Driss parti, on se faufila jusqu’à ma chambre, se rhabilla et alla chez Kilian pour passer le reste de la journée à mettre au point différents plans pour faire avouer à nos pères leurs penchants incestueux et pédophiles. Finalement on décida de dire qu’on les avait vus avec Driss chacun de notre côté le soir. Je rentrais vers 6 heures, la maison était vide. Je passai par la cuisine manger quelques gâteaux et boire du lait. Mon père m’avait laissé un mot me disant de préparer le diner car il rentrerait tard. Je me mis nu et allais dans la chambre de mon père, soulevais la couette et vis les traces de la séance de baise : draps cartonnés, encore un peu humides, odeurs de sexe. Je fis les quelques devoirs que j’avais encore à faire puis je préparais la table avec un repas froid. Je retournais dans ma chambre, impatient de revoir mon père et me faisant des plans pour la discussion qu’on aurait à table.
- Chris, salut, j’suis là. Oh pardon tu t’branlais ?
- Salut papa, non pas vraiment, j’suis juste un peu chaud… tu connais les ados non ?
- Ouais, j’ai aussi été jeune ! T’as trouvé mon mot ?
- Ouais le diner est prêt.
Comme d’habitude, il se mit à poil et on alla à la cuisine. Il me prit dans ses bras pour me dire bonsoir et quand il m’embrassa je tournais la tête pour que ses lèvres touchent les miennes.
- Scuse, Chris
- Pas de problème.
Au passage, je constatai qu’il n’avait pas pris douche après sa baise. Ça sentait encore la sueur et le sperme et il avait encore des trace de merde sur la bite ! A table, on discuta de ma journée. Je lui appris qu’on n’avait pas eu de match le matin.
- Ah bon ? et t’as fait quoi ?
- Ben on a été chez Kilian et on a joué à la console … après avoir fait nos devoirs.
- C’est bien Chris. Tu sais, je suis vraiment fier de toi, de tes résultats scolaires, de voir que tu te développes bien autant intellectuellement que sportivement.
- Merci papa, et toi, ta journée !
- Ben comme d’hab, journée fatigante, des clients parfois chiants, plein de plaidoiries à préparer, la routine quoi.
Je ne suis pas sûr que la routine consistât à se faire mettre par un ado black en compagnie de son meilleur pote, mais bon… ! Dans ma tête j’étais déjà prêt à tout lui débiter de la journée. Mon père s’était ouvert une bouteille de vin et il m’en fit gouter un peu pour la première fois. Je me disais que ça allait peut-être m’aider à me désinhiber et à lui avouer mon désir ! Je pris une banane en dessert et commençait à la sucer comme une bite en regardant mon père droit dans les yeux. Ce jour-là, j’eus ma première grande leçon de vie : dire la vérité demande toujours moins d’effort que le mensonge ou la dissimulation !
- Putain Chris, arrête avec ta banane et tes blagues d’ado !
- Papa, c’est juste pour rire !
- T’as envie de faire quoi demain, Chris, cinéma, balade ? Tu veux que Kilian vienne avec ?
- J’sais pas encore…. Papa, faut qu’j’te dise …. c’matin … on était pas chez Kilian mais ici.
- Ah bon ?
Je voyais mon père pas du tout choqué par mon aveu et qui restait tranquille. La nuit était tombée et il faisait encore très bon dehors, mais j’avais l’impression qu’il attendait quelque chose … et je me jetais à l’eau en lui disant tout : qu’on l’avait vu avec Fred en train de baiser avec Driss, que Fred et lui aimaient bien les ados et les baises crades et toute la conversation qu’ils avaient eue. Je finissais presqu’en pleurs tant cet aveu m’avait couté d’efforts. Mon père était un peu ébahi mais il avait surtout un sourire de fierté.
- Papa, t’es pas fâché qu’on l’sache ?
- Putain Chris, bravo, je ne pensais pas que tu me le dirais.
- ???
