Arrivé dans ma chambre j’envoyais des sms aux 3 autres pour leur demander ce qu’ils avaient fait et effectivement la même scène s’était reproduite chez eux. On s’envoya des selfies de nos corps tous merdeux. Kilian avait aussi reconnu les pdbro dans le film et les gouines avaient reconnu Liv et sa mère à cause des tatouages et des piercings. Tous étaient d’accord pour demander à Olaf si on pouvait tourner un film à condition qu’il ne finisse pas sur le net. On ne voulait pas que des personnes extérieures à ce cercle nous reconnaissent ! Kilian me dit qu’il devait bien se laver car il partait le lendemain pour 4 jours chez sa mère.
Le lundi matin, je me levais tard. Papa était déjà parti travailler. Après avoir déjeuné, j’enlevais la plus grosse partie de la merde séchée sur mon corps mais n’y arrivais que partiellement. Je m’habillais et allais ensuite faire quelques courses pour la semaine. Chaque fois que je rencontrais un mec ou une nana de mon âge, je regardais les seins, le cul, j’essayais de voir la forme du sexe, je me demandais si je pourrais le ou la niquer, si les tétons bandaient. Je respirais leurs odeurs pour deviner s’ils étaient aussi crades, bref, je devenais un véritable obsédé du sexe. Certains se détournaient de moi en plissant le nez car je puais quand même pas mal la sueur et la bite pas lavée. En rentrant je m’installais dans le jardin avec un bouquin, mais je n’arrêtais pas de penser à ce que m’avait dit mon père surtout concernant ma mère et leurs relatons spéciales. Egoïstement je me disais que j’avais raté quelque chose, mais j’étais très triste de ne pas l’avoir connue. En plus j’avais l’impression de ne connaitre que des familles dans le genre de la mienne. Bien sûr, j’avais (et Kilian aussi) d’autres copains et copines par le collège ou le basket, mais on se verrait moins d’ici la fin des vacances. J’étais aussi inquiet de rentrer dans un grand lycée. Puis les questions de mon père sur Fred et les gouines m’avaient paru bizarres. Je ne voulais pas téléphoner à Kilian qui était quelques jours chez sa mère et ne revenait qu’en fin de semaine. Mon téléphone sonna alors que j’étais presqu’au bord des larmes. C’était Célia.
- Salut Chris, ça va ?
- Pas trop non.
- Qu’est c’qu’y’a mon p’tit pédé ?
- Pas le moral.
- Tu veux qu’j’vienne ?
- J’sais pas… si viens ! faut qu’j’te raconte des trucs.
- Moi aussi, et c’est du lourd. J’arrive. Prépare-moi un thé s’il te plait !
Célia avait éveillé ma curiosité. De quoi voulait-elle donc me parler ? J‘allais donc préparer du thé. Quand elle arriva, elle me roula une bonne pelle avant de se déshabiller.
- Salut Célia. Mmm t’es comme moi, tu t’es pas vraiment lavée après ta séance d’hier. Tu schlingues bon, ma belle !
- Ouais, putain c’était génial avec ma mère hier soir ! Une bonne répétition avant samedi, mais toi aussi t’as joué avec ton père, non ?
- Sûr, y z’avaient un plan tous les quatre, je crois.
- Ouais, j’t’en parlerai après. Bon, Chris, dis-moi c’qui va pas.
- Ben avec papa on a parlé de ma mère hier soir après avoir baisé. Ça m’a foutu le bourdon. Papa m’a avoué qu’elle était aussi crade et qu’elle aimait bien les ados. J’me dis que j’aurais pu lui prouver mon amour autrement que par des bisous. Ça me rend vachement triste.
- Putain, j’comprends.
- Ça va passer, ce coup de blues, Célia. Ça m’fait ça à chaque fois que j’pense à elle, mais ça dure pas trop longtemps. Mais là ça m’a quand même foutu un coup de l’apprendre.
- Ben tu devrais être heureux que tes parents avaient les mêmes gouts, et en plus pas trop pervers. Regarde, la mère de Kilian et mon père se sont tiré parce qu’ils supportaient pas de vivre avec un pédé ou une gouine crade. Sara parle jamais d’son père, mais j’crois qu’c’est plutôt grave.
