L’année scolaire finissait, on n’avait plus vraiment de devoirs et en 4ème on n’a pas d’examen de fin d’année. Nos pères étaient eux souvent surchargés de travail. L’étude d’avocat de mon père était réputée et très demandée et Fred avait fort à faire avec les délinquants juvéniles : trafic de drogue, tapage nocturne beuverie, incivilités en tout genre. Pendant la semaine Kilian et moi étions chacun dans notre maison mais le week-end on se retrouvait soit chez l’un, soit chez l’autre. On n’arrêtait pas de baiser avec Driss et nos pères à 3,4 ou 5. Au plus fort de l’excitation, on ne pouvait s’empêcher de s’insulter, il nous semblait que cela décuplait notre jouissance. Toutefois, une fois nos désirs apaisés, ce n’était que des mots d’amour et de tendresse toujours suivis par des discussions. Kilian et moi avions de très forts désirs sexuels, on bandait pour un rien et malgré nos masturbations ou nos séances de baise, on avait encore pratiquement toutes les nuits des pollutions. Nos draps étaient durcis de sperme, de pisse et de merde séchés. Fred et Paul nous rappelaient qu’on pouvait aussi prendre contact avec des mecs de notre âge vivant la même situation incestueuse par l’intermédiaire du réseau, mais je crois qu’on était trop timides.
Une semaine avant les vacances, j’étais alors seul à la maison un samedi après-midi en train de me gonfler les tétons en regardant une vidéo bien dég quand on sonna. Je mis vite le premier short que je trouvais et merde j’m’étais pas lavé depuis 5 jours et on avait eu le match de basket le matin. J’arrêtais la vidéo et allais ouvrir : c’était Célia qui venait me trouver pour une explication d’un problème de maths qu’elle n’avait pas compris. Ça m’étonnait car elle était comme Kilian et moi l’une des meilleurs élèves de la classe et on n’avait plus vraiment de devoirs ni de leçons. Elle portait un short ultra-court et un petit top transparent sans soutif laissant bien apparaître ses petits nichons et surtout des tétons bien proéminents. On aurait dit qu’elle voulait me provoquer alors qu’elle savait que j’étais gay. On se fit la bise sur la bouche et elle ne parut pas dégouter par mes odeurs, mais elle non plus n’avait pas dû se laver car elle puait bien la sueur mais elle avait aussi d’autres senteurs qui émanaient de son corps ! On rentra dans ma chambre. Putain, mon ordi était encore allumé, mon fond d’écran était une photo de moi hilare en train de me faire mettre par Kilian tout aussi souriant et putain mon lit n’était pas fait et était vraiment crade !
- Bordel Chris ça sent fort chez toi ! Et désolée, j’ai pas pris de douche après mon entraînement de ce matin. Pas mal ton fond d’écran, on voit bien qu’t’es pédé. C’est qui qui prenait la photo ?
- Euh, ben … on avait mis l’appareil sur un retardateur !
- Au moins à ce que j’vois, y’a pas de mouchoirs pleins de sperme comme chez les autres mecs de la classe ! Par contre, ton short ... et tes draps…
- Ouais bon.
- Ça m’gêne pas. Chris j’ai un petit problème de maths que j’pige pas, tu peux m’aider ?
Elle était vraiment cash et avait beaucoup d’aplomb, pas du tout comme la petite fille timide du collège qu’on connaissait genre 1ère de classe. Son problème était vraiment simple et en moins de 10 minutes c’était réglé. Je ne comprenais pas pourquoi elle était venue pour un truc aussi bateau à 8 jours des vacances. Je la laissais un moment pour aller pisser et chercher à boire et un paquet de gâteaux. Quand je rentrais elle souriait la main dans son short en train de regarder sur mon ordi la vidéo crade de Kilian et moi ! Merde, j’aurais dû mettre un mot de passe ! Comme elle ne m’avait pas entendu, je ressortis, fis un peu de bruit et rentrais dans ma chambre après quelques secondes. Elle avait dû m’entendre car elle était maintenant assise sur mon lit, l’air de rien et pas du tout gênée par l’état des draps. Comme il faisait encore beau, je lui proposais de se baigner dans la piscine en lui demandant si ça la gênait que je me baigne à poil. Elle ne me répondit pas mais enleva son top et son short sous lequel elle n’avait rien. Je vis qu’elle avait un beau corps, finement musclé, et que comme nous elle devait être adepte du naturisme car bronzée intégralement. A poil, l’odeur qu’elle dégageait était vraiment forte et me provoqua un début d’érection. Je me mis aussi quand même à poil avec une demi-molle et elle me dit qu’elle préférait rester paresser au soleil avant de se baigner. On resta donc allongés sur l’herbe, en discutant de ce qu’on aimait comme films, comme lecture. Bref une bonne conversation d’ados quand on aborda des sujets plus intimes :
- Tu sais, chez moi aussi on vit à poil aussi, alors ça m’gêne pas. Tu t’rases les couilles et la bite ?
- Non j’ai pas encore de poils et d’toute façon j’les aime pas. Toi non plus d’ailleurs t’as pas de poil !
- Moi je me rase la chatte. Quand t’es dans le vestiaire avec tes potes tu bandes quand tu vois leurs queues ?
