Je me prénomme Amandine, j’ai 24 ans, je porte de longs cheveux blonds et on me dit que je suis très jolie.


Je vis une somptueuse histoire d’amour avec une personne absolument formidable, que je trouve magnifique humainement et physiquement. Je suis éperdument amoureuse. J’aime passer du temps avec ma moitié, nous pratiquons toutes sortes d’activités. Notre entente sexuelle est également parfaite.


C’est une grande chance que nous soyons ensemble, car nos envies et nos plaisirs sexuels sont très particuliers. Mais nous partageons tellement nos goûts décalés en matière de sexe, que nous vivons une véritable idylle.


Cette personne si formidable est une merveilleuse jeune femme ! Clémentine, une magnifique blondinette de 20 ans.


Je ne suis pas particulièrement lesbienne, Clémentine non plus d’ailleurs. Nous sommes simplement très amoureuses l’une de l’autre, parce que nous nous apprécions en tant que personne, peu importe notre genre. Nous sommes en fait bisexuelles.


Si notre relation amoureuse nous donne un plaisir incroyable et si nous passons des moments particulièrement délicieux à faire l’amour ensemble, nous ne serions pas totalement épanouies sans rapport hétérosexuel. Nous sommes de vraies bisexuelles et à ce titre, nous avons besoin de coucher avec des hommes.


Grâce à un patrimoine très confortable dont nous avons hérité, nous pouvons nous permettre le luxe de vivre sans travailler et en prime d’entretenir un harem d’hommes qui sont là pour satisfaire nos besoins sexuels inassouvis par nos relations homosexuelles, sans que nous n’éprouvions de sentiment d’amour à leur égard.


Nous avons constitué ce pool de mâles au fil du temps, des rencontres et des opportunités. Aujourd’hui nous avons à notre disposition six hommes qui nous sont totalement dévoués pendant leurs heures de service. Nous les avons sélectionnés autant pour leur physique agréable, leurs capacités sexuelles à nous satisfaire, que par le fait qu’ils savent rester à leur place ; ils sont là pour notre plaisir, ni plus, ni moins. Ils n’interviennent pas toujours simultanément, mais nous faisons en sorte de les avoir tous ensemble de temps en temps.


Notre grand appétit, tant homosexuel qu’hétérosexuel, est largement attisé par les relations sales. Clémentine et moi adorons nous vautrer dans les diverses substances que le corps humain est capable d’exsuder. Tout y passe : la sueur, la cyprine, la salive, l’urine, les fèces, le sperme, le vomi, les règles, … Lorsque l’excitation nous envahit, nous ne connaissons pas de limite en matière de saleté. Nous prenons notre pied à nous renifler, nous barbouiller, lécher, mâcher, avaler tous ces fluides, qui paraissent si ignobles à la plupart des gens.


Nous en profitons entre nous, mais également avec les hommes que nous convions. Nous leur demandons très souvent de se négliger pendant plusieurs jours, avant de venir nous donner du plaisir.


Même si nos pratiques sales sont totalement hors norme, notre vice ne s’arrête pas là. Clémentine et moi sommes des perverses incestueuses : nous sommes sœurs !


En plus de coucher entre nous, nous convions parfois Paul, notre frère, qui adore baiser avec ses deux sœurs et participer aux partouzes sales que nous affectionnons tant. Le tabou de l’inceste ajoute à notre excitation !


Nous adorons commencer à nous échauffer toutes les deux. Nous débutons souvent nos ébats par une séance de roulage de pelles bien baveuses. Clémentine et moi mêlons nos salives en frottant nos langues l’une contre l’autre. J’ai fait percer la mienne d’un clou métallique que Clémentine adore. Elle le lape, l’aspire pour m’obliger à étirer ma langue au maximum, ce qui me fait baver énormément ! Sa langue à elle est encore intacte, mais je pense qu’elle va également la customiser prochainement.


Nous adorons le mélange de nos fluides, lorsque nos langues se massent, que nos dents d’entrechoquent. Nous nous happons mutuellement. Bientôt, nos bouches embrassent nos visages, tissant de grands fils de bave entre nos mentons. L’excitation pointe, nos tétons dardent. L’odeur de nos salives, accrue par le manque d’hygiène buccale, nous fait mouiller.


Nos mains commencent à parcourir nos corps, à travers nos vêtements, si nous en portons ce jour-là !


Petit à petit les baisers baveux s’espacent, nous nous regardons dans les yeux, amoureusement, puis l’une d’entre nous crache à la face de l’autre ! S’ensuit une sorte de concours de mollards. Nous visons nos bouches et nos visages. Des caresses étalent la bave, nous sommes rapidement enduites, nos cheveux poissent. Que c’est excitant !


Ce comportement nous émoustille. Nos bouches tètent alors nos seins fermes, aux tétons durs. Parfois nous commençons au travers de l’étoffe de nos vêtements, sous lesquels nos seins sont généralement libres. Puis, le tissu saute, nos lèvres entrant directement en contact avec notre peau.


Une fois nos poitrines suffisamment électrisées, nos bouches approchent de nos entrejambes, souvent recouverte d’une petite culotte à la propreté plus que douteuse !


