Je me réveillais le lendemain matin avec le gourdin habituel. Il régnait une odeur de fauve et de culs merdeux, ça n’allait pas faire disparaitre mon érection ! Je jetais un coup d’œil sur les autres et vis que les positions avaient changé. Kévin n’était plus dans la chambre, mais Olaf avait visiblement eu la queue d’Éric dans le cul vu qu’elle était parsemée de petits bouts de merde ! Kilian, allongé sur le dos avait dû se branler pendant la nuit car il avait une flaque de sperme qui commençait à sécher sur le ventre. Un peu avait coulé et tâché les draps. J’avais faim et quittais la chambre sans bruit. J’arrivais dans la cuisine et sortis sur la terrasse. Kévin était en train de pisser dans le jardin et le froid matinal m’ayant fait un peu débander, je me mis à côté de lui et lâchais mon fil. Il se tourna vers moi pour me rouler une pelle et évidemment on s’aspergea de pisse.
- Scuse, Chris
- T’inquiètes, on est pas en sucre !
- Putain elle sent fort ta pisse ! Et l’odeur de ta gueule le matin est super bonne.
- Ça doit être la bouffe d’hier soir. Ça t’gêne ?
- Ben non ducon, j’aime bien. Donne-moi ta bouche p’tit pédé…mmm, c’est bon. Ah j’ai téléphoné à la boulangerie de mon père pour s’faire livrer des croissants.
- Il a aussi une boulangerie ?
- Ouais, on s’rend pas compte mais il a acheté un tas de magasins dans cette ville. Tout est sous le nom d’une société anonyme. C’est ton daron qui s’occupe des papiers. Not’ nom n’apparait jamais.
- La vache, vous êtes vach’ment riche alors !
- J’crois, ouais, mais mes parents veulent pas que ça s’sache. On étale pas le luxe. On a pas de vêtements de marque, pas de grosse bagnole, et on vit simplement et on manque de rien.
- De toute façon vous vivez à poil ! ça ne sert à rien les vêtements !
- On va quand même à l’école et on sort aussi ! Pis y’a l’hiver et les mauvais jours !
- C’est quoi ces magasins ?
- Ben j’t’ai dit : boulangerie, épicerie, restaus, style pizzeria ou kebab, un garden center, un magasin de fringues, y’a même un garage et un hôtel où vous allez jouer les soubrettes !
- Waouh ! Dis, hier soir, quand le livreur est venu, y nous a tous trouvés en train de baiser et ça l’a pas choqué ?
- Nan, c’est un membre du club. Ceux qui savent ont le code pour rentrer. Ça l’gêne pas, bien au contraire….
- Mais le mec qui va v’nir de la boulangerie aussi ?
- J’sais pas encore, par contre j’ai envie de ton p’tit cul d’asiate.
Il glissa sa main sur mes fesses, atteignit ma rondelle et constata que j’étais encore bien ouvert et souple.
- Tu l’as bien senti la queue de mon père hier soir, hein ?
- Ouais, c’était super. Il a vraiment une grosse queue !
- Ouais, ça m’a fait un peu mal peur la première fis qu’y m’a niqué, mais après que du bonheur ! Putain t’es encore ben ouvert, t’as envie qu’j’te la mette ?
- Ouais j’aime bien le matin. Tu veux comment ?
- Y’a un transat là, j’m’allonge et tu viens sur ma bite.
- De dos ou d’face ?
- D’face, j’veux te rouler des pelles, j’aime bien ton haleine du matin et comme ça on peut s’amuser avec qu’on s’amuse avec nos tétons.
On s’installa sur le transat. La fine queue de Kévin rentra comme dans du beurre. Ses petits mouvements du bassin me déclenchaient des cris de jouissance. Je me penchais vers lui et on se roulait des pelles en se tordant les tétons. Je léchais quelques gouttes de sueur sur son visage et de ses dessous de bras. J’adorais ce gout salé et un peu acre. Je sentis une main me caresser le dos et un doigt s’insinuer dans mon cul à côté de la bite de Kévin. C’était Éric qui s’était réveillé.
- Hé, salut frangin, dit Kévin, j’crois qu’y encore de la place dans le cul de ce pédé.
- Tu crois ? dis-je un peu apeuré.
- T’inquiètes la fiotte. Dès qu’on a pris la queue de papa, on a le cul assez élargi pour avoir nos deux bites. Attends, penche-toi un peu plus. Éric, rentre-lui ton zgeg. Tu la sens, Chris ?
