AVERTISSEMENT

Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages.



ANTHONY


J’ai eu la chance de rencontrer Manon il y a quelques années. Elle est la première fille de ma vie à satisfaire mes besoins sexuels énormes et hors normes. Elle y prend un plaisir évident.


Manon dégage un véritable charme, ses yeux pétillent, une sensualité à fleur de peau émane d’elle, tous ses gestes sont une invitation à la luxure, même si objectivement elle n’est pas d’une beauté irréprochable.


Depuis le début de notre relation, Manon n’a jamais rien refusé sexuellement. Elle accepte toutes les pénétrations, la violence, les souillures, venant de moi ou d’autres partenaires à qui je l’ai présentée, quelque soit l’heure du jour ou de la nuit, le lieu, peu lui importe, prendre et donner du plaisir est sa priorité. Si elle a des limites, je ne les ai jamais atteintes, bien que je sois un drôle de pervers.


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J’entre chez toi sans frapper. Si la porte est déverrouillée c’est que tu es là. Je te trouve dans le salon, à regarder la télévision. Tu me souris. Seule une fine nuisette recouvre tes formes généreuses. Sans mot dire, je m’approche. Toujours souriante, tu ouvres ma braguette et extrait mon sexe, que tu embouches immédiatement. Je durcis très vite et pilonne ta gorge avide de queues.


Tu baves abondamment pendant que je te fourrage. Après quelques minutes, je quitte ta cavité buccale si accueillante, tu me souris toujours, me jette un regard entendu et tire sur la boucle de ma ceinture, la libérant des passants de mon pantalon. Tu me tends la lanière de cuir, laissant pendre la boucle métallique. C’est l’un de nos codes.


Tu sors tes beaux gros seins de ta nuisette, me regardes droit dans les yeux, mordilles ta lèvre inférieure et me souffle : « Vas-y… »


Répondant à ton attente, j’arme mon bras et fais siffler la ceinture qui fend l’air avant que la grosse boucle ne s’abatte sur ta poitrine. Le coup est violent, tu pousses un petit cri, mais tu continues de m’allumer en me jetant ton regard de braise et en passant ta petite langue rose sur tes lèvres entre-ouvertes.


Un nouveau coup marque ton autre sein. D’autres suivent, nombreux, forts, qui te laissent de grandes traces rouges.


Je sais que tu es excitée. Lorsque tu me tends la ceinture par le cuir en laissant la boucle pendre, c’est que tu veux que je te frappe avec cette partie métallique, qui te blesse. Tu me la donnes presque toujours ainsi.


Lorsque tes seins sont couverts de marques rouges, je décide de violenter d’autres parties de ton corps. Je te fais allonger sur le canapé, sur le ventre, tu grimaces lorsque tes seins martyrisés s’appuient sur le tissu. Je remonte ta nuisette et palpe quelques secondes tes fesses, avant de leur faire goûter aux coups puissants de ma ceinture. Tu as mal, mais tu souhaites que je poursuive : « Encore » soupires-tu entre deux coups bien sentis. 


Rapidement tes fesses virent au rouge vif, elles sont lézardées de belles marques dessinant les impacts du cuir et de la boucle. Tu feules, tu souffles, tu souffres. Entre deux coups je glisse un doigt près de ta chatte, qui ruisselle d’excitation. Tu apprécies d’être ainsi battue.


Bientôt j’élargis la surface frappée. Tes cuisses, ton dos, tes épaules,…


Une nouvelle fois, je te retourne, tu gémis lorsque tes parties meurtries pressent sur le canapé, mais tu es toujours docile.


Allongée sur le dos, cuisses écartées, je frappe ton ventre et porte même quelques coups sur ta vulve. Tu pousses alors un cri terrible. Tu ne peux t’empêcher de serrer brutalement les cuisses, mais ce n’est que pour les ré-ouvrir encore plus largement la seconde d’après.


Je cesse enfin de te brutaliser. Tu es couverte d’ecchymoses, je ne te laisse guère le temps de reprendre tes esprits. Je te retourne une fois de plus et plante mon braquemart dans ton anus. Je pousse très fort et t’encule d’une seule traite, sans aucun lubrifiant. Tu as mal, mais tu as tellement envie de cette sodomie que tu m’encourages : « Ouch,… Vas-y pète moi le fion ! »


Encouragé, je te laboure vigoureusement pendant plusieurs minutes, jusqu’à te conduire au bord de l’orgasme. Mais je ne t’accorde pas la délivrance que tu recherches tant.


Je me retire d’un coup, te laissant pantelante, frustrée : « Encore, défonce encore mon cul, pitié détruis-moi, quémandes-tu.


-Pas maintenant. J’ai un autre jeu à te proposer. »


Intriguée, excitée, ta frustration laisse place à ta curiosité, comme d’habitude tu te laisses faire.


Je baisse mon pantalon, me retourne et plaque ma raie culière sur ton visage : « Lèche ! intime-je. »


Tu t’exécutes, soumise et docile.