- Tu crois qu’on vous avait pas vus ? On a dit à Driss d’aller vous rejoindre après pour vous indiquer qu’on était d’accord d’essayer de baiser avec vous 2. Toute notre conversation avec Fred et lui avait pour but de vous faire avouer votre amour plus que filial pour nous !
- ????
- Chris, Fred et moi vous aimons, Kilian et toi, plus que tout. On sait que vous êtes gay et ça ne nous gêne pas, au contraire. On voit aussi que vous aimez bien le crade et on voulait juste savoir jusqu’où vous iriez. Maintenant on sait et moi ça m’fait très plaisir.
- Putain, papa t’aurais pu le dire avant.
- Non Chris, à votre âge, on sait pas encore si on est attiré par les mecs ou les filles.
- Toi, t’as su comment qu’t’étais pédé ?
- Ben, déjà quand j’avais ton âge, je jouais pas qu’au scrabble avec mes copains comme tu dis. Je connaissais déjà Fred à l’époque. Puis j’ai rencontré la seule femme de ma vie : ta mère. Pendant 1 ans après sa mort, je n’ai fait que me branler en pensant le plus souvent à elle. Puis mes penchants naturels d’homo ont repris le dessus. On a rebaisé avec Fred et notre situation de père « célibataire » nous a rapprochés. Au fur et à mesure de nos séances, on s’est avoué qu’on aimerait bien baiser avec des jeunes. Fred travaille aux mœurs et connait des sites d’ados qui cherchent du sexe. On s’est inscrit et on a rencontré pas mal de p’tits jeunes dont Driss récemment ... voilà…
- C’est quoi l’adresse du site ?
- J’te l’dirai mais pas tout de suite Chris. Je pense que Fred et Kilian ont en ce moment la même conversation.
- Vous vous aimez avec Fred ?
- Oui, sans doute pas de la même façon qu’avec ta mère ou avec toi. On s’apprécie bien les 2. On adore baiser ensemble.
- Pis les ados qu’vous baisez, vous les aimez aussi ?
- Oui, bien sûr, ce qu’on aime avec eux c’est leur faire découvrir leur corps et on préfère qu’ils tombent sur nous plutôt que sur des pervers. Tu sais, Fred en voit de toutes les couleurs dans son métier et moi aussi !
- Quoi ?
- Des viols, des parents qui prostituent leurs enfants, qui les battent, même qui les vendent ou les violent !
- C’est horrible !
- Ouais, parlons d’autres chose. Tu es très beau Chris, avec ta jolie peau cuivrée, tes petits tétons qu’on aimerait dévorer, ta belle queue fine et ton petit cul bien rebondi. En plus avec Fred on apprécie votre hygiène plus que douteuse, vous puez bien et ça nous fait bander !
- Papa tu m’fais tellement plaisir !
- Pourquoi ?
- Ben bander pour moi ! Moi aussi je bande pour toi. J’me branle dans tes fringues sales, comme toi tu le fais dans mes shorts dég !
Papa me dit de venir s’asseoir sur lui et m’embrassa affectueusement et on se serra très fort. Nos lèvres se joignirent, il força ma bouche avec sa langue et on commença à se mélanger nos salives. Je crus voir quelques larmes dans les yeux de mon père. Après quelques minutes de silence, c’est moi qui repris la conversation, assis sur ses genoux. Je me lançai à lui avouer mon désir :
- Papa hem … bon ben… voilà
- Oui Chris
- Papa … je t’aime tellement … que j’aimerai bien…
- Mais encore Chris …
- Voilà. T’aimes la baise avec des ados crades et j’en suis un. T’aimerais pas … euh … baiser avec moi ?
Et je me remis à pleurer.
- Chris, Chris, pleure pas, moi aussi je t’aime. Mais c’est pas admis par la loi, ni par la société.
- Ouais papa, mais personne saura et pis tu baises bien avec Driss !
- Chris, c’est de l’inceste avec toi et Driss est demandeur de baise !
- Ouais, j’sais, mais moi aussi j’suis demandeur comme tu dis. J’en ai trop envie et ta bite me dit que toi aussi !
