient le cul comme jamais mais ce rythme me donna comme le mal de mer et je vomis encore un peu de mon repas sur sa gueule et son torse. Il accepta avec un grand sourire mes déjections et en avala un peu avant de me féconder de cinq longs jets de sperme. Il laissa sa bite dans mon cul un moment jusqu’à ce qu’il débande et se retira doucement. Mon cul évacua un trop plein de merde sur son zob et ses couilles. J’en pris un peu et le mélangeais au vomi sur son torse pour bien l’étaler et étalais un peu de cette bouillie sur son visage. Il en prit également pour m’en mettre plein la gueule.
- Vous êtes vraiment devenus encore plus crades que nous, fiston !
- Putain, ça ne fait drôlement plaisir que tu m’appelles fiston ! comment qu’tu veux que j’t’appelle, Fred ?
- Papa m’plairait, mais ça va être compliqué avec ton père. Fred s’ra très bien comme d’hab. Regarde Kilian et Paul, ils ont fait le même plan !
- Ouais c’est pour vous prouver notre amour à tous les deux et on sait maintenant que vous nous aimez bien crades.
- Et ça vous dégoute pas à votre âge ?
- Non on le fait avec amour… et pis, merde, on aime ça, même si la gerbe c’est nouveau pour nous. Et ça rassure de pas être seuls. L’expérience de samedi dernier était super, Zac par exemple c’est une super salope qui nous a bien décoincés.
- Tu peux l’dire, fiston mais Zac est un cas à part, on l’connait depuis longtemps.
- Ça veut dire qu’vous l’avez baisé plus jeune que nous ?
- J’t’en ai trop dit. On vous racontera un jour... Et le crade est pas réservé qu’aux pédés, regarde plutôt tes copines gouines : elles ont les deux le cul collé à la gueule de leurs mères en train de démouler un cake et un double gode dans la gueule. Ça y est, elles l’ont presque avalé jusqu’au fond de leur gorge et … elles dégueulent. Putain c’est aussi des salopes celles-là, comme leurs mères.
- Bordel c’est, vrai qu’elles sont super. Mais détourne pas la conversation, Fred…
- Ta gueule maintenant, fiston, regarde les gouines plutôt, Tina et Eva mangent la merde de leurs filles et … putain elles leur redégueulent tout sur elles.
- Putain c’est chaud, et moi aussi j’suis chaud. Fred, faut qu’t’encule, j’en ai trop envie.
- T’as raison, laissons les gouines se dégueulasser entre elles. J’lève mes jambes et tu m’rentres dedans et on pourra se rouler des pelles bien dég avec tout c’que t’as vomi...
On fit ce qu’il désirait. Ma queue tapa contre sa merde. Je forçais un peu pour le pénétrer. Fred couinait et lâchait des petits jets de pisse, sa vessie devait encore être pleine et sa prostate bien branlée par ma queue et sa merde. Il me léchait le visage couvert de gerbe avant d’introduire sa langue dans ma bouche. C’était tellement dég que je vomis de nouveau cette fois dans sa gueule ouverte tout en jouissant dans son cul. Une fois calmés, on se rendit compte que tous les huit on était couvert d’un mélange infâme de merde et de vomi, mais aussi qu’on avait tous le sourire. Je rampais jusqu’à Kilian et le pris dans mes bras, mais nos peaux glissaient et on tomba les deux sur nos pères qui s’étaient rapprochés. On se retrouva, Kilian et moi, allongés sur nos pères et on pouvait se rouler des pelles tous les quatre tout en se paluchant, mais surtout en se disant tout notre amour. Je léchais la gueule de mon père, me délectant des bouts de merde et de vomi produits par Kilian et lui. Je les mâchouillais et les passais à Kilian en l’embrassant. Kilian et moi avions le zgeg bien raide et nos pères comprirent notre désir de leur défoncer encore le fion. Ils se mirent les deux à quatre pattes, tête contre tête en se roulant des pelles pendant qu’on présentait nos glands sur leurs trous encore béants. On commença à les ramoner tout doucement et lentement. Ils nous prodiguaient des mots d’amour, nous encourageant dans nos efforts. Kilian jouit le premier dans le trou de son père qui aussitôt se retourna pour lui sucer la queue souillée. Je ne fus pas long également à éjaculer dans les entrailles de mon père. Aux cris que nous poussâmes s’ajoutèrent les râles de plaisir des gouines sur le lit d’à côté. Mon père me nettoya aussi la queue, puis sur leur ordre on leur pissa dans la gueule. Ils semblaient se délecter de cette pisse qui devait avoir un peu le goût du champagne. Finalement ils se relevèrent et nous en passèrent un peu en nous roulant un patin bien pisseux. On s’allongea sur le lit, laissant nos pères se murmurant des mots qu’on devinait tendres. On passa bien un quart d’heure à s’amuser à récupérer sur le lit vomi et merde pour s’en imprégner le corps et la gueule. Les gouines faisaient elles aussi une pause après ce déchainement de stupre. On en profita pour discuter avec Kilian.
