Mis à part nos vacances au camp et l’escapade des gouines en Italie on passa la plupart du temps ensemble Kilian, Sara, Célia et moi. On fit la connaissance de Tina, la mère de Sara, et il n’était pas rare que l’on se retrouve tous les huit le week-end. Souvent la soirée finissait en orgie, mais bizarrement on ne baisait qu’entre jeunes ou alors qu’’entre gays. On n’osait pas, non que ce soit de la timidité mais plutôt par gaucherie, s’approcher du sexe des mère de de Célia et Sara. L’expérience que j’avais eue avec Eva m’avait quand même troublé. Elles comprenaient notre embarras, mais nous disaient qu’on serait sans doute bientôt prêts et qu’elles attendaient avec impatience le jour où on pourrait s’amuser ensemble. Bref, une grande complicité s’installa au sein des 4 « couples ». Papa m’disait qu’on devrait essayer les chattes de nos copines avant celles de leurs mères, mais on préférait leur cul. De plus elles ne voulaient pas de bite dans leur cramouille disant qu’elles n’étaient pas encore prêtes pour ça. On avait laissé tomber le réseau, on postait juste quelques vidéos, crades pour la plupart, avec ou sans les gouines. Notre connivence nous suffisait. Driss revint juste avant le début de l’année et nous annonça que ses parents le mettaient en pension à 400 km de chez nous. Ils avaient découvert sur son ordi les vidéos crades qu’on avait faites avec lui. Heureusement qu’il n’y avait pas nos pères ! Ils se foutaient qu’il soit pédé mais il ne supportait pas les vidéos où on était couverts de merde tous les 3. Finalement il se dit qu’en internat il allait pouvoir sans doute se faire plein de jeunes dans notre genre. En plus dans ce genre d’établissement il devait bien y avoir 2-3 pédos qui apprécieraient sa grosse bite. Nous on était triste de ne plus pouvoir lui donner nos cours « particuliers ». Fred et Paul regrettaient aussi son départ mais nous dirent qu’on avait eu de la chance de le connaitre et surtout qu’il n’y ait pas de vidéos d’eux avec lui. A Noël, Célia nous apprit que les parents de Driss déménageaient et quittaient la région pour se rapprocher de Driss.


Notre année de troisième se déroula sans encombre. On continuait de grandir et à 14 ans Kilian et moi faisions maintenant pas loin de 1,75 m, dépassant presque nos pères. Les poils arrivaient et nos envies de sexe allaient aussi grandissants. Question école proprement dite tout allait encore bien. Nos notes étaient toujours parmi les meilleures et notre vie était bien réglée. Quand les filles n’étaient pas invitées à des partouzes lesbiennes le week-end, on se retrouvait tous les 4 chez l’un ou chez l’autre et ça finissait à chaque fois en orgie où les pédos nous rejoignaient parfois pour améliorer notre technique de baise. On aimait bien quand elles avaient leurs règles car l’odeur de leur chatte nous enivrait, surtout que question hygiène elles ne se protégeaient pas ! Nos pères nous avaient achetés des tondeuses afin d’avoir toujours les parties génitales et le trou du cul bien lisses, mais avec Kilian on se rasait tous les poils qu’on voyait. On se faisait des séances de rasage avec les gouines qui dégénéraient toujours en partie de baise. On se faisait évidemment chambrer par les mecs du basket ou de la gym qui eux étaient fiers de montrer leur système pileux qui se développait. On leur disait que nos copines nous préféraient glabres. On leur disait aussi que comme ça la merde ne restait pas collée sur nos trous et que c’était plus pratique pour se sécher après la douche. Laquelle ? demandaient-ils sachant bien qu’à nos odeurs, on ne devait pas en prendre souvent ! On s’en foutait car vues nos tailles (et aussi celle de nos bites !) on était bien respectés dans l’équipe. Je crois que beaucoup de mecs étaient jaloux de cette situation. Ça aidait bien aussi nos copines gouines quand on allait les voir jouer au foot, même si elles ne faisaient rien pour cacher leur proximité.


La fin juin arriva. On avait tous eu notre brevet et nos parents avaient décidé de fêter nos 14 ans tous les quatre le même jour après les examens pour ne pas nous perturber, vu qu’on était tous nés vers la fin de l’année scolaire. On organisa une fête avec nos copains d’école, de basket et de foot dans le jardin chez Kilian et pour une fois on était tous relativement propre pour ne pas choquer les autres. Nos pères et mères étaient sortis pour nous laisser tranquille entre jeunes. Ils avaient aussi prévenu les voisins qu’il y allait avoir une fête et sans doute du bruit jusqu’à minuit. On avait invité quelques copains de basket et de classe, et Sara et Célia des filles de leur équipe de foot. On s’était arrangé pour avoir un nombre égal de filles et de mecs pour ne pas faire de jaloux. On passa la journée dans l’eau à jouer et à rire tous ensemble. On fit aussi quelques jeux, puis Kilian et moi fîmes un barbecue. On mit ensuite de la musique pour danser et à la fin de la soirée, il y eut plusieurs tentatives de drague maladroite de la part de nos invités. On voyait bien que les mecs bandaient dans leur short en se collant contre les filles. Ça nous faisait rire de voir les mecs essayer de toucher les seins de filles ou de mettre leur main dans leurs culottes. La plupart devait encore être puceau et devait se branler la nouille ou la chatte le soir en rentrant chez eux. Sara dansait avec moi un slow et elle me roula une pelle en me mettant la main dans le short. On pouvait voir qu’elle me branlait. Elle arrêta ce petit jeu avant que je n’explose, mais comme tout le monde pensait que je sortais avec Célia, nos copains croyaient qu’elle allait exploser alors qu’elle fit la même chose avec Kilian et on se retrouva tous les 4 à danser ensemble et à se peloter sous le regard stupéfait de nos amis. Je crois que les ragots allaient maintenant fuser pendant les vacances. D’abord nos copains pensaient qu’on était gay, puis le fait d’avoir rencontré Célia et Sara leur avaient fait penser que ben non, y sont « normaux » finalement et maintenant ils devaient penser qu’on était échangistes ! Je crois qu’ils étaient loin de se douter qu’on couchait aussi avec nos pères qui nous avaient bien dits de ne pas faire de provocation, mais on n’avait pas pu résister. Pour dissiper le malaise, on mit du rap et la soirée put continuer tranquillement. A minuit, tout le monde partit et on commença à ranger jusqu’à ce que les pédos arrivent.