- Ça arrive, mais en général on bande tous un peu, c’est des fois dur de se contrôler. Pis Kilian et moi on fait exprès de s’exciter pour voir la réaction des autres. En plus rien qu’l’odeur du vestiaire nous fait triquer.
- Ouais, j’ai vu que mon odeur te faisait un peu bander ! C’est flatteur. J’fais du foot et j’ai toujours été attirée par ces odeurs de vestiaire.
- Waouh tu fais du foot, je comprends mieux pourquoi t’es super musclée. T’as un p’tit copain ?
- Euh non, les 2 seuls mecs avec qui j’aimerai sortir et qui ont l’air d’avoir quelque chose dans le ciboulot sont des pédales !
- ???
- J’plaisante, Chris, mais c’est vrai que j’vous aime bien Kilian et toi et qu’les 2 vous êtes vachement bien foutus.
- Merci Célia ! C’est bizarre qu’t’as pas de p’tit copain, t’es super belle aussi et les mecs doivent ramper pour te draguer, non ?
- Ça pour me faire draguer… Dis donc t’as des gros tétons pour un mec.
- Euh ouais, ça doit être la rançon de la puberté.
- Tu crois ? J’savais pas que ç’avait c’t effet là chez les mecs…. Ton père supporte que ta chambre pue comme ça ?
- Euh… y gueule de temps en temps … et toi tes parents ?
- C’est un peu comme toi. Je vis seule avec ma mère et elle est pas trop sévère question hygiène.
- Et ta mère n’a pas trouvé un nouveau mec.
- Euh non… et ton père il a pas de meuf…
- Euh, j’crois pas …
Imperceptiblement la conversation prenait un ton bizarre et une certaine tension s’installait entre nous 2. Après un silence, Célia reprit la discussion.
- Chris, j’ai regardé ton historique et tes favoris et quelques dossiers sur ton ordi pendant qu’t’allais chercher à boire et à manger.
- Ouais je t’ai vue, mais ni Kilian ni moi n’avons grand-chose à t’cacher, j’crois.
- J’vous ai trouvés beaux Kilian et toi quand vous baisiez. Vous aviez l’air d’y prendre vach’ment de plaisir.
- Euh, ben Célia, c’est le but non ? Et ça t’choque pas de voir 2 mecs s’embrasser, se faire des câlins et s’enculer ?
- Non c’est mieux de faire l’amour qu’la guerre, non ?
- Ben avec Kilian on est pas prêt de faire la guerre !
- C’est qui qui filmait ?
- Euh ... c’était une caméra fixe.
- Excuse-moi, t’es pas obligé de répondre à toutes mes questions. J’suis curieuse, c’est tout.
Vraiment la conversation prenait une tournure de plus en plus curieuse.
- Chris, j’voudrais quand même te dire une chose, dit-elle la voix un peu tremblante.
- Quoi ?
- J’t’explique, Kilian et toi vous êtes pédés, et moi… ben moi… j’aime les filles.
- ???
- J’te dis qu’j’suis une gouine, une bouffeuse de chattes !
- Ah mais c’est pour ça qu’t’as pas de copains !
- Nan, mais j’ai des copines !
- Putain, ça y est j’ai compris !
- T’es un peu lent à la détente, Chris.
- Ouais bon j’suis qu’un mec comme vous dites les filles. Ben j’suis surpris, mais bon … vu que j’suis gay… ça doit être plus facile pour toi de me le dire. Et pis merci pour ta franchise, ça m’fait super plaisir ta confiance.
- T’es le premier mec à qui j’l’avoue.
On était toujours allongés au bord de la piscine et Célia se rapprocha de moi et me prit dans ses bras. On aurait dit un couple d’amoureux et malgré moi je bandais. Elle dégageait une odeur forte qui mélangée à la mienne fit de nouveau réagir ma queue. Merde elle allait voir que je bandais.
- Bordel t’es pas qu’pédé, Chris. J’te fais bander !
- Désolé, Célia, le prends pas mal mais j’crois que c’est juste qu’j’suis chaud. T’aimes ça exciter les mecs ?
- Ben non, mais c’est quand même flatteur. Quand on fait des fêtes et qu’je danse un slow avec un mec j’sens bien sa queue durcir. Et le mec fait tout pour que j’le sache bien.
- Ben y doit être déçu alors !
- Sûr ! s’il insiste j’lui dis d’aller se branler aux chiottes !
- Envoie le vers Kilian ou moi, on lui fera une p’tite pipe ! Putain, Célia, tu pues fort, j’crois qu’c’est ça qui m’excite !
- Ben ouais, j’ai la moule un peu grasse et j’aime bien l’odeur de mes d’sous de bras et de mon cul. J’supporte pas les nanas qui se parfument et qu’arrêtent pas de s’maquiller et s’habiller comme des putes pour aguicher les mecs. Moi j’aime bien les filles nature et qui s’négligent un peu, même plutôt beaucoup mais ça c’est comme toi avec les mecs hein ?
- Euh ouais.
- Toi aussi mon cochon, tu pues bien de la bite. Ton prépuce s’est un peu rétracté et j’vois des traces blanches… et j’suis sur que si tu m’montrais ton cul y’aurait de la merde dans ta raie.