- Alors, frérot, heureux ?
- Putain Kilian, ouais. On a bien fait de pas trop baiser cette semaine. Ce soir c’est super !
- Ouais, c’est bizarre, j’suis pas du tout dégouté. J’kiffe grave ce genre de séance.
- Normal, les latinos c’est dég. Ça pue toujours la sueur et de la bite !
- Ta gueule, face de riz, tu pues encore plus que moi !
- Dis qu’t’aimes pas mon salaud…
- Si j’adore tes odeurs quand tu pètes ou qu’tu viens d’chier et aussi quand on rentre du basket tout puant.
- Ouais, ça s’rait cool de s’faire une séance dans le vestiaire après un match.
- Ça s’rait génial, mais avec qui ? Nos copains sont p’têt dég des fois mais c’est pas des pédés.
- Ouais t’as raison, dommage. Tu crois qu’les gouines s’en font après leur match ?
- J’sais pas, on leur a jamais d’mandé.
- Dis, frérot, Fred m’a dit un truc zarbi sur Zac. J’crois qu’ils le connaissent depuis longtemps.
- Tu veux dire qu’ils l’ont tronché plus jeune que nous ?
- J’crois bien. Faudra les cuisiner, eux ou Zac. Le plus simple c’est de l’inviter à la maison.
- Ouais j’ai son 06.
- Oh les pédales, ça vous dirait de changer de lit ? cria Célia. Y’a nos mères qu’aimeraient tâter d’la queue de beaux éphèbes comme vous après celles de vos pères.
- On arrive, mais on n’est pas beau, on est couverts de merde et de vomi.
- Ben j’crois qu’elles vont aimer… On vous laisse la place. Nous, on aimerait gouter à des culs d’homme. Célia, oublie pas les godes !
On se leva faisant attention à ne pas glisser. Au passage on se roula de nombreuses pelles avec nos copines, laissant mariner les vieux. On avait tous des haleines pourries. Kilian et moi leur masturbions le clito pendant qu’elles nous faisaient gonfler la bite. Mettant mes doigts dans son con je m’aperçus qu’il était plein d’une espèce de bouille que je portais à mes doigts : c’était un mélange de pisse, de vomi et de merde qu’elles s’étaient introduites dans le vagin. Elles nous dirent que nos pères allaient adorer ce mélange. On était bien bandé quand on rejoignit Tina et Eva. On leur dit qu’on avait bien apprécié la scène du double gode et elles nous répondirent qu’elles voulaient le faire avec nous cette fois. On se mit donc à quatre pattes avec Kilian cul contre cul au bord du lit. Elles nous firent éloigner l’un de l’autre, positionnèrent le double gode à l’entrée de nos culs et nous demandèrent de nous rapprocher. Au fur et à mesure de la progression, le gode rentrait dans mon cul, me procurant de bonnes sensations. Soudain mes fesses touchèrent celles de Kilian, ça nous faisait un drôle d’effet !
- Bravo, les frangins. Vous avez pris tout le gode. Vos culs deviennent de vrais garages à bittes, les mecs, dit Eva.
