En rentrant j’allais directement me coucher, épuisé par ce week-end fatigant mais tellement bandant. Je jouais un peu avec mes nouvelles pinces à tétons en regardant un dvd que Tina m’avait prêté où 4 ados thaïs passaient leur temps à niquer et à se chier dessus et je m’endormis. Le lendemain, mon père m’annonça qu’il devait partir jusqu’à la fin de la semaine pour une plaidoirie dans une ville assez éloignée. C’était habituel chez lui de m’avertir au dernier moment et de s’absenter quelques jours. J’allais donc passer le reste de la semaine chez Kilian. On alla rechercher nos vélos chez Sara et on passa toute la semaine à faire des balades, à faire du foot, du basket, du skate et à jouer tous ensemble avec nos nouveaux jouets. Le soir, Fred profitait bien de ses deux petits culs qu’il avait à disposition, mais il nous faisait aussi bien profiter du sien ! On baisait toujours dans la chambre de Kilian qui devenait au fil des jours une vraie porcherie, même si on ne faisait pas de scato. Mais à force de ne pas se laver et de ne pas se torcher, il y avait des traces de tout sur les draps ! On ne baisa pas avec nos copines, les laissant s’amuser toutes seules elles aussi avec leurs nouveaux jouets. Par contre on les regardait et elles nous regardaient quand l’envie nous prenait de nous niquer ! Le principal sujet de discussion était notre visite du samedi à la PHIAC. A la fin de la semaine on était tous impatients, curieux mais quand même un peu angoissés d’aller pour la première fois dans un sex-club, en plus un peu particulier. Comme convenu, on ne s’était pas trop lavé. Les seules fois on voyait l’eau étaient quand on allait se baigner à la rivière. Ça suffisait pour nous décrasser et quand même garder nos odeurs d’ados. Mon père rentra le vendredi soir et vint me chercher chez Killian. Kilian avait besoin de se trouver seul avec Fred et on partit assez vite, mon père étant fatigué d’avoir conduit plus de 400 km. Arrivés à la maison, nos vêtements volèrent et je me jetais dans ses bras en le couvrant de baisers.


- Tu m’as manqué, fiston !

- Toi aussi papa ! T’es fatigué ?

- Ouais, mais on a gagné le procès. Mmm, dis donc t’es bien préparé pour demain, tu sens bon !

- Ben on a respecté les consignes : on s’est juste baigné à la rivière.

- Pas trop inquiet pour demain ?

- Si un peu. Comment ça va se passer ?

- Tu verras bien.

- Tu vas rester avec moi ?

- Pas tout le temps. Y’a des formalités, disons, administratives : tu dois d’abord avoir un entretien pour savoir si tu veux vraiment être inscrit. Pour ça tu dois être seul pour ne pas subir mon influence.

- J’vois pas bien ?

- Ben on veut être sûr que c’est ta décision à toi de venir dans ce club et que tu n’y es pas forcé. Kilian, Sara et Célia auront le même entretien.

- Y’aura qui ?

- J’crois que pour vous les mecs ce sera Olaf ou un des pdbro.

- Olaf ?

- Le père des pdbro. C’est lui qui a ouvert ce club.

- Waouh, et un jeune il a l’droit de faire cet « entretien » ?

- Ouais, tu s’rais pas plus à l’aise avec un mec de ton âge ?

- Euh, sans doute. Et pour Sara et Célia ?

- Ben, Inge, la femme d’Olaf, et Liv leur fille. Allez, mec détends-toi. Si ça vous plait pas, suffit de l’dire. Bon, j’ai faim et j’suppose qu’y a rien au frigo vu qu’t’étais chez Kilian. Tu veux aller au resto ?

- Non, faut s’habiller pis c’est toujours long à servir. Dis, on peut commander chez le thaï ?

- OK, Chris, commande c’que tu veux pour moi !


Je commandais des rouleaux de printemps, des raviolis, des beignets de crevettes et aux ananas. J’entraînais mon père dans ma chambre et le fit allonger dans mon lit et ma bouche s’empara de son corps le couvrant de baiser, lui mordillant les tétons. J’atteignis sa bite que je commençais à sucer et mes doigts lui frôlaient sa rosette. Je bandais comme un fou de retrouver mon père alors qu’il n’était parti que 4 jours !


- Dis donc papa, -- slurp -- ta queue sent un peu la merde – slurp -- et j’ai l’impression qu’ton cul a du foutre ! T’as fait quoi ?

- J’suis passé au club pour confirmer notre venue demain.

- Et t’as baisé !

- Ouais, avec Kévin, le plus jeune des pdbro.

- C’est pour ça qu’t’es fatigué, mon salaud ?

- Ouais, mais t’inquiète, j’ai encore assez de force pour t’la mettre ! Par contre j’m’assois et tu viens t’embrocher.


