Le lendemain matin mon père me secoua pour me réveiller. Il était déjà tard et il avait déjà préparé le petit déj que j’avalais vite avant de me précipiter à l’école sur mon vélo. J’arrivais juste à l’heure et il fallut attendre la récré pour pouvoir discuter avec Driss. On se retrouva tous les 3 avec Kilian dans un coin isolé.

- Alors mes p’tits pédés, on a fait son coming-out avec son papa ?

- Putain Driss on s’est fait un week-end d’enfer mais y’a pas eu de coming-out, y savaient déjà qu’on était pédés !

- Ouais mais vous avez baisé avec eux ?

- Yep, c’est fait et c’était vraiment le pied géant.

- Vous l’avez fait tous les 4 ?

- Ouais le samedi soir chacun avec son père et dimanche j’me suis fait niquer par son père et Kilian par le mien.

- Super les mecs. Vous avez surement fait dans le crade, les mecs, vous puez encore un peu !

- Ouais on s’est pratiquement chié dessus avec Kilian et après on s’est frotté sur nos pédos de père !

- Ça vous dirait de le faire avec moi ?

- Sur Driss, ça me dirait bien de sucer une bonne bite de black bien dég !

- Et moi ça me plairait bien d’avoir ta grosse bite dans le cul !

- Pas ici les mecs, ça craint pis faut qu’on retourne en cours les mecs.

Fred et mon père avaient mis les choses au point : pas de baise avec eux pendant la semaine et surtout l’école d’abord. Si cette dernière condition était respectée et que nos résultats scolaires continuaient à être top, Kilian et moi pouvions faire ce qu’on voulait. Kilian et moi avions proposé à Driss de l’aider dans ses études en faisant nos devoirs ensemble. Nos pères étaient évidemment d’accord. Je m’occupais des maths et Kilian s’occuperait de l’anglais. La première fois on était tous les 2 chez moi et au bout d’un moment il avait bien compris les différents triangles et comment les construire. A la fin il commença à me peloter en me passant la main sous le t-shirt et en me pinçant et étirant mes tétons. Puis il frotta ses doigts dans mes aisselles et les suça. Il passa ensuite la main dans mon short, saisit ma pine et tira un peu sur mon prépuce en caressant mon gland. De nouveau il suça ses doigts. Enfin, il me titilla la rondelle avec son majeur et ressortit son doigt bruni par ma merde.

- J’vois qu’t’es bien crade mon salaud. De la sueur, du fromage et un peu de merde au cul, ça me botte ! J’suppose que Kilian est dans le même état.

- Tu l’verras bien tout-à-l’heure quand t’iras chez lui pour l’anglais ! Arrête de me chauffer, je bande trop.

- J’vois ça ! Dis Ch’is, tu voud’ais me fai’e une p’tite pipe pour t’ent’aîner su’ une g’osse bite de nég’ ?

Je rigolais à son accent. Ce mec gagnait à être connu : il avait de l’humour… et une grosse queue ! Il s’assit sur mon lit et je m’agenouillais entre ses jambes et l’odeur de sa bite me monta au nez. Je collais mon nez dessus. La bosse de son sexe me paraissait énorme et je me demandais déjà comment j’allais avaler ce gourdin. Je fis glisser son short, l’odeur se renforça et une belle grosse queue ébène toute lisse, déjà bien dure me sauta littéralement à la gueule. Je la léchai sur toute sa longueur n’oubliant pas les 2 merveilleuses couilles que je faisais rouler dans ma bouche. Je tirai son prépuce, laissant apparaitre une bonne croute blanche sur son gland rose que je lapais avec ferveur, puis j’essayai d’engloutir sa bite mais à la moitié, ça butait sur ma gorge. Après quelques efforts de déglutissement, j’en avalais encore un peu, mais l’asphyxie ainsi qu’un début de nausée me firent retirer pour un moment sa queue. Il m’installa sur le lit de manière que j’ai la tête dans le vide et il me remit sa queue dans la gueule. De cette façon je pus presque entièrement l’avaler et en plus je pouvais presque voir le trou de son cul. Il était en train de me pistonner la bouche quand mon père arriva.

- Tchô Driss. Je vois que t’entraînes Chris aux gorges profondes comme on t’l’a appris. Tu vas être un bon prof pour mon pédé de fils.

- Salut Paul ! Ouais, putain il a une bonne bouche à bites, ton Chris. C’est un sacré suceur, hein face de riz !

- Grbbl…

- Chris, on pige rien et j’t’ai déjà dit qu’on parlait pas la bouche pleine ! Driss ralentis un peu ton rythme, je vais chercher la caméra.

