Après avoir bien mangé et bu, on partit donc tous les quatre en voiture en direction du club. Le parking était plein à craquer, des voitures du pays entier et aussi quelques étrangers. On fut accueilli par Olaf qui nous salua par une bonne pelle baveuse, puis on se déshabilla vite fait. Olaf prit nos vêtements, les renifla et on vit sa queue prendre l’ascenseur.


-       Waouh, j’sais pas ce qui pue le plus chez vous les djeuns, vous ou vos fringues.

-       J’espère qu’c’est nous !

-       Fred, Paul, parait qu’vous allez vivre tous les quatre ensemble ! Félicitations !

-       Salut Olaf, ouais ça y est on a franchi le pas.

-       Chris, Kilian, heureux ?

-       Putain ouais ça va être super !

-       J’vous retiens pas, entrez dans la salle. J’ai supprimé presque toutes les alcôves et ai fait installer une dizaine de grands lits sur lesquels vous pouvez être confortablement installés pour niquer. Y’a 10 écrans qui diffusent des films. Allez-y Fred et Paul, j’ai encore quelque chose à dire à vos pédales de fils.


Nos pères rentrèrent dans la salle et nous laissèrent seuls avec Olaf. Il alla derrière un comptoir et sortit une bouteille de ce qui semblait être du jus d’orange. Il demanda de nous approcher en servant deux verres.


-       Chris, Kilian, buvez ce verre de jus d’orange avant d’entrer.

-       Pourquoi ?

-       Ben d’abord pour vous désaltérer, pis y’a un petit quelque chose en plus.

-       C’est quoi ?

-       Quelque chose qui va vous donner envie de baiser. Vous inquiétez pas, Fred et Paul sont au courant.

-       Ben, on en a pas besoin !

-       Ouais, ouais, p’tits prétentieux. La première fois que vous êtes venus, vous avez baisé deux ou trois fois et après dodo. Cette fois, on aimerait que vous restiez toute la nuit. J’veux dire qu’avec ce que vous allez boire, vous allez avoir envie de baiser toute la nuit. C’est un peu comme du poppers, mais en moins dangereux.

-       Putain !

-       Pis comme vous avez vu le parking est plein. Vous verrez, ça se partage naturellement en 3, gays seuls, lesbiennes seules et bi. Seul point commun pour ce week-end, c’est ultra crade.

-       T’as toujours pas abaissé l’âge comme le demandent tes gosses ?

-       Oh, les djeun’s vous faites chier avec ça ! Rentrez maintenant et amusez-vous. Ah, y’a des gens qui parlent pas vraiment français à l’intérieur.

-       Ben pour c’qu’on veut faire, y’a pas vraiment besoin de parler !

-       Une dernière chose. Y’a déjà de la pisse et de la merde un peu partout. Ne courrez pas, ça glisse !

-       La vache, doit y avoir une odeur !

-       C’est sûr mais vu ce que vous dégagez vous aller être en terrain connu !


On rentra alors dans la salle. Il y avait effectivement une dizaine de lits gigantesques pour la plupart occupés. Il n’y avait pas vraiment de coins pas éclairés, seulement les trois alcôves restantes desquelles s’échappaient des cris de jouissance. Tout le monde pouvait voir qui baisait qui. Le jus d’orange faisait son effet et on bandait fort. On s’avança avec Kilian nous tenant par la main. L’odeur de sueur, sexe, pisse, merde et crasse était tellement forte qu’elle masquait presque la nôtre. Au centre il y avait maintenant une petite estrade sur laquelle était installé un immense lit d’au moins 5 m sur 5 où une quinzaine de corps des deux sexes et de tout âge s’adonnaient aux joies du sexe crade. Sur un autre lit on reconnut Célia, allongée les jambes en l’air, qui se faisait ramoner le cul par un petit jeune au look émo, cheveux noirs raides avec la frange tombant sur un de ses yeux, 2 piercings à la lèvre inférieure. Il était très blanc de peau et cela contrastait avec la couche de merde qu’il avait sur le cul ! Une femme bien foutue suçait le clito de Célia qui elle-même avait devant sa bouche le sexe d’une petite jeune qu’elle léchait avidement. On se rapprocha de ce groupe et vit que le mec avait la queue de plus en plus brune au fur et à mesure de ses pistonnages et que Célia se ramassait sur la gueule la pisse et la cyprine de la plus jeune qui avait orgasme sur orgasme. On se branlait avec Kilian en se roulant des pelles et en profitant du spectacle. C’était mieux que les vidéos car là on avait l’odeur, surtout quand la jeune commença à chier sur les petits seins de Célia ! L’émo voyant la merde sortir du cul de la jeune redoubla ses coups de boutoir pour exploser dans le cul de Célia, puis se retira. La femme se précipita sur sa bite en se la passant sur le visage pour y déposer des petits bouts de merde. La jeune, une fois vidée de ses intestins, roula une pelle à Célia, lui dit quelques mots à l’oreille et alla rejoindre un tas de gouines qui accueillirent à bras ouverts une nouvelle petite jeune à baiser. La vieille en profita pour aller rouler une pelle à Célia, écrasant la merde de la jeune entre leurs deux corps. Célia nous fit un clin d’œil et alla se joindre au tas de lesbiennes. L’émo descendit du lit et engagea la conversation avec nous.