Mon père se leva, me roula une pelle et s’assit dans mon fauteuil. Ses mains écartaient mes fesses. Il prit du lubrifiant et m’inonda le cul avec. Je pus alors sans douleur m’empaler sur son zob, montant et descendant sur cette tige. C’était comme d’habitude extraordinaire. Je pouvais maintenant m’enfoncer toute sa bite dans le cul, mes fesses touchant son pubis. Je restais comme cela quelques secondes profitant de sentir cette chaleur au creux de mes reins. Je sentis bientôt ses jets de sperme me taper le colon quand on sonna. Merde le livreur. Je découlais et enfilais vite un short pour aller ouvrir, toujours bandé. Le livreur qui devait avoir dans les 15 ans, me tendit le carton de nourriture en fixant son regard sur mon short tendu. Il esquissa un petit sourire. Faisant semblant de rien, je le remerciais et allais chercher de l’argent. Je sentis le sperme couler de ma raie. Je me mis la main au derrière et constatais que mon short était trempé. Je me redirigeais vers la porte et le vis se massant le paquet. Je voyais bien sa bite déployée dans son short. Je lui donnais l’argent qu’il prit et me dit au revoir avec un grand sourire et un clin d’œil. Putain j’avais fait une touche avec ce mec aux yeux bruns et aux cheveux en bataille. Je le regardais s’éloigner en matant son petit cul bien moulé dans son short quand mon père me tapa sur l’épaule :


- Hé Chris, reviens sur terre et rentre, ça va refroidir.

- Hé pap, le mec bandait.

- La vache, heureusement qu’il a pas vu la tache de sperme sur ton short !

- J’crois qu’si !

- Ouais, bon, c’est pas la première fois qu’t’as du sperme dans le cul, Chris !

- C’est quand même la première fois que qu’un inconnu le voit !

- Y t’plaisait le p’tit jeune ?

- J’crois oui.

- Ah ben c’est qu’tu veux élargir ton horizon !

- Lui élargir le cul plutôt !

- Ah ah ah …


On regarda les infos à la télé en mangeant. Mon père alla se coucher tôt, crevé par sa semaine de boulot. J’allais dans ma chambre me faire un dvd, puis j’allais me coucher. Je lis un peu de SF avant de m’endormir et me fis une branlette pour cartonner un peu plus mes draps et dodo !


Je me réveillai le lendemain tôt, excité mais aussi un peu anxieux par mon introduction à la PHIAC. On devait y aller vers 3 heures l’après-midi. Mon père travaillait dans sa chambre. Je téléphonais à Kilian pour discuter et lui raconter la scène avec le livreur. Puis on parla un peu de ce qui allait se passer l’après-midi.


- Dis donc, Kilian, t’angoisses pas un peu ?

- Si mais bon, papa m’a dit qu’c’allait bien s’passer.

- Y t’a dit ce qu’on allait faire ?

- Ben s’inscrire et nous donner le droit d’entrée. Y’aura comme un examen avec beaucoup de questions sur nous, nos gouts, nos envies.

- Ouais c’est aussi c’que mon père m’a dit. On s’ra pas ensemble ?

- Non j’crois pas. C’est un entretien individuel, comme pour Sara et Célia.

- Tu t’fringues comment ?

- Comme d’hab.

- A poil alors ?

- T’es con, non le minimum et de toute façon, j’suis sûr qu’ça va finir en baise !

- Tu t’mets des trucs propres ?

- Euh, non, et faut pas s’laver. J’crois qu’on nous veut plutôt crades.

- OK A+.


A midi, je préparais à manger pour mon père et moi. Il sentait bien que j’étais nerveux et tentait encore de de me rassurer. Après le repas, j’allais dans ma chambre me tirer les tétons et au moment de partir je mis un débardeur bien moulant, mettant bien en relief la pointe de mes seins, et de mon short de basket pas lavé depuis des mois. Le club était à une vingtaine de km dans la campagne et on y accédait par un chemin privé qui débouchait sur une belle bâtisse. Une grille s’ouvrit automatiquement. Mon père m’expliqua qu’il y avait une caméra reconnaissant la plaque d’immatriculation. On se gara et je reconnus la voiture de Fred parmi une dizaine d’autres. Mon père sonna, et mis sa tête devant une caméra et la porte d’entrée s’ouvrit. On put rentrer dans une pièce qui devait servir d’accueil, quelques fauteuils, un bureau de réception, quelques statues de mecs et de filles à poil, du genre qu’on voit en Grèce. Je tremblais un peu d’émotion en entrant et fut accueilli par :


- J’vous attendais, Fred et Kilian sont déjà arrivés. Putain il est canon ton fiston, Paul, super sexy. T’aurais pu nous le présenter plus vite !

- Cool mon gars, laisse-le arriver. T’as passé la nuit ici Kévin ?

- Ouais y’avait une super ambiance. J’ai quand même dormi un peu avec mon frangin.

- Ca se voit que c’est le week-end crade, t’as encore de la merde dans les cheveux, Kévin.

- Pas que dans les cheveux, Paul.

- Ah ouais, j’vois ça ! T’en as un peu partout.


Je vis alors mon père rouler une pelle à un garçon à poil qui devait avoir mon âge et qui était le plus jeune des pdbro. Il était un peu plus petit que moi, tout blond, pas un poil sur le corps, les cheveux teints en bleu, des tracs de merde un peu partout sur le corps. Il puait le sexe et son corps dégageait une forte odeur qui me fit bander. J’avais devant moi un ado hyper-négligé. Je ne l’avais vu qu’en photo ou vidéo sur le réseau et ça faisait drôle de le voir en vrai. Mon père était très à l’aise, mais je ne savais pas quoi dire quand Kévin vint me saluer. Il me fit un petit bisou sur les lèvres, me prit par la main et tenta de me rassurer.