Mon père revint très vite et filma cette pipe jusqu’à ce que Driss me tapisse la glotte avec son sperme. J’étais à 2 doigts de dégueuler ! Après avoir repris mon souffle, je me levais et allais rouler une pelle à Driss puis à mon père.

- Ça va Chris ?

- Ouais papa.

- J’suis fier de toi Chris. Prendre la bite de Driss en entier, c’est un exploit.

- Driss, au prochain cours de maths j’la veux dans le cul et en entier aussi !

- On verra Chris. Bon j’vais chez Kilian maintenant pour l’anglais … et son cul !

- OK. A demain Driss.

- Salut Chris, salut Paul. A bientôt.

Driss remit son short et partit chez Kilian. Mon père revint dans ma chambre.

- J’espère que vous avez fait des maths avant.

- T’inquiètes, on a bien bossé ensemble avant.

- J’te fais confiance, mon amour. Tu veux mettre la vidéo sur le site ?

- Ouais !

- Bon j’le fais tout de suite.

On fêtait début juin nos 13 ans et à cette occasion, nos pères nous demandèrent ce qu’on voulait. C’était facile : inviter nos meilleurs copains et copines à une première boum, puis une bonne séance de baise entre nous 4 ! On rentra de notre match du samedi après-midi ensemble et on alla se reposer dans le jardin. Nos pères faisaient les courses pour la soirée et nous apostrophèrent quand ils rentrèrent :

- Oh les mecs, j’vous rappelle que ce soir y’a une dizaine de vos copains et copines qui viennent. Alors pas de linge sale dans ta chambre Chris et aère. Après vous passez à la douche. A l’odeur vous n’en avez pas pris après votre match ! et mettez des vêtements propres. Nous on vit à poil mais pas forcément vos invités.

- Bon OK.

- Avec Fred on va tout vous préparer et on vous laissera seuls pour que vous puissiez vous amuser entre jeunes et on rentre un peu avant 10 heures. Les parents de vos copains et copines viendront les chercher à cette heure mais nous on rentrera un peu avant. Rappelez-vous : pas de gestes ambigus avec nous, mais entre vous, vous assumez.

- Compris.

On fit comme ils avaient dit mais on ne se doucha pas. On passa une supe fête d’anniversaire en s’amusant dans la piscine et à différents jeux. Ils avaient préparé le barbecue et toute la bouffe. On était sur un nuage Kilian et moi. A part Driss qu’on avait invité, nos copains ne pouvaient pas se douter qu’ils passaient une soirée dans une famille un peu spéciale. Le seul incident de la soirée fut quand on alla chercher à boire avec Kilian. On ne put s’empêcher de se rouler une pelle et de nous peloter un peu. Célia qui était impatiente de boire nous surprit dans la cuisine :

- J’savais bien qu’vous étiez pédés, nous dit-elle en souriant.

- Euh, Célia, tu l’dis à personne, hein.

- Pas de lézard les mecs. J’m’en fous. Et si vous voulez donner le change pour vos autres copains et copines, j’veux bien qu’on se roule une pelle devant eux. Comme ça vous aurez la paix.

Vers 10 heures, Fred et mon père étaient revenus et nos copains et copines partirent au fur et à mesure que leurs parents venaient les chercher. Fidèle à sa promesse, Célia me roula une pelle devant tout le monde au grand étonnement de Fred et de mon père ! Les deux lui firent un clin d’œil et l’embrassèrent comme s’ils se connaissaient déjà. Elle partit avec Driss en dernier à pied car ils habitaient le même immeuble pas trop loin de chez nous. Dès que tout le monde fut loin, on resta sur la terrasse et on se mit les 4 à poil et nos pères nous offrirent alors nos cadeaux. On était bien gâté : un VTT, une pompe à tétons, un plug anal, 1 bouteille de gel.

- Merci les papas !

- Vous méritez bien vos cadeaux, les mecs. Vous êtes toujours aussi bon à l’école et on voulait aussi vous remercier pour l’amour et le plaisir que vous nous donnez. Ceci dit on ne voudrait pas insister lourdement mais notre situation doit absolument rester entre nous.

- J’crois qu’on a compris, on est pas cons non plus ! Et puis Célia nous a bien aidés ce soir !

- Ouais elle t’a roulé une pelle. Ça nous a un peu étonnés.

- Elle nous a surpris alors qu’on croyait être seuls et nous a dit qu’elle donnerait le change devant nos aut’ potes. Elle est vachement sympa !

