Je m’appelle Christian, mais tout le monde m’appelle Chris. J’ai actuellement 20 ans et viens d’intégrer une grande école. Mes parents m’ont eu très jeunes, mon père, Paul, et ma mère avaient 17 ans et vivaient dans le sud-ouest de la France. Ils s’en sont bien sortis pendant les premières années grâce à mes grands-parents qui ont été très compréhensifs. Ma conception est venue d’une rencontre de mes parents dans un camp naturiste. Je suppose que l’enthousiasme de la jeunesse leur a fait oublier les précautions d’usage… Après discussion avec mes grands-parents très baba cools, mes parents ont décidé de garder le bébé car ils étaient très amoureux l’un de l’autre et je suis donc né au mois de mai 2000. Ils étaient aussi très travailleurs et avaient tous les 2 eu leur bac juste avant ces vacances. Ils voulaient devenir avocat et ont pu continuer leurs brillantes études dans la faculté de la ville tout en habitant chez les parents de mon père. J’ai pu finalement grandir dans de bonnes conditions sous la houlette de mes grands-parents paternels. Mes grands-parents maternels ont eux coupé toute relation avec leur fille suite à cette grossesse. Ma mère étant d’origine thaïlandaise, je suis métis, j’ai les yeux en amande et les cheveux raides et noirs, assez longs. Ça provoque encore des remarques même maintenant. Je n’y fais plus gaffe mais quand j’étais jeune cela m’énervait beaucoup lorsque j’entendais des insultes à l’égard des « jaunes ». A 5 ans un drame et survenu : mes grands-parents et ma mère sont décédés suite à l’imbécillité d’un chauffard. J’ai peu de souvenirs de ma mère et de mes grands-parents, mais mon père me les a toujours présentés sous le meilleur jour.
Mon père, fils unique, a gardé la maison et a pu profiter de la fortune de mes grands-parents pour terminer ses études et il est devenu avocat. Il passait pas mal de ses moments libres avec moi, m’aidait dans mes leçons, m’invitait toujours des copains à la maison pour que je ne sois pas seul, m’emmenait au cinéma, etc… Vue notre situation, j’avais souvent un baby-sitter à la maison. Il m’aidait à faire mes leçons, me lavait, me faisait à manger. On allait faire les courses ensemble, etc… Grâce à lui j’ai beaucoup appris dans ces moments et à 10 ans j’étais presque autonome. Je savais faire les courses, à manger, à ranger et même à faire le ménage et la lessive, si bien qu’à mon entrée en 6ème, je pouvais me débrouiller tout seul.
J’ai rencontré mon copain Kilian dès l’école maternelle où nous étions dans la même classe. La mère de Kilian était colombienne et il avait hérité d’elle une peau cuivrée, plus foncée que la mienne. Il avait les cheveux châtains frisés qu’il porte comme moi mi-longs. Il n’habitait pas trop loin de chez nous dans le même style de maison : grand jardin, piscine, tout le confort. Comme moi, il avait le privilège d’avoir sa chambre et une salle de bain indépendante rien que pour lui. Lui aussi vivait seul avec son père, Fred, un jeune commissaire de police. Fred et mon père se connaissaient depuis le lycée et étaient très liés. Ils avaient fait leurs études ensemble et de par leur profession se côtoyaient souvent. Sa femme avait pris ses cliques et ses claques 2 ans après la mort de ma mère. On se retrouvait souvent les 4 ensemble le week-end et parfois même en semaine et il n’était pas rare que nous restions coucher chez l’un ou l’autre surtout s’ils avaient un peu bu. Nous passions le plus souvent nos vacances ensemble. Kilian et moi devions toujours faire nos devoirs avant d’aller jouer. On s’entraidait toujours pour faire nos leçons. Le fait d’être tous les 2 métis et de subir toujours les mêmes gags nous rapprochait encore plus. Nous nous tirions la bourre pour être premier de classe et répondre aux questions des instituteurs. Autant Kilian que moi voulions faire plaisir à nos pères, peut-être le fait d’être fils unique les 2 ? Aussi bien lui que moi nous considérions comme frères.