- Mouais, vu sous cet angle… mais quand même ma mère me manque…
- Moi aussi mon père me manque mais y s’intéresse pas à nous. Jamais de nouvelles. On sait pas c’qu’il est devenu depuis des années. Comme toi avec ton père, on s’est construites seules avec ma mère, et ma foi on s’en sort pas trop mal.
Cette conversation me faisait du bien. Je reprenais un peu le moral. On buvait notre thé sur la terrasse, assis l’un contre l’autre, en se pelotant un peu, beaucoup, passionnément, profitant de nos odeurs d’ados plus que négligés, en léchant les quelques traces de merde qu’on avait encore sur le corps. Je poussais un soupir.
- Des fois c’est quand même dur la vie.
- Ouais, parait que c’est l’adolescence. On sait pas trop où on va… Pis là, c’est pas la vie qu’est dure, c’est ton vit qu’est tout raide !
- Ben t’arrêtes pas de m’le branler, aussi ! Pis toi, j’sens bien que tu moulles un max, ton sexe bave et t’as le clito tout dur aussi. J’te parle pas d’tes tétons, y sont durs comme ma bite !
- Ouais j’ai encore envie malgré le monstrueux week-end ! Merde pendant ces vacances, j’peux pas m’passer d’sexe. Comment on va faire au lycée ?
- On s’branlera, pis t’as tes jouets, non ?
- Mmm, c’est pas trop discret, surtout que quand je jouis, j’suis pas trop silencieuse ! En plus j’suis pas avare de cyprine !
- Ouais, on est bizarres quand même, incestueux, aimant les vieux, les truc dég, la merde la pisse…
- Mais non, Chris, on aime baiser, c’est tout, pis on est conscients de c’qu’on fait. Dis j’ai mes règles et j’aimerai bien que tu m’baises la chatte pour voir comment ça fait.
- Putain Célia, t’es qu’une truie, mais comme j’suis un porc, on s’entend bien ! Attends j’m’allonge dans l’herbe et si t’es prête, viens t’embrocher, salope !
Au fur et à mesure de mes coups de boutoir, le sang et des résidus s’échappaient de son con et venaient nous inonder nos pubis et les fesses. Notre excitation était telle, qu’on ne fut pas long à jouir tous les deux, Célia éjaculant d’énormes giclées de cyprine. Quand je me retirais, j’avais aussi la queue couverte de sang brun et de résidus. On se mit en 69 et Célia engouffra ma queue ramollie pour la nettoyer, pendant que je lui léchais la chatte sanguinolente. On se roula ensuite de nombreuses pelles, partageant le résidu de ses règles. Remis de notre excitation, on continua la discussion.
- C’était comment alors, Célia ?
- Ben super, t’as réussi à me faire jouir. T’étais couvert de cyprine !
- Ouais, pas que, y’avait aussi du sang tout poisseux. Ça fait tout drôle, mais t’arrêtais pas non plus de t’branler le clito !
- Non, mon pédé, tu m’as fait jouir vraiment de partout.
- C’est pas mauvais le gout d’tes ragnagnas. Tu t’mets jamais de tampon ?
- Non, j’aime bien ruiner mes shorts ou mes jupes. Maman m’dit que c’est écologique et qu’on a pas à en avoir honte. Avec Sara et nos mères, on aime bien quand on a nos règles, ça rajoute du piment. Au début c’était un peu dur de lécher puis d’avaler un peu, mais c’est comme avec la merde, on s’habitue et on finit par aimer.
- J’espère que j’t’ai pas mise enceinte !
- J’prends la pilule ducon.
- Dis donc c’est quoi le lourd qu’tu voulais m’dire ?
- Ah, ouais. Tiens-toi bien, Tina et ma mère vont s’pacser et on va aller habiter chez elle !
- Putain ça c’est un scoop !
- Ouais, elle avait bu un peu et m’a avoué leur amour. En plus elles nous auront toutes les deux, Sara et moi, toujours à la maison. Elles espèrent aussi qu’on leur ramènera des jeunes et moi qu’elles ramèneront des gouines bien crades. Elle m‘a dit de fermer ma gueule pour l’instant mais j’ai pas de secrets pour toi, la tantouze !
