On discuta longuement la semaine d’après cette expérience avec Kilian et les footeuses au fil de nos rencontres. Bizarrement nos pères et mères nous laissaient tranquilles, sans doute voulaient-ils nous laisser réfléchir au calme. Sara et Célia avaient été enchantées par la découverte de Liv et de sa mère. Elles adoraient les tatouages et piercings d’Inge et avait apprécié de baiser avec une fille de 17 ans. Liv leur avait dit qu’elle commençait à regretter de vieillir et qu’elle était vachement contente de trouver des ados qui lui ressemblaient quand elle était plus jeune et de pouvoir s’amuser avec elles. De notre côté, on leur disait que les pdbro étaient vachement sympas avec leurs cheveux teints et que pour nous aussi ça fait drôle de baiser avec des un peu plus vieux que nous. Finalement on était tous d’accord qu’on avait passé un super samedi. Et qu’on voulait remettre ça mais que de temps en temps, l’odeur étant tenace. C’est ce que l’on finit par avouer à nos géniteurs qui ne furent pas surpris !


Les gouines allaient partir en Italie et nous au camp. Comme promis, on fut sage avec Kilian mais on en profita quand même pour baiser quelques filles qui nous draguaient. Nos pères avaient mis à disposition une boîte de capotes qu’on ne fut pas long à épuiser ! On faisait ça plus par hygiène que par vrai désir, mais comme les filles nous le demandaient, on ne leur refusait pas, surtout qu’elles acceptaient de se faire enculer ! En plus on voulait acquérir un peu de savoir avec les chattes pour que Célia et Sara profitent de nos expériences. Ces filles croyaient qu’on avait 16 ans malgré notre absence de poils. Elles semblaient bien habituées au sexe et elles nous aidèrent à bien leur faire l’amour, nous guidant et nous montrant ce qu’elles désiraient. On n’avait vu que des filles à long clito. Elles nous montrèrent comment l’exciter et le faire apparaitre dans toute sa splendeur. Elles furent un peu rebutées par le smegma sous notre prépuce et refusèrent de nous sucer si on n’était pas propre. C’était la première fois qu’on baisait « propre » et seule l’envie d’apprendre et d’étonner nos copines fit qu’on se nettoya la bite. On arrivait à ne pas trop bander la journée, mais il faut dire que nos pères nous épuisaient bien pendant les soirées ou au petit matin, et que les différents sports que l’on pratiquait nous laissaient parfois sans force. Nos pères étaient un peu étonnés de nous trouver pas aussi sales que d’habitude, mais on leur expliqua pourquoi. Le crade commençait à nous manquer et on était impatient de rentrer pour rencontrer les pdbro. Ce fut la première fois qu’on quitta le camp heureux de rentrer, d’une part parce que on allait retrouver nos téléphones (Fred et Paul étaient intransigeants là-dessus : on était en vacances, ce n’était pas pour être pendus au téléphone toute la journée) et surtout nous avions décidé de reprendre tout de suite contact avec les pdbro et nos copines qui devaient être rentrées d’Italie.