-       Salut les mecs, vous êtes nouveaux ?

-       Ouais, c’est la deuxième fois qu’on vient.

-       Waouh, vous puez fort. Vous allez m’faire rebander. Vous êtes avec vos parents ?

-       Si on veut, on est avec nos pères.

-       C’est qui vos darons ?

-       Euh, Paul et Fred.

-       Ah ben vous d’vez être Chris et Kilian.

-       Tu nous connais ?

-       Non mais vos pères m’parlent de vous.

-       Tu les as baisés ?

-       Un peu mais c’est surtout eux qui voulaient profiter de mon cul, comme ils l’ont fait de mon frangin depuis 5 ans.

-       Tu t’appelles comment ?

-       Zacharie, mais tout le monde m’appelle Zac. Ça fait 6 mois que j’peux enfin venir ici avec mon frangin.

-       Putain t’as un super look émo. Et merde toi aussi tu pues !

-       C’est l’hôpital qui s’fout de la charité, les mecs. Vous puez grave et vous avez même pas de merde sur le corps ! Vous ressemblez aux jeunes thaïs et aux jeunes latinos qu’on voit dans les films de pédos. Vous avez déjà tourné des films ?

-       Euh non, à part des vidéos qu’on s’fait entre nous, dit Kilian en lâchant un pet.

-       Putain les mecs, arrêtez pas d’péter c’est trop bon !

-       C’est la bouffe d’hier soir et j’sens qu’j’en ai 3 kilos à chier. Ça fait longtemps qu’t’es là ?

-       Deux heures j’crois. J’adore sucer les pédos crades et j’me suis fait enculer déjà trois fois. La fille que j’viens d’niquer, c’est une nouvelle aussi, elle est super bonne et bien crade. Ses pets avaient la même odeur qu’les tiens.

-       Normal, c’est une de nos copines et on a bouffé la même chose hier soir !

-       Putain, z’avez de la chance avec une meuf pareille.

-       Ouais, elle est plutôt gouine mais elle apprécie aussi nos queues puantes.

-       Moi aussi j’aime quand ça pue et qu’c’est crade. Et j’aime bien les mecs dans vot’ genre, super baraqués. Putain mais vous avez quel âge les mecs ?

-       Juste 14.

-       Waouh et déjà avec des grosses queues. Vous avez pas encore dégorgé popaul ?

-       Ben non.

-       V’nez avec moi, on va bien s’trouver 2-3 pédos ou vous préférez les djeuns ?

-       Euh, là maintenant, j’crois qu’tu nous plais beaucoup.

-       Moi aussi vous m’plaisez. J’aimerai bien prendre vos deux bites dans le cul.



On déambula avec Zac de tas ce corps en tas de corps dans la salle. On faisait attention en marchant car le sol était glissant de pisse et de merde. Dès qu’on s’arrêtait pour regarder les gens baiser, des mains nous pelotaient et s’insinuaient dans nos culs. On reconnut nos pères en train d’enculer deux nanas pendant qu’ils se faisaient mettre par deux djeuns ! Ils étaient déjà à moitié recouverts de merde. On eut du mal à reconnaître Sara et Eva toutes brunes, qui se faisaient pisser dessus par de vieilles gouines. Kevin et Éric se faisaient mettre par deux pédos pendant qu’ils recevaient la pisse de vieilles gouines sur la gueule. On trouva enfin un canapé libre où dans le creux d’un des sièges surnageait un étron dans une flaque de pisse. Zac s’assit dessus et se beurra bien le cul et nos bites avec. Il s’en enduit aussi le visage et les lèvres. Ce mec avait l’air de vraiment aimer le caca. On resta debout et il commença à nous sucer, tout en se doigtant le derrière. Après cinq minutes on lui dit d’arrêter car on était trop prêt de jouir et on voulait prolonger ce moment. Il nous fit alors allonger sur le canapé de façon à ce que nos deux pieux soient côte à côte. J’avais un pied de Kilian près de ma bouche et je commençais à lui sucer ses orteils pleins de merde pendant que lui me rendait la pareille. Zac s’accroupit au-dessus de nous, empoigna nos deux bites et se les introduit. Il devait avoir l’habitude, car son cul était bien dilaté. Il criait de plaisir et faisait des mouvements pas trop amples avec son bassin afin de bien garder nos zobs au fond de son cul. Il essayait de se branler tout en gardant l’équilibre. Je sentais la queue de Kilian coulisser contre la mienne. Zac était un pro, il faisait bien durer le plaisir. Un mec s’approcha de nous et se pencha pour sucer Zac. Voyant que ça ne nous gênait pas, un autre mit sa queue dans la gueule de Zac et d’autres venaient profiter du spectacle tout en se branlant la queue ou le clito. Un plus jeune s’avança vers moi, c’était Nico, le livreur, qui me dit qu’il venait d’enculer mon père et qu’il venait chercher son pourboire. Il m’enfonça sa queue merdeuse directement dans la gueule. J’eus un haut-le-cœur, mais m’habituai très vite au gout âcre de la merde de mon père. Je m’appliquais à sucer Nico, y mettant toute mon ardeur. Comme j’étais allongé sur le canapé, je pus bien pencher ma tête en arrière pour que Nico puisse m’enfoncer sa bite sur toute la longueur. Il parut surpris de ma capacité à faire une gorge profonde et me sourit. Une nana me pinçait les tétons et me prit une main pour se la plaquer sur son sexe dégoulinant de sperme et de merde. J’étais dans un état second, avide de sexe. Le produit dans le jus d’orange devait faire son effet. Zac n’arrêtait pas d’aller et venir sur nos queues. Son cul élargi laissait échapper de la merde et l’odeur devint enivrante. Des mecs et des nanas nous pissaient dessus et mon orgasme ne fut pas long à se déclencher. J’envoyais ma purée dans le fion de Zac qui n‘arrêtait pas de crier son plaisir. Kilian jouit quelques minutes plus tard au moment où j’avalais le sperme de Nico. Zac se retira et vint me rouler une pelle, goutant le sperme de Nico, et permettant à Kilian de venir récupérer ce qui sortait de son trou ! Je m’aperçus qu’il avait aussi un piercing à la langue. Nico et les spectateurs s’en allèrent et on s’enlaça ensuite tous les trois sur le canapé, jouant avec nos corps, mélangeant nos langues, respirant nos bonnes odeurs d’ados crades de 14 ans. Kilian se mit à péter et ne put retenir une bouse qu’on tartina sur nos visages. Récupérant la merde qui trainait par terre on réussit à s’en enduire tout le corps. On se pissa dessus tous les trois pour faciliter l’étalage, puis on se roula de nombreuses elles avec la merde. Une fois calmés, on discuta un peu avec Zac l’émo.

