Le lendemain matin mon père me secoua pour me réveiller. Il était déjà tard et il avait déjà préparé le petit déj que j’avalais vite avant de me précipiter à l’école sur mon vélo. J’arrivais juste à l’heure et il fallut attendre la récré pour pouvoir discuter avec Driss. On se retrouva tous les 3 avec Kilian dans un coin isolé.
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Fred et mon père avaient mis les choses au point : pas de baise avec eux pendant la semaine et surtout l’école d’abord. Si cette dernière condition était respectée et que nos résultats scolaires continuaient à être top, Kilian et moi pouvions faire ce qu’on voulait. Kilian et moi avions proposé à Driss de l’aider dans ses études en faisant nos devoirs ensemble. Nos pères étaient évidemment d’accord. Je m’occupais des maths et Kilian s’occuperait de l’anglais. La première fois on était tous les 2 chez moi et au bout d’un moment il avait bien compris les différents triangles et comment les construire. A la fin il commença à me peloter en me passant la main sous le t-
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Je rigolais à son accent. Ce mec gagnait à être connu : il avait de l’humour… et une grosse queue ! Il s’assit sur mon lit et je m’agenouillais entre ses jambes et l’odeur de sa bite me monta au nez. Je collais mon nez dessus. La bosse de son sexe me paraissait énorme et je me demandais déjà comment j’allais avaler ce gourdin. Je fis glisser son short, l’odeur se renforça et une belle grosse queue ébène toute lisse, déjà bien dure me sauta littéralement à la gueule. Je la léchai sur toute sa longueur n’oubliant pas les 2 merveilleuses couilles que je faisais rouler dans ma bouche. Je tirai son prépuce, laissant apparaitre une bonne croute blanche sur son gland rose que je lapais avec ferveur, puis j’essayai d’engloutir sa bite mais à la moitié, ça butait sur ma gorge. Après quelques efforts de déglutissement, j’en avalais encore un peu, mais l’asphyxie ainsi qu’un début de nausée me firent retirer pour un moment sa queue. Il m’installa sur le lit de manière que j’ai la tête dans le vide et il me remit sa queue dans la gueule. De cette façon je pus presque entièrement l’avaler et en plus je pouvais presque voir le trou de son cul. Il était en train de me pistonner la bouche quand mon père arriva.
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Mon père revint très vite et filma cette pipe jusqu’à ce que Driss me tapisse la glotte avec son sperme. J’étais à 2 doigts de dégueuler ! Après avoir repris mon souffle, je me levais et allais rouler une pelle à Driss puis à mon père.
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Driss remit son short et partit chez Kilian. Mon père revint dans ma chambre.
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On fêtait début juin nos 13 ans et à cette occasion, nos pères nous demandèrent ce qu’on voulait. C’était facile : inviter nos meilleurs copains et copines à une première boum, puis une bonne séance de baise entre nous 4 ! On rentra de notre match du samedi après-
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On fit comme ils avaient dit mais on ne se doucha pas. On passa une supe fête d’anniversaire en s’amusant dans la piscine et à différents jeux. Ils avaient préparé le barbecue et toute la bouffe. On était sur un nuage Kilian et moi. A part Driss qu’on avait invité, nos copains ne pouvaient pas se douter qu’ils passaient une soirée dans une famille un peu spéciale. Le seul incident de la soirée fut quand on alla chercher à boire avec Kilian. On ne put s’empêcher de se rouler une pelle et de nous peloter un peu. Célia qui était impatiente de boire nous surprit dans la cuisine :
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Vers 10 heures, Fred et mon père étaient revenus et nos copains et copines partirent au fur et à mesure que leurs parents venaient les chercher. Fidèle à sa promesse, Célia me roula une pelle devant tout le monde au grand étonnement de Fred et de mon père ! Les deux lui firent un clin d’œil et l’embrassèrent comme s’ils se connaissaient déjà. Elle partit avec Driss en dernier à pied car ils habitaient le même immeuble pas trop loin de chez nous. Dès que tout le monde fut loin, on resta sur la terrasse et on se mit les 4 à poil et nos pères nous offrirent alors nos cadeaux. On était bien gâté : un VTT, une pompe à tétons, un plug anal, 1 bouteille de gel.