A notre retour les pdbro nous dirent qu’ils étaient en plein déménagement, que leur nouvelle maison était à environ 5 km d’où on habitait et qu’ils seraient très heureux de partager quelques moments avec nous. Surtout ils seraient aussi enchantés si on venait leur donner un coup de main pour faire quelques travaux d’aménagement. Je voyais tout à fait le genre de coup de main qu’on pouvait leur donner ! Ils nous indiquèrent leur nouvelle adresse et rendez-vous fut donc pris pour le week-end suivant. Durant la semaine on se retrouva avec Célia et Sara. Nos retrouvailles furent d’abord très sexuelles avant que l’on se raconte nos aventures. L’Italie devrait nous plaire, disaient-elles. Elles avaient passé une semaine à visiter la Toscane, puis avaient passé la deuxième semaine au bord de la mer du côté de Rimini. Olaf avait donné à leurs mères l’adresse d’un club identique au sien où elles avaient passé toutes les 4 deux soirées d’enfer. Elles nous avouèrent avoir aussi baisé avec des mecs lors de leurs visites dans ce club avec surtout des allemands, des suisses et des belges. Les mecs étaient surpris de pouvoir baiser à la fois la mère et la fille ! On leur dit qu’on avait aussi baisé avec des nanas au camp. Il n’y avait aucune jalousie entre nous du moment que l’on prenait du plaisir, mais on devait bien s’avouer que le meilleur était entre nous et avec nos géniteurs. Elles avaient contacté Liv qui avait tenu le même discours que les pdbro. On se verrait donc tous le prochain week-end pour les aider à leur installation. On pouvait passer tout le week-end chez eux, nos pères et mères étaient d’accord prétextant tous qu’ils avaient du travail en retard. Ça paraissait bizarre, mais bon ils devaient avoir un plan et on venait de passer 15 jours avec eux et ils devaient en avoir marre de nos trous !


Le samedi matin, on se retrouva donc tous les quatre chez moi et on partit à vélo rejoindre les nordiques. La distance n’était pas pour nous effrayer, étant tous sportifs. Le weekend s’annonçait beau et chaud et on n’avait rien pris de spécial pour aller chez eux. Ils auraient bien une brosse à dent à nous prêter. Suivant les instructions du plan qu’on nous avait indiquées, on arriva devant une grande bâtisse entourée d’un mur de plus de 2 mètres. On sonna et la porte s’ouvrit. On pénétra dans un grand jardin envahi de mauvaises herbes. La maison était de plain-pied, le jardin entourant complétement la maison. C’était très isolé. Liv, évidemment à poil, vint nous faire la bise, heureuse de nous revoir. Bon, la bise, c’était plutôt une bonne pelle, passant négligemment la main sur le devant de nos shorts.


-       Salut Liv, heureuse de te revoir !

-       Bienvenue dans notre nouvelle maison. Y’a du boulot et c’est pas mes frangins qui aident beaucoup !

-       C’est quoi, le boulot ?

-       Ben faut peindre les chambres, remonter nos lits, installer la terrasse, s’occuper de rafraichir le jardin.

-       Ah ouais quand même. Mais vous couchez où s’y a pas d’lit ?

-       Pour l’instant, on est tous les 5 dans la chambre de mes parents. Ce soir y’aura une deuxième chambre de prête. Y’en a encore 4 à peindre et à installer. Mes frangins sont toujours en rut et y bossent pas beaucoup ! C’est pour ça qu’on vous a demandé de l’aide.

-       J’suis pas sûr qu’on va beaucoup travailler non plus.

-       Ah ben si, faudra bien. Pis ça devait être fini dans la journée ou demain. Ah, v’là l’reste de la famille.


Les frangins vinrent aussi nous rouler une pelle de bienvenue . Tous sentaient fort et, autant les gouines que nous, aimions leurs odeurs puissantes. Leurs corps étaient magnifiques. Tous avaient les tétons hyper développés, aucun mec n’était circoncis et plutôt pourvu d’un long prépuce. Lors de notre première rencontre, je ne m’étais pas aperçu combien cette famille aux yeux bleu, aux cheveux blond (quand ils n’étaient pas teints) et courts, totalement imberbe, était belle et désirable. Ils avaient un énorme pouvoir d’attraction sur nous quatre et sans doute aussi sur nos parents. Ils respiraient la convivialité, l’empathie, la joie de vivre. En les croisant dans la rue, personne ne pouvait se douter qu’il s’agissait d’une famille incestueuse pratiquant les jeux sexuels les plus sales avec d’autres familles sauf peut-être qu’ils avaient tendance à puer, ne se lavant pas ! Adeptes comme nous du naturisme, ils étaient intégralement bronzés. Tous étaient bisexuels mais avec une tendance plus prononcée pour l’homo que pour l’hétéro ! On n’avait pas eu vraiment le temps de se présenter quand on était venu au club.