-       Putain, vous êtes graves les mecs, dit Zac. J’adore. C’est génial de trouver des mecs aussi jeunes et aussi crades que vous.

-       Ben y’a Éric et Kévin aussi. Pis ici tu crois quand même pas trouver des mecs propres sur eux ! T‘es v’nu avec tes parents ?

-       Non avec mon frère, celui qu’t’as pompé, Chris.

-       Putain ! Nico c’est ton frère ?

-       Ben ouais.

-       Et y t’baise d’puis qu’t’as 10 ans, tu m’as dit !

-       Ben ouais.

-       Et avec tes vieux, vous baisez ?

-       Non, y veulent pas, mais y nous empêchent pas Nico et moi, mais ça les branche pas les jeunes. Par contre y sont crades et bisexuels. Ils aiment bien quand on pue et quand on baise devant eux. Ça fait longtemps que vous êtes dans la combine ?

-       On baise avec nos pères depuis un peu plus d’un an et on a toujours été plutôt crade. On croyait qu’on était que gay mais on baise aussi avec nos copines gouines et leurs mères.

-       Ouais, vous avez déjà baisé avec des vieux ici ?

-       Ben non. On n’ose pas trop.

-       Putain, les mecs, si vous v’nez ici, c’est pour baiser et s’faire baiser, non ?

-       Ben ouais, d’ailleurs on t’connaissait pas et t’as pris nos deux bites !

-       Faut dire que j’ai eu le cul vachement souple et accueillant très jeune, grâce à mon frère !

-       Pas qu’à cause de ton frère j’ai l’impression !

-       Euh ouais, au collège où j’allais, j’étais bien connu comme vide-couilles ! J’suçais les mecs de 4ème ou de 3ème dans les chiottes du collège. Ceux qu’étaient pas trop dégoutés par mon cul pas torché m’enculaient.

-       Y t’enculaient au collège ?

-       Non, on allait après les cours dans un endroit calme et j’les niquais aussi. Nico m’a toujours dit qu’ca d’vait être réciproque.

-       Ouais nos pères disent la même chose. Et t’avais pas de problème au collège ?

-       Enormes au début, surtout quand j’ai pris le look émo. Avec les filles ça allait mais les mecs me traitaient de pédé.

-       Et alors c’est pas une insulte, pis en plus c’est pas faux

-       Ouais mais y’en a trois qui m’ont tabassé un jour à la sortie. Faut dire que j’ai pas votre taille ni vos muscles. J’suis plutôt du genre crevette. Heureusement y’a l’infirmier du collège qui passait et qui les a engueulés. Leurs parents ont été convoqués et y se sont fait grave remettre à l’ordre. Depuis ça va mieux, surtout qu’y en a un qu’aime bien me niquer maintenant car sa copine veut pas les sucer, ni qu’il lui mette sa bite dans le cul. Et vous ?

-       Ben y’a toujours des cons mais comme on est plutôt baraqués et qu’on nous a vus avec nos copines gouines, on a pas trop de problèmes. Pis on pue pas mal, ça éloigne les connards mais on a toujours  pas mal de remarques, surtout au basket.