- Alors c’est toi le fameux Chris !

- Euh, fameux ?

- Ouais, ton père arrête pas de parler de toi. Il est très fier de toi tu sais, y parait qu’t’es vachement bon à l’école et qu’au basket tu t’débrouilles bien.

- Euh ouais, pas mal.

- Pis parait aussi qu’en baise, t’es un super coup d’après lui !

- Euh … ah bon ?

- Hé mec, tu sais dire qu’Euh ?

- Euh non.

- Paul, tu l’as prévenu que c’était le week-end scat ?

- Non, mais il s’en est aperçu. T’as vu comme y bande rien qu’à t’voir et t’sentir. J’t’ai dit qu’ol était comme toi e ton frère, un ado bien crade-

- Ah ouais, j’vois ça et j’le sens aussi !

- Bon, les djeunes j’vous laisse. J’vais aller m’amuser pendant qu’t’introduis Chris !

- Vas-y Paul, à tout-à-l’heure !


J’étais un peu inquiet de me retrouver seul avec Kévin, ne sachant pas ce qui allait se passer.


- Cool, mec ! J’sais qu’c’est impressionnant la première fois qu’on vient ici. Quand j’ai su qu’tu v’nais j’voulais que ce soit moi qui t’accueille. Éric, mon frangin s’est occupé de Kilian un peu plus tôt.

- Kilian est déjà là ?

- Ouais, il a passé son entretien de bienvenue et il est maintenant inscrit au club.

- Y’a un examen ?

- Non c’est juste que tu dois répondre à des questions sur tes goûts en matière de sexe. Allez, déshabille-toi, ça devrait être vite fait ! Waouh, t’as des super tétons et t’as de bonnes odeurs !

- Euh, ouais, papa m’a dit qu’on était plutôt en mode crade ici, pis les tiens d’tétons sont pas mal aussi !

- File-moi ton short. Mmm de bonnes traces devant et derrière. T’as une belle queue, mec. Et putain t’es grand pour tes 14 ans !

- T’es pas mal bâti, toi aussi.

- Bon, quand on introduit quelqu’un dans ce club, les jeunes interrogent les jeunes et les vieux se débrouillent entre eux. J’vais ranger tes affaires, t’en as plus besoin ici. T’es prêt ?

- Ouais.

- T’as quel âge ?

- 14. Et toi ?

- Hé, c’est moi qui pose les questions ! J’en ai 15, mon frère 16 et ma sœur 18. T’es en quelle classe ?

- J’vais renter au lycée en seconde cette année.

- Waouh, ca sera une grosse étape. OK, ça fait longtemps qu’t’éjacules ?

- 2 ans environ.

- Depuis combien de temps t’as des relations sexuelles ?

- Avec Kilian, au moins 3 ans, même quand on éjaculait pas !

- Et avec ton père ?

- Un peu plus d’un an.

- D’aut’ mecs ou nanas ?

- Euh oui, Driss un black un peu plus vieux qu’moi et qui baisait aussi mon père.

- Ah ouais, y v’nait de temps en temps ici. Et…

- Ben l’père de Kilian, pis mes copines gouines.

- Elles sont aussi déjà là, si tu parles de Sara et Célia.

- Yep. J’crois qu’c’est tout.

- Tu préfères les filles ou les mecs ?

- Les mecs, j’crois, mais on a baisé aussi avec Sara et Célia et leurs mères.

- T’aimes le crade ?

- J’adore !

- Mais quoi encore ?

- Ben les odeurs. D’ailleurs toi tu pues pas mal, ça m’fait un peu bander, comme toi d’ailleurs !

- Normal que j’pue, j’suis là depuis hier matin et j’suis arrivé crade ! D’autres trucs ?

- Ben la sueur, la pisse, la merde.

- Tu t’laves souvent ?

- Non, mais c’est déjà trop !

- Tu bois la pisse ?

- Ouais.

- Tu manges la merde ?

- Non, j’ai pas envie, mais j’aime bien l’étaler.

- T’aimes quand on t’vomit d’sus ?

- J’sais pas, ça s’est jamais produit, mais j’trouve ça quand même dég.

- Tu fais des gorges profondes ?

- Ouais j’arrive maintenant à prendre la queue de mon père en entier. C’est Driss et mon père qui m’ont appris.

- Sans dégueuler ?

- C’est vrai qu’au début ça m’faisait un peu gerber, mais maintenant ça va.

- Tu fais du sport ?

- Ouais, basket, skate et on fait beaucoup de balades à vélo.

- Ça s’voit, t’es bien musclé. Tu t’rases ?

- Non j’ai pas de barbe.

- Non j’parlais de ta bite et d’ton cul !

- Ah pardon, oui, j’aime bien quand c’est lisse.

- Tu t’branles ?

- Ben ouais comme tout le monde.

- Est ce qu’on t’a déjà forcé ?

- Jamais !

- Si tu viens dans ce club, tu sais que tu ne seras jamais forcé à faire des choses que tu ne veux pas.

- J’espère bien !

- Ça veut dire aussi que tu ne dois pas forcer les autres.