Olaf était un géant nordique de 1,90 m, pas trop musclé, mais le corps encore pas mal foutu pour ses bientôt 40 ans et un long et épais sexe, d’au moins 18 cm au repos. En le regardant je me demandais si je pouvais entièrement l’avaler ou me le mettre dans le cul.


Contrairement à son mari, Inge était un petit bout de femme de 1,65 m, le corps pas déformé par ses trois grossesses. Elle avait les cheveux courts, un regard brillant. Elle avait pas mal de tatouages, du type tribal océanien, mais ce qui frappait chez elle était le nombre incroyable de piercings qu’elle avait : 2 à chaque téton, un anneau et une barre, un au nombril, un au clito, un au cul et surtout une ribambelle sur ses grandes et petites lèvres. Elle avait des petits seins à larges auréoles brunes.


Liv elle était plus grande que sa mère, environ 1,75 m, 17 ans, des cheveux assez courts comme sa mère. C’était comme Sara et Célia une footeuse lesbienne. Elle n’avait des piercings qu’aux tétons. Elle venait d’avoir son bac et allait rentrer en fac.


Éric, 16 ans, déjà 1,85 m, les cheveux teints en rose, avec belle bite de 20 cm que j’avais déjà eu dans le cul, allait rentrer en terminale. Lui avait des petits boutons d’acné sur le visage.


Kévin 15 ans, 1,80 m, avait lui les cheveux teints en bleu. Il était un peu plus petit que son frère mais pourvu d’une bite semblable. Il allait, lui, rentrer en première.


-       Bon, dit Olaf, les garçons, vous allez débroussailler le jardin. Vous pouvez rester à poil, mais j’préférerai que vous mettiez des gants, des lunettes et un short s’il y a des branches à couper. Faudrait pas abimer vos bites et vos culs !

-       OK, mais pour les chaussures ?

-       Y’a assez de bottes pour tout le monde.

-       Et vous les filles vous allez m’aider à installer les meubles et à finir la peinture que mes pédales de fils ont laissé en plan.

-       Putain maman, tu dis pas qu’on est des pédales quand avec papa on t’baise dans tous tes trous.

-       Mais si, mes mignons, vous êtes mes p’tits pédés chéris. Allez les filles toutes à poil et suivez-moi !

-       Inge, dit Olaf, tu les fais bosser, hein ? Moi j’dois aller au club surveiller quelques travaux.

-       T’inquiètes, mon amour, on aura tout le temps de s’amuser ce soir !


La journée passa vite et même si de temps en temps, on ne pouvait s’empêcher de s’embrasser et de peloter avec les frangins et Kilian, on rendit le jardin presque présentable. Comme on était très souvent penchés pour ramasser les mauvaises herbes ou tailler des petits arbustes, y’avait toujours un doigt qui finissait par arriver dans un cul ! En fin d’après-midi, Olaf revint et Inge nous annonça que les chambres des enfants étaient désormais toutes repeintes, que tous les lits étaient désormais prêts, mais qu’on ne pouvait pas coucher dans ces chambres car ça sentait trop la peinture. Olaf nous félicita tous du travail accompli et informa Inge que toutes les transformations du club étaient aussi effectuées. On se dirigea tous vers la terrasse. On dégageait tous une odeur de sueur et de sexes pas lavés qui mettait nos sens en émoi. Nos pieds ayant passé la journée dans des bottes déjà pas trop fraiches avaient beaucoup transpiré et ça puait un max. On buvait beaucoup de sirop pour nous rafraichir. Olaf nous dit qu’il allait commander dans un de ses restaurants de la bouffe chinoise pour nous tous. Éric, Kévin, Kilian et moi avions commencé à nous embrasser. On était tous bandés.


-       Putain, Chris, tu m’plais bien, dit Éric. J’peux t’la mettre ?