-       Ben moi, pour l’odeur, y’avait pas trop de problème. C’était dans un collège de campagne où les mecs s’lavent pas trop. Les mecs que j’suçais avaient toujours du bon fromage sauf les circoncis.

-       Dans un mois on va au lycée, ça va peut-être être plus difficile.

-       Moi aussi j’vais au lycée l’année prochaine. J’habiterais avec Nico. On pourra s’voir alors si on va dans le même.


Il y eut un silence et on profita pour recommencer à se palucher et à se rouler des pelles. On avait de nouveau les trois la gaule. Kilian n’avait fait qu’écouter la conversation, se contentant de nous sucer et de sortir notre merde du cul. Il se leva et nous dit qu’il avait encore envie de chier. Zac et moi étions allongés sur le canapé et il mit son cul au-dessus de nos visages et nous aspergea d’une merde molle bien puante, résidu de la bouffe mexicaine de la veille.


-       Super, celle-là on pourra bien s’l’étaler, dit-il en se retournant.

-       Ouais, elle est toute molle. Approche-toi qu’on t’en mette sur ta gueule à toi aussi, dit Zac.

-       Bon les mecs, maintenant j’ai envie de me faire mettre. Pas toi Chris ?

-       Si, j’ai vraiment envie d’une bite dans le cul. Ça doit être le produit d’Olaf !

-       Ah y vous a fait le coup du jus d’orange ?

-       Ben ouais, pas toi.

-       Si, mais en fait c’est vraiment que du jus d’orange, y’a rien d’dans ! C’est juste pour mettre en confiance !

-       Ben merde, ça marche son truc. J’ai jamais eu autant envie de baiser.

-       Ouais, tu t’laisses aller à des trucs en croyant que c’est l’effet d’une drogue, mais en fait y’a rien ! V’nez avec moi, on va s’installer sur un pieu de libre tous les trois et vous verrez qu’y aura bien une queue ou un gode pour nous remplir le cul. En plus on est tous merdeux presque des pieds à la tête, on a un sacré look tous les trois. Ici les gens aiment bien quand on est maquillé à la merde. Ça les excite.

-       Y’a pas qu’eux qu’ca excite !


On déambula dans la salle lorgnant sur les activités diverses qui s’y déroulaient. On reconnut Célia, Liv et Sara qui rampaient sur deux gouines, les 5 couvertes de merde de la tête au pied, leur léchant la chatte, le cul ou les tétons, roulant des pelles à qui ouvraient la bouche. Elles mordillaient les clitos ou les bouts de seins et ça faisait hurler les vieilles qui se tordaient de plaisir. Inge nous rejoignit et nous salua en nous roulant une pelle à tous les trois. Je ne pus m’empêcher de tirer sur les piercings qu’elle avait au clito et sur les lèvres de son sexe. Elle nous félicita pour nos odeurs et surtout pour le fait qu’on se soit tout de suite mis dans l’ambiance, puis alla rejoindre les gouines sur le lit. Elle avait deux godes ceintures qu’elle passa à Célia et Sara qui se harnachèrent et commencèrent à enculer les deux gouines. Liv et sa mère mirent alors leur cul sur la gueule des gouines et leur pissèrent dessus. Dans cette position Liv et Inge pouvaient jouer avec les tétons et les berlingots des quatre autres, rouler des pelles à nos copines ou entre elles. Trois jeunes nanas vinrent se joindre à elles. Je surpris un regard étonné de Célia et Sara en voyant ces trois filles mais le lit ne fut bientôt plus qu’un tas de gouines merdeuses qui s’embrassaient et jouaient avec leur corps, se foutant des godes dans leurs trois trous. Les trois nanas fient s’allonger les autres et chièrent dessus. On se branlait tous les trois nous régalant du spectacle scato pédo gouinesque. Elles se roulaient des pelles en sa passant la merde d’une bouche à l’autre quand je sentis un doigt fourrager mon anus. Je me retournais et vis Nico.


-       Joli spectacle, hein ces gouines crades.

-       Ouais, en plus y’a une bonne odeur.

-       Oh ben ça pue surtout la merde, non ?

-       Ouais.

-       Bon, dites-moi les trois, y’a deux pédos qu’aimeraient bien des djeuns dans vot’ genre. Ça vous branche ?

-       Toujours dit Zac. Qui m’accompagne ?

-       Vas-y Kilian, nous, on aura toujours l’occasion de baiser ensemble avec nos pères !