- Ouais Eva, dit Tina, mais on a pris un gode moyen pour les djeun’s. Regarde leurs pères, ils se prennent le monstre, eux et à voir l’état de leurs queues, y z’aiment bien !
- J’crois que Kilian et Chris aussi ! Et j’crois qu’y vont aimer la suite aussi On les a vus samedi dernier à l’œuvre. Y sont presque plus crades que l’Zac !
Elles vinrent se positionner chacune devant nous : on avait leur sexe couvert par un mélange merde-vomi juste devant la bouche et on commença à sucer, lécher, laper ce sexe. De temps en temps elles se penchaient pour nous rouler une pelle et on devait leur donner un peu de ce qu’on avait dans la bouche. Les petits mouvements qu’on faisait déplaçaient le gode dans nos culs de façon jouissive. On se collait au maximum cul contre cul avec Kilian pour bien profiter de la pénétration. On n’oubliait pas de leur sucer aussi le clito et elles eurent plusieurs orgasmes qui nous projetaient de la cyprine et de la bouillie merdeuse sur la gueule. Quand on eut bien nettoyé leur sexe, elles nous félicitèrent, disant qu’on était les dignes fils de nos pères. Elles enlevèrent le gode de nos culs et cette fois et s’allongèrent côte à côte sur le lit. Elles nous dirent de s’agenouiller de chaque côté de leur tête et de nous enfoncer le gode dans la bouche. On voyait très bien où elles voulaient en venir. On y alla précautionneusement, on avait chacun 25 cm de gode tout merdeux à se mettre dans la gorge. Elles attendaient en dessous, bouche grande ouverte et quand on en eut 20 cm dans la gueule, on vomit tout ce qu’on pouvait. Encouragés par ces deux salopes, on alla leur rouler une pelle qui nous déclencha un second renvoi. Elles prenaient notre vomi à pleines mains et nous faisaient un shampoing avec en le mélangeant à la merde déjà présente sur le lit. C’était dégueulasse et ça nous faisait bander bien dur. Tina et Eva avaient encore de la ressource et commencèrent à nous pomper après avoir enduit nos zobs du mélange surnageant le lit. Elles aimaient vraiment cela ! Tina se mit en 69 au-dessus de moi et j’avais son cul devant mes yeux. J’introduis quelques doigts et constatais qu’il y avait encore un peu de merde dedans. Elle poussa, déversa un peu de sa bouse sur mon visage tout en me faisant une gorge profonde, la faisant de nouveau dégobiller sur ma queue. Elle se retourna vers moi tout sourire, me voyant mâcher la merde qu’elle avait chiée et me demandant si je voulais jouir. La réponse était claire quand je positionnais mon gland sur son sexe et poussais d’un coup. Ça rentrait comme dans du beurre, car elle était habituée à de plus grosses queues que la mienne ! Elle connaissait ma sensibilité des tétons et enfin quelqu’un s’en occupait pendant cette soirée. Elle les trouva et commença à me les pincer fort. J’en fis de même avec les siens. Elle se pencha pour me rouler une pelle. Son haleine était putride, mais la mienne aussi. Toujours en train de se fouiller la bouche, je sentis que mon orgasme allait venir et juste au moment où je lui envoyais deux trois jets au fond du cul, elle me vomit de nouveau dans la bouche, décuplant mon orgasme. Je jetais un coup d’œil à Eva et Kilian : ils étaient dans le même état que nous. Je remerciais Tina pour le plaisir qu’elle m’avait donné. Elle m’assura que ses trous seraient toujours ouverts pour Kilian et moi et Eva l’approuva. Kilian semblait être dans un état second et je me glissais vers lui.
- Oh frangin, ça va ?
- Y va bien, me dit Eva, y peut pas t’répondre, il a la bouche pleine ! Attends qu’il avale ou mieux va lui rouler une pelle et il t’en donnera.
- Putain, si j’fais ça, j’crois qu’j’vais encore gerber et lui aussi !