-       Sûr mec ! On s’est retenu toute la journée. J’suis super chaud.

-       J’espère qu’t’as le cul sale.

-       T’inquiètes, pas lavé, doit y’avoir encore du sperme de mon père si tu fouilles bien !



Il commença à me doigter pour vérifier l’intérieur et ramena une petite boulette de merde qu’il étala sur mon torse avant de se lécher les doigts. De leur côté, Kilian et Kévin étaient aussi en pleine action : Kévin était assis dans un fauteuil et Kilian avalait toute sa queue.


-       Putain Kilian t’es vraiment une bonne salope. Tu peux prendre toute ma queue dans ta gueule de pédale. Fous moi aussi tes doigts dans le cul au lieu de t’branler.

-       Argg, Slurp ouais…


Je fis asseoir Éric et m’empalais directement sur sa bite. Je lui tournais le dos pour profiter du spectacle des autres. Avec ses mains il me pinçait mes tétons et je commençais à jouir du cul quand Olaf arriva, se mit à genoux pour sucer ma bite raide. Il dégagea le prépuce pour se repaitre de mon fromage. Il insinua un doigt dans mon cul à côté de la bite de son fils. Voyant cela, Kévin se détacha de Kilian et se mit derrière son père pour l’enculer pendant que Kilian se rapprocha d’Éric pour lui donner sa queue à sucer. On jouit à tour de rôle, déversant notre sperme soit dans un cul soit dans une bouche. Éric me dit de rester enculé sur sa bite et je me retournais pour le remercier en lui roulant une bonne pelle. Il avait la gueule pleine du sperme de Kilian. Olaf, qui n’avait pas joui, se releva encore bandé et fit signe à Kilian de se pencher vers Éric et moi. Il commença à enfoncer son énorme queue dans le cul de Kilian. J’étouffais ses cris en lui mettant ma langue dans sa bouche et Éric jouait avec nos tétons. Kilian souffrit un peu quand le gland passa l’anus mais bientôt un sourire de bonheur éclaira son visage pendant qu’Olaf le ramonait. De temps en temps il s’arrêtait.


-       Ça va Kilian ? pas trop dur ?

-       C’est jamais assez dur pour moi !

-       Ben, t’as encore de l’humour.

-       Tu sais, j’suis trop bien avec une bite dans l’cul ! Vas-y Olaf, ramone-moi le garage à bites, sale pédo. Putain j’la sens bien ta grosse queue.

-       Ouais p’tit pédé, t’as le cul plus étroit que mes fistons., putain qu’c’est bon les p’tits jeunes !

-       Olaf, j’aimerais bien l’avoir aussi dans le cul ta grosse bite, dis-je.

-       Plus tard, Chris, laisse-moi faire jouir d’abord cette tafiole de latino crade. Mmm elles sont bonnes tes fesses, bien musclées, bien rebondies. Et ta peau est douce et lève les bras que je puisse nettoyer tes dessous bien puants.  


Pendant ce temps-là, Liv s’était mis un gode ceinture et enculait l’une après l’autre Sara et Célia. Inge la rejoignit, munie elle aussi d’un gode et alla aider sa fille à faire jouir nos copines qui se tordaient de plaisir. Elles alternaient maintenant le cul et le con, faisant pénétrer aussi loin que possible les bites en latex. Sara et Célia jouirent en expulsant de nombreux jets de cyprine et de pisse qui atteignirent la gueule d’Inge et Liv qui aussitôt se mirent à se rouler des pelles. Ensuite Liv encula sa mère faisant signe à Célia de venir lui tordre les tétons tandis que Sara s’amusait avec tous les anneaux qu’Inge avait autour du sexe. Le livreur de repas arriva et semblait connaitre la famille :


-       Salut Olaf, waouh, bonne ambiance et ça sent le fauve ici ! J’les mets où les cartons de bouffe ?