- Putain ouais, c’est extra. Vas-y pousse, Éric.
- Attends un peu sois pas pressé.
- Allez-y, j’vous dis, j’suis vot’ pute. Faites-moi jouir putain !
Je me penchais bien, roulant des pelles à Kévin. On s’était mis un peu de travers et je pouvais maintenant enfoncer mes doigts dans son cul. Leurs deux queues m’emmenaient au 7ème ciel. Soudain je sentis une queue forcer ma bouche : c’était Kilian qui voulait se faire sucer. J’étais aux anges : deux queues dans le cul, 1 dans la bouche et mes doigts dans un cul. J’éjaculais sur le ventre de Kévin sans me toucher ! Les frangins me fécondèrent presque ensemble et Kilian se finit à la main me mettant son sperme dans les cheveux. Quel réveil ! On s’écroula tous les quatre en rigolant. Olaf passa devant nous en gueulant avec un plateau de croissant.
- Vous pourriez aller ouvrir quand on sonne !
- Désolé, papa, on a pas entendu et on était un peu occupés !
- J’vois ça. C’est bon d’être jeunes, hein.
- Vous voulez qu’on vous nettoie la queue ?
- Non, pas la peine, on aime bien avoir la queue un peu merdeuse.
- Ouais, mais nous on adore les sucer !
- OK, putain c’est bon de baiser avec des mecs crades. Pas de chichis !
On s’attela au nettoyage de leurs bites et ils nous roulèrent ensuite de bonnes pelles. On avait les quatre la bouche un peu brunie quand on se mit à table, mais toutes les bites étaient bien propres et au repos ! Pendant qu’on mangeait Kévin et Éric harcelèrent leur père.
- Les nanas sont pas encore réveillées ?
- Si, elles sont toutes à la douche.
- Qu’est-ce qu’y s’passe ? Elles veulent sentir bon ? Elles sont malades ?
- Non, elles ont joué avec leur merde cette nuit. Vous connaissez vot’ mère. Dès qu’y a deux petites nanas bien crades, elle peut pas résister.
- Y’a pas qu’not mère, Liv aussi elle les aime de plus en plus jeunes et de plus en plus crades ! dit Kévin.
- Pis nous aussi on aime les mecs jeunes. Même Chris et Kilian on les trouve un peu vieux. On aurait préféré les rencontrer l’année dernière.
- Dis pap, on pourrait abaisser l’âge à 13 ans. Regarde, nous on a commencé avec toi à 12 ans !
- Pis on enculait Liv à 10 ans !
- Et en plus on a déjà baisé avec des plus jeunes à l’école.
- Les mecs, entre vous vous faites ce que vous voulez. J’sais que vous alliez dans les chiottes publiques à côté de l’école, mais il est pas question que j’baisse l’âge au club !
- T’es chiant, pap ! Hier t’as dit qu’t’aimais bien les culs étroits. Faut abaisser l’âge !
- Je sais ! Chris, Kilian, faut qu’j’vous dise qu’y a 3 semaines, j’ai trouvé ces deux tarlouzes dans les chiottes à côté de la salle de basket en train de s’faire chier dessus par 2 mecs. Y m’avaient pas vu mais j’les ai bien engueulés après. Les mecs devaient avoir 12-13 ans.
- N’empêche que t’avais bien profité du spectacle. Pis tu v’nais faire quoi dans ces chiottes ? Y’a qu’des jeunes !
- Ouais, bon. Tu sais qu’j’aime bien pomper les p’tits gars dans vot’ genre et nettoyer leur cul.
- Qu’est-ce que j’disais, j’suis sûr que tu t’es tapé des plus jeunes que nous.
- Ça suffit maintenant…
Heureusement, les filles arrivèrent à peu près propres au moment où la conversation déraillait un peu entre le père et ses fils. Elles avaient quand même encore quelques traces de merde et surtout elles puaient encore. Nos queues se mirent au garde-à-vous immédiatement quand elles vinrent nous dire bonjour en se frottant contre nous.
- Ben on vous excite ce matin les mecs, mais pour nous, c’est fini. On a passé une nuit d’enfer, hein les gouines ? dit Inge.
- Ouais, Inge, dit Célia, j’crois qu’j’ai jamais autant joui ! Mais ça creuse !
- Prenez des forces, y’a encore du boulot aujourd’hui !