- Ça s’est super bien passé, dit Sara.

- Ouais, mais t’étais pas obligée de m’branler pendant qu’on dansait.

- Ben c’était pour les exciter un peu et j’voulais voir comment réagissait not’ gardienne.

- Pourquoi ?

- On la kiffe grave avec Célia et on aimerait bien lui brouter le minou.

- Ouais, dit Célia, en plus c’est une qui pue bien et qui s’lave pas après les matchs.

- P’têt qu’elle est timide ?

- Non, non, elle se fout à poil et se touche quand elle se change et ses strings sont dég. La ficelle est plutôt marron et le devant bien jauni !

- Elle est p’têt pas gouine, elle.

- Justement on aimerait bien savoir.

- Bon mais quand on a dansé tous les 4 on a p’têt fait une connerie.

- Non, j’crois pas, pis on en a rien à foutre, dit Kilian.

- A propos de foutre, dit Célia, quand j’dansais avec un mec de vot’ équipe, il m’a bien fait sentir sa queue bien dure. Et moi, évidemment j’me collais dessus et faisais des p’tits mouvements pour le masturber sous son short. C’a pas raté, après 2 minutes il a fait dans son slip et j’ai bien senti qu’il avait éjaculé. Il était tout gêné mais j’ai fait celle qu’avait rien vu.

- Au moins il aura un bon souvenir de nos anniv’ !

- Demain ça s’ra plus sexe, not’ anniv avec les pédos !

- Raison de plus pour pas s’laver. Ça leur fera plaisir des ados puants !


On était crevés. Tina arriva pour chercher Sara et se proposa de nous ramener chacun chez nous. Je serais bien resté avec Kilian mais ça aurait vite dégénéré et on voulait être en forme pour le lendemain soir quand on fêterait notre anniversaire plus intime, enfin disons plutôt entre « initiés » ! Fred n’était toujours pas rentré quand on partit. Arrivé à la maison, je constatais que mon père n’était toujours pas rentré et j’allais me pieuter dans ma chambre. Je me réveillais tard le lendemain et allais retrouver mon père pour me lover contre lui.


- Salut papa, tu t’es bien amusé hier soir ?

- Ouais et toi ça s’est bien passé chez Kilian ?

- Super !

- Pas de problèmes ?

- Non, on a été sage.

- J’vois, vous avez pas provoqué hein ?

- Presque pas…


Et je lui racontais la petite scène avec Sara.


- Mouais, exagérez pas non plus, c’est pas parce que vous vivez une sexualité forte et totalement désinhibée qu’les autres le font. Vous êtes quand même à part et y faut pas qu’ça s’voit trop…

- T’inquiètes p’tit papa d’amour.

- Vous avez pas baisé ?

- Non, on se réserve pour ce soir avec vous. J’suis même pas resté chez Kilian ! T’as fait quoi hier soir ?

- Tu sais bien qu’j’suis sorti avec Fred en boite.

- Ouais, mais vous avez baisé ?

- Pas vraiment, j’me réserve pour toi ce soir… mais j’ai sucé 3-4 mecs avec Fred et on s’est fait enculer.

- Quel âge y z’avaient ?

- Plutôt 15-16.

- Des aussi jeunes que ça ! Où c’est qu’vous avez baisé ?

- Ben dans la boîte !

- Et y’a des ados dans c’te boîte ?

- Ouais, c’est un club spécial. Bon ça suffit l’interrogatoire. Va m’faire le p’tit déj.

- OK, mais merde j’suis pas ton esclave !

- Non t’es mon fils adoré… et qui fait plaisir à son père en lui préparant à manger !

- J’aimerai mieux te faire plaisir autrement !

Et pour rire j’écrasai mon cul sur sa bouche et lâchait un gros pet qui le fit éclater de rire.

- Ah Chris, t’es vraiment un gros porc.

- Et toi une salope de pédo, pis j’suis pas gros… Bon tu veux du jus d’orange frais ?

- Oui allez vas-y, va les presser.

- Là encore j’aimerais mieux te presser aut’chose !

- Allez dégage Chris, faut qu’j’aille pisser.


Après avoir mangé, je préparais des sandwiches et je dis à mon père qu’on allait faire une grande balade à vélo avec Kilian, Sara et Célia et qu’on se rejoindrait comme prévu en fin d‘après-midi chez Tina pour fêter nos anniv. J’allais me laver les dents, puis enfilais juste un short et un t-shirt. Je me mis mes boules de geisha dans le cul, j’adorais faire du vélo avec. Je trouvais cela vraiment jouissif à tel point qu’il m’arrivait d’éjaculer dans mon short en pédalant. Je pris mon vélo et passais d’abord prendre Kilian. Je le trouvais avec Fred à la cuisine et allais les embrasser.


- Salut Fred, salut Kilian !

- Tchô Chris, bien remis d’hier soir ?

- Ouais, Fred, et toi passé une bonne soirée ?

- Pas mal, j’disais justement à Kilian, qu’on s’était trouvé avec Paul des p’tits mecs.

- Ouais papa m’a dit que vous les aviez sucés et que vous étiez fait niquer.

- Y’a pas de secrets entre nous, mes p’tits pédés !

- T’es prêt Kilian ?

- Yep, juste encore une bouteille d’eau et on y va.

- Euh, tu veux pas t’habiller d’abord ?

- Putain j’allais oublier ! J’vais vite enfiler un short et un t-shirt.

- Et moi j’ai le temps d’enfiler ton père !

- Merde Chris, t’en loupes pas une.

- C’est pour ça qu’on m’aime, Fred !


On retrouva Célia qui nous attendait en bas de chez elle et on partit tous les 3 chez Sara. Bon 3 km ce n’est pas long mais ça montait quand même un peu et on était en sueur quand on arriva chez elle. La maison était de plain-pied et disposait d‘un grand jardin. On n’avait été que 2-3 fois chez elle car Tina avait fat faire au printemps des travaux de rénovation qui semblaient maintenant terminés. Nos anniversaires étaient aussi un prétexte à pendre la crémaillère. Tina et Sara nous accueillirent.


