On discuta longuement la semaine d’après cette expérience avec Kilian et les footeuses au fil de nos rencontres. Bizarrement nos pères et mères nous laissaient tranquilles, sans doute voulaient-
Les gouines allaient partir en Italie et nous au camp. Comme promis, on fut sage avec Kilian mais on en profita quand même pour baiser quelques filles qui nous draguaient. Nos pères avaient mis à disposition une boîte de capotes qu’on ne fut pas long à épuiser ! On faisait ça plus par hygiène que par vrai désir, mais comme les filles nous le demandaient, on ne leur refusait pas, surtout qu’elles acceptaient de se faire enculer ! En plus on voulait acquérir un peu de savoir avec les chattes pour que Célia et Sara profitent de nos expériences. Ces filles croyaient qu’on avait 16 ans malgré notre absence de poils. Elles semblaient bien habituées au sexe et elles nous aidèrent à bien leur faire l’amour, nous guidant et nous montrant ce qu’elles désiraient. On n’avait vu que des filles à long clito. Elles nous montrèrent comment l’exciter et le faire apparaitre dans toute sa splendeur. Elles furent un peu rebutées par le smegma sous notre prépuce et refusèrent de nous sucer si on n’était pas propre. C’était la première fois qu’on baisait « propre » et seule l’envie d’apprendre et d’étonner nos copines fit qu’on se nettoya la bite. On arrivait à ne pas trop bander la journée, mais il faut dire que nos pères nous épuisaient bien pendant les soirées ou au petit matin, et que les différents sports que l’on pratiquait nous laissaient parfois sans force. Nos pères étaient un peu étonnés de nous trouver pas aussi sales que d’habitude, mais on leur expliqua pourquoi. Le crade commençait à nous manquer et on était impatient de rentrer pour rencontrer les pdbro. Ce fut la première fois qu’on quitta le camp heureux de rentrer, d’une part parce que on allait retrouver nos téléphones (Fred et Paul étaient intransigeants là-
A notre retour les pdbro nous dirent qu’ils étaient en plein déménagement, que leur nouvelle maison était à environ 5 km d’où on habitait et qu’ils seraient très heureux de partager quelques moments avec nous. Surtout ils seraient aussi enchantés si on venait leur donner un coup de main pour faire quelques travaux d’aménagement. Je voyais tout à fait le genre de coup de main qu’on pouvait leur donner ! Ils nous indiquèrent leur nouvelle adresse et rendez-
Le samedi matin, on se retrouva donc tous les quatre chez moi et on partit à vélo rejoindre les nordiques. La distance n’était pas pour nous effrayer, étant tous sportifs. Le weekend s’annonçait beau et chaud et on n’avait rien pris de spécial pour aller chez eux. Ils auraient bien une brosse à dent à nous prêter. Suivant les instructions du plan qu’on nous avait indiquées, on arriva devant une grande bâtisse entourée d’un mur de plus de 2 mètres. On sonna et la porte s’ouvrit. On pénétra dans un grand jardin envahi de mauvaises herbes. La maison était de plain-
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Les frangins vinrent aussi nous rouler une pelle de bienvenue . Tous sentaient fort et, autant les gouines que nous, aimions leurs odeurs puissantes. Leurs corps étaient magnifiques. Tous avaient les tétons hyper développés, aucun mec n’était circoncis et plutôt pourvu d’un long prépuce. Lors de notre première rencontre, je ne m’étais pas aperçu combien cette famille aux yeux bleu, aux cheveux blond (quand ils n’étaient pas teints) et courts, totalement imberbe, était belle et désirable. Ils avaient un énorme pouvoir d’attraction sur nous quatre et sans doute aussi sur nos parents. Ils respiraient la convivialité, l’empathie, la joie de vivre. En les croisant dans la rue, personne ne pouvait se douter qu’il s’agissait d’une famille incestueuse pratiquant les jeux sexuels les plus sales avec d’autres familles sauf peut-
Olaf était un géant nordique de 1,90 m, pas trop musclé, mais le corps encore pas mal foutu pour ses bientôt 40 ans et un long et épais sexe, d’au moins 18 cm au repos. En le regardant je me demandais si je pouvais entièrement l’avaler ou me le mettre dans le cul.