Effectivement il y en avait encore ! Le jardin fut fini dans la matinée et on dut tout l’après-midi monter et ranger les meubles. Dans la chambre où les filles avaient dormi, le lit était ravagé, les draps pleins de merde et de pisse. Inge nous demanda d’aller les laver à la buanderie au sous-sol. Comme ça, Liv, Kévin et Éric nous firent visiter le sous-sol de la maison. A côté de la buanderie, y’avait une piscine couverte avec toit rétractable et une autre pièce aménagée comme le sous-sol de Tina avec au mur, en dehors d’un grand écran TV et de deux slings, toute une panoplie d’accessoires : harnais, menottes, écarteur anal, godes collés au mur, chaise avec gode. En plus il y avait une caméra vidéo pour filmer, la famille ne devait vraiment pas s’ennuyer !
- Putain, les frangins, vous avez un sacré matos !
- Ouais ça vient du sex-shop des parents. C’est pas encore tout installé, mais dès que c’est prêt, on peut se faire une bonne séance à plusieurs ici !
- J’sais pas si j’oserai, dit Kilian.
- On parie ? dit Éric.
- J’crois qu’j’perdrai, répondit Kilian avec un sourire légèrement vicieux. Vous faites dans le bdsm ?
- Ouais, mais léger. Celles qu’aiment le plus, c’est Liv et not’ mère, hein Liv ?
- J’confirme, dit Célia. Liv et Inge sont de vraies salopes. On les a bien martyrisées avec Sara.
- Ouais, ajouta Sara, mais elles nous ont rendu la pareille. Mes tétons étaient tout tordus, mais putain quels orgasmes j’ai eu ! J’crois que nos clitos ont encore grandi à force d’être aspirés et tirés !
- On aura sûrement l’occasion de tester ce matériel avec vous. Not’ mère, y lui faut 6 bites, deux dans le cul, une dans le con, une dans la bouche et deux qu’elles branlent !
- La vache, mais vous aussi vous êtes des salopes.
- Comme vous et vos pères et mères !
On descendit les draps merdeux à laver et on remonta aider à finir l’installation. C’était déjà la fin de l’après-midi et on devait rentrer chez nous, crevés, mais fiers d’avoir pu aider cette famille si accueillante et surtout si décomplexée. Le jardin avait l’air propre et les chambres étaient toutes prêtes. On roula une pelle à toute la famille et on promit qu’on serait au club le samedi suivant. Olaf nous vérifia le cul :
- Vos culs sont pas r’fermés complètement. Y’a un peu de merde qui coule. Ça va plaire à pères et mères.
- Tu crois ?
- Allez-y, j’suis sûr qu’y vous attendent avec impatience !
- Salut et à bientôt !
En guise de remerciements, Olaf nous donna à chacun un slip en lycra. Il nous recommanda de le porter 2 jours tout le temps pour que ça macère bien ! On rentra sagement chacun chez soi. Au moment de se séparer, on se roula tous une pelle, heureux d’avoir découvert une famille complète vivant avec une liberté sexuelle totale. Mon père m’attendait pour manger et je lui racontais mon week-end.
- Waouh, Chris, tu t’es pris la bite d’Olaf en entier !
- Ouais, dans le cul et dans la gueule !
- Sans vomir ?
- Presque pas. Et Éric et Kévin m’ont fait une DP pendant que je suçais Kilian.
- Putain Chris, tu d’viens une vraie salope.
- J’tiens ça d’mon père. Et on commence à travailler tous les 4 dans 15 jours dans son hôtel.
- Vous avez accepté, alors ?
- Ouais, c’est super. Dis donc, j’ai vu leur salle au sous-sol avec des trucs bdsm.
- T’as envie d’essayer ?
- P’têt pas tout de suite, j’ai vu des films vraiment durs et ça j’veux pas.
- J’te comprends, Chris. Vous avez pas fait de scato ?
- Non, pas nous, mais les gouines ont ruiné leur chambre !
- T’as pourtant de la merde sur ton corps !
- C’est quand on a pris leurs draps pour les laver, on s’est un peu frotté avec. Pis Olaf nous a dit de pas nous laver jusqu’à samedi.
- Ça va pas t’gêner !
- Toi non plus, t’aimes bien quand j’pue. Pis j’ai senti les pieds de Kévin. Y z’avaient bien mariné dans des bottes quand on faisait le jardin. J’ai adoré.