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On but en riant et en plaisantant. On ne cachait pas nos érections et la partie de baise commença dès qu’on eut fini nos verres. On se précipita sur nos pères toujours assis sur leur chaise pour les remercier en commençant par leur tailler une pipe. Comme dernier cadeau d’anniv, ils avaient bien fait fermenter leurs queues : ils avaient un bon pacson de fromage ! Puis on se déboucha une bouteille de gel et on s’enduit le cul et leurs bites avant de venir s’empaler dessus. Chacun s’occupait de son père et on se mit à sauter en cadence sur leurs bites. De temps en temps on s’échangeait nos positions et nous explosâmes de plaisir presque tous en même temps. Mon sperme atterrit sur la gueule de mon père et celui de Kilian sur Fred. On s’éjecta de leurs bites et on alla directement leur nettoyer la queue pour lécher les dernières gouttes de sperme et aller ensuite leur rouler un gros patin un peu merdeux en récupérant aussi notre sperme. Kilian et moi avions joui du cul, mais ce n’était pas terminé. Nos pères voulaient profiter maintenant de nos bonnes odeurs et commencèrent à nous lécher partout sur le corps. Ils s’attardaient sur nos aisselles daubantes et nous roulèrent une pelle ensuite. Leur haleine chargée de notre sueur était un régal et nous faisait bander. On alla ensuite les 4 sur le gazon et on s’assit sur leur torse pour qu’ils nous sucent et surtout profitent bien de notre fromton. Ils nous décalottèrent lentement laissant notre bonne odeur peu à peu envahir leurs narines et commencèrent leurs léchouilles, insistant bien juste sous le gland où on avait réussi à accumuler un max de smegma. Ils nous le faisaient partager quand nos lèvres rejoignaient les leurs. Puis on les fit se mettre à 4 pattes et on leur prépara le cul en essayant d’enfoncer au maximum nos langues dans leur anus, puis quelques-
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Après s’être fait gonfler les tétons et s’être mis le plug, on s’endormit dans les bras l’un de l’autre en se disant qu’on avait des pères formidables, aimant et compréhensifs et que ça ne devait pas être donné malheureusement à tout le monde. Ceci dit, enculer son père ou se faire enculer par lui ne devait pas être non plus monnaie courante !
Le lendemain matin, je fus réveillé par Kilian qui me pompait le dard. Il glissa dans le lit pour me permettre de le sucer également et on explosa de jouissance presque en même temps. Au moment où j’allais l’embrasser pour partager notre sperme, il me fit signe que non, il me prit par la main et on alla retrouver nos pères. On se glissa dans leur lit pour les réveiller en allant leur rouler une pelle avec le sperme ! Vu leur état de fatigue et l’état des draps ils avaient dû continuer de baiser pendant qu’on dormait. Kilian retourna dans ma chambre avec Fred.
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Et on éclata de rire. Je me levais et allais chercher Kilian pour préparer le petit déj ! On n’arrêtait pas de se donner des petits bisous en se disant qu’on avait beaucoup de chance d’avoir des pères si ouverts. On avait fini de préparer et on les appela. Avant de se mettre à table chacun alla rouler une pelle à son père, puis l’envie étant là on s’échangea nos pères qui ne refusèrent pas notre palot. On discuta encore tout en mangeant. C’était vachement agréable d’être tous les quatre à poil sur la terrasse et de pouvoir librement parler de ce que l’on vivait.
On ne prit évidemment pas de douche, mais on rangea un peu dans la journée. Je fus obligé de changer mes draps vraiment dég mais ne fit pas grand-
Et on finit le 3ème trimestre de notre 4ème en alternant des baises avec eux et Driss. On s’entrainait sur sa bite et celles de nos pères aux gorges profondes ce qui n’alla malheureusement pas parfois sans quelques incidents. On apprit en ces occasions que si on aimait le crade, cela n’incluait pas le vomi. Par contre avec sa grosse bite Driss nous forait bien l’anus et on faisait de plus en plus dans le scato. Il nous avoua qu’il aimait bien la merde. On était maintenant inscrit sur un réseau ouvertement pédophile, incestueux et crade. Ma vie avait surement changé, mais je sentais que j’allais aimer le sexe sous toutes ses formes !
L’HISTOIRE DE CHRIS
Chapitre 5 -