- J’crois qu’je commence à comprendre pourquoi papa me demandait hier soir si j’aimais bien Kilian et Fred. J’suis sûr que ces deux vont aussi s’pacser. Ce s’rait génial !
- Ben ça m’étonnerait pas ! Ils ont passé le week-end tous les quatre ensemble et y z’ont dû discuter de ça.
- J’vais cuisiner mon père ce soir.
- Ouais. J’vais rentrer maintenant.
- Merci d’être venue, tu m’as remonté le moral.
- J’t’ai remonté la queue aussi !
- Ah ah ah…
- Salut Chris, j’me rhabille et j’y vais.
- Tu veux pas t’rincer ?
- Chris, on a décidé d’être crade pour samedi, et pis on a pas fait dans le scat. Et en plus on s’est bien nettoyé, non ?
- T’as raison. Ciao Célia, à bientôt.
- Tu m’tiens au courant pour les pédos gay !
- T’oublies qu’y baisent aussi avec ta mère, toi, Inge, Liv, Sara Tina et les aut’ qu’on connait pas !
Célia partie, je tondis la pelouse, coupais quelques branches sèches et allais me reposer en reprenant mon bouquin. En fin d’après-midi, mon père m’appela pour me dire qu’il rentrerait dans une heure et que je pouvais préparer à manger. Quand il arriva, il m’embrassa comme d’habitude.
- Tu pues bizarre, mec, et t’as des tâches de sang. Merde tu t’es blessé au jardin ? Faut pas tailler à poil, Chris, c’est dangereux.
- Nan, nan, papa, t’inquiètes pas. Célia est venue et on a baisé alors qu’elle avait ses règles !
- Ben j’préfère. J’aimerai pas qu’t’abimes ton joli corps de pédale. T’as aimé ?
- C’était super.
- Vous êtes vraiment de plus en plus crade !
- Tu l’as jamais fait ?
- Tu crois quoi, p’tite bite ? A mon âge j’ai quand même fait plus de saloperies que toi !
- J’te crois papa, moi j’commence.
- Ouais et tu promets, toi et tes potes !
- Le diner est prêt. Tu veux un peu d’vin ?
- Ouais, ça me détendra.
- Pourquoi, t’es tendu ?
- Un peu, pis quand j’te vois, j’suis toujours tendu de la queue, Chris, tellement t’es beau !
- Waouh, un vrai compliment. Ça m’change des pédales, tarlouzes, garage à bite, p’tit pute, que tu m’balances !
- Chris, j’t’ai déjà dit que quand on est entre nous, tu d’vais pas le prendre comme une insulte et c’est toi qui m’as dit qu’ça t’gênait pas et qu’t’aimais. Pis y’a quoi de faux ?
- Ouais c’est vrai, mais j’suis pas une pute, j’demande pas d’argent pour sucer ou m’faire enculer ! Et j’apprécie, hein le pédo-scato, enculeur d’ados !
- Chris !
- C’est de l’humour papa !
Le repas se passa en discutant de choses et d’autres. Je lui dis que je n’avais pas eu le moral mais que Célia avait arrangé les choses, notre baise n’y étant pas pour rien. J’attaquais cash le sujet qui me tenait à cœur.
- Dis papa, tu l’aimes Fred ?
- Ben ouais.
- Ben pourquoi vous habitez pas ensemble ?
- Mmmm, t’as quoi en tête ?
- Ben, si vous habitiez ensemble, ça ferait des économies. La maison est assez grande pour nous quatre. On a besoin que de deux chambres, ça serait sympa pour les devoirs d’école avec Kilian, …
- Tu sais ça s’rait pas si facile. Deux gays avec deux ados, les rumeurs ….
- Mais on s’en fout. J’crois qu’on serait heureux tous les quatre, non ?
- Surement.
- Ben alors pourquoi on vit pas tous ensemble, comme Célia et … et merde.
Je m’étais trahi, une fois de plus emporté par mon élan. Papa me regardait avec un grand sourire.