-       OK, j’y vais avec Zac. On s’racontera…


Je continuais à déambuler tout seul, attirant les regards des personnes pas occupées à baiser. Je vis mon père se faire faire une double pénétration par deux filles de mon âge munies de de godes pendant qu’il enculait une femme plutôt âgée, pendant que juste à côté, Kévin et Éric prenaient en sandwich une femme qui devait être belle. Il m’expliqua par la suite que c’était une grand-mère, sa fille et ses petites-filles, toutes des gouines pratiquant le scato qui ne refusaient pas de temps en temps un bon coup de queues ! Dans cette famille les joies du sexe devaient commencer très tôt et les mecs ne devaient pas souvent en faire partie. Je me fis la réflexion qu’en fait dans ce club il y avait des jeunes de mon âge, leurs parents et grands-parents. A part Nico, pas de mecs ou de nanas de 20-30 ans, ni de 40-50. Tout à mes pensées, je continuais de marcher et me heurtais à un mec en train se branler devant un écran diffusant un film pédo asiatique. C’était un noir de mon âge qui aussitôt me roula une pelle. Il avait des lèvres bien épaisses et sa bouche sentait fort la merde, comme la mienne. J’avais envie de me faire mettre et ce gars avait une belle bite de black ainsi que de bonnes odeurs. Sa peau était constellée de traces de merde marron et jaunâtre. Il me dit qu’il prenait un peu repos car beaucoup s’était déjà servi de son cul, ce que je vérifiais en passant mes doigts sur son trou largement ouvert et suintant du sperme. Il me péta dans la main et je reçus un mélange marron qu’il me força à étaler sur mon visage. J’en avalai un peu, le mélange sperme merde n’était pas si mauvais et ça me chauffait un max.


-       Euh, t’es reposé maintenant et tas l’air en forme, dis-je en flattant sa bite.

-       Ouais, j’mate un film avec des jeunes thaïs de ton genre. J’m’appelle Marc

-       Moi c’est Chris. Dis, tu voudrais pas m’enculer, là, j’tiens plus et j’ose pas demander à un pédo.

-       T’es timide toi ! Pourtant t’es comme moi couvert de merde et j’tai vu tout-à-l’heure sur le canapé. T’as pris la queue d’un mec jusqu’au couilles ! Viens, on va retrouver mon père, y va sûrement vouloir t’baiser aussi. Il aime bien les jeunes puants. J’lui laisse la primeur de ton joli p’tit cul.

-       T’es Thaï ?

-       Non métis. Ma mère était thaïe.

-       On a été en Thaïlande l’année dernière pour tourner des films avec mon père. C’était super crade, j’ai adoré. On a vécu 15 jours dans la merde avec des jeunes thaïs et des ladyboys bien crades. Tiens v’là le lit où on s’est installés.


Il y avait 5 ou 6 mecs sur le lit dont Fred. J’étais content de trouver quelqu’un de connu. Il était occupé à chier sur un jeune et j’allais lui rouler une pelle. Il apprécia mon haleine de fauve. Le jeune noir qui m’avait amené prit ma place et me désigna son père qui se faisait enculer en levrette par un mec tatoué de partout pendant qu’il suçait la chatte d’une fille. La place étant libre sous lui, je me glissais pour voir sa queue : elle était énorme ! je commençais par le branler. Il apprécia par un grognement. Je léchais ensuite cet immense pieu couvert de merde dont je me régalais. Fred me dit que je devrais la reconnaitre vu que c’était la sienne. Au fur et à mesure de mon léchage le pieu se dressait : il devait faire au moins 25 cm. Le mec qui enculait le noir jouit, la fille se barra et on se retrouva tous les deux. Je me mis immédiatement en 69 avec lui essayant d’engloutir sa biroute dans ma bouche. Sa queue puait très fort et cela m’excitait encore plus. Je sentais mon trou s’ouvrir sous l’effet de sa langue. Ce mec était un expert en léchage de rosette. J’essayais d’avaler toute la bite et j’eus un haut-le-cœur et vomis sur sa bite. J’étais gêné et me mis de côté, mais le noir rigola, prit du vomi dans sa main et commença à le manger ! Puis il me demanda de le sucer de nouveau. J’approchais avec appréhension ma bouche de sa bite pleine de vomi. L’odeur me fit revomir un peu mais j’assumais mon état de pédale crade et enfournai sa queue, prenant même plaisir à me vautrer dans mon dégueulis. Voyant que je n’étais pas dégouté, il appuya fortement ma tête pour que j’engloutisse son pieu et je dégobillais de nouveau. Il me prit par les épaules pour me faire allonger sur lui et me roula une pelle. J’avais tellement envie d’une bite dans le cul que je me commençais à m’empaler lentement à la stupéfaction de mon enculeur. Le jeune noir était aussi en 69 avec Fred qui me fit un grand sourire. J’avais déjà les deux-tiers de son énorme queue dans le cul mais ça bloquait. Je mis toute mon ardeur à descendre encore sur ce pieu. J’avais l’impression qu’on me déchirait les entrailles, mais putain que c’était bon. On resta un moment immobile à se regarder dans les yeux, puis avec un sourire il commença à me soulever un peu et me laisser retomber, puis il sortit toute sa queue et un flot de merde tomba sur son pubis. Il me demanda d’en prendre dans la main pour lui donner à bouffer. Avec un sourire pervers, je fis ce que je n’avais jamais encore osé faire : je me penchais sur son pubis, pris un maximum de merde dans ma bouche et allais lui cracher dans sa gueule. Il avala tout et me roula ensuite une longue pelle. Il me mit ensuite à quatre pattes, la tête au bord du lit et m’enfonça son pieu d’un coup dans mon trou béant et me besogna bien pendant 30 minutes. J’eus quelques crampes mais surtout de multiples micro-orgasmes du cul, d’autant plus que dans ma position, je pouvais sucer les bites ou les moules qui ne manquaient pas de se présenter devant ma bouche grande ouverte. Le black finit par me tapisser le rectum de son sperme en poussant un hurlement de jouissance, puis se retira de mon cul, me fit allonger sur le dos et me réintroduit sa queue pour me limer de nouveau. On se roulait des pelles avec nos haleines de chiottes publiques. Après un moment il me demanda si j’avalais la pisse et comme j’avais soif, ma réponse fut oui. Il décula et dirigea sa queue vers ma bouche. Il lâchait des petits jets que j’avalais goulûment. J’avais le cul en feu et voulais encore de la bite. Je m’assis au bord du lit, jambes relevées et trou béant bien en évidence, prêt à recevoir bites ou godes.