- Sûr, j’adore tes chaussettes et tes godasses quand tu reviens du basket. Mélangé à l’odeur de ton short, ça m’fait bander direct.
- Ben tu vas être content, Olaf nous a filé un slip en lycra pour nous remercier. C’est quand même con qu’on soit obligé d’se laver quand on va à l’école !
- Ouais mais là c’est les vacances pour toi. Tu sais qu’ca m’gêne pas de te retrouver bien crade quand j’rentre du boulot !
- Ça veut dire encore un mois sans m’laver !
- Oui mon amour.
On s’installa devant la télé. Mon père qui n’avait pas du baiser le week-end, avait sa pine bien raide et mis un dvd qui n’était pas fait pour débander : une équipe de foot de mecs de 12-14 ans revenaient au vestiaire fêter leur victoire. Tous avaient la main dans le short et semblaient se branler en souriant. Ils étaient tous en sueur et ils se mirent vite à poil tout en s’embrassant et se paluchant. Chacun se mit à tirer sur son prépuce en ayant un short dég ou une chaussette sous le nez. La caméra montrait bien les traces de merde, de pisse et de sperme à l’intérieur des shorts, dommage que l’odeur des chaussettes et des pieds ne traversent pas l’écran ! Tous avaient du fromage de bite et pas un n’avait de poils sur le corps. Leurs bites avaient toutes les dimensions et toutes les formes. Un des mecs s’agenouilla et ils firent tous un cercle autour de lui : il lécha toutes les bites. A la fin, sa bouche était blanche de fromage. Ils lui pissèrent tous dessus, tous rigolaient, surtout celui qui essayait de boire la pisse. Il s’allongea et les autres chièrent sur lui, toujours en rigolant. Il avait de la merde partout. Ils faisaient exprès de marcher dedans et se donnaient leurs pieds à lécher ! Un mec présenta son cul devant une bouche pour qu’un étron lui tombe dans la gueule. Je vis le receveur de merde mâchouiller et un autre vint lui rouler une pelle. Quand tous eurent fini de chier, ils s’étalèrent la merde sur leur visage et se mirent tous un petit morceau dans la gueule. Puis ils s‘embrassèrent se passant des bouts de merde d’une bouche à l’autre. A ce moment-là du film, je m’assis sur mon père pour qu’il m’enfonce sa bite au fond de mon cul encore largement ouvert. On continuait de regarder le film. Les enculades dans le vestiaire continuaient, les mecs changeant tout le temps de partenaires. Certains se prenaient deux bites dans le cul, tout en suçant d‘autres. Un mec réussissait encore à chier pendant qu’il limait un autre. C’était la plus belle orgie scatophile d’ados que j’avais jamais vue, et je n’avais jamais été excité comme cela. A la fin du film tous avaient éjaculé au moins deux fois et ils quittaient le vestiaire sans prendre de douche, remettant leurs maillots et shorts sur leur corps merdeux, tous ayant du sperme sur la gueule ou sortant de leur cul ! Il était temps que je fasse jouir mon père.
- Papa, j’suis ta chienne. Défonce-moi le cul, bordel.
- Chris, j’adore quand tu t’conduis comme une pute avec moi.
- Mets-la moi bien au fond, salaud de pédo. J’crois qu’j’vais t’chier dessus papa !
- Vas-y Chris, vide-toi sur mes couilles et ma queue.
- Ouah, comme dans le film !
- Ouais j’suis sûr qu’t’aurais aimé jouer d’dans ! Ça coulisse bien avec ta chiasse !
- Yep ! Vas-y fort le pédo. Encule bien profond ta salope de fils.
- Ouais Chris ... t’es une bonne pute.
Pendant que je montais et descendais sur sa queue, papa me prenait la merde et me l’étalait. Il me prit par les hanches dans un assaut final et m’envoya sa purée au fond de mes entrailles. J’étais dans un état second, m’imaginant avec Kilian et l’équipe de basket à la place des mecs du film. Quel pied ce serait ! Après un moment, il décula et m’allongea par terre.
- Hé Chris, t’es prêt à faire comme le mec du film ?
- Putain papa, ouais. Attends j’vais t’nettoyer la queue !
- Non Chris, pas encore J’vais m’asseoir sur ta gueule de pédale et tu vas essayer d’avaler un peu de ma merde.
- Oui, papa, j’suis qu’une pute mais j’aime tout de toi.