- Salut Tina, salut Sara. Bien rentrées hier soir ?

- Ouais et on a été sages ! dit Sara. On s’est juste un peu branlées.

- Bon, les jeunes, dit Tina, allez faire vot’ balade maintenant. J’attends Eva et vos pères pour préparer la soirée.

- Y’aura ses surprises, alors ?

- Ouais, vous verrez bien ! J’suis tellement contente que les travaux soient finis. J’crois que ça devrait vous plaire. Et faites pas de cochonneries on a besoin de vous en pleine forme ce soir.

- OK Tina, j’en bande déjà !

- J’vois p’tit salopiot, t’as le short tendu ! Allez, partez maintenant.

- A plus Tina !


On partit dans la campagne pour aller dans une petite clairière fréquentée par personne au bord d’un ruisseau. L’accès n’était pas facile et on ne risquait pas d’être dérangé car c’était assez loin. Ça nous plaisait bien de faire du vélo, la sensation de la selle chaude sur nos culs nous excitait tous et notre fantasme à tous les 4 était de faire du vélo sans selle ! Bon, moi en plus, j’avais mes boules de geishas dans le cul et j’avais le piquet ! Après une vingtaine de km, il était temps qu’on arrive car la chaleur nous avait tous exténués et on avait surtout la dalle. On s’installa pour se faire bronzer tranquille à poil tout en mangeant.


- T’as pas joui cette fois Chris malgré tes boules ! Ton short est propre devant.

- C’est pas tout le temps qu’c’a arrive et pis à voir le devant de vos shorts les gouines, y’a pas qu’d’la sueur ! Dis donc Sara, c’est quoi la surprise ce soir ?

- J’en sais rien, ma salope de mère a rien voulu cracher.

- C’est rapport aux travaux ?

- J’te dis qu’j’en sais rien. Elle a juste réaménagé ma chambre pour qu’elle soit plus grande et que j’ai ma propre salle de bains, vous verrez.

- Ben elle aurait pu gagner de la place.

- Pourquoi ?

- Ben une salle de bains ça sert à rien !

- T’es con Kilian ! On s’lave les dents quand même et on s’décrasse de temps en temps ! Pis j’vais aux chiottes ! J’sais qu’elle a aussi fait faire des travaux au sous-sol mais elle m’a interdit d’y descendre pendant les travaux. J’y allais jamais de toute façon.

- Ouais comme à la salle de bain.

- La seule chose qu’elle m’a dite c’est qu’ça fait deux mois qu’on pas baisé crade et qu’on allait s’rattraper ce soir.

- Ben ça promet !


Après avoir dévoré nos sandwiches, on se fit une petite sieste, moi dans les bras de Kilian et les gouines ben enlacées. On se bécotait, se paluchait, se martyrisait ls tétons, mais on ne voulait pas aller plus loin. Kilian tirait sur la ficelle retenant mes boules de geisha. Il finit par les sortir, constata qu’elles étaient bien merdeuses et les nettoya sur mon corps avant de les mettre dans son cul. On bandait pas mal et le précum suintait. On se disait que ça allait accentuer nos odeurs de bites. De leur côté, on voyait bien que les gouines se faisaient reluire la moule car leurs sexes étaient bien gonflés et leurs clitos paraissaient bien durs comme leurs tétons. Après 1 heure à paresser et à discuter de tout et n’importe quoi, on décida de rentrer. J’avais soif mais plus d’eau.


- Kilian t’as encore à boire, ma gourde est vide ?

- Non, plus rien. Tina, Célia, z’avez encore à boire pour Chris ?

- Désolé, non, mais ça peut s‘arranger, y’a l’eau du ruisseau.

- Putain non les vaches pissent et chient d’dans. J’veux pas être malade.

- Ah, ben j’ai la solution, dit Célia.


J’étais toujours allongé et Célia se mit au-dessus de moi. J’avais une superbe vue sur son sexe et son cul.


- Ouvre ta gueule, Chris. J’vais te pisser dessus. Tu vas voir, elle est bonne.

- Mmm, j’vais m’régaler !


Sara et Kilian étaient tordus de rire et j’ouvrais bien ma bouche pour récupérer le liquide désaltérant mais quand même un peu nauséabond. Comme plus personne n’avait à boire, ça donna des idées aux autres et on se pissa tous dessus à tour de rôle. Evidemment la moitié de la pisse finissait sur nos corps et dans nos cheveux. On ne sécha pas pour bien nous imprégner de l’odeur qui allait certainement faire plaisir à nos pères et mères et on se rhabilla. Nos shorts et t-shirts collaient sur nos peaux en sueur et mouillées par la pisse, laissant apparaitre nos sexes et nos tétons toujours tendus et saillants. Depuis qu’on avait reçu la pompe l’année dernière on n’arrêtait pas de se les tirer et ils étaient devenus sensibles et constamment proéminents. Il nous fallut plus d’une heure pour rentrer et quand on arriva, Fred, Eva et mon père aidaient Tina à préparer le repas.


- Salut les enfants ! Bonne promenade ?

- Ouais, on adore faire du vélo et on va toujours dans not’ p’tit coin isolé.

- Vous puez la pisse tous, et la sueur aussi. Pis Chris tu sens la merde aussi,

- Euh ouais on avait plus rien à boire alors on s’est débrouillé ! Pis c’pédé d’Kilian a nettoyé mes boules de geisha merdeuses sur ma peau.

- Vous avez fait ça pour nous exciter, hein ?

- Tu crois ? En tout cas ça marche. Y’a pas une minute qu’on est arrivés et vous bandez et mouillez !

- C’est qu’on vous aime, mes chéris. Allez dans la chambre de Sara et attendez qu’on vous appelle.

- Vous avez pas besoin d’aide ?

- Non, allez vous amuser et visiter la nouvelle chambre.

Tina avait fait transformer la chambre de Sara et on fut plutôt surpris par son réaménagement mais pas par son odeur habituelle d’ado négligée.

- Putain, géniale ta chambre !

- Ouais j’suis vachement contente. C’est super grand et l’idée d’avoir une douche italienne et des toilettes sans portes fait gagner beaucoup de place.

- Ouais mais t’as plus d’intimité !

- Pourquoi faire, y’a que moi ici, et ceux et celles qui viennent dans ma chambre savent bien comment on vit !