Contrairement à son mari, Inge était un petit bout de femme de 1,65 m, le corps pas déformé par ses trois grossesses. Elle avait les cheveux courts, un regard brillant. Elle avait pas mal de tatouages, du type tribal océanien, mais ce qui frappait chez elle était le nombre incroyable de piercings qu’elle avait : 2 à chaque téton, un anneau et une barre, un au nombril, un au clito, un au cul et surtout une ribambelle sur ses grandes et petites lèvres. Elle avait des petits seins à larges auréoles brunes.
Liv elle était plus grande que sa mère, environ 1,75 m, 17 ans, des cheveux assez courts comme sa mère. C’était comme Sara et Célia une footeuse lesbienne. Elle n’avait des piercings qu’aux tétons. Elle venait d’avoir son bac et allait rentrer en fac.
Éric, 16 ans, déjà 1,85 m, les cheveux teints en rose, avec belle bite de 20 cm que j’avais déjà eu dans le cul, allait rentrer en terminale. Lui avait des petits boutons d’acné sur le visage.
Kévin 15 ans, 1,80 m, avait lui les cheveux teints en bleu. Il était un peu plus petit que son frère mais pourvu d’une bite semblable. Il allait, lui, rentrer en première.
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La journée passa vite et même si de temps en temps, on ne pouvait s’empêcher de s’embrasser et de peloter avec les frangins et Kilian, on rendit le jardin presque présentable. Comme on était très souvent penchés pour ramasser les mauvaises herbes ou tailler des petits arbustes, y’avait toujours un doigt qui finissait par arriver dans un cul ! En fin d’après-
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Il commença à me doigter pour vérifier l’intérieur et ramena une petite boulette de merde qu’il étala sur mon torse avant de se lécher les doigts. De leur côté, Kilian et Kévin étaient aussi en pleine action : Kévin était assis dans un fauteuil et Kilian avalait toute sa queue.
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Je fis asseoir Éric et m’empalais directement sur sa bite. Je lui tournais le dos pour profiter du spectacle des autres. Avec ses mains il me pinçait mes tétons et je commençais à jouir du cul quand Olaf arriva, se mit à genoux pour sucer ma bite raide. Il dégagea le prépuce pour se repaitre de mon fromage. Il insinua un doigt dans mon cul à côté de la bite de son fils. Voyant cela, Kévin se détacha de Kilian et se mit derrière son père pour l’enculer pendant que Kilian se rapprocha d’Éric pour lui donner sa queue à sucer. On jouit à tour de rôle, déversant notre sperme soit dans un cul soit dans une bouche. Éric me dit de rester enculé sur sa bite et je me retournais pour le remercier en lui roulant une bonne pelle. Il avait la gueule pleine du sperme de Kilian. Olaf, qui n’avait pas joui, se releva encore bandé et fit signe à Kilian de se pencher vers Éric et moi. Il commença à enfoncer son énorme queue dans le cul de Kilian. J’étouffais ses cris en lui mettant ma langue dans sa bouche et Éric jouait avec nos tétons. Kilian souffrit un peu quand le gland passa l’anus mais bientôt un sourire de bonheur éclaira son visage pendant qu’Olaf le ramonait. De temps en temps il s’arrêtait.
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Pendant ce temps-
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Et il partit, mais je l’avais reconnu : c’était lui qui était venu chez nous et qui avait sans doute vu le sperme de mon père qui coulait de mon cul. Je compris alors son clin d’œil et sa queue bandée quand je lui avais tendu l’argent : il était sûr que je venais de me faire mettre. Olaf s’activa encore un peu et finit par lâcher sa purée dans le cul de Kilian. Il se retira et Kilian s’écroula sur Éric et moi. Il me murmura comment ça avait été génial et que les frangins étaient vraiment chanceux d’avoir un père aussi bien doté ! Je passais ma main sur le cul de Kilian, constatant qu’un énorme volume de foutre s’écoulait de son cul largement ouvert. Il avait quand même dû déguster, mon pote, mais au fond de moi, si j’ose dire, j’étais impatient de me faire enculer par la plus grosse bite que j’ai jamais vue. Après un petit moment Kilian se releva, et Éric me poussa pour enfin pouvoir se lever, car il commençait à avoir des crampes. On se dirigea alors vers la table où le livreur avait déposé les paquets. Pendant qu’on mangeait, Kilian et moi discutions ave Olaf, Sara et Célia avec Liv et sa mère. Les frangins n’arrêtaient pas de nous peloter en riant, s’attardant surtout sur nos culs. Olaf nous prit à part Kilian et moi, pendant que Liv et Inge discutaient avec Sara et Célia. Kévin et Éric avaient disparu.
