Le vendredi soir on avait entraînement de basket et on mettait au point la tactique pour le lendemain quand on avait le match. Comme d’habitude on avait skippé la douche avec Kilian. Le samedi matin on alla au match, mais l’équipe adverse ne vint pas. Je proposais alors à Kilian de venir chez moi s’amuser un peu. On alla directement dans ma chambre et on se mit à poil en arrivant comme d’habitude. On commençait à se peloter et à se sucer, mais soudain on entendit des gémissements provenant de la chambre de mon père. Un peu apeurés, on s’approcha de la chambre dont la porte était ouverte et on vit sur le lit un jeune noir qui se faisait enculer par mon père pendant qu’il suçait Fred ! On ne voyait pas son visage mais il avait une grosse et longue queue. Kilian et moi étions hypnotisés par la scène qui se déroulait sous nos yeux. On n’était pas vraiment choqués car on avait déjà vu des tas de pornos, mais là c’était en direct avec de vrais sons et de vraies odeurs de sexe, de sueur, bref ça sentait le vestiaire d’après match mêlé à des chiottes publiques. Ça nous faisait bander comme des ânes ! On voyait la queue du noir se balancer au rythme de l’enculade de Fred. L’extrémité de son gland rose se dégageait de son prépuce et suintait le précum. Il faisait honneur à la réputation des blacks tant son sexe paraissait long. Nos pères gémissaient de plaisir. C’était trop pour nous et on retourna dans ma chambre en se faisant le plus discret possible.


- Putain Kilian, nos pères sont vraiment pédés comme nous !

- On aurait dû s’en douter, on a jamais vu de gonzesses avec eux et y bandent toujours quand y sont les 2 ensemble.

- Ouais mais en plus y sont pédos. Le black y doit avoir notre âge !

- Qu’est-ce qu’on fait ?

- J’sais pas, mais putain c’est l’occasion rêvée de pouvoir baiser avec eux !


Evidemment, si la surprise de voir nos pères ensemble baiser un petit jeune nous avait fait débander illico, la perspective de pouvoir toucher la queue de nos pères, de les sucer et de se faire enculer par eux nous redonnèrent des forces et c’est avec la queue bien droite qu’on se redirigea vers la chambre de mon père. Ce qu’on entendit nous renforça dans l’idée qu’on allait pouvoir assouvir nos désirs incestueux.


- Arrête de me sucer Driss, finis-moi à la main. Tu vas prendre mon sperme sur ta gueule. Ouais c’est ça. Ah, putain je jouis. Merde t’es beau avec ces traces blanches sur ta gueule de pédale noire.

- Et serre bien ton cul, je vais te féconder, dit mon père.


Il jouit et les 3 s’écroulèrent sur le lit. Je jetais un coup d’œil par la porte et merde, le black c’était Driss, un mec qui était arrivé dans notre classe cette année et qu’on suspectait d’être pédé comme nous ! Driss avait déjà 14 ans et au cours de sport Kilian et moi avions flashé sur sa grosse bite de black et sur ses slips vraiment crades. En plus il ne devait pas se laver souvent car il puait un peu comme nous. On aimait bien être à côté de lui pour respirer ses bonnes odeurs de sueur et de bite pas lavée quand on se changeait avant le sport. Deux jours avant, j’avais craqué et avais dit au prof de sport que je devais aller pisser. J’étais retourné au vestiaire pour bien respirer son slip et lécher les traces de pisse et de merde tout en me branlant. Quand je jouis j’en mis plein son slip. A la fin du cours, en remettant son slip, il eut juste un petit sourire. Putain, je m’étais fait griller, mais il avait l’air d’avoir apprécié….


- Waouh, Driss, ça va faire 1 an qu’on te baise et t’es toujours aussi délicieux, mon p’tit nègre adoré.

- Et vous vous êtes mes deux Blanche-Neige favorites ! Paul, tu veux que j’te nettoie ta queue. Elle est un peu sale !

- Forcément Driss, avec ton hygiène douteuse… et tu pues grave mec !

- Ouais j’sais bien qu’vous kiffez les mecs crades et j’me prépare pour vous !

- Les mecs dans ton lycée te disent rien ?

- Non, y sont habitués maintenant. Pis c’est pas vos porcs de fils qui vont m’dire queq’chose, non ?

- Et ta famille d’accueil ?

- Ce sont de vieux babacools qui n’accordent pas vraiment d’importance à l’hygiène. Attends, Paul. Fred, viens me bouffer le cul pendant que je lui nettoie la bite.