- Ça peut quand même choquer certains, non ?

- On verra bien.

- Waouh le lit, on peut au moins y dormir à 4 !

- Et pas que dormir, hein Célia !

- T’as baisé avec qui dedans ?

- Seulement avec ma mère et Célia et sa mère.


On vérifia qu’on avait tous bien du smegma sur nos sexes. Nos odeurs d’après vélo étaient bien fortes comme on les aimait. On ne voulait pas baiser attendant que les pédos s’en chargent ! On avait interdiction de sortir de la chambre et on se demandait ce que nos pères et mères adorés allaient bien pouvoir nous offrir. On entendait les adultes préparer le repas. On se mit tous un plug dans le cul pour bien se préparer à accueillir les bites ou les godes de nos parents. On se paluchait, se roulait des pelles et nos doigts s’attardaient sur les tétons, les clitos, les bites et le cul. On s’attendait tous les 4 à avoir une soirée plus que chaude car c’était rare qu’on soit tous les 8 ensemble quand enfin Fred ouvrit la porte :


- On s’amuse bien les djeun’s ? La vache ça pue dans cette piaule !

- C’est comme ça qu’vous nous aimez !

- Oh, on s’calme. Enlevez-vous vos plugs et v’nez manger, c’est prêt.


On alla dans la salle à manger : un grand buffet froid était dressé avec plein de bonnes choses à manger. On mangea tous avec appétit sur la terrasse et assez vite car on était tous très excités. On sentait que la soirée allait être spéciale. On eut droit à un peu de vin et à la fin Eva nous apporta les desserts : des choux à la crème en forte de bite pour les mecs et en forme de chatte pour les filles. On ne put s’empêcher de sucer le chou et au moment de le croquer la crème dégoulina autour de notre bouche comme quand un mec éjaculait et tout le monde éclata de rire. On reçut ensuite nos cadeaux.


Pour ma part je reçus 3 volumes d’un auteur de science-fiction que j’adorais, des boucles d’oreilles en forme de bite et des pinces à tétons avec impulsion électrique. Je les essayais immédiatement et l’effet fut immédiat. Mon père prit la télécommande et poussa au maximum. Ça me fit presque mal mais ma queue raidit et commença à lâcher du précum. Il savait que j’étais hypersensible des pointes des seins et me dit que je pouvais aussi me stimuler l’anus ou toute autre zone érogène.


Kilian reçut une édition du Kâmasûtra gay illustrée, les mêmes boucles d’oreilles et un vibromasseur de prostate, lui aussi électrique, et ni une ni deux, il se l‘enfonça dans le cul et commença à jouer avec. Il poussait des petits cris de de plaisir au fur et à mesure qu’il augmentait l’intensité. Fred lui dit que comme pour moi il pouvait aussi se placer le vibro où il voulait sur le corps.


Célia, elle, eut le Kâmasûtra lesbien, une chainette à mettre aux chevilles et un gode ceinture très spécial. Il était muni d’une bite pour le cul de sa partenaire et d’un stimulateur de clitoris électrique. Il y avait un deuxième gode qui pouvait lui rentrer dans le cul ou le vagin selon l’orientation et d’un deuxième stimulateur de clito. Ainsi les 2 gouines pouvaient s’enculer et se titiller le clito simultanément et ça laissait les mains libres (enfin presque) pour se triturer les seins ! Elles nous firent elles aussi tout de suite une démonstration bien bandante.


Enfin Sara eut droit à un livre sur le football féminin, très orienté sur les photos de vestiaire et de douche où il n’y avait que des lesbiennes, une chainette à mettre à la taille et deux œufs vibrants télécommandés. Elle s’en mit un dans chacun de ses trous et joua comme nous tous avec la télécommande. On s’amusa comme des fous pendant un bon quart d’heure.


- Comme j’lait dit vous pouvez vous les échanger ou vous les prêter.

- Ouais sauf le gode ceinture, dit Kilian. Par contre j’me mettrais bien un œuf dans le cul !

- Le jour où tu peux plus bander tu s’ras bien content de le mettre pour baiser ton ou ta partenaire, dit Fred.

- Quoi ! il est pas encore arrivé le jour où j’pourrais plus triquer ! Pis le machin pour le clito va gêner…

- Non, on peut l’enlever !

- C’est super tous ces gadgets. On peut même les porter en cours ou au sport et faire jouir l’autre ou s’faire jouir sans s’toucher !

- Oups, on préférerait que vous gardiez ça à la maison ! Ça pourrait être très gênant à l’école.

- Mais tellement rigolo ! J’imagine bien Chris au tableau et moi qui l’fait jouir pendant c’temps-là avec un œuf dans le cul. J’entends déjà son gueulement de plaisir et j’vois déjà la tâche sur le jean !

- Ouais, génial !

- Super !

- Euh j’pense vraiment pas que vous puissiez les mettre à l’école !

- Pourquoi ?

- Ben c’est un peu provoc, non !

- Faudra bien qu’on dise un jour à nos copains et à nos copines qu’on est pédés non ?

- Et nous qu’on des gouines !

- J’crois qu’ça peut encore attendre… et puis tout le monde pense que vous êtes en couple.

- Pas faux, mais y savent pas quel couple !


On alla tous rejoindre qui son père, qui sa mère, pour les remercier en leur offrant nos corps d’ados impatients de baiser quand Tina nous dit :


- Bon j’suppose que la soirée va maintenant dégénérer. On va aller dans la nouvelle pièce que j’ai faite installer à côté de la cave.


On descendit tous les 8 et on entra dans une pièce entièrement carrelée sauf le plafond et dans laquelle il y avait 2 grands matelas protégés par des toiles en vinyle. Dans un coin il y avait une douche et des chiottes à la turque. Sur un des murs deux grands écrans étaient disposés. Il y avait aussi de grands miroirs sur les murs et au plafond. Ça puait un peu comme dans les chiottes publiques et les vestiaires.


- On va étrenner ma nouvelle pièce en bas. J’en avais marre de tout nettoyer quand ça devenait crade en haut et Sara aussi. On peut tout nettoyer au jet après. Les matelas sont protégés. Je compte installer aussi un sling plus tard. On peut passer les dvd qu’on veut, mais ma collection est fortement orientée sexe !