- J’suis OK !

- Tous les membres du club ont plus de 14 ans. Tu verras p’têt des mecs que tu connais, voire même de ton collège ou de ton futur lycée ! A l’intérieur on peut tout s’dire ou s’faire mais à l’extérieur tu dois jamais faire de gestes ambigus avec eux quand tu les rencontres en public. D’accord ?

- D’accord !

- T’es jaloux ?

- J’crois pas. J’sais qu’mon père y m’aime plus que tout et ca me dérange pas qu’y baise avec Fred ou Kilian ou même avec toi. Y m’a raconté pour hier soir.

- Alors bienvenue au club, Chris ! Viens, on va rejoindre Kilian et Éric.

- J’peux poser une question.

- Sûr !

- C’est toujours toi qui poses les questions ? Et à quoi ça sert ?

- Ouais, j’le fais depuis 1 an. Avant c’était mon père ou un aut’jeune qui l’faisait mais il trouve qu’entre jeunes c’est mieux. Et pis ça sert qu’à une chose. On sait qu’les mecs qui viennent ici ont des relations incestueuses, que leurs parents sont pédos, qu’ils sont plus ou moins crades et qu’ils vont répondre oui à presque toutes les questions. On s’en fout, mais au début tu tremblais presque de peur puis au fur et à mesure des questions, t’as pris de l’assurance.

- Ah j’vois. Ben merci alors, Kévin.

- De rien, Chris. Allez, n’aie pas peur. On va passer un moment avec Kilian et Éric, mon frangin.

- Depuis le temps qu’on voulait vous voir !

- Ouais, nous aussi, mais y ‘a pas de traitement de faveur. La première fois Éric et moi on s’occupe des jeunes et mon père s’occupe des pères. Du côté filles, Liv, ma sœur s’occupe de Célia et Sara. On les retrouvera après.

- Et mon père il est où ?

- Oh ben y doit prendre du bon temps quelque part !

- Faut payer queq’chose ?

- Les parents s’en occupent. Bon tu vas voir. La pièce où on va est une grande pièce circulaire. Tout autour y’a des alcôves où on peut s’isoler à plusieurs. Mais on peut aussi rester dans le centre si on veut partouzer à beaucoup. On a réservé une alcôve pour nous 4. Ce week-end, c’est extrême crade.

- Extrême ?

- Ça veut dire qu’on pratique le scato et qu’ça pue partout. On fait un week-end comme ça toutes les 3 semaines.


En traversant la pièce, je sus que je rentrais dans un univers plus que crade. Ça puait fort les chiottes publiques. Je crus reconnaitre mon père en train d’enculer un ado et deux autres mecs pissaient sur eux. On arriva dans une alcôve où Éric et Kilian étaient en train se de rouler des pelles. Comme chez Tina tout était carrelé et les fauteuils et matelas en matière facilement lavable. La déco était plus que suggestive : il n’y avait que des photos d’ados mecs et filles à poil en train de sucer, de s’enculer, de chier, de pisser. Plusieurs écrans diffusaient des films de pédos et de scatos. Quelques sex-toys étaient à disposition. Il y avait aussi une table où quelques boissons et sandwiches étaient à disposition. Éric m’accueillit en me roulant une galoche.


- Enfin les adocrade et les pdbro réunis !

- Euh salut j’suis Chris.

- Bienvenue Chris. Kilian est déjà bien chaud. On va bien s’amuser, mais d’abord on bouffe !


Éric était aussi grand que moi et il avait une très longue queue assez fine et avait visiblement quelques boutons d’acné. Comme son frère c’était un grand blond, rasé, mais lui avait les cheveux rose ! Tout en mangeant ils nous racontaient leur histoire. Ils venaient de Norvège. Pour le travail ils avaient déménagé en France juste après la naissance d’Éric. Le père, Olaf, était informaticien et avait fait fortune dans le développement de programmes informatiques liés à la sécurité. Il avait investi son fric dans l’immobilier, plusieurs restaurants style kebab ou chinois et un sex-shop. La famille vivait de ses rentes et pouvait vivre tranquille jusqu’à la fin de leurs jours. Les parents et avaient cherché comment assouvir leur passion, tout en menant la vie la plus simple possible. Ils voulaient aussi donner à leurs enfants la meilleure éducation et la possibilité de développer leur sexualité dans la plus grande liberté possible. Ils aimaient le sexe sous toutes ses formes et avaient décidé d’ouvrir ce club très confidentiel en province. Ils étaient arrivés dans la région 5 ans auparavant. Leurs parents leur avaient très vite appris à jouer avec leurs corps et surtout ne jamais en avoir honte. Ils leurs dirent aussi que ça ne les gênait pas s’ils se tripotaient devant eux, où que ce soit dans la maison ou le jardin, et pour le prouver, ils firent l’amour devant eux. Les enfants appréciaient de voir leurs parents baiser sans honte surtout que parfois ils les invitaient à se joindre à eux. Comme nous ils devinrent les 3 accros à leurs odeurs d’ados. Leurs douches s’espacèrent, puis au cours d’une séance entre la fratrie, Kévin sortit sa queue merdeuse du trou d’Éric, et sa sœur et lui nettoyèrent son zob sans dégout. Ils commencèrent alors à se faire des séances de plus en plus crades. Leurs parents semblaient apprécier les odeurs qu’ils dégageaient et ils les encourageaient plutôt. Dès qu’un enfant atteignait 12 ans, ils lui faisaient l’amour et maintenant ils baisaient souvent tous les 5 ensemble. Puis dès qu’un enfant avait 14 ans, il était introduit au club pour découvrir d’autres partenaires. Le club était un lieu de rencontre pour pédos. C’est Olaf le père qui avait aussi créé le réseau. Quand on venait au club, ce n’était pas pour baiser en famille, mais pour découvrir d’autres corps et parfois d’autres pratiques. Les frangins se faisaient mettre par les pères et les fils, mais ils appréciaient aussi de rentrer leur bite dans des culs sales ou des bonnes bouches ! Ils étaient tous complètement bisexuels. On était de plus en plus excités par tout ce qu’ils nous racontaient.