- Chris…
- Papa, j’t’en supplie… j’aimerai te donner du plaisir !
Pendant cette discussion, ma main s’était refermée sur sa bite qui durcissait. Je pinçais également ses tétons tandis que ses doigts se rapprochaient de mon zob bien bandé. Je me penchais sur sa bouche et recommençais à l‘embrasser. Puis je descendis de ses genoux et commençais à lui lécher sa belle queue. Je lui enlevais sans dégout les petites traces de merde de Driss ou de Fred. Il ne résista pas et je sus que j’avais gagné. Je pris une de ses couilles dans la bouche et je la faisais rouler dans ma bouche. Elle avait le gout de sa sueur accumulée au cours de la journée. J’étais aux anges. Je jouais aussi avec son prépuce et le faisait coulisser. J’y découvris un peu de smegma que je goutais. Je m’appliquais à bien lécher sa bite sur toute la longueur et risquais un doigt vers son cul et il bougea un peu pour me permettre de lui enfoncer mon majeur. Je triturais sa rondelle et réussit à faire entrer 3 doigts sans difficulté. Mon père avait le trou du cul vachement élastique. Il n’avait pas un poil au cul ni sur son service 3 pièces bien odorant. C’était doux et lisse. Je ressortis mes doigts pas trop propres que je léchais avec un sourire vicieux.
- Mmmm papa, c’est meilleur que sur tes slips…
- Putain Chris, j’pensais pas qu’t’étais aussi crade ! Allez viens mon fiston.
- Où ça ?
- Dans mon pieu.
- Non, dans le mien, j’préfère.
Mon père se leva et me porta dans mon lit et on se mit en 69. J’avalai progressivement son zob pendant que mon père me léchait la raie du cul. Je jetais vite un regard pour voir s’il n’était pas trop dégouté par mon cul sans doute un peu merdeux, mais il avait un grand sourire en voyant ma raie pas trop propre. Il sembla même apprécié le pet que je lui lâchais dans sa gueule. Au fur et à mesure de la progression de sa langue je poussais des couinements de plaisir en continuant à jouer avec son zob tout dur et ses couilles.
- Papa mets-la moi maintenant, j’en ai trop envie !
- Ouais Chris, j’t’ai bien ouvert ton trou mais dès que tu ressens la moindre douleur j’arrête. Je vais prendre mon temps. Allonge-toi sur le dos maintenant. Maintenant mets tes jambes sur mes épaules. Voilà, je vais y aller lentement. OK pousse comme si tu voulais chier.
Je sentais le gland de mon père forcer le passage et j’éprouvais juste une petite douleur, mais sa salive aidait au glissement et le désir extrême de me faire mettre par mon père me faisait littéralement mouiller du cul. Je ressentais un bonheur immense. Mon père s’arrêta et me roula une pelle bien baveuse. Je sentais bien sur sa langue l’odeur de mon cul. Cela me provoqua une onde de plaisir.
- Ça va Chris ?
- Ouais han … vas-y…. continue
- Serre bien tes sphincters pour comprimer ma bite.
- Comme ça ?
- Ouais, continue. Oh putain qu’c’est bon !
Papa continuait de m’enfoncer sa tige, cm par cm. Ça me rendait fou de bonheur malgré quelques douleurs et je branlais ma bite pendant qu’il progressait dans mon cul. Je sentis soudain ses couilles contre mon cul. J’avais pris toute la bite de mon père ! La sensation était vraiment extraordinaire. Le plaisir qui me submergeait me rendait fou.
- Putain papa c’est trop bon de sentir ta bite dans mon cul.
- Je vais commencer à te pistonner. Si tu as mal, dis-le-moi et j’arrête.
- J’ai pas mal papa, putain, vas-y défonce moi le cul !