- Ça va t’gêner ?
- Nan, pis ça vous plairait, hein les salopes !
- On va vous donner un truc qu’on a appris à Célia et Sara. Vous vous roulez une pelle, Kilian te passe un peu du mélange dans la bouche et t’en avales un peu. Vous continuez à vous embrasser et chacun appuie avec son poing sur l’estomac de l’autre.
- J’vois.
- On va vous faire une démonstration, dit Tina, mais si on m’avait dit qu’un jour je montrerai ça à deux petites pédales …
Eva et Tina ramassèrent la boue liquide qu’il y avait sur le lit et la mirent dans leur bouche. Elles s’allongèrent et commencèrent à s’embrasser, se frottant le sexe l’un contre l’autre et se titillant le clito. On les regardait se gouiner en se masturbant. On voyait qu’elles avalaient un peu du mélange infâme et de temps en temps elles étaient obligées d’en ramasser sur le lit. Puis elles s’appuyèrent sur l’estomac et tout à coup, les deux vomirent en même temps dans la gueule l’une de l’autre en poussant de nouveau des cris de jouissance. Le vomi dégoulinait sur leurs poitrines merdeuses. Ce spectacle nous avait évidemment fait encore bander, Kilian et moi. On était allongé l’un contre l’autre et après leur orgasme, on commença à se rouler des patins et Kilian me passait un peu de sa bouillie infecte, puis on commença à mettre les poings sur l’estomac. Eva et Tina nous encourageaient. Soudain je sentis quelqu’un me fouiller le cul. C’était Sara qui était revenue de chez nos pères. Elle enleva la main de Kilian de ma bite et prit mon zob en bouche. Je voyais Célia faire la même chose à Kilian. Nos pères nous rejoignirent et s’occupaient maintenant des gouines. On formait une mêlée de corps baignant dans la merde, la pisse et le vomi. J’appuyais plus dur sur l’estomac de Kilian qui fit de même sur moi et on vomit presque instantanément. J’envoyais trois giclées de sperme dans la bouche de Sara et une gerbe dans ses cheveux et elle alla aussitôt rouler une pelle à sa mère qui était en train d’être enculée par mon père. Je glissais tant bien que mal jusqu’à mon père qui se finissait sans le cul de Tina et lui roulais une pelle bien dég. Tout le monde avait joui encore une fois et on se retrouva tous les huit gluants de nos différentes déjections. Chacun se lova dans les bras de son géniteur.
- Félicitations papa, j’suis vachement heureux qu’on puisse vivre tous les quatre maintenant.
- Merci, Chris, moi aussi j’suis heureux.
- On vous a pas fait vraiment de cadeaux, Kilian et moi, mais vous savez qu’on vous aime.
- T’inquiètes, vot’ plus beau cadeau c’est vous !
- Ouais, nos culs et nos bites !
- Non Chris même si ça compte aussi. Non, non, vot’ cadeau c’est que vous êtes bien dans votre peau pour des ados, vous marchez super à l’école, vous êtes de bons sportifs, vous nous aidez beaucoup à la maison. J’espère que ça va continuer. Bien sûr vous avez aussi de beaux p’tits culs bien musclés et bien fermes et de belles bites bien crades comme on les aime. En plus vous êtes vraiment comme nous…
- ???
- Ben de temps en temps, faut s’lâcher, comme ce soir.
- Ben moi, j’le ferai bien tous les jours tellement c’est bon ! Et Kilian aussi…
- Non Chris, ça doit rester exceptionnel. C’est la rareté qui rend ça encore meilleur.
- Mais merde papa, j’ai l’impression de ne plus aimer qu’le crade.
- Normal, t’es à l’âge où les hormones sont en furie et tu veux découvrir la vie…
- C’est vrai qu’j’arrête pas de bander, surtout quand j’suis avec Kilian !
- Et avec les filles ?
- Aussi, mais c’est surtout qu’elles sont aussi crades que nous, mais j’dois dire qu’avec leur clito comme des petites pines, j’ai l’impression de baiser avec des mecs à p’tite queue !