- Putain, vous avez des parents vachement cools !

- J’crois qu’vos pères l’sont aussi ! Bon, maintenant qu’on a bien bouffé, ça vous dirait qu’on se fasse une bonne séance ? Y’a vos queues qui suintent les pédés !

- Ouais, après tout on est venu pour ça !

Tout le monde bizarrement se mit à péter dans l’alcôve. L’odeur était aphrodisiaque !

- Mmm tu pues bon le thaï. On va bien rigoler, surtout que ta raie me parait bien sale !

- C’est vous qu’avez demandé à ce qu’on soit dég ! On est pas lavé et pas torché depuis le début des vacances. On se décrasse juste la merde quand ça tourne scato.

- Ah c’est ça l’odeur aussi ! T’as pas encore tout vu, Chris. Vous allez être surpris.


Les 2 frangins nous allongèrent sur un matelas et ils nous léchaient partout, aisselles, pieds, visage, couilles, culs, ventre, et on leur rendait la pareille. Autant Kévin qu’Éric avaient un peu de merde sur le corps et on prenait plaisir avec Kilian à les nettoyer, pis à leur rouler des pelles. Ça daubait fort les ados négligés et nos queues étaient toutes dressées. On se mordillait et tirait les tétons que nous avions tous très sensibles. Les frangins devaient aussi se les tirer vue leur longueur et épaisseur. On était tous excités de découvrir de nouveaux corps à palucher, à lécher… On pétait tous à qui mieux-mieux. C’était un vrai plaisir. Les bouches de frangins descendaient vers nos bites et ils commencèrent à jouer avec nos prépuces. S’étant rendu compte qu’aussi bien Kilian que moi avions un peu de fromton, ils en récupéraient et se le passaient sur les lèvres et venait nous embrasser. Les 2 étaient en 69 sur nous et on pouvait Kilian et moi bien profiter de leur cul dég et puant dans lequel on insérait notre langue. Ils devaient avoir l’habitude de se faire mettre car leurs culs s’ouvraient déjà très grands, surtout quand ils pétaient. On se roulait des pelles avec Kilian de façon à échanger leurs odeurs de cul, puis ils vinrent nous embrasser avec tout le smegma qu’ils avaient récupéré et on échangea nos places : on s’occupait de leurs bites puantes et ils nous trouaient le cul avec leurs langues. Eux aussi avaient un peu de fromage sous leur prépuce. Ces frangins étaient des experts dans le léchage de cul. Je sentais que le mien s’ouvrait naturellement sous les coups de langue d’Éric. J’avais tout à coup une terrible envie de chier mais je me retenais en serrant les sphincters pour ne pas perturber Éric. Je voyais que Kilian avait l’air de faire les mêmes efforts et que les frangins se retenaient aussi. Soudain les frangins se retournèrent et s’enfoncèrent nos bites dans leur cul sans trop d’effort. Les deux montaient et descendaient sur nos bites en rythme et Kilian et moi les branlions en même temps. Leurs culs étaient chauds et nos bites ne furent pas longues à cracher au fond de leurs intestins. Nous jouîmes presqu’en même temps. Ils déculèrent et sans attendre, remontèrent nos genoux sur nos épaules et mirent leurs bites dans nos culs. Leur jouissance fut presqu’instantanée ! Ils restaient dans nos culs et je dis à Éric que je devais aller chier :


- Putain Éric, faut qu’j’y aille, ça va sortir, j’peux plus me retenir.

- Normal on a mis du laxatif dans la bouffe !

- Merde, vous êtes dég.

- Ouais et on aime ça, pas vous ?

- J’sais pas c’est la première fois qu’je prends un laxatif !

- Pas le laxatif, ducon, la merde ! Sur vot’ vidéo, vous en aviez partout !

- Faut qu’j’y aille ! dit Kilian.

- Ben allez-y les mecs, poussez.

- Bordel vous êtes de vraies salopes les frangins. Mais on va en fout’ partout !

- Et alors, j’espère bien. Regarde Kilian, y commence à lâcher sa bouse sur la queue de Kévin. Vas-y mec lâche-toi.