-       Ah salut Nico, pose-les sur la table. Attends un peu j’ai presque fini. Tu peux rester ?

-       Non, Olaf, on est samedi et c’est le coup de feu. J’ai encore plein de livraisons. Dommage, t’as l’air d’avoir dégoté de beaux p’tits lots bien crades ! Une aut’ fois.

-       Reviens quand tu veux, mon chou !


Et il partit, mais je l’avais reconnu : c’était lui qui était venu chez nous et qui avait sans doute vu le sperme de mon père qui coulait de mon cul. Je compris alors son clin d’œil et sa queue bandée quand je lui avais tendu l’argent : il était sûr que je venais de me faire mettre. Olaf s’activa encore un peu et finit par lâcher sa purée dans le cul de Kilian. Il se retira et Kilian s’écroula sur Éric et moi. Il me murmura comment ça avait été génial et que les frangins étaient vraiment chanceux d’avoir un père aussi bien doté ! Je passais ma main sur le cul de Kilian, constatant qu’un énorme volume de foutre s’écoulait de son cul largement ouvert. Il avait quand même dû déguster, mon pote, mais au fond de moi, si j’ose dire, j’étais impatient de me faire enculer par la plus grosse bite que j’ai jamais vue. Après un petit moment Kilian se releva, et Éric me poussa pour enfin pouvoir se lever, car il commençait à avoir des crampes. On se dirigea alors vers la table où le livreur avait déposé les paquets. Pendant qu’on mangeait, Kilian et moi discutions ave Olaf, Sara et Célia avec Liv et sa mère. Les frangins n’arrêtaient pas de nous peloter en riant, s’attardant surtout sur nos culs. Olaf nous prit à part Kilian et moi, pendant que Liv et Inge discutaient avec Sara et Célia. Kévin et Éric avaient disparu.


-       Chris, Kilian, bien remis de samedi dernier ?

-       C’était super ! Pis voir tous ces gens qui baisent, c’est mieux qu’en vidéo !

-       Pis le coup du laxatif par tes fistons, c’était … imprévu, ajouta Kilian

-       Oui mes garnements sont de vrais porcs. Avec Inge on les a laissés faire depuis tout petit leurs cochonneries avec leur sœur. Elle aussi c’est une vraie crade.

-       Nos copines aussi !

-       Vous baisez souvent avec elles ?

-       Non pas trop, sauf quand elles veulent une vraie bite dans le cul.

-       Ou le con ! ou les deux à la fois !

-       Vous avez déjà dragué des mecs ?

-       Euh non, on n’ose pas.

-       Pourquoi ?

-       Ben on a quand même un peu peur de la réaction. On aimerait pas s’faire traiter de pédés et qu’on nous casse la gueule. En plus vue la relation qu’on a avec nos pères…

-       J’vois… Nos trois gamins ont déjà fait leur coming-out en précisant qu’ils étaient bi. Evidemment notre relation incestueuse est toujours secrète sauf pour les membres du club. Mmm, vous puez grave les mecs.

-       Ouais ça plait aussi à nos pères, y nous aiment bien dég. Y disent que comme ça y peuvent nous nettoyer !

-       A propos j’ai pas mal discuté avec eux. Y m’ont dit que vous vouliez des scooters.

-       Ouais, mais y veulent pas nous le payer. Y disent qu’on doit travailler.

-       Ça vous dirait de gagner un peu d’argent ?

-       Sûr Olaf, faut faire quoi ? faire le jardin ? Sucer des bites ?

-       Non, pour ça vous avez pas besoin qu’on vous paye !  C’est aut’chose et vos pères sont d’accord. Surtout y z’ont pas envie de vous voir glander encore un mois avant la rentrée.

-       C’est quoi ?

-       Ben, j’ai un hôtel à 2 km d’ici.

-       La vache !

-       Ouais, bon j’ai un hôtel et pas assez de personnel pour faire les chambres pendant 15 jours. Ça vous dirait ?