A 10 ans (Kilian et moi sont nés le même jour en mai), juste avant notre entrée en 6ème, mon père avait alors 27 ans et nous passions toujours une partie des vacances dans un camp naturiste en bord de mer où nous rejoignaient Kilian et Fred. On se faisait des copains à la plage ou à la piscine et on pouvait en dehors des baignades avoir des tas d’activités sportives. Ces vacances me plaisaient et mon père était heureux de retrouver l’endroit où ma mère et lui s’étaient rencontrés. On arrivait à un âge où la puberté faisait déjà son office et on avait souvent le piquet. Ça faisait rire nos copains mais je voyais bien qu’eux aussi bandaient. Dans ce genre de camp cela arrivait souvent que les jeunes ne pouvaient pas contrôler leur sens et quand ça durait trop longtemps, on allait alors dans l’eau se rafraichir. Toutefois, la plupart du temps, tout le monde s’en foutait.
A la rentrée, j’en parlais à mon père et lui fis part de ma gêne pour la rentrée scolaire au collège car j’avais le piquet de plus en plus souvent.
- Chris il s’agit d’un phénomène naturel contre lequel il est difficile de résister. Tu n’as pas à en avoir honte et normalement les autres non plus.
- Ouais mais quand même, avec Kilian on bande souvent quand on est au lit tous les 2 et on s’amuse parfois avec nos bites. C’est rigolo. Mais avec les autres, j’sais pas.
- En vacances au camp ça vous fait plutôt rire les jeunes qui ont le piquet, non ?
- Ben oui mais c’est parce qu’on s’connait tous depuis des années.
- Tu verras tu t’y habitueras et tu te feras des nouveaux copains.
- Ouais mais ma quéquette devient de plus en plus grosse.
- Ben c’est normal Chris. Tu grandis ! et je t’ai déjà expliqué que tu allais avoir des éjaculations pendant la nuit. Tu me préviendras de la première pour fêter ça ! Si tu veux, pour t’habituer, on peut aussi vivre nus à la maison.
- Euh, pourquoi pas.
- Comme ça tu pourras voir que moi aussi je bande de temps en temps et qu’il n’y a rien de mal à ça.
Mon père prévint Kilian et son père que désormais on vivrait le plus souvent possible à poil et ils décidèrent eux aussi d’adopter ce style de vie. Au Noël suivant, nos pères nous offrirent chacun à Kilian et moi un ordinateur avec une super console de jeu. Avec Kilian on jouait beaucoup, une fois nos devoirs faits. Comme on était grands tous les 2 on nous avait inscrits dans une équipe de basket et à cette occasion on s’était fait d’autres copains. Mais l’amitié qui nous réunissait Kilian et moi était beaucoup trop forte pour que l’on se lie à d’autres. On pouvait passer des après-midis entiers à jouer sur l’ordinateur, mais on ne faisait pas que cela. Mon père ou Fred ou les 2 nous emmenaient souvent au cinéma et même au théâtre ou visiter des musées. On lisait aussi beaucoup, que ce soit des BD, des livres, évidemment Harry Potter, ou des journaux d’information. Il me disait que tout ce qu’on pouvait apprendre de l’histoire ne pouvait que nous enrichir et qu’il était aussi important de savoir ce qu’il se passait dans le monde. Des fois ça me faisait quand même un peu chier !