- La vache, c’est super maman c’qu’tas fait.

- Ouais j’suis assez contente.

- Mais maman tu l’as déjà utilisée ?

- Ouais, y’avait une petite apprentie bien négligée style punkette parmi les installateurs et c’était pas bien difficile de deviner à quoi la pièce allait servir ! C’est elle qu’a installé les écrans et à la fin elle a voulu tester ce qu’elle avait mis en place. J’lui ai dit d’attendre que ses collègues soient partis. Elle a alors choisi un dvd au hasard et est tombée sur mon film préféré : gouine, pédo et scato. Inutile de dire ce qui s’est passé !

- Ouais, on d’vine, pas la peine de faire un dessin !

- Bon ben c’est pas tout ça, moi j’ai la chatte en feu. Sara faut qu’tu viennes m’la brouter.

- Bien sur ma p’tite maman adorée.


Et l’orgie commença, soft tout d’abord. Je fis allonger mon père sur un des matelas et Kilian et Fred nous rejoignirent laissant l’autre aux gouines. Je léchais le corps de mon père me gavant de ses bonnes odeurs de mâle. Dès qu’il le pouvait il en faisait de même jusqu’à ce qu’on se retrouve en 69, les deux allongés sur nos flancs. Je pris délicatement sa queue entre mes lèvres et commençait à tirer sur son prépuce. L’odeur me jaillit au nez et ma queue durcit encore plus dans sa bouche.


- Merde papa combien de jours t’as pas lavé ta bite ?

- Une semaine fiston et j’ai fait gaffe hier soir pour que personne ne m’enlève mon fromage. Bon anniversaire !

- Merci papa !

- De rien surtout que ton zob est aussi bien crémeux. J’me régale.


Et je m’appliquai à lui nettoyer son gland, détachant avec ma langue tout le fromage accumulé. Pendant ce temps nos mains parcouraient nos corps. Une fois nos glands bien nettoyés, je mis mon père sur le dos et m’allongeais sur lui. Au passage je donnais un coup involontaire à Kilian qui se prit la queue de Fred en entier dans la bouche et faillit vomir ! On se roula de nombreuses pelles avec mon père, nous mélangeant notre salive fromageuse. C’était un régal. Nos langues n’arrêtaient pas de tournoyer. Avec les miroirs on pouvait voir tout le monde baiser. C’était géant.


- Putain papa j’tiens plus là, faut qu’j’prépare ton cul !

- OK Chris, y devrait t’plaire.

- Y m’plait toujours pap’ !


Je glissais progressivement ma tête sur son torse m’arrêtant sur ses énormes tétons que je pinçais avec mes lèvres un moment puis descendit, léchais de nouveau sa belle bite bien bandée et je plongeais ma gueule sur son trou qui palpitait déjà. Je le léchais avec amour. Ce cochon n’avait pas dû se torcher, ça puait fort. En jetant un coup d’œil je vis que les 4 gouines formaient un tas d’où s’échappaient de nombreux cris de plaisir et surtout qu’elles s’étalaient déjà de la merde un peu partout. Kilian à côté de moi n’était pas en reste et sortait la merde du cul de son père et se l’étalait sur leurs deux corps. Il avait fini d’enculer Fred car je voyais les traces blanches de son sperme mélangé aux matières fécales. Papa gémissait de plaisir. Je rentrais mes doigts dans son anus et je sentis la résistance d’un étron.


- Merde papa t’es plein, super !

- Ouais on s’est tous retenus pour se faire la soirée la plus crade possible.

- Vous êtes vraiment des grosses salopes de pédo !

- Ouais mais on l’fait parce que vous aimez ça vous aussi, Chris chéri. Arrête de parler maintenant fous-moi ta bite dans le cul de ton cochon de père.


En bon ado obéissant je lui rentrais ma bite sans problème et commençais à le besogner. Je suais abondamment et des gouttes tombaient sur lui. Après 5 minutes je lui envoyais ma purée en criant de plaisir et m’écroulais sur lui en lui disant combien je l’aimais pour tout ce qu’il faisait pour moi, pour mes cadeaux, pour son amour.


- Papa, tu veux m’faire plaisir ?

- Bien sur mon chou !

- T’as vu y sont tous merdeux et pas nous. Je m’allonge et tu m’chies dessus ?

- Sans problème mon gars à condition qu’tu m’rendes la pareille !

- Tu sais bien qu’je veux toujours t’faire plaisir.

- Ouais mais ce soir j’veux vraiment qu’on soit de bonnes salopes.


Mon père me présenta son cul encore ouvert par mon enculade pus lâcha ses boudins que je commençais à étaler sur mon corps. Ses étrons étaient durs. Je pris une de ses bouses, la léchait un peu pour la gouter et m’en tartinait le visage. Kilian et Fred voyant la difficulté que j’avais à m’étaler la merde s’étaient rapproché de nous et me pissèrent dessus pour l’amollir. Quand mon père eut fini de chier, il se releva et ajouta sa pisse.


- Chris lève-toi maintenant, à ton tour de lâcher ta bouse !

- Tu vas pas être déçu, pap’, j’ai pas chié depuis 3 jours.

- Allez, envoie-moi cette bonne merde d’ado sportif !

- La dernière fois j’me suis fait un boudin de plus de 25 cm !

- Cause pas et ouvre ton cul que j’le vois descendre !