-       Faut faire quoi ?

-       Ben de 11 heures à 4 heures de l’après-midi, vous devez nettoyer les chambres, faire les lits, changer les draps si la chambre change de locataire, nettoyer la salle de bains, les chiottes, etc…

-       C’est c’qu’on fait à la maison !

-       Ouais, je sais, et vous l’faites très bien d’après vos pères. C’est pour ça qu’je vous l’demande.

-       C’est payé combien ?

-       J’vous donne 400 € chacun pour les 2 semaines.

-       Ah ouais, pas mal. Ben j’crois qu’j’suis d’accord, moi. Et toi Kilian ?

-       OK pour moi aussi.

-       Bon, alors, on est d’accord ?

-       Oui, oui, et on commence quand ?

-       Vous avez encore un mois de vacances. J’aurais besoin de vous dans 2 semaines pour les 2 semaines suivantes. Ça vous laissera encore une semaine de vacances avant la rentrée. Ça va ?

-       Ok, encore merci Olaf.

-       De rien, mais j’vois qu’Inge a du aussi convaincre vos copines de travailler chez nous.

-       Elles vont aussi travailler au même hôtel ?

-       Oui.


On se rapprocha d’Olaf et pour le remercier, on lui roula une énorme pelle. On voyait que Sara et Célia remerciaient Inge de la même manière. Nos trois bouches étaient très proches et je pouvais sentir leurs deux langues s’insinuer dans ma bouche. Je flattais la queue d’Olaf tandis que Kilian lui pétrissait les couilles. Je me mis à genoux et léchais son énorme queue qui avait encore le gout du cul de Kilian. Je l’avalais progressivement, mais elle n’était qu’à moitié rentrée quand elle toucha ma glotte. Je me souvenais des entrainements avec Driss et mon père et essayais de ne pas m’étouffer, ni de gerber. J’eus quand même un petit haut-le-cœur quand son gland força ma glotte. Olaf poussait très lentement. Je levais les yeux et vis que Kilian lui tordait les seins avec les doigts tout en l’embrassant. Ce n’était donc pas lui qui me fouillait le cul. J’abandonnais un instant la queue d’Olaf et vis que c’était Éric qui m’assouplissait le conduit. Il finit par me mettre 4 doigts qu’il faisait coulisser. J’avais le cul en feu !


-       Putain Olaf, faut qu’tu m’la mettes maintenant.

-       Tu peux y aller papa, j’l’ai bien préparé. Tu vas voir, il a un cul d’enfer ! dit Éric.

-       Merci fiston !

-       Hé Kilian, si mon pédo de père encule ton copain, tu voudrais pas m’enculer toi aussi ? Ma mère m’a godé, mais j’aimerai bien sentir un peu de foutre au fond de mon cul. Kévin nique ma mère et tes copines se gouinent avec Liv.

-       Pas de problème, Éric. Tu t’mets à 4 pattes ?

-       Non. J’m’appuie sur le mur et tu rentres ta bite. Chris, viens t’mettre à côté d’moi et cambre bien tes fesses. Tu vas la sentir passer ! J’suis sur que tu vas aimer !