A peine notre visage a-t-il atteint le bas-ventre de notre belle, qu’une odeur saisit nos narines. Nos chattes sentent presque toujours l’urine, souvent rance ! L’odeur traverse aisément le fin tissu de la culotte, généralement imprégnée de résidus sales.


Lasses de lécher le sous-vêtement, nous l’écartons pour farfouiller avec notre langue directement sur le pubis à la toison entretenue, lapant les gouttelettes de transpiration qui le parsèment.


Puis, trop excitée, l’une d’entre nous plonge sa langue dans la vulve de l’autre. Imitée presque immédiatement par sa compagne. Quel délice ! Immerger sa langue gourmande dans l’antre humide et brûlante de désir de son amour, goûter à l’urine qui stagne là depuis des heures – parfois des jours. Le goût salé et ammoniaqué nous approche de l’orgasme.


Le plaisir est encore décuplé lorsque l’une d’entre nous a ses règles ce jour-là ! Quel bonheur de goûter aux délices sanguinolents qui irriguent le sexe de son amoureuse ! Nous savourons ces présents comme de fins mets. Partageuse, celle qui lèche les fluides rouges en fait rapidement profiter sa compagne en l’embrassant fiévreusement. L’autre goûtant alors ses propres saletés avec délice ! Nous passons du temps à badigeonner nos corps, parfois encore couverts de quelques vêtements, de ces liquides dégoûtants que nous adorons ! Quelle joie de branler la chatte gorgée de résidus sanglants de son amoureuse, de goûter ses jus et de les lui faire partager !


Règles ou pas, l’une d’entre nous lâche ensuite un jet d’urine brûlante à la face de l’autre, qui, bien que surprise, tente d’en capter un maximum dans sa bouche.


Nous continuons à lécher nos chattes trempées. Nous jouissons souvent, une première fois.


Puis insensiblement nos langues fouillent plus loin encore, vers l’œillet sombre et plissé qui palpite. Le bord de notre anus est très souvent maculé de résidus bruns, parfois légèrement liquéfiés par les résidus de règles. D’abord timidement, puis plus franchement, nos langues titillent ces petits points à l’odeur puissante et au goût qui nous enivre.


Généralement avant que nous nous lâchions totalement dans nos vices scatophiles, l’une d’entre nous appelle notre harem de mâles. Même si nous faisons semblant de l’ignorer nous savons qu’ils nous observent depuis le début de nos ébats.


Ils arrivent promptement, le sexe déjà au garde-à-vous et lubrifié !


Ils sont désormais habitués à nos désirs fous et savent les satisfaire.


Tout en nous laissant continuer nos ébats lesbiens, ils nous positionnent de manière à pouvoir accéder à nos entre-jambes. Ils glissent alors leur belle queue dans nos chattes trempées de mouille, de pisse et parfois de règles. En professionnels, ils nous prennent en profondeur, emplissant nos sexes gourmands de bites, sans violence, voluptueusement.


Clémentine et moi continuons à nous lécher tandis qu’une multitude de mains parcourent nos corps électrisés, qui commencent à être sales. Les chibres vigoureux entrent et sortent de nos minettes surchauffées.


Les hommes changent de rôle à plusieurs reprises. Le changement de rythme dans nos chattes maintient notre excitation. Chacune d’entre nous lâche de temps en temps un flot d’urine, sous les commentaires sarcastiques et délurés des mâles.


Si notre frère Paul est de la partie, il est le meilleur. Je ne sais pas si cela tient au fait qu’il soit de notre famille et qu’il soit le seul homme avec lequel nous entretenions d’autres relations que sexuelles, mais nous adorons qu’il nous baise, il est vraiment différent des autres hommes. Même sans le voir, Clémentine et moi savons immédiatement si la bite qui nous prend est la sienne ou non.


Après quelques orgasmes, ma sœur et moi souhaitons aller encore plus loin. Nous sommes terriblement excitées et nous avons besoin de plus de vice pour être pleinement satisfaites.


L’une d’entre nous demande « Défoncez-moi le cul ! Pétez ma boîte à caca ! »


Rapidement l’un des mâles s’exécute, il place sa verge sur l’anus et entre profondément, forant dans les matières fécales qui nous encombrent l’intestin. Immédiatement la sœur demande le même traitement vicieux et elle est servie prestement.


Les dards qui pilonnent nos anus libèrent petit à petit une odeur de merde qui se diffuse dans la pièce, elle nous excite encore davantage. Nous mouillons affreusement.


Bientôt nous nous faisons prendre toutes les deux en double pénétration. Une grosse bite ramone notre conduit boueux, tandis qu’une autre fourre notre chatte en frottant sur notre clitoris gorgé de sang et trempé de cyprine. Nous couinons de plaisir !


Notre excitation augmente encore lorsque l’une d’entre nous demande à goûter la merde ! L’un des mâles qui pilonnent nos culs se retire, libérant souvent un flot de merde dont l’expulsion émet un bruit de boue liquide que l’on touillerait, suivi de pets gras et odorants !