Mon père s’allongea et je restais debout et commençait à pousser. J’adorais quand la merde passait mon anus. C’était aussi bon qu’avoir un gode ou la queue de Kilian ou de mon père. Je la sentais qui passait et qui ne paraissait pas finir. Elle glissa un peu le long de mes cuisses avant de venir s’écraser sur la bite de mon père. Je bougeais un peu et une deuxième merde un peu plus courte s’écrasa sur sa gueule. Tout le monde applaudit, y compris les gouines qui s’étaient rapprochées de nous. Mon père se l’étalait et je l’aidais en me collant à lui, bientôt rejoint par les autres. Nous ne formions plus qu’un gros tas de d’ados et de pédos couverts de merde. Cet anniversaire allait rester dans nos mémoires comme une des plus grosses partouzes crades. On se pelotait tous en s’injuriant de nos mots d’amour. Tout le répertoire y passa. A un moment Eva suçait ma bite merdeuse pendant que Célia mettait son cul sur ma gueule pour que je le lèche. Fred enculait Kilian qui était debout et se retenait aux épaules de Célia. Je voyais Sara sucer Kilian. Elle avait réussi à mettre sa tête entre Célia et Kilian ! Voyant le cul de Fred tout ouvert mon père ne résista pas et l’encula pendant que Tina qui avait sorti son gode ceinture réussit à le mettre dans le cul de mon père. On était tous en équilibre instable surtout que les nanas se branlaient le clito dès qu’elles le pouvaient ! On jouit presque tous en même temps. Mon sperme atterrit dans les cheveux d’Eva. Sara se retira et laissa Kilian juter sur ma gueule en même temps que sa cyprine qui coulait à flot et que Fred déchargeait dans le cul de son fils. Mon père ensemença son copain et les gouines lâchaient des litres de cyprine sur nos corps. Célia eut un orgasme et libéra ses derniers bouts de merde sur ma gueule. Et notre pyramide s’écroula en rigolant car personne ne s’était blessé. On se regroupa les jeunes sur un lit et les « vieux » sur l’autre. On se racontait notre baise précédente et surtout on se disait qu’on avait des pères et mères formidables et que si nos copains nous voyaient ils seraient surement surpris ! On se léchait nos corps, apprenant à nous habituer à avoir de la merde dans la gueule. On suçait maintenant la merde sans être dégoutés et nous trouvions tous cela pas trop désagréable, peut-être du fait que nous nous aimions tous à la folie.


Tina alla nous chercher à manger et à boire en enfilant une paire de tongs pour ne pas saloper sa maison. L’odeur de merde dans la pièce était évidemment très forte et couvrait nos odeurs de sueur et de sexe. Ce n’était pas pour nous déranger. On était vraiment de gros porcs et de grosses truies ! Tina revint avec un plateau de sandwiches sur lequel on se précipita. Nos doigts merdeux donnaient un gout spécial au jambon et au fromage, mais ceci ne nous déplaisait pas. On but aussi énormément d’eau en des disant que ça nous permettrait plus tard de nous pisser dessus pour se rincer de la croute merdique qui séchait sur nos peaux. Une fois bien rassasiés, on se recoucha sur le lit et Célia vont se coller à moi. Tina mit un dvd et on regarda des gars et des filles de notre âge en train de partouzer. Ils étaient tous bi et il n’y avait pas un instant où on ne voyait pas des sexes ou des culs en train de se faire remplir. Au milieu du film, ils se mirent tous à se chier et à se pisser dessus, c’était un vrai plaisir à voir que d’autres jeunes de notre âge avaient les mêmes gouts que nous. Surtout ils riaient et souriaient tous, visiblement ils prenaient leur pied à tourner des films de ce genre. A la fin du film les parents venaient et tronchaient leurs enfants ou se faisaient niquer par eux couverts de merde, en fait comme ce qu’on venait de faire ! Ils étaient tellement sales qu’on ne pouvait reconnaitre les acteurs ! Ça nous excitait tous. Tina en mit un autre du même genre. Célia avait pris une de mes mains pour que je joue avec son clito. Une de ses mains à elle entourait ma queue bandée et son autre main s’occupait se son sexe quand :


- Chris.

- Oui, Célia.

- Tu voudrais pas m’faire un cadeau pour mes 14 ans.

- Merde j’y ai pas pensé. J’suis vraiment égoïste.

- T’inquiètes, moi non plus, mais j’crois qu’on pourrait s’partager un cadeau.

- Lequel ? j’vois pas.

- Ben ce qu’j’ai dans la main là.

- Ma bite ?

- Ouais, pis c’que t’as pas loin d’tes doigts.

- Ton clito ?

- Non un peu plus bas.

- Mais j’t’ai déjà enculé. C’est plus un cadeau ton cul, c’est juste du plaisir partagé.

- Putain Chris, comme d’hab, tu piges que dalle. Non c’que j’veux t’offrir c’est mon pucelage.

- Ah, ta chatte !

- Ouais regarde Sara et Kilian y z’ont déjà commencé !

- Putain, oui ce pédé de Kilian va mettre sa queue dans la chatte de Sara ! et il a l’air d’aimer. Hé regarde Sara doit avoir ses règles y’a du sang qu’on voit quand il se retire !

- Non elle a pas ses règles c’est juste son pucelage qui vient d’sauter !

- Vous vous l’êtes pas fait sauter avec des godes.

- Non, on voulait pas et nos mères nous ont conseillées d’attendre qu’on rencontre des beaux mecs avec qui on s’rait sûres que ça irait… et c’est tombé sur vous, nos 2 p’tits pédés chéris.

- Ça va t’faire mal ?

- Pas plus que la première fois dans le cul, m’a dit maman. Pis j’sais qu’t’es plutôt un doux.

- Comment j’fais ?

- Commence par bien m’lécher la chatte. Moi j’m’excite avec mon gros clito. Tu verras, ça moulle d’enfer et ta queue va rentrer comme dans du beurre.

- C’est vrai qu’j’aimerais bien baiser un p’tit beur !

- T’es con Chris, mais j’crois qu’c’est pour ça qu’je veux qu’ça soit toi qui me fasse sauter la pastille !

- Euh, tu prends la pilule ? Pacque là nous on baise sans capote !

- T’inquiètes, c’est bon, mais c’est super de ta part de poser la question.

- J’suis pas si con, Célia.

- Mais non p’tit pédé. On t’aime bien pour ça !


Elle était allongée à côté de Sara qui se faisait besogner par Kilian. Je lui léchai sa chatte et lui enlevait la merde qu’elle avait tandis que je me branlais. Ce n’était pas si mauvais que ça. Il y avait des odeurs fortes qui me faisaient bander encore plus dur. Elle me dit qu’elle était prête, j’approchais mon gland de son trou vierge et commençais à pousser pour la pénétrer. Ça rentrait facilement jusqu’à ce que je sente une résistance. Elle grimaça un peu et noua alors ses jambes autour de mes reins et me dit d’y aller plus fort. Soudain elle poussa un cri de douleur et je pus rentrer toute ma bite. Je m’arrêtais alors lui demandant si ça allait mais elle me dit de commencer à la pistonner et au bout de 5 minutes j’envoyais pour la 1ère fois mon sperme dans le sexe d’une fille. Je crois qu’elle eut aussi un orgasme mais sans doute parce qu’elle n’arrêtait pas de se branler son clito merdeux.