- Alors prépare toi à recevoir ma merde dans ta gueule. Ouvre bien la bouche.
Mon père mit son trou du cul juste au-dessus de ma bouche et commença à pousser. Son cul s’ouvrait bien. Il lâchait de gros pets bien odorants. Et soudain une masse marron fit son apparition. J’ouvris bien la bouche et l’étron s’introduit dans ma bouche comme si c’était une queue que j’allais sucer. Après avoir eu 5 cm de son boudin dans la gueule, je détournais la tête, pris par un haut-le-cœur et papa continua de chier sur moi. Je retirai le bout d’étron de ma bouche et commençais à le sucer, m’imprégnant de son odeur et de sa texture. Je n’étais pas dégouté, je découvrais que j’aimais vraiment la merde et jouer avec. Papa finit de chier et se retourna pour m’enlacer, emprisonnant sa merde entre nos deux corps. On pouvait ainsi se l’étaler en se roulant des pelles et en se faisant passer des petits bouts d’une bouche à l’autre. Je bandais encore très fort et cette fois papa vint s’enculer sur ma bite me regardant droit dans les yeux en souriant. Quand je fus au fond de son cul, il pissa et m’aspergea la gueule. J’en avalais le maximum pendant qu’il me pinçait les tétons. Je ne fus pas long à jouir et je poussais un cri énorme au moment où je fécondais mon père. Après avoir repris nos esprits et nous être copieusement embrassés, on profita de nos odeurs et on discutait en se pelotant un peu partout.
- Putain papa t’es vraiment un enculé qu’aime les garçons !
- Oui Chris et j’aime ça autant que toi, mais surtout je t’aime mon fils,
- On est vraiment des porcs, comme dans le film. Dis, j’crois qu’j’ai reconnu les pdbro dans ce film ! Celui qui s’faisait chier dessus, c’était Kévin !
- T’as raison, Chris, c’est un film qu’ils ont tourné y’a deux-trois ans, je crois. C’est Olaf qu’a fait le tournage. Y t’a plu ?
- Bordel, sûr ! J’en r’veux des comme ça ! Les mecs, au moins, ils sourient et rigolent pendant qu’y baisent. Dans la plupart des films, les mecs ont l’air trop sérieux à la limite de s’emmerder.
- Kilian et Fred ont dû voir le même ce soir ! J’pense que Kilian a aussi bouffé la merde de Fred. On n’osait pas le faire ensemble. On préférait le faire d’abord uniquement entre père et fils.
- Oh tu sais on a déjà un peu gouté notre merde avec Kilian et vous et les pdbro et les gouines, mais on n’avait fait que lécher ou se tartiner. Là j’l’ai vraiment goutée. Et pis quel pied de voir ta merde sortir de ton trou et tomber dans ma gueule. Merci papa, c’était super.
- De rien, fiston. J’suis fier de toi !
- Dis papa…
- Oui
- Euh avec maman, vous étiez aussi crades ?
- Mmm, j’crois que j’vais rien t’cacher. T’as le droit de savoir. Oui, avec ta mère on a fait plein de trucs crades. Tu sais on s’est rencontré à 17 ans. Et à cette époque aussi bien elle que moi n’avions pas une hygiène disons euh … parfaite. Et le soir où on s’est rencontrés, j’ai commencé par l’enculer et elle m’a chié dessus direct ! Avec des copains on s’amusait aussi avec not’ merde quand on était ado mais j’l’avais jamais fait avec une fille. Elle m’a dit qu’elle se gouinait crade avec ses copines.
- Putain maman était une goudou !
- Oui mon Chris, comme ton père est une pédale, et elle aimait aussi les p’tits jeunes de ton âge, mâle ou femelle. On aimait bien les dépuceler ensemble. On s’est fait beaucoup de partouzes avec tous nos copains et copines, aussi quand elle était enceinte de toi !
- La vache !
- Et t’en as reçu des litres de sperme, de pisse et de merde quand t’étais dans son ventre !
- Ah ben c’est pour ça qu’j’aime ça !
- Peut-être. En plus toi t’as commencé plus tôt que moi avec les filles !
- C’est vrai que maintenant je déteste pas baiser avec les gouines.
- Sara et Célia ont dû voir le même film mais côté gouines, tourné par Inge.
- Ben j’suis sûr qu’elles ont aimé. Tu crois qu’j’pourrai tourner un film avec Kilian et les pdbro et d’aut’ mecs ou nanas ?