- On vous a bien dit de faire gaffe. Faut pas qu’ça aille plus loin, compris ? J’suis avocat, Fred est commissaire de police, en plus à la brigade des mineurs ! On risque de tout perdre si ça se sait.

- Ouais, ouais, mais elle sait seulement qu’on est des fiottes.

- Bon, on veut pas vous faire peur mais juste attirer sur les conséquences. Ceci dit j’ai soif, vous voulez une goutte de vin pour vos 13 ans ?

- Euh ouais…

On but en riant et en plaisantant. On ne cachait pas nos érections et la partie de baise commença dès qu’on eut fini nos verres. On se précipita sur nos pères toujours assis sur leur chaise pour les remercier en commençant par leur tailler une pipe. Comme dernier cadeau d’anniv, ils avaient bien fait fermenter leurs queues : ils avaient un bon pacson de fromage ! Puis on se déboucha une bouteille de gel et on s’enduit le cul et leurs bites avant de venir s’empaler dessus. Chacun s’occupait de son père et on se mit à sauter en cadence sur leurs bites. De temps en temps on s’échangeait nos positions et nous explosâmes de plaisir presque tous en même temps. Mon sperme atterrit sur la gueule de mon père et celui de Kilian sur Fred. On s’éjecta de leurs bites et on alla directement leur nettoyer la queue pour lécher les dernières gouttes de sperme et aller ensuite leur rouler un gros patin un peu merdeux en récupérant aussi notre sperme. Kilian et moi avions joui du cul, mais ce n’était pas terminé. Nos pères voulaient profiter maintenant de nos bonnes odeurs et commencèrent à nous lécher partout sur le corps. Ils s’attardaient sur nos aisselles daubantes et nous roulèrent une pelle ensuite. Leur haleine chargée de notre sueur était un régal et nous faisait bander. On alla ensuite les 4 sur le gazon et on s’assit sur leur torse pour qu’ils nous sucent et surtout profitent bien de notre fromton. Ils nous décalottèrent lentement laissant notre bonne odeur peu à peu envahir leurs narines et commencèrent leurs léchouilles, insistant bien juste sous le gland où on avait réussi à accumuler un max de smegma. Ils nous le faisaient partager quand nos lèvres rejoignaient les leurs. Puis on les fit se mettre à 4 pattes et on leur prépara le cul en essayant d’enfoncer au maximum nos langues dans leur anus, puis quelques-uns de nos doigts qu’on ressortait de temps en temps pour bien les lécher. Ils n’étaient pas très propres mais ça ne nous rebutait pas, bien au contraire. Ils avaient désormais le cul bien ouvert et nous suppliaient de les bourrer. On mit nos pères, toujours à 4 pattes, l’un en face de l’autre pour qu’ils puissent bien se voir et s’embrasser s’ils le voulaient et on commença à introduire nos queues. Ça rentrait comme dans du beurre et on s’appliquait à varier notre rythme. Je voyais Kilian enculer son père, il me voyait et on rigolait. On échangea nos positions et j’enculais Fred pendant que Kilian enculait mon père. Tout notre registre d’insultes y passa pendant qu’on les bourrait et on jouit très vite en s’écroulant sur le dos de nos pères qui voulaient garder notre bite dans leur cul. Après 5 minutes, alors que nos queues devenaient flasques on pissa dans leur cul et on s’allongea ensuite tous les 2. Nos pères présentèrent leur cul à nos bouches avides, on jouait avec la langue sur leur anus et leur trou s’ouvrit et on put commencer à boire. Ils devaient avoir une sacrée habitude car ils lâchaient cette pisse un peu brune assez lentement pour qu’on n’en foute pas partout. Il y avait aussi des petits bouts de merde et notre sperme qu’on s’étala sur le corps. On eut bientôt le visage et les cheveux trempés de pisse. On rebandait et la bouche de nos pères vint s’empaler sur nos bites pour une dernière pipe ! Une fois bien rassasiés de plaisir, on reprit nos esprits. A la fin :

- Putain les pédos, vous avez assuré ! Mais j’ferai pas ça tous les jours !

- Hé, c’est pas tous les jours que vous avez 13 ans ! Pis avec de si jolis p’tits culs et vos belles bites bien odorantes et vos jolis corps musclés, vous êtes vraiment BCM !

- BCM ?

- Bite au Cul Mettable, les tantouzes !

- On peut aller jouer avec nos cadeaux ?

- Allez-y. Nous aussi on va s’coucher.

- Bonne nuit les papas !

- Bonne nuit les fistons !