Il tend sa bite sale à l’une de nos bouches gourmandes d’immondices. Généralement il présente son dard maculé à la sœur de celle qu’il enculait à l’instant. Nous adorons bouffer le caca de notre amoureuse !


Quel délice de laper les excréments de sa sœur, si belle, si cochonne ! Quelle joie de manger le plus précieux des présents que peut nous offrir notre moitié ! Quel bonheur d’être nourrie par l’anus de notre truie d’amoureuse !


Très vite Clémentine et moi embouchons les membres souillés par les fèces fétides fraichement extraits du rectum de notre amour.


Lorsque le chibre des garçons n’est plus assez sale à notre goût, nous les repoussons et nos nous rapprochons l’une de l’autre afin de prendre en bouche nos propres excréments qui jonchent le visage de notre aimée. Il nous arrive également de laper directement le sol où de la merde est tombée. Le plus souvent une nouvelle bite emplie alors nos fondements dilatés et toujours sales, tandis que nos chattes sont toujours fourrées bien à fond.


Le même manège se reproduit. Les dards couverts de merde quittent nos intestins et viennent graisser nos bouches à merde avides.


Plus tard, les bites qui occupent nos chattes se retirent et l’anus de chacune est pénétré simultanément par deux queues, qui nous déchirent et nous portent vers la jouissance sale qui fait notre bonheur !


Malheureusement nos intestins ne contiennent jamais assez de matière pour satisfaire notre vice hors norme. Il nous faut davantage de merde pour continuer à nous amuser, à jouir !


Les hommes sont alors mis à contribution. Certains chient directement sur nos visages, alors que nous continuons à être pénétrées bien profondément. D’autres garçons enduisent leur queue de leur propre merde et nous la fourre dans la bouche. Nous nous régalons. D’autres encore, utilisent leur bite garnie de caca pour pénétrer nos chattes, tartinant de la merde au tréfond de notre intimité, parfois souillée des jus de nos règles !


Nous nous vautrons dans l’ordure, pénétrées par tous les trous, nous regardant l’une et l’autre, amoureuses, enfiévrées, ivres de vices, clamant notre bonheur d’être gavées d’orgasmes foudroyants !


Il arrive que nous vomissions, naturellement après nous être trop gavée de saletés, ou artificiellement en enfonçant nos doigts au fond de notre gosier pour gerber les miasmes que nous venons d’engloutir. Clémentine et moi adorons goûter le vomi de l’autre ! Nous touchons aux limites de l’immoralité la plus perverse et cela nous excite incroyablement. Dans ces moments, où nous bafouons toutes les règles élémentaires de l’hygiène et de la morale, un souffle sur nos entrecuisses suffit à nous envoyer au septième ciel !


Profitant d’un mince instant de répit, l’une d’entre nous se dégage de l’amoncellement de corps couverts d’immondices, elle se relève avec peine, superbe sous la gangue fangeuse qui la badigeonne des pieds à la pointe de ses longs cheveux, ne portant que quelques lambeaux de vêtements sexy, parfois encore perchée sur ses chaussures à talons vertigineux. Elle quitte la pièce pour se diriger vers une salle très spéciale de notre grande maison.


Cet espace est totalement dédié à notre plaisir. Il s’agit d’une sorte de spa, spécialement conçu, comprenant un sauna, un jacuzzi et une piscine très particulière. Elle est remplie d’un mélange de fluides corporels, qui forment un magma nauséabond à même de satisfaire les désirs les plus lubriques de deux perverses sales comme Clémentine et moi. Ce bain est composé de merde, de pisse, de vomi, auxquels un peu d’eau a été ajoutée pour parvenir à une consistance suffisamment liquide pour nous permettre de nous y tremper facilement. Le tout est maintenu à une bonne température pour que nous puissions y rester longtemps, vautrées dans la quintessence des déchets sortis de corps humains.


Clémentine et moi nous glissons dans ce marais fétide qui nous excite tant ! Une fois immergées dans ce bassin gluant, nous nous caressons, nous embrassons pendant de longues minutes.


Puis l’une d’entre nous plonge dans la boue, trempant intégralement son visage et ses cheveux dans ces substances si érotiques pour nous, pour aller lécher le sexe de sa sœur et y faire pénétrer profondément les fluides qui composent ce bain infâme et délicieux. Nous alternons, l’une plonge pour donner du plaisir à son amoureuse, puis sa sœur lui rend la pareille quelques instants après.


Certains de nos amants nous observent. Nous leur demandons parfois un peu d’urine fraîche pour liquéfier nos bouches encombrées des saletés délicieuses de notre bain préféré.


Rapidement nous pénétrons nos sexes en enfonçant la totalité d’une main à l’intérieur de notre chérie. Les déchets qui composent le bain constituent un excellent lubrifiant. Quelle jouissance de se faire pénétrer et branler par son amoureuse dans un bain d’excréments chauds et puants !


En matière de saleté notre vice n’a pour limite que nos imaginations débordantes. Nous sommes vraiment deux grosses salopes, amoureuses, incestueuses, fières et heureuses.


MON AMOUR

Par Fed (FFM+, bi, inceste entre sœurs, entre frère et sœurs, vomi, menstruation, uro, crade, scato)