- Euh, t’as raison. On est vraiment des crades pour notre âge non ? Avec Kilian on voulait discuter d’ça sur un tchat avec des mecs de notre âge, mais on n’y est pas encore allé très souvent. C’est super de pouvoir discuter avec toi.
- T’inquiètes, moi j’ai pas honte de mes odeurs. Comme j’sais que Kilian, toi et moi on n’est pas des ados classiques, j’vais encore te dire un secret.
- Ouais ?
- Euh… j’suis sur un réseau de rencontres un peu spécial…
- Ah bon c’est quoi ?
- Ben c’est un réseau sur lequel on peut discuter surtout de sexe.
- C’a rien de spécial non ?
- Putain Chris, attends un peu. Tu m’aides pas là. J’sais pas comment t’dire. Je surfais dessus quand j’suis tombé sur un pseudo qui m’plaisait bien.
- C’était quoi le nom ?
- Attends un peu. J’pensais tomber sur des gouines mais c’étaient des pédales et j’ai regardé leurs photos et vidéos. Putain c’était chaud et bien crade. Y manquait vraiment qu’l’odeur. En regardant en détail leur profils, j’ai appris qu’y baisaient aussi avec leurs pères … comme moi avec ma mère !
- ???
- Putain Chris, c’était toi et Kilian !
- Mais, mais …
- Oh Chris tu comprends c’que j’viens d’dire ?
- Euh…
- Merde c’est vrai que pour vous les mecs la bite vous sert de cerveau. Tu comprends ?
- Bordel Célia, t’as vu not’ profil ?
- Ben ouais et j’viens de te dire que moi aussi j’suis sur le même réseau avec ma mère.
- Ça y est j’ai compris … T’es aussi incestueuse ! Et ta mère c’est une pédo !
- Tu vois qu’tu comprends quand tu veux ! Mon profil c’est gouinecrade el le vôtre c’est adocrade. J’ai mis des vidéos et des photos de ma mère et de Sara.
La vache non seulement Célia était lesbienne, mais en plus elle baisait avec sa mère et elles étaient crades ! J’avais quelqu’un de tout proche avec qui Kilian et moi pourrions discuter de nos relations familiales une peu spéciales.
- J’t’explique Chris.
- Oui Célia.
- J’ai toujours aimé les filles. Quand j’étais petite j’adorais jouer avec mon abricot et avec celui de mes copines. A 8 ans j’aimais lécher les slips et culottes de ma mère qui étaient bien tachés de cyprine et de pisse et de traces de merde. J’adorais les nettoyer et ces bonnes odeurs m’enivraient. De plus quand ma mère avait ses règles, j’aimais encore plus cela. Je trouvais vachement érotique les traces rouges brunes devant.
- Ça c’est dég !
- Oh Chris, de la part de quelqu’un qui s’fait pisser et chier dessus !
- Ouais, bon, t’as vu les vidéos….
- Y’a un an ma mère m’a gaulée en train de me branler en reniflant ses shorts crades et j’lui ai avoué que j’aimais les filles et qu’en plus j’les aimais crade. Elle a souri et m’a dit qu’elle s’en doutait, vues les odeurs que je dégageais et qu’ca la gênait pas. Elle m’a rassurée me disant qu’elle-même était aussi une bouffeuse de chattes et on a fini dans ma chambre en se bouffant le clito.
- Célia, t’as le clito comme une p’tite bite. Il est vachement long. Pis t’as comme un prépuce.
- Ouais j’me l’étire aussi avec une pompe à vide … comme tes tétons Chris !
- Ah t’as remarqué. On adore avec Kilian le sentiment de douleur puis de plaisir, mais continue Célia.
- Elle m’a fait jouir comme jamais et m’a demandé si j’avais une bonne copine. Ça faisait déjà plusieurs mois que j’m’amusais avec Sara, une fouteuse de mon équipe aussi crade que moi, après les matchs. Elle m’a demandé si Sara accepterait de venir à la maison. J’en ai pas parlé à Sara, mais un jour j’l’ai ramenée à la maison après le foot, bien puante. On était dans ma chambre occupées à se faire jouir et j’savais que ma mère allait rentrer. Ça puait fort dans la chambre. Nos clitos étaient bandés un max. On avait les doigts dans le cul et dans le vagin et on sentait bien la merde et la cyprine. Ma mère est alors rentrée dans ma chambre. Sara était tellement surprise qu’elle m’a aspergé de sa pisse et qu’un peu de merde est passée par son trou ! Elle savait plus où se mettre, mais ma mère l’a tout de suite rassurée en lui roulant un palot et on s’est fait une bonne baise bien crade toutes les 3. A la fin Sara nous a avoué que sa mère était aussi pédo et incestueuse. Depuis on se voit souvent toutes les 4.
- Waouh !
- Depuis je crois qu’on vit la même vie avec nos pédos de mères que vous avec vos pédos de père. On a juste commencé un peu plus tôt que vous. On aime bien avoir la moule qui pue. On se torche rarement. On fait même des spectacles à la cam avec Sara pour de vieilles gouines ! Si tu veux on pourra t’en faire 1 pour toi et Kilian.