Que fait un pré-ado quand il surfe sur internet ? Evidemment il recherche des informations sur le sexe. On tombait sur des sites pornos de tous genres et je crois que c’est à ces occasions que Kilian et moi avons découvert être plus attirés par les garçons que par les filles. Bizarrement nos pères n’avaient mis aucun contrôle parental pour éviter qu’on aille sur ce genre de sites. On s’intéressait beaucoup à nos bites et on essayait d’imiter les minets se branlant dans les vidéos mais on n’avait pas encore de sperme. On se les mesurait, repos, demi-bandée et bandée. Pour faire comme dans les vidéos que l’on regardait, on se roulait des pelles, on se branlait, on se mettait des doigts dans le cul et on se léchait partout. On s’enfonçait nos petites bites dans la bouche et on se suçait à tour de rôle. A l’école comme on était souvent l’un à côté de l’autre, il n’était pas rare que la main de l’un soit dans le short ou le pantalon de l’autre en faisant bien attention à ce qu’on ne nous voit pas ! Pour faciliter l’accès à nos teubs, on ne portait plus de slips. Bref on s’amusait comme des préados normaux !
On a eu nos premières éjaculations presqu’en même temps. Comme pour tous les garçons, je me suis réveillé un matin les draps trempés de sperme. Je courus dans la chambre de mon père pour lui annoncer la bonne nouvelle, la queue encore mouillée. Il me sourit, me félicita et me dit que j’étais maintenant un vrai mec. Je ne me lavais pas et laissais le peu de sperme séché sur mon ventre pour le montrer à Kilian. Il fut un peu jaloux mais une semaine après c’est lui qui arrivait triomphant à l’école. Désormais quand nos mains s’égaraient dans nos shorts ou nos joggings à l’école, il n’était pas rare qu’elles ressortent poisseuses de quelques gouttes de sperme !
On avait découvert des sites avec plein d’histoires pornos qui racontaient comment des jeunes de notre âge baisaient ensemble ou avec des plus vieux ou même avec leurs pères ou leurs mères. Ces histoires nous plaisaient beaucoup et on s’avoua un samedi que quand on se masturbait on pensait soit à l’autre soit à nos pères ou soit à des mecs de la classe ou du basket avec qui on aimerait bien aussi s’amuser. On se taillait aussi des pipes et on avalait désormais notre sperme, mais on n’avait pas osé encore s’enculer. On avait quand même découvert que c’était vachement agréable d’avoir une bite dans la bouche ainsi que plusieurs doigts dans le cul. A la fin de la 5ème, on venait de fêter nos 12 ans, mon père nous surprit alors que Kilian me taillait une pipe. On ne savait plus où se foutre et on attendait une engueulade sévère, mais au contraire il sourit et nous laissa tranquille. Une heure après Fred arriva pour diner et on se dit qu’on allait se faire punir sévèrement, mais pendant le repas nos pères nous annoncèrent que ça ne les gênait pas si on s’amusait entre nous, mais qu’il fallait faire quand même attention à ne pas s’en vanter ! On était vachement surpris de leur tolérance mais aussi très heureux de leur attitude compréhensive.
L’année suivante en 4ème, notre hygiène d’ado devenait improbable. On ne se lavait plus trop la queue comme on nous l’avait appris, car on aimait bien l’odeur qu’elle dégageait quand il y avait un peu de smegma dessous le prépuce. Il n’était pas rare que nos doigts ressortent de nos culs un peu merdeux. Au début l’odeur nous gênait mais on s’y était habitué et il nous arrivait de nous lécher nos doigts ou de les essuyer sur nos gueules. On devenait franchement crades et bizarrement ça faisait rigoler nos pères quand ils nous surprenaient. On n’avait pas de remarques ou d’engueulades et plus on puait, plus nos vieux bandaient : c’était quand même bizarre. On discutait aussi beaucoup de sexualité avec eux. Ils avaient compris qu’on préférait sans doute les mecs ce qui n’avait pas l’air de les gêner. Ils attiraient aussi notre attention sur le fait que le porno de l’ordi ne correspondait pas à la réalité, que tout acte sexuel devait se faire dans le respect de l’autre et que l’amour était plus important que le sexe lui-même. Ils nous mirent en garde également contre les maladies qu’on pouvait attraper si on ne faisait pas attention et qu’évidemment si on faisait l’amour avec une fille, il fallait prendre toutes les précautions pour ne pas attraper de maladies ou qu’elle ne tombe pas enceinte ! Quand on parlait de sexe à la maison, seul avec mon père ou avec Kilian et parfois son père, il n’était pas rare que tout le monde eût sa queue en l’air. Ils nous disaient alors d’aller « jouer » ensemble avec Kilian !