Ma raie est sale, je ne me suis pas torché depuis quelques jours. Je sais que tu aimes la saleté, tu vas te régaler.


Tu baves dans ma raie, ta salive liquéfie ma merde semi-sèche, collée dans mes poils. Je lâche quelques pets gras. Tes borborygmes m’indiquent que tu apprécies : « Hum…Anh…C’est bon… »


Petit à petit je sens ta langue pointer sur mon anus, elle force. Je pousse un peu pour dilater mon cul. Je sais que tu recherches la merde qui m’encombre. Doucement je fais glisser mon étron. Il glisse lentement hors de mon boyau pour pénétrer dans ta bouche baveuse et gourmande.


L’extrémité dure laisse bientôt place à une matière plus molle, qui sort en torrent et barbouille tout ton visage.


Je me retourne et te découvre, sublime sous l’ordure ! Tu me souris toujours, tenant mon étron dans ta bouche, le visage maculé de merde tendre. Des morceaux tombent sur tes seins meurtris. Tu es magnifique ! Je bande dur.


Violemment je fourre ma queue dans ta bouche sale. Je pousse ma merde au fond de ton gosier, tu t’étouffes, régurgites, craches, baves, … Je continue de forcer ta cavité buccale. Je te tiens par les cheveux, t’assène quelques gifles sur tes joues merdeuses.


Lorsque je te laisse un répit, tu me supplies : « Encule-moi encore, fais-moi jouir par le cul. »


Magnanime, j’accède à ta supplique. Sauvagement, je te mets en position et pilonne ton anus. Dans le même temps je fourre mes doigts, partiellement couverts d’excréments, dans ta bouche, je les enfonce profondément. Au bout de quelques secondes pendant lesquelles je pénètre loin dans tes orifices annaux et buccaux, tu régurgites et vomis la merde que tu as avalé, ainsi que ton dernier repas. Puis je te donne la jouissance dont tu as besoin en pilonnant ton fondement de pétasse scatophile.


Hyper excité, je quitte ton anus, te plaque dans ton vomi et fourre mon sexe merdeux dans ta chatte pour y déverser mon sperme. Lorsque je ressors de ton sexe, tu y enfiles tes doigts sales et tentes d’évacuer le foutre qu’il contient, pour le porter à ta bouche.


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MANON


Satisfaire mes besoins sexuels représente presque une occupation à temps plein. Je jongle entre de multiples partenaires, qui ne couvrent chacun qu’une toute petite part de mes envies. Anthony est différent, sa technique, son endurance, son vice, sa perversion couvrent une part plus large de mes besoins.


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Nous sommes en fin de matinée. Je suis seule chez moi, je mate un film de cul en me touchant distraitement, sous ma fine nuisette, lorsque j’entends que ma porte s’ouvre. Qui ça peut être ? Toi, Conrad, Valentine, un violeur ? Je ne sais pas, mais toutes ces idées m’excitent.


Je reconnais ton pas. Je coupe la télévision, te regarde en souriant. Je suis contente que ce soit toi, je sais que je vais passer un bon moment. Je mouille rien qu’en imaginant ce que nous allons faire.


Sans prononcer une parole, je m’agenouille, sors ta queue et te suce pour la faire grossir. Tu durcis rapidement et te mets à pilonner ma gorge. Je bave. C’est bon !


Après ces préliminaires, j’ai envie de passer aux choses sérieuses. J’utilise notre code : enlever ta ceinture et te la donner par le cuir, la boucle pendante, pour que tu me frappes avec le métal dur.


Je sors mes seins de ma fine nuisette, mes tétons dardent, ma peau est tendue, presque douloureuse. J’aime cette sensation, la douleur fait partie intégrante de mon besoin de plaisir. Je sais que tu vas m’en donner.


Avant que je n’ai pu m’y préparer j’entends le cuir fendre l’air et la boucle métallique s’abat violement sur mon sein droit. Je crie. Ca me brûle. J’ai mal. Mais que c’est bon de ressentir cette douleur irradier mon sein, se propager dans tout mon corps, électriser mon sexe trempé…


Tu portes un nouveau coup, sur mon sein gauche. Tu me fais mal. Tu me donnes du plaisir. Je t’aguiche pour t’exciter et t’inciter à plus de violence encore.


Tu assènes des coups de ceinture puissants sur ma poitrine. Mes seins me font terriblement mal. Tu bandes comme un âne, ça m’excite. Je continue à t’allumer, je mordille ma lèvre, je présente mes nichons à la boucle féroce de ta ceinture. Tu continues à les brutaliser.


Lorsque mes seins sont couverts de traces rouges, qu’ils me brûlent, tu stoppes et me fais allonger sur le canapé, à plat ventre. Le contact entre le tissu et ma peau meurtrie est douloureux, je gémis. Tu remontes ma nuisette, tu vas faire goûter le cuir à mon postérieur. Je vais avoir mal, une pointe de crainte me saisit, mais je suis tellement excitée d’être ta chienne, ta chose, de te faire bander, que j’attends les coups avec impatience.