- Merci Chris. C’est fait mais j’suis pas sure de recommencer tout de suite. J’suis comme toi, j’préfère qu’on m’encule. Si j’étais un mec j’s’rais sans doute pédé. T’as eu du plaisir quand même.

- Oui Célia, j’ai bien juté dans ta chatte.


Je me penchais sur elle et insinuait ma langue dans ma bouche pendant que nous nous mettions à pisser l’un sur l’autre. Elle répondit à mon baiser. Je jetais un coup d’œil et vis que Sara et Kilian en étaient au même point. Paul et Fred enculaient Tina et Eva en levrette, tète bêche et ils se roulaient des palots pendant qu’ils leurs ramonaient leurs culs. Elles n’arrêtaient pas de jouir. Petit à petit après avoir tous joui et le calme revenu, on se rapprocha tous les 8 pour se peloter et le naturel reprit vite le dessus. Je pris la bite de Kilian en bouche pour gouter le sexe de Sara et lui la mienne pour gouter celui de Célia. Nos bites étaient un peu sanguinolentes et avaient quand même encore un fort gout de merde. Célia et Sara se mirent en 69 pour se laver le sexe et récupérer notre sperme. Les commentaires fusèrent.


- Alors les pédales, on a trempé son biscuit dans une chatte, c’était comment ?

- Ben c’est pas mal. J’mourrai pas idiot mais j’préfère quand même le cul. J’trouve un peu trop visqueux la chatte.

- J’crois qu’j’suis pareil Kilian. Mais bon de temps en temps pourquoi pas ? Pis faudra bien passer par là si on veut des gamins un jour non ?

- Célia ?

- Mouais, c’est pas mal, mais gouine je suis gouine je reste.

- Sara ?

- Tant qu’à faire j’préfère me les prendre dans le cul.

- Alors vous êtes pas vraiment convaincus ?

- Si mais que de temps en temps, fut notre réponse unanime.

- Pis c’est la première fois, alors p’têt qu’il faudra remettre ça un aut’ jour…


On commençait à être fatigués. Chacun alla dans les bras de son géniteur. Je roulais une pelle à mon père, partageant nos haleines de fauve et le remerciant de ces cadeaux et de la soirée. On puait tous la merde mais cela ne nous gênait pas pour dormir, habitués qu’on était à ce genre d’odeurs.


Je me réveillais le lendemain et comme d’habitude j’avais la gaule mais aussi une douce chaleur autour de ma bite. J’ouvris les yeux et vit Kilian me sucer. Je me mettais sur le côté et lui dis de me donner aussi sa queue que j’engloutis après l’avoir bien léchée et nettoyée de la merde encore collée. On avait les yeux fermés, profitant bien de cet instant. Je sentis quelqu’un commencer à me fouiller le cul qui s’ouvrit rapidement. Une queue rentra dans mon fondement, je me retournais : c’était Fred qui venait faire sa petite purge matinale. Kilian gémit et je vis mon père qui s’activait sur son cul. Le zob de Kilian rentrait dans ma gorge au rythme de l’enculade de Fred. C’était vraiment jouissif de sucer et de se faire mettre en même temps. Sous les coups de boutoir des pédos on ne tarda pas à s’envoyer notre sperme au fond de la gorge et je sentis peu après Fred me tapisser mes entrailles avec le sien. On était tous en sueur. Il faut dire que dormir à 8 dans une pièce augmente bien la température. L’odeur était un mélange de chiottes publiques et de chambrée d’ados : on était bien tous les 4 après cette petite giclée matinale. Je sentis un liquide chaud me remplir le ventre : Fred pissait et je prévins que Kilian que j’allais aussi pisser. Lui aussi, me dit-il, et on put se désaltérer d’une pisse acre et forte. Je ne pus tout avaler et laissait couler la moitié sur mon visage. Kilian lui en bonne salope avala tout. Nos pères se retirèrent et on put enfin se dire bonjour. Je roulais une pelle à Fred quand je sentis encore un liquide chaud arriver sur nos corps. Les 4 filles étaient autour du lit et nous pissaient dessus !


- Salut les pédales, petite douche du matin !

- C’est super bon. Merci les gouines !

- Bon vous voulez un p’tit déj ?

- Sur !

- Alors on passe tous au jet avant de monter !

- On peut pas rester crade ?

- Non, j’tai déjà dit, Kilian, qu’on en avait marre d’nettoyer !

- Dommage !

- T’inquiètes, l’odeur va rester.

- Faut nettoyer aussi la pièce ?

- Non ça peut attendre, pis qui dit que dans la journée on r’vienne pas !

- J’sais pas si j’s’rai en état. La nuit m’a crevé ! dit Kilian

- Ouais, nous aussi mais j’suis sure qu’un bon p’tit dvd vous r’mettra en chaleur !

- Pas faux.


Les vieux nous montrèrent comment se décrasser dans la pièce et montèrent préparer le petit déjeuner. Après s’être à peu près décrassés, on monta les rejoindre et au passage, on se mit chacun les bijoux qu’on avait reçus. Ils s’arrêtèrent de discuter quand on arriva et on se mit tous à table dehors. Il était déjà midi et le soleil commençait à taper fort. On les remercia encore de nos cadeaux car on avait fêté dignement nos 14 ans. Ils nous demandèrent si ça nous plaisait toujours de jouer avec la pisse, la merde et de ne pas trop nous laver. On répondit tous que c’était un plaisir qu’on appréciait de plus en plus, mais qu’on ne le ferait pas tous les jours, sauf de ne pas se laver ! C’est au cours de cette conversation qu’on apprit que mon père, Fred, Eva et Tina se connaissaient en fait depuis plus de 5 ans. Ils s’étaient rencontrés dans un club très spécial où des parents venaient baiser avec leurs ados. Tous les quatre attendaient avec impatience le jour où ils pourraient enfin baiser avec leurs enfants. Et les amener dans ce club. Cela avait été plus vite avec les filles qu’avec Kilian et moi, sans doute parce que les filles sont supposées être mures plus vite. On était surpris qu’ils nous racontent cela maintenant, mais on comprit vite pourquoi quand Fred nous posa la question suivante :


- Bon on vous a raconté cela dans un but bien précis : ça vous dirait de venir avec nous dans ce club familial ?