- Bordel Paul j’adore avaler ton sperme quand il sort d’un cul. Vas-y Driss, pète moi à la gueule.


Driss avait fini de nettoyer la queue de mon père et lui roulait de bonnes pelles, quand il péta à la gueule de Fred qui reçut les dernières gouttes de sperme ainsi que de petits bouts de merde sur le corps. Ils s’allongèrent les trois dans le lit et commencèrent à discuter.


- Oh les pédales blanches, vous avez toujours pas dit à vos fils que vous baisiez ensemble ?

- Ben non, pas encore mais on pense qu’y s’en doutent…

- Ça devrait pas les choquer. Kilian et Chris sont des vrais pédales qu’arrêtent pas de se branler en classe.

- Euh ouais, on sait qu’y jouent ensemble au docteur et même plus, mais tu sais y sont jeunes encore. C’est normal de jouer avec sa bite ou celles des autres quand on est jeune, hein Driss !

- Ben c’est c’que vous aimez non, jouer avec la bite des p’tits jeunes dans mon genre.

- Putain Driss, t’as 14 ans et eux vont en avoir 13 et puis c’est nos fils !

- Et alors, sur le site où j’vous ai connus, y’en a plein de mecs comme vous et des p’tits djeun’s crades comme eux !

- C’est juste. A propos, Paul, j’ai remarqué qu’ils puaient de plus en plus et que chez moi y’avait plus de slips au linge sale. Par contre ses jeans sont de plus en plus dég. T’as remarqué la même chose chez Kilian ?

- Ouais, pareil. On dirait qu’ils se sont donné le mot pour nous exciter ! Mais j’suis pas sûr qu’ils aimeraient savoir qu’on aime les mecs dans ton genre Driss.

- Quel genre ? noir ? T’es raciste maintenant ?

- T’es con. Je te rappelle qu’ils sont métis les 2. Non dans le genre ado négligé qui pue bien du gland comme toi et qu’hésite pas à baiser avec des vieux comme nous, qui prend plaisir à être crade et qu’a pas peur d’avoir de la merde sur la bite quand il encule et qu’aime bien sucer une queue qui sort d’un cul !

- C’est vrai que c’est pas courant. Pis vous vous aimez uniquement les jeunes qu’ont une grosse queue et qui jutent bien, comme nous les bamboulas. Tu crois qu’y z’aimeraient ma grosse queue de négro ?

- Oh Driss, ça va pas non ? Y vont juste avoir 13 ans et leur cul est encore bien serré. Tu les abimerais avec ta grosse queue !

- Ça vous a pas gêné l’année dernière de m’enculer et pis y font plus vieux et y sont baraqués.

- Hé ! Te fous pas d’nous ! On n’était pas les premiers vu l’état de ton trou. Et on ne l’a fait que parce que tu l’avais demandé et pis avant tu t’es pas gêné pour nous défoncer le trou de balle avec ta grosse bite !

- J’suis sûr qu’y flashent sur moi. J’vous ai pas dit aussi que cette semaine Chris s’était branlé dans un de mes slips dég pendant le cours de sport ?

- Waouh Chris est de plus en plus salope… et tu lui as rien dit ?

- Ben non, j’lui ai juste fait comprendre que j’l’avais remarqué. Ça m’fait plaisir de voir qu’y a des mecs comme moi dans la classe ! D’ailleurs, y sont où vos pédés de fils ?

- Au basket, ils rentrent pas avant 2 heures, dit Fred.

- J’crois qu’j’vais bientôt les coincer aux chiottes du collège pour voir s’y peuvent prendre ma grosse bite dans leur gueule !

- Hé, fais pas le con avec eux, Driss !

- Bordel, ton fils s’est branlé dans mon slip et j’dis juste que j’s’rais pas contre téter leurs bites et leur trouer le cul … et qu’y m’rendent la pareille ! Et pis m’faire mettre par un latino et un asiate, ça serait sexy ! Trois continents dans un plumard et vous qui filmeriez la scène…

- C’est une idée excitante mais t’es qu’un pervers Driss.

- Pacque baiser des jeunes blacks mineurs c’est pas pervers ? Et pis vous m’avez aussi dit qu’y vous excitaient bien vos gamins, et qu’vous attendiez le bon moment pour leur proposer vos zgegs ! Pis c’est pas moi qui m’branle dans leur shorts sales en respirant leurs t-shirts crades ! C’est pas moi non plus qui les a incités à vivre à poil. C’est pas moi qu’oublie de leur dire qu’la douche ça existe.