- C’est vrai qu’avec leurs mères elles arrêtent pas de se le pomper ! Tiens j’crois qu’ton nouveau frère aimerait bien encore un câlin. Retournez entre jeunes sur l’autre lit pour dormir un peu. Vous voulez pas vous laver avant de dormir ?
- J’suis crevé. Ça peut attendre ?
- C’st toi qui vois. Mais nous on s’lave et on va baiser propre en haut tous les quatre.
- Euh, tu crois qu’on peut rester ici nous ?
- Ouais, pas de problème, mais t’as vraiment pas envie de t’laver ?
- Ben non.
- Pis les autres ?
- Mmm j’crois pas.
- Bon, mais n’oubliez pas de bien boire avant de dormir, y’a plein de bouteilles d’eau qui trainent et on a eu chaud ! Et rincez-vous bien la gueule avant de dormir. Je t’aime, mon fils.
- Moi aussi papa, j’t’aime et j’aime Fred et Kilian et les gouines.
On les regarda nettoyer le lit au jet, puis eux-mêmes. Lorsqu’ils furent propres, ils nous dirent bonne nuit et montèrent. Notre seule toilette fu de nous écher la gueule à tour de rôle. Serrés tous les quatre, on se raconta cette soirée tout en buvant énormément d’eau. La merde et le vomi dessèchent, et la pisse qu’on avait bue ne suffisait pas à nous désaltérer. Sara et Célia avaient aussi bien baisé avec leurs mères et s’étaient fait embrocher par nos pères après leur avoir fait une gorge profonde finie en gerbe. On finit par s’endormir, bien serrés tous les quatre. Le sommeil fut agité car on n’avait pas beaucoup d’espace. J’eus envie de pisser au milieu de la nuit, et comme je n’osais pas déranger les autres je pris ma queue en main et dirigeais le jet vers ma gueule pour en boire un peu. Kilian vint à ce moment-là poser sa tête sur ma poitrine mais le jet ne le réveilla pas ! Je crois que tout le monde avait pissé au lit tellement le lit était humide quand on se réveilla. L’odeur qu’on dégageait était plus que forte et après s’être roulé tous les quatre la pelle de bonjour du matin, on décida d’en rester là et on alla tous sous la douche après avoir passé notre lit au jet.
On monta ensuite retrouver nos pères et mères qui nous accueillirent tous avec un grand sourire et évidemment un bon patin ! Le petit déjeuner fut copieux à la mode anglaise et on se goinfra, la baise crade ou pas donne faim. On parla de choses et d’autres mais pères et mères nous mirent en garde de ne pas renouveler ce genre de baise trop souvent. On eut même droit à une leçon de morale : on allait rentrer dans un lycée de plus de 800 élèves, on ne serait pas forcément dans la même classe, on avait des parents homos maintenant pacsés, on était très développés sexuellement parlant, on était crades, un peu provoquants aussi même si du fait de notre mode de vie on avait acquis une certaine réserve, etc… et surtout on allait certainement avoir à faire face à des insultes. En plus il se pourrait qu’on soit reconnus par d’autres jeunes ou adultes participant aux orges chez Olaf. Bref, on était bien prévenus qu’on devrait bien se tenir, être discrets sur nos relations et soigner notre hygiène. Kilian et moi pouvions rouler des pelles à Célia et Sara pour donner le change. Ça nous fit quand même sourire de la part de mecs ou de nanas qui nous baisaient et qu’on baisait, qui draguaient des ados crades et qui bouffaient notre merde et notre gerbe !
Les 2 semaines suivantes furent consacrées à notre travail à l’hôtel d’Olaf, pas trop fatigant et qui nous permit d’accumuler un peu d’argent pour nos scooters. La plupart du temps on finissait en milieu d’après-midi et on allait ensuite se détendre à la piscine chez nous ou chez Sara et Célia. La rentrée ne nous faisait pas vraiment peur car pas mal de ceux qui étaient au collège avec nous, ainsi que les pdbro et Zac, allaient dans le même lycée que nous.