Et tout d’un coup je ne pus plus me retenir et je lâchais un flot de diarrhée qui passait autour de la bite d’Éric. Il se retira et me monta les fesses pour que ça coule sur mon corps. C’était si puissant que j’en eus un peu sur la gueule et les cheveux. Puis il se mit la tête sous mon cul pour recevoir la fin de ma chiasse. Kévin et Kilian avaient effectué le même scénario ! Une fois le flot tari, les 2 frangins vinrent poser leur cul sur nos gueules et se lâchèrent. L’odeur était immonde mais putain quel pied de recevoir leurs bouse liquide sur nos corps. Une fois vidés, on se palucha, se frotta les uns contre les autres si bien que pas un centimètre de notre peau n’était épargné. Le laxatif était puissant car toutes les 5 minutes on avait une nouvelle arrivée de chiasse. On se roula les uns sur les autres. De la merde, mélangée à nos spermes, continuait de s’écouler de nos culs et on se l’étala sur tous nos corps. On ne se reconnaissait plus. On se mettait les doigts dans le cul. On suçait tour ce qui passait à côté de nous. Chacun de nous jouit une deuxième fois avant qu’on se mette les 4 à se pisser les uns sur les autres.


- Fred et Paul nous avaient bien dit que vous étiez des pédales crades et que vous apprécieriez ce petit bal ! On s’emmerde pas avec vous, pas de chichis !

- Ben moi j’trouve qu’on s’emmerde bien ! Vous avez fait le coup du laxatif avec eux ?

- Ouais, c’est un plan qu’on fait avec les nouveaux qui viennent nous trouver.

- Vous aimez bien baiser avec des adultes pédos ?

- Ouais mais on aime aussi les jeunes comme vous ou les 2 ensemble ! En plus avec votre look c’est exotique ! Vous êtes super mignons et on voit que c’est pas votre 1ère…

- Merci, pis question exotisme on est servis avec des norvégiens couverts de merde. Pis vous aviez not’ vidéo, non ? Vous saviez qu’on allait super aimer ! Hein Kilian ?

- Ouais ça me change de toi, face de riz. Vous baisez souvent comme ça ?

- Ben ici toujours. Vous nous avez tout de suite tapé dans l’œil dès qu’on a vu vot’ profil et surtout votre vidéo merdeuse. On avait été prévenus par vos pères que vous alliez pas tarder à venir, mais on a trouvé le temps long.

- Ben on avait pas encore 14 ans ! Z’avez pas de problème d’être crade à l’école ?

- Pas trop, on fait gaffe quand même. On s’lave de temps en temps, mais là c’est les vacances et on peut enfin se passer de douches.

- Pis vos cheveux, ça passe bien ?

- Ouais tu sais au lycée où on va tous les 3 y’a aussi des punks, des percés, des tatoués.

- Ben là vous êtes plutôt devenus brun ! Vous faites du sport ?

- Ouais on est dans l’équipe de basket du village. Y’a une super salle toute moderne et à la Toussaint y’a un tournoi départemental organisé chez nous.

- Super nous aussi on joue. On va p’têt jouer contre vous l’année prochaine à ce tournoi ! Y’a aussi d’aut’ pédales dans vot’ école ou au basket ?

- Heu ouais, y’a Marc qui joue au basket avec nous. On savait juste qu’il était crade car on voyait bien qu’y prenait jamais d’douches comme nous et qui changeait pas de fringues. Il est très timide, petit pour son âge. Lui, y baise avec ses parents depuis qu’il a 10 ans ! Au début y z’étaient pas crades mais ses parents ont bien aimé quand il a commencé sa puberté et qu’il a commencé à devenir l’ado négligé type. Ils ont alors découvert qu’y z’aimaient bien baiser dans la merde et la pisse. Ses parents étaient en contact avec des pédos canadiens qui leur ont indiqué le site et le club. Quand il nous a vus, il a été aussi surpris qu’nous.

- Et vous baisez avec lui en dehors du club ?

- Ouais chez lui ou chez nous. On évite dans le vestiaire pour pas être tenté s. Faut qu’on vous dise aussi qu’au club on baise rarement en famille. On vient là pour découvrir d’aut’ mecs comme nous. La famille on l’a tous les jours à la maison !

- Va falloir quand même se décrasser là, non ?

- Pas la peine, ça vous gêne de rester comme ça jusqu’à demain ? Y’a surement des mecs ou des nanas qui vont vouloir vous troncher ou se faire niquer par vous. Les gens qui sont là ce week-end sont là pour baiser et ils adorent quand y’a des p’tits nouveaux et des p’tites nouvelles, surtout couverts de merde.

- Eh, on n’est pas des putes non plus !

- Désolé j’me suis mal exprimé. Vous pouvez toujours dire non, mais ça m’étonnerait qu’vous soyez si timides que ça !

- Moi, non, et toi Kilian ?

- Non c’est OK pour moi aussi. Mais on reste jusqu’à demain ?

- Ben ouais, vous aviez prévu aut’chose ?

- Non.

- Nous on reste ici tous les week-ends scatos. On adore tous se vautrer dans la merde.

- Célia et Sara elles sont là aussi ?