- Bon j’t’arrête, Chris. Tu sais vraiment pas tenir un secret, et Célia non plus j’suppose. Eva m’a téléphoné pour me dire qu’elle avait craqué et qu’elle avait dit à Célia qu’elles allaient habiter avec Tina et Sara. Et Célia sait pas tenir sa langue, hein ?
- Ouais, désolé.
- Chris, sois pas désolé…. On va faire la même chose avec Fred.
- Y vont v’nir ici ?
- Oui, mais on savait pas trop comment vous le dire et quelles seraient vos réactions. Quand j’vois la tienne, j’ai pas de souci ! Le problème c’est que Kilian est chez sa mère pour quelques jours et que Fred aimerait que ce soit lui qui lui dise. Au départ on devait vous l’annoncer à tous les deux
- J’comprends. J’vais fermer ma gueule.
- Jusqu’à jeudi. OK ?
- Ouais. Quand est-ce qu’y vont v’nir chez nous ?
- On veut avant la rentrée scolaire, mais Kilian peut venir, s’il le veut, tout de suite chez nous. Ça changera pas grand-chose vu que vous êtes toujours fourrés ensemble, et quand je dis fourré…
- Bordel, c’est super.
- On ira se pacser ensemble avec les gouines dans 15 jours. On fera une petite fête chez Tina. Fred va vendre sa maison.
- Putain papa, c’que ça m’fait plaisir !
- J’vois ça, t’as la queue qui suinte.
- Pas qu’la bite, papa, c’est comme si j’avais de la cyprine qui m’sortait du cul. Il est tout lubrifié. Viens m’montrer qu’t’es un bon pédo incestueux.
- Attends un peu va chercher tes jouets.
J’allais chercher mes cadeaux d’anniversaire. Papa me fixa des électrodes aux tétons, sur mes couilles et ma bite et commença à jouer avec la télécommande. J’avais des ondes de douleur puis de plaisir de plus en plus intense pendant que je lui suçais la bite qui avait encore le gout de ma merde de la veille. Puis il me prit dans ses bras me souleva et me pénétra d’un coup. Il me colla contre un mur et on s’embrassait sauvagement. Nos langues fouillaient nos bouches, mélangeant nos salives. C’était si fort que j’éjaculais sur son torse et il reçut même des giclées sur la gueule. Il continuait de me besogner tandis que je débandais. Je me mis à pisser et l’urine coulait sur nos sexes et nos jambes. Il m’envoya ses giclées de sperme dans le côlon en poussant des cris de jouissance et en me disant combien il aimait enculer sa pute thaïe.
- Putain, Chris, ça va faire plus d’un an qu’on baise ensemble, mais c’est de mieux en mieux, fiston.
- C’est qu’tu sais y faire, papa, tu baises bien. T’as dû en satisfaire des garçons !
- Pas mal ouais, mais toi, je t’aime plus que tout au monde ! Y’a pas que le cul dans la vie.
- Ouais y’a aussi la bite ! surtout la tienne. Elle me rend fou. J’f’rai n’importe quoi pour l’avoir dans le cul !
- Merci Chris, mais avec toi c’est toujours bon. Et me prends pas pour un surhomme, j’ai plus 14 ans moi ! Et j’aime aussi avoir ton zob dans le cul. Avoir des queues d’ados dans mon cul est aussi un plaisir. Lécher vos culs dég, vos aisselles puantes, bouffer votre bon fromage de bite, sniffer vos chaussettes crades, vos chaussures qui refoulent, boire votre pisse, jouer avec vot’ merde, se vautrer avec vous, c’est que du plaisir ! Vous avez la peau si douce qu’il faut en profiter avant que vous soyez trop vieux.
- Mais tu baises aussi avec des vieux … comme Fred.
- Le plaisir est différent, tu verras, toi aussi tu chercheras des p’tits jeunes consentants pour assouvir tes désirs quand tu s’ras plus grand.
On se dirigea à l’intérieur de la maison, et on regarda distraitement un film de SF dans les bras l’un de l’autre. Je n’arrêtai pas d’imaginer quelle serait la vie avec Fred et Kilian et me dis une fois de plus que j’avais énormément de chance de vivre comme on vivait, sans vraiment de contraintes.