- Merci Célia, mais tu peux l’faire carrément avec nous non ?
- Ouais mais j’te rappelle qu’on aime pas trop la queue, quoique si elle est bien crade…
- La vache ! Moi qui croyais qu’t’étais une p’tite fille bien sage. J’t’imaginais pas comme moi et ça m’fait vachement plaisir que tu t’confies à moi. Sincèrement. On cherchait des mecs avec qui discuter et on pourra le faire avec toi et Sara.
Je la serrai dans mes bras et on était à la limite de pleurer d’émotion tous les 2 et c’est vrai qu’on était bouleversés. On resta un long moment silencieux, toujours blottis l’un contre l’autre et Célia reprit la conversation.
- Et toi, t’as su comment qu’t’étais plutôt pédé ?
- Euh… on était toujours ensemble avec Kilian. Tu vois, 2 métis un peu à part, toujours fourrés l’un chez l’autre rapport à nos pères qui vivaient seuls. On a découvert nos corps ensemble. Pis on allait souvent sur des sites pornos et on préférait les gays. On lisait des histoires d’inceste, de pédos et on s’est dit qu’on aimait tellement nos pères qu’on aimerait bien coucher avec eux.
- Vous saviez que vos pères étaient gays ?
- Non, mais on s’en doutait. On voyait bien que ça les dérangeait pas qu’on baisouille ensemble ! Pis après pour les provoquer, on s’est plus lavés et ils bandaient toujours un peu en nous voyant crade.
- J’vois.
- Et pis un jour on les a surpris en train de baiser avec un jeune noir ! Y nous avaient pas vus mais le noir nous avait choppés.
Et je lui racontais nos aventures avec Driss mais sans prononcer son nom.
- Personne sait qu’on baise avec nos pères Célia faut pas l’dire hein !
- T’inquiètes, Chris, personne sait pour ma mère et moi non plus, sauf ceux et celles qui sont sur le réseau.
- Ouais comme nous. C’est pour ça que pour avoir la paix, on peut faire semblant de sortir ensemble. Kilian pourrait faire semblant de sortir avec Sara. Dis c’est vrai que toutes les footeuses sont des gouines ?
- Ben comme les footeux sont tous pédés !
- C’est vrai qu’avec leurs coupes de cheveux et leurs tatouages et les manières qu’y font quand y tombent ! Au collège y’a que Kilian et Dr… oh merde !
- T’inquiètes, j’savais pour Driss. Il habite l’appart en face du notre et des fois vos pères venaient chez lui. C’est lui que vos pères baisaient ?
- Ouais.
- T’aimes ça la baise ?
- Putain j’adore mais j’dois dire qu’c’est pas pareil avec mon père qu’avec Kilian ou Driss. Y’a queq’chose de différent qu’on peut pas partager avec d’autres. J’sais pas comment dire, c’est pas le même genre d’amour.
- J’crois qu’j’comprends, Chris. Moi c’est pareil. Ma mère m’a dit qu’elle connaissait vos pères. Elle les a rencontrés dans des partouzes organisées dans un sex-club !
- La vache, ça j’savais pas ! Y z’ont baisé avec ta mère ?
- J’sais pas, mais je crois que ma mère aime aussi les queues. D’après ce que j’ai compris, y’aurait des familles entières qui viennent pour baiser.
- T’aurais envie de baiser avec un mec ?
- Sans doute, mais faut qu’y soit beau et aime le crade…Pis toi les filles ?
- Comme tu dis les filles elles sont trop propres, s’maquillent comme des putes. Papa me dit qu’à notre âge on doit essayer tout à condition d’en avoir envie et que ça respecte toujours l’autre.
- J’vois, ma mère me dit toujours qu’une queue dans le cul, le vagin ou la bouche c’est aut’chose que les godes…
Je n’en revenais pas de cette conversation, mais je compris aussi pourquoi on avait de bons feelings tous les 2. Mon père arriva et nous trouva encore enlacés. Célia ne fut pas gênée d’être à poil devant lui.
- Salut Chris, salut Célia, merde vous puez grave les 2.
- Oui, euh… bonjour Monsieur.
- Euh, désolé mais je dois poser la question : vous avez fait que vous baignez ?
- Non, papa, on s’est pas baigné et elle sait qu’j’aime la bite !
- Parle pas comme ça, Chris.
- Vous inquiétez pas, m’sieur, moi je préfère les moules.
- Euh, Célia, tu sais j’crois qu’tu peux m’appeler Paul et me tutoyer. Je connais bien ta mère.
- Ouais mons… Paul. Elle m’a dit que vous vous étiez rencontrés dans des soirées.
- Oui Célia, j’crois qu’on a pas trop de secret entre nous, non ? Ta mère t’aime beaucoup, comme moi j’aime beaucoup mon fils.
- Vos voulez dire que vous savez…
- Oui Célia tu peux parler en toute tranquillité dans cette maison. Dis-moi, tu veux rester dîner avec nous ce soir ?
- Pourquoi pas, mais faudrait que j’prévienne ma mère.
- J’m’en occupe, ça sera plus simple. J’la connais bien. Elle pourrait venir nous rejoindre. Chris adore faire la cuisine.