- Ouais, on peut les rejoindre si vous voulez. Comme ça vous connaitrez notre sœur, Liv. Elle a 18 ans et elle c’qu’elle aime c’est les p’tites jeunes. J’crois même qu’elle aimerait bien baiser avec des gamines de 12-13 ans. Remarque que moi qu’en ai 16, j’aimerai bien faire la sortie des collèges pour voir. On discute avec nos parents pour baisser l’âge à 12 ans, mais y sont pas trop chauds. On leur dit que ceux ou celles qu’ont 14 ans peuvent avoir des frères et des sœurs plus jeunes qui participent déjà à des orgies familiales !

- Pas faux ! Et vot’ sœur, Liv, elle a aussi mis du laxatif pour nos copines ?

- Bien sûr, à c’t’heure elles doivent être comme nous : marron de la tête au pied ! J’crois qu’elles sont pas loin, mais on peut faire d’abord un tour pour visiter.


On fit donc le tour. Dans la pièce centrale, il y avait un amas de corps en train de se donner du plaisir, parents et ados entremêlés. Partout il y avait des écrans diffusant des films de cul. Dans toutes les alcôves, il y avait au moins 3 personnes occupées à baiser, tous de manière plutôt crade et les odeurs étaient très fortes, dominées par la pisse et la merde. L’ambiance était telle qu’on avait tous les 4 la queue bandée. On reconnut nos pères allongés dans une énorme flaque de pisse en compagnie de 4 ados. Chacun de nos pères en avait un assis sur sa bite. Un autre était assis devant celui qui se faisait enculer en train de se faire pomper par la bouche de nos pères. On quitta cette alcôve, les laissant profiter de leur séance avant de rejoindre nos copines, elles aussi toutes brunies par la merde. Celia et Sara avaient chacune un gode ceinture et étaient en train d’enculer deux gouines à 4 pattes. Éric fit les présentations :


- Maman, Liv, j’vous présente Chris et Kilian.

- Ahh – Salut les pédés… vas y Sara, enfonce le bien dans mon cul de salope…

- Mmmh .. Tcho les mecs … Celia .. .change de trou… Ramone-moi la chatte maintenant !

- Mais y’a plein de merde !

- Et alors, tu m’nettoieras après ma vieille chatte de salope pédo.

- Ouais pas de problème. Inge, mais t’est vraiment qu’une sale pute, mais Liv est encore plus cochonne que moi.

- Ouais, maman, ..Ahh Putain Célia t’arrêtes pas….. Continue toi aussi… C’est bon se d’faire mettre par de la chair fraiche.

- Mes p’tits pédés de fils, dites à vos copains de venir qu’on suce leurs queues pleines de chiasse.

- Oui maman. Allez-y, pis nous avec Kévin on va vous enculer pendant que vous vous faites sucer.


On se mit devant les bouches de Liv et sa mère. Nos queues rentraient au plus profond de leur gorge sous les coups de boutoir de nos copines. Soudain je sentis qu’on forçait mon anus. Me retournant je vis qu’Éric tentait de m’enculer pendant que sa mère bavait sur ma queue. Kévin lui farcissait le cul de Kilian. Au bout de 10 minutes de ce traitement j’envoyais ma purée dans la gueule d’Inge et Kilian sur celle de Liv. Kévin et Éric jouirent peu après dans nos culs et se glissèrent sous Liv et Inge pour aller leur sucer le clito. Célia et Sara commençaient se retirèrent du cul d’Inge et de Liv, mais aussitôt les 2 frangins se mirent à 4 pattes et leur demandèrent de les enculer ce qu’elles ne rechignèrent pas à faire. Inge et Liv se levèrent et nous souhaitèrent la bienvenue en nous roulant une pelle en nous faisant gouter notre sperme. Elles se frottaient contre nous pour bien mélanger les merdes qu’on avait sur nos corps. Inge était comme ses fils et sa fille le prototype de la norvégienne athlétique. D’après ce que je pouvais voir, elles avaient les tétons super longs et percés. Inge avait en plus plein d’anneaux entre sa chatte et son trou du cul. En leur touchant le clito, je sentis qu’il était aussi muni d’un anneau. Elles avaient tout des lesbiennes un peu hard que j’avais vues sur les vidéos. Je roulais une pelle à Kilian quand je sentis des doigts me forcer l’anus. J’eus un petit haut-le corps que Kilian eut aussi. En fait Liv et sa mère nous doigtaient et on trouvait ça vachement agréable.


- Kévin, Éric, passez-nous les godes-ceinture qu’on encule ces pédales, et enculez leurs copines gouines. Elles attendent que ça !

- Bonne idée, maman.

- Liv tu t’occupes de Kilian, c’est le latino. Moi j’m’occupe de Chris. Célia, Sara, v’nez nous lécher le cul pendant qu’on pine vos copains et que mes salopiots de fils vont vous éclater la rondelle.


Je dois dire qu’Inge et Liv faisaient cela avec douceur, contrastant avec leur langage plutôt violent. Pendant qu’elles nous enculaient, nos pères et les mères de nos copines rentrèrent dans l’alcôve, accompagnés d’un autre mec.


- Ah voici Olaf, mon mari. Olaf, Chris c’est celui qu’j’encule et celui de Liv c’est Kilian.

- Salut les mecs, alors cette première journée ?

- Bonjour monsieur. Ah putain qu’c’est bon d’avoir le cul rempli, même par un gode.

- Pas monsieur, Olaf. Et j’suppose que les filles qu’enculent nos deux fils sont Célia et Sara.