Le lendemain matin, mon père vint dans ma chambre me dire au revoir et bonne journée. En fait il venait surtout pour se repaitre de mon haleine de fauve du matin, ça le boostait pour la journée ! Après quelques pelles, il me dit de me reposer. Je regardais dans mon lit quelques vidéos crades, un plug dans le cul et je lisais aussi quelques histoires bien dég de scat et de pédo. Je me branlais, tachais bien mes draps et laissais sécher mon sperme sur mon ventre avant d’aller prendre un p’tit déj. Célia m’appela pour prendre de mes nouvelles et je lui annonçais qu’effectivement mon père et Fred se pacserait le même jour que sa mère et Tina, que Fred et Kilian alliaient emménager chez nous avant la rentrée scolaire, mais qu’il ne fallait surtout pas le dire à Kilian. Elle me demanda si je pouvais venir les aider à faire des cartons pour le déménagement et nettoyer l’appart. Je prévenais mon père de cette situation et il me donna son accord. Je passais vite un short et un t-shirt et rejoignit les gouines. Je montais dans l’appartement d’Eva et vis que Sara était aussi là. Tina travaillait et ne pouvait pas aider. Eva m’expliqua que l’appart devait être vide d’ici la fin de la semaine. Elle ferait des allers-retours avec quelques cartons en fin de journée si on allait vite. Le vendredi, des déménageurs viendraient avec un camion pour les grosses choses, genre lit, meuble, table. Elle proposa de le faire pièce par pièce et on s’attela à la tâche. Eva me demanda de démonter les lits pendant que Célia et Sara s’occupaient de vider la cuisine et de mettre en cartons tout ce qui était vaisselle, poêles, couverts…. En fin de journée, elles avaient déjà fait pas mal de cartons et Eva était partie en transporter chez Tina. Nos odeurs de sueur me faisaient bander et les gouines se foutaient de moi mais je voyais bien aussi qu’elles louchaient sur mon zob. Sara craqua et me dit qu’elle voulait l’avoir dans le cul. J’étais bien évidemment partant mais à condition que Célia m’encule avec son gode-ceinture en même temps. Eva rentra au moment où avait joui tous les trois. Elle rigola ben de voir sa fille me trouer la rondelle et se précipita sur le cul de Sara pour récupérer mon sperme qu’elle partagea avec mes deux copines gouines. Je laissais les 3 filles qui étaient sans doute parties pour une bonne séance de baise. Avant de partir je leur dis que je reviendrai le lendemain en fin de matinée pour les aider de nouveau et je rentrais bien crevé à la maison. Mon père était déjà arrivé et se reposait sur la terrasse.
- Désolé, pap, mais vider un appart c’est long et c’est pas fini. J’crois qu’on en a jusqu’à vendredi.
- Pas grave Chris, la nourriture devrait bientôt arriver. C’est gentil de les aider. Faudra faire la même chose la semaine prochaine chez Fred. On s’fait livrer à bouffer ce soir. Pas trop crevé ?
- Plutôt oui, surtout qu’à la fin on s’est fait une petite gâterie avec les gouines.
- Quel genre ?
- J’ai enculé Sara pendant que Célia me trouait le cul.
- T’étais en sandwich, quoi.
- Ouais.
- Fred a commencé à entasser les affaires de Kilian et va les apporter en fin de semaine. On déménagera après l’essentiel pour que Fred puisse venir chez nous. Faudra que tu donnes un coup de main.
- Pas de problème, j’ai l’habitude de donner des coups de main … et de queue !
- Très drôle. On sonne, va chercher les pizzas, s’il te plait.
- Mais j’suis à poil !
- Pas gave c’est un livreur d’Olaf. Y connait le style de la maison !
- Ah bon.
J’allais à la porte et tombais sur le fameux Nico !
- Salut mec, j’apporte la bouffe.
- Salut, merci.
- C’est mieux que la première fois qu’j’suis v’nu. T’avais l’air complétement paniqué, enfin quand j’dis paniqué, t’avais quand même du sperme qui coulait d’ton cul !