- J’peux aider Chris aussi.
- Parfait les djeun’s. Allez voir ce que vous pouvez nous préparer dans la cuisine. Non Célia, pas la peine de te rhabiller. J’crois qu’y fait encore assez chaud et ça choquera pas ta mère !
- Ah ben ça non ! C’est de me voir fringuer et propre qui la choque !
Je fis donc connaissance d’Eva, jolie femme, élancée, qui sans chichis se mit directement à poil en rentrant chez nous et alla rouleur une pelle à mon père et à sa fille. Eva était comme Célia intégralement bronzée et rasée et elle puait aussi ! Ses tétons étaient percés de deux anneaux reliés entre eux par une chaîne. Dès le début de la conversation les choses étaient claires : on était entre crades, pédos et incestueux.
- Alors c’est toi Chris, un des mecs qui pue grave dans la classe de Célia.
- Euh ouais.
- Sois pas timide, tu sais on est entre nous. Paul a de la chance d’avoir un beau garçon comme toi avec une belle bite.
- Merci madame.
- Madame ? Appelle moi Eva et on se tutoie ! T’est vraiment un beau p’tit thaï. Qu’est-ce que vous nous préparez à manger les enfants ?
- Ça va être simple comme d’hab. Steak salade fromage yaourt et fruit. Célia, tu fais la sauce à salade ? Je prépare les steaks.
- Tu veux une goutte de vin Eva ? dit mon père.
- Volontiers mais pas qu’une goutte j’espère !
Quand la viande fut cuite, Célia et moi servirent les assiettes et on put manger. On parla beaucoup d’école (Eva et mon père étaient fiers d’avoir des enfants plutôt doués et intéressés au monde) mais aussi de nos sports et de nos loisirs. Eva et mon père s’étaient rencontrés dans un sex-club où étaient organisées des partouzes où de temps en temps quelques ados venaient. Tous les gens faisaient partie du réseau sur lequel Fred et mon père nous avaient inscrits. Ils nous racontaient les rencontres qu’ils avaient faites et forcément je bandais comme un fou et Célia suintait la cyprine. Elle excitait son clito qui avait l’allure d’une petite pine d’au moins 3 cm. A la fin du repas Eva nous complimenta.
- Tu sais Chris, c’est bien de pouvoir faire la cuisine à ton âge et de servir à table. Bravo j’suis sûr que ça soulage ton père de voir que tu te débrouilles bien.
- Il a bien été obligé de se démerder après la mort de ma femme, Eva. Et Célia l’a bien aidé aussi. Mais Fred a aussi été d’une grande aide ainsi que d’autres voisins. C’est vrai que c’est un bon p’tit gars.
- Célia me dit que t’es aussi vachement bon à l’école et au basket.
- Merci Eva, mais Célia aussi elle est bonne.
- Ça j’te confirme. Hein Célia qu’tes bonne ! et pas qu’à l’école ma chérie !
- Ouais j’suis bonne au foot aussi !
- J’pensais pas à ça mon amour.
- Putain maman arrête, tu penses qu’au cul.
- Ben ouais, pas toi ? J’suis sur que Chris y pense qu’à ça.
- Pas tout le temps, Eva ! J’pense aussi à la bite !
- Célia, j’ai eu une semaine épuisante et j’ai besoin de détente. Je vois que vous êtes bien excités tous les 2. Paul nos enfants ne pourraient-ils pas nous faire une petite gâterie en guise de dessert ?
- T’as raison Eva. Allez Chris, viens me sucer et toi Célia va brouter ta mère !
La soirée promettait d’être chaude et elle le fut. C’est aussi au cours de cette soirée que je compris aussi que baiser avec une nana pourrait ne pas être désagréable si elle était un tantinet crade ! Eva et mon père mirent leur fauteuil côte à côte pour bien profiter du spectacle qu’on allait leur donner. Je plongeais sur sa bite qu’il n’avait pas dû laver depuis le week-end dernier. Elle était pleine de fromage et de résidus merdeux, et dégageait une bonne odeur. Célia à côté léchait la moule de sa mère et écartait ses lèvres. L’odeur jaillit à nos nez et renforçait nos désirs sexuels. Célia s’appliquait et j’entendais des cris de jouissance d’Eva tandis que mon père m’encourageait à bien le sucer. Après avoir récolté la moitié du fromage de mon père, je jetais un coup d’œil à Célia.
- Putain, Célia, ta mère t’a pissé dessus ?
- Non, quand elle jouit, elle m’asperge de cyprine, c’est délicieux. Tu veux gouter ?
- J’veux bien, j’ai jamais gouté. Si tu veux, tu peux sucer mon père. J’tai laissé un peu de quoi bouffer.
- J’sais pas, j’l’ai jamais fait. Pis c’est plus gros que le clito de maman ou de Sara.
- Vas-y ma fille. J’aimerais bien voir comment cette pédale de Chris se démerde avec une moule et toi avec un zob.
- Oui Chris, lâche ma queue et donne-la à Célia. Ça m’intéresse aussi.