- Comment ça familial ?

- Ben les parents viennent avec leurs enfants pour baiser avec d’aut’ parents et enfants.

- C’est dég !

- Euh, Kilian, qu’est ce qu’on fait depuis plus d’un an ?

- Hé, à 14 ans on n’est plus des gamins. J’veux dire, baiser avec des gosses, c’est répugnant et dégueulasse !

- J’suis d’accord avec toi et c’est pour ça que le club n’accepte que les ados au-dessus de 14 ans et uniquement consentants. Rappelez vous ce qu’on vous a toujours dit : pas de violence et pas de contraintes !

- Ah ben j’préfère.

- D’ailleurs le club s’appelle le PHIAC (Parents Homos Incestueux d’Ados Crades). Ça vous permettrait de rencontrer d’autres jeunes et d’autres parents qui ont les mêmes penchants que nous.

- Waouh ! c’est vrai qu’on est assez grands maintenant ? Et ça s’passe comment ?

- Ben la première fois, on ira avec vous pour vous présenter.

- C’est là que vous alliez quand on était petits ?

- Oui de temps en temps. On y a rencontré Eva et Tina et on parlait beaucoup de vous quatre. On devinait bien qu’vous nous aimiez vraiment très fort, ce que vous nous avez tous prouvé. Y’en a beaucoup qui sont impatients de vous rencontrer. Y savent que vous êtes plutôt des beaux ados et depuis qu’on leur a dit qu’on partouzait tous les 8 ensemble, ils aimeraient vraiment vous connaître, surtout les jeunes. N’ayez aucune crainte y’a jamais de violences, et si vous dites non, personne n’insiste.

- Vous y allez souvent ?

- Chaque fois qu’on peut mais plus trop depuis 1 an, vu qu’on a des p’tits jeunes à la maison bien crades.

- Tu crois qu’y des gens qu’on connait ?

- J’sais pas, mais vous serez surpris du nombre de gens qu’il y a !

- Quand est ce qu’on va y aller ?

- Quand vous voulez pendant ces vacances, samedi prochain peut-être ?

- Euh ouais, t’en penses quoi Kilian ?

- J’suis d’accord, et vous les filles ?

- J’crois que c’est bon pour nous aussi, hein Sara !

- Oui ma belle, comme ça on pourra rencontrer d’aut’ jeunes… et d’aut’ vieilles ! C’est vrai qu’on forme un groupe qu’a pas beaucoup d’amis.

- C’est ce qu’on s’est dit aussi, reprit mon père. Vous n’êtes vraiment pas timides avec nous mais avec les autres vous n’arrivez pas vraiment à vous lier, non ?

- Faut dire qu’y z’arrêtent pas de dire qu’on est trop bons à l’école, qu’on joue pas trop avec nos copains et copines, qu’après l’école ou le basket ou le foot on rentre directement sans tchatter avec eux… et qu’en plus on pue !

- C’est vrai que vous puez grave parfois, mais nous on aime ça ! J’ajoute que le patron du club est le père des pdbro.

- On pourra enfin les rencontrer !

- Oui, on a vu que vous n’étiez pas très assidus au réseau, à part poster des photos et des vidéos. Vous répondez même pas à ceux qui vous envoient des messages. Olaf et Inge, les patrons, vous trouvent très beaux et très belles et leurs enfants aimeraient bien vous rencontrer. Y sont vachement sympas et devraient vous plaire. Célia, Sara, les pdbro ont une sœur plus âgée qui aime bien les jeunes gouines crades.

- Waouh, on peut s’amuser avec toute la famille alors !

- Rien ne l’interdit !

- Moi j’ai quand même une question, dit Sara. C’est autorisé ce genre de club ?

- Bonne question et la réponse est évidemment non. Il se trouve que je travaille à la police des mœurs et j’ai pu trouver un arrangement !

- Ouais mais ça craint quand même.

- Non, Sara, vus les gens qui fréquentent ce lieu, t’as pas à avoir peur.

- Ah bon ?

- Ouais, ouais, tu verras….


Finalement on avait tous un peu peur d’y aller, mais les vieux nous rassurèrent et mon père appela pour prendre rendez-vous le samedi prochain.


- Vous inquiétez pas, les jeunes. C’est plein de gars et de filles de vos âges ou un peu plus âgés.

- Quand même, entre nous, ça pose pas de problème, mais aller avec des inconnus !

- Y s’ront plus si inconnus quand vous les aurez rencontrés.

- On y va comment ?

- Ben on va vous y conduire en voiture.

- Non j’pensais, faut s’habiller comment ?

- J’crois qu’c’est pas nécessaire d’être habillé, mais pour la voiture un short et un t-shirt, quoique le t-shirt soit pas obligatoire pour vous les mecs.

- Faudra être propre ?

- Pas nécessaire.

- Même si on s’lave pas de la semaine ?

- Y’en a qui n’aiment pas trop le crade mais tout le monde est très tolérant, pis y’a des week-ends réservés pour le crade. J’rappelle que le C de PHIAC veut dire crade. Maintenant si vous êtes propres rien n’empêche de baiser normal les aut’ week-ends !

- Et on sait comment qu’c’est crade ou pas.

- Suffit d’aller sur le site, quand c’est « soirée réservée » ça veut dire que qu’ça va sentir fort ! Et maintenant Kilian, j’aimerai bien profiter d’ton cul bien puant et bien dég. On retourne en bas ?

- Yep mon p’tit papa pédo adoré. Hé, Chris tu viens aussi ?


Finalement on redescendit tous, et on passa la journée à s’enculer et se faire enculer, les mecs d’un côté et les gouines de l’autre avec leurs godes. Le pied géant pour notre anniv ! La séance de décrassage au jet le soir fut encore le prétexte à bien rire, mais on était tous propres comme des sous neufs en rentrant à la maison même s’il se dégageait encore une odeur de nos corps On laissa nos vélos chez Tina et Sara. On irait les chercher le lendemain.


L’HISTOIRE DE CHRIS

Chapitre 8 - Nos 14 ans (MMFFmmff, bi, inceste mère fille, père fils, anal, oral, masturbation, flatulence, uro, heavy scat)