- Cool, Driss, t’as raison, mais c’est quand même toi qu’as voulu baiser avec des vieux, comme tu dis, quand tu nous as contactés sur le réseau. On t‘a jamais forcé.

- C’est juste, les fiottes, mais vous étiez bien contents de trouver un p’tit black à niquer.

- T’emballes pas Driss, t’es pas le premier et tu s’ras pas le dernier ! Ça fait plusieurs années qu’on se tape des ados bien consentants !

- Et vos rejetons ont jamais rien vu ?

- Non, on a toujours été super discrets. Mais depuis quelques mois on se lâche. On pète avec eux, on bande devant eux, on les encourage quand on voit qu’ils baisent, on les force pas à s’laver, etc… Bref on les provoque mais eux aussi nous provoquent.

- A mon avis y vont bientôt craquer !

- C’est vrai qu’ils sont super sexy, hein Paul. Moi ils me font bien bander quand j’les vois s’amuser et puis rentrer dans la chambre de Kilian pour respirer ses bonnes odeurs. Souvent j’me branle et je mélange mon sperme à celui qu’il a laissé dans ses draps.

- Ouais, Fred, pareil, des fois je récupère le sperme frais du matin de Chris pour me le mettre sur la bite ou dans le cul et j’me branle dans son lit en rêvant que j’l’encule.

- Putain, les vieux, vous êtes de vrais pervers.

- Ouais et je crois que nos fils sont en train de devenir de vraies salopes cradingues, un peu comme toi.


Les trois devaient se palucher car ils gémissaient de plaisir. On entendait maintenant des bruits de succion. On avait écouté cette conversation assis à côté de la porte et si au début on avait été presque paniqués par ce qu’on apprenait, très vite on s’était mis à se branler et on était proche du plaisir.


- Et maintenant, les vieux, vous seriez assez chaud pour niquer avec vos fils ?

- Sûr, mais comme y sont pas là c’est toi qui vas repasser à la casserole, mec !

- Nan, cette fois c’est mon tour de vous la mettre bien profond. Vous m’raconterez si vous les avez baisés ?

- On verra Driss.

- P’têt ben que je les niquerai avant vous. Bon ça suffit. Paul, viens me bouffer la bite et toi Fred fous moi ton cul sur la gueule que j’te prépare ton trou. Mmm, tu t’es pas torché mon salaud. T’as encore plein de merde dans la raie

- Ouai, j’sais qu’t’aimes ça, salope ! Vas-y enfonce bien ta langue de pute dans mon cul.

- Putain Driss, ça fait combien de temps qu’tu t’es pas lavé la queue ? Elle schlingue un max et t’as un putain de fromage !


On n’en pouvait plus. Je jetais un coup d’œil à Kilian et on se leva pour aller discrètement dans le jardin bien à l’écart, laissant les trois à leur partie de baise. On se mit en 69 dans l’herbe et on ne fut pas long à nous éclabousser de sperme tellement on était excités. On se roula de bonnes pelles en mélangeant notre jute. Une fois calmés, on fit le point de la situation.


- Putain, Chris, j’crois qu’on va pouvoir niquer nos pères !

- Ouais, on a eu un d’ces bols de pas se faire gauler !

- Sûr, mais Driss m’a cramé, l’aut’ jour.

- A mon avis y va bientôt nous chauffer pour qu’on baise avec lui.

- Remarque qu’y m’plait bien le Driss. On pourrait lui proposer de l’aider dans ses devoirs, vu qu’il est pas très fort en classe. On en profiterait pour …

- Ouais bonne idée.


On somnola ensuite jusqu’à ce que soudain une ombre se dresse devant nous. C’était Driss qui nous chuchota :

- Alors les p’tites pédales, on en a appris des trucs hein ?

- Putain tu nous as vus ?

- Ouais, mais pas vos pères, trop occupés par ma bite et mon cul et à s’étaler ma merde sur leurs corps.

- Putain, Driss, t’es aussi pédé ?

- Waouh, quelle déduction ! et enlevez les mains de vos zobs, j’vous ai déjà vus à poil au vestiaire !