Après s’être fait gonfler les tétons et s’être mis le plug, on s’endormit dans les bras l’un de l’autre en se disant qu’on avait des pères formidables, aimant et compréhensifs et que ça ne devait pas être donné malheureusement à tout le monde. Ceci dit, enculer son père ou se faire enculer par lui ne devait pas être non plus monnaie courante !

Le lendemain matin, je fus réveillé par Kilian qui me pompait le dard. Il glissa dans le lit pour me permettre de le sucer également et on explosa de jouissance presque en même temps. Au moment où j’allais l’embrasser pour partager notre sperme, il me fit signe que non, il me prit par la main et on alla retrouver nos pères. On se glissa dans leur lit pour les réveiller en allant leur rouler une pelle avec le sperme ! Vu leur état de fatigue et l’état des draps ils avaient dû continuer de baiser pendant qu’on dormait. Kilian retourna dans ma chambre avec Fred.

- Salut Chris ! Je suppose que tu m’as donné le sperme de Kilian ?

- Ben ouais, papa, bonjour et encore merci pour hier. Je rêvais de ça depuis longtemps et j’ai pas été déçu.

- Moi non plus Chris. Mmm, tes p’tits tétons ont déjà pris un peu de volume.

- Ouais et on a assoupli nos trous du cul avec le plug.

- Fais attention quand même. Ton trou doit se refermer en souplesse. Vous avez aimé votre journée d’hier ?

- Putain, papa, bien sûr que oui, on a super aimé. Avec Kilian on aime bien nos odeurs et pas s’laver. On aime bien vous faire bander par nos provocations. On aime bien le crade, la sueur, la pisse, la merde, la crasse. Ça veut juste dire qu’on est bien vos fils non ?

- J’préfère que tu me dises ça !

- En plus on assume. Papa ?

- T’en as déjà baisé d’aut’ que Driss ?

- Euh, Chris, c’est personnel ça …

- Ça t’dérange ? Bordel papa, tu m’as enculé et pratiquement chié dessus ! J’t’ai aussi niqué, j’crois pas qu’on a encore beaucoup de secrets, non ?

- Ouais, t’as raison Chris, mais quand même. On a baisé avec les pdbro et leur père y’a 4 mois environ. Pis avec d’autres et des filles aussi.

- T’es pas que gay ?

- Ben non mon chéri. Avec Fred et d’autres personnes, on aime le sexe sous toutes ses formes, même si les p’tits ados bien crades ont quand même notre préférence. Chris, tu dois aussi t’amuser avec Kilian et d’autres de ton âge non ?

- Ouais, bon j’vais chercher le latino et on vous prépare le p’tit déj.

- Merci face de riz … et n’oubliez pas de prendre une douche. Tu pues encore pas mal et t’as encore des traces de merde sur la gueule.

- Promis.

Et on éclata de rire. Je me levais et allais chercher Kilian pour préparer le petit déj ! On n’arrêtait pas de se donner des petits bisous en se disant qu’on avait beaucoup de chance d’avoir des pères si ouverts. On avait fini de préparer et on les appela. Avant de se mettre à table chacun alla rouler une pelle à son père, puis l’envie étant là on s’échangea nos pères qui ne refusèrent pas notre palot. On discuta encore tout en mangeant. C’était vachement agréable d’être tous les quatre à poil sur la terrasse et de pouvoir librement parler de ce que l’on vivait.

On ne prit évidemment pas de douche, mais on rangea un peu dans la journée. Je fus obligé de changer mes draps vraiment dég mais ne fit pas grand-chose pour aérer. Fred et Kilian rentrèrent chez eux et je passais ma journée à paresser dans le jardin, me remémorant tout ce qu’il s’était passé depuis quelques semaines : mon père était gay, bisexuel plutôt, il aimait le crade, il baisait avec Fred et maintenant avec Kilian, moi, Driss et d’autres que je ne connaissais pas, gars ou filles.

Et on finit le 3ème trimestre de notre 4ème en alternant des baises avec eux et Driss. On s’entrainait sur sa bite et celles de nos pères aux gorges profondes ce qui n’alla malheureusement pas parfois sans quelques incidents. On apprit en ces occasions que si on aimait le crade, cela n’incluait pas le vomi. Par contre avec sa grosse bite Driss nous forait bien l’anus et on faisait de plus en plus dans le scato. Il nous avoua qu’il aimait bien la merde. On était maintenant inscrit sur un réseau ouvertement pédophile, incestueux et crade. Ma vie avait surement changé, mais je sentais que j’allais aimer le sexe sous toutes ses formes !


L’HISTOIRE DE CHRIS

Chapitre 5 - Anniversaire des 13 ans (Mm, gay, inceste père fils, anal, oral, uro, heavy scat)