- Ouais, désolé. J’dois combien ?
- Rien, c’est payé par Eva pour services rendus.
- Ah bon, super ! Attends, tu veux un pourboire ?
- Non, j’le prendrais ce week-end ! J’viendrai avec mon p’tit frère, tu verras il es bien crade comme vous. Allez, à samedi !
Je revins sur la terrasse avec la bouffe.
- T’étais au courant que c’était Eva qui avait payé la bouffe ?
- Ouais, c’est pour te remercier.
- C’était le même livreur qu’la dernière fois et qu’on a r’vu chez Olaf.
- Ouais Nico.
- Tu l’connais.
- J’la rencontré quand il avait 13 ans. Y doit en avoir 18 maintenant. Il est étudiant et fait le livreur pour avoir un peu d’argent. Son frère a un super look, y devrait vous plaire….et c’est un super coup.
- Tu l’as déjà baisé ?
- Evidemment !
- Dis donc, t’est un vrai queutard pervers toi. Et mes copains d’école ou de basket, t’as envie d’les niquer aussi ?
- Certains, ouais. Mais tu sais, Chris, y’a quand même des trucs qui doivent rester des fantasmes.
Les jours suivants furent consacrés vider l’appart d’Eva. J’attendais avec impatience le retour de Kilian. Le vendredi matin, vers 8 heures, mon téléphone sonna alors que je dormais encore. C’était Kilian qui me demanda s’il pouvait venir tout de suite chez moi, excité qu’il était d’avoir appris que désormais nous vivrions ensemble. En fait il voulait juste me réveiller car il était déjà devant la maison. J’allais lui ouvrir et il se jeta dans mes bras.
- Chris, Chris, putain qu’j’suis content pour nos pères … et pour nous !
- Ouais Kilian, dis-je d’une voix encore endormie, c’est super.
- Plus besoin de s’branler le matin. On pourra se sucer ou s’enculer tranquille ! donne-moi ta bouche que j’te roule une pelle. Putain j’adore ton haleine du matin et merde, qu’est ce que tu pues le fauve !
- Ben j’me lave plus depuis 1 semaine et je bosse pour déménager l’appart d’Eva.
- Le bol ! Ma mère s’est trouvé un nouveau mec, beauf homophobe, anti jeune. J’ai eu quatre jours d’enfer, tu t’rends pas compte. Y voulait qu’j’me douche 2 fois par jour ! Et j’en ai marre de la branlette. T’as envie ?
- Mais Kilian, avec toi j’ai toujours envie. Prépare-moi le cul que j’soulage ta grosse queue.
Kilian se mit à poil et commença à m’agrandir mon trou graisseux plus torché depuis des jours. Toujours allongé dans mon lit, je relevais les jambes et ce ne fut pas long avant que je sente son gland sur mon trou. Il devait vraiment en avoir envie car je ne l’avais jamais vu éjaculer aussi vite.
- Bordel que ça fait du bien, Chris.
- Putain t’es Joe l’éclair ce matin ! T’avais grave besoin de te vider les couilles.
- Normal, pap était crevé hier et je m’suis retenu de m’branler c’matin pour me précipiter chez toi. Pis après quatre jours retrouver tes bonnes odeurs, tes draps dég, pis toi qui pue comme un chacal. Et y’a pas qu’l’odeur, t’as encore des traces de merde sur ton corps… et du sperme séché. Je t’aime comme ça, Chris, quand t’es un vrai porc.
- Moi aussi j’t’aime ma p’tite pédale latino, surtout quand t’as du bon fromage. Tes pets m’ont manqué !
- Désolé le fromage est parti dans ton cul. Merde faut qu’j’pisse.
- Te gêne pas, j’ai pas encore pris mon p’tit déj. Tu vas remplacer mon jus d’orange ! Pis en plus y’a un peu à bouffer sur ta queue. J’dois pas être vide !