On échangea nos places et je commençais à donner des petits coups de langue sur le sexe d’Eva. Célia m’avait laissé des sécrétions à bouffer et je dus admettre que c’était bon. Eva tirait sur la chaine reliant les piercings de ses tétons en poussant des cris de jouissance. Je montais ma langue vers son clito et commençais à le sucer et tout à coup je reçus un jet de cyprine sur la gueule.
- Continue Chris. Ahhh … Mords-moi le clito. Putain tu fais ça bien pour un pédé. Vas-y, fous moi tes doigts dans le cul.
- Bordel Célia, pour une gouine tu suces super bien. Putain j’vais jouir dans ta gueule de bouffeuse de chatte.
Nos vieux jouissaient sur nous. Célia avait plein de sperme sur la gueule et je baignais dans la mouille. Je me tournais vers elle pour lécher le sperme de mon père et je luis fis gouter en lui roulant une pelle. Elle me lécha ensuite pour récupérer la mouille de sa mère.
- Putain Paul, c’est la première fois qu’un mec me jute sur la gueule. Chris m’a fait gouter. C’est pas mauvais mais j’crois que j’préfère quand même les gonzesses. Pis toi Chris tu penses quoi ?
- Ben c’est pas mauvais la mouille, surtout que ta mère est bien dég. Mais j’préfère quand même la bite. Bon papa, t’as joui mais pas moi. Laisse-moi m’asseoir et viens t’empaler sur mon zgeg qu’on montre à ces salopes de gouines qu’on s’débrouille bien entre mecs !
- Pis toi maman j’suis sure qu’t’as un gode-ceinture dans ton sac, non ?
- Oui chérie, j’men sépare jamais.
- J’vais le chercher tu t’assieds sur la table et j’t’encule pendant que j’me branle.
On fit comme on avait dit. J’éprouvais beaucoup de plaisir lors des montées et descentes de mon père sur ma bite, surtout que je la sentais bien au chaud. De voir Célia enculer sa mère décuplait mon plaisir. C’était la première fois que je voyais des gouines en réel en train de faire l’amour. Eva se masturbait le clito comme une folle et injuriait sa fille qui le lui rendait bien. Soudain une odeur de merde envahit la terrasse. Le gode se couvrait de la bouse d’Eva. Connaissant les gouts des participants à cette soirée, ça allait finir très crade. J’agrippais les tétons de mon père et commençait à les tordre dans tous les sens et malgré sa concentration à vouloir me donner du plaisir je vis sa queue s’ériger. Le cul de mon père devait être grand ouvert car sa merde commençait à couler sur mon pubis. Célia et Eva se mirent à crier et je vis des geysers de cyprine sortir de sa moule pendant ses multiples orgasmes. Mon père sentit alors que j’allais jouir et il fit tout pour que je m’enfonce au plus profond de son cul quand j’expulsais mes jets de sperme dans ses intestins ce qui écrasa sa merde sur son cul et sur mon ventre. Il me roula une bonne pelle après ma jouissance.
- Heureux ?
- Putain papa, t’es vraiment un bon coup. J’adore quand t’es crade !
- Toi aussi fiston, t’es un bon coup !
- Papa t’es lourd maintenant. Tu peux t’lever ?
- Oui et après ?
- Mmmm, j’a trop envie de te lécher le cul !
- Attends, regarde les gouines. Elles sont dans le même état que nous.
C’est vrai que Célia avait sorti la merde du cul d’Eva pendant qu’elle l’enculait et elles se l’étalaient sur leur corps. Eva et mon père nous firent allonger côte à côte et se mirent en 69 sur nous deux nous présentant leur cul. Papa me nettoyait la queue et Eva broutait le clito de Célia. A notre grande surprise, de temps en temps ils se roulaient des pelles. Célia et moi dégustions les culs qu’on avait devant nous. Les deux ne se retenaient pas de péter, et je me retrouvais la gueule pleine de merde et de sperme. Je me tournais vers Célia et vit qu’elle aussi en avait plein le visage. Instinctivement je me tournais vers elle et on s’embrassa goulument en mêlant nos langues et notre salive bien brune.
- Mmmm pas mauvaise celle de ton père !
- Pas mal non plus celle de ta mère. Allez les pédos envoyez nous encore un peu de vot’ bouse dans la gueule !
- Bordel Eva, y sont encore plus crades que nous !
- Ouais Paul, et putain que c’est bon de s’faire mettre par nos p’tits ados. Tu sais Paul, j’vais m’le faire un jour ton fils.
- T’as raison, c’est un bon coup. Et j’trouve aussi Célia appétissante, elle pue bien, a pas peur du crade. P’têt qu’un jour elle aura ma bite dans son cul ! Mais j’suis sur qu’elle aura celle de Chris avant.
Une fois leurs culs vides, Paul et Eva se levèrent et on s’étala avec Célia le reste de ce qu’ils avaient expulsé. Paul et Eva nous pissèrent dessus et je ne pus retenir ma vessie dirigeant le jet vers ma bouche et aussi vers Célia qui faisait de même. On se leva et on alla se blottir dans les bras des pédos en leur disant combien on les aimait et combien c’était agréable de vivre avec eux. Papa alla nous chercher à boire et on se reposa sur la terrasse à bien profiter de nos odeurs. On prit quelques photos pour immortaliser cette soirée. Papa proposa aux gouines de rester dormir chez nous.