Ils ne tardent pas. Tu abas ta ceinture avec un rythme de métronome. Tu astiques méthodiquement mes fesses, l’une après l’autre, puis tu frappes le haut de mes cuisses, tu remontes sur mon dos, mes épaules. Je crie, j’halète : « Aïe, j’ai mal…


-Tu veux que j’arrête ? proposes-tu.

-Oh, non, pas tout de suite, continues, encore, bat-moi ! »


Tu poursuis.


Tu glisses un doigt dans mon intimité, tu dois en vérifier l’humidité. Sans doute satisfait de me faire mouiller comme une gamine en chaleur, tu me retournes, me places sur le dos.


Tu cingles maintenant l’avant de mes cuisses, mon ventre. Tu portes même un coup bien senti au cœur de mes cuisses ouvertes, j’hurle de douleur : « Aïïïïïe ! Putain ! »


Instinctivement j’ai serré les jambes. Je m’en veux immédiatement. J’aime être battue, violentée. J’écarte à nouveau mes cuisses au maximum, offerte à d’autres coups sadiques.


J’ai mal partout lorsque tu poses la ceinture. Voir ta belle bite bandée bien dure m’excite. C’est en partie pour ça que j’ai voulu que tu me battes. J’espère que tu vas maintenant me baiser vigoureusement.


Tu assouvis mon envie. Tu empales ton chibre dans mon anus excité. Ta pénétration est brutale, violente, conforme à ce que j’espérais. Je t’encourage : « Vas-y pète-moi le fion ! »


Tu mets du cœur à ta besogne, mais tu ne m’accordes pas la délivrance. Tu te retires avant que j’ai jouis. Malgré mes protestations, tu ne retournes pas pilonner mon derrière.


Tu baisses ton froc et m’intime l’ordre de lécher ta raie. Je suis sûre que tu vas me régaler d’une bonne merde. Excitée par l’attente de ton cadeau vicieux, j’oublie un peu ma frustration et lèche avec envie ton entre-fesse encombrée de poils collés de merde. Je bave pour tenter de ramollir la matière afin de la décoller et de pouvoir la goûter.


Je me délecte un moment des résidus qui encombrent ton cul, puis je veux aller puiser l’immondice à la source. Je plante ma langue dans ton anus, m’immisçant dans ton fondement à la recherche de l’ordure qui m’excite tant. Je ne peux m’empêcher de toucher ma chatte pendant que je commets ces ignominies.


Mes efforts paient. Je sens ton anus s’ouvrir lentement pour pondre un étron. Le bout est dur. Il glisse millimètre par millimètre hors de sa cavité. Je le gobe au rythme auquel il se présente à ma bouche gourmande de merde.


Puis le flot accélère. Bientôt une masse chaude et puante presse mon visage. Je ne parviens pas à tout avaler malgré mon envie. Tu laisses échapper un tombereau de merde suffocante, qui me recouvre le visage, s’étale sur mes seins meurtris et va joncher le sol.


Tu te retournes. Quel spectacle je dois t’offrir ! Je te souris, heureuse du présent que tu viens de me faire et surtout de constater que tu bandes dur en me matant. Un éclair vicieux passe dans ton regard, sans me prévenir tu plantes ton gros membre dans ma gorge sale, poussant l’étron qui l’encombre.


Je t’avale le plus profondément possible. Tu pilonnes ma gorge comme un sauvage. J’étouffe. Tu me gifles en me tenant par les cheveux. Que c’est bon !


Même si je branle toujours mon clitoris, j’ai besoin de plus. Je veux être baisée à fond : « Encule-moi encore, fais-moi jouir par le cul, crie-je. »


Enfin tu me donnes ce dont j’ai envie, ce pourquoi je vis. Tu m’encules sauvagement. Tu me pilonnes bien profondément, tu me démolis le fion.


Tu continues de maltraiter ma bouche en y fourrant tes doigts. Totalement sous l’emprise de mon plaisir, je te laisse faire. Ton doigts sales forcent mon gosier, me provoquent des hauts le cœur. Je vomis, en m’en rendant à peine compte car tu me donnes du plaisir par le cul, là où je le préfère. Tu me fais enfin jouir !


J’hurle mon bonheur. Mais tu n’as pas encore jouis. Je me rends à peine compte que tu libères mon cul pour investir ma chatte. Tu t’y démènes sans retenir tes efforts. Alors que tu plaques mon visage dans la flaque de vomi et de merde qui jonche le sol, tu éjacules dans mon sexe trempé ! Que c’est bon !


Lorsque tu t’es retiré je doigte ma moule pour y récupérer le bon foutre gluant que tu as laissé. Je le déguste à petites gouttes.



BIFACE

PAR FED