- C’est ça. Parle pas, Olaf, et va les sucer ces pauvres petits.

- Oui chérie mais quand t’as fini avec eux, faudra aller t’occuper de 2 veilles lesbiennes qui sont venues avec leurs petites-filles.

- Pas de problème, mon amour, c’est celles qui bouffent que des haricots une semaine avant de venir. Ça va être le pied. Célia, Sara, si vous voulez, vous pourrez venir avec nous, histoire de rester entre gouines.

- Kévin, Éric, y’a vot’ vieux prof d’anglais qu’aimerait bien vous voir.

- Y’a leurs petits-fils ?

- Non pas aujourd’hui.

- Merde, on les adore. Ça sera pour une aut’ fois !


Après avoir tous jouis par tous les trous, les fils d’Olaf lui nettoyèrent le sperme qu’il avait reçu sur la gueule, puis partirent voir leur prof. Liv et sa mère nous dirent à bientôt et s’éclipsèrent. Tina et Eva récupérèrent leurs filles pour aller discuter ailleurs et nous restions tous les 4.


- Alors Chris, dit mon père, ça va ?

- C’est super papa, ici on peut faire c’qu’on veut, mais j’commence à fatiguer !

- Normal, et toi Kilian, interrogea Fred.

- Pareil, j’suis crevé. J’irais bien dormir

- Normal, ça fait presque 6 heures qu’vous êtes là !

- J’crois qu’j’aimerai bien rentrer maintenant

- Alors les mecs pas trop surpris de c’club ?

- Quand même un peu, mais Kévin et Éric nous ont bien aidés.

- Pis vous nous aviez bien dit qu’ça nous plairait.

- Ouais mais j’crois que pour une première fois ça suffit, non ?

- Yep, comment on fait pour s’décrasser ?

- Y’a une petite douche où on peut aller tous les quatre pour s’enlever le gros.


On traversa le club, jetant encore des regards sur des scènes torrides. On reconnut Liv et Inge en train de se gouiner avec les vieilles lesbiennes et leurs petites-filles de 16 ans sous le regard de Célia et Sara. On leur dit qu’on rentrait et nous répondirent qu’elles regardaient juste et qu’après elles rentraient aussi avec leurs mères. Sous la douche on discuta encore.


- Merci les papas de nous avoir fait découvrir cet endroit ! C’est fantastique !

- Vous savez, vous pouvez rester tout le week-end ici. Kévin et Éric arrivent le vendredi soir et ne repartent parfois que le dimanche après-midi !

- Putain !

- Mais j’suis d’accord que pour une première fois vous avez assurés. On est fier de vous mes chéris.

- Ça veut dire qu’on peut venir tout seul ici ?

- Ben ouais, maintenant on sait qui vous êtes. On vous a pris en photos et il suffit de sonner. On vous reconnaitra.

- Ça fait quand même loin en vélos pour venir !

- Ça vous fera faire un peu de sport !

- Pendant qu’on baisait, ou plutôt après, Kévin m’a dit qu’on pouvait venir passer un week-end chez eux pendant les vacances. J’crois qu’y nous aiment bien. Vous seriez d’accord ?

- Pourquoi pas ? Ce s’rait bien de vous faire des copains même s’ils sont plus vieux qu’vous.

- Super !

- Mais faites gaffe quand même, c’est des vrais pros de la baise ces deux-là et leur sœur n’est pas en reste. Ils aiment bien les jeune dans vot’ genre. J’suis sûr qu’y baisent aussi avec des plus jeunes que vous. Et s’ils vous invitent c’est surement qu’ils ont une idée derrière la tête !


En sortant de la douche, on puait encore bien la merde et on en avait encore dans les cheveux. Ca nous ferait un souvenir pour quelques jours ! Dans la pièce où Kévin m’avait accueilli on récupéra nos affaires. La famille des pdbro, elle aussi passée succinctement à la douche, nous dit au revoir et chacun nous roula une pelle. On put voir qu’Olaf avait une queue énorme et qu’Inge avait de nombreux tatouages et piercings. Liv n’avait que les seins et le clito percés. Kévin et Éric nous filèrent leur 06 et nous dirent qu’ils nous attendaient avec impatience. Ils nous apprirent aussi qu’ils allaient déménager pas loin de chez nous pendant l’été car leur maison était trop éloignée à la fois du club et de la fac où Liv allait rentrer. Kévin et Éric allaient dans un lycée de la ville et peut-être que ce serait le même que nous. Kévin rentrait en 1ère et Éric en terminale. Le club avait beaucoup de succès et Olaf envisageait de l’ouvrir plusieurs jours dans la semaine.


Pour la première fois de ma vie j’avais participé en vrai à une baise infernale en compagnie de gens inconnus. J’aurais dû être horrifié, mais au fond de moi-même, j’avais ressenti et ressentais encore un plaisir immense que je n’avais jamais connu jusqu’ici. Il était plus de minuit quand on arriva à la maison et je m’endormis très vite.



L’HISTOIRE DE CHRIS

Chapitre 9 - Inscription à la PHIAC (MFmf, bi, inceste mère fille, père fils, mère-fils, entre frères, entre frère et sœur, anal, oral, masturbation, flatulence, uro, heavy scat)