Il coinça mes épaules entre ses genoux et j’avais sa bite juste devant la bouche. J’avalais donc sa pisse avec plaisir, tout en me branlant. Voyant cela, il se tourna et engouffra ma queue dans sa bouche projetant de la pisse partout avec sa pine. Il m’avait chauffé grave et je lui donnais rapidement l’apéritif de son petit déjeuner dans la bouche. Il se retourna et vint partager mon sperme en me le crachant dans la gueule, puis il récupéra le sien qui sortait de mon cul pour le mélanger en me roulant des palots. On alla ensuite prendre le p’tit déj en se racontant notre semaine. Ma baise avec Célia qui avait ses règles l’intéressa beaucoup et il voulait absolument faire la même expérience. De son côté, sa mère avait voulu le voir mais finalement elle lui avait uniquement dit qu’il était un pouilleux, un crasseux, une merde, un dépravé, qu’elle était sure qu’il était pédé à l’image de son père qu’était sûrement un pédo. Kilian avait essayé de dire qu’il était heureux comme ça, que ses résultats scolaires étaient super bons, mais rien n’y avait fait. Bref, ça s’était mal passé et il pleura dans mes bras. La veille au soir, il avait tout raconté à Fred qui avait aussitôt téléphoné à son ex-femme pour lui dire que ce n’était plus la peine d’inviter Kilian si ça se passait comme ça. Puis il me regarda et sourit.
- J’sais bien que Paul peut pas être une mère pour moi, mais au moins j’aurais deux adultes à qui me confier et que j’aime. Et en plus on s’ra officiellement frères.
- Ouais on s’ra pas que des frères de cul maintenant ! On s’ra une vraie famille.
Et on recommença à s’embrasser et à se peloter. Au bout d’un moment on se rhabilla et on alla chez Eva finir de vider l’appart. Les déménageurs étaient là et transportaient les lits, tables, meubles, appareils électro-ménagers. Ils n’avaient pas l’air trop gênés par nos odeurs, mais eux aussi puaient pas mal la sueur et de temps en temps ils lâchaient aussi des pets. Sara et Célia étaient heureuses de revoir Kilian et lui roulèrent chacune une bonne pelle baveuse en mettant leur main dans son short puis en la reniflant devant le regard amusé des déménageurs.
- Ben toi t’as enculé Chris, mon salaud. Ta queue sent bon le cul. J’suppose que Chris a encore du sperme dans le cul
- Non on s’l’est bouffé.
- Bon, c’est pas tout ça. Aujourd’hui c’est nettoyage final de l’appart à défaut de celui de vos queues !
- On commence par quoi ?
- Ben le plus facile, par les chambres. Dès que les déménageurs ont fini de vider une pièce, on y va. On finira par la cuisine et la salle de bains, ce sera le plus dur à faire et on compte sur vos biscotos pour frotter fort !
A la fin de l’après-midi l’appart était nickel. On était heureux du résultat. Eva et Tina nous félicitèrent de notre travail et nous invitèrent tous au restau avec nos pères.
- Ben c’est gentil mais on est tous crades. On pue, nos fringues sont dég. On peut pas y aller comme ça.
- Ce serait bien le première fois qu’ça vous gêne d’être crade !
- Ouais mais bon là on va voir du monde. Regardez, Sara a mis un short blanc qu’est plus vraiment blanc ni derrière ni devant. Kilian et moi on des shorts crasseux et troués, tous nos t-shirts puent ...
- Vous inquiétez pas, là où on va ça ira, on mangera sur la terrasse et ce s’ra vite fait. Pis c’est pas un restau classe, vous verrez.
On avait trop faim pour résister longtemps. Fred et mon père vinrent nous chercher et on partit à deux voitures, mecs et nanas séparés. Le restau, spécialisé dans la cuisine mexicaine, était situé à l’entrée de la ville. Il y avait quelques camions et voitures garés devant. On s’installa sur la terrasse. Quelques clients étaient attablés, certains seuls, d’autres en famille. La patronne vint vers pour prendre la commande et ne sembla incommodée ni par nos fortes odeurs, ni par nos tenues cradingues. On se gava de bonne bouffe mexicaine à base de haricots rouges, de chou, d’œufs, de chili, d’oignon, d’ail… bref le lendemain on allait tous péter grave au club ! En sortant du restau, on remercia Eva qui nous avait invités et on rentra sagement. Kilian ne voulait pas encore venir ce soir, voulant rester avec son père qu’il n’avait pas vu de la semaine. Arrivés à la maison, papa me demanda si j’étais prêt pour demain.