- Sympa Paul, j’nous vois mal rentrer dans c’t’état à la maison ! Comment on fait ?
- Eva, j’pense qu’on pourrait laisser les djeuns ensemble. Ils doivent encore avoir des tas de choses à se s’dire.
- Célia ?
- Oui maman.
- Faites gaffe si vous baisez, hein !
- T’inquiètes, Chris est trop pédé pour s’intéresser à ma moule.
- Mouais, tu sais Paul est peut-être une grosse pédale pédo, mais il m’a déjà baisé pas mal de fois avec son copain Fred ainsi que d’autres femmes et filles. Et j’dois dire que moi, j’suis pas qu’une gouine. J’aime bien aussi avoir des vraies queues dans le cul, et aussi celles de petits ados dans le genre de cette pédale de Chris. Tu verras t’y prendras un peu gout avec l’âge car le gode on s’en lasse et on préfère avoir parfois quelque chose de chaud et bien vivant au fond d’ses trous.
- On verra maman…
On se dit bonne nuit et on alla dans ma chambre Célia et moi. On s’enleva la plus grosse partie de la merde et on se lava les dents. Puis on alla se pieuter.
- Euh, Célia, tu veux t’doucher avant de se pieuter ?
- Tu rigoles. Même pas en rêve. Ton lit craint pas ?
- Ben non il en a vu d’autres. D’ailleurs y doit être dég encore.
- C’est mieux comme ça. Chris, j’l’ai jamais fait avec un garçon. Et toi ?
- Plein de fois !
- Avec des filles que j’connais ?
- Non pas avec des filles mais avec des mecs !
- Putain, c’est pas ca que j’demandais. T’as déjà tronché des filles ?
- Ah ben non.
- Tu crois que tu l’feras un jour ?
- J’sais pas. Papa me dit que oui. Y m’dit qu’j’aime trop le sexe pour pas essayer.
- Ouais comme ma mère. Mais j’crois pas qu’j’sois prête encore.
Je me penchais et lui forçais la bouche avec ma langue.
- Bonne nuit la gouine.
- Bonne nuit la tafiole.
Le lendemain matin, je me réveillais avec évidemment le petit gourdin du matin ce qui fit rire Célia. On se leva et alla les deux sous la douche. Avant de faire couler l’eau je pissais et évidemment avec mon érection ça allait soit sur ma gueule soit sur celle de Célia. Je m’amusais à diriger mon jet vers sa bouche. Elle en but un peu et à la fon vint me faire partager ma pisse en me roulant une pelle. Puis elle me fit mettre à genoux et m’aspergea de son urine forte du matin que j’avalais en partie. Finalement on décida de ne pas se doucher pour garder la bonne odeur qui se dégageait de nos corps. On alla ensuite dans la chambre de mon père : Eva et lui étaient allongés sur le dos et on voyait bien qu’ils avaient baisé une bonne partie de la nuit. On leur dit bonjour en se roulant de bonnes pelles et on se mit aussitôt en 69. Mon père bandait et j’approchais ma bouche de sa queue qui puait fort. Je jetais un coup d’œil à Célia qui s’occupait déjà de la moule de sa mère. Je nettoyais le zob de mon père de toutes les matières fécales s’y trouvant et commençait à me l’enfoncer dans la gorge. Mon père lui n‘avait aucune difficulté à me prendre entièrement la pine. Je léchais le pieu paternel avec amour, l’amenant rapidement à sa jouissance. Je me délectais de son bon yop du matin et je ne tardais pas à lui renvoyer la pareille dans sa gueule. De leur coté Célia et Eva avait inondé le lit de leur mouille. J’avais toujours la queue de mon père dans la bouche et lui aussi. On se mit à pisser tous les 2 car on adorait le mélange sperme et pisse, surtout le matin. Voyant cela les gouines ne se privèrent pas de faire la même chose. La journée commençait bien !
- Salut les djeuns, merci pour cet agréable réveil ! Vous vous êtes pissés dessus ce matin non ?
- Mmm, Célia, ma p’tite gouine adorée, on devrait s’faire ça tous les matins !
- Putain, maman tu sais bien qu’on a pas toujours le temps !
- Chris, Célia, si vous alliez nous fate un p’tit déj !
- OK
- Bordel, y sont bien élevés, quand même, hein Paul ?
- Oui Eva, mais on a beaucoup donné et maintenant y nous donnent beaucoup.
On leur fit le p’tit déj complet : œufs, toast, salade, thé, café jus d’orange confiture maison qu’on prit tous les 4 sur la terrasse. Après s’être bien restaurés, ils nous racontèrent comment ils s’étaient rencontrés dans un club échangiste gay et lesbien. Comme tous les membres ils étaient plutôt homos mais ne détestaient pas non plus l’autre sexe. Au sein de ce club il y avait un groupe versé dans l’inceste et les ados, baptisé PHIAC pour Parents Homos Incestueux d’Ados Crades. Ils y avaient développé une attirance pour leurs propres enfants et en parlaient régulièrement sans avoir franchi le pas. Ils avaient tous décidé que ça devait venir de leurs rejetons et ne jamais les forcer. Célia et moi étions maintenant assez murs pour le comprendre et ils étaient heureux que l’on partage leurs sentiments. Ils nous dirent aussi qu’on devrait en parler immédiatement à Kilian et Sara et que très bientôt on pourrait aller tous ensemble dans ce club si ça ne nous faisait pas peur. Célia et sa mère après une toilette succincte nous quittèrent. Il était déjà 2 heures de l’après-midi et je filais chez Kilian pour lui raconter notre séance avec Eva et Célia. J’étais encore bien crade et la sueur était plutôt brune et si ça ne se voyait pas trop ça se sentait !