Si mon père voyait nous amuser, la réciproque était vraie et plus d’une fois je l’ai vu se branler devant son ordinateur, soit sur des films, soit en discutant sur des tchats. Kilian avait aussi remarqué que son père aimait bien renifler ses vêtements sales. Il l’avait espionné et l’avait vu se branler en léchant ses shorts sales et renifler ses t-shirts. Je me mis également à surveiller mon père et constatai qu’il faisait pareil que Fred. C’est dans ces moments qu’on découvrit aussi notre attirance pour nos pères :
- Kilian, tu crois que c’est normal que nos pères se branlent dans nos shorts ?
- P’têt pas, mais on a déjà lu des histoires comme ça. Faut bien qu’y s’libèrent non ?
- J’ai jamais vu de femmes à la maison, tu crois qu’y vont aux putes ?
- J’sais pas, mais on les a déjà vu s’branler sans qu’y nous voient !
- Tu crois que quand ils nous disent d’aller « jouer » dans nos chambres ils font pareil ?
- Euh, j’sais pas mais ça serait pas impossible.
- Tu crois qu’y baisent ensemble ?
- Ben ouais mais j’y avais jamais pensé !
- J’crois que j’aimerai bien baiser avec mon père pour lui montrer tout mon amour.
- Comme dans les histoires pédos ?
- Ouais et toi ?
- Ben ouais, c’est normal on est un peu comme 2 frères depuis le temps qu’on se connait et on a les mêmes goûts !
- Tu crois qu’y z’aimeraient baiser avec nous ?
- J’sais pas.
- Mon père bande toujours quand il me voit seul ou avec toi quand on s’amuse avec nos bites, nos culs, nos tétons… et quand je pue la sueur, la pisse et même la merde !
- Ouais, mon père aussi. T’as pas remarqué qu’ils aiment bien nous sniffer quand on rentre du basket sans s’être douchés. Y bandent toujours un peu.
- Ouais et pis moi j’ai jamais de remarques sur mon linge sale ou mes shorts un peu merdeux.
- Ouais pareil.
L’école allait super et les sports pratiqués et les vacances à la mer avaient bien développé nos corps de jeunes ados. Les vacances approchaient et on allait rentrer en 3ème. Je faisais maintenant 1.70 m pour 50 kg et Kilian était du même gabarit. Ma pine était fine mais avait une bonne taille (7 cm au repos et 15 en érection) et celle de Kilian plus grosse pratiquement déjà 17 cm en érection ! Il n’y avait pratiquement pas de différence qu’il bande ou pas ! Les gars du basket lui disaient qu’il avait une 3ème jambe qui lui poussait ! On était grand pour notre âge mais ça aidait à ne pas se faire trop chambrer sur notre métissage, notre mode de vie nudiste et nos odeurs parfois fortes. On cachait notre relation particulière même si dans la classe certains se doutaient qu’on était pédés, en particulier les filles qui nous draguaient. Pour donner le change, on en embrassait quelques-unes, on se pelotait un peu comme le font tous les ados en peine puberté. Toutefois, notre hygiène et notre soi-disant timidité ne les incitaient pas à pousser plus loin. Seule une fille, Célia, ne semblait pas rebuter par les odeurs qu’on dégageait et ça ne la gênait pas non plus qu’on n’aille pas plus loin, que ce soit avec Kilian ou avec moi. D’ailleurs elle puait aussi pas mal. On était souvent les 3 ensemble et je crois que beaucoup de mecs et de filles du collège croyaient qu’on formait un triangle amoureux. Les vacances approchaient, on allait passer 2 semaines au camp naturiste, mais avant une révélation allait complètement changer le cours de notre vie à Kilian et moi ….