- Demande-lui ! Putain Chris, t’es complètement dépravé… mais tu m’fais rire !
- Ouais comme mon père … et ma mère…j’suis qu’une tapette dégueulasse mais j’assume. Bon j’vais me coucher. Olaf m’a dit de pas m’laver, donc j’y vais comme ça…
- Moi j’travaille demain, faut qu’j’aille me décrasser !
- Pas de bol ! Moi j’suis encore en vacances.
- J’ai besoin de toi pour m’enlever la merde que j’ai dans le dos et sur le cul.
- Pas de problème papa, j’irai me coucher après.
- T’es un amour, fiston. Ta mère serait fière de toi.
- Dis papa, tu crois qu’si maman était encore là, on aurait baisé tous les 3 ?
- J’en suis sûr, Chris. Quand t’étais p’tit, on s’disait qu’on avait fait un merveilleux enfant et on était impatient de t’voir grandir. Pis elle adorait enculer les p’tits mecs avec ses gode ceintures.
- Tu crois qu’on l’aurait fait plus tôt ?
- J’sais pas. J’t’ai déjà dit que ça devait venir de toi. On ne t’aurait jamais forcé. Mais dès qu’t’aurais eu du sperme, on avait décidé de t’aguicher… et c’est ce que j’ai fait, mais seul malheureusement.
- Elle était belle maman, hein ?
- Oui mon chéri, très belle et tu tiens beaucoup d’elle.
- Ouais, mon côté exotique comme Kilian.
- Vous nous avez faits beaucoup fantasmer avec Fred, jusqu’au jour où vous nous avez surpris avec Driss.
- Dis plutôt qu’on est tombé dans votre piège !
- Ben vous étiez quand même un peu timide sous vos airs bravaches. Euh, Chris, frotte bien le dos et les fesses.
- OK, voilà t’es pas propre comme un sou neuf, tu pues encore, mais t’es à peu près présentable.
- Merci. Cette semaine, j’ai encore pas mal de boulot, alors, j’peux rentrer tard. Tu t’débrouilles pour faire les courses, hein ?
- Pas de problème, comme d’hab.
- Vous allez faire quoi cette semaine avec tes potes ?
- Ben glander, faire du skate et du basket avec l’équipe, baiser, s’branler.
- Tu pourras aussi t’occuper du jardin et nettoyer la piscine.
- Ouais, j’y penserai.
- Bonne nuit, mon chéri.
- Bonne nuit pap, j’irai bien dormir avec toi mais j’suis encore dég. Euh attends, dernière question. Vous faisiez comment pour baiser des ados avec maman ?
- Tu sais, y’a 10-15 ans, le net était pas aussi développé. Alors on allait draguer.
- Où ça ?
- Dans les bars gay et lesbien, et les chiottes publiques près des collèges, des lycées, des facs. Puis aussi par Fred. Quand tu travailles à la police des mœurs, tu connais certains réseaux surs.
- J’vois, et vous vous r’voyez avec ceux avec qui vous partousiez ?
- Certains, mais finalement assez peu. Tu sais, partenaires de sexe ne signifie pas amis pour la vie. A part Fred, Tina, Eva et la famille d’Olaf, on n’a pas vraiment d’amis dans ce milieu. Pis on allait draguer dans les chiottes près des écoles ou de la fac. Le défaut des ados c’est qu’y vieillissent, mais y’en a toujours !
- Olaf nous a dit qu’il avait retrouvé ses fils dans des chiottes près d’où y jouent au basket. Tu peux m’dire où y’en a près d’ici ?
- Peut-être…
- Putain papa, j’suis sûr qu’t’y vas encore. Dis-le-moi, please…
- Chris, c’est dangereux. Tu dois pas baiser avec n’importe qui. Tous les gens que j’connais sont séronégatifs. D’ailleurs, on va aller chez un médecin te contrôler. J’crains rien pour toi mais c’est bien d’avoir un certif.
- Mais les gens au club baisent avec tout le monde !
- Ouais mais y sont tous sains, sinon y peuvent pas rentrer. Pour changer de sujet, tu t’entends toujours bien avec Kilian ?
- Ouais, c’est plus qu’un frère pour moi ! Je l’aime,
- Et avec Fred ?
- Pas de problème, papa. Pourquoi ces questions ?
- Pour rien, juste pour savoir.