Et il nous raconta brièvement son histoire : il venait du Rwanda et avait été adopté à 5 ans par un couple de français babacool qui faisait dans l’humanitaire et qui ne pouvait pas avoir d’enfants. Dès 12 ans il avait su qu’il était pédé et l’avait dit à ses parents adoptifs qui avaient accepté cette situation. Comme tous les jeunes mecs, il se branlait souvent, mais ça n’allait pas plus loin. Il faisait de la lutte et adorait quand il avait le nez près du cul de ses potes. Ça le faisait bander surtout quand ça puait bien le cul ou la bite pas lavée. Les odeurs de sueur et de chaussettes sales le faisaient aussi bander. C’était parfois gênant car il avait une grosse bite et les mecs de son ancienne école se moquaient de lui. Il subissait tellement de moqueries que ses parents avaient décidé de le changer de collège et c’est pour ça qu’il était maintenant en classe avec nous. Il était comme nous à la fois attiré par les mecs de son âge et les plus vieux. Il avait trouvé par hasard un réseau spécialisé dans le crade et le tabou et c’est comme ça qu’il était rentré en contact avec nos pères qui eux recherchaient des jeunes cardes. Il avait beaucoup discuté avec eux et les 2 premières fois quand ils s’étaient rencontrés, ils n’avaient pas baisé, mais s’étaient uniquement raconté leurs vies. Ni lui, ni nos pères ne voulaient faire quelque chose qu’ils pourraient regretter par la suite. Ils voulaient être surs de la sexualité de Driss, et surtout de son consentement.


- Vos pères sont fantastiques.

- Ouais, on sait, ils sont vachement gentils.

- Y’a beaucoup d’amitié entre Paul et Fred, mais j’suis pas sûr qu’y s’aiment vraiment d’amour. Y s’sont rapprochés grâce à vous 2 à cause de leurs nombreux points communs : seuls quand vous étiez encore petits, très jeunes pères, métier prenant, largués par vos mères, plutôt homo qu’hétéro, pas de problème de fric, et avec des fils qu’ils aiment et qui les aiment.

- Waouh ! T’oublies de dire qu’y sont aussi sévères. J’te dis pas quand on se ramène avec une mauvaise note à l’école !

- Y z’ont raison, mes p’tits gars. Moi j’suis plutôt glandeur et vous plutôt des génies non ? A 13 ans vous allez rentrer en 3ème ! Y sont sévères avec vous pour l’éducation mais pas trop avec votre hygiène. Vous d’vez pas prendre de douche tous les jours non ?

- Euh ouais, mais toi non plus… Driss, t‘as connu beaucoup de mecs ?

- Non, 3-4, mais toujours vite fait et on savait pas vraiment comment s’y prendre. En plus j’aime bien puer et pas m’laver et j’suis quand même bien noir si vous l’aviez pas remarqué. Ça rebute beaucoup de gens, parait qu’c’est pas courant un nègre pédé, mais pas vos pères ni vous apparemment, hein Chris, t’aimes bien mes slips qui puent et qui sont bien merdeux.

- Euh ouais, excuse pour l’aut’ fois.

- Non t’excuse pas, j’ai bien aimé remettre mon calbut plein de ton foutre. Comme ça j’ai pu le comparer à celui de ton père ! Quand je tchatte je cherche toujours des mecs attirés par les odeurs et c’est comme ça que j’ai rencontré vos darons. Y m’ont vachement appris et ça fait 6 mois que je baise avec eux quand vous êtes au basket.

- Tu crois qu’y voudraient baiser avec nous ?

- C’est sûr, y vous kiffent bien et y s’branlent en pensant à vous ! Vous l’avez bien entendu non ?

- Driss comment on peut faire pour attirer nos pères ?

- Vous avez qu’à leur faire comprendre ou plus simplement carrément leur dire ! Y z’attendent que ça.

- T’as fait comment toi avec eux ?

- Ben par le tchat. J’leur ai dit qu’c’était pas facile pour un black de draguer des mecs et que j’voulais baiser avec de plus vieux. De leur côté, y voulaient gouter à la bite de nègre et vérifier si elle était vraiment grosse, pis on s’est rencontré. C’est simple !

- Quand même pas trop, mec. J’me vois mal dire à mon père que j’veux qu’y m’encule !

- Et pourtant c’est c’qu’y aurait de plus facile, surtout qu’y z’en ont envie. Bon, les mecs faut qu’j’y aille.


Il se pencha sur nous et avec ses grosses lèvres força tour à tour notre bouche. Nos langues se mélangeaient. Son haleine avait le gout de la bite et du cul de nos pères. Ça nous fit bander direct.


- Mmmh, on pourrait s’voir tous les 3 un d’ces 4 non ? Bon j’y vais, il est déjà 3 heures. Salut les pédales !


L’HISTOIRE DE CHRIS

Chapitre 2 - Fred, Paul et Driss (M, m, gay, oral, anal, flatulence, heavy scat)