- Ben avec c’qu’on a bouffé, ça va être terrible demain. En plus j’ai pas chié d’puis 2 jours !
- Et en plus t’as jamais pué autant Chris, y’en a qui vont être contents demain.
- Ouais j’me réjouis aussi de trouver d’aut’ mecs de mon âge. Y’aura des vieux aussi ?
- Des vieux comment ?
- Ben des plus vieux que toi qu’y baisent encore.
- Ben oui, tu sais y’a les petites pilules bleues…
- T’as déjà baisé avec des grands-pères ?
- Euh, quand j’avais ton âge, ouais.
- Et ça t’a plu ?
- Pas forcément, mais quand y z’ont un p’tit jeune, y sont vachement doux. Ils caressent beaucoup. Quand tu veux te reposer lors d’une soirée orgie, ça fait du bien et tu leur fais du bien aussi ! Y z’aiment bien voir des jeunes s’enculer même s’ils ne participent pas. C’est souvent eux qui aiment qu’on leur chie dessus.
- J’vois.
- Bon j’te rappelle que la semaine prochaine faudra aider Kilian et Fred à venir s’installer chez nous et qu’après t’as 15 jours de travail à l’hôtel d’Olaf. Tu verras qu’t’auras pas beaucoup l’occasion de niquer car vous serez crevés Kilian et toi. Alors demain profite !
- Et toi ?
- Ben demain j’vais bien profiter aussi. On verra bien qui il y aura. Allez bonne nuit, et te branle pas, t’auras besoin de toutes tes forces demain.
J’allais me coucher, déjà un peu ballonné par la nourriture mexicaine, rêvant déjà de l’orgie du lendemain et surtout de notre vie à 4 qui allait bientôt commencer. Je me réveillais le lendemain matin tard, il devait être pas loin de midi. J’allais dire bonjour à mon père. Je savais qu’il appréciait notre pelle matinale. On avait l’haleine chargée malgré le brossage des dents ! La nourriture mexicaine commençait à faire effet et je pétais. L’odeur était super bonne selon mes critères et ceux de mon père qui respirait à plein poumons ma flatulence matinale.
- Gardes-en pour ce soir, Chris
- J’fais ce que j’peux papa.
- Tu veux qu’on aille chercher Kilian et ses affaires ?
- J’veux bien. J’me réjouis de pouvoir m’pieuter tous les jours avec lui !
- Ouais, ouais, mais comme j’t’ai dit, j’aimerais, et Fred également, que Kilian ait aussi un coin à lui.
- Mais papa, j’ai une chambre hyper grande. Y’a d’la place pour nos deux bureaux et nos ordis. On a pratiquement pas d’fringues. Ma salle de bains peut servir aux deux, les toilettes aussi. C’est pas les odeurs de nos sacs de sports et de pieds pourris qui vont nous gêner !
- D’accord pour que vous soyez ensemble, mais j’suis sûr que de temps en temps, y voudra dormir seul ou avec quelqu’un d’autre … et toi aussi.
- Mais Fred et toi vous serez toujours dans le même lit.
- Sans doute mais on tient tous les deux à avoir aussi une part d’intimité de temps en temps. Donc on va aussi installer les deux chambres du haut.
- OK, mais j’suis sûr qu’y voudra rester avec moi.
- On verra ça avec le temps…
On s’habilla et on fit quelques allers-retours avec la maison de Fred pour amener les affaires de Kilian. En milieu d’après-midi, ce fut fini et on commença à ranger ma chambre de façon à ce qu’on puisse travailler et jouer sans problèmes. On était aussi heureux et on n’arrêtait pas de s’embrasser, de se caresser tout en essayant de ranger. Nos pères partageaient le même bonheur. Ils n’auraient plus besoin de cacher leur homosexualité même si leurs collègues n’avaient que peu de doute sur leur relation ! La fin d’après-midi approchait et on allait aller au club….