Il commença à me limer lentement et toujours avec douceur et amour. Il s’arrêtait quelques secondes puis reprenait son va-et-vient. Parfois il ressortait entièrement sa queue et me la renfonçai immédiatement à fond. Je sentais ses couilles battre contre mon cul. Ca faisait floc, floc ,floc, mais je n’entendais plus ces bruits tellement on criait de plus en plus fort notre plaisir en se jetant à la gueule les mots orduriers que j’entendais dans les films ou que j’avais lus sur les sites d’histoire pédos et papa n’était pas en reste !
- Ah putain c’est trop bon… de limer la chatte de son fils … Putain… tu es une vraie… salope, Chris...
- Ouais papa… vas-y défonce le cul … de ta pédale … de fils. Ta grosse queue… de pédo… me fait du bien…. Ramone…. mon garage…à bites … enfonce-moi la merde bien profond.
- Serre bien ma queue… avec tes fesses… Je t’encule… c’est trop bon… Putain t’es bon mon fils !
- Ouais je suis… une salope… une pédale crade … qui aime la queue. Papa j’t’aime !
- J’t’aime aussi, p’tit enculé …
Mon corps ondulait au rythme de son pistonnage. Rien n’existait plus que notre baise incestueuse. Je me branlais et j’éjaculais si fort que j’en pris sur la gueule. Soudain je sentis que mon père allait jouir, ses coups se faisaient plus brutaux et rapides et il m’envoya sa semence dans le fion. J’étais à la limite de tomber dans les pommes. Nous avions pris un pied immense. Mon père s’écroula sur moi en me roulant une pelle, récupérant un peu de mon sperme. Nos langues ne voulaient plus se séparer de même que nos corps. Après 5 minutes, mon père se retira de mon cul. Je me précipitai sur sa bite pour la nettoyer, en n’oubliant pas de m’en frotter le visage. On se remit en 69 et je lui pétais à la gueule pour expulser son sperme. Je me retournais pour rouler une pelle à mon père et constatais qu’il avait sur la gueule quelques petits bouts de merde. Ça me fit rire !
- Papa, t’as de la merde sur la gueule ! T’es encore plus beau !
- Toi aussi Chris, t’es beau !
J’étais aux anges. On resta ensuite une demi-heure seulement à se bécoter et à se dire qu’on s’aimait plus fort que tout au monde, à bien respirer l’odeur de mâles crades qui régnait dans ma chambre.
- Chris où t’a appris à parler comme ça ?
- Ben sur le net ! Y’a des tas d’histoires super bandantes. Avec Kilian on aime bien se branler en lisant les histoires pédos et scatos. Mais j’aime pas quand les gamins sont trop jeunes. En fait il faut que tous soient capables de juter et qu’il n’y ait que de l’amour. J’aime pas quand on force les gens ! Et pis on vous a entendus avec Driss, ça fusait les insultes !
- J’vois…
- Oh papa, t’es un amour. T’aimes bien le crade aussi, t’as pas été dégouté par mon cul pas trop propre ?
- Non Chris, au contraire, j’adore lécher tes shorts et tes joggings et aussi tous tes vêtements de sport bien crades ! Tes odeurs m’ont toujours fait bander, je ne résistais pas à aller me branler dans ta chambre pour bien profiter de tes odeurs et inspecter tes draps.
Je me rallongeais sur son corps pour lui rouler des pelles à n’en plus finir. Je lui léchais la merde qu’il avait encore sur le visage. Je sentais sa queue redurcir entre mes fesses. Je l’empoignais et me la rentrais dans le cul encore bien ouvert. Je montais et descendais sur cette queue comme j’avais vu faire dans les films. Je lui tirais les tétons. Il me branlait ma petite bite et soudain il poussa un cri de jouissance et je sentis encore un flot de sperme m’envahir le cul. Cette fois on avait évité les insultes et seuls des mots d’amour avaient été prononcés. On s’endormit, moi toujours couché sur lui. 2 heures après je me réveillais et allais pisser. J’avais un peu de mal à marcher. Je tâtais ma raie et sentis que mon cul était encore ouvert et j’allais vite me recoucher et me blottir contre lui.