- Putain Chris, tu pues mec, vous avez fait encore fait des saloperies avec Paul.
- Ouais mais attends, j’te raconte.
- Pas tout de suite, Chris, tu m’fais trop bander et pis moi j’étais tout seul hier soir à me branler. J’veux ton cul !
- T’as pas baisé avec Fred ?
- Non il a été appelé pour le travail. Il est rentré tard et il dort. Allez fous toi à poil. J’suis chaud.
- Ouais, mais laisse-moi t’expliquer.
- Après. La vache, t’as encore de la merde partout. Merci de pas t’être lavé. Putain qu’ça m’excite.
- Mais…
Il me força à me taire en me roulant une pelle et en empoignant ma bite. Je ne résistais pas plus longtemps et lui rendit son baiser. Il m’entraina dans sa chambre aussi crade que la mienne et on s’écroula les deux sur son lit. Je le pompais pendant qu’il me titillait la rondelle pour que je m’ouvre bien. J’arrêtais ma pipe, m’allongeais et il vint m’enculer aussi sec. Kilian est un bon baiseur, il jouait bien avec ma prostate. Je me branlais et on jouit comme d’habitude maintenant en même temps. Une fois calmés, je pus lui raconter ma journée d’hier ponctuée de ses différentes exclamations !
- Quoi ? Célia est une gouine ! … Elle a une copine ! … Elle baise avec sa mère ! … Elles sont crades ! T’as sucé un clito !
- T’es pas jaloux quand même ?
- Ben non Chris, mais merde j’aurais aimé être là.
- T’inquiètes, y’aura surement d’aut’ séances très vite. Célia m’a dit qu’elle nous présenterait Sara bientôt.
- Super !
- Et pis y’a ce club, là, le PHIAC et pis le réseau.
- J’sais pas si j’oserai aller là-bas.
- Ouais on est encore un peu jeune pour ça non ?
- Ca dépend, tu connais beaucoup de mecs de 13 ans qui s’font tringler par leur père, qui s’pissent et qui se chient dessus ?
- Ben non, à part nous … et les pdbro … et Célia
Le lendemain, on attaquait notre dernière semaine d’école. Célia se doutait bien que j’avais déjà tout raconté à Kilian et elle nous dit que Sara était aussi au courant. Elle proposa de passer le samedi ensemble avec elle chez moi pour faire connaissance. On avait rendez-vous l’après-midi après notre match de basket et leur match de foot. Quand on le dit à nos pères ceux-ci éclatèrent de rire en nous disant qu’on allait sans doute être bien crades et qu’on allait tâter de la moule.
On passait tous en 3ème, même Driss. Ce dernier nous annonça qu’il partait dès le samedi en vacances 2 mois avec ses parents adoptifs en Afrique. On allait devoir se passer de notre copain black tout l’été et on passa le mercredi après-midi tous les 3 ensemble chez Kilian pour bien profiter de sa grosse bite et de son cul. Driss nous a défoncé le cul à plusieurs reprises. Il n’arrêtait pas de bander à croire qu’il avait pris des petites pilules bleues ! On avait fini très crade en se chiant tous dessus. Quand mon père est arrivé et qu’il nous a vus, il a aussitôt téléphoné à Fred pour qu’il nous rejoigne et les deux pédos nous ont baisés tous les trois. On arrivait à peine à marcher et nos pères durent nous appliquer une bonne couche de pommade. Le lendemain à l’école en nous voyant arriver en boitant Célia ne put s’empêcher de sourire, surtout qu’en se rapprochant de nous elle sentit encore l’odeur de merde nous entourant ! Célia nous prit à part pendant la récré.
- Euh Chris, Kilian, pour samedi, on viendra près not’ match de foot avec Sara.
- Ben ouais, nous on a aussi not’ dernier match de basket ! Faudra pas v’nir avant 3 heures.
- OK, et …
- Oui ?
- Euh non rien, tu sais Sara elle aime encore plus le crade que moi, ça vous dérange pas ?
- T’inquiètes, tu nous connais !
- Pis moi, dit Kilian, j’aimerai bien voir et sentir vos moules et vos culs dég. C’que m’a raconté Chris m’a bien excité.
- Vous s’rez pas déçus ! Mais Sara aimerait bien vous voir aussi dég. Prenez plus de douches d’ici samedi qu’on puisse bien en profiter !
- Pas de problème p’tite gouine c’était pas prévu au programme de toute façon !
- Pis j’ai raconté à Sara qu’j’avais gouté du sperme et elle aimerait bien l’faire aussi.
- Pis moi, dit Kilian, j’aimerai bien lécher une moule bien dég aussi.
- Tu vas pas être déçu la tafiole…