Je ne me rappelle plus le nombre de queues que je nettoyais, ni de celles que je pris dans le cul. J’étais dans un état second et beaucoup me chièrent dessus. Après deux heures de baise entrecoupées de pauses réparatrices, il ne restait plus qu’une trentaine de personnes. La chaleur et l’odeur dans la salle étaient indescriptibles. Nos corps, malgré de nombreux léchages, étaient toujours couverts de merde diluée à la pisse, sperme, sueur et cyprine. J’étais dans les bras de mon futur beau-père, et je lui disais combien j’étais heureux qu’on puisse vivre tous les quatre sous le même toit. Une femme âgée s’approcha de nous. Elle avait les seins tombants, les lèvres de son sexe étaient énormes et pendantes, presque comme deux couilles. A ce que j’en jugeais, elle n’était pas vraiment belle mais avait un merveilleux sourire. Elle me demanda :


-       Hé, le jeune, t’es bien Chris ?

-       Ouais, madame

-       Non, dans la rue tu peux m’appeler Madame, ici c’est plutôt grosse salope ! Mes petites-filles aimeraient baiser avec un thaï. Ce soir y a déjà un latino et un émo qui leur ont déjà bien labouré le cul. T’accepterais de venir nous rejoindre sur le lit où y’a Inge avec les jeunes ?

-       J’sais pas si je peux encore !

-       Voyons à ton âge, y’a pas de problème, puis on fera tout pour que tu bandes fort.

-       Allez, va t’amuser, me dit Fred. Profites-en.

-       Oui, Chris, viens, ça devrait t’plaire, ma petite fille a ses règles ! Sa mère et moi on a formé ces deux frangines au lesbianisme et au sexe entre jeunes. On adore la voir se faire prendre par tous les trous. Elle est devenue une vraie salope comme nous. Pis là c’est les vacances, on s’est pas lavées depuis un mois. T’as déjà baisé avec des grands-mères ?

-       Euh, non.

-       Tu devrais essayer. Elles savent y faire avec les p’tits jeunes comme toi. Bon moi j’aime que les moules pas fraiches et j’ai le cul et le sexe tellement défoncés que ta p’tite bite me f’rait aucun effet ! Les jeunes de ton âge, le seul plaisir qu’ils me donnent c’est quand ils me chient dessus.


Tout en parlant on se rapprochait du lit prudemment pour ne pas glisser sur la merde. On arriva devant le plus grand lit de la salle. Tous les participants étaient, comme moi, couverts de merde. D’un côté, Kévin à quatre pattes se faisait enculer par mon père et suçait son frangin. Zac, Nico et Kilian étaient à côté dans la même position et s’échangeaient les rôles dès qu’un fatiguait. Inge était en 69 au-dessus de Célia, pendant qu’une fille l’enculait avec un gode et à côté d’elles il y avait Sara, Liv, une autre fille et sans doute sa mère qui se gouinaient. La grand-mère fit les présentations :


-       C’est une de mes petites filles qu’encule Inge. Celle du dessous j’la connais pas mais c’est une vraie salope.

-       C’est ma copine Célia.

-       Ah bon ? T’as une copine ?

-       Ben ouais, elle est pas que gouine ! et j’suis pas qu’pédé !

-       Derrière y’a ma fille et mon autre petite fille avec Liv et une autre salope.

-       C’est ma copine Sara.

-       Tu t’emmerdes pas mon salaud. Tu les sautes toutes !

-       Ouais avec leurs mères aussi, mais toujours dans le cul sauf quand elles ont leurs règles ! On aime quand c’est crade.

-       Normal sinon tu s’rais pas ici.

-       Pis le latino qui s’fait sauter par l’émo, c’est mon copain Kilian. Y va devenir mon frère car nos pères vont s’marier.

-       Evidemment tu baises avec les deux.

-       Ben ouais, comme tu dis grosse salope, autrement j’s’rais pas ici !

-       Bon celle qui veut avoir ta bite c’est celle qu’encule Inge. J’vais la remplacer.


On monta sur le lit. Je m’allongeais profitant du spectacle des pédés et des gouines pour m’exciter. Elle alla vers sa petite-fille, lui enleva le gode-ceinture et me montra. La fille rampa vers moi et me roula une pelle et me rota à la gueule. Elle avait la bouche pleine de merde et m’en fila un peu. Je devenais vraiment accro, je l’avalais sans vomir !