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On se rapprocha d’Olaf et pour le remercier, on lui roula une énorme pelle. On voyait que Sara et Célia remerciaient Inge de la même manière. Nos trois bouches étaient très proches et je pouvais sentir leurs deux langues s’insinuer dans ma bouche. Je flattais la queue d’Olaf tandis que Kilian lui pétrissait les couilles. Je me mis à genoux et léchais son énorme queue qui avait encore le gout du cul de Kilian. Je l’avalais progressivement, mais elle n’était qu’à moitié rentrée quand elle toucha ma glotte. Je me souvenais des entrainements avec Driss et mon père et essayais de ne pas m’étouffer, ni de gerber. J’eus quand même un petit haut-
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Je me mis donc à côté de Kilian, mains appuyées sur le mur, cambrant mes fesses et Olaf présenta son gland à l’entrée de mon anus et commença à pousser. Heureusement qu’Éric m’avait pratiquement sodomisé avec ses doigts. Je souffris un peu mais le gland passa et la douleur fut vite remplacée par plusieurs ondes de plaisir au fur et à mesure que la queue entrait. Olaf m’embrassait dans le cou tout en me tirant les tétons et lorsque que son pubis toucha mes fesses, je sus que je l’avais prise en entier. J’en éprouvais une fierté et je tournai la tête pour sourire à Olaf, qui enfonça sa langue dans ma bouche. Je bougeais les fesses pour me ramoner sur cette énorme bite et sentir le délicieux frottement de sa tige sur mes sphincters. Puis Olaf m’agrippa les hanches et c’est lui qui imprima le rythme. A côté, Kilian poussait des cris de plaisir et Éric n’était pas en reste. J’avais l’impression d’avoir une matraque dans le cul. Il se retira de mon cul et d’un coup m’enfonça ses 25 cm. Il fit cela bien une dizaine de fois me déclenchant des cris de de plus en plus forts. Ma queue était tendue au maximum et je n’arrivais pas à me branler car je devais me retenir au mur sous les coups de boutoir d’Olaf. Soudain il accéléra le rythme et je sus qu’il était proche de jouir. J’y allais de bon cœur, moi aussi, et je sentis la force de ses jets de sperme au fond de mon cul, me provoquant un orgasme anal que je n’avais encore jamais ressenti. J’éjaculais presque en même temps un torrent de foutre sur le mur. Kilian et Éric avaient déjà fini leurs petites affaires. Olaf se retira et ils se précipitèrent pour récupérer le sperme qui glissait de mon cul et se le partager en se roulant des pelles. Kévin nous rejoignit alors et nettoya la queue un peu brune de son père. Quand on eut fini de bien se lécher, les filles nous rejoignirent et on discuta tous ensemble. La rentrée scolaire était dans un peu plus d’un mois. Pour les trois enfants du couple, c’était une rentrée spéciale car tous allaient fréquenter de nouveaux lieus. On était tous dans le même lycée et Liv allait à la fac.
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Etant crevés de notre journée de jardinage et de nos séances de baise, on alla tous se coucher. Il y avait 2 chambres dans lesquelles on pouvait s’installer. Après s’être brossés les dents et fait notre pipi du soir, on se retrouva « naturellement » les 5 mecs dans la même chambre et les filles dans l’autre. Le lit était grand mais pas assez pour 5 grands gaillards. Olaf se mit au milieu et ses fils à côté de lui. Kilian et moi nous mîmes tète bêche entre Olaf et chacun de ses fils. J’avais les pieds de Kévin dans la gueule. Ils dégageaient une bonne odeur, ayant fermenté dans des bottes en plastique toute la journée. Je commençais à lui sucer les orteils ce qui le fit rire et je me régalais de ses senteurs. Il glissa un peu et me lâcha un pet dans la gueule. On se fit alors un beau concours à cinq. La cuisine asiatique déclenchait des saveurs épicées et la chambre puait un max. Comme en plus on n’avait pas pris de douche, c’était un délice. Finalement on s’endormit tous les cinq d’un sommeil de plomb.
L’HISTOIRE DE CHRIS
Chapitre 10 -