Je me mis donc à côté de Kilian, mains appuyées sur le mur, cambrant mes fesses et Olaf présenta son gland à l’entrée de mon anus et commença à pousser. Heureusement qu’Éric m’avait pratiquement sodomisé avec ses doigts. Je souffris un peu mais le gland passa et la douleur fut vite remplacée par plusieurs ondes de plaisir au fur et à mesure que la queue entrait. Olaf m’embrassait dans le cou tout en me tirant les tétons et lorsque que son pubis toucha mes fesses, je sus que je l’avais prise en entier. J’en éprouvais une fierté et je tournai la tête pour sourire à Olaf, qui enfonça sa langue dans ma bouche. Je bougeais les fesses pour me ramoner sur cette énorme bite et sentir le délicieux frottement de sa tige sur mes sphincters. Puis Olaf m’agrippa les hanches et c’est lui qui imprima le rythme. A côté, Kilian poussait des cris de plaisir et Éric n’était pas en reste. J’avais l’impression d’avoir une matraque dans le cul. Il se retira de mon cul et d’un coup m’enfonça ses 25 cm. Il fit cela bien une dizaine de fois me déclenchant des cris de de plus en plus forts. Ma queue était tendue au maximum et je n’arrivais pas à me branler car je devais me retenir au mur sous les coups de boutoir d’Olaf. Soudain il accéléra le rythme et je sus qu’il était proche de jouir. J’y allais de bon cœur, moi aussi, et je sentis la force de ses jets de sperme au fond de mon cul, me provoquant un orgasme anal que je n’avais encore jamais ressenti. J’éjaculais presque en même temps un torrent de foutre sur le mur. Kilian et Éric avaient déjà fini leurs petites affaires. Olaf se retira et ils se précipitèrent pour récupérer le sperme qui glissait de mon cul et se le partager en se roulant des pelles. Kévin nous rejoignit alors et nettoya la queue un peu brune de son père. Quand on eut fini de bien se lécher, les filles nous rejoignirent et on discuta tous ensemble. La rentrée scolaire était dans un peu plus d’un mois. Pour les trois enfants du couple, c’était une rentrée spéciale car tous allaient fréquenter de nouveaux lieus. On était tous dans le même lycée et Liv allait à la fac.


-       Ça t’fait peur ? me demanda Inge, entourée de Célia et Sara qui n’arrêtaient pas de tirer sur les anneaux qu’elle avait au sein et au sexe.

-       Ouais quand même un peu. On quitte un endroit où on était les grands et on va arriver en étant chez les « p’tits ».

-       Oh t’es grand et baraqué. T’as pas à avoir peur. Ça s’est bien passé pour Kévin et Éric, pis t’as surement d’aut’ copains du collège qui vont aller dans le même lycée !

-       C’est vrai c’est c’que dit papa aussi.

-       Pis y’a Kilian et mes pédales de fils, et vos copines. T’es pas tout seul ! Pis en plus d’après ce que j’ai vu, vous êtes pas vraiment dans le genre puceau boutonneux timide !

-       Ah ben ça ouais, quand on est ensemble on s’lâche, mais quand on est avec d’autres mecs ou nanas, on est plutôt réservés.

-       Ça vous passera. Regarde-toi et vous aussi les filles, on vous donnerait 16 ans facile ! A propos, arrêtez d’jouer avec mes piercings, vous êtes pires que mes fils, et j’suis fatiguée.


Etant crevés de notre journée de jardinage et de nos séances de baise, on alla tous se coucher. Il y avait 2 chambres dans lesquelles on pouvait s’installer. Après s’être brossés les dents et fait notre pipi du soir, on se retrouva « naturellement » les 5 mecs dans la même chambre et les filles dans l’autre. Le lit était grand mais pas assez pour 5 grands gaillards. Olaf se mit au milieu et ses fils à côté de lui. Kilian et moi nous mîmes tète bêche entre Olaf et chacun de ses fils. J’avais les pieds de Kévin dans la gueule. Ils dégageaient une bonne odeur, ayant fermenté dans des bottes en plastique toute la journée. Je commençais à lui sucer les orteils ce qui le fit rire et je me régalais de ses senteurs. Il glissa un peu et me lâcha un pet dans la gueule. On se fit alors un beau concours à cinq. La cuisine asiatique déclenchait des saveurs épicées et la chambre puait un max. Comme en plus on n’avait pas pris de douche, c’était un délice. Finalement on s’endormit tous les cinq d’un sommeil de plomb.


L’HISTOIRE DE CHRIS

Chapitre 10 - Installation des nordiques (Mmmm, Ffff, bi, inceste mère-fille, père-fils, entre frères, anal, oral, crade)