-       Waouh, j’aime les mecs crades comme toi, puants, couverts de merde. Mmmh c’est bon. Ta queue sent fort et tu bandes bien raide. Avant qu’tu m’encules, faut me brouter la chatte. T’aimes les règles ?

-       Ouais. J’bouffe celle de ma copine.

-       Ben tu vas bouffer les miennes. Et tu me mets aussi tes doigts dans le cul. Pis t’as le droit de tordre mes tétons à mort.


Elle s’assit sur mon torse et je commençais à laper sa chatte. Son odeur était immonde, comme si quelqu’un lui avait vomi dans la chatte, mais putain que c’était bon. De temps en temps des petits bouts de merde ou de détritus s’échappaient de son vagin. Elle les récupérait et me tartinait le visage avec. Elle pissait aussi un liquide rougi par ses règles que j’avalais. Je trouvais son clito et le pinçait avec mes lèvres tout en fourrageant son anus avec ma main. Elle avait le cul éclaté et je rentrais facilement quatre doigts m’enduisant ensuite la queue avec sa merde. Avec mon autre main je faisais rouler le bout de ses seins et les tirais de temps en temps. Elle devait aussi être adepte des pompes à seins car ses tétons étaient longs. A force de travailler son clito elle eut plusieurs orgasmes et lâcha des flots d’urine et de cyprine. Soudain elle recula et se mit la bite dans le cul assez facilement. Je lui laissai imprimer son propre mouvement d’autant plus que sa sœur vint s’asseoir sur ma gueule. Elle me pétait dessus tout en roulant des pelles merdeuses à sa sœur. Elle eut un pet foireux et je reçus une merde molle mêlée à du sperme sur la gueule. Je la pris et lui tartinais ses fesses. Au-dessus de moi leur mère et leur grand-mère se gouinaient et pissaient sur nous. Sentant que j’allais jouir l’enculée accéléra son mouvement et j’envoyais ma sauce. Les deux frangines s’écroulèrent sur le côté. Ma queue était libérée et la mère et la grand-mère se précipitèrent dessus pour me la nettoyer. La grand-mère se mit en 69 sur moi et j’avais ses grosses escalopes devant les yeux ! Les deux frangines collèrent leurs têtes de chaque côté de la mienne.


-       T’es un bon coup pour un pédé, me dit celle que j’avais enculée.

-       Le latino aussi, dit l’autre. J’crois qu’y sont copains et qu’y baisent avec leurs pères.

-       Merci pour le bon coup les filles, mais comme j’ai dit à ta grosse salope de grand-mère, j’suis pas que pédé même si j’préfère quand même les culs de mecs.

-       Tu peux lui tirer sur les lèvres à cette vieille gouine. Elle adore ça.

-       Putain c’qu’elle pue la vieille !

-       Ouais j’crois qu’elle s’est pas lavée la fente et le cul depuis qu’elle a eu 10 ans. Remarque, nous non plus ! Si t’attends un peu elle va te péter à la gueule !

-       A la vôtre aussi.

-       Ça y est, elle pète, la grosse salope. Putain elle se vide par la chatte et le cul ! c’est super.


Effectivement on eut tous les trois la gueule arrosée de merde et de pisse. Ça me fit aussitôt rebander. Les frangines allèrent vers Célia et les gouines pour partager les déjections de leur mamie. Je me dégageais, laissant la mère et la grand-mère se gouiner sans doute une fois de plus et j’allais rejoindre le tas de pédés. Nico me dit qu’il aimerait bien un deuxième pourboire. Aussitôt je me mis à quatre pattes et lui dis que j’étais prêt à prendre son zob. Kilian sortit du cul de Zac pour me présenter sa bite que je suçais avec ferveur. En fait je suçais surtout la merde de Zac qu’il avait sur la bite. Les deux mirent longtemps à jouir. De temps en temps ils inversaient les rôles. Quand je les sentis prêts à jouir, je demandais à Nico de s’allonger sur le lit avec les jambes dans le vide et je m’assis sur sa bite. Kilian descendit du lit et introduit sa bite à côté de celle de Nico. Kilian pouvait me rouler des pelles pendant que Nico me pinçait les seins. Ils finirent par jouir presqu’ensemble. Une fois sortis de mon cul, Zac vint leur nettoyer la queue et mon cul, puis me roula une pelle. Bordel il puait vraiment très fort un mélange de pisse, de merde et de vomi. Je m’installais dans les bras de Kilian et on se raconta notre soirée, tout en s’étalant la merde qu’on trouvait sur le lit où on s’était installé. Comme moi il prenait de plus en plus gout à la merde.


-       Zac et moi, on a fait une gorge profonde à deux mecs. Leur queue était pleine de merde…

-       Evidemment, ici si t’es pas couvert de merde c’est qu’t’es un extra-terrestre !

-       Sûr, mon Chris, c’est pas ça qui m’a gêné mais quand le gland est arrivé à ma glotte j’ai vomi un peu.

-       Normal.

-       Ouais mais le mec s’est précipité pour me rouler une pelle et m’a dit que c’était bon le vomi d’ado.

-       Putain ! T’as aimé ?

-       Ben ouais, j’ai bien aimé. Zac lui a carrément dégueulé sur le mec qu’a fait pareil. Mais en plus le mec a pris le vomi dans ses mains et l’a écrasé sur la tête de Zac et la mienne !

-       Kilian, j’ai aussi dégueulé sur un mec et j’ai aussi aimé !

-       Faudra qu’on essaye ensemble alors. J’me d’mande si nos pédos de pères pratiquent ce genre de choses.

-       C’est sûr car Fred était à côté de moi et ça lui a visiblement fait plaisir la scène de la gerbe ! T’as fait quoi après ?

-       Ben j’ai continué ma pipe et le mec a juté direct dans l’estomac. Après j’me suis fait happé par une meuf qui voulait absolument qu’j’encule une de ses filles.

-       J’vois qui c’est. J’ai baisé sa sœur !

-       Ouais j’t’ai vu à la fin. C’a l’air d’être une famille vach’ment dépravée.

-       Pas plus que nous.

-       Si quand même, écoute, la mère et la grand-mère m’ont ensuite chié dessus et les deux frangines m’ont étalé partout leurs merdes. Pis les quatre nanas m’ont ensuite léché. Zac qui matait en se faisant enculer par deux mecs était tordu de rire. Pis après, j’me suis fait qu’des mecs. J’ai l’impression d’avoir des litres de foutre dans l’cul !

-       Pareil, putain qu’c’est bon !

-       Qu’est ce qu’est bon, les tapettes ? dirent Célia et Sara qui nous rejoignaient.

-       Ben tout ce qu’on a fait ce soir ! Ça vous a plu, la soirée ?

-       Géant ! jamais vu autant de gens crades. On a jamais eu autant d’orgasmes, hein Sara ?  

-       Ouais, ma belle, on a même découvert qu’le vomi c’est pas si dég !

-       Ah vous aussi ! Comment ça s’est passé ?

-       Ben on était avec Inge et trois autres, une jeune et deux vieilles. Inge a voulu qu’on lui chie direct dans la bouche. Elle était allongée et j’lui ai chié un petit étron. Elle s’est relevée en mâchant ma merde, elle nous a fait s’approcher d’elle, Célia et moi. Elle a ouvert sa gueule nous montrant qu’elle avait tout avalé puis s’est mis la main dans la bouche et nous a vomi dessus. Alors nous on s’est aussi mis à vomir. Bref on s’est toutes les 6 dégueulé dessus et au moment où je dégueulais sur la tête de Célia, on a joui toutes les deux.

-       Ouais, et Inge nous a dit qu’on était des vraies salopes maintenant et qu’on allait pouvoir bien s’amuser surtout si vous, vous étiez aussi pas dégoutés par la gerbe. Pis on a rencontré trois footeuses d’une équipe adverse. Elles nous ont proposé de faire une équipe qu’avec des gouines crades.

-       Hé Kilian, tu crois qu’on pourrait s’faire une équipe de basket qu’avec des pédales crades ?

-       J’sais pas, mais faut aussi qu’y baisent avec des pédos. Mais l’après match s’rait super dans les douches, surtout si nos pères nous rejoignaient !

-       Bon les mecs, vous seriez d’accord de s’faire une partie avec de la gerbe ? demanda Célia.

-       Pas de problème, les gouines, on s’est fait baptiser ce soir à la gerbe Kilian et moi !

-       Baptiser à quoi ? dit mon père qui arrivait suivi de Fred Eva et Tina.

-       Ben à la gerbe, mon papa adoré et d’après le sourire de Fred quand j’ai vomi sur le gros black, j’crois qu’on va pimenter encore plus nos séances de baise !

-       Putain Fred, dit mon père, on va pas s’ennuyer tous les quatre à la maison !

-       Et nous non plus, renchérit Eva.


L’orgie se finissait, il ne restait plus que la famille des gouines, des nordiques, Zac, Nico et nous 8. On se dirigea vers les douches pour enlever le plus gros des immondices qui couvraient ns corps. L’odeur elle était persistante. Avant de partir, Olaf et Inge nous félicitèrent Kilian, Sara, Célia et moi pour notre comportement très crade. Nos pères, mères et eux n’étaient pas certains que l’on apprécie la gerbe, mais la soirée les avait tous rassurés. La prochaine orgie de ce type aurait lieu dans 2 mois, mais rien ne nous empêchait de venir dans leur nouvelle maison. Olaf nous rappela que dans 8 jours il comptait sur nous quatre pour faire les chambres de son hôtel. Fred et Kilian couchèrent chez nous, et je crois que les gouines firent pareil. On devait s’habituer à vivre à 4 à la maison !


L’HISTOIRE DE CHRIS

Chapitre 13 - L’orgie (M+F+m+f+, bi, inceste mère fille, entre soeurs, anal, oral, masturbation, exhibitionnisme / voyeurisme